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NOM : Granger. Si ce nom ne disait strictement rien à personne au départ dans son entrée dans le monde magique pour cause de son origine purement moldue, aujourd'hui il est connu sur toutes les lèvres. Prononcez le et vous aurez bien vite droit à une réaction  en retour. PRÉNOM(S) : Hermione, Jean. ÂGE : 19 printemps. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 19 septembre 1979 à Londres. STATUT DU SANG : Née-moldue, sang-de-bourbe, une traite qui ne devrait pas avoir droit de porter sa baguette entre ses doigts. Tout du moins, c'est ce qu'en pense les fervents supporteurs du règne établit, mais de son point de vue à elle, c'est tout autre chose. MAISON : Gryffondor. NIVEAU D’ÉTUDES : Elle a quitté Poudlard après sa sixième année et ne pourra sans doute jamais y retourner. EMPLOI : Fugitive, elle s'évertue néanmoins à trouver d'autres résistants, comme elle, qui cherchent à lutter contre Voldemort et ses sbires. LIEU DE VIE : France, côté moldu principalement, mais son statut de fugitive la pousse à voyager beaucoup et à ne jamais rester bien longtemps au même endroit. Ainsi, on la retrouve partout, en Écosse, en Angleterre et en Russie, voire même ailleurs. BAGUETTE : Sa baguette est en bois de vigne couplée à un ventricule de cœur de dragon. Elle mesure 28.2 centimètres, est très souple et trouve sa force dans les enchantements et les charmes. Hermione la détient toujours en sa possession. GROUPE : the wanted. CÉLÉBRITÉ : Emma Watson. CRÉDITS : tumblr.

A savoir sur ton personnage

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Elle se mordille la lèvre lorsqu'elle est en proie à une grande réflexion ◊ Ses sourcils et sa bouche sont le centre de l'expression de ses émotions sur son visage, bien que ce soit moins le cas depuis qu'elle a vieilli ◊ Déteste cordialement voler sur un balais  ◊ A toujours trouvé le cours divination foncièrement inutile ◊ Utilisait un retourneur de temps en troisième année pour suivre davantage de cours ◊ A obtenu la totalité de ses BUSES avec une moyenne d'optimal ◊ Elle est la plus brillante sorcière de sa génération ◊ Favorise énormément les sortilèges informulés en combat, elle les maîtrise depuis sa sixième année pour éviter que Ron et Harry copient sur elle en cours ◊ Ses parents déposent de l'argent dans un compte en France sans savoir que c'est pour elle, Hermione utilise l'argent pour survivre.


TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Un soleil couchant tombait sur le bord de l’eau. Hermione se tenait debout devant plusieurs amas de pierres qu’elle avait empilées pour en faire des semblants de tombes. Sur chacune d’elle était enfoncé un morceau de bois avec un nom gravé dessus. Un dernier hommage à ceux qui étaient morts durant la guerre, à ceux qui avaient combattu de leur vie une cause qu’ils avaient crue juste. Lupin… Tonks… Fred… Harry… et même Severus y avait trouvé sa place. Ainsi que bien d’autres à qui l’on n'aurait pas accordé d’enterrement convenable. Qu’avait-on fait de leurs corps ? Ça n’avait plus grande importance maintenant. L’eau de la mer allait et venait derrière elle, d’ici la tombée de la nuit, elle aurait emporté toute trace de son passage. Sa chevelure claquait dans le vent, son regard parcourant les noms embrouillé par les larmes qui coulaient sans gêne sur ses joues. À leur manière, ils s’étaient tous battus. Et elle ferait de même, comme elle l’avait toujours fait. Elle se battrait en leurs noms, pour que les sacrifices qu’ils avaient tous faits n’aient pas été en vain, car ce serait complètement injuste autrement. Certes, elle avait peur, c’était une entreprise risquée maintenant qu’elle était seule, voire même suicidaire, mais baisser les bras ne faisait pas parti de ses options. Hermione désirait changer les choses, reprendre le flambeau qu’Harry avait porté, non par droit, mais par devoir. Parce qu’il fallait que quelqu’un le fasse. Il fallait un emblème d’espoir dans ces temps sombres qui allaient suivre, pire que ceux connus précédemment. C’était ce rôle qu’elle souhaitait endosser à présent.

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : Appelez moi Pheobe TON ÂGE : 22 ans PAYS : Du Québec TU AS TROUVÉ PI PAR :Je voguais de partenariat en partenariat et j'ai fini par tomber sur votre forum TON AVIS SUR PI : J'adore, il est génial, sinon je ne me serais pas inscrite DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : Non merci ! UN DERNIER MOT : Mais moi je vous aime, me faites pas mal

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Harry Potter est mort.
La nouvelle résonne comme un coup de tonnerre, au beau milieu de la bataille, le temps s’arrête. Non, c’est impossible. Ton cœur ne fait qu’un tour dans ta poitrine, il s’arrête un bref instant, ton estomac se retourne. Non, ce n’était pas sensé arriver, ça ne devait pas se passer comme ça. L’espace d’une fraction de seconde, tout se suspends, tout se fige, l’idée fait rage et ravage. L’espoir s’évanouit. La lumière s’éteint. Harry Potter est mort. Tu aperçois son corps, toi qui est un peu plus loin dans la Grande Salle, il chute, lentement, trop lentement. Non ! Un cri franchit tes lèvres, la douleur te déchire de l’intérieur, sensation brûlante, étouffante, ta poitrine se sert, tu manques d’air. Ce n’est pas vrai. Mais si ça l’est, il ne faut pas te faire d’illusion. La moindre lueur s’évanouit, il ne reste plus rien. Plus rien auquel s’accrocher, plus rien pour lequel espérer. L’élu est mort, c’est terminé. Tout tourne trop rapidement, la bataille refait rage, mais tu es sourde, sourde aux hurlements, sourde au danger, ton regard reste logé sur le corps inerte de ton meilleur ami, il ne bouge plus. Réveille toi, je t’en supplie. Mais il ne frémit pas. Aucun battement de paupières, aucun doigt qui remue, il est inerte. Tu sens tes jambes se dérober sous ton poids, mais tu ne tombes pas, une force muette te maintient debout. Un courage sourd qui gronde au plus profond de ton être te somme de rester sur tes pieds et de continuer à te battre. Le bruissement d’un sortilège qui te frôle s’abat juste derrière toi, faisant exploser la pierre. Tu te meus enfin, extirpée de ta torpeur, tes sens reprennent leur droit. L’immobilité est la pire chose qui soit en ce moment. Réveille toi et bas toi.  C’est l’heure, la mort résonne, mais pas pour toi, pas aujourd’hui, pas maintenant, tu as trop encore à faire. Ton esprit redevient clair, il roule à cent milles à l’heure. Balayant du regard, cela t’informe de la mauvaise posture de l’Ordre du Phénix et des résistants, vous perdez du terrain, vous perdrez la bataille. Vos forces se font repousser. D’un mouvement de ta baguette, un sortilège fuse, abattant le mangemort qui t’avait attaqué plus tôt. Il faut partir, maintenant. RON. Ta voix hurle, portée à travers la cohue. Dans le feu de la bataille, vous vous êtes perdus de vue. Où est-il ? Ton regard le cherche, désespérément. À travers le chaos le plus total, tes jambes te portent plus loin, tu cours à en perdre haleine. Tout est flou, trop flou, distinguer des visages dans toute cette confusion est tâche ardue, voir impossible. Des cris de douleurs, des hurlements de désespoir, le silence de la mort, tous ces bruits t’étourdissent, mais tu ne t’arrêtes pas et continues de l’appeler à travers les combats qui font rages. Puis, finalement, vos regards se croisent, il est à quelques mètres seulement. RON ! L’éclat d’un sort résonne à côté de toi, te manquant de peu. Tu contre-attaques et rates ta cible. Des explosions retentissent, assourdissantes. L’une d’elle te projette plus loin contre les amas de pierres. Tu perds ton ami de vue l’espace d’un bref instant. Mais il n’est pas bien loin, juste sur ta droite. Avec difficulté, tu tentes de te redresser, tendant ta main vers lui. Il fait de même, mais une fois de plus, un sortilège vous sépare, vous forçant à vous mettre à l’abri chacun de votre côté. Ils vous ont pris pour cibles, vous, les amis proches de l’élu. Il faut éliminer toute la résistance. Tu n’arrives pas à le rejoindre. Mais le temps presse. Ils vous ont coincés, cernés, entourés, pas d’issue de secours. Vos yeux se croisent une dernière fois et alors qu’un sort te vise, tu transplanes.

Un hurlement de douleur déchira la forêt silencieuse, alors qu’Hermione s’effondra sur le sol encore humide de la nuit passée. Un soleil rouge s’élevait sur l’Angleterre qui était maintenant en deuil d’un grand héro. Les bras de la jeune sorcière s’étaient refermés contre sa côte droite où le sortilège du mangemort l’avait frappée au moment où elle transplanait. Elle s’effondra au sol, les mains tremblantes et couvertes d’un liquide rouge écarlate. La respiration sifflante, des larmes montèrent dans ses yeux, coulant le long de ses joues blanches. Ses épaules étaient secouées par le soubresaut de ses sanglots, causant une décharge de douleur lui déchirant l’abdomen à chaque fois. La blessure n’était pas mortelle, loin de là, seulement terriblement souffrante, bien qu’elle n’égalait en rien la peine qui lui déchirait le cœur à ce moment. Seule, perdue, blessée, la panique gagnait peu à peu du terrain, alors qu’elle laissait submerger les émotions qu’elle avait maintenues durant la bataille sortir en flot. La fugitive eut néanmoins la présence d’esprit de dresser des barrières magiques pour se protéger d’éventuelles surprises non désirées. Certes, il était clair qu’on ne partirait pas à sa recherche à l’instant présent, mais ça ne saurait sans doute tarder. Qu’était-il advenu de Ron ? Avait-il réussi à fuir ? Avait-il été tué ? Ou pire encore, capturé. Cette dernière idée la répugnait profondément. Elle aurait préféré le savoir mort plutôt qu’entre les griffes de ces mangemorts à lui faire elle ne savait quoi. Recroquevillée, Hermione sombra dans un profond sommeil, lourd, sans rêve, mais ô combien réparateur pour son corps à qui elle en avait trop demandé ces dernières heures. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, la nuit était tombée, fraîche et silencieuse. Sa blessure avait commencé à coaguler, mais était encore un peu à vive. La jeune femme se redressa péniblement, les yeux gonflés par le chagrin, la mine basse. Sa poitrine était lourde, ses épaules affaissées, un poids pesait dorénavant sur elle. Combien garderait l’espoir et la force de continuer le combat ? Combien serait encore prêt à s’opposer à Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom ?  Ils étaient si près du but, si près de réussir cette mission. Mais Voldemort avait gagné. Une rage gonfla en son intérieur et elle serra les poings avec force. Ça ne pouvait pas ce terminer comme ça. C’était tout simplement absurde. Son regard se leva vers le ciel, des nuages obscurcissaient les étoiles et la lune. Elle devait continuer son combat, c’est ce qu’Harry aurait voulu, c’est ce qu’il aurait souhaité, c’est ce qu’il lui aurait dit de faire. Cependant, l’idée de rester en Angleterre, surtout avec ce qui allait suivre, était suicidaire. Elle devait prendre du recul, rassembler ses forces pour un moment, s’effacer du monde sorcier. Mais où ? La réponse lui vint d’elle-même, tout naturellement. La France.


C’était risqué, Hermione. Interpellée redressa la tête vers Neville. Un filet de sang s’écoulait de la lèvre fendue de la jeune sorcière. Quelques ecchymoses parsemaient sa peau et la poussière siégeant sur ses vêtements témoignaient d’une rencontre mouvementée quelques heures plus tôt tout au plus. Elle s’épongea la lèvre inférieure d’un tissu pour essuyer le sang, le regard toujours plongé dans celui de son ami. Si on ne risque pas, on n’obtient rien. L’expression du garçon se fit presque grave. Bien loin est la jeune fille en manque de confiance qui se camouflait derrière ses connaissances, passant pour la miss-je-sais-tout par peur d’avoir tort et par insécurité. Certes, elle n’abandonnait pas son intelligence et son désir d’apprendre et de connaître davantage, mais elle n’en faisait plus sa façade. Les yeux d’Hermione brillaient d’une lueur assurée, elle avait bien changé depuis la mort d’Harry, mais qui ne l’avait pas fait ? Tu as des nouvelles de Ronald ? Sa voix s’était faite toute petite, presque coincée et emprunte d’une inquiétude non camouflée. Neville hocha doucement la tête. Non, désolé. Les sourcils de la jeune sorcière se froncèrent en une expression d’angoisse plus prononcée. Voilà quatre mois qu’elle ne l’avait pas revu, depuis la bataille de Poudlard. La rouge et or se releva de sa chaise, s’éloignant vers la fenêtre en jetant un regard discret vers l’extérieur. Cette résidence moldue ne les couvrirait pas bien longtemps. Des nouvelles de Luna, alors ? Georges, Sean, Ginny, n’importe qui ? Sa voix s’était voulue plus insistante qu’elle ne l’aurait souhaité, mais l’absence d’information de la part de ses amis l’emplissait d’une grande appréhension. Ginerva, comment se portait-elle depuis la mort d’Harry ? C’était sans doute celle qui en était le plus affectée. Neville répondit à la négative une fois de plus. Non, rien. Tu es la première que je revois. L’air de la jeune femme devint plus triste, elle craignait le pire. Où pouvaient-ils tous bien être ? Une question qui demeurait sans réponse, mais elle saurait la trouver un jour ou l’autre. Plusieurs membres de l’Ordre se sont rendus à l’autorité du Ministère. Cette nouvelle la surprit, bien qu’au fond ça n’avait rien d’étonnant. Plusieurs avaient perdu tout espoir suite à la mort de l’élu. Elle ne pouvait pas leur en vouloir de rendre les armes, d’aspirer à une vie plus tranquille que celle de fugitif. Crois-tu que Ronald et les autres sont… morts ? Sa voix s’était brisée à cette seule idée. Pourtant, ce n’était pas la pire chose qui soit en ce bas monde aujourd’hui. Neville s’approcha, posant une main maladroite sur l’épaule de sa comparse, se voulant rassurant. Non, ce sont des battants, ils sont coriaces. Comme toi et moi. Un pâle sourire s’afficha sur le visage chagriné de la née-moldue. Oui, il avait sûrement raison. C’était simplement difficile dans leur fuite à chacun de se contacter les uns les autres, d’autant plus que personne ne savait où les autres se trouvaient. Hermione sauta au cou de son ami, l’étreignant avec force. Elle avait bien besoin de ça. Et Ron lui manquait terriblement. Je dois y aller. On se revoit bientôt, d’accord ? Et essaie de rester en vie. Il hocha doucement de la tête. Toi aussi. Elle le gratifia d’un sourire et se dirigea vers la sortie. Au moment où elle vint pour passer le cadre de porte du salon et s’engouffrer dans le vestibule, la voix de Neville résonna derrière elle. N’oublies pas de garder espoir, Hermione. La demoiselle s’arrêta dans son allée, détournant la tête vers lui pour l’observer un moment, silencieuse. Non, je ne baisse pas les bras. Ce n’est pas mon genre de faire ça. Il lui sourit en retour et elle disparut derrière la porte d’entrée.


La forêt silencieuse en cette nuit fraîche d’automne était plongée dans la noirceur. Un feu crépitait à quelques mètres d’Hermione qui avait étalé autour d’elle différentes coupures de la Gazette du Sorcier. Sur les pages du journal s’affichaient en gros titre les événements importants des derniers mois. VICTOIRE DU SEIGNEUR DES TÉNÈBRES ; EXÉCUTION DE MASSE DES RÉSISTANTS ; DESTRUCTION DE GODRIC’S HOLLOW ; PROJET TICKNESSE ; LOI BLOODSTREAM ; PROCLAMATION OMBRAGE ; ASSASSINAT DU MINISTRE RUSSE ; ÉVASION À NURMENGARD. Des images de chaque article se mouvaient, dévoilant les détails importants sur quelques secondes d’imageries animées. Un air sérieux sur le visage, elle n’entendit pas une personne s’approcher derrière elle. Tu ne devrais pas te torturer avec ça. La voix chantante de Luna avait résonnée dans le silence, extirpant la rouge et or de sa torpeur. Hermione se retourna vers son amie qui l’observait la tête penchée sur le côté. La serdaigle avait raison, même si elle refusait de se l’avouer. Je sais… mais j’ai besoin de savoir ce qui se passe dans le monde sorcier… Son regard parcourut une énième fois les coupures étendues autour d’elle, sentant les yeux de la blonde la fixer avec intensité. Mais ça fait plus d’une heure que tu les parcours sans cesse, ne crois-tu pas que tu le sais suffisamment ? Observa la plus jeune de son air lunatique. Elle paraissait moins perceptive à vue d’œil, pourtant, ce n’était pas le cas, la brune l’ayant appris à travers les années. La gryffondor soupira doucement, empilant les feuilles avant de les ranger dans son sac. Oui, tu as sans doute raison. Le sourire de Luna en dit long lorsque son aînée s’autorisa enfin à la rejoindre près du feu crépitant pour manger. Voilà quelques jours qu’elles voyageaient ensembles, après s’être croisées au détour des rues moldues de Londres. Si Hermione restait habituellement en France pour sa sécurité, il lui arrivait d’aller en Angleterre notamment pour s’informer de ce qui s’y passait, mais aussi pour retrouver ses amis dont pour plusieurs elle n’avait toujours pas eu de nouvelles depuis la bataille de Poudlard. L’attente était terrible dans ces cas là. Toutes ces lois instaurées auxquelles la née-moldue avait refusé de se plier. Son visage n’était pas inconnu, n’importe quel sbire de Voldemort la reconnaîtrait d’un seul coup d’œil et l’abattrait sur le champ. Avec un peu de chance, on la tuerait rapidement, mais autrement, on pouvait tenter de la capturer vivante et de la torturer pour avoir de l’information. Cette simple idée ranima une douleur dans son avant-bras gauche, là où Bellatrix avait gravé au couteau sang-de-bourbe dans sa peau. Souvenir horrible qu’elle tentait au mieux d’oublier. La nuit était bien avancée et la rouge et or n’arrivait pas à avaler ne ce serait qu’un seul morceau. Son estomac était noué et elle tombait de sommeil. Tu devrais aller dormir, je vais prendre le premier tour de garde. Le regard d’Hermione se redressa, extirpé de ses pensées troubles et elle hocha la tête en signe d’approbation. Elle avait besoin de repos. Ainsi, d’un pas lourd, la brune regagna la tente et se glissa dans son lit pour sombrer dans un sommeil agité. Quelques heures passèrent, puis une main vint l’extraire de sa sieste, c’était Luna. Des exécuteurs. Elle avait parlé à mi-voix et la rouge et or s’était redressée, sortant de l’abri à la suite de la serdaigle. Leur protection faisait un certain périmètre et elles marchèrent un cours moment avant d’apercevoir au cœur de la forêt un groupe d’hommes marcher silencieusement. C’étaient des rafleurs ou l’équivalent de aujourd’hui, ils avaient à peu près la même tâche de ce que la gryffondor savait. Ils ne peuvent pas nous voir, ni nous entendre.  Son regard marron suivait le mouvement des formes au travers des arbres, redevenue silencieuse. Mais ils peuvent nous sentir. Les yeux d’Hermione se posèrent sur sa comparse et léger sourire amusé traçant ses lèvres. Ils n’ont pas cette capacité, Luna. Les loup-garou sont chassés tout comme nous, il n’y en aura pas parmi eux. En disant cela, elle s’était rappelée d’une scène semblable il y a pratiquement un an de cela. Lorsque Fenrir avait ressenti l’odeur de son parfum malgré la barrière de protection. Sa nature faisait sans doute en sorte que ses sens étaient naturellement plus aiguisés, ce qui avait bien failli les trahir à l’époque. Mais ce genre d’événement n’adviendrait plus. Va te reposer, je monterai la garde. On bougera à ton réveil. Et à ces mots, Luna s’éloigna en gambadant vers la tente. Hermione reporta son attention sur le groupe d’exécuteurs qui disparaissait dans la noirceur de la forêt. Ils étaient peut-être là pour elles après tout, il fallait les garder à l’œil.


Son histoire précédent la bataille de Poudlard, on la connait tous, nul besoin de la raconter. Bien qu’elle vaille la peine d’être entendue, il va de soit. Il faut dire qu’aux côtés de Ron et Harry, elle a connu moult aventures et permis aux deux garçons de se sortir de situations tumultueuses grâce à ses connaissances et son intelligence, mais eux aussi la complétaient sur d’autres aspects en retour. Elle connut des hauts et des bas, des amours et des peines comme toutes adolescentes. Apprenant à grandir dans un monde où certains ne voulaient pas d’elle, Hermione apprit à faire sa place, à se faire à ce nouveau mode de vie qui la changeait grandement de son quotidien ordinaire chez ses parents. Ses géniteurs d’ailleurs qu’elle n’a pas revus depuis plus d’un an. Ils ont déménagé en Australie et ne savent pas qu’ils ont une fille. Ils ont même changé d’identité et si advienne qu’elle meurt, son charme est assez puissant pour conserver son effet et leur garantir une vie heureuse en dehors du monde sorcier. Ce n’est évidemment pas l’alternative qu’elle souhaite, elle préférerait retourner à eux et soulever le sortilège, reprendre une vie normale. Bien que ce ne soit nullement envisageable en ce moment. Si autrefois elle vivait pour réussir ses études, aujourd’hui elle vit pour survivre et combattre un règne d’injustice. Elle se refuse à remettre sa baguette et vivre parmi les moldus, autant lui couper un bras, cela ferait la même sensation. Son identité sorcière lui appartient et nul ne la lui enlèvera. Pas même une loi ou un mangemort.

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Tu as la classe, te voilà validé et même Voldemort il te fais une petite danse sexy, roh lala, trop de bonheur mon enfant. Comme tu es validé tu peux mater ce truc débile ou encore te préparer à envoyer des fringues à Harry parce que le pauvre quand même

Cependant, tu peux aussi faire un scénario si jamais tu en as l'envie, en faisant bien attention à respecter les quelques règles. Tu dois recenser ta famille, afin que toutes les familles soient bien répertoriée et si tu en as envie, comme ça, d'autres membres pourront rejoindre ta famille et vous pourrez passer des supers noëls tous ensemble. Pense également à remplir ton profil, ça parait peut-être secondaire, mais ça permet d'en savoir plus sur ton personnage, en un seul coup d’œil, alors c'est plus utile que ça en à l'air.

Ton personnage, s'il est à l'école, il pourra être préfet ou même rejoindre un club. S'il est adulte, il aura besoin d'un travail pour payer ses factures. Dur dur d'être un adulte. Tu pourras aussi bénéficier d'une capacité spéciale et d'un patronus si jamais du en à l'envie. Il est également temps pour toi de te trouver des liens parce que c'est mieux d'avoir des liens sur un forum rpg quand même. N'hésite donc pas à en demander. Bien sûr tu pourra aussi gérer tes rps parce que le rp c'est important sur un forum rp, sinon, on appellerait pas ça un forum rp, CQFD. En plus de tout ça, tu pourra faire gagner des points à ta maison, que tu sois encore étudiant ou non et, que la meilleure maison gagne les petits.

Voilà, donc, maintenant que tout ça c'est fait, il ne faut pas hésiter à rejoindre le flood, c'est très bien pour l'intégration, ça permet d'apprendre à connaitre les gens et finalement de s'intégrer dans la communauté, ne soit pas timide, on n'a jamais mangé personne. Mais si tu as trop peur, nous comprenons, et des parrains et marraines tout gentils sont mis à disposition pour t'aider, il suffit de demander

Enfin, je crois Pour aider prior incantato, mais aussi parce que ça t'aidera à remporter des points, tu peux voter sur les tops sites, mais aussi nous laisser un mot doux sur bazzart.

Nous te souhaitons encore la bienvenue sur PRIOR INCANTATO, en espérant que tu te plaises parmi nous. Si tu as le moindre soucis, n'hésite surtout pas à contacter le staff du forum qui est bien entendu à la disposition de ses membres