primrose a. wells

17 ANS ◊ SANG PUR◊ SERDAIGLE

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY p. aphrodite wells 17e ANNÉE SERDAIGLE

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Aphrodite, sculptée avec soin du bois de rose, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que dix ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : Colère, douceur et impulsive sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilège. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une larme de sirène qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Voldemort... Je n'ai pas peur de lui, de toute façon, je ne suis pas une peureuse. Je n'aime pas ses idées, je trouve cela horrible de vouloir avoir le pouvoir absolu et de massacrer des familles entières. Je sais que mes parents, eux, même si ils ne sont pas des mangemorts, aiment ses idéaux ce qui me fait peur. Je ne sais pas ce que je ferais si mes parents m'apprenaient qu'ils devenaient des mangemorts et donc, que moi aussi je devrais en faire parti. Par contre, si on me le demandais, je pourrais me battre contre lui, pour ma liberté, pour mon futur.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Et bien, je n'aime pas réellement prendre parti, je préfère rester neutre et dévoiler au dernier moment mon camp. Alors, je fais croire à tout le monde que je trouve les membres de l'ordre du phénix totalement fous alliés alors quand réalité, je partage totalement leurs idéaux. Je pourrais éventuellement rejoindre leur rang si je me rendais compte que rien ne va plus dans mon monde mais ça, ce sera sûrement dans très longtemps.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?
J'essaie de ne pas y penser. Après tout je suis jeune, je n'ai que dix-sept ans, ce n'est pas à moi de me battre contre les forces du mal mais mes parents. Je préfère mener ma vie d'adolescente et fermait les yeux sur ce qu'il se passe autour de moi. Je sais que cela peut paraître horrible mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour pouvoir dormir tranquillement, sans faire de cauchemars.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ Miam. TON ÂGE Ҩ 17 ans. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Vanessa Hudgens. PERSONNAGE Ҩ Scénario. TON AVIS SUR PI Ҩ J'adore. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Par bazzart. CONNEXION Ҩ (3j/7). UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ //.

"Il était une fois..."

Le calme complet, l'apaisement d'un monde inconnu, mais pourtant réel. J'étais moi, mais moi n'était pas encore ce que j'étais. J'étais dans une bulle, un cocon, une protection m'entourait, mais je la sentais se casser, se défaire. J'allais tomber je le savais, je n'en avais plus pour très longtemps. Ça bougeait autour de moi ou plutôt c'est moi qui bougeai, c'était très étrange toutes ces sensations. Je me sentais poussé hors de mon nid, mais je résistai, je m'accrochai de peur de ne plus être dans mon nid tout chaud, et soudain la pression qu'on exerçait sur moi se relâcha. Mais on ne me laissa pas tranquille pour autant, on m'embêtait encore et cette fois on m'attrapa. Je cris, je n'arrivai plus à respirer, je m'étouffai, j'avais besoin d'aide, j'avais besoin de ma bulle mais, elle n'était plus là. D'un seul coup, l'air entre dans mon corps, cela me faisait terriblement mal, mais, je n'avais pas le choix, on ne me laissa pas le choix. Puis vient une lumière qui m'aveugla, moi qui ai toujours vécu dans le noir voilà quelque chose de blanc, de clair et puis des couleurs, des visages étaient autour de moi, on me regardait, mais je ne savais pas où je suis, j'avais peur. Perdu, voilà le mot qui me définissait, je ne savais que faire ni quoi penser, tout ce que je voulais c'est qu'on me laisse en paix et dormir. Quelque chose de chaud m'entoura mais, je ne voyais pas ce que s'était. Brusquement je ne voyais plus rien, ça faisait trop mal. Je me mis à pleurer et j'entendis d'autres cries de larmes, je n'étais pas seule, ma mère était là, celle qui m'avait accompagné pendant ma formation. Soudain je l'entendis, la voix qui m'était tant familière, que j'ai écouté pendant neuf mois. Et maintenant je compris, j'étais enfin moi.


Aujourd'hui c'était le grand jour, j'allais enfin à l'école pour la première fois de ma vie. J'allais quitter ma mère pour aller avec des inconnues. Je me préparai ou plutôt, maman me préparait pour que je sois toute jolie et bien coiffé. Quand elle eut finie je me retournai vers ma mère, celle qui a toujours été là pour moi, je lui sautai dans les bras et murmurai-je.

« J’ai peur d’aller là-bas, je veux pas qu’on soit séparé… »

Je vouai un culte inestimable à ma mère. Je me sentais énormément proche d’elle et je n’avais jamais été séparé d’elle. Enfin nous partîmes tous ensemble pour l’école et je deviens de plus en plus nerveuse. Je pris la main de ma mère dans la mienne et je la serrai fortement ce qui me rassura. Quand nous arrivâmes à l’établissement je me mise à pleurer en m’accrochant désespérément à ma mère. Je ne voulais pas me séparer d’elle, bien qu’elle tentait de me calmer et de me rassurer comme elle le pouvait, rien n’y faisait, je restai inconsolable. Au bout d’une dizaine de minutes, voyant que je n’étais pas près de laisser ma mère repartir sans moi, une dame me prit de force et m’emmena dans la classe. Ce fut une déchirure pour moi…


« Viens là ma chérie, je vais te raconter ma rencontre avec ton père. »

J'avais toujours voulu savoir cette histoire mais, ma mère m'avait toujours dit qu'elle me la raconterait plus tard. Cette fois j'allais enfin savoir ce qui s'était passé entre eux. Elle me raconta que c'était un soir d'hiver, qu'elle rentrait toute seule. Lui ne savait pas trop où il allait et il courait dans tous les sens pour faire passer le temps. Ils s'étaient rentrés dedans et cela avait été le coup de foutre, ma mère était tombée dès le premier regard fou de lui. Et quelques années après j'étais née, j'avais vu le jour dans l'hôpital de Londres...



« Voyons Prim', tiens-toi droite ! Tu ne pas être aussi gentille et intelligente que ta sœur ? Regarde-là, elle est parfaite ! Prends exemple sur elle ! »

Comme d'habitude mon père me faisait des reproches. Je n'étais jamais assez bien pour lui, je n'arrivai jamais à la cheville de ma jumelle. Aussi loin que je m'en souvienne, j'avais toujours été dans l'ombre de ma soeur, je n'avais jamais réussie a être la préférée de mon père. Pourtant, je faisais tout ce que je pouvais, je passai mes journées a faire tout ce qu'il demandait, à me montrer polie et mature. Je n'allais jamais jouer avec les autres enfants, je restai tout le temps avec mon père. Ma soeur, quand à elle, était très méchante avec moi, elle me mettait toujours des bâtons dans les roues pour rester meilleure que moi. Je me rappelle d'une fois quand j'avais cinq ans, ma soeur m'avait enfermé dans la voiture toute la journée pour faire croire à notre père que j'avais oublié son anniversaire. Depuis ce jour, j'ai juré de devenir la meilleure en tout.


" Cher journal,

Bien des choses se sont passés depuis mes seize ans. Tout d'abord, je suis rentré avec ma jumelle à Poudlard à Serdaigle. Elle, elle est parti chez les Serpentards ce qui fit la fierté de mon père. Ma jumelle était devenue au fils du temps, la rebelle de la famille, celle qui n'en faisait qu'a sa tête. C'est donc tout naturellement que mes parents ont décidé que ce serait moi la fille à marier. C'est ainsi que j'ai rencontré Aymeric, mon potentiel futur fiancé. Mais comme une cruche, je me suis entiché de lui alors que je vois bien qu'il ne m'aime pas, qu'au fond, il n'en a rien à faire de moi. Mais je fais comme ci je n'avais rien remarqué, comme si j'étais heureuse... "


Ce pouvoir, c'est mon père qui me l'a appris. J'ai toujours été très attiré par « la magie noire », pouvoir contrôler les autres, entrer dans leur esprit pour tout savoir. Au début, à l'âge de seize ans, je suis allé voir mon père pour qu'il m'apprenne à devenir un légilimen. Etant de la famille des Wells, presque tous les membres de cette famille ont appris une particularité. Cette tradition, remonte au temps de Voldemort quand notre famille était à son service. Les Wells, ont toujours été très proche de lui, l'ont toujours servis et lui ont toujours étaient fidèles. Notre branche, bien qu'elle était renié, à garder les traditions de la famille comme, le fait qu'il ne pouvait pas y avoir de mariage entre sang-pur et sang-mêlé ou en sang-pur et moldus. Apprendre une particularité, est également resté dans nos traditions. Mes grandes soeurs avaient déjà commencé leur entraînement alors que moi, je ne savais pas encore ce que je voulais choisir. A mes dix-sept, être un légilimen était devenu une évidence, je voulais être capable de manipuler les autres. Mon père, était le seul légilimen que je connaissais, j'avais donc dû aller le voir pour lui demander de m'apprendre à en être un. Il avait froncé les sourcils, peu convaincu que je puisse un jour y arriver et m'avait lancé lâchement « Je ne veux pas perdre mon temps Aphro', tu n'es pas assez douée pour en être un ». Cette phrase m'avait mis hors de moi. Il était vrai que je n'utilisais pas la magie, je n'aimais pas cela, réciter des formules magiques, très peu pour moi. Mais ce n'était pas pour autant que je n'étais pas doué dans une autre chose. Je savais que si j'avais de la volonté, je pouvais y arriver, j'en étais certaine.

J'avais dû, pendant plusieurs mois, harceler mon père pour qu'il cède à ma demande, ce qu'il fit. Devenir un legilimen était très dur, beaucoup plus que ce que je ne m'imaginais. Souvent, après chaque entraînement, je ressortais avec un mal de crâne affreuse, parfois il m'arrivait également de faire des malaises. Mon père m'avait alors dit « Avant d'entraîner ton esprit, tu dois entraîner ton corps ». Je m'étais donc mise à faire du sport, plusieurs fois par semaine. Mon entraînement dura un an avec que je n'arrive à pénétrer dans l'esprit de mon père. D'un seul coup, j'entendis toutes ses pensées, je vis tous ses souvenirs, je ressentis toutes ses émotions, je savais tout de lui. Je n'ai pas réussi à le contrôler, j'ai simplement pu entrer pour regarder mais j'en étais quand même très fière. J'avais réussi. J'avais prouvé à mon père que je n'étais pas une raté, que j'étais un légilimen. Aujourd'hui, je ne peux toujours pas contrôler les personnes, je ne peux toujours pas les manipuler. Mais je sais qu'à force de m'entraîner, j'y arriverai et je prouverai à toute la famille que je suis bien meilleure qu'eux, que je mérite ma place dans la célèbre et puissante famille Wells.