lorcan h. armstrong

17 ANS ◊ SANG PUR ◊ hogwarts is our home

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY lorcan armstrong 7e ANNÉE SERDAIGLE

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Lorcan, sculptée avec soin du bois d'un sureau, d'une rudesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que 11 ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : puissance, agilité et rapidité sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un ventricule de dragon qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Lorcan est partagé. Il en veut énormément au Seigneur des Ténèbres, car pour lui, il est responsable du fait qu'il ai du grandir sans père et qu'il soit ainsi détesté par sa mère. Mais en même temps, il lui en est reconnaissant, car sans ça, il n'aurait jamais eu sa petite soeur - même si ça a malgré tout transformé sa vie en enfer. Lorcan trouve cet homme méprisable. Même s'il est d'accord avec lui sur certains points, jamais il n'irait le rejoindre. Il ne veut pas prendre la place de son père, dont il ignore encore le sort aujourd'hui. Et puis, depuis la transformation physique du Lord, il lui fait vraiment peur, et pourquoi voudrait-il être du côté d'un homme qui n'hésiterait pas à le tuer à la moindre contradiction ?

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Lorcan a beaucoup de respect et d'admiration pour les membres de l'Ordre. Pour lui, ce sont les sorciers les plus courageux qui existent. Cependant, il pense parfois qu'ils sont un peu suicidaires, à combattre un mal impossible à abattre, car le Seigneur des Ténèbres n'est pas suffisamment humain pour être tué. Malgré ça, Lorcan pense tout de même à les rejoindre une fois sorti de Poudlard, car ils ont besoin de toute l'aide possible. Et puis, les membres de l'Ordre ont l'air d'être des gens bien, qui acceptent les autres comme ils sont, ce qui serait un grand changement pour Lorcan.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Lorcan vit très mal la situation actuelle. Il se sent mal à chaque fois qu'il entend parler de nouvelles victimes moldues, car même s'il les détestes, il sait que si sa soeur est encore en vie quelque part, ça sera chez eux. Il n'a pas peur pour sa mère et son beau-père. S'ils mourraient, il s'en ficherait complètement. Et il n'a pas vraiment peur pour lui non plus, car il sait que la peur de sa mère le protégera, cette sorcière ayant déjà retourner sa veste plusieurs fois avec la première guerre. Lorcan espère vraiment que le Seigneur des Ténèbres finira par disparaître, et définitivement, et s'il peut jouer un rôle, il n'hésitera pas, même s'il en a vraiment très peur.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ Iris TON ÂGE Ҩ 16 ans CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Mathias Lauridsen PERSONNAGE Ҩ inventé TON AVIS SUR PI Ҩ Le design et les codages sont vraiments beaux et les membres ont l'air géniaux OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Dans mon portable, c'est naturellement venu dans une conversation et je me suis inscrite suite à un harcèlement, un voeux de génie, et une inspiration soudaine - genre je regardais la Belle et la Bête et puis d'un coup PAF ! j'étais inscrite 8) CONNEXION Ҩ 5/7 (sauf cas d'extreme méchanceté de la part de mes profs qui aiment les devoirs) UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ Dans mon monde à moi, y'a que des poneys. Ils mangent des arcs-en-ciel et ils font des cacas-papillons.

"Être adulte, c'est avoir pardonné à ses parents"

C’est l’histoire d’un garçon qui, en naissant, a causé la douleur et la détresse de sa pauvre mère qui le haïssait déjà avant même de le connaître. Ce n’était pas sa faute, pourtant, mais jamais sa mère n’assumerait ses erreurs, alors c’était à lui d’en porter le fardeau à sa place. Comme si Lorcan était responsable de l’arrestation de son père, comme si c’était sa faute si son Mangemort de père s’était fait arrêté à la chute du Seigneur des Ténèbres, laissant sa mère seule avec l’enfant d’un meurtrier, seule avec une réputation de monstre. Pourtant, ce quatre mars, elle en avait décidé ainsi, car même si elle niait à présent avoir été au courant des agissements de son époux, elle aurait toujours cet enfant qui la relirait à lui. Cependant, ce n’était pas dans ses habitudes de se laisser faire par le destin. Elle allait lutter, même si le malheur semblait la poursuivre.

Moins d’un an après sa naissance, Lorcan se retrouvait déjà avec un beau-père qui le détestait autant que sa mère, qui était enceinte une nouvelle fois. Sa mère et son beau-père avaient décidé qu’il devait porter le nom de son beau-père, dans l’espoir d’effacer le lien entre leur famille et le meurtrier enfermé à Azkaban qui en avait autrefois fait parti. Trop jeune pour comprendre, Lorcan avait cru être vraiment le fils du nouveau mari de sa mère. Ils faisaient semblant. Mais sa petite sœur adorée, Alison, était de loin la préférée des parents. Elle était l’enfant aimée et désirée, tandis que lui était celui à qui on donnait toutes les corvées. On aurait pu croire qu’ils se détesteraient, mais c’était tout l’inverse. Alison adorait son grand frère, et Lorcan considérait sa petite sœur comme une merveille, un trésor qu’il fallait à tout pris protéger du monde cruel dans lequel ils vivaient.

C’est à ses huit ans que Lorcan a appris que le mari de sa mère n’était pas son père. Il lui a hurlé dessus un jour pour avoir fait tombé une bouteille, et a laissé échapper la vérité. C’était logique, finalement. Dans les familles de sang pur, les héritiers mâles étaient généralement préférés aux filles. Mais cet aveu forcé rendait tout ça normal. Lorcan avait alors su que son père était à Azkaban, enfermé avec les autres mangemorts arrêtés. On lui a dit qu’il devait en avoir honte et ne rien dire de ses véritables origines. Il ne sait même pas le nom de son père, mais il s’en fiche pas mal. Il avait peur que sa sœur se mette à le détester, comme ses parents, mais c’était tout l’inverse. Ils passaient des heures à discuter de tout ça. Quoi qu’on en dise, c’était sa sœur, et puis c’est tout.

L’été suivant ses 11 ans, Lorcan a reçu une lettre de Poudlard, comme tout les jeunes sorciers de son âge. Il avait trouvé sa lettre posée sur la table de la cuisine, un matin, quand sa mère et son beau-père étaient déjà partis travailler. Il avait d’abord été déçu qu’ils n’aient pas trouvé ça assez important pour ouvrir sa lettre avec lui, mais Lorcan avait depuis longtemps compris comment fonctionnaient ces gens. Si sa mère avait été là, elle lui aurait simplement dit « c’est bon, on sait depuis toujours que tu allais recevoir cette lettre, c’est pas comme si c’était un grand événement ». Mais quand il était monté réveiller Alison pour lui raconter que sa lettre était enfin arriver, elle s’était montrée à la hauteur. Peut-être encore plus excitée que lui, elle avait listée toutes les choses géniales qu’il pourrait faire là-bas. Vint ensuite le temps des faire les courses de rentrée. Il aurait du les faire seul si Alison n’avait pas insisté pour venir avec lui. Sans les parents. Elle avait été géniale, encore une fois.

C’était enfin le jour de sa rentrée à Poudlard. La toute première. Sans être complètement flippé, Lorcan devait bien avouer qu’il appréhendait énormément cette journée. Il était pressé de connaître sa maison, par contre. Contrairement à beaucoup de jeunes sorciers, il n’avait aucune idée d’où il allait bien pouvoir atterrir. Heureusement, le Choixpeau a choisi pour lui. Serdaigle. Bleu et bronze. La maison dont la salle commune était dans une tour d’où on pouvait voir le lac, magnifique vue. Par contre, au début, il avait un peu de mal avec les énigmes, n’étant pas habitué à résoudre ce genre de chose, et il lui arrivait parfois de dormir par terre en attendant que quelqu’un d’autre arrive avec la réponse. L’année d’après, Alison vint avec lui à Poudlard. Une petite Gryffondor dans l’âme, elle a évidemment rejoint cette maison. Lorcan était un peu déçu, mais continuait à la surveiller de loin.

En cinquième année, Lorcan a passé ses BUSE. Il a réussi toutes les épreuves sauf en astronomie, matière qu’il n’a jamais réussi à comprendre. Sa mère l’en a à peine félicité, et son beau-père lui a dit qu’il était un abruti pour avoir loupé ainsi ses examens. Mais avec l’âge, il se moquait maintenant complètement de leur avis. Il avait depuis longtemps compris qu’ils étaient stupides. Cependant, depuis le début de ses études, ses « parents » avaient vraiment changé avec le retour du Seigneur des Ténèbres. Lorcan connaît bien sa mère, il sait que lors de la première guerre, elle était du côté du Seigneur des Ténèbres et qu’elle avait retourné sa veste à sa chute. A présent, il se demande ce qu’elle compte faire pour se protéger. Lui, en tout cas, il ne veut pas devenir Mangemort comme son père, sûrement encore à Azkaban. Car s’il n’y était plus, il aurait sûrement pris contact avec lui. C’était ce dont il voulait se convaincre, en tout cas. Quant à son beau-père, il se disait neutre depuis toujours, mais Lorcan savait bien que c’était un lâche qui ne voulait juste pas prendre de risque personnel. Du coup, Lorcan ne peut pas trop en parler à Alison sans risquer d’être écoutés. Pour vraiment se parler l’un à l’autre, ils devaient aller chez les moldus, dans les villes dénuées de magie. Alison les adorait tellement que ça faisait plaisir à Lorcan de l’y emmener.

Tout s’est écroulé le 28 décembre, à la fin des vacances de Noël. Alison avait supplié Lorcan de l’emmener en ville malgré la neige qui tombait et le froid ambiant. Comme toujours, il avait cédé. Il ne savait pas lui résister, c’est une faiblesse qu’il ne pourra jamais se pardonner. Elle avait voulu aller au supermarché voir les CD, elle avait une préférence pour la musique moldue. Lorcan l’avait donc conduite jusqu’au rayon, avec l’argent moldu qu’il cachait dans un coin de sa chambre pour ce genre de dépenses. Mais il y avait énormément de moldus dans le magasin, et Alison avait demandé à Lorcan de l’attendre près de la caisse pour perdre moins de temps. Elle avait quinze ans, ce n’était plus une petite fille dont il fallait tenir la main, Lorcan avait donc accepté. Il avait attendu un quart d’heure, puis une demi heure. Il avait commencé à trouver le temps vraiment long, et avait décidé d’aller la retrouver pour lui dire de se dépêcher. Sauf qu’elle n’était plus au rayon des CD. Lorcan avait commencé à paniquer et avait fouillé le supermarché, rayon par rayon. Il l’avait fait appeler à la caisse plusieurs fois, mais rien. A la fermeture du magasin, on lui a demandé de sortir car il n’y avait plus personne. Lorcan s’était accroché à l’espoir qu’Alison avait voulu lui faire une farce en rentrant sans lui, juste pour l’embêter, comme elle savait si bien le faire. Mais en rentrant, toujours rien. Une semaine plus tard, toujours rien. Sa mère et son beau-père l’ont accusés d’avoir fait du mal à sa sœur pour toucher une plus grande part de l’héritage familial. Ils étaient même allés jusqu’à prévenir les autorités moldues, mais rien à faire, elle semblait avoir disparu de la surface de la Terre.

Lorcan est retourné à Poudlard. On lui posait pleins de questions sur Alison, les autres se demandaient où elle avait pu passer, évidemment, mais Lorcan n’avait aucune réponse à leur donner. Il avait commencé à éviter les gens pour se faire oublier, et à la fin de sa sixième année, il se rendit compte que plus personne ne s’intéresser à cette histoire. Les disparitions étaient fréquentes, depuis le retour du Seigneur des Ténèbres, et tout le monde la considérait comme morte. Sa haine nouvelle pour ces stupides moldus aurait même pu le conduire tout droit chez le Seigneur des Ténèbres s’il n’avait pas su qu’Alison n’aurait pas apprécié. Et puis, malgré toute la magie qu’elle a en elle, Lorcan a peur que des partisans du Seigneur des Ténèbres ne s’en prennent à elle en la confondant avec une vulgaire moldue.