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NOM : blackheart, le nom de son père évidemment, un nom qu'il porte avec fierté, son père était un grand homme, il le sait bien, même si contrairement à sa soeur, il a eu moins de difficulté à accepter la mort de ce dernier ; ce nom est à présent la seule chose qui lui reste de son paternel. PRÉNOM(S) : il répond au prénom de viserys, un prénom simple, qu'il est la premier à porter dans la famille, heureusement, il a horreur de cette lubie qui consiste à recycler les prénoms des ancêtres. Son second prénom est ramsay, encore un prénom qui n'appartient qu'à lui dans la lignée, ses parents préféraient l'originalité au recyclage. ÂGE : il est âgé de trente-quatre ans, la trentaine déjà bien entamée, il pensait presque qu'à cet âge, il aurait déjà une vie bien construite, au lieu de ça, il ne reste de cette vie qu'il s'était forgée que des cendres. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : il est né dans l'hôpital de sainte mangouste à Londres, un hôpital qu'il déteste pour y avoir passé définitivement trop de temps quand sa mère était malade. Il est né le 18 décembre 1964, un jour particulièrement neigeux d'après sa mère. STATUT DU SANG : ses deux parents étant tous les deux des sorciers de sang-mêlés, ce qui fait de lui, également un sorcier de sang-mêlé, un statut de sang comme un autre à ses yeux ; il n'a jamais fait parti de ceux prêt à juger autrui sur leur sang. MAISON : c'est dans la maison des poufsouffles qu'il a fait ses études. La maison des loyaux, une maison dans laquelle il s'est toujours senti à sa place pour de nombreuses raisons. Indéniablement à ses yeux, il s'agit de la meilleure maison de Poudlard. NIVEAU D’ÉTUDES : il a terminé ses études depuis un moment déjà, il a fini avec neuf buses et neuf aspics, ce qui correspond à la totalité des matières qu'il a passé, il n'était pourtant pas le plus brillant des étudiants, il n'a d'ailleurs obtenu que très peu "d'optimal". EMPLOI : avant la guerre, il appartenait à la police magique, au sein du ministère de la magie. Depuis sa récente sortie d'Azkaban il travaille comme vendeur dans la papeterie magique : scribbulus everchanging inks, sur le chemin de traverse. LIEU DE VIE : il vit actuellement dans un appartement se situant à londres moldu, il vit donc en Angleterre, c'est dans ce pays, qu'il a de toute façon, toujours vécu. BAGUETTE : il possède une baguette en bois de tremble un bois blanc élégant adapté à sa détermination, son coeur est formée d'une plume de phénix, elle mesure vingt-huit centimètres et est rigide, elle est spécialisée dans la magie de combat. GROUPE : the fallen. CÉLÉBRITÉ : josh dallas. CRÉDITS : tumblr.

   A savoir sur ton personnage

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il s'est toujours beaucoup intéressé au monde des moldus, aujourd'hui c'est un univers qu'il connait très bien certainement parce qu'il était fiancé avec une moldue, enfin même avant ça c'était un monde dans lequel il était très à l'aise ◊ il a toujours rêvé d'une vie simple mais heureuse, une famille idéale, des enfants, rien qui puisse être compatible avec la guerre qui déchire son pays et son monde. ◊ c'est un très bon cuisinier, il a tout appris avec sa mère, même s'il est persuadé d'être incapable de faire les choses aussi bien qu'elle, cependant, il est bien plus doué en cuisine qu'on pourrait le penser en le voyant pour la première fois. ◊ après ses études à Poudlard il a suivit est entré au ministère de la magie, il a rejoint la police magique peu de temps après ça et il y travaillait depuis une dizaine d'année avant d'être déclaré mort, certainement dans l'exercice de ses fonctions, c'est un métier à risque après tout. ◊ il est souvent surnommé Rys, c'est sa mère qui a lancé cette mode et forcément, comme ça le faisait râler, c'est resté et maintenant, nombreux sont ceux qui l’appellent ainsi, pour son plus grand malheur. ◊ c'est un grand fan des beatles, certes c'est un groupe de musique moldu, mais ça ne l'empêche pas d'adorer ce groupe, il possède par ailleurs leur vinyles ◊ plus jeune, il était assez doué en quiddicth, il a joué dans l'équipe de poufsouffle en tant que poursuiveur, à cette époque là, il rêvait de devenir joueur professionnel et finalement, il a suivit les traces de son père en entrant au ministère de la magie, sans doute qu'aujourd'hui il aurait bien du mal s'il devait rejouer ◊ il a la fâcheuse habitude d'utiliser des sortilèges pour tout et n'importe quoi, le ménage, la vaisselle ou même un sortilège d'attraction pour ne pas avoir à se lever, il considère que la magie peut aussi servir à se simplifier la vie. ◊ il possède une pierre tombale à son nom dans un cimetière moldu à Londres, bien que son corps n'est jamais été retrouvé (en même temps forcément, comme il est vivant) tout le monde le croyant mort suite une mauvaise rumeur, on a pris la décision de lui rendre un dernier hommage. ◊ il a horreur des "ouvertures faciles" c'est jamais facile et il a tendance à persévérer pour essayer d’utiliser la prétendue ouverture facile, au bout d'un moment il craque et il se sert de sa baguette, mais il peut y rester longtemps sur son ouverture facile.

   TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Libéré depuis peu de sa cellule d'Azkaban, le sorcier n'apprécie pas du tout la situation actuelle. Il n'a pas voulu prendre part au combat, que ce soit du côté de l'ordre ou des mangemorts, persuadé qu'il était plus sage de sa part de protéger ceux qui lui étaient proches en ignorant les autres. Cependant, il n'a jamais été de ceux qui regardent l'horreur se produire sans oser agir et c'est à la fin de la guerre qu'il s'est fait prendre pour l'aide apporter à ceux qui - d'après l'actuel gouvernement - ne le méritait pas. Aujourd'hui, après de longs mois passés à Azkaban, il ne peut que constater que le monde qu'il a connu n'existe plus, qu'il ne s'agit que de ruines, tout comme la vie qu'il avait construite avant de terminer derrière les barreaux d'Azkaban, en définitive, la situation actuelle est bien amère à ses yeux, il ne reste plus rien de son ancienne vie.
   

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : sweet poison, anaïs. TON ÂGE : 15478254400 ans. PAYS : la forêt enchantée yeaaah. TU AS TROUVÉ PI PAR : c'est blue fairy qui me l'a filé. TON AVIS SUR PI : il est sexy   . DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : bha oui, bien sûr, je suis pas très à l'aise ici. UN DERNIER MOT : snow + charming   .

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Un soupire passa le seuil des lèvres du jeune sorcier alors qu’il fixait la pierre tombale en face de lui avec insistance. C’était celle de sa mère, cette merveilleuse femme qui s’était occupée de lui durant toutes ces années. Il était encore jeune, tout juste un adolescent entré à Poudlard quelques années plus tôt. Là bas, à Poudlard, tout semblait plus simple. Le château semblait être comme un cocon dans lequel rien ne pouvait arriver. C’était comme une bulle, loin du monde extérieur. Il fallait croire que dès que l’année était terminée, dès qu’il fallait quitter les murs sécurisant du château, tous les malheurs jusqu’alors arrêtés par cette bulle de protection se devaient d’éclater en plein visage. Bien sûr, il avait su que sa mère était malade, quand il trainait encore dans les couloirs de Poudlard, mais jamais il n’avait imaginé qu’il l’enterrerait à la fin de l’été. Sa mère était son principal repère dans ce monde. C’était avec elle qu’il avait grandi, il avait son père aussi, mais après leur séparation quand il n’était encore qu’un gamin, il était resté avec sa mère. Il avait continué de voir son père bien-sûr et il aimait ce dernier de tout son cœur, mais la complicité n’était pas la même. Souvent, Viserys avait eu l’impression qu’il n’y avait que sa mère et lui, qu’ils étaient seuls à devoir s’en sortir, alors que son père s’était remarié, qu’il avait fondé une autre famille, dans tout ça, Viserys avait souvent eu l’impression que lui et sa mère étaient laissés de côté. Pourtant, il aimait son père, il s’entendait bien avec sa belle-mère et tout comme eux, il s’émerveillait des moindres gestes que faisaient la petite Sage, sa demi-sœur qui n’était encore qu’une toute petite fille qui tenait tout juste sur ses deux jambes. Eux trois, ils étaient sa famille, ça ne faisait aucun doute, mais il le savait, ce ne serait jamais comme avec sa mère. Elle lui manquait déjà, elle lui manquerait probablement toujours. La maladie avait été foudroyante. Il avait passé l’été à son chevet à l’hôpital de sainte mangouste, il avait veillé sur elle avec attention, il l’avait soutenue, il avait prié en silence pour qu’elle s’en sorte, mais elle avait fini par mourir. Les médecins étaient dépassés, aucun remède qu’ils connaissaient ne leur avait permis de soigner sa pauvre mère. Elle était morte à présent, il ne le reverrait plus. Il appréhendait déjà la prochaine rentrée à Poudlard. Les nouvelles allaient vite dans le monde des sorciers tout comme dans celui des moldus, sans doute. Les gens seraient au courant pour sa mère et il n’avait pas envie de voir tous les regards compatissants posés sur lui. Il aimait Poudlard et il aimait tout particulièrement la salle commune de Poufsouffle, mais pour l’instant, il avait surtout envie d’être seul et de le rester un moment, ce qui était impossible, là-bas à Poudlard. Il n’avait pas franchement envie d’étudier – ce qui était le cas le reste du temps aussi ceci dit. Au moins, il lui restait le quidditch, c’était probablement la seule chose qui le motivait à retourner au château. Il n’était pas un très bon élève, plus connu pour enchainer toutes sortes de conneries que pour travailler avec assiduité, cela dit, il était très doué en quidditch et c’était un sport qui le motivait énormément. Ce serait sans doute un bon moyen d’évacuer tout ce qu’il avait sur le cœur. « Il est temps de rentrer Viserys. » Il senti la main de son père se poser sur son épaule. Il ne savait même pas depuis combien de temps il était là, le temps avait semblé passer si vite alors qu’en fixant cette pierre, il réalisait à quel point sa vie était brisée. Il hocha légèrement la tête avant de se retourner vers son père. Il avait raison, il était temps de rentrer ; de rentrer chez son père, chez sa belle-mère, chez Sage. Pas chez lui de toute évidence, s’adapter à cette nouvelle vie serait difficile, il le savait déjà.

« Celle là ? » Le sorcier se pencha pour regarder la bague que lui présentait son ami. Ils étaient à la recherche de la bague de fiançailles parfaite, depuis ce qui semblait déjà être des heures. Il voulait demander sa main à Octavia, c’était une idée qui trottait dans sa tête depuis un moment déjà. Octavia, il l’avait rencontrée plusieurs années plus tôt, quand il avait emménagé dans son nouvel appartement à Londres. Elle aurait pu n’être que sa voisine et pourtant, elle était devenue bien plus que ça. Il l’aimait, il voulait passer sa vie avec lui. Le simple fait qu’elle soit encore avec lui malgré qu’il lui ait annoncé qu’il était un sorcier semblait être pour lui, un signe que leur amour durerait pour toujours. Elle était une moldue et elle n’avait en rien pris ses jambes à son cou en apprenant la vérité sur lui. Il se souvenait de sa belle mère – aujourd’hui morte depuis quelques années – elle avait été une moldue elle aussi, pourtant, elle avait également accepté la magie de son père, tout comme celle de Sage ou même la sienne. C’était la preuve qu’après tout, il était possible pour les sorciers et les moldus de vivre à peu près en harmonie. Enfin, d’après le ministère, c’était encore un peu plus compliqué que ça. Ce serait sans doute toujours plus compliqué que ça. Faire profil bas face aux moldus serait toujours une volonté du monde de la magie. Enfin, tant que ça ne prenait pas des proportions démesurées comme Lord Voldemort l’aurait souhaité, des années plus tôt, tout irait bien. Penché sur la bague, le sorcier laissa échapper un léger soupire. Il n’était pas sûr. Il n’était sûr de rien. Ce n’était pas comme s’il était un grand habitué des demandes en mariages. Ces histoires d’amour jusqu’à présent, elles ne l’avaient pas mené bien loin. Octavia était la seule avec qui il était resté aussi longtemps, la seule avec qui il voulait passer le reste de sa vie. Il rechercherait la perfection dans un domaine qu’il était loin de connaitre. Le sorcier n’avait définitivement aucune connaissance en matière de bijoux et son ami qui était là pour l’épauler, n’en n’avait pas plus que lui. Tous les deux, ils étaient simplement en train d’exaspérer le pauvre bijoutier. « Je ne sais pas. » Son ami soupira à son tour, lui aussi, il commençait sans doute à en avoir marre. En cet instant, il aurait probablement souhaité ne jamais rencontrer Viserys dans les couloirs de Poudlard, ne jamais se lier d’amitié avec lui et ainsi, ne pas être là, à essayer de l’aider à choisir une bague de fiançailles, quand bien même ça semblait être une mission impossible. Depuis des années, ils étaient amis tous les deux, depuis Poudlard, ce château qu’ils avaient quitté depuis un moment déjà. « Ce serait plus simple si tu avais la bague de ta mère, y en a beaucoup qui font ça. » Il haussa les épaules, comme si sa remarque venait de résoudre le problème. Il n’en était rien, le problème était toujours bel et bien présent et sa réplique n’avait permis que de lui faire user de la salive. « Mes parents n’ont jamais été mariés, donc, ma mère ne m’a jamais légué de bague de fiançailles, désolé tu vas encore devoir perdre ton temps avec moi et mes bagues. » Du temps, ils allaient en perdre, ça ne faisait aucun doute, mais ça en valait la peine, c’était une demande en mariage qu’il voulait faire, ça avait son importance. Il voulait que ce soit parfait et ce serait parfait, même si, la bague idéale, il ne la trouva que quelques heures et quelques boutiques plus tard.

Enfin, il sortait de sa cellule à Azkaban. Il ne savait pas combien de temps il avait passé là-dedans, de trop nombreux mois de toute évidence. Il avait longtemps cru pouvoir échapper à la guerre et il l’avait fait, pendant tellement longtemps. Son problème, c’était qu’il n’avait jamais su rester aussi neutre qu’il l’aurait voulu. C’était pourtant une promesse qu’il s’était faite, penser à Octavia avant tout. Il avait essayé, mais la guerre était pleine d’horreur et il lui était impossible de rester aveugle à ces dernières. Il n’avait jamais prétendu appartenir à l’ordre du phénix, sans doute que ça aurait pu faire de lui un mauvais Blackheart, mais il s’était battu à sa façon, d’abord pour celle qu’il aimait, puis pour ceux qui en avaient besoin. Il avait aidé bien des personnes à échapper à la prison et c’était lui, qui avait fini par se retrouver au fond d’une cellule. Ce qui restait de lui à présent, c’était une pierre tombale au fond d’un cimetière. On l’avait dit mort, forcément, plus personne n’avait de nouvelles de lui, alors c’était plus simple de le dire mort plutôt que chercher où diable il pouvait être. Il y avait bien quelqu’un qui savait qu’il n’était pas mort. Mais il n’avait pas jugé bon de mettre un terme à la rumeur. La dernière chose qu’il lui avait demandé avant d’être enfermé à Azkaban, c’était de protéger Octavia, puisqu’il ne serait pas là pour le faire. C’était, d’après ces dires, ce qu’il avait fait. En le croyant mort, elle avait accepté de partir à l’étranger, loin de cette guerre et des dangers qu’elle comprenait, elle était plus en sécurité ailleurs, il avait bien raison sur ce point. Sans doute qu’elle ne serait jamais partie si elle avait su qu’il était toujours en vie, si elle avait su qu’en restant patiente, elle finirait par le retrouver. Mort, il n’y avait plus cet espoir, elle pouvait refaire sa vie, c’était ce qu’elle faisait, loin de lui, Merlin seul savait où. C’était probablement mieux comme ça. Il voulait qu’elle soit heureuse, même si elle n’était pas avec lui, il ne voulait que son bonheur et sa sécurité. Si elle s’était trouvé un autre mec, un moldu cette fois, elle ne pouvait qu’être d’avantage en sécurité. C’était mieux comme ça. Cette phrase, il ne cessait de se la répéter en espérant que ça aide à guérir cette plaie béante dans son cœur. Elle lui manquait. La vie sans elle était fade. Maintenant, il ne voyait plus que la guerre et ses conséquences, toutes ses visions qu’il avait voulu éviter quand elle avait été à ses côtés. Il lui avait répété tellement de fois que tout irait bien qu’il avait finie par s’en convaincre lui-même et pourtant, rien n’allait bien. Pour elle, il était mort, il lui avait pourtant dit de ne pas s’inquiéter, c’était raté de toute évidence. Il ne la reverrait probablement plus jamais et aller de l’avant sans elle, ça semblait bien compliqué. Il avait voulu faire sa vie avec elle, il avait eu tellement de rêves quant à leur avenir et tout n’était que poussière à présent. Leur histoire appartenait au passé et déjà, elle, elle se construisait un futur, un futur dans lequel il n’avait pas sa place. Mieux valait qu’il la laisse tranquille. Jamais il ne pourrait l’oublier. La revoir avait été son seul espoir, sa seule ancre alors qu’il sombrait au fin fond de sa cellule, mais à présent, même ça, il n’avait plus le droit d’y penser. C’était fini. La guerre était finie également d’après ce qu’on disait. Les mangemorts avaient gagné et ils avaient semé le chaos avec derrière eux. Ils avaient décidé que les histoires comme celle qu’il avait avec Octavia étaient, de toute façon impossibles. Les moldus, les nés-moldus, ils étaient devenus des personnes à ne surtout pas fréquentés, alors, même si elle avait encore été là, mais si elle avait continué de l’attendre, leur histoire aurait été impossible. Il n’aurait pas pu revenir vers elle sans risquer injustement sa vie. Au moins maintenant, ils n’avaient plus ce problème, il était mort à ses yeux, elle faisait sa vie avec un autre, ainsi, il avait une bonne raison de rester loin d’elle, une ultime façon de la protéger sans doute.