dayton sasha withemore

26 ANS ◊ NE MOLDU

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON dayton withemore 9 BUSES & 9 ASPICS SANS EMPLOI RUNNING UP THAT HILL

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Dayton, sculptée avec soin du bois d'un sorbier, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : l'intelligence, la loyauté et la confiance sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un/une ventricule de coeur de dragon qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Ce sont les idéaux d'un seul homme qui gâchent la vie de tant de personnes en Angleterre de nos jours, y compris celle de Dayton, ce dernier ne le porte donc pas dans son coeur. S'il le trouve sadique, cruel et sans pitié, il peut aussi reconnaître que pour déclencher une guerre et rallier tant de fidèles, c'est qu'il est doué. Le plus triste, c'est que des gens le suivent et partagent ses idées. Ce n'est même pas un homme à ses yeux, il reste une créature mystérieuse qui n'aurait jamais dû vaincre la mort. Mais Dayton a aussi un sens pratique, du temps où il pouvait encore garder son job, il se fichait pas mal des actions de Voldemort et de ses sbires. Aujourd'hui qu'il est traqué comme un pestiféré et qu'on le menace de le mettre en prison, il doit bien reconnaître que la situation l'embête davantage à présent.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Il va trouver refuge chez l'un de ses membres, il va donc connaître l'existence de cette organisation quand il n'en avait jamais entendu parler. Maintenant qu'il se retrouve sans emploi, il pense que ses hommes et ses femmes d'un courage sans égal pourraient faire la différence dans cette guerre, ils pourraient être ceux qui les sauveraient d'un futur enfer, ceux qui pourraient les conduire à la victoire. En tant que fugitif, il ne pense pas pouvoir prendre part à cette organisation, il n'a jamais eu assez de courage, il n'a jamais été doué en défenses contre les forces du mal, il a toujours obtenu d'horribles notes mais peut-être que son génie pourrait être utile aux membres de l'Ordre, il pourrait être utile mais encore une fois, il ne pense pas posséder leur courage et leur sens de l'honneur, il s'est trop longtemps détaché de sa vie sociale pour être sûr de pouvoir être fidèle à quelqu'un.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Plutôt mal depuis quelques semaines. Il avait un poste de choix, il était reconnu dans son secteur, il n'avait pas besoin de prouver sa valeur et voilà que du jour au lendemain, à cause d'une stupide erreur, il se retrouve contraint de fuir. Il va bientôt trouver refuge chez une sang-mêlé qu'il a longtemps détesté et il va se voir contraint de faire profil bas pour être en sécurité. Il est indécis, complètement perdu dans sa nouvelle situation, il n'a pas l'intention de se battre mais il ne veut pas partir non plus. Ses parents sont de retour à Londres et malheureusement, il ne souhaite pas les mettre au courant de la situation actuelle pour ne pas les inquiéter, il ne peut donc pas leur suggérer de quitter la ville, même si c'est ce qu'il a fait la dernière fois qu'il les a vu et que le danger était imminent. Pour l'instant, Dayton s'emploie à survivre mais il va très mal vivre le moment présent et son obligation constante de fuir.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ J. TON ÂGE Ҩ 22 ans. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Julian Morris PERSONNAGE Ҩ sorti tout droit de ma petite tête TON AVIS SUR PI Ҩ Je sais pas si j'ai besoin de dire que j'adore ce forum, ça semble évident, j'ai des nouvelles idées de personnages tous les jours OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ J'étais sur sa première version -c'était bien la première hein ? - avec mon Daley tout beau et puis je suis revenue et j'avais pas l'intention d'abandonner mon Daley tout beau alors voilà mais je crois qu'à la base, vous avez la chance de m'avoir parmi vous grâce à bazzart Et maintenant, vous pouvez plus vous passer de moi alors je reste Je voudrais pas faire une génération de déprimés CONNEXION Ҩ (7j/7, parce que PI, c'est une drogue . UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ J'ai deux questions lol La première, c'est savoir si à 26 ans, mon perso peut être dans le groupe des running up that hill sachant qu'il va intégrer l'ordre du Phénix Mais comme avant tout, il se planque et risque sa petite vie de né-moldu, ce groupe me semblait plus logique Mais savoir s'il pouvait aussi faire parti de l'Ordre, vous me suivez ?
La seconde c'est que je savais pas si je devais faire ma demande avant ou après mais savoir si Dayton pouvait être métamorphomage, je vais créer ma fiche à partir de cette base et les dernières années de sa vie se fait autour de son don alors ce serait bête qu'au final, je ne puisse pas Enfin voilà, je vous embête plus

En fait si, j'ai capté que pour être métamorphomage, fallait que ça se transmette par l'hérédité, du coup je suis embêtée Est-ce qu'on peut dire que sa grand-mère maternelle l'était mais que sa mère était une cracmol ? Du coup ça fait quand même de lui un né-moldu non ? Je sais plus .

"UNE CITATION ICI"

« Jane ! Jane viens vite ! » « Qu’est-ce qui t’arrive ? » « Dayton vient de faire exploser le verre ! » « C’est tout ? Il suffit de le gronder, de lui dire de ne pas recommencer, si tu veux le punir tu… » « Non Jane, tu n’as pas compris, il a fait exploser le verre, sans le toucher ! » Le jeune couple qui vivait depuis toujours dans une banlieue tranquille de Londres se regarda, aussi abasourdis l’un que l’autre. Après une longue discussion, la mère de famille décida de passer au-dessus de l’incident sans jamais y revenir, prétextant que son cher et tendre mari avait été victime d’une hallucination. Le jeune Dayton, tout juste âgé de cinq ans ne fut jamais puni pour avoir cassé un verre et l’affaire fut réglée, relayée au placard puisqu’il semblait ne posséder aucune explication à ce phénomène étrange. Et comment deux moldus qui n’avaient jamais connu la magie pouvait se douter un instant que leur fils, aussi intelligent soit-il à l’école du quartier où il allait, était en réalité un sorcier en herbe qui développait ses dons et manifestait sa magie comme n’importe quel sorcier de son âge. Dayton grandit alors dans l’innocence du monde moldu, victime de quelques accidents inexplicables auxquels ses parents ne pouvaient donner aucun sens, même lorsqu’il fut en âge de se demander ce qui lui arrivait. « Madame Withemore, votre fils a réussi à arracher les tuyaux des toilettes pour arroser le jeune Matthew avec l’eau qui en sortait ! » « Matthew Greenberg ? Ce petit innocent maltraite mon fils chaque jour et on me convoque parce qu’il a eu enfin le courage de se défendre ? Vous savez que certains soirs, Dayton rentre sans cartable de l’école parce que Matthew le lui a pris pour s’amuser et qu’ainsi, il ne peut pas faire ses devoirs ? Vous savez que parfois, il rentre avec des bleus et qu’il s’est un jour miraculeusement foulé le poignet ! Vous savez ce que c’est que d’entendre votre fils vous supplier de ne pas aller à l’école parce qu’il a peur de ce qu’on va lui faire ? Je pense que le petit Greenberg n’a eu que ce qu’il méritait et si vous n’êtes pas capable de faire votre job correctement, je me chargerai moi-même d’éduquer mon enfant pour qu’il cesse d’être persécuté par les futurs voyous que vous vous chargez d’élever et de protéger simplement parce que Madame Greenberg fait des dons à l’école chaque année ! » C’est ainsi que pendant une année, Dayton reçut des cours à la maison par sa mère. Il ne subissait plus les maltraitances qu’il pouvait connaître en classe, il pouvait enfin s’épanouir et démontrer tout son talent et son génie. Parce que le petit garçon était féru de mathématiques et d’algèbre. Véritable calculatrice humaine, il calcule n’importe quoi avec une rapidité spectaculaire. Mais surtout, ce qu’il développa très vite, c’est un don rare que l’on retrouve chez très peu de personnes dans le monde : la mémoire absolue. Il retient tout ce qu’il voit, tout ce qu’il entend, tout ce qu’il sent, tous ses sens en éveil, il est incapable d’oublier, son cerveau cumule les informations et il n’a pas besoin de se concentrer pour les retrouver. Que ce soit une date, un itinéraire, un prénom ou simplement un prix sur une étiquette, il retient tout et n’oublie rien. Un talent comme un fardeau pour lui.

« Poudlard ? C’est où ça Poudlard maman ? » « Poudlard ? Aucune idée, tu as reçu une lettre de Poudlard mon chéri ? » Un an seulement après sa déscolarisation, Dayton recevait la lettre qui allait changer sa vie. Il était un sorcier, un véritable choc pour toute la famille, particulièrement pour sa mère qui avait pris l’habitude d’avoir son enfant près d’elle et qui le voyait grandir, changer et maintenant, découvrir un autre monde où elle ne serait jamais acceptée. « Maman maman ! Je viens de croiser un garçon qui est déjà à Poudlard, il m’a aidé à trouver mes livres ! Tu sais quoi maman ? Il paraît qu’à Poudlard, les escaliers ils bougent ! Et le plafond de la Grande Salle, il change en fonction du temps ! Et ils jouent sur des balais avec des balles qui volent toutes seules ! Je pourrais en faire pas vrai ? Ils ont des équipes et on se sert de baguettes magiques ! » Émerveillée par la voix si enjouée de son fils, Jane l’entraîna sur le Chemin de Traverse pour tenter de lui acheter toutes les fournitures inscrites sur le parchemin qu’ils avaient reçu. Elle l’écoutait attentivement lui raconter tout ce qu’il avait appris sur Poudlard et le monde de la magie. Rien qui ne semblait trop dangereux, rien qui ne la séparerait de son enfant. Dayton courrait, sautait de partout, parlait à n’importe qui pour avoir des informations, il était impatient. Il allait aller dans une école où les gens seraient comme lui, où il pourrait enfin être accepté parce qu’au fond de lui, il s’était toujours senti complètement différent, hors de ce monde et aujourd’hui, il comprenait enfin pourquoi il ressentait le besoin d’être ailleurs. Il allait entrer dans un univers dont il ignorait l’existence vingt-quatre heures plus tôt mais il voulait se lancer à l’aveuglette dans cette aventure parce qu’il sentait que c’était exactement cela qui lui manquait. « Tu ne nous oublie pas Dayton, tu écris chaque semaine et tu reviens pour les vacances ! » « Oui maman, promis ! » Des adieux déchirants sur le quai d’une gare. Dayton embrassa sa mère juste avant d’être bousculé par un garçon plus grand qui le regarda d’un air méprisant. « Sang-de-bourbe ! » Marmonna-t-il, laissant le petit garçon et sa mère perplexe. « Tu sais ce que ça veut dire ? » « Ça doit être « bienvenue » dans le monde des sorciers ! » S’exclama Dayton avec un grand sourire pour sauver les apparences. On lui avait déjà dit ses mots, il en connaissait la signification et en quelques secondes, ce garçon fit comprendre à Dayton que sa scolarité ne serait pas aussi aisée qu’il en aurait envie. Mais il voulait préserver sa mère qui avait souffert de ce qu’il subissait à l’école. Il avait décidé d’affronter ce monde avec courage et il en avait l’intention, il ne se plaindrait plus, il ferait en sorte d’y arriver pour rendre fier ses parents.



« Pousfouffle ! » Le Choipeau n’avait même pas hésité une seconde, il était à peine sur la tête de Dayton qu’il s’exclamait et que je le jeune homme rejoignait la table de sa maison qui l’accueillit à bras ouverts. Bien vite, Dayton sut qu’il était fait pour cette maison, il était d’une loyauté sans égale mais gardait aussi cette naïveté et cette neutralité qui était propre à la maison des blaireaux. Il était parfois solitaire même s’il pouvait se fondre dans la masse, lorsqu’il était jeune, il se laissait facilement faire et ne cachait jamais avoir grandi dans le monde des moldus et n’avoir rien su de la magie avant ses onze ans. A Poudlard, il était un élève sérieux, que rien ne pouvait empêcher d’étudier mais aussi parfois le bouc émissaire de certaines mauvaises langues qui le bousculaient. Un petit garçon châtain aux airs innocents, il était naïf, gentil avec tout le monde, rieur avec qui voulait bien sourire avec lui. Il ne répondait pas aux provocations, à l’exception d’une personne. Il n’avait jamais voulu d’ennemis mais elle, cette fille était trop odieuse pour qu’il l’aime. Pleine de préjugés et de méchanceté à son égard, elle était la seule à qui il pouvait parler avec hargne et colère, elle savait susciter une part de lui qu’il cachait la plupart du temps alors quand il ne voulait pas la croiser, il changeait un brin son apparence pour qu’elle ne le reconnaisse pas, il s’amusait de son don et l’évitait tant que possible, ne supportant pas sa présence.

Mais alors qu’il rêvait de faire du quidditch, il se rendit bien vite compte qu’il ne pourrait jamais monter sur un balai. Bien vite, monter les escaliers de Poudlard tout en regardant en bas lui devint impossible, il prit rapidement conscience de son plus gros problème : il avait le vertige. Il lui suffisait d’être en équilibre dans le vide ou de se trouver en hauteur pour se sentir mal, pour avoir des sueurs froides, pour trembler comme une feuille et parfois rester tétanisé, sans pouvoir bouger. Un handicap qui ne le lâchera pas et qu’il n’a jamais réussi à soigner, même s’il a souvent essayé de s’obliger à rester en hauteur et à regarder en bas. Mais il a vite abandonné en constatant qu’il n’en était pas capable. Il n’était pas plus doué avec un balai qu’avec les filles d’ailleurs, pas vraiment le bourreau des cœurs comme l’était son plus proche ami à l’époque, il était plutôt celui qu’on choisissait en dernier recours. Mais il n’en souffrait pas, il savait que l’époque de Poudlard n’était pas décisive, il faisait toujours preuve de logique et avait un sens pratique à tout épreuve. Toujours très calme, il parvenait à élucider les plus grands casse-tête tant sa patience ne souffrait aucune discussion. Il devint même préfet des jaune et noir, ce qui fit sa fierté et celle de ses parents. Il termina ses études avec brio, ne souffrant d'aucune forme de difficulté, si ce n'était en défenses contre les forces du mal dans laquelle sa mémoire ne lui servait pas, à son plus grand malheur.


Après ses études, tout se passa très vite, le ministère lui ouvrit les portes, son génie lui permit de réussir sa formation pour entrer au magenmagot et il fut l’un des plus jeunes membres à cette époque à y entrer. Mais très vite, il devint accroc au travail, incapable de s’en détacher, toujours en train de faire des heures supplémentaires, toujours dans son bureau ou en mission pour le ministère, des extras, des services, il se rendait toujours plus utile et totalement accroché au ministère qu’il ne quittait plus. Il ne voyait guère ses parents qui avaient entrepris de voyager et de faire le tour du monde, il se noyait dans son travail sans songer une seule seconde à trouver quelqu’un ou à fonder une famille. La raison de cette soudaine asociabilité totale remonte au dernier été qu’il a passé en tant qu’étudiant, juste avant de devenir un élève de septième année. « Comme on se retrouve, Withemore ! » Matthew se trouvait devant lui, ce voyou qui lui avait pourri la vie dans son enfance. Son premier réflexe dut de sortir sa baguette magique mais très vite, il fut entouré de quatre autres hommes, nettement plus âgés que lui et il n’était pas en droit de se servir de sa baguette. Cette nuit-là, il aurait dû écouter sa mère et ne jamais sortir avec cette fille qui semblait s’intéresser à lui. Elle l’avait mené droit dans un guet-apens et il allait en payer le prix. Après l’avoir tabassé longuement, le laissant avec plusieurs fractures, de nombreux bleus et des souvenirs inoubliables au creu de son esprit, Dayton resta des heures seul dans cette ruelle, nu, recroquevillé sur lui-même, pleurant devant sa propre faiblesse. Lors de sa septième année, il ne fut plus aussi enjoué et gai que les années précédentes, se focalisant uniquement sur ses aspics. Et il reproduit le même schéma à sa sortie de l’école, durant cinq ans, il ne vit que son travail, occasionnellement ses parents, il se fichait de la guerre qui menaçait, de Voldemort qui grondait, des malheurs qui allaient s’abattre sur la ville. Il garda son emploi après la rumeur sur le retour de Voldemort mais fut contraint de faire des perquisitions dans les maisons de sang-mêlés soupçonnés de garder des nés-moldu chez eux. Il tut son statut de sang autant que possible jusqu’à ce que le ministère tombe entre les mains des mangemorts. Un soir, il fut contraint de quitter l’emploi qui signifiait tout pour lui et de s’enfuir aussi loin que possible pour ne pas être enfermé comme le né-moldu qu’il était.


Il vient tout juste de perdre son poste, son emploi, sa vie, tout ce qu'il possédait. Il sait que le ministère va débarquer chez lui et il a tout juste eu le temps de récupérer quelques affaires. Mais il va se faire surprendre et poursuivre jusqu'à ce qu'il atterrisse à la seule adresse qu'il connaît à ce jour, chez elle, cette fille qu'il a longtemps détesté et dont il a voulu se venger quelques années auparavant quand un accident l'a cloué sous ses soins à Ste Mangouste. Il pensait que la séduire, lui faire payer ses insultes le soulagerait mais rien ne se passait comme prévu et il s'est enfui comme un voleur après une nuit passée avec elle. Comment demander de l'aide à quelqu'un qu'on a détesté et qu'on a dupé ? La vie tranquille de Dayton semble définitivement terminée et il va se retrouver impliqué dans la guerre sans l'avoir souhaité.