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 TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.

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MessageSujet: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 21:54


tristan everdeen

Tu attends un train. Un train qui va t’emmener loin d’ici. Tu sais où tu espères qu'il te conduira, mais tu ne peux pas en être sûr. Mais tu t’en moques car nous serons toujours ensemble.
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ft. aidan turner ◊ like a wizard
✲ NOM : everdeen. ✲ PRÉNOM(S) : tristan. ✲ ÂGE : vingt-huit ans. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : dix-neuf juin mille neuf cent soixante-neuf, à edenderry en irlande. ✲ EMPLOI : écrivain. ✲ STATUT DU SANG : sang-pur. ✲ ANCIENNE MAISON : gryffondor. ✲ SITUATION AMOUREUSE : célibataire.

❖ ❖ ❖

C'est une baguette bien spéciale que celle de Tristan, sculptée avec soin du bois d'un acacia, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : persévérance, ingéniosité et créativité sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en divination. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phoenix qui lui donne toute sa puissance.

L'avis de ton personnage sur VoldemortDans ma famille, personne n’a jamais soutenu les idéaux de cet imbécile là. Il n’était qu’un illuminé de plus, juste un parmi tant d’autres, avec en supplément le droit d’avoir un coup de projecteur perpétuel sur lui. Sûrement ne serait-il pas devenu ce qu’il est aujourd’hui si les gens avaient pensé à l’empêcher de poursuivre ses idées stupides au lieu de se moquer continuellement de lui en le regardant faire. Après tout, qui pourrait se méfier d’un sang-mêlé voulant lutter contre un métissage de sang qu’il perpétue lui-même ? Moi je l’aurais fait. Du moins, c’est ce que tout le monde peut se dire aujourd’hui qu’il est devenu le plus grand mage noir que le monde – magique ou moldu, peu importe, les deux sont touchés à présent – ai jamais connu. Pourtant, nous n’aurions pas forcément mieux fait que nos aïeuls, je ne peux m’empêcher de m’en faire la remarque. Quoi qu’il en soit, il est bel et bien présent aujourd’hui et je ne peux pas dire que sa présence soit des plus réjouissantes à mes yeux. Outre le fait que ses sbires – pour ne pas dire tout simplement mangemorts – et lui-même m’ai compliqué la vie par le simple fait d’exister, ils ont commencé à m’envoyer de charmantes missives ; celles-ci me sommant toutes de rejoindre le camp du Seigneur des Ténèbres. Bien sûr, des menaces y étant jointes, me promettant de recevoir la foudre de cette communauté de fichus imbéciles, si je ne cédais pas à leur demande. Forcément, je ne les ai pas prises au sérieux. Peut-être aurais-je du, finalement, ainsi ma femme et ma fille seraient sûrement encore en vie. Au moins suis-je resté moi-même, du plus que je le peux du moins, puisque j’ai bien conscience que la soif de vengeance à quelque peu tendance à m’aveugler. Dans tous les cas, si c’est ainsi que le mage noir trouve tous ses mangemorts, cela expliquerait bien des choses. Notamment le fait qu’ils prêtent allégeance à un illuminé pareil qui n’a pour finir, rien à faire de leurs pauvres vies. C’est une constatation qui fait quelque peu peur certaines fois, car bon nombre de personnes se soumettent donc bien trop facilement. Il aurait été en effet bien plus simple de laisser couler ses menaces de représailles, quitte à avoir quelques pertes, que de plonger le monde dans un tel chaos perpétuel tout en continuant de risquer de perdre des êtres et des choses, précieux. Au final, cela se résume certainement à un cercle vicieux, une continuité d’engrenages s’enclenchant à la suite afin que l’on se sente comme pris au piège. Mais l’avantage lorsque l’on n’a plus rien à perdre, c’est que l’on n’est pas obligé de faire semblant d’adhérer en des idées auxquelles nous ne pouvons finalement pas croire. Le plus simple serait de déstabiliser le Seigneur des Ténèbres en faisant tomber ses plus fidèles serviteurs ainsi que ceux croyant vraiment en ses dires. Bellatrix Lestrange pourrait bien évidemment être une bonne cible, voir les Malefoy même s’il paraitrait que Lord Voldemort n’a que faire de leur existence. Après tout, mieux vaut-il éliminer des personnes auxquelles il tient, même s’il y en a peu, plutôt que d’éliminer un grand nombre de mangemorts dont il n’aurait que faire – car derrière ses airs de je-m’en-foutiste, il semble tout de même évident qu’il tient à eux comme à la prunelle de ses yeux. Cela serait, par la même occasion, un moyen de lui rendre la pareille, notamment en ce qu’il s’agit de tous les proches de sorciers qu’il a tué ou laisser tuer, pour le plaisir, par coup de pression ou que sais-je.

Ton personnage et l'Ordre du Phénix De sinistres courageux, c’est la seul qualification qui vient à l’esprit. Ils sont courageux puisqu’ils font partie des rares osant se dresser face au Seigneur des Ténèbres, ce qui plutôt une bonne chose ; sinistres puisque beaucoup sont voués à une mort certaine dans ces temps obscurs, sans compter que la majorité ne s’est jointe à cette cause que par soif de vengeance. Seuls peu d’entre eux se sont joints à l’Ordre du Phénix sans intérêt propre. Je ne peux pourtant décemment pas les critiquer à ce sujet, puisque ma propre rébellion contre le mage noir, est également nourrie par l’envie de vengeance. C’est juste que l’Ordre du Phénix n’agit pas de la même façon que moi, à l’égard de cette envie. Là où je préfère travailler dans l’ombre, eux se montrent au grand jour. Peut-être ne déclarent-ils pas tous d’emblée leur appartenance à l’Ordre, mais l’existence de celle-ci n’est pourtant pas cachée, bien au contraire. On dirait qu’elle cherche à attirer l’attention sur elle, comme-ci le fait de lutter dans l’ombre pour faire plus de dégâts en ressurgissant par la suite, n’intéressait pas ses membres. Je peux même croire que certains membres de l’Ordre du Phénix, ne sont pas mieux que Lord Voldemort, au fond. Après tout, il peut sembler facile de parvenir à prendre les rennes de cette organisation, surtout depuis que le leader présumé depuis la mort du professeur Dumbeldore – soit Harry Potter – est en fuite, avec l’impossibilité de savoir où il peut bien se trouver, sans compter que ce n’est qu’un gamin. Vouloir montrer sa puissance magique en parvenant à être celui qui réussi à faire disparaître le mage noir, doit être une idée qui a pu traverser bon nombre d’esprits lorsque l’on y repense. Peut-être ne voient-ils l’Ordre du Phénix que comme un tremplin, un moyen de se propulser sur les devants de la scène. C’est pourquoi je n’ai certainement jamais pris part à la vie active de l’Ordre, préférant sans aucun doute, lutter de mon côté. Après tout, je ne voudrais pas me retrouver comme ces idiots de mangemorts, à suivre aveuglement un meneur aux idéologies désastreuses. Et seul Dieu sait à quel point je peux haïr la simple idée de me transformer en mouton, me mettant à suivre aveuglement et peut-être même sans m’en rendre compte, les idéaux d’un homme, surtout si ceux-ci ne correspondent pas aux miens. Cela ne veut pas dire que je suis incapable d’adhérer dans certaines idées – la preuve en est que je suis d’accord pour dire qu’il faut venir à bout du Seigneur des Ténèbres le plus tôt possible –, plutôt que je ne suis pas prêt à me plier à des ordres que pourraient éventuellement m’attribuer certaines personnes. Après, cela ne veut pas dire non plus que je suis sûr que l’Ordre soit peuplé de ce genre d’énergumènes ; non, de toute façon, ils n’attaquent pas suffisamment de front pour que cela soit vraiment le cas.

Ton personnage et la situation actuelle Je ne cache pas que les temps sont durs, voir carrément dévastateurs. Autant pour le monde magique pour ma propre vie, je dirais même. C’est dans cette sombre époque que je suis parvenu à perdre aussi bien ma femme que ma fille, réduisant ainsi ma vie, au même titre que mon cœur, à néant. Je me sens donc concerner, un peu malgré moi, par ce qui peut bien se passer dans le monde magique. Avant tout cela, la guerre et moi, c’était à peine si nous connaissions l’un de l’autre. Je n’ai jamais demandé à me mêler de tout cela, y étant contraint bien malgré moi. Car si cela ne tenait que moi, je n’aurais jamais commencé à agir en faveur d’un camp ou d’un autre, préférant sans aucun doute mener à bien ma petite vie, tranquille, restant tout seul de mon côté. Pas que je me considère comme un potentiel ermite ou érudit, mais plutôt parce ce que je trouve inutile de mettre ma vie en péril alors que j’ai tout ce qui me faut. Bien sûr, le sort de certaines personnes ne me laisse pas indifférent, car personne ne peut rester indifférent face à autant de vies volées ou considérablement détruites, juste que jusqu’alors, je ne voyais pas trop comment prendre part à tout ce petit manège que les gens se plaisent à appeler guerre. Je ne pense pas non plus y prendre part d’une façon particulière aujourd’hui. Après tout, ce n’est pas contre le Seigneur des Ténèbres que je lutte, mais plutôt contre ceux ayant pu tuer les miens. Quoi qu’il en soit, c’est justement la disparition des personnes que j’aime, qui m’a fait prendre un temps soit peu, une certaine position dans cette situation actuelle. Après tout, le fait de vouloir lutter contre les imbéciles m’ayant retiré ma femme et ma fille, se résume à venir à l’encontre de souhaits de mangemorts. Loin de lutter au grand jour, je préfère agir dans l’ombre, me plaisant – quoi que dire que je me plais à le faire, et tout de même une bien grande chose, d’autant plus que je ne suis pas sûr de cela à cent pour cent – à délivrer ou du moins à retrouver, les personnes disparues. A chaque fois, ce sont les gens qui m’appellent, me rapportant un lien entre leurs disparus et les forces du mal. Certains sont même liés à des menaces proférées par des sbires du Seigneur des Ténèbres. Et si j’ai fais l’erreur de laisser passer les menaces qui m’étaient adressées dans les missives que je recevais par hiboux, je ne recommencerais plus à présent, même si l’on ne peut pas dire que ce soit des affaires qui me concernent directement. A vrai dire, ce serait même plutôt des choses ne me concernant pas du tout, si les personnes décidaient de ne pas venir m’en faire part. Quoi qu’il en soit, je reste tout de même affolé face au nombre de disparus qu’il peut bien y avoir au Royaume Uni. A croire que les mangemorts passent leur temps à sortir des personnes de leurs familles pour les enfermer à Azkaban, ou même en les faisant fuir en pleine forêt, comme-ci ils n’avaient rien de mieux à faire que de jouer au chat et à la souris.

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croco ◊ 6j/7 de connexion
✲ PSEUDO : pourquoi c'est demandé deux fois ? croco. ✲ PRÉNOM : noémie. ✲ PERSONNAGE : scénario d'ophée, soit alice hudson. ✲ PAYS : belgium power. ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : c'est une longue, très loooooongue histoire. ✲ TON AVIS SUR PI : il est toujours aussi magnifique, je l'aaaaaime ♥. ✲ UN DERNIER MOT : gryffou for the win.





Dernière édition par Tristan Everdeen le Dim 20 Jan - 9:37, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 21:55


Do you know what hurts most about a broken heart ? Not being able to remember how you felt before. Try and keep that feeling, because, if it goes, you'll never get it back.x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x

COUR INTÉRIEURE DE POUDLARD, ANNÉE 1980.
Assis sur le banc dans la cour intérieure du château, je me plais à observer les mouvements des feuilles des arbres lorsque la brise souffle dessus. Ma plume émet de légers bruits tandis qu'elle gratte mon bout de parchemin, y déposant mon encre tandis que je trace de manière maladroite une reproduction du paysage face à moi. Je ne suis pas particulièrement fier de ce que je fais, n'étant pas non plus très doué, mais j'aime néanmoins dessiner, même si cela se résume à faire quelque chose d'assez informe au final. « Qu'est-ce que tu dessines ? » retentit alors une voix derrière moi, mélodieuse et fluette. Je finis consciencieusement mon trait avant de me retourner vers le visage, encadré de cheveux blonds, qui m'observe avec attention. Je hausse alors doucement les épaules, ne sachant trop comment réagir autrement. « Ce devait être l'arbre là-bas. » j'élude alors en désignant l'endroit où se trouve le dit arbre, d'un bref signe de tête. Mon interlocutrice ne lui accorde pas un seul regard, laissant ses yeux fixés sur mon bout de parchemin. S'ensuit alors un long silence pendant lequel je commence à me sentir quelque peu mal à l'aise. « Ce devait ? » finit-elle par reprendre avant de relever les yeux vers moi. « Cela ne l'est plus alors ? » Je hausse une nouvelle fois les épaules. Les mots n'ont que le sens qu'on leur donne après tout. Et si c'est le sens qu'elle a décidé de donner à mes paroles, c'est son choix. « Disons juste qu'à présent, je suis libre de dire que je l'ai inventé. » Elle paraît rester sceptique un instant, avant de venir s'installer sur le banc près de moi, un sourire flottant sur son visage. Ainsi assis côte à côte, nous commençons à inventer un monde à partir de l'arbre sur mon parchemin ; notre monde.

MAISON DES EVERDEEN, ANNÉE 1980.
C’est les yeux pétillants que j’annonce enfin de vive voix la maison de Poudlard dans laquelle j’ai été envoyé, à mes parents. Bien mieux que le fait de leur annoncer par hibou, cela me rend bien plus joyeux. Surtout que mes parents, loin de ressembler aux sorciers vaniteux exigeant que leurs enfants aillent à serpentard, sont tout à fait compréhensifs en ce qu’il s’agit des choix du choixpeau. « Gryffondor ? Vraiment ? » demande gentiment ma mère, un grand sourire affiché sur les lèvres. « Tu es donc brave et courageux. » complète mon père en m’assenant une tape amicale sur l’épaule. Je hoche doucement la tête, heureux de cette constatation. Contrairement à certains autres élèves de mon âge qui redoutait leur retour chez eux pour les vacances hivernales, je me trouve bien heureux de retrouver mes parents, qui ne me font aucune pression.

PRÉ-AU-LARD, ANNÉE 1992.
Entre la jeune gryffondor que j’ai rencontré lors de mon premier jour à Poudlard et moi, tout est rapidement devenu une évidence. Nous avons rapidement formé un couple même si nous ne cessions de nous chamailler et que les gens nous voyaient plus comme des frères et sœurs, nous nous sommes toujours aimés d’un amour profond et sans faille. Ma vie a commencé à rapidement ne plus tourner qu’autour d’elle, c’est d’ailleurs ce que je me dis à chaque fois que j’y pense. C’est d’ailleurs ce que je suis en train de me dire, présentement, alors que nous marchons côte à côte, main dans la main, à travers le village de Pré-au-Lard. Prenant une grande inspiration, je sers alors un peu plus la main de la jeune femme dans la mienne, pour lui demander de s’arrêter. Ce qu’elle fait avant de se tourner vers moi alors que mon cœur se met à battre à tout rompre. Je dénoue alors doucement mes doigts d’entre les siens, pour venir plonger ma main dans ma poche. J’en retire alors un écran nacré tandis que je mets un genou à terre, face à la jeune femme. « Veux-tu m’épouser ? » je lui demande alors, tandis que j’ouvre l’écrin, découvrant devant son visage une bague magnifique que j’ai eu énormément de mal à choisir.

LOCAUX DE LA GAZETTE DU SORCIER, ANNÉE 1993.
Il ne m’a pas fallu plus de quelques mois passés à travailler pour le célèbre journal, avant de comprendre que ce n’était pas un travail pour moi. Pourtant, je n’ai pas aussitôt quitté la rédaction, me rendant bien compte que j’aurais besoin d’un salaire, surtout lorsque j’ai appris l’arrivée prochaine de mon enfant. C’est pourquoi, alors que ma plume quitte pour l’ultime fois la surface de l’un des bouts de parchemin sur lequel je transcris un compte pour enfant – qui n’est autre que l’histoire que nous avons inventé avec ma femme lors de notre première année à Poudlard – je ne peux m’empêcher de laisser un large sourire satisfait apparaître sur mes lèvres. Je range consciencieusement mes morceaux de parchemin dans mon sac, avant de me lever d’un bond. Attrapant mon sac au passage, je me dirige rapidement vers le bureau de mon supérieur, faisant de grandes enjambées pour en atteindre plus vite la porte que je pousse violement. « Je démissionne ! » En retour, je n’ai droit qu’à un regard interloqué que l’on ne m’adresse quelques instants. Mon supérieur reposant aussitôt son regard sur ses papiers. « Ne racontez pas n’importe quoi. » me dit-il en me faisant signe de partir d’un simple geste de la main. « Mais je suis très sérieux. » je proteste avant de pincer les lèvres. L’homme relève alors la tête vers moi pour me dévisager, aussi je soutiens son regard pendant quelques instants, avant d’éclater d’un rire tonitruant, et de tourner les talons afin de partir pour de bon des locaux de la gazette du sorcier. Enfin.

MAISON DES EVERDEEN, ANNÉE 1995.
La mâchoire serrée, je continue à observer pendant un instant le hibou qui vient de se poser devant ma fenêtre, une lettre attachée à la patte. Puis, jetant un dernier coup d’œil à la cuisine où se trouvent ma femme et ma fille, toutes deux en train de préparer un gâteau – bien que ma fille soit légèrement petite pour pouvoir préparer quoi que ce soit –, je m’assure qu’elles ne puissent pas me voir aller chercher cette lettre de provenance inconnue, de laquelle je devine pourtant bien le contenu. De toute évidence, elles sont trop occupées pour prêter attention à ce que je peux bien faire. Tant mieux dans un sens. M’approchant de la fenêtre, j’en ouvre alors le carreau avant de m’emparer de la missive. Le hibou s’envole dès que je me suis saisi de la dite lettre. Je l’observe un instant avant de baisser les yeux vers le morceau de papier, fronçant les sourcils tandis que je reconnais l’écriture manuscrite présente sur l’enveloppe. Ce n’est pas la première fois que je reçois une lettre de cette personne et bien généralement, c’est toujours la même chose qui est inscrite sur le bout de parchemin. Je lis quand même la missive, ne m’attardant pas tandis que je reconnais que l’on me demande encore d’intégrer les mangemorts sous peine de pas mal de menaces. « Qu’est-ce que c’est ? » retentit alors la voix de ma femme derrière moi, me faisant légèrement sursauter. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle apparaisse alors que je suis en train de lire ce courrier. Je me retourne vers elle tout en faisant une boule du bout de parchemin, que j’enfouis alors dans ma poche. « Ce n’est rien. La Gazette du Sorcier qui me demande une nouvelle fois de revenir auprès d’eux. » j’élude alors en haussant les épaules, sortant ce mensonge de façon tellement naturelle que cela en devient quelque peu gênant. Elle hoche doucement la tête avant de retourner dans la cuisine. Je pousse un soupire de soulagement, avant de venir la rejoindre.

MAISON DES EVERDEEN, ANNÉE 1996.
Le ciel se déchire en un bruit sourd tandis que j’atterris devant ma porte après un transplanage. Je soupire un instant, épuisé par ma journée et m’apprêtant à pousser le battant de bois. C’est alors qu’une lumière verte fluorescente, se reflétant sur le pavé, attire mon regard. Je fronce les sourcils, devenant soudainement plus soucieux, tandis que je recule de quelques pas, interloqué. Je ne tarde pas à trouver la provenance de cette étrange lumière se reflétant sur le sol. En effet, au dessus du toit de ma maison, flotte la marque des ténèbres. Un crâne énorme de la bouche du quel, sort un énorme serpent. Je reste un instant à observer cette image ne m’inspirant aucune confiance, tandis que mes affaires tombent sur le trottoir puisque j’ai l’impression que toutes mes forces m’ont quitté. Je me sens soudainement nauséeux. Dans un état second, je me précipite vers la porte, remarquant seulement à présent que celle-ci est brisée et tient à peine sur ses gonds. Le cœur battant la chamade, j’escalade les derniers lambris du battant de bois afin de pouvoir m’engouffrer dans la bâtisse. Je pousse toutes les portes sur mon passage, les cherchant tout en ayant peur de les trouver à la fois ; ma femme et ma fille. Ce n’est qu’en arrivant au bon milieu du salon que je trouve enfin ce que je cherche, se résumant à deux corps inanimés, étendus sur le sol de la pièce dévastée. « Non. Non… » je gémis à mi-voix, la gorge nouée, complètement dévasté par cette vision d’horreur. C’est en vacillant que je parcours les derniers mètres me séparant de ce qui reste des deux personnes comptant les plus à mes yeux. Quand je parviens enfin à leur hauteur, n’y tenant plus, je me laisse tomber à genoux. Enfouissant mon visage dans le cou de ma bien-aimée, j’y dépose quelques baisers, comme-ci cela pouvait miraculeusement la faire revenir à la vie. « Ne me laissez pas. Non. S’il-vous-plaît. » De même, j’embrasse le front de ma fille. Pourtant, au bout de quelques instants, je me dois de me rendre à l’évidence ; elles sont toutes les deux mortes et il est inutile d’espérer ne serait-ce qu’un seul instant qu’elles puissent revenir à la vie. « Je… Je vous vengerais. » je promets alors aux corps raidies des deux femmes de ma vie, tandis que des larmes se mettent à rouler d’elles-mêmes sur mes joues.

CHAUDRON BAVEUR, ANNÉE 1997.
Tournant mon verre entre mes doigts, j’en admire le contenu ambré qui se met en mouvement à l’intérieur, tentant de rester parallèle au sol alors que je l’en empêche, en continuant de secouer mon verre dans tous les sens. C’est une chose qui me prend souvent lorsque je viens boire un verre ici, de façon assez régulière maintenant, je dois le dire. Je me plais à continuer de contempler le liquide qui danse dans mon verre, alors qu’un raclement de gorge se fait entendre non loin de moi. Je fronce légèrement les sourcils, avant de reposer mon verre devant moi et de me redresser légèrement, toisant la personne venue me déranger, du regard. Pas très grande, les cheveux bruns tombant en cascade sur les épaules, la bouche tremblante. « Tristan Everdeen ? » Je hoche doucement la tête tout en me tournant de nouveau face à la table, portant mon verre à mes lèvres. « Je peux m’asseoir...? » Je n’ai pas le temps de répliquer quoi que ce soit, que déjà la jeune femme s’empare d’une chaise pour venir s’installer face à moi. Je ne peux m’empêcher de grommeler un peu, devenant comme ces célibataires aigries, je déteste l’idée d’être déranger lorsque je suis en train de boire. Levant un sourcil, j’adopte un regard interrogateur tandis que je me tourne de nouveau vers la jeune femme, me demandant ce qu’elle peut bien me vouloir. Je l’observe fouiller dans son sac pendant un instant, avant qu’elle ne me place une photo sous le nez. Je suis obligé de me reculer un peu pour pouvoir l’observer. Avant que la brune ne puisse ajouter quoi que ce soit, je pousse sa main tenant la photo pour être en mesure de percevoir une nouvelle fois son visage. Je laisse ma main levée, comme pour lui intimer de se taire, n’appréciant pas réellement le fait que quelqu’un puisse monopoliser la parole. « Je peux savoir votre nom ? » Elle s’arrête soudainement de bouger, me toisant un instant comme pour vérifier que je suis bien sérieux, avant d’exploser d’un rire tonitruant. Comme ci le fait que je ne sache pas qui elle est, était tout à fait risible. Un peu gêné, je lance un coup d’œil alentour, remarquant avec une certaine frustration que tout le monde nous dévisage avec intérêt. « Alice Hudson. Je tiens une librairie à Pré-au-Lard. » Je hausse les épaules, elle n’était pas forcément obligée de préciser qu’elle était libraire mais allons bon. Je la regarde poser sa photographie sur la table, avant de la pousser dans ma direction à l’aide de son index. Je me laisse donc le temps de regarder un peu plus attentivement la personne présente sur le cliché. Elle ressemble à s’y méprendre à la personne face à moi en un peu plus jeune, mais comme je ne suis pas vraiment la personne avec qui l’on prend contact pour retrouver une jeunesse éternelle, je penche plutôt sur un membre de sa famille. « C'est votre sœur ? » J’arque un sourcil. Mon interlocutrice parait tout de même assez jeune pour avoir un enfant de cet âge. Celle-ci hausse simplement les épaules. « Bravo, si vous avez deviné ça tout seul, vous n'aurez aucun mal à la retrouver. » Je pince les lèvres face aux sarcasmes de la jeune femme, levant les yeux au ciel. On peut être deux à jouer au jeu de qui paraitra le plus malin, aux dernières nouvelles. « D'accord, Hudson, que les choses soient claires. Il me faudra bien plus qu'une photo pour retrouver votre frangine. » La brune baisse subitement la tête, paraissant soudainement anéanties. Lorsqu’elle relève la tête, elle ne cherche pas à cacher les larmes qui inondent ses pommettes. Je me mords l’intérieur de la joue, me sentant soudainement idiot de lui avoir parlé ainsi, sans vraiment réfléchir aux conséquences de mes paroles auparavant. Malgré moi, je pousse un peu plus loin mon verre d’alcool, pour être sûr de ne pas tenter d’y retoucher. Je sais à quel point cela peut me rendre agressif. Pourtant, je ne sourcille pas, préfèrent garder une attitude ferme que de m’embêter à revenir sur mes dires. « Tout ce que vous voudrez, Monsieur Everdeen. » Portant ma main droite jusqu’à mon visage, je me pince l’arête du nez, comme pour réfléchir. « Tout ce que vous voudrez. » reprend alors la jeune femme. Laissant retomber ma main, je hoche alors doucement la tête. C’était une affaire qui roulait.

LIBRAIRIE « AU TROISIÈME ŒIL », ANNÉE 1997.
Je suis à peine entré dans la seule librairie – à ma connaissance – de Pré-au-Lard, que je perçois un visage familier, se précipiter dans ma direction pour venir se planter face à moi. Ses traits sont tirés par le manque de sommeil, son visage creusé par le chagrin et les sourcils froncés, sûrement à cause de l’énervement. « Vous n'avez pas retrouvé Rose. » lâche-t-elle en un murmure de reproche, tandis que ne trouve pas d’autre chose à faire que de hausser brièvement les épaules, ne pouvant pas faire grand-chose d’autre de toute manière. Disons juste que vu l’état de la jeune femme, il n’y a plus qu’à attendre la suite, qu’elle vide son sac pour se sentir mieux. Après tout, cela peut arriver à tout le monde d’avoir un moment de faiblesse. « Vous n'avez pas retrouvé ma sœur. » reprend-t-elle une nouvelle fois, comme en écho à ses précédentes paroles. Cette fois, je n’esquisse pas un seul geste, me contentant de la dévisager tandis que je sers la mâchoire. Je n’ai peut-être pas retrouvé sa sœur, mais on ne peut pas me reprocher de ne pas avoir assez fait attention à elle ou de l’avoir laissé partir, au moins. C’est bien beau de me rejeter dessus toute la faute, mais il ne faut pas oublier qu’au départ, je ne suis pas le responsable, bien au contraire. J’amorce un pas dans sa direction, la toisant de haut, la dévisageant avec amertume. « Si vous aviez été une meilleure sœur, elle n'aurait peut-être pas pris la fuite. » je me contente de souffler, le ton empreint de reproches. Je sens alors soudainement ma tête partir légèrement sur le côté, tandis qu’une vive douleur se fait ressentir au niveau de ma joue. Je ferme un instant les yeux, poussant un soupir tandis que je passe rapidement ma langue sur mes lèvres, comme pour me redonner une contenance. Je fais un pas en arrière avant de me tourner de nouveau vers la jeune femme, lui lançant un regard dur. Elle se méprend fortement si elle croit qu’un simple coup puisse m’empêcher de me dire ce que j’ai à dire. Je lui lance un regard mauvais. « C'est de votre faute. Vous m'avez embarqué dans toute cette merde et… » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je me retrouve violement pousser contre le comptoir, le bord de celui-ci, me rentrant dans le dos. Sans que je ne puisse rien faire, je remarque qu’Alice bondit dans ma direction, m’agrippant par le col. Notre collaboration se transformant alors en démonstration de force. Autant dire que tout cela tournait au vinaigre. « Et toi, sale ordure, tu crois quoi ? Que tu étais un bon père et un mari exemplaire ? » J’écarquille les yeux tandis que les paroles de la jeune femme, réveillent mon cœur meurtri, se plaisant à le titiller d’une façon bien trop douloureuse à mon goût. Me reprenant, j’oblige la jeune femme à me lâcher, tandis que je me saisis moi-même de son propre col, inversant alors nos positions pour la bloquer, dos au comptoir. Je crispe un peu plus mes phalanges sur le bout de tissus que je tiens entre mes doigts. La dévisageant, je plonge mon regard dans le sien, approchant mon visage du sien sans même m’en rendre compte. Je commence rapidement à sentir son souffle effleurer mes lèvres tandis que mon cœur commence à s’emballer dans ma poitrine, comme autrefois. Un peu sceptique, je ne comprends pas aussitôt ce qui est en train de se passer, mais je finis tout de même par laisser mon visage parcourir les derniers millimètres qui le séparent du sien. Mes lèvres rencontrent alors les siennes tandis qu’une sorte de feu d’artifice, se constitue alors dans ma tête. J’en arrive même à fermer les yeux, m’enivrant de son parfum. C’est alors que je me rends compte de ce que je suis en train de faire et, affolé, je me recule, couvrant mes lèvres tremblantes du dos de ma main, tandis que j’assimile peu à peu ce que j’ai bien pu faire. Je laisse alors retomber mon bras, me redressant, le regard perdu dans le vide. Ainsi, c’est à peine si je sens le nouveau coup que m’assène Alice, tandis que ma tête part une nouvelle fois sur le côté. « Partez ! Et ne revenez jamais, jamais, jamais ! » Ne prenant même pas la peine de lancer un dernier regard en direction de mon interlocutrice, je baisse les yeux tout en pinçant les lèvres, complètement perdu. C’est ainsi silencieusement que je passe le seuil de la porte de la librairie, n’étant accueilli à l’extérieur de celle-ci, que par la morsure de froid, toutefois insuffisante pour pétrifier mon cœur une nouvelle fois meurtri, qui peine à se remettre de ce qui vient de se passer une nouvelle fois. Trop amoché intérieurement pour transplaner, je préfère venir m’adosser à un mur de briques, derrière des buissons touffus, sûrement là pour décorer le bord de la route. Je ne tarde pas à entendre une porte s’ouvrir, puis des hoquets tandis que des pas se mettent à battre le pavé. « Tristan ! Pardonnez-moi, je vous en prie...Tristan, par pitié... » Je ferme les yeux tout en baissant la tête, ne souhaitant pas la rejoindre, ayant de toute façon beaucoup trop mal pour cela. Des larmes se mettent à rouler sur mes joues tandis que je l’entends scander mon nez à travers la nuit.

CHAUDRON BAVEUR, ANNÉE 1997.
Une valise dans chaque main, je m'avance vers le comptoir du célèbre bed and breakfast londonien, tenant aussi lieu de bar en ce moment-même, dans le but de me louer une chambre. Je n'ai pas fais deux pas que j'aperçois déjà une table où deux mangemorts sont accoudés. Détournant le regard, je sers la mâchoire tandis que je continue d'avancer, contenant avec difficulté la rage qui monte en moi à chaque fois que j'aperçois l'un de ces abrutis. « Monsieur ! » Je détourne le regard du comptoir pour trouver celui du jeune homme devant tout juste avoir la majorité, qui semble vouloir m'interpeller. « Brillante constatation. » je me contente de lui répondre en reprenant mon chemin, comme ci de rien n'était. « Mais attendez... » reprend-t-il en me coupant la route. Je grince des dents ; il commence vraiment à devenir encombrant. « Attendre quoi ? » Dans les temps qui courent, beaucoup de choses peuvent être attendues plus longtemps que l'on ne le pense ; le dégel en cette froide saison hivernale, le retour des beaux jours, que le temps passe et bien évidemment, la victoire de son camp à la fin de la guerre en cours. « J'ai besoin d'aide. » Je hausse brièvement les épaules. « En quoi cela me regarde ? » Je ne cherche plus à avancer, scrutant l'adolescent du regard, attendant la suite. Sûrement n'est-ce pas une bonne chose de lui montrer qu'il a réussi à retenir mon attention, mais si tout se résumer à une question d'ego, nous n'aurions certainement pas fini. « C'est pour retrouver quelqu'un... » Je lui fais aussitôt signe de se taire. Jetant un rapide coup d'œil vers la tablée de mangemorts, je remarque que ceux-ci ne nous regarde pas, bien trop occupés à s'empiffrer, accompagnant leur repas d'énormes quintes de bièraubeurre. Me retournant alors vers le jeune homme, je pose mes valises au sol avant de tirer une carte de visite de ma cape. J'enfouis le petit morceau de papier entre les doigts de l'adolescent, avant de lui dire : « Ce soir, vingt heures, à l'adresse indiquée. Compris ? » Il hoche la tête, avant de tourner les talons, comprenant enfin qu'il ne s'agit pas de s'attarder ainsi dans un lieu public. Un instant, je le regarde partir. Ainsi, mon affaire reprend du service pour la première fois depuis l'affaire Hudson.




Dernière édition par Tristan Everdeen le Dim 20 Jan - 19:54, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 22:04

MON TRISTAN. :puppy:
Avec toi pour le jouer en plus, je ne pouvais pas espérer mieux. :héé: (by the way, c'est fait pour ton adresse mail :fall: ) Bienvenue une nouvelle fois (x5), bon courage pour ta fiche et merci encore d'avoir pris mon petit Tristan. *hyperventile* N'hésite pas à m'harceler de MPs en cas de besoin même si tu connais déjà la maison. :héhé:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 22:09

Vas-y, comment tu me flattes, je vais rougir après :héé:
Merci à toi et t'en fais pas, j'hésiterais pas si j'ai des questions, parce que je veux bien le faire et qu'en plus j'ai pleeeeein d'idées :fall:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 22:52

Je suis née pour te faire rougir, voyons. :héé:
J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de Tristan, surtout si tu as plein d'idées. :sexe:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 13 Jan - 23:10

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAN COMMENT TU GÈRES :bed: :bed2: :sex:
CTE CLASSE ME VOILA DÉCÉDÉE :red: :love:
REREREREREREBIENVENUE ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE :red:
SCENARIO QUI GÈRE :red:
Méfie toi, encore un et on est à égalité de comptes :héé:
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Malia Terrell
Malia Terrell
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : MARY-W. +marie.
≡ hiboux envoyés : 7022
≡ date d'arrivée : 14/04/2012
≡ tes points : 0 points.
≡ ta disponibilité rp : 0/3 pris.
≡ ton avatar : alexandra dowling.
≡ tes crédits : @alaska (avatar) ; tumblr (gifs) ; birdy, wings (quotes).
TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Tumblr_nxre1bibR41s2dwuso1_250
≡ âge du perso : uc.
MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 2:11

KILI :red: :bed:
REREREREREBIENVENUE :bg:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 6:35

Merci tout le monde :bg:
Hester, je fais gaffe t'sais, j'ai pas envie d'arriver à égalité avec toi, après je pourrais plus dire que tu joues les schizos :siffle:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 9:44

omg rebienvenue avec ce canoooon
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 10:27

Re(...)bienvenue :héé: & bon courage pour cette fiche I love you
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 18:03

Rooooooooooooh t'as craqué !!!! :puppy: Enfin t'as bien fait de craquer :please: Comme t'es canon comme ça :bave: Ca donne envie de mater BH :red:

Bon courage pour ta fiche ! :yay:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeLun 14 Jan - 18:35

Merci à vous trois :puppy:
Mais ouais, Aidan est sexy :fall:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeMar 15 Jan - 23:27

Ho my gad te voila enfin :puppy: (ouai je sais pour moi, ça ne fait pas longtemps finalement...)
re-Bienvenue !

Au plaisir que tu me poursuives :héhé: ( et fou pas en miette le coeur de ma soeur!)
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeMer 16 Jan - 6:55

Comment ça "enfin" ? J'ai pas été si longue que ça :boudin:
Merci :potté:

Tu sais vraiment pas dans quoi tu te lances sérieux :héé: (je fais ce que je veux :arrow:)
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeMer 16 Jan - 7:30

    REUHBienvenue sur PI! :puppy: I love you
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeJeu 17 Jan - 21:37

Merci beaucoup :coeur:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 20 Jan - 20:36

Aon. Je ne pouvais pas imaginer meilleur Tristan, tu as retranscrit à la perfection ce que j'imaginais pour lui (voire plus, c'est ce que j'aime). Je suis vraiment super super super contente que ce scénario soit entre tes mains. Réserve-moi le plus hawt de tes rps, yo. *sbaf* :siffle: T'es la meilleure Noémie. :héé:

ta fiche est validée
tu es officiellement un pienx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x


hurray te voilà lancé dans le grand bain ! C'EST QUE TU ES MOTIVÉ DIS DONC ! Alors en cadeau, tu as le droit d'apprendre à faire la vaisselle (ou pas hein, :mdr:). Délire passé, je t'ajoute à ton petit groupe, de ton côté, pense à faire toutes les démarches nécessaires à ton arrivée sur le forum et il y en a, à faire :
Pour aider à la bonne marche des répartitions et du forum tout simplement, n'oublie pas non plus de recenser la maison et le rang de sang de ton personnage : ça peut toujours aider, et si tu as soudainement alzheimer, tu pourras toujours revenir dans ce sujet pour voir où se situe ton personnage. Petit bonus du hors jeu, tu auras bien entendu la possibilité de créer un scénario pour ton personnage, sans oublier de recenser l'avatar de celui-ci également (a). Pense aussi a remplir ton profil, au moins la partie concernant le personnage histoire que les autres membres puissent savoir son âge, sa maison et compagnie rapidement (a) Ceci dit, le remplir en intégralité, c'est encore mieux Rolling Eyes

Dans le monde de la magie, si ton personnage est un adulte, pense à recenser son emploi à Poudlard ou ailleurs. Ensuite si ton personnage est un élève érudit ou un adulte, pense à recenser son patronus ou sa capacité spéciale (facultative). A Poudlard, ton personnage a la possibilité de faire partie de l'armée de Dumbledore ou des préfets ou de l'équipe de quidditch de sa maison, à toi de voir (a).

Outre cela, n'oublie pas que tu peux également faire gagner des points à ton actuelle ou ancienne maison et gagner des cartes chocogrenouilles, essentielles à l'avenir du jeu, grâce à ton activité. Donc n'hésite pas à te lancer de le rp, nous rejoindre dans le flood, voter sur les topsites et de laisser un petit mot ici :coeur:


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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitimeDim 20 Jan - 21:28

Haan, c'est trop chou ce que tu dis, j'espère que je continuerais à être à la hauteur en rp du coup :potté:
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MessageSujet: Re: TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.   TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me. Icon_minitime

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TRISTAN ◮ but the arms of the ocean deliver me.

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