orphée louve jemson

25 ANS ◊ SANG MÊLÉ

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON orphée louve jemson 7 BUSES & 7 ASPICS MÉDICOMAGE the order of the phoenix

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Orphée, sculptée avec soin du bois d'un prunelier, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : fidélité, volonté et douceur sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un crin de licorne qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT :
Tout le monde a toujours pensé aux faiblesses du sang, et tout le toutim. Il n'y a qu'un seul fanatique qui a réussi à ressembler autant de personne. Comme le dictateur moldu en Allemagne. On prends une 'cause' commune et on monte tout le monde les uns contre les autres. Diviser pour mieux régner, c'est exactement ça. Quand je pense que j'avais des préjugés avant. Je m'en mords les doigts quand je vois ce qu'un statut de sang peut faire de votre vie. Je trouve cela absolument infâmes et j'espère que son règne s’achèvera au plus vite !

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ?
Je fais parti de l'ordre, mais je ne me considère pas comme une héroïne. J'aide comme je peux, je me bats avec mes armes à moi : la 'médecine magique' et mon caractére. Je cache des gens en fuite aux yeux des mangemorts, j'essaie de les protéger du mieux que je le peux, mais ce n'est pas évident. Il suffit d'une faille pour que le château de carte ne s'écroule. Qu'importe si je me fais prendre, qu'importe si je meure, je ne veux pas être gravée dans l'histoire, je veux seulement que l'histoire aie une fin heureuse et d'avoir fait parti de ceux qui croyait en cette victoire contre le mal.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?
Cette guerre est effrayante. Du sang, des morts, comme toute guerre, la plupart des personnes qui périssent sont des innocents. Je ne comprends pas les motivations de Lord Voldemort, ni même de ses fidéles partisans. Qu'est ce que cela changera dans notre vie de ne plus avoir de né moldu sur terre ? On ne peut pas combattre la nature, ils peuvent bien tous les éradiquer, que la nature en mettra d'autres au monde. Et ce sera une guerre sans fin. Je crois en la chute du mage noir, et je crois en l'espoir d'une fin heureuse malgré les vies bousillées, et la volonté est la plus grande des forces.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ L. TON ÂGE Ҩ encore et toujours vingt-ans - pour le moment -. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Troian Bellisario PERSONNAGE Ҩ fraîchement sorti de mon cerveau.TON AVIS SUR PI Ҩ j'le trouve toujours aussi naze, c'est pour cela que j'ai décidé de me faire un troisieme compte Mais non, j'l'adore, c'est ma drogue, comme Eden et son fouet. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Sur bazzart, je crois bien. CONNEXION Ҩ 3/7j minimum même si je sais que je serais là 7/7j en général. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ Cette fois, ce sera pas moi la soumise .

" Nomme toujours les choses par leur nom. La peur d’un nom ne fait qu’accroître la peur de la chose elle-même. "

Children waiting for the day they feel good.

"M'man, j'veux une natte pour l'école !", m'écriais-je depuis ma chambre, et je vis ma mère pointer le bout de son nez quelques secondes plus tard, le sourire aux lèvres. Ma mère était une moldue, souriante, et aimante. Elle a accepté mon père par dessus le marché. Un sorcier. Elle faisait tout pour s'intégrer dans son monde, et vice versa. Elle était institutrice, elle enseignait son savoir avec plus de passion que quiconque. Quant à mon père, il avait sa petite boutique sur le chemin de traverse. Il vendait des babioles magiques, un vrai régal pour une petite fille curieuse comme je l'étais. J'ai continué de grandir ainsi, dans une famille chaleureuse et aimante. Je me souviens encore de mes onze ans, lorsque j'ai reçu ma lettre d'admission à Poudlard. Je revois encore le regard fier de ma mère, et celui de mon père aussi. "Sois toujours respectueuse, généreuse envers les autres ma chérie.", me dit ma mère sur le départ du Poudlard Express, les larmes aux yeux. "Mais ne te laisse pas marcher sur les pieds non plus.", ajouta mon père avec un clin d’œil. Quelques minutes plus tard, leur visage disparaissaient et je filais vers mon avenir. "Tu es maligne, rusé, intelligente et déterminée, nulle autre maison que ... SERPENTARD !", annonça le choixpeau magique, c'est avec un grand sourire aux lèvres que je rejoignais la table de vert et argent !

« Jemson. Si le cerveau était en or, tu serais encore plus pauvre que ton amie, ce qui n'est pas peu dire. », entendis-je derrière moi. J'étais en seconde année, et ma meilleure amie venait de faire exploser notre chaudron par inadvertance. Le professeur de potion l'avait prise en grippe, je m'étais alors désignée comme coupable, ce qui avait eu don de faire rire - et grandement plaisir - à Nolhàn, un de mes camarades de serpentard. Un garçon prétentieux qui ne me portait pas dans son cœur, - et c'était un euphémisme ! Il nous avait suivi dans le couloir, et ne s'était pas gêné pour nous foncer dedans, en passant, récoltant un regard noir de ma part. "Boclang !", lançais-je dans son dos avant de disparaître au détour du couloir avec mon amie, en riant. Je sais, ce n'était pas quelque chose de très courageux, plutôt lâche, mais je n'avais pas envie qu'il y ai des preuves contre moi, faire perdre des points à ma maison et ni aller en retenue. Ce qui m’intéressait, c'était mes études, ma famille et mes proches amis. Ce que cet élève pouvait bien penser de moi, après tout, il n'allait pas définir ce que j'allais faire de ma vie.

« Tu m'as menti, Nohlàn. », assénais-je, les bras croisés sur ma poitrine. Non, vous ne rêvez pas. C'est bien la même personne que précédemment. Nous avions finalement réussi à se parler sans se battre. Nous étions devenus amis. Et lors de notre septième année, nous étions devenu un couple. Des amants, des amis, des confidents, un grand mixte de tout. J'étais heureuse, même si la jalousie, venait frapper à ma porte quelques fois. Nous finissions toujours par nous rabibocher sur l'oreiller, et avec quelques mots doux, murmurés à l'oreille. Jusqu'au jour, où je l'avais surpris dans une classe vide. Dans une classe vide, enfonçant sa langue dans la bouche d'une autre que moi. Je m'étais sentie explosée, je m'étais retenue de lui balancer à un sortilège à la figure, ou même de faire cramer les vêtements à terre de la pouffiasse. J'avais disparu en courant, ravalant mes larmes et ma fierté. Il s'était bien fichu de moi, sur ce coup là. « Depuis combien de temps ? », interrogeais-je, le regard noir. Il avait fini par me rattraper alors que j'éteignais le lac de Poudlard. Je ne lui avais pas laisser le temps de l'ouvrir. J'avais essuyé mes larmes qui avaient débordées, et avait planté mon regard dans le sien. Il ne répondit pas. « Depuis combien de temps ? », hurlais-je. Si bien que ma voix résonna dans le parc. Il sembla se réveiller, vouloir trouver les mots. « C'est pas ce que tu crois ... », bredouilla t-il. J'eus un rire sans joie. Pas ce que je croyais. « Et tu faisais quoi, explique-moi ? Tu t'entraînes à être médicomage, c'est ça ? », ironisais-je, langue acérée. Il baissa les yeux, ne trouvant rien à redire. « Bien. Je crois qu'on a fait le tour. Adieu. », déclarais-je avant de tourner les talons et partir d'un pas décidé. « Orphée, attends ... ORPHÉE !», hurla t-il à son tour. Je restais sourde à son appel, continuant mon chemin, le cœur lourd.

« Alors mes jolies, vous ne voulez pas aller faire un tour du coté du Chaudron Baveur ? ». Deux jeunes sorciers de l'âge de ma meilleure amie, et moi, nous suivais. Nous étions sorties sur le chemin de traverse pour un peu de shopping, cependant, je regrettais la présence de mon cousin, à nos côtés. En effet, il était assez … dissuadant. Je me crispais, mais continuais à marcher aux côtés de Bluelynn. « Hé ! On vous parles ! », s'exclama l'un d'eux en agrippant le bras de mon amie. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Ma main s'abattit sur celle de l'agresseur, l'arrachant de sa poigne. « Par merlin, on ne traine pas avec des ivrognes, alors bats les pattes et dégages. », rétorquais-je avant de l'entrainer par le bras. Nous ne fîmes que quelques pas, lorsque nous nous retrouvâmes contre un mur, prisonnières de leur poigne. Surprise, je lâchais un cri, mais mon agresseur l'étouffa avec sa main. Je les entendais rire alors que mon crâne se faisait douloureux. « On fait moins les malignes, hein ? », dit-il, à mon oreille, et j'écartais vivement la joue de ses lèvres. Quelques secondes, plus tard, j'étais à terre car mes jambes ne me soulevaient plus. Aussi, parce que deux éclairs rouges avaient foudroyés les attaquants. J'étais comme dans un univers parallèle, je ne comprenais pas grand chose, mis à part, que des bras étaient autour de moi et qu'après je me retrouvais dans mon dortoir avec Blue. Une bonne nuit de sommeil me permit de recouvrer mes esprits, et je descendis donc le lendemain, pour le petit déjeuner dans la Grande Salle. Et tout cela fut troubler par l'arrivée d'hommes d'Azkaban. Je ne compris pas, jusqu'à ce qu'ils empoignent Nolhàn et ne l'emmène. Je regardais Blue, ne comprenant rien. « C'est lui, qui nous a sauver hier, Orphée. Il a tuer les mecs qui nous ont agresser », m'apprit-elle. Je portais une main à mon crâne douloureux, puis à ma bouche, suivant Nohlàn d'un regard horrifié. Dans un élan, je me lève, mais Blue m'a retenu, m'empêchant de commettre une bêtise, ce qu'elle ne pu pas retenir en revanche, ce fut mes larmes. J'étais totalement dépasser. J'ai fini la semaine à l'infirmerie, avec une potion de sommeil. J'étais décomposée face à cet événement, malgré ce qu'il avait fait, je n'arrivais plus à lui en vouloir, pour tout. Mais Blue ne cessait de me répéter qu'il fallait continuer nos vies et qu'on pourrait le remercier bientôt. Je m’attelais donc à réussir mes ASPICS.

"J'ai besoin d'aide, vite !", entendis-je à l'arrière boutique de mon père. Je venais d'arriver, cinq minutes plus tôt. J'avais fini de travailler. Les années avaient passées et j'étais devenue médicomage, au plus grand plaisir de mon père. Ma mère, nous a quitté, l'été où j'ai quitté Poudlard. Cancer foudroyant, c'est là que j'ai décidé de venir en aide aux malades. Et voilà, à présent Lord Voldemort était revenu, c'était la totale terreur parmi la population. Moi-même, j'avais peur pour Blue, elle qui était une née-moldue. Alors, malgré la perquisition du ministère à mon domicile, je continuais à cacher mon amie, ailleurs. De plus, j'étais entrée aux côtés de mon père dans l'ordre du Phoenix. A l'entente de la voix de mon père, j'accourais dans l'arrière boutique pour le voir portant un homme blessé, saignant abondamment. Je vins l'aider , passant l'un des bras du blessé autour de mon cou, pour allonger l'homme sur une surface plane. "Pourquoi ne l'as-tu pas amené à Sainte-Mangouste ?", demandais-je en fixant les traits douloureux de l'homme sur la table. Son visage m'était familier, bien que je ne l'ai jamais rencontré. "Je ne pouvais pas, j'étais pressée et puis ... c'est un né-moldu. Un vieil ami, Moriarty.", dit mon père, et je fronçais les sourcils. Moriarty ... Comme Nohlàn ! Cela ne pouvait pas avoir de rapport, mais pourtant, il lui ressemblait tellement ! Je ne pipais mot et m'attaquais à soigner ses blessures du mieux que je pouvais. "Qu'est ce qui s'est passé ?", demandais-je à mon père. "Un mangemort l'a attaqué. Si j'ai bien compris, c'était son fils.", m'expliqua t-il et mon sang ne fit qu'un tour.

Quelques semaines plus tard, le père Moriarty était de nouveau sur pied, caché dans la maison de mon père. En revenant à mon appartement londonien, je revenais plus sereine et retrouvais Blue avec soulagement. Elle avait l'air en forme et ne tarderait pas à repartir pour ne pas se faire prendre, mais j'étais soulagée de la voir saine et sauve. Cependant, le lundi me réserva des surprises. Alors que je prenais mon service, le premier patient à qui j'eus affaire fut Nolhàn. Vous avez bien lu. Alors que j'allais entrer dans la pièce des consultations, je vis une silhouette dans un coin. Je restais figée en le reconnaissant. Celui qui m'avait sauvé la vie, et celle de Blue. Il s'assit et son regard croisa le mien. Je déglutis, il me fixa d'un regard intense qui me donna des frissons, quelque chose dérangeant. Je me sentais mal à l'aise, j'avais l'impression que ce n'était plus la même personne. Je demandais donc à un de mes collègues de s'en charger. Quelques jours plus tard, j'avais la confirmation qu'il n'était plus le même, il avait déjà des morts à son actif, mangemorts, échappé d'Azkaban, et j'avais l'impression d'être observé constamment, Blue était persuadée que c'était lui, qui me suivait, elle me le disait dans ses lettres. Moi, je ne voulais pas le croire. Pourtant, j'avais peur qu'elle ait raison car à chaque fois que je me retournais dans la rue, une ombre disparaissait dans un recoin.