Briséis Elemiah Morgan

28 ANS ◊ NÉ MOLDU

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON Briséis Morgan 5 BUSES & 7 ASPICS Photographe Clandestine The Order of Phoenix

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Briséis, sculptée avec soin du bois d'ébène, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que 11 ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : agilité, souplesse et précision sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en [bsortilèges[/b]. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un crin de Sombral qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Voldemort représente la face noire de la magie. Ce que je sais de lui, c'est qu'il est un être vile, dépourvu de sentiments, d'humanisme et qu'il déteste d'ailleurs les gens comme moi. Pour lui, et comme beaucoup de sorciers de sang purs, je suis une personne indigne de vivre. Je ne suis pas une véritable sorcière. Voldemort gâche la beauté de la magie pour n'en faire qu'une arme de destruction et de terreur. La magie c'est de la beauté, pas de la laideur. Le Lord insinue la peur chez les plus fragiles. Pour la part, je n'ai pas envie de rester cloitrer chez moi à cause de personnes comme lui. Je veux vivre ma vie de sorcière et de née moldue parce que j'ai autant droit de vivre que n'importe qui.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? J'ai connu très tôt l'Ordre du Phoenix. De par mes origines, j'ai été améné à côtoyer certains de ces membres et forcement, je me suis sentie attirée par leur lutte et par les valeurs qu'il dégage. Je veux agir pour le monde magique, donner une chance aux personnes comme moi et les défendre. Voilà pourquoi je suis devenue une membre à part entière de cette organisation. Je lutte pour cette liberté magique qui nous ai refusé. Je lutte pour mes idéaux, ceux d'avoir une vie libre, de faire de la magie comme je le veux, de vivre normalement. Ce sont pour moi des choses basiques mais qu'il m'est impossible de faire pour l'instant.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Je mentirais si je disais que la situation actuelle ne m'angoisse pas, au contraire. J'ai peur d'être attaqué, j'ai peur de mourir, de perdre ceux que j'aime. Je fais très attention à mes paroles et encore plus à mes actions. Je suis devenue méfiante et je n'accorde plus ma confiance comme autrefois. J'ai des amis de longues dates en qui j'ai confiance. Pour les nouvelles connaissances, c'est un peu plus difficile. Mais je ne reste pas dans mon coin pour autant. Je continue à faire mon travail et à risquer ma vie pour servir la cause et celle de ceux que j'aime.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ Charlotte. TON ÂGE Ҩ 2o ans. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Felicity Jones. PERSONNAGE Ҩ Scénario de Khal. TON AVIS SUR PI Ҩ J'adore! OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Le top site d'Obsession. CONNEXION Ҩ Régulière, une à deux réponses par semaine selon mes horaires de travail. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ ♥♥♥♥

"La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité."

Je suis née dans une famille unie et soudée où je n'ai jamais manqué d'amour ou d'attention. J'étais la petite dernière, avec trois frères ainés qui me considéraient comme leur princesse. Mes parents étaient amoureux comme au premier jour et ils ont fait de notre vie, un petit havre de paix. Ma mère Lénore était institutrice. C'était une moldue. Elle n'avait aucun pouvoir, tout comme mon père. Mon enfance s'était agréablement passée sous le signe de l'imaginaire, du féérique et de la magie. Depuis que j'étais gamine, mes parents m'ont toujours parlé de la magie et des écoles qui existaient dans le monde. J'ai alors appris qu'il y avait deux catégories de personnes: les sorciers et les moldus. Mais dans leurs bouches, il n'y avait aucune moquerie, aucun mot péjoratif. Malgré tout, mes parents m'ont mis en garde contre les personnes qui utilisaient la magie d'une mauvaise façon, les mangemorts. En dépit de tout cela, j'étais une petite fille curieuse, attentionnée et très espiègle. Je ne voulais jamais rester en retrait et regardait mes grands frères agir, jamais. Alors je faisais les quatre cents coups. Je me suis écorchées les genoux des milliers de fois, je me suis coupée des centaines de fois. C'était mon apprentissage de la vie. Une vie qui allait être bouleversée par l'arrivée d'une personne.


Ce que j'aimais chez lui, c'était sa façon de me regarder comme si j'étais une des sept merveilles du monde. Je pouvais voir les étoiles dans ses yeux. Et j'étais fière de ça. Avec mes frères, je n'avais pas cette attention. Elle était évidemment différente. Avec lui, je voulais être la plus jolie. Je faisais attention à ce que je mettais, au parfum que je portais. C'était idiot mais j'avais seize ans à l'époque et je connaissais mes premiers frissons d'amour. Oui je l'aimais. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. Khal passait pas mal de temps chez nous parce qu'il était malheureux chez lui. Je n'ai jamais voulu lui poser d'autres questions. Je respectais ses silences. Je l'écoutais quand il voulait me parler mais je ne le brusquer pas. Notre histoire d'ailleurs, n'aurait jamais du naitre. Nous n'aurions jamais du nous aimer. Mais on ne contrôle pas un coeur et encore moins nos émotions. Je savais en fait, qu'il était la seule personne que je voulais avoir près de moi, contre moi. Il a été mon premier petit ami, mon premier amant, mon confident. J'avais confiance en lui malgré la mauvaise réputation de sa famille. Je savais que les ennuis allaient arriver à cause d'elle mais j'avais confiance en Khal. Je l'aimais et c'était tout ce qui importait. Mes parents étaient distants de notre histoire. Je crois qu'ils avaient parfois peur de Khal. Ce dernier en effet était parfois victime de troubles du comportement. Et ils craignaient qu'il me frappe un jour. Mais moi je n'avais pas peur. Je savais qu'il serait incapable de me faire du mal. J'en étais persuadée. Mais je me trompais. Il m'a fait mal... peut-être pas physiquement...mais c'était douloureux.


A dix-neuf ans, j'avais quitté le domicile familiale. Je venais de temps à autre chez mes parents pour des repas de famille. Mais je n'étais plus seul. Khal n'était plus là. Il m'avait quitté un an plus tôt en me disant que j'étais indigne de lui et qu'il ne voulait plus vivre avec moi. Khal n'était pourtant pas vraiment parti. Quand il a franchi le seuil de notre appartement pour ne plus jamais y revenir, j'étais enceinte de sept semaines. Brisée et incapable de prononcer la moindre parole, je n'ai pas pu lui dire qu'il allait être père. Noah est venu au monde quelques mois plus tard. Je n'ai pas pu avorter, ni même le mettre en adoption. J'en avais été incapable. Je n'aurais pas pu vivre en sachant qu'une partie de moi était là, quelque part, peut-être en danger. A dix neuf ans, j'étais donc devenue une maman responsable. J'ai terminé mes études et j'ai obtenu un travail dans un journal moldu. Je voulais donner une vie "normale" à Noah. Je ne voulais pas qu'il soit happé par les tourments du monde magique. Alors je me suis éloignée de ce dernier. Noah a rempli ma vie de bonheur et d'amour. Il n'était pas prévu. Il était même un accident mais comme je lui répète souvent avec le sourire, il a été mon plus bel accident. Je n'ai pas réussi à contacter Khal. Le père de ce dernier n'a jamais répondu à mes appels. Alors après quelques semaines, j'ai abandonné l'idée de le contacter et j'ai continué ma vie avec mon fils. Il avait besoin de moi et je ne pouvais pas l'abandonner comme l'avait fait son père. Noah était un garçon curieux, espiègle et très têtu quand il le voulait. Déjà petit et il savait ce qu'il voulait et comment l'obtenir. Il n'avait pas son pareil pour avoir sa mamie. Il savait qu'avec un sourire, il pourrait tout obtenir. Le même sourire que son père... Noah ressemble beaucoup à Khal et c'est douloureux parfois. Khal me manque chaque jour. J'avais le cœur qui saignait à chacune de mes pensées qui lui étaient adressées. Et pourtant, je n'ai jamais dénigré la personne qu'il était, face à notre fils. En grandissant, Noah m'a posé des questions, et je lui ai expliqué ce qui s'était passé. Bien sûr, je ne lui ai pas rapporté les paroles de Khal. Je lui ai simplement dis que son papa, n'était pas resté. Et qu'il ne savait pas ce qu'il manquait.


Parfois je me demande si j'ai pris une mauvaise décision. Parfois je me maudis pour avoir cru qu'il était possible de donner une vie normale à mon fils. Noah a grandi. L'insouciance a fait place à la curiosité puis à l'appréhension. Il ne comprenait pas toujours pourquoi certains sorciers se battaient contre d'autres. Mais je croyais fermement que je pourrais le protéger comme je l'avais fais depuis sa naissance. Mais au cours des dernières années, je me suis davantage impliquée dans la guerre qui secoue le monde magique. Née moldue, je ne peux pas laisser d'autres sorciers me dire que je n'ai pas le droit de vivre. Que mon fils n'a pas le droit d'exister. C'est pour cette raison que j'ai pris les armes. Enfin je n'ai pas mit de balles dans un chargeur. J'ai tout simplement utilisé mon appareil photo. Je suis devenue photographe quelques années plus tôt et la photographie était pour moi, une façon de dénoncer les méfaits des mangemorts et des sorciers bien sous apparences mais qui étaient viles en réalité. J'ai pris des clichés de façon incognito, en photographe anonyme. J'ai réussi à piéger certains mangemort. Mais j'en ai payé le prix fort. Un soir en rentrant chez moi, la baby sitter avait disparu et avec elle, mon fils Noah. Cela fait trois mois qu'il a disparu et je ne sais pas où il est, ni ce qu'il est devenu. Je n'ai reçu aucun parchemin, aucune menace, rien. Je n'arrive pas à reprendre une vie normale. Je ne le peux pas. Mais je ne peux pas non plus abandonner ma lutte. Je dois continuer à avancer, sinon le monde obscur aura gagné. Mais je recherche toujours mon fils. Je me suis même décidée à retrouver son père... J'ai l'espoir que ce dernier pourra m'aider et qu'ensemble, nous pourrons sauver notre fils. Je suis capable de mettre mes rancœurs et mes blessures de côté pour retrouver le second amour de ma vie.