demelza sybille robins

16 ANS ◊ SANG MÊLÉ ◊ HOGWART IS OUR HOME

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY Demelza Robins 6ème année Gryffondor

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Demelza, sculptée avec soin du bois d'un sequoia, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que 11 ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : chance, autonomie, capacité à retourner toute situation à son avantage sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en enchantements. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un crin de licorne qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Demelza ne pourra jamais se ranger du coté obscur de la force. Déja, parce qu'elle a trop regardé Star Wars dans son enfance, ensuite, parce que d'un point de vue esthétique, c'est vraiment moche. Le leader est chauve (c'est tellement cliché) et n'a plus de nez, ses disciples n'ont aucun sens de la mode, et leurs masques sont vraiment has been. Sans compter que tuer des innocents en riant comme un demeuré, c'est pas sa tasse de thé. Dem ne sait pas s'il va gagner, mais si cela devait arriver, elle se trouvera un sorcier étranger et hasta la vista. La demoiselle n'a aucunement l'intention de vivre dans un pays où il pleut en permanence et où tout le monde déprime, bonjour l'ambiance ! Du coup, elle parie sur Potter, par solidarité de co-équipière de Quidditch.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ?Ils sont gentils mais... qu'est ce qu'ils servent à rien ! Comme dit son père, s'ils veulent gagner la guerre, ce sera pas en tentant d'attraper les méchants, ce sera en les tuant. Et donc Dem trouve un peu débile qu'ils soient tous en train de piailler pour des procès et qu'ils semblent tout simplement totalement désorganisés. On les voit arriver en retard lors des bagarres, ils laissent kidnapper la moitié des habitants du pays sans vraiment de résistance... Elle n'a pas l'intention de les rejoindre, même si les aider de temps à autre ne la dérangerait pas. C'est pas son type d'être une héroine, une martyr, et comme elle se connait bien, faire parti d'une organisation secrète et devoir, de ce fait, garder des secrets, c'est trop galère. Enfin, ils ont apparemment quelques beaux gosses dans leurs rangs, et ca c'est un bonus.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?Demelza aimerait dire qu'elle survit difficilement, qu'elle doit lutter tous les jours, mais en fait, ben, ca se passe plutôt bien. Enfin, autant que la vie à Poudlard peut se passer avec deux jumeaux consanguins et détestant les enfants au pouvoir (sérieusement, elle préfèrait limite Ombrage). Elle fait la jolie fille, polit son balai, utilise ses bonnes manières pour ne pas prendre de linchage, et ferme sa grande bouche au lieu de sauter sur la moindre occasion de remettre un bébé mangem*rde à sa place. Ca la gonfle quand même de devoir lancer des sorts de magie noire, qui lui laissent toujours un arrière gout de corruption dans la bouche, mais elle se dit qu'il vaut mieux les connaitre et les lancer que se les prendre. Avouons le, la petite tête de Demelza se préoccupe plus de garçons, de commérages et Quidditch que de torture, domination mondiale et statuts du sang.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ Triaga TON ÂGE Ҩ 21 ans CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Kasia Struss <3. PERSONNAGE Ҩ de la saga (fin j'suis allé chercher loin j'avoue xD). TON AVIS SUR PI Ҩ super design ** OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ bazzarti. CONNEXION Ҩ tous les jours, mais rps 2/7. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ le pouvoir de la force est en moi o/

"ce n'est pas parce que je suis blonde et maigre que je ne peux pas t'arracher la tête avec une batte"

Demelza est une "moitié-moitié". Un père sorcier, une mère moldue, et une famille recomposée trop cool. Il faut dire que maman a fait la tronche le jour où son cher paternel lui a révelé que si sa fille ainée volait dans sa chambre tel peter pan, c'était parce qu'il lui avait transmis ses pouvoirs magiques. Deux ans plus tard, pam le divorce, et Demelza a suivi sa mère en Irlande, où elle a osé épouser un PROF. Sérieux quoi? Un prof de maths, en plus, qui lui a donné deux soeurs, et un petit frère. Eux n'ont pas de pouvoirs du tout, alors Dem est la petite fée familiale ! Du coté de son père, remariage aussi avec une sorcière qu'elle n'aime pas, et une autre soeur. Ca en fait des gamins à s'occuper? Et bien non ! Demelza n'a jamais levé le petit doigt pour aider sa mère, ou ses demi-frères et soeurs. Qu'ils se débrouillent, elle préfèrait faire la cuisine, aller à l'équitation et écouter de la musique avec ses copines. Un peu ronde enfant, elle a eu de sacrés bonnes cuisses avec le cheval. Bien sur, dés neuf ans, sa croissance aidant, la demoiselle a commencé à redevenir un fil de fer sans une once de graisse; pas le temps de manger, il y avait toujours quelque chose à faire d'autre !
C'est l'année de ses onze ans que son père lui a expliqué qu'elle était inscrite dans une école pour sorciers, et lui a demandé de choisir entre suivre toutes ses copines dans l'école du quartier, en moldue, ou partir en Ecosse. Déja indépendante et n'ayant pas froid aux yeux, désirant s'éloigner de sa mère, elle accepta. Elle avait de toute manière toujours su être différente, ne pouvant pas parler de ses pouvoirs, du métier de son père, des accidents magiques de sa demi-soeur, ce qui lui faisait penser qu'une fois à Poudlard, elle pourrait se faire de vrais amis qui comprendraient.
Erreur ? Un peu des deux ! Répartie à Gryffondor, Dem' se fit rapidement remarquer en cours, par ses gloussements, ses baillements, sa manie d'utiliser des stylos à plume avec des cartouches plutôt que des plumes d'oiseau, ses références à des shows télévisés mais surtout sa taille de fée blonde innocente. Surnommée Clochette par des camarades née-moldue, elle était appréciée des autres, mais se fit rapidement des ennemis, aussi. Des gens n'aimant pas la voir faire référence à tout bout de champ au monde moldu tout en étant une parfaite sorcière. Elevée entre les deux mondes, elle y avait pris le meilleur, et pouvait paraitre un peu snob. Et même un Basilik ne lui suffit pas pour la fermer. A 13 ans, elle réussissait à entrer dans l'équipe de Quidditch, en remplacante, tout en maintenant une petite cour personnelle de fillettes qui lui demandaient des conseils d'ordre féminin. Et ce qui était bien quand on avait une maman journaliste pour la rubrique féminine de la feuille de chou de la ville, c'était être reconnue comme THE experte. Dem' se fit admirer, encore, détester, comme d'habitude, malmener, en envoyant ses ennemies à l'infirmerie, mais surtout, elle attira l'attention des garçons. Trop jeune pour le Bal du Tournoi des Trois Sorciers? Et ben même pas ! Une robe bleue ceintrée, un accent francais mal fait, et un jeune homme de Durmstrang l'avait invité en la prenant pour une Beauxbatons. C'était pas mal de faire près d'1m60 à 14 ans, hmm?
Il y eut toutefois un revers à cette soudaine attractivité, et ce fut la perte de sa virginité, quelques mois plus tard. C'était sans doute un peu tôt, mais il faisait chaud, sur la plage, et Dem ne se prit pas la tête à refuser des avances alors qu'elle trouvait le garçon très craquant. L'acte en lui même la laissa quelque peu perplexe, mais comme à son habitude, elle se prit en main pour s'améliorer, et si elle n'a toujours pas une réputation de marie-couche-toi-la, elle n'est pas mauvaise non plus.
Les années passèrent, encore, et Dem eut quinze ans. Entrant dans l'équipe, cette fois-ci en tant que titulaire, elle servit de poursuiveuse pendant que l'horrible crapaud rose s'acharnait sur Potter et ses amis. Elle commenca à faire profil bas ne voulant pas de cicatrices sur ses mains, mais se vengea en sport, et tomba... amoureuse. Oui oui. Ne voulant pas ressembler à une horrible poufsouffle soupirante, elle avoua ses sentiments au garçon de ses rêves, qui accepta pour sa plus grande joie d'apprendre à se connaitre, et toute idée de rébellion, de club secret lui sortit de la tête. Il n'y en avait plus que pour lui, son sourire, ses yeux, son corps et leurs plans qu'ils faisaient à deux. Etant déja une élève peu brillante, cela ne s'arrangea pas vraiment, mais la demoiselle n'y fit pas gaffe. Et l'année s'écoula. Et puis elle eut seize ans.
Plus qu'un an avant la majorité. Dem ne s'attendait donc pas trop à ce que les bonnes ou mauvaises choses ne lui arrivent maintenant, et pourtant, ce fut le cas. Sa mère, déja, qui se mit à faire une dépression - apparemment son cher professeur de mari avait outrepassé son 'taf avec une élève - l'obligeant pendant l'été à s'occuper des plus jeunes. Les courses, le ménage, la cuisine, tout cela l'empêchant de voir autant qu'avant ses anciennes amies. Et tout ça sans un merci, sans un encouragement, sans une proposition d'aide. Dem se rendit vite compte que toutes ses filles du voisinage avec qui elle avait passé son enfance crachaient sur son dos, que des rumeurs la disaient instable, croqueuse d'hommes, dans un pensionnat pour cas sociaux, et bien d'autres. Plus blessée qu'elle ne voulait bien le montrer, elle tenta de se reconcentrer sur ses amis sorciers, mais avec le retour officiel de Voldemort, plus personne n'osait vraiment sortir. Son petit ami, lui, il viendrait quand même, non? Et bien même pas. Lui sortant excuse sur excuse, il repoussait toujours leurs retrouvailles, jusqu'à ce qu'elle abandonne. Ses seuls plaisirs étaient la piscine, jouer avec ses petites soeurs ou regarder la télé, ce qui limitait quand même les possibilités. Elle se plongea dans la cuisine, finit ses devoirs, lut les livres pour l'année suivante, bref, ne ressembla pas beaucoup à la Demelza habituelle. Mais l'ennui était son ennemi mortel, et elle ne savait pas combien de temps elle aurait pu tenir avant de craquer quand vint septembre.
Et c'est là que les choses changèrent.

"c'est quand on ne voit pas venir la rupture que l'on valide le proverbe "l'amour rend aveugle""

« Comment ca, c'est fini ? Pourquoi ? Ca allait bien, non ? Si c'est parce que j'ai reluqué un peu Malfoy hier, je te dis tout de suite, tu es dix mille fois plus beau ! Il avait juste un nouveau pantalon super serré et.... - Non, c'est pas à cause de Malfoy Dem. - Alors à cause de quoi ? Tu t'es trouvée une autre fille ? Tu m'as trompé pendant les vacances ? Ou c'est parce que tu me trouves grosse c'est ca ? - Dem, mais calme toi ! T'es pas grosse, déjà, mets le toi dans la tête, et ensuite... non ce n'est pas à cause d'une fille. » Interrogation. Si ce n'était pas pour une fille qu'il voulait rompre, alors pourquoi voulait-il rompre ? Il dut sentir son incompréhension et reprit en baissant les yeux. « On est trop jeunes je trouve. Pour s'attacher, être tout le temps ensemble.. T'es une super fille tu vois, mais j'ai envie de profiter de ma jeunesse, et puis avec ce qui se passe en ce moment, tu penses pas qu'il vaut mieux... attendre ? » Oui, donc monsieur était un gros connard qui préfèrait attendre la fin de la guerre pour voir si elle était toujours en vie à la fin. Sang pur de m*rde ! Tout ça parce que lui ne serait surement pas touché par tout ça, il se permettait de la lâcher, et d'attendre ? De se trouver une petite mangemort en devenir et d'avoir des bébés à sacrifier pour leur Seigneur des Ténèbres ?
Enervée, la jeune femme lui cracha tout ça à la figure, le faisant s'enflammer à son tour. Si elle voulait jouer à l'idiote, très bien, ca rendait les choses plus faciles. Et elle ne savait rien de ce qu'il traversait, et si elle voulait garder la tête dans le sable c'était sans lui, etc etc. mais rien de ce qu'il ne disait n'avait d'importance, pas pour la butée Demelza. Il voulait la larguer ? Très bien ! Qu'il le fasse ! Elle n'avait qu'à claquer des doigts pour en trouver un autre, mieux, qui lui ne la lâcherait pas !!
Ca sonnait faux ? On s'en fiche ! Elle ne voulait pas faire plaisir à ce mec en lui montrant qu'elle était malheureuse, et elle se permit d'aller jusqu'à le gifler, avant de partir vers la tour. Trouver ses copines, pleurer un bon coup, frapper dans quelques cognards, et préparer son humiliation la plus totale. C'était la seule manière de l'oublier. Sauf que bien sur, quand on aime quelqu'un, ce n'est pas aussi simple, n'est ce pas ? Et elle avait beau le repousser, lancer des rumeurs, embrasser d'autres garçons, il était toujours là dans ses pensées. La faisant se sentir coupable. Ce n'était pas lui la victime ! C'était elle, qui s'était fait larguée. Alors pourquoi irait-elle mal, hein ? L'amour c'était trop compliqué. Trop chiant, trop douloureux.

Et sans même se rendre compte, l'année, encore, était passée à toute vitesse. Et puis Malfoy eut la brillante idée de faire rentrer des mangemorts dans Poudlard. Dans les cris, les sorts et les courses poursuites, Demelza avait suivi les plus jeunes gryffondors, protégeant comme elle pouvait, aidée par bien d'autres. Elle avait la peur au ventre, elle ne savait pas qui était ami ou ennemi, et pourtant, elle pensait encore à lui. S'inquiétant, se torturant l'esprit. Mais elle ne pouvait pas le retrouver, partir seule serait suicidaire, pour aller où ? Il pouvait être n'importe où ! Tout le temps que dura la bataille, elle demanda à chacun si on l'avait vu, tentant même de le retrouver par un patronus qui ne marchait pas, se rongeant les ongles. Elle était devenue meilleure pour s'occuper des plus jeunes, et tenta de rassurer les fillettes, que tout irait bien, sans en penser un mot.
Aussi, quand le calme revint, et la clameur suivant l'annonce de la mort de Dumbledore éteinte, et qu'elle le vit rentrer dans la grande salle, couvert de poussière, de sueur et possiblement blessé, la blonde s'oublia, se jetant dans ses bras de soulagement.
Pour se faire aussitôt repousser, avec une remarque qui fit rire nerveusement les autres. Trahison.

"quand on donne en exemple la consanguinité et qu'on tue le bonheur, c'est qu'il est temps de changer de discours "

Un nouvel été, cette fois-ci réellement morose. Du moins au départ. Après avoir digéré cette rebuffade publique, digéré l'attaque, digéré la mort du Directeur, et vu les débuts de la nouvelle politique du gouvernement, Dem s'est reprise. Hors de question qu'elle pleure plus encore sur un abruti ! Relevant la tête, elle a repris ses activités à la maison comme si de rien n'était, aidée par sa mère en rémission. Shopping, sorties, sport, rires, cinéma... Elle a fait le plein de souvenirs heureux, invitant ses amies sorcières à profiter du monde moldu. Romilda, ainsi que d'autres filles, vinrent ainsi égayer la maison de leurs gloussements, et toutes se confièrent, gagatisèrent sur les garçons, et se promirent de mettre le grappin sur de bons partis l'année prochaine. Ce ne fut que lors du retour à Poudlard que la jeune femme comprit qu'il y allait avoir des problèmes, avec l'arrivée des mangemorts. Et Rogue au pouvoir? Ewwww.
Voyant que Potter et ses comparses manquaient à l'appel, comme une bonne partie des Gryffondors, Dem' fit de sa mission de rendre la vie aux rouges restants la plus agréable possible. Si on leur enlevait tout espoir, et bien au moins, ils auraient un peu le sourire ! Faisant de petits actes de résistance, comme du maquillage, des références moldues dans ses essais, proposant même des séances de massages et relookage - après tout, plus tard elle veut devenir une des premières esthéticiennes sorcières. Se serrer les coudes comme des poufsouffles, faire front contre le coté obscur... même si c'est à coup de vernis à ongle coloré ! Et gare à ceux qui la sous-estimeront, parce que, foi de dragon, Demelza Robins n'est pas une petite fille sans défense !