rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier
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Sujet: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:16
rhagnär fenrirgreyback
Avant de négocier avec le loup, mets- lui une muselière.x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
ft. vinnie woolston ◊ death eaters ✲ NOM :GREYBACK un patronyme tristement célèbre pour la réputation qui l'accompagne, pour cette tare présente dans les gènes de chaque membre de cette meute depuis des décennies, des siècles… sans doute depuis la création du clan. ✲ PRÉNOM(S) :RHAGNÄR issu d'un roi viking célèbre, d'une destinée des plus sanguinaires. FENRIR second du nom, quand le premier est sans aucun doute le croquemitaine de tout enfant sorcier qui se respecte. ✲ ÂGE :VINGT-SIX ANS et quelques mois. Rien de bien conséquent. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE :30 OCTOBRE 1971, LOCHINVER (Écosse) ✲ EMPLOI :APOTHICAIRE dans l'allée des embrumes. Il se murmure par ailleurs qu'il va lui-même chercher les plantes et autres ingrédients rares voire prohibés, et qu'il concocte certains philtres des plus compliqués. MANGEMORT à ses heures perdues. BOLVERK de sa meute, autrement dit, l'exécuteur de l'Alpha. ✲ STATUT DU SANG :MÊLÉ, magiquement s'entend, son père étant un lycanthrope, une créature maudite, tandis que sa génitrice n'est autre qu'une sorcière de sang-pur que l'on a ravit à sa famille pour engendrer une lignée transcendante. ✲ ANCIENNE MAISON :SERDAIGLE, l'esprit érudit qu'il est n'aurait put supporter la lâcheté des serpentards. ✲ SITUATION AMOUREUSE :CÉLIBATAIRE et à vrai dire, il ne voit pas cette situation changer de sitôt, considérant les sentiments comme une faiblesse. Aussi, l'on ne peut que souhaiter bien du courage à la créature qui oserait s'aventurer sur cette pente glissante.
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C'est une baguette bien spéciale que celle de Rhagnär, sculptée avec soin du bois d'un cyprès, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : sagacité, ténacité et indomptable sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en alchimie et potions. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un ventricule de sombral qui lui donne toute sa puissance.
L'avis de ton personnage sur VoldemortComme mon père avant moi, et comme tant d’autres, j’ai eu le tort de penser que le seigneur des ténèbres avait péri de l’innocence d’un enfant. Comme ceux-là, nous avons oublié, délaissé la marque, pour mieux se laisser surprendre. Un comble pour l’animal que je suis, capable de suivre son flair, son instinct. L’allégeance prêtée autrefois m’oblige à reparaitre à ses côtés, et à répondre à ses ordres. Néanmoins, je ne cacherai pas que gronder face à lui est l’une des choses que je rêve de faire, plus encore face à ce qu’il est devenu… Quant à ses idées, la principale est des plus attrayantes, bien que notre conception de pureté diffère, mon géniteur et moi-même étant les premiers à prôner la supériorité de notre race.
Ton personnage et l'Ordre du Phénix Je ne nie nullement le fait d’avoir admiré Dumbledore lors de mon enfance et adolescence, et remercie le directeur qu’il était de m’avoir octroyé une chance de rejoindre son école, néanmoins, et à mon humble avis, l’Ordre du Phœnix est à l’image des Mangemorts : une idée des plus obsolètes. Le Bien contre le Mal. Tout n’est que question de point de vue, et constater que ce soit disant ordre se constitue chevalier blanc est outrageusement amusant. Ces hommes, ces femmes, des fous qui viendront rejoindre trop rapidement les tombes du cimetière environnant. Des soi-disant héros, mais au fond, de simples victimes des idées de Dumbledore et du Lord.
Ton personnage et la situation actuelle Que voulez-vous que j’en pense ? La guerre est un fléau, une représentation parfaite de la nature humaine. Si l’ennui n’avait pas tant étreint mon paternel, mon Alpha, nous n’aurions eu aucun rôle dans la première partie de cette guerre, encore moins dans la seconde. A ne rien vous cacher, je me serai contenté de rester en amont pour mieux voir monter le tas de cadavres. Néanmoins, mon rôle est celui de mon père : mener la terreur à son paroxysme, une tâche amusante, un nectar délicieux. Alors oui, je suis satisfait de mon rôle finalement, puisque je peux observer l’horreur dans le regard des autres en première ligne. Quant à la suite des évènements… mieux vaudrait pour moi qu’elle se déroule du mieux possible, je n’ai guère l’envie de rejoindre une cellule d’Azkaban.
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‹various.whisper› ◊ 5j/7 de connexion ✲ PSEUDO : ‹various.whisper› ✲ PRÉNOM : — ✲ PERSONNAGE : inventé ✲ PAYS : France ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : bazzart ✲ TON AVIS SUR PI : bah depuis le temps que je veille… magnifique quoi. ✲ UN DERNIER MOT : l'apéricube vous GRRR.
Dernière édition par Rhagnär F. Greyback le Mer 27 Mar - 0:17, édité 8 fois
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:17
CHAPITRE 1 — l'enfant-loupx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
« Silence femme ! Tu ne feras pas de mon héritier un sorcier de bas-étage ! » Du haut de mes dix ans, j’observe la scène qui se déroule sous mes yeux. Comme à son habitude, ma génitrice se tient assise à table, droite et fière, comme son rang l’a toujours exigé, m’a t’elle un jour expliqué. Elle a beau être la captive de l’Alpha, elle n’en demeure pas moins une sorcière de haut-rang, une sang-pure destinée autrefois à bien mieux qu’à une simple union avec un barbare de loup. L’animal en question ? Mon père Fenrir Greyback, le croquemitaine de tout enfant sorcier, la terreur incarnée sous des traits humains. L’homme est aussi charismatique qu’effrayant, aussi dangereux que mutin. Pis que tout cela, il est l’Alpha de la meute, autrement dit, le chef du clan, celui a qui l’on doit respect. Les enfants l’admirent, le craignent… Quant à moi, son propre fils, en cet instant, il m’est préférable de me cacher de sa colère, sourde et tournée pour l’heure envers ma mère. Ce n’est là que le résultat de son idée d’antan, cette envie irrépressible de forger une lignée plus éminente encore que celle déjà existante. Un loup sorcier. L’idée a déjà été vue bien naturellement, mais pas chez les fiers Greyback, c’est pour cela qu’il s’est un jour entiché de la pensée de ravir une sorcière de rang bien supérieur au sien, d’en faire sa femme et ainsi de suite. Alors pourquoi cette colère ? « Il devrait être un loup depuis plusieurs mois déjà ! Sa dixième année est entamée !! » D’instinct, je me recroqueville dans ma cachette. Les yeux de mon paternel ont prit une autre teinte, bien plus sauvage, à l’image de l’animal qu’il vaut mieux sous aucun prétexte chercher à rencontrer. Je sais exactement de quoi parlent mes parents, quel est le sujet de discorde de ce couple des plus imparfait. Je suis un fils de loup, et comme mes camarades, mes cousins et autres enfants de notre meute, j’aurai dû depuis quelques temps déjà, hurler sous la lune ronde. Bien entendu, ce n’était pas le cas. A croire que les gènes de ma génitrice avaient eu raison de ceux du loup. « Et que comptes-tu faire Fenrir ? Mordre ton propre fils ? » Cette pensée m’arrache un frisson, à m’en glacer l’échine. J’ai déjà eu l’occasion de voir mon père exécuter cette sentence. Bien plus pour des ennemis que pour les siens. « C’est une possibilité, Heliana. » La fierté Greyback. Je préfère ne pas écouter la suite de la conversation, m’extirpe de ma cachette dans le plus grand silence, rampant jusqu’à l’escalier pour mieux monter dans ma chambre. Il y a longtemps que je devrais dormir, et l’idée ne me semble pas mauvaise finalement. La prochaine pleine lune pourrait être néfaste pour moi. La mort ou la malédiction.
Un autre jour, une autre menace qui tangue au dessus de ma tête. Autour de ma personne, d’autres enfants de mon âge courent, s’agitent, s’excitent ou s’inquiètent. La première nuit de la lune ronde est pour ce soir. Certains craignent le changement, d’autres n’attendent plus que de donner le contrôle à la bête et de courir dans les bois. Nous avons cette chance de vivre auprès d’une dernière parcelle de la forêt que l’être humain a détruite par son ambition, en plus d’être proche du loch Assynt et de la mer. De magnifiques endroits partiellement cachés aux moldus grâce à la magie. Il serait bien dommage de voir ces derniers rappliquer et succomber sous le croc acéré de ceux qui peuvent changer dès qu’ils le désirent. Comme mon père pour exemple. Mon étrange regard s’arrête un instant sur l’un de mes camarades qui tente d’attirer mon regard. « Eyh, Rhagnär ! J’ai entendu ton père en parler au mien. C’est pour cette nuit. » Un instant, mon regard se fronce, ma mine se fait sérieuse. Ce soir, Fenrir va renouveler son passe-temps favori : se transformer auprès d’un ennemi pour mieux le mordre et lui infliger la pire des malédictions au regard sorcier. A l’exception que l’ennemi de ce soir n’est autre que la chair de sa chair, le sang de son sang. Cela implique que je ne serais jamais un vrai loup, mais une forme s’en rapprochant. L’idée n’est guère plaisante, et je sens ma fierté atteinte au plus profond d’elle-même. Je ne demande pas mon reste, alors que je me dirige vers ma maison, cette imposante chaumière de bois qui surplombe toutes les autres. Comme j’ai ignoré mon ami, j’ignore aussi ma mère, cette femme au regard creux, bafouée et ignorée de son époux au profit d’une ambition démesurée, monte dans ma chambre et attrape le premier livre qui me tombe sous la main, noyant mes incessantes pensées et ma colère entre les lignes. Les heures défilent, la nuit se rapproche, mon destin de même. Je suis le fils de l’Alpha après tout. « UNE AUTRE NUIT FENRIR ! EST-CE TROP TE DEMANDER ? » Si je me suis endormi, la supplique colérique de ma mère me réveille, empêchant mon père de monter plus encore les escaliers pour venir me capturer. Son loup gronde, et pourtant, je l’entends redescendre les marches. Au fond, son attitude me déçoit, tout autant qu’elle me rassure. Je crains les crocs de mon paternel, et plus encore sa soif de sang, néanmoins, je sais aussi que ma génitrice ne pourra jamais retarder l’échéance plus longtemps. C’est un destin que de faire partie de cette meute. De ma fenêtre, je peux observer mon père quitter ce lieu, son regard famélique se retournant sur ma fenêtre, observant l’enfant que je suis pour mieux le regarder durement. L’homme est effrayant, et je ne doute pas un instant qu’il pourrait changer d’avis et me faire chercher par les deux hommes qui sont le plus proche de lui. Mais le loup déserte l’endroit, rejoignant la place à laquelle je ne peux accéder. La lune quant à elle, pointe déjà le bout de sa rondeur, et je peux déjà entendre les hurlements de ceux qui changent vite. Parmi eux, parmi les derniers, mes amis, qui possèdent cette chance de voir la liberté qui leur est offerte, quand je suis l’étranger, la tare. Mon regard vairon se fait mauvais envers cette amante qui me délaisse, la maudis intérieurement alors que je tourne les talons pour mieux retrouver mon lit. Et pourtant, que n’ai je fait trois pas qu’une douleur m’étreint le long des omoplates, me courbant l’échine alors qu’un cri de douleur s’arrache de mes lèvres, alertant sitôt la génitrice qui se précipite dans la chambre. A genoux, je l’observe, alors que je peux sentir mes os craquer, mon cœur s’exciter, et chaque fibre de mon être m’infliger la plus douloureuse des leçons. Mon corps se meure, et je peux le sentir se briser, m’obligeant à me tordre de douleur sur le plancher, alors que ma génitrice pleure à mes côtés, sans trouver de moyen d’apaiser mon mal, sans oser me bouger de place, quittant bientôt les lieux pour mieux fermer ma porte à clé. Je hais cette femme pour le peu de secours qu’elle daigne m’offrir, pensée balayée par une nouvelle vague atroce, un nouveau hurlement. J’ai l’impression de souffrir depuis des heures, quand mon regard se trouble, et bientôt, le monde change, m’obligeant à m’éteindre lentement, sans espoir de lutte. La bête prend la place de l’homme. Nulle cohabitation possible.
IL POSSÈDE DES YEUX VAIRONS, L'UN BLEU, L'AUTRE PARTIELLEMENT ROUGE, UN REGARD EFFRAYANT POUR LES SORCIERS ❖ SA MÈRE LUI FAISAIT L'ÉCOLE À LA MAISON ❖ SES POUVOIRS MAGIQUES SE SONT DÉCLARÉS LORSQU'IL AVAIT NEUF ANS, ALORS QUE FENRIR S'EN PRENAIT À SA FEMME ❖ C'EST EN NORVÈGE, PAYS D'ORIGINE DES GREYBACK, QU'IL EST ALLÉ CHERCHÉ LA PLUPART DE SON MATÉRIEL SCOLAIRE, NOTAMMENT SA BAGUETTE ❖ JUSQU'À SES DIX ANS, IL A EUT PEUR DE SON PÈRE, ET DE CE QU'IL POURRAIT FAIRE S'IL NE DEVENAIT PAS UN LOUP ❖ IL ÉTAIT DÉJÀ AMOUREUX DES LIVRES À CETTE ÉPOQUE ❖ IL N'A JAMAIS VRAIMENT CÔTOYÉ D'AUTRES SORCIERS DE SON ÂGE, PRÉFÉRANT LA COMPAGNIE DES JEUNES DE SA MEUTE.
CHAPITRE 2 — le clébardx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
Tu encaisses, seul un grondement franchit tes lèvres, alors que ton regard vairon, ce regard effrayant que tant d’autres craignent se portent sur l’ennemi, ce serpentard téméraire mais pas tant, puisque tu peux constater sans aucune peine qu’il n’est pas seul, mais bel et bien entouré de sa clique d’incapables. « Mais c’est qu’il montre les crocs le clébard ! Tu voudrais mordre hein ? » et pas qu’un peu. Tu peux sentir au fin fond de ton être cette envie virulente de lui montrer quel animal tu es. Bien pire qu’un chien, bien plus dangereux qu’un simple loup. Et pourtant, ici, à Poudlard, tu es aussi inoffensif qu’un louveteau. C’était la condition pour étudier dans l’école de Sorcellerie. N’est-ce pas Dumbledore lui-même qui est venu te trouver au fin fond de l’Écosse, affrontant calmement ton Alpha, Fenrir, assurant à ce dernier que tu es aussi sorcier que loup, et qu’il est donc de ton droit d’étudier dans son école ? Y croyais-tu seulement à l’époque ? Pas le moins du monde. Et pourtant, la lettre remise en main propre a balayé tous tes doutes. Et tu peux sans peine te souvenir de la fierté dans le regard de ta génitrice, cette étincelle que tu n’as que très rarement vu dans ses yeux saphirs. Néanmoins, ton entrée valait bien quelques recommandations et mises en garde. La moindre morsure consciente te vaudra une expulsion à vie et pis encore. Un détail qui n’est pas resté secret bien longtemps dans les couloirs de Poudlard, te valant bien des ennemis, ceux-là même qui n’étaient que peur et effroi lorsque tu as rejoint les rangs d’élèves sortis du Poudlard Express. Qui aurait put penser que Greyback le croquemitaine eut un fils ? Pas eux en tout cas. Et rapidement, tu es devenu la bête noire, le cauchemar de beaucoup d’entre eux, quand pourtant, tu te tenais seulement fier et désintéressé par leur chair tendre. Déjà à l’époque, tu savais que la solitude serait ta meilleure amie. Aujourd’hui, plus qu’une amie, c’est une confidente, une amante, la seule avec qui tu traines, mais elle ne peut guère t’aider en cet instant, alors que tu es devenu au fur et à mesure, le bouc émissaire de ces quelques faux téméraires, ces rancuniers de leur peur la plus secrète. Tu subis l’affront, conscient qu’un seul geste offensif te coûtera très cher, ils le savent bien, c’est pour cela qu’ils viennent te chercher, et plus encore la bête qui montre les crocs sous ta peau. Aussi, tu te relèves, une esquisse de sourire aux lèvres. Au fond, tu ne souffres pas franchement de la situation, tu n’en es que trop amusé, du haut de tes quinze ans. « Qu’est-ce qui t’amuses clébard ? » Vas-tu seulement répondre ? Assurément non. Sortir ta baguette ? Encore moins. Tu tiens à cet instrument de magie, et plus encore au symbole qu’elle abrite. Elle est ton salut, depuis le jour où tes parents t’ont accompagnés ensembles dans cette boutique de Norvège. Seul instant où ces deux-là se sont retrouvés sans rechigner, sans se chercher querelle, l’un et l’autre fier de toi, pour diverses raisons certes, mais dignes tout de même. Alors pour rien au monde tu ne voudrais te faire confisquer cet instrument de magie qui fait de toi un sorcier. Devant toi, le serpentard s’agace, son regard se fait mauvais, et le voilà prêt à agiter de nouveau sa propre baguette pour te lancer un autre maléfice qui te mettra à terre. Ici, personne ne viendra t’aider, ils ont aussi peur de toi que de lui, petit prince arrogant des verts et argents. Il faudrait être fou pour se mettre sur son chemin, au moins autant qu’il faudrait être suicidaire pour essayer de te sauver la mise. Ta fierté en prendrait un bien mauvais coup. Un acte que tu ne saurais pardonner. Mais voilà enfin le coup bas, t’obligeant de nouveau à t’incliner face au lanceur qui ricane, alors que tu grimaces, mimique cachée par ta chevelure brune un peu trop longue au goût de ta mère. Cette fois-ci, il est allé un peu plus fort qu’à l’habitude, ce qui ne t’empêche pas de laisser échapper un léger rire sarcastique, alors que tu te redresses, faisant de nouveau face à ton opposant qui s’apprête déjà à rétorquer à cette nouvelle situation. Ton regard est encore bas, et pourtant, à l’instant même où tu sens qu’il va rétorquer, voilà tes yeux vairons qui se redressent, s’immisçant dans les siens, appréciant avec délectation ce moment de recul. Tu sais ce qu’il voit : le côté sauvage de ta personnalité qui a décidé de ne plus tenir en place, quittant sa tanière pour mieux se glisser dans tes yeux vairons, rendant ton aspect plus effrayant encore qu’il ne devrait être, ta pupille rouge brillant d’une lueur sanguine, accentuant ce regard de véritable loup. « Tu… tu n’as pas le droit de mordre Greyback ! » Ah, la saveur la peur roulant sur ta langue, arôme délicat, alors que tu te rapproches de ton ennemi, savourant avec délectation le recul des autres. Des lâches bien entendu. « Aurais-tu peur Augustus ? » Il nie, et pourtant, tu peux sentir sa terreur, alors que ton instinct animal tourne autour de lui, le pousse dans ses retranchements. Tu profites de cet instant, car tu sais qu’il ne durera pas. Ton côté bestial n’aspire plus qu’à sortir et se venger de l’affront ? Toi, véritable lycan, il t’est aisé de perdre le contrôle en dehors des pleines lunes, ton paternel lui-même le perd bien souvent, son visage se figeant sous un côté hybride de sa nature. Pourtant, tu n’es pas comme lui, tu ne laisseras pas la bête avoir le dessus et former ta personnalité à sa guise. « Considère cela comme un avertissement Gus, tu ne resteras pas éternellement à Poudlard, et les vacances sont proches… Un simple hasard dans l’allée des embrumes… » Tu ne finis pas ta phrase, achevant cette dernière par un simple grondement animal, alors que tu te détournes et ramasse tes affaires, le regard toujours animal, fixé sur le sol, tandis que tes pas te mènent dehors, vers la cabane du garde-chasse où seule une personne saura suffisamment t’aider à retrouver ta parcelle humaine en entier. C’est là ton lot quotidien, garder le contrôle, subir, et te montrer des plus patients.
A tes yeux, elle est la plus délectable des créatures, et pour cause, certainement l’une des plus jolies filles de Poudard, et bien mieux encore, volée à ton meilleur ennemi, celui qui cherche encore à avoir l’ascendant sur ta propre personne. Le jour où ce serpentard de malheur apprendra la chose, sans doute tentera t’il d’arracher ta peau de loup, pour l’heure toutefois, tu préfères penser à de bien meilleurs moments, tes doigts dérivant le long de sa cambrure, tes lèvres savourant les siennes. L’instant est particulier, luxurieux, à quelques heures de la pleine lune et de la sensation de liberté. Un soupir s’échappe de ses lèvres, tandis que tu t’efforces de mordiller la chair tendre de son cou, que le reste de ton corps s’active à la combler comme il se doit depuis plusieurs mois déjà. Enfin, tu parviens à tes fins, et la laisse s’échapper de tes bras alors que toi, ton regard se reporte sur le plafond, puis sur la fenêtre qui laisse passer l’air et te permet de constater de l’avancée de la nuit. « Tu ferais mieux de rentrer au château. » Laisses-tu échapper sous un ton aussi doux que ferme. « D’autant plus qu’il me semble que tu devais réviser une certaine leçon d’histoire que… » tu n’as guère le temps d’achever ta phrase, que déjà la créature te chevauche, ses lèvres emprisonnant les tiennes pour t’inciter à te taire. « Tu parles de cette leçon que tu devais m’aider à apprendre ? » Un rire franchit tes lèvres, alors qu’elle te rappelle avec taquinerie ce fait qui vous a conduit à être amants. N’étais-tu pas seulement censé l’aider en l’approche des ASPIC ? Et pourtant, chacune de vos rencontres pour ce faire se solde depuis trop longtemps par une approche plus charnelle. Regrettes-tu ? Bien sûr que non. La perspective de ravir tout ce qui tient à cœur à Augustus Ferwood est une délectation en soi, et un sentiment de supériorité mêlé à l’instinct de vengeance. Et comme si la belle devinait tes pensées, la voilà qui attise de nouveau ton désir, jouant de ses atouts avec une certaine assurance que d’autres ne possèdent nullement. Et si tu y réponds malgré toi, tu sais pertinemment qu’il n’est plus l’heure de la badinerie, la plus fatale se faisant trop pressante. « Callie… C’est pas franchement le moment… » Elle rit, alors qu’elle se fait dompteuse, t’arrachant un râle de bien être qu’elle étouffe sous ses lèvres. « Alors retiens ton loup Rhagnär. Encore un instant… avant que je ne rejoigne Augustus. » Cette simple pensée te met déjà dans une certaine rage, alors que tu inverses la situation, te faisant dominant, comme toujours arrachant à cette dulcinée toute la passion qu’elle possède. Tu n’es guère prêteur, et il s’avère hors de question qu’elle pense à un autre lorsqu’elle est avec toi. Ainsi tout loup fier est. Et alors que vous atteignez enfin ce nouveau paroxysme, ta bête réclame son dû, t’arrachant un grondement des plus réel, t’incitant à repousser la belle qui partage ton lit. « C’est l’heure Callie ! Il faut que tu partes. » Le ton que tu emploies n’est plus aussi suave et doux, mais bel et bien ferme et brutal, car voilà que tu t’éloignes de l’amante, faisant craquer ton cou, alors que d’autres os se brisent d’eux-même. Néanmoins, si tu ressens la douleur dans tes entrailles, elle est bien moins brutale qu’autrefois, l’habitude ayant fait son œuvre. Ton regard a déjà changé, alors que tu te trouvais dans les bras de ta dulcinée, le reste ne tardera plus à arriver. Quant à elle, voilà son regard inquiet, puisque c’est bien la première fois qu’elle assiste à une transformation. Inquiète parce qu’elle voit ton corps changer, effrayée, parce qu’elle est encore là. Mais voilà que tu portes déjà le regard sur elle, ton instinct animal prenant peu à peu le dessus sur tout le reste. « Tu ferais mieux de courir. » Une mise en garde, au même titre que l’excitation du prédateur sur sa proie, tes pensées sont mélangées, alors que tu peux déjà voir la verte et argent se hâter, enfilant ses vêtements à la hâte, avant de commencer à courir dans les couloirs de la cabane hurlante. Tu hais cet endroit, qui t’inflige une semi-liberté, ne te laissant que le loisir de parcourir ce lieu sous ta forme animale. Un grincement, et déjà ton loup sait exactement où se trouve la proie à chasser. Mais voilà qu’à mesure que les minutes s’écoulent, tu perds ta conscience, jusqu’à ce que ta crispation de douleur ne laisse place à un hurlement bestial, une ode à la lune. Loup y es-tu ? Voilà que l’animal s’ébroue, le cliquetis de ses griffes laissant à penser qu’il avance, son flair s’attardant sur les différentes odeurs de la pièce dans laquelle il se trouve. Son pelage est blanc, trempé, l’obligeant à se débarrasser de nouveau de cette désagréable sensation, avant qu’il ne se mette en chasse… Car l’une des odeurs, alléchante, s’est attardé sur les lieux. Son oreille se tend, et le voilà qui déjà s’invite dans les couloirs de ce lieu qu’il ne connaît que trop. Il n’a qu’à suivre les grincements plus intenses qui lui indiquent où sa proie se trouve. Le grondement franchit sa gorge alors qu’il se rapproche, la chasse plus excitante que jamais. Là, face à lui, sa victime, sa proie, recroquevillée dans un coin, le cœur aussi affolé que tremblant. « Rhagnär, je t’en prie, c’est moi… » Mais l’animal n’écoute pas, ses babines retroussées sur ses crocs, grondant férocement contre l’étrangère se trouvant sur son territoire. Il veille sur chacun de ses gestes, aspire à ce qu’elle se relève et se mette à courir, accentue la pression en avançant d’un pas, puis deux, traçant un demi-cercle autour d’elle, aboyant de temps à autre pour sentir sa terreur augmenter. Enfin elle esquisse un geste, et il n’a guère le temps de comprendre que déjà un éclair rouge cherche à s’abattre sur lui, l’obligeant à esquiver et perdre la trace de sa proie, quand cette dernière s’est relevée et s’est mise à courir. L’excitation est à son comble, alors que le loup reprends sa traque, retrouvant finalement sa proie, étirant ses membres pour mieux lui sauter à la gorge et savourer le liquide chaud et ferreux couler dans sa gorge, tachant son poil blanc. Quant à l’œil rouge qui le caractérise, le voilà déjà brillant d’une lueur sanguinaire.
Ce n’est qu’à l’aube que tu constateras de ton méfait, ton regard indifférent s’attardant sur le corps sans vie que ta bête à laissé trainé dans un coin. Elle ne s’est pas contentée de mordre, mais de jouer avec sa proie, de la meurtrir et de la tuer sauvagement. Tu n’éprouves que peu de choses, rien qui ne te soit douloureux, elle n’était qu’un passe-temps, une conquête pour ennuyer ton ennemi. Ce que tu trouves dommage en revanche, c’est qu’elle ne pourra plus témoigner lorsque tu iras narguer le serpentard en question. Tu soupires, puis avances, prêt à regagner le château pour la dernière épreuve des ASPIC. Néanmoins, ta conscience t’incite déjà à trouver Dumbledore pour lui annoncer le décès prématuré d’une étudiante. Au pire, il ne te laissera pas finir ton examen, cette pensée-là en revanche, t’inquiète, alors que tu avances dans le parc de Poudlard, après avoir sommé le Saule Cogneur de rester immobile. Voilà l’homme que tu cherches, et déjà tu cherches à lui parler. « Plus tard Mr. Greyback. L’épreuve de Botanique va commencer, et vous allez être en retard. » Un tour du destin peut-être ? Voilà ta chance, saisis-là, après quoi, tu conteras l’absence de remords, alors que dans cette cabane de bois, tu as laissé un cadavre commencer à pourrir.
ÉRUDIT, IL A INTÉGRÉ LES RANGS DE SERDAIGLE, SE MONTRANT L'UN DES MEILLEURS ÉLÈVES DE SA PROMOTION ❖ IL ÉTAIT PLUTÔT SOLITAIRE, LES AUTRES PARTICULIÈREMENT EFFRAYÉS PAR SON PATRONYME ❖ BEAUCOUP LE SURNOMMAIENT LE CLÉBARD, CHERCHANT À PROUVER UNE CERTAINE ASCENDANCE SUR LE LOUP, OU SUIVANT LE MOUVEMENT ❖ IL N'A JAMAIS VRAIMENT SOUFFERT DE CETTE SITUATION ❖ IL A CONNU UN CERTAIN SUCCÈS AUPRÈS DES FILLES À PARTIR DE SA CINQUIÈME ANNÉE, CERTAINES LE TROUVANT ATTIRANT, D'AUTRES ATTIRÉES PAR LE DANGER QU'IL REPRÉSENTE ❖ IL S'EST TOUJOURS TENU À CARREAU DANS LA MESURE DU POSSIBLE POUR NE PAS SE FAIRE RENVOYER ❖ SEUL LE PROFESSEUR DE SOINS AUX CRÉATURES MAGIQUES ÉTAIT CAPABLE DE CALMER SES PULSIONS ANIMALES LORSQUE CES DERNIÈRES FAISAIENT SURFACES SUITE À DES ALTERCATIONS ❖ IL A TOUJOURS ÉTÉ DOUÉ EN DUEL ❖ PLUS ENCORE EN POTIONS ❖ IL A RÉUSSI AVEC BRIO SES BUSES ET SES ASPICS ❖ LE DÉCÈS DE CALLIE ROTTERFORD LUI VAUDRA TROIS MOIS À AZKABAN, APRÈS QUOI, IL SERA JUGÉ COMME INNOCENT DANS L'AFFAIRE DE SON MEURTRE SAUVAGE, LE LOUP NE POUVANT ÊTRE JUGÉ RESPONSABLE DURANT UNE NUIT DE PLEINE LUNE.
CHAPITRE 3 — le bolverkx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
D’un œil las, il observe la fumée rougeâtre grimper dans les airs, alors que ses oreilles se délectent des dyspnées d’angoisse de sa victime. Une symphonie dont il ne semble guère s’ennuyer, comme une musique des plus délectable, un met savoureux. L’atmosphère se fait oppressante, et l’arôme ferreux ne l’en rend que plus pesante. À tes côtés, un homme s’agite, assis sur une chaise, et n’ayant guère plus le choix que d’y rester, entravé par un sortilège que le fils Greyback s’est fait un plaisir de lancer. Mais voilà que ce dernier abaisse finalement la tête, son regard vairon venant se planter dans celui brisé de sa victime. La bête se rapproche, jusqu’à finalement s’agenouiller face à l’apeuré qui n’a que trop souffert déjà, ses ongles disparus sur ses mains, sa peau écorchée de part et d’autres, un liquide rougeâtre peignant son visage et d’autres parties. Ce n’est qu’un soupir qui se glisse hors des lèvres du lycan, alors que son index s’attarde à nettoyer une zone, venant bientôt se porter à sa bouche pour mieux déguster le liquide carmin, le regard se délectant de la grimace que ce geste a retiré sur le visage de son prisonnier. Une nouvelle taffe, avant qu’il ne daigne finalement prendre la parole. « Tu sais Augustus, ça ne m’amuse pas plus que ça. Regarde-toi, assis sur cette chaise, incapable de bouger, seulement de subir. Je sens ton organe battant qui s’affole sitôt que mes mains se posent sur un nouvel instrument destiné à t’arracher les réponses que je veux. Je n’ai pas plus envie que toi de subir cet outrage. » N’est-ce pas d’ailleurs une mine désolée qui vient se peindre sur son visage ? « Alors détache-moi Rhagnär… Je pensais… je pensais qu’on avait dépassé… tout ça. » La bête gronde, se tapie dans son antre, dégoûtée certainement par l’attitude de celui qui autrefois, avait eu l’audace de venir la chercher, de crier son nom pour mieux la faire sortir. Quant à Rhagnär, le voilà qui se redresse, s’esclaffe un instant. « Dépassé tout ça ? Ah Gus ! Toujours le mot pour rire ! Tu sais, je ne t’ai jamais tenu rancune de ce cirque à Poudlard. En fait, je crois que j’en avais franchement rien à foutre de cette attitude pompeuse que tu affichais. Et tu sais pourquoi ? Parce que je savais tout simplement que tu avais bien plus peur de moi que tu ne daignais le montrer. Oh, et puis, tu as raison, c’est du passé ! Mais… Est-ce que je t’ai dit combien Callie était franchement douée au plumard ? Oui oui, tu sais, Callie… ah, c’était quoi déjà son nom… Rotterford voilà ! La serpentard avec qui tu sortais, elle te l’a jamais dit ? Les cours de soutien, c’était surtout des leçons plus charnelles. Faut croire que tu la comblais pas tant que ça. Oh ? J’ai touché un point sensible ? C’est vrai que t’avais l’air de l’aimer. Y’avait de quoi en même temps. Je crois que tu allais la demander en mariage en plus non ? » Oh oui, l’homme se délecte de cette vile vengeance. Quémandant au Seigneur des Ténèbres de lui confier la tâche d’interroger l’homme dont il voulait la tête, car lui seul s’avérait être à même de fournir les données dont ce dernier semblait avoir besoin. Quoi de mieux pour le Bolverk de la meute de s’enquérir de cette tâche ? Car voilà l’exécuteur du clan qui se dirige vers la table comprenant divers instruments dédiés à la torture. « Callie ? Oh Merlin… Tu l’as tué délibérément ? Eyh ! Non, qu’est-ce que tu vas faire ? Je t’en prie, détache-moi, je te dirais tout ce que tu veux savoir ! S’il te plait ! » Une grimace. Le lycan déteste les suppliques au moins autant que les sentiments. « La ferme Ferwood ! Et pour te répondre, non, c’était un accident, tragique d’ailleurs. Je venais de finir de la baiser quand c’est arrivé. Tu sais … C’est con quand même, pas comme si je lui avais dit deux fois de s’en aller rapidement, mais non, elle en voulait toujours plus. Et puis, j’aurai franchement adoré voir ta tête lorsqu’elle t’aurai avoué qu’elle te trompait depuis un moment déjà. Mais bon, tant pis. Huuum… Tiens, qu’est-ce que c’est que ça ? Tranchant oui. » Torturer ? Certainement l’un des plaisirs de Rhagnär. Allez savoir comment cette façon de procéder lui est venue en tête, mais lorsque l’on est Bolverk, les scrupules et les remords ne doivent pas affaiblir. C’est pour cela qu’il a été choisi par son père pour succéder à l’ancien. Ancien qu’il a naturellement fallut battre à la loyale. Mais l’heure n’est plus au passé, alors qu’il s’avance vers sa victime, sans crier gare, lui plantant sa nouvelle trouvaille dans la cuisse, savourant le hurlement qu’il en retire, criant de même pour couvrir cette longue supplique « LE PASSÉ AU PASSÉ GUS ! » Une gifle sur une joue, sans qu’il ne daigne retirer son instrument de torture de l’endroit, savourant au contraire le fait de le tourner de quelques millimètres. « Passons au présent veux-tu ? Pour la cinquième fois, tu possèdes une information que le Seigneur des Ténèbres aimerait beaucoup posséder. Tu sais, l’ordre du Phoenix etc, mais plus encore, le nom du traitre qui t’as fournit des données peu importantes, mais cruciales pour le test. Alors, Gus, vas tu me répondre une bonne fois pour toute… ou préfères-tu que je fasse durer un peu plus la torture ? La lune va se lever d’ici peu, et si je n’ai pas mes informations ce soir, je reviendrai demain, et on devra recommencer, encore et encore. Et tu vois j’ai été suffisamment patient comme ça. » La folie le gagne, alors qu’il sent la lune réclamer son dû. Honnêtement, il n’a pas l’intention de reporter la torture au lendemain, s’empressant finalement de tourner d’un quart de tour la lame effilée, arrachant un nouvel hurlement à sa victime, brisée qui déjà n’en peut plus, puisant dans ses dernières forces. « Seyman. C’est Rick Seyman qui nous a donné l’info. » Deuxième quart de tour, avant que le loup ne daigne enlever la lame. « Bah tu vois quand tu veux ! Est-ce que ça valait vraiment la peine de souffrir autant ? Allez, tu sais quoi, je vais exaucer ta requête Gus. Je vais te détacher, et tu vas pouvoir partir d’ici. » Ou pas. Car sa pensée a bien fait son chemin, tandis qu’il jette la lame dans un coin, remplaçant cette dernière par sa baguette pour défaire le sort. L’ancien serpentard ne pourra guère aller plus loin, alors que la lune se fait ronde, que les loups sont de sortis. « Je t’en prie, tu peux partir. Mais par contre, je te conseille de pas trop trainer hein… on peut pas transplaner d’ici. Mais si tu atteints la rivière, tu pourras. Tu ferais mieux de te dépêcher, la lune est déjà haute dans le ciel. » glisse t’il avec un certain amusement, alors que lui-même succombe déjà à l’appel de la lune, son regard délaissant la part humaine, ses os commençant déjà à se briser, se transformer… Il n’est nul endroit où l’homme pourra se cacher avant que le Bolverk ou un autre loup ne le trouve… La peur possède une odeur bien à elle, que le Bolverk savoure toujours en plat de résistance.
APRÈS AZKABAN, IL A OUVERT UNE BOUTIQUE DANS L'ALLÉE DES EMBRUMES, SE FAISANT APOTHICAIRE, BIEN PLUS TOURNÉ VERS LES INGRÉDIENTS RARES ET PROHIBÉS ❖ IL EST DEVENU BOLVERK A SES VINGT ANS, RÉPONDANT AU DÉSIR DE SON PÈRE ❖ IL CONVOITE D'AILLEURS LA PLACE D'ALPHA DE CE DERNIER ❖ PAR LE SERMENT DE SON PATERNEL, IL EST DEVENU MANGEMORT PAR OBLIGATION, BIEN QU'IL SE FOUTE UN PEU DES IDÉES DE CE DARK LORD ❖ IL FUME BEAUCOUP DE CIGARETTES SORCIÈRES ❖ IL S'ABANDONNE DANS LES BRAS DES FEMMES, MAIS JAMAIS AUCUNE N'A SUT RAVIR SON CŒUR ❖ IL EST AUSSI SAUVAGE QUE CIVILISÉ, ET SAIT SE MONTRER DES PLUS CHARISMATIQUE LORSQU'IL LE FAUT ❖ IL NE TORTURE QU'EN CAS D'EXTRÊME NÉCESSITÉ ❖ IL N'EST PAS FOU, MAIS PLUS QUE LUCIDE, TERRIBLEMENT PROTECTEUR ENVERS LES MEMBRES DE SA MEUTE, SUFFISAMMENT POUR LES TENIR À L'ÉCART DE CETTE GUERRE QU'IL JUSTE AUSSI AMUSANTE QUE TERRIBLE.
Dernière édition par Rhagnär F. Greyback le Mer 27 Mar - 15:11, édité 27 fois
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:22
BIENVENUE. Je ne connais absolument pas le mec de ton avatar mais, ma foi, il est fort beau. Fort, fort, fort, fort beau. Et le prénom de ton personnage me fait penser à la série Vikings, ou bien à la pub Apéricube avec le gars qui dit : " Ragnar, un peu de saumon, peut-être ?". (pas la même orthographe, certes, mais quand même) Enfin soit, hâte d'en apprendre plus sur Rhagnär !
Bon courage pour ta fichette ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas.
≡ amoureusement : célibataire, c'est pas comme s'il avait que ça à faire.
≡ son emploi : il est animateur radio pour la gazette du sorcier, section quidditch. il est actuellement en charge de "potterveille" la radio pirate de l'ordre du phénix.
≡ statut de sang : c'est un sorcier de sang-mêlé, qui a toujours été fier de l'être, et n'a jamais prétendu de rien.
≡ sa maison : les lions de gryffondor, évidemment, les grands vainqueurs des matchs de quidditch !
≡ sa baguette : bois de sorbier, avec pour cœur un crin de licorne, spécialisée en charme et d'une longueur approximative de vingt-huit cm.
≡ son patronus : un renard.
≡ son amortencia : uc.
Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:25
VINNIE (azy, le coup de chance qui fait que j'le connais, j'raconte pas ) breeef, BIENVENUUUE parmi nous bon courage pour ta fiche (a)
Si tu as des questions, n'hésite pas
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:26
J'ai aussi pensé aux Apéricubes et au Donjon de Naheulbeuk. Bienvenue à toi o/. Nous allons être concurrents si tu es effectivement apothicaire ;). En tout cas, c'est encore un personnage qui promet .
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:30
Un mangemort de vingt-six ans qui est passé chez les corbeaux, toi et moi, on va avoir des trucs à se dire Bienvenuuuuuue parmi nous en tout cas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:33
Un autre Mangemort, yeaaaah
Bienvenue parmi nous ! Et bon courage pour ta fiche ^^
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:35
… … … *réduit à l'état d'un apéricube * Bien vu pour le coup de la série néanmoins, puisque c'est de là principalement que je l'ai tiré, en plus du Ragnarok ! *applaudit avec les pieds* Par contre Naheulbeuk… j'ai un ÉNOOOOORME doute. Faudrait que je me les repasse histoire de voir (et de me faire pipi dessus )
Dans tous les cas, merci à vous tous, vous êtes trop adorables ! Et oui, Vinnie est juste trop … Et je trouvais qu'il correspondait pas mal à l'idée d'un loup dépravé et charismatique ! ( et puis, ouais, l'est trop trop trop trop trop beau quoi =o) CEINWEN — Tu peux le connaitre plus intimement si tu veux *SBAAAF*
ROSALIND — Ah oui, effectivement '-' mouahaha, remarque, ça peut partir sur une bonne idée de lien via concurrence tu me diras !
DALEY — Ah ouaiiiiis ? je suis tout ouïe ma foi !
Je finis assez rapidement ma fiche. Ca devrait pas être trop trop long, le personnage existe déjà sous une autre version, mais ici, je pense le rendre un peu plus… violent
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 14:50
Ouhh, je connaissais pas Vinnie non plus mais miam Bienvenue parmi nous apéricube, et courage pour la suite J'adore le pseudo en tout les cas, pour une mini vache qui rit c'est bien sexy Hâte de lire la suite aussi, je viendrais te réclamer un lien plus tard
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 16:44
Thaddeus Appleby a écrit:
BIENVENUE. Je ne connais absolument pas le mec de ton avatar mais, ma foi, il est fort beau. Fort, fort, fort, fort beau. Et le prénom de ton personnage me fait penser à la série Vikings, ou bien à la pub Apéricube avec le gars qui dit : " Ragnar, un peu de saumon, peut-être ?". (pas la même orthographe, certes, mais quand même) Enfin soit, hâte d'en apprendre plus sur Rhagnär !
Bon courage pour ta fichette ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas.
j'ai pensé exactement à la même chose bref, bienvenue très bon choix de groupe
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 19:43
Bienvenue, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 21:04
Je vous mordrais tous bande de… de… de VILAINS J'essaye de terminer ma fiche ce soir dans tous les cas, donc ceux qui le veulent… a la rigueur si vous voulez un lien, n'hésitez pas à me mpotter, avec un peu de chance, j'arriverai à vous caser dans ma fiche Sachant que l'apéricube était pas très apprécié du temps de Poudlard
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 21:10
bienvenue
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 21:51
Bienvenue :) Bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 23:19
bienvenue !
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 23:28
Merci à vous ! Niaaah, Ruby *-*
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mar 26 Mar - 23:33
de rien
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mer 27 Mar - 15:12
&& FICHE ACHEVÉE ! En espérant qu'elle vous satisfasse
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mer 27 Mar - 15:27
Punaise, c'est risqué de coucher avec Rhagnär lorsque la lune montre le bout de son nez. Aucun de mes personnages ne se frottera au tien, attends, il est sexy mais waoo... violent. Mais je le savais qu'elle allait y passer, Calliiiiie, je le savaiiiiiiis. Aah, cte cochonne. *sbaf* Bref, très belle fiche. J'ai même une ou deux idées de lien, tiens. Soit, je te valide, bon jeu !
ta ficheest validée
tu es officiellement un pienx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
hurray te voilà lancé dans le grand bain ! C'EST QUE TU ES MOTIVÉ DIS DONC ! Alors en cadeau, tu as le droit d'apprendre à faire la vaisselle (ou pas hein, ). Délire passé, je t'ajoute à ton petit groupe, de ton côté, pense à faire toutes les démarches nécessaires à ton arrivée sur le forum et il y en a, à faire : Pour aider à la bonne marche des répartitions et du forum tout simplement, n'oublie pas non plus de recenser la maison et le rang de sang de ton personnage : ça peut toujours aider, et si tu as soudainement alzheimer, tu pourras toujours revenir dans ce sujet pour voir où se situe ton personnage. Petit bonus du hors jeu, tu auras bien entendu la possibilité de créer un scénario pour ton personnage, sans oublier de recenser l'avatar de celui-ci également (a). Pense aussi a remplir ton profil, au moins la partie concernant le personnage histoire que les autres membres puissent savoir son âge, sa maison et compagnie rapidement (a) Ceci dit, le remplir en intégralité, c'est encore mieux
Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier Mer 27 Mar - 15:36
Niark niark ! Justement, c'est ça qui rend la chose excitante *SBAAF* Puis Callie avait beau être brune, elle était un peu blonde dans sa tête (coucher avec un loup un soir de pleine lune, même moi je m'y risquerai pas ! ) Mais j'attends de voir tes idées de lien dès que je poste ma fiche de liens !! En attendant,
MEUUUUURCIIIIIII BEAUCOUUUUUUP (ouais, je parle baleine en plus d'être un apéricube. )
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Sujet: Re: rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier
rhagnär › quand le loup montre patte blanche, mieux vaut ne pas s'y fier