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 (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous !

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MessageSujet: (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous !   (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous ! Icon_minitimeMer 7 Mai - 18:06

Ça faisait déjà un bon moment que je travaillais au sein de l'hôpital Sainte-Mangouste en tant que guérisseuse au service de pathologies des sortilèges et je m'y plaisais vraiment. J'aimais avoir ce contact avec les gens, avec la foule, avec tous ces patients. Puisque j'étais du genre empathique, je parvenais toujours à leur rendre le sourire, qu'ils soient jeunes ou plus âgés. J'avais juste du mal avec les anciens Mangemorts ou tous ceux qui prouvaient ouvertement qu'ils se sentaient plus que bien depuis ce nouveau Régime. Ils ne savaient pas tous que j'étais la brebis noire de la famille Fleming parce que je ne pensais pas que les nés-moldus ou les traîtres à leur sang valaient moins que nous, les Sangs-Purs. Par chance, rares étaient ceux qui venaient jusqu'à Sainte-Mangouste, sans doute parce qu'on n'osait plus les toucher. Ils étaient devenus intouchables, soyons réalistes, puisqu'ils dictaient, et c'est le mot juste, les règles de vie de tout un chacun vivant dans le monde des sorciers. C'est peut-être pour ça aussi que je me faisais assez petite. Je pouvais aider grâce à mon poste de guérisseuse à l'hôpital mais le faisait dans de rares cas aussi chez moi, tout en évitant que cela s'ébruite. Mon oncle, ma tante et ma sœur me le rendraient sans doute au centuple, s'ils l'apprenaient. Une grave erreur, comme ils le disaient, mais faisant partie de leur famille, je ne subissais que de « petites » réprimandes. « Malgré tout, je les aime, jamais je ne pourrais me retourner contre eux. Ils sont de ma famille et la famille c'est sacré pour moi. » voilà ce que je répondais aux quelques rares patients intrigués par mon train de vie, ainsi que mes amis qui n'étaient pas forcément de lignée pure, voire carrément des nés-moldus avec qui je correspondais encore actuellement, mais toujours discrètement. Ce jour-là, fort heureusement, je tombai sur un cas plutôt exceptionnel, pas tant par la singularité du sortilège lancé, puisqu'il s'agissait de celui que recevaient tous les sorciers considérés comme potentiellement dangereux, un sérum pour les asservir mais plutôt par les répercutions de celui-ci sur le patient dont j'allais m'occuper durant un bon moment, selon mes collègues et moi. D'ailleurs, soit dit en passant, la jeune femme avait sans doute beaucoup de chance de tomber sur moi. Loin de moi l'idée de me vanter, mais de cette façon, je pourrais réparer les erreurs de mes « semblables » sur une jeune femme complètement déboussolée désormais. Au vu de mon caractère, c'était une bonne chose puisque je voulais réellement servir à ça ; aider les autres dans la douleur de ce Régime complètement absurde. « Tracey Mélissande Davis, tu dis ? Bien. Elle a été mise dans quelle chambre exactement ? La 416 ? J'y fonce. Une journée comme celle-là, c'est une aubaine pour moi ! » dis-je à une amie et collègue, Clarissa. Une demoiselle plutôt charmante et de sang-mêlé. Nous adorions passé nos temps de pause ensemble, si c'était possible, évidemment, parce que quand on courrait dans tous les sens, c'était tout bonnement impossible. J'avais lu dans son dossier qu'elle avait subi, ou plutôt qu'elle s'était mutilée, avait perdu énormément de sang et qu'elle souffrait d'énormes troubles tels que des hallucinations, des pertes de mémoire ainsi que de fortes migraines. Rien de particulièrement joyeux. Heureusement, elle était enfin réveillée, attachée, mais réveillée. J'avais été chargée de m'en occuper et je ne m'en plaignais pas. J'espérais sincèrement pouvoir parler avec elle, lui expliquer sa situation et la soigner. J'étais là pour ça, après tout. Ouvrant grand la porte, d'un geste pourtant délicat et sans geste brusque, j'avançai jusqu'à son lit, seul dans la chambre dans son cas, et m'approchai de sa table de chevet plutôt classique pour un hôpital, même sorcier. « Madame ? Mademoiselle, peut-être, Davis ? Je suis votre guérisseuse personnelle, si je puis dire. Je m'appelle Ambre Fleming. Je viens voir comment vous vous sentez. Est-ce que vos migraines vous font toujours souffrir ? Votre état général, vous le décririez comment ? Avant de faire des vérifications, je tiens à savoir ce que vous ressentez. C'est très important. » dis-je chaleureusement avant d'afficher un sourire tout aussi doux et généreux.
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MessageSujet: Re: (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous !   (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous ! Icon_minitimeMer 25 Juin - 14:51

Finalement, je parvins à ouvrir les yeux, bien que ce simple geste semblait me demander un effort surhumain. Mes paupières étaient lourdes, ma vue était encore un peu floue, le décor tanguait sous mes yeux. Surtout, il y avait ce mal de crâne, c'était comme si une armée de marteaux-piqueurs avaient pris en otage mon cerveau. Bam. Bam. Bam. Le son d'un marteau qui frappe l'enclume  résonnait encore, toujours plus fort. Cela allait-il s'arrêter un jour ? Je me sentais encore engourdie, presque paralysée. J'avais beau vouloir bouger un bras, ou une jambe, mes nerfs ne semblaient pas disposés à transmettre l'information. Je restais là sans bouger parce que je ne le pouvais pas. J'avais la bouche pâteuse et un goût légèrement cuivré sur le bout de la langue. du sang? J'inspirai profondément, tentant d'attraper une goulée d'air qui ne vint pas. Le simple fait de ne pas pouvoir respirer m'alarma. Je sentis un pic de panique poindre en moi. Je sursautai légèrement. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je n'arrivais pas à réaliser où j'étais. Je me sentais perdue. Et alors que je tentais de me rappeler comment j'avais pu atterrir là, ce fut le trou noir. Rien. C'était le vide sidéral, une absence de souvenirs totale. J'avais beau me triturer la cervelle, aucune image ne me revenait. Rien du tout. Mon premier réflexe fut de tâtonner ce qu'il y avait autour de moi, mais bientôt, je m'aperçus que j'en étais incapable, et pour cause : j'étais attachée. À présent que je l'avais compris, je pouvais sentir ces liens qui entravaient mes poignets, mais aussi mes pieds. J'avais envie de hurler, mais mon cri se bloqua dans ma gorge et refusa d'en sortir. Me débattre ne servirait à rien, je n'étais plus libre de mes mouvements. Si par hasard je me montrais trop brusque, mes liens m'entameraient la peau, j'allais me blesser inutilement. Mon regard parcourait la pièce, bien que j'avais toujours le cerveau aussi embrouillé. Je parvins à distinguer des stores, une fenêtre, et je me rendis compte que j'étais dans un lit. Un lit d'hôpital. Je voulus me redresser pour tâcher d'en savoir plus sur mon état, sur ce qui avait bien pu me faire atterrir ici mais je ne vis rien du tout, j'étais saucissonnée à ce foutu lit et allonger le cou de cette façon n'allait rien donner de concluant à part peut-être me filer un torticolis. Il ne manquerait plus que je sois totalement immobilisée par une minerve, dans de telles conditions, j'aurais tout gagné. « Aidez moi. » Ce fut tout ce qui put franchir mes lèvres, un murmure inaudible, une supplique à moitié étouffée. Je ne pouvais pas m'égosiller en cas de problèmes. Si quelque chose devait arriver, je serai condamnée à crever la gueule ouverte sans que personne ne vienne voir ce qui se passait. Le plus aberrant dans toute cette histoire, c'était sans doute que je ne pouvais pas atteindre la sonnette pour demander de l'aide. J'étais prisonnière de mon enveloppe charnelle, je me sentais piégée à l'intérieur de mon propre corps. Du coin de l'oeil, je vis qu'une perfusion était accrochée à mon poignet. Voilà d'où venait ma sensation d'engourdissement. Ils étaient probablement en train de m'injecter des sédatifs. Rien de tel pour me plonger dans un état végétatif. Bon sang. Que s'était-il passé ?

Les yeux rivés sur le plafond, l'oreille aux aguets, je perçus bientôt une présence dans le couloir. Des bruits de pas précipités se rapprochaient. Venait-on pour moi ou pour quelqu'un d'autre ? Je tirai un peu plus sur mes liens. Le moindre mouvement était susceptible d'attirer leur attention. Pourvu qu'ils venaient pour moi et non pas pour quelqu'un d'autre. Je fermai alors les yeux lorsque je sentis qu'ils devenaient humides. Ah non. Je n'allais pas me mettre à pleurer, tout de même ? Oui mais voilà, je me sentais paniquée, vaseuse, incapable du moindre mouvement. Il y avait mieux comme situation, pas vrai ? Je rouvris les yeux lorsque j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir. Le battant grinça légèrement sur ses gonds. Quelqu'un entrait. Je ne pouvais pas voir de qui il s'agissait particulièrement, la personne était encore trop loin et ma vision n'était pas encore à trois-cent soixante degrés. Tout ce que je pouvais discerner, c'était un simple mouvement. La silhouette s'approchait de moi. Elle arriva finalement à ma hauteur. Je dis bien elle, car en tournant la tête, je pouvais constater qu'il s'agissait d'une femme, jeune qui plus est. Je posais mes yeux emplis de détresse sur elle. Pouvait-elle m'expliquer ce qui était en train de m'arriver ?  « Madame ? Mademoiselle, peut-être, Davis ? Je suis votre guérisseuse personnelle, si je puis dire. Je m'appelle Ambre Fleming. Je viens voir comment vous vous sentez. Est-ce que vos migraines vous font toujours souffrir ? Votre état général, vous le décririez comment ? Avant de faire des vérifications, je tiens à savoir ce que vous ressentez. C'est très important. » Et elle blablatait beaucoup trop. J'avais du mal à intégrer toutes les données, mon cerveau fonctionnant toujours au ralenti, si bien que je n'avais pas compris la moitié de la question. Je clignai légèrement les yeux, hébétée. Pourtant, une seule information avait réussi à se graver dans mon esprit. Fleming. Ce nom me fit étrangement écho, comme si je l'avais déjà entendu quelque part. Le seul problème, c'était sans doute que je ne me souvenais pas où j'avais pu l'entendre. Ma panique augmenta d'un cran. J'avais des palpitations, ma respiration devenait erratique et surtout, il y avait ce sentiment de peur que je ne savais pas expliquer. Je débloquais, clairement. Des migraines. J'étais certaine de l'avoir entendu parler de migraines. « J'ai l'impression que mon crâne va exploser et je vois flou. » Nommer la chose ne faisait que de la rendre encore plus réelle, mais je n'avais pas le choix, si elle devait m'aider, il fallait passer par là. Pourtant, il n'y avait rien d'autre à constater. Les marteaux-piqueurs n'avaient toujours pas déserté et ma vue ne s'était pas rétablie. Était-ce un effet secondaire des sédatifs ? Probablement. J'allais rester dans le cirage le temps que ce truc ne soit plus efficace. En attendant, il fallait que mon organisme combatte ces substances étrangères, les expulse de mon sang. « Je.. » commençai-je, avant de m'interrompre. « Que s'est-il passé ? Je me sens toute engourdie. Je ne peux plus...je ne peux plus bouger. » Pourquoi j'étais attachée, d'abord ? De tels traitements étaient ordinairement réservés à des fous furieux, qui étaient dangereux aussi bien pour eux que pour les autres. Qu'avais-je donc fait pour me retrouver en une si mauvaise posture. Et comment m'avait-elle nommée, déjà ? Je ne m'en souvenais plus. Je ne me souvenais de rien. « J'ai tout oublié. » constatai-je en une voix paniquée. J'avais dû recevoir un sacré coup sur la tête pour que ma mémoire s'efface de cette façon, surtout au point de ne plus savoir comment je m'appelais, ni même s'il fallait m'appeler madame ou mademoiselle. Je ne savais pas. Je ne savais plus. J'étais perdue et j'avais besoin de réponses. Maintenant.
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MessageSujet: Re: (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous !   (Tracey) Une guérisseuse rien que pour vous ! Icon_minitimeJeu 16 Oct - 19:14

Pendant que je lui faisais face, le plus humblement possible, je pouvais lire dans ses yeux, dans son regard de la détresse jamais décelée à ce point chez qui que ce soit. Du moins, pas chez un patient qui s’affichait ainsi, à l’hôpital Sainte-Mangouste. Oui, quand il s’agissait de clandestins, comme ma famille, collègues ou exécuteurs, que je croisais malheureusement trop souvent à cause de mon oncle et de ma petite sœur, actifs membres de cette branche du ministère aimaient à le dire, j’avais l’habitude de croiser ce regard plein d’interrogations, de peur, d’inquiétude. Seulement, dans le cadre qu’offrait l’hôpital, avec la surveillance omniprésente bien entendu, si quelqu’un était déposé sciemment, il y avait peine à croire qu’il risque quelque chose en tant que fugitif. Alors pourquoi semblait-elle si paniquée ? Est-ce moi qui l’effrayais ? Un éventuel fantôme qui la poursuit ? Des cauchemars ? Un sorcier particulièrement tenace ? Allez savoir… J’envisageais toutes les possibilités qui me venaient, je les accueillais pour espérer enfin trouver la réponse à mes propres questions. Néanmoins, il fallait se rendre à l’évidence, il n’y aurait qu’une solution pour en avoir le cœur net. Le demander à la principale intéressée. Pour le moment, de toute manière, je comptais reprendre les bases. Mon but n’était certainement pas celui de la brusquer. Alors, j’allais accueillir ses sentiments, comprendre ce dont elle a le plus besoin avant de l’ennuyer avec tout ça.

Et c’était de loin la meilleure solution. Je le compris à son air ahuri, à ses clignements des yeux un peu trop nombreux, comme saccadés mais surtout exagérés. Il est dit que les yeux, en clignant, cherchent à réparer ou à consolider le corps mais aussi le cerveau. Cela permet des reconnections ou en tout cas l’apaisement de certains traumatismes. S’en suivit une respiration anormale, signalement, également, d’éventuelles palpitations. Son corps réagissait comme celui d’un animal blessé, en mauvaise posture, accélérant son système pour s’échapper d’un prédateur surtout invisible, dans ce cas-ci. Un prédateur moral, peut-être bien. Le fait était que je pouvais comprendre à cette réaction soudaine que son corps voulait la protéger, sans doute à tort. Seules des personnes ayant été harcelées, torturées ou traumatisées, voire tout à la fois, ont de tes déclenchements, alors souvent erronés. Après tout, dans un hôpital, les guérisseuses comme moi ne sont là que pour le bien-être des malades. Je n’avais aucune mauvaise intention. Avait-elle un mauvais souvenir dans un tel contexte ? Ou je ressemblais à l’un de ses bourreaux, l’un de ses pires cauchemars ? À moins que ce ne soit mon nom ? Il est évident que ma famille, soit membre des exécuteurs, de la police magique, du département des mystères ou tout simplement anciens mangemorts, ne s’est pas fait que des alliés. Surtout à cette époque-là… Notre nom était synonyme d’horreurs commises sans fermer les yeux. Pourtant, j’étais différente. Et surtout, de nouveau, sans le lui demander directement, je ne pouvais rien retenir de bon, à part quelques spéculations.

Son état général n’aidait en rien. Une perte de mémoire soudaine, m’a-t-on dit à son sujet. Ce qui explique les migraines et cet air désespéré. Était-ce ça qui la rongeait de l’intérieur ? Était-ce une simple amnésie ou un sort, comme celui d’Oubliette, lui aurait été infligé ? Tant de possibilités. Je me sentais impuissante. Et pourtant, c’est ce qui me donnait davantage envie de me battre pour cette femme. Je ne comptais pas la laisser dans le flou le plus total. Non, je devais être utile. Surtout quand ce n’est pas de manière illégale. Pour le coup, Clyde ne pourrait rien me reprocher. Même si, d’une certaine manière, je comprenais sa propre inquiétude. Je suis l’électron libre de la famille qui ne fonctionne pas comme la majorité de celle-ci. Je ne pouvais être complètement comprise et dans ce cas, il vaut mieux me contrôler. Je sais pertinemment comment ils pensent. Ils n’ont de cesse de me le répéter, en vain, j’imagine. Au bout d’un moment, la jeune femme se décida enfin à prononcer quelque chose. Comme on me l’avait indiqué, sa plus grande souffrance actuelle était ce mal de tête incessant. Il était accompagné d’une vision floue. Cet effet-là, ce devait être celui des sédatifs constamment administrés à cette pauvre femme qui ne semblait plus savoir où donner de la tête. Elle me faisait vraiment peine à voir dans un tel état. Au moins, elle savait me faire un état des lieux niveau santé. Elle n’était pas totalement perdue au point de ne pouvoir prononcer le moindre mot. Un maigre soulagement, si vous voulez mon humble avis.

Je notais tout ce qu’elle pouvait me dire, histoire de ne rien oublier. De ma plume, j’y allais doucement. « Je vois. Jusque-là, rien de surprenant, même si ce n’est pas à votre goût et je le conçois. Néanmoins, tout ceci est lié à votre état général. Si ce n’est pas rassurant, c’est au moins normal. » Il ne fallait pas lui mentir. En tout cas, ce n’était pas comme ça que je fonctionnais. Si elle entendait murmurer d’autres mots, elle pourrait angoisser encore davantage et ce n’était pas mon intention. Après quoi, elle m’avoua s’inquiéter. Elle ne pouvait plus bouger, voilà ce qui la stressait en partie. C’est certain que se réveiller avec les mains attachées au lit, ainsi que les pieds, par des menottes, ça n’avait rien de rassurant, rien de joyeux. Je pouvais parfaitement comprendre son angoisse. « Nous avions préféré vous attacher le temps que vous vous calmiez. » je pris une pause avant de reprendre, en douceur. « L’état d’amnésie n’est pas un état idéal. Certaines personnes amnésiques se font du mal, inconsciemment, bien évidemment. Nous ne voulions pas prendre ce risque. Jusqu’à ce que vous nous rassuriez en vous disant consciente de votre état, il valait mieux vous retenir de cette façon. » d’autant qu’elle était arrivée en brandissant les bras dans tous les sens, se défendant de tous. La violence est habituelle dans cet état… « Vous êtes Tracey Melissandre Davis. Vous avez été amenée ici alors que j’étais en congé. Mes collègues m’ont signalé que vous étiez violente, à ce moment-là. Comme je vous l’ai dit, tout ceci est lié à votre amnésie. Ce n’est pas un comportement singulier. Je ne peux ni vous dire quand vous retrouverez votre mémoire, ni comment. Cela dépend d’une personne à l’autre, mais il s’agit souvent d’un électrochoc, d’un moment si fort que tout nous revient d’un coup. Je ne peux que vous aider à vous remettre sur pieds et éventuellement vous aider à retrouver, petit à petit, la mémoire, partie par partie. » à nouveau, j’étais sincère. Aucune cachoterie. Je prenais simplement des gants pour ne pas la brusquer.
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