hermione jean granger

17 ANS ◊ NÉE MOLDU

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY Hermione Granger 7e ANNÉE GRYFFONDOR

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Hermione, sculptée avec soin du bois d'une vigne, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque elle n'avait que 11 ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : perfectionnisme, courage et générosité sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en métamorphose. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un/une ventricule de dragon qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Le mage noir es de retour, je l'ai toujours su. Prêt à tout pour ôter d'autres vies. J'ai peur, bien évidemment. Pour de lui, pour nous. Nous devons nous battre, pour ce monde, pour notre monde. Lord Voldemort n'est pas imbattable, la preuve, j'arrive aujourd'hui à prononcer son nom, et je ne suis pas la seule. Il a été vaincu une fois, et bien qu'il nous faudra tout notre courage et toute notre force, nous le vaincrons encore. A ses côtés, avec lui, pour lui. Harry vaincra le lord, nous ferons tout pour. Volemort ne sera pas invincible tant qu'il y aura des âmes pour le combattre.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Cette organisation créée par Dumbledore est aujourd'hui la seule qui ose combattre le mage noir. A l'image de son créateur ils sont courageux, forts, mais aussi humains. Remus, doux et généreux, mais aussi sensible et courageux. Nymphadora, belle et rebelle, opiniâtre et impulsive. La famille Weasley, unie en un seul et même bloc de courage. Harry, l'élu, celui qui a vaincu le mage noir par le passé. Ron, courageux et bien plu doué qu'il ne le croit. Kingsley, sage et puissant. Et tout autant de sorciers, preque comme une famille. Je fais moi même partie de l'ordre, que j'admire et que je défends.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Seul un idiot n'aurait pas peur, le crainte est là, partout. Cette situation doit cesser. Plus de morts, plus de larmes enfin le sérénité. C'est un rêve, presque une utopie. Mais il faut faire face. Oui j'ai peur, mais je me bats, aux côtés d'Harry, pour Harry. Pour Ron, pour sa famille, pour ma famille. Pour ce monde, notre monde. Il nous faut nous battre, pour que plus jamais nous ayons peur.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ .SWEET EMOTION TON ÂGE Ҩ 19 ans CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Emme Watson *.* PERSONNAGE Ҩ de la saga (a) TON AVIS SUR PI Ҩ Contexte qui pète et design à tomber ! OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Bazzart CONNEXION Ҩ sept jours sur sept sauf à partir du 5 Aout jusqu'au 25 où je serai en vacances et où je ne pourrai que via mon téléphone UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ C'est une bonne situation ça scribe ?

"JE L'AI LU DANS L'HISTOIRE DE POUDLARD"

« Aucun des joueurs de Gryffondor n'a payé pour être dans l'équipe, on les a choisis pour leurs talents. » Répondit la jeune fille à Drago d'une voix sèche, où la colère à peine dissimulée se teintait d'ironie. Malefoy se planta devant elle, ses yeux gris brillants d'une lueur mauvaise, semblables aux yeux fourbes d'un cruel serpent. « Personne ne t'as demandé ton avis, éspèce de sang de bourbe. » Trois mots, trois lames, trois flèches plantées en plein coeur. Colère, douleur, souvenirs. Des années en arrière, une vie changée, brisée, à jamais.


« Les trois fées, d'un seul et même sortilège, dirent apparaître une épée rutilante dans la main du prince Phillipe. Fort de cette arme magique, le jeune prince talonna sa monture et s'approcha à hauteur du dragon. Puis pourfendit la bête qui alla s'écraser dans le ravin, vaincue par la magie des trois fées et par le courage du prince. Celui-ci gravit ensuite la tour où reposait la belle au bois dormant. Son visage entouré de cheveux blonds comme les blés n'avait pas changé, figé par le sommeil et la magie depuis des années. Le coeur battant, le prince embrassa la belle, rompant ainsi son sommeil, sous le regard attendri des fées gardiennes. La magie du baiser réveilla également le royaume, qui par la suite fêta en grande pompe le mariage du prince Phillippe et de la Princesse Aurore. Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Fin ! » La petite fille attrapa le livre corné, le serrant contre son coeur sous le regard attendrit de sa mère. « Encore ! » Joanna Granger leva les yeux au ciel, elle connaissait sa fille par coeur. « Non petite princesse, ainsi tu la savourera encore plus demain. » La petite se tut un instant, semblant réfléchir, puis elle se tourna vers sa mère, plus une once de rire dans les yeux. « Je ne veux pas être une princesse, mais une fée, ou une sorcière !» « Une sorcière ? Mais pourquoi ça ? » « Parce que par magie elles peuvent faire tout ce qu'elles veulent, dans les histoires, c'est toujours grâce à la magie que la princesse s'en sort. Dans Cendrillon c'est la marraine la bonne fée qui permet à la princesse d'aller au bal, et dans la belle et la bête c'est grâce au sortilège lancé par la sorcière que la bête trouve l'amour. » Joanna contempla sa fille droit dans les yeux. Déjà mûre pour son âge, elle avait toujours été différente des autres, et son analyse confirmait son impression. Un sourire éclaira le sourire de la jeune femme qui prit sa fille dans ses bras. Elle n'imaginait pas à quel point sa fille avait raison. Rêves d'enfants.


La pluie tombait sur le petit village anglais. Sombre était cette journée, comme étaient les robes des femmes qui se tenaient, voûtées près de la tombe encore fraîche. Scott Granger avait posé sa main sur l'épaule de son épouse, qui contemplait la tombe de sa mère en silence, tentant de réaliser la fatalité de la chose. Hermione se tenait un peu plus loin, réalisant brusquement à quel prix s'élevait le tribu de la vie. Son corps lui paraissait lourd, ses mouvements lents et maladroits tandis qu'elle tentait vainement de maîtriser cette tristesse qui l'envahissait. A dix ans la jeune fille qu'elle était alors quittait un peu plus son âme d'enfant, à quel point la vie pouvait être cruelle. Une main se posa sur son épaule, douce, rassurante. Maternelle. La jeune fille se tourna vers sa mère, se jetant dans ses bras. Mère et fille pleurèrent ensemble cet être perdu, puis Hermione se dégagea des bras de sa mère, croisant son regard. La détresse qu'elle y lue l'atteignit en plein coeur. Réveillant en elle des sentiments étranges, compassion, amour absolu, volonté de protéger, de rassurer. Une rose se dessina dans sa main, magnifique par ses pétales délicates. Cadeau du ciel, comme par magie, symbole fort. La jeune fille tendit la fleur à sa mère, signe d'un soutien indéfléctible. Joanna observa la rose apparue comme par magie, se rappelant à cet instant les mots prononcés par sa fille, des années plus tôt. Hermione contempla sa création, bouche bée tant l'évidence lui semblait dure à croire. Des milliers de question se mélangèrent dans son esprit, éclipsant un cours instant la peine de cette journée damnée. Comme par magie ?


Hermione et ses parents ne reparlèrent plus de la rose apparue lors de l'enterrement. Chassant les questions un instant posées d'une justification inébranlable. « La rose a du atterrir dans sa main emportée par le vent. ». Mais la jeune fille, elle savait que la vérité était toute autre. Relisant un à un les contes de fées de ses jeunes années, elle se mit à chercher toutes les informations possibles et inimaginables quant à la magie, elle était sûre que la rose était apparue par enchantement dans ses mains. Comme un signe, une réponse. Ce qu'elle avait fait ressemblait plus aux actes d'une fée que d'une sorcière, mais elle n'avait pas d'elle et ne possédait pas de poussière comme clochette, pourtant la rose était apparue dans sa main, comme pour rassurer sa mère en pleurs, comme appelée par une voix intérieure à Hermione. « Descends Hermione, il y a du courrier pour toi ! » La jeune fille descendit l'escalier à la hâte, son livre de contes toujours dans ses bras. Une étrange enveloppe était posée sur la table. Jaunie comme un parchemin, marquée d'un étrange saut et fermée par un cachet de cire. La jeune fille prit la lettre, déchirant l'enveloppe.

Cher Mlle Granger,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.

La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.

Veuillez croire, cher Mlle Granger, en l'expression de nos sentiments distingués.

Minerva McGonagall
Directrice adjointe

A la fin de sa lecture la jeune fille, à son grand étonnement se sentit comme apaisée. Ses parents eux, la regardait avec inquiétude et étonnement. D'où venait cette lettre ? Qu'elle était cette étrange école ? Hermione ? Magie ? Autant de questions auxquelles Hermione avait déjà la réponse, elle le savait. Au fond d'elle même.



La jeune fille resta un instant silencieuse, tentant de lutter contre les larmes qui s'obstinaient à vouloir s'échapper, contre ces souvenirs qui remontaient à la surface. « Tu vas payer Malefoy ! Crache Limace » Intervint Ron. Depuis un an déja le rouquin, et son ami Harry Potter faisaient partie de sa vie. Une amitié qui avait mit du temps à se construire, mais qui était là, promise à traverser les épreuve. Seul on est fort, ensemble on est invincible.


Elèves et professeurs étaient rassemblés autour du cadavre d'Albus Dumbledore. Unis dans cette peine, assemblés dans cette peur commune. Aucun ne savait quel serait son avenir. Hermione se tenait debout, la main de Ron serrée dans la sienne, les larmes coulant sur son visage, silencieuses et cruelles tandis que, haut dans le ciel sombre, la marque noire marquait d'une funeste empreinte cet endroit longtemps adoré. Le professeur MacGonagall fut la première à lever sa baguette, vers le ciel, vers la marque noire. Elle fut imitée par les professeurs, puis par les élèves. Toutes les baguettes se levèrent, chassant de leur lumière la macabre marque. Ils avaient traversé cette épreuve ensemble, amis, ennemis, professeurs, élèves. Unis en ce sombre instant. Unis depuis toujours par des aventures communes. Et à venir.


Harry, Ron et Hermione sortirent de la maison du géant Hagrid. Discrets pour ne pas se faire voir des membres du ministère qui accompagnés du processeur Dumbledore s'apprêtaient à entrer dans la cabane du géant. Le trio se cacha derrière un tas de potirons géants. Silencieux. « Nous pourrions peut-être le délivrer ... » Intervint Hermione, attristée par l'hippogriffe attaché, semblant attendre son sort. « Impossible, ils accuseront Hagrid. » Répondit Harry d'un air sombre. « Allons-y. » La jeune fille observa une dernière fois le fier animal réduit en condamné à mort, croisant son regard bien plus humain que celui de ceux qui l'avait jugé avant de suivre ses amis. Ils se stoppèrent au sommet de la colline, observant la sentence sans trop y croire. La hache du bourreau se leva vers le ciel, avant de s'abattre dans un bruit sourd. Les cris rauques des corbeaux résonnèrent de longues minute puis plus rien. Le silence et la mort. Hermione posa sa tête sur la poitrine d'Harry, la main de Ron caressant son épaule. Gestes presque fraternels. Signes d'un soutien sans faille.Signe d'une amitié à l'épreuve des larmes.


« Hermione, franchement tu abuse avec tes bonnets pour elfes. » La jeune fille leva les yeux vers son ami. Engagée dans la lutte contre les mauvais traitements infligés aux elfes, elle faisait tout pour leur offrir des vêtements. « Ron, les elfes de maisons sont traités en esclave, il ne faut pas laisser cette traditions continuer. Grâce à ces bonnets des elfes retrouvent leur liberté. » « Liberté dont ils ne veulent pas. » «Ne fais pas l'idiot, qui refuserait la liberté ? » L'arrivée d'Harry interrompit les prémices de dispute. Ron et Hermione se tournèrent vers lui. « Alors c'était comment ? Vous vous êtes embrassés ? » « Ron ! Ce ne sont pas tes affaires ! » « C'était ... humide. » Répondit Harry sans faire attention aux protestations d'Hermione. « Parce qu'elle pleurait ... » « Tu embrasse si mal que ça ? » « Ron ! » Intervint Hermione. « Ce ne sont pas les baisers d'Harry qui la font pleurer mais ses sentiments. Elle est inquiète car sa mère risque de se faire virer du ministère, parce que les exams approchent. Harry lui plait mais elle culpabilise car elle aime encore Cédric. En plus Ombrage lui rend la vie infernale. » « Mais c'est impossible de ressentir tout ça à la fois ! » « Ça c'est parce que tu as la capacité émotionnelle d'une petite cuillère. » La réplique d'Hermione fut suivie d'un silence puis d'un rire, cristallin. Les rires d'Harry et de Ron se joignirent au sien. Unis.


Hissée sur son balais, ses mains fermement serrées sur le manche, la jeune fille traversait le ciel, indifférente à la pluie, aux sortilèges qui pleuvaient sur elle. Couverte par Lupin, elle se dirigeait vers le Terrier sous la forme d'Harry. Un sortilège manqua de la désarçonner, pourtant elle continuait. Pour lui, pour eux, pour ce monde magique qui l'avait accueillit, qu'elle aimait par dessus tout. Pour lui, Harry Potter, qu'elle considérait comme son frère. Quand Maugrey leur avait parlé de ce plan des 7 Potters, elle n'avait pas hésité une seconde. Un sortilège lui effleura la joue, atteignant l'un des mangemorts situé plus bas. La jeune fille accéléra, le terrier en vue. Harry était là, son visage ne masquant pas on inquiétude, à ses côtés Hagrid et Molly. A peine eu-t-elle atteint le sol qu'elle se jeta dans les bras d'Harry. Le bonheur. « Où est Ron ? » Puis l'inquiétude. A leurs côtés Remus se tenait, son visage trahissant d'une immense inquiétude. L'attente, longue. Ils arrivaient, un à un. Fred, George, Arthur, Kingsley .... Puis ils apparurent, Tonks, suivie de Ron. « Il a été extraordinaire Remus ! Sans lui je serais sans doute morte ... » S'exclama Dora en se jetant dans les bras de son époux. Soulagement. Masqué par une boutade. « Ron ? » « Ça a toujours l'air de te surprendre ! » Un sourire, puis une étreinte. Soulagement, gratitude, amitié. Harry, Ron et Hermione. Trio infernal, tant de souvenirs, passés et à venir. Unis comme jamais, comme une seule et même famille. Et bien plus. Sentiments contradictoires, cachés, niés. Des sentiments forts, depuis toujours. Cachés, en elle. Cachés à lui.


C'était pour ce soir. Elle en était sûre et, de ce fait, avait tout préparé. Livres, vêtements, potions, flacons et autres médicaments. Avant même de préparer sa tenue pour la fête elle avait préparé leur départ. La jeune fille leva les yeux vers la fenêtre. Les préparatifs du mariage avançaient dans une ambiance joyeuse, à peine ternie par l'inquiétude qui régnait. Hermione vérifia une dernière fois le contenu du sac, tout devait être parfait. Elle planifiait toujours tout, contrôlait tout, de ce qu'elle montrait aux autres à ce qu'elle mettait dans son sac. Aucune erreur, aucun oubli ne serait permit. Pas ce soir, ni jamais.

Le mariage battait son plein, instant fugace de bonheur, qui l'espace d'une soirée éclipsait la menace du mage noir. Molly avait troqué son visage fermé pour une fierté débordante, Ron d'ordinaire bougon riait avec ses frères. Sans la présence des membres de l'ordre tout aurait pu paraître normal. Hermione se surprit même à profiter de la soirée, se laissant aller à quelques danses, à quelques rires. Derrière la menace, cachée derrière les visages inquiets et les larmes, le bonheur était bien là. Amour, amitié, famille prenaient un instant le dessus sur la guerre qui e préparait. Un instant, comme une respiration. Fugace. « Ils arrivent ... » La voix de Kingsley résonna dans toute la tente. Les cris remplacèrent les rires, la dance remplacée par une course effrénée. Pour la vie. C'était le moment, la jeune fille se rua vers ses amis, les attrapant par le bras. Il leur fallait partir. Elle ne savait pas pour combien de temps il fallait partir, pour lui, pour eux, pour tous. Ils transplanèrent. Vers une nouvelle aventure.

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