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NOM : Dimitrov. Cet un nom cinglant et à forte notoriété. Quiconque ne connait pas la noble lignée des Dimitrov ne mérite aucune attention, pour sûr. C'est un nom puissant, mais avec de lourdes responsabilités aussi. Parfois même trop lourdes. PRÉNOM(S) : L'ainé des héritiers des Dimitrov porte le prénom de Mordred, comme le fils incestueux du roi Arthur et de la sorcière Morgane LeFay. D'après la légende, Mordred se rendit dans le grand nord avant d'accomplir sa quête de tuer son père et est très populaire ici. Ce prénom symbolise le charisme, la déchéance et l'infidélité. Lazar IV du nom, un prénom récurrent dans la lignée des Dimitrov. ÂGE : Il est naquit il y a de cela trente-deux années, faisant de lui l'héritier de la lignée. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : C'était un sept février, un jour de grand froid où la neige recouvrait de son blanc manteau l'horizon. L'accouchement fut difficile et à l'ancienne pour donner un fils à Ivan Dimitrov. STATUT DU SANG : Né de sang-pur dans une famille où la pureté est vénérée plus que la vie, quiconque doute de ceci met sa vie en danger. MAISON : Ancien élève de la caste Gafaúrds jugé esprit brillant et talentueux, il était déjà destiné à se hisser haut dans la société NIVEAU D’ÉTUDES : Brillant, son père le voulait et le fils n'a pas désiré ternir l'image de sa famille. Il a obtenu l'intégralité de ses diplômes. EMPLOI : Jamais Mordred ne s'était penser prédisposer à la politique et à la gouvernance. Il a d'abord obtenu une place au sein du ministère qui s'occupe des créatures magiques pour ensuite être employé plusieurs années dans celui des mystères. Sa profession lui a offert la possibilité de voyager plusieurs fois en Europe et de s'intéresser aux sorciers du Royaume-Uni avant d'obtenir une promotion grâce aux contacts de son père pour devenir le récent ministre chargé de la justice magique et de la gestion de la prison de Nurmengard. Ce poste assoit encore plus l'influence et le pouvoir des Dimitrov ce qui accroît le nombre de leurs ennemis. LIEU DE VIE : Il réside à St. Petersbourg, mais se rend régulièrement à l'étranger où il a gardé des contacts. Sa femme est anglaise par ailleurs, il possède une demeure dans les Lowlands. BAGUETTE : Baguette obtenue chez Gregorovitch à l'âge de neuf ans, elle est faite dans le bois noble d'un ébène et mesure vingt-neuf centimètres trois quart. Son coeur referme une écaille de dragon et on la dit prédisposée aux arts sombres de la magie noire.GROUPE : The god complex CÉLÉBRITÉ : Colin 'O Donoghue CRÉDITS : hookandcuffs.tumblr

   A savoir sur ton personnage

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Mordred est le fils ainé des héritiers Dimitrov et porte ce poids comme une fierté, mais également un lourd fardeau ◊ il possède la capacité de se changer en corbeau, c'est un animagus déclaré au ministère russe ◊ il ne supporte pas de voler sur un balai et méprise le Quidditch ◊ sa plus grande peur représente un Basilic, petit, son père lui faisait croire qu'il cultivait un oeuf dans le domaine et qu'il allait le laisser avec la créature s'il ne rendait pas fier sa famille ◊ c'est un sorcier à la personnalité arrogante, fuyante, démonstratif, méfiant, orgueilleux, mais fidèle à ses convictions ◊ c'est pendant un voyage quand il était employé au ministère qui se charge des créatures magiques qu'il rencontra une française qu'il n'oublia jamais ◊ Mordred s'intéresse beaucoup à l'art des potions ◊ il n'a aucune descendance à ce jour, ce que sa mère ne se gêne pas de lui rappeler à chaque occasion ◊ il a tendance à se mordre la lèvre inférieure quand il est confronté à une situation embarassante


   TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Mordred a toujours regardé le nord avant de critiquer le sud. C'est comme ça qu'il perçoit les choses. C'est aussi une raison pour laquelle Mordred ne s'installe pas définitivement à Londres, même s'il s'y rend de façon régulière. La vie semble sourire en apparence au bel âtre qui est marié. Sa femme attend un enfant de lui et il a reçu une promotion importante, le hissant dans les plus hautes sphères du gouvernement russe. Cette situation plaisante ne rend pas Mordred heureux cependant. Il a entretenu pendant plusieurs semaines une relation fougueuse avec un ancien membre de l'ordre du Phoenix, miss Rose-Jane Martell. Cette relation se termina aussi subitement qu'elle avait commencé, mais au fond de lui, le russe ne pouvait oublier la tendresse des caresses de Rose, ni même la passion de leurs étreintes et la chaleur de leurs baisers interdits. Si aujourd'hui, Mordred n'est pas prêt à devenir père, il sait se montrer intraitable dans sa fonction. Ses relations avec le Royaume-Uni sont tumultueuses, mais il sait qu'il peut devenir un futur agent indispensable pour son gouvernement. Perdu entre ses obligations entant que mari et premier né Dimitrov, Mordred a l'impression que son destin lui échappe.

   

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : tu peux m’appeler mademoiselle (r) et pour le prénom, vous êtes des curieux TON ÂGE : âge mental dégradé   PAYS : je vis en France, près de la capitale et des oiseaux   (j'aime beaucoup ce smiley) TU AS TROUVÉ PI PAR : et bien j'ai mordu dans un dragée surprise et paf, ça fait des chocapics   je suis arrivée ici TON AVIS SUR PI : le design est très beau, tout est pétillant, ça donne envie et c'est très bien construit alors je valide    DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : je vais dire oui, je donne ma main, guidez moi    UN DERNIER MOT : si vous essayez de me guillotiner, faites le proprement comme Eddard Stark a subi car si je me retrouve  inachevée comme Nick-Quasi-Sans-Tête je ne pourrai pas adhérer au club des fantômes sans tête...  

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 ⊹ HERITAGE ANARCHIQUE
Le spectacle était morbide. L’elfe de maison gémissait, couinait et tremblotait dans son coin. La main géante du sorcier attrapa l’horrible créature par son oreille et le tire vers le centre de la pièce. Dans son autre main, il tenait une baguette magique. Quelques germes rougeâtres s’en échappaient. L’elfe laissait échapper un cri perçant avant de ne plus bouger. Le sorcier à la barbe hirsute et teintée de blanc tendit sa baguette. C’était comme une lame qui sortait du bout de l’instrument magique, une lame tranchante et aussi rouge que le sang. « Cesse de pleurer, elfe ! » grogna l'imposante silhouette en l'empêchant de se débattre par un maléfice. Il posa le bout de la baguette au niveau de la nuque de l'elfe et leva son regard perçant et froid vers son fils ainé. Ivan Dimitrov avait des yeux de glace et une barbe qui dominait toute la partie inférieure de son visage carré et marqué de dureté. Elle cachait aussi une cicatrice qu'il disait s'être fait en tuant un Magyar à Pointes. « Regarde fils. Quand un serviteur n'obéit pas, il doit être puni. Encore plus quand il déshonore la famille ! » Le geste fut sec et droit. Ivan n'avait pas tremblé. La tête de la créature roula sur le sol imbibé de sang jusqu'aux pieds de l'enfant qui serrait fort la main de sa mère. La décapitation des elfes de maison était une tradition toujours entretenue chez les Dimitrov. En l'occurrence, l'elfe qui s'appelait Varys avait renversé le service à vodka sur un haut dirigeant du ministère de la magie russe. Une honte, une disgrâce qui devait être réparée par le pire des châtiments. Ivan s'empara de la tête de l'elfe et d'un coup de baguette, l'accrocha sur le mur au dessus de l'imposante cheminée du salon d'hiver. Mordred ne pouvait pas quitter des yeux ceux, globuleux et verts, de son ancien serviteur. C'était cruel, mais nécessaire.

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« Diffindo ! » lança le jeune sorcier. Le sortilège fila à vive allure, comme un éclair qui s'abat sur sa cible. L'autre sorcier en face de lui fut frappé de plein fouet au torse. Il vola et s'écroula au sol, le souffle court. L'autre sorcier n'était autre que XY Dimitrov, le petit frère de Mordred. Ce-dernier laissa échapper un léger sourire sur le coin des lèvres avant de s'approcher et de lui tendre la main pour l'aider à se redresser. Son frère lâcha un grognement, mécontent de sa performance avant de voir que sa chemise était déchirée à quelques endroits à cause du sortilège. Ivan frappa dans ses mains ainsi que sa femme.  « Tu t'améliores Modred. Je suis persuadé que tu peux gagner le tournoi. » Son fils acquiesça d'un signe de tête. Le tournoi était une tradition chez certaines familles de sang-pur de Russie. Un tournoi entre les héritiers simplement par fierté et prestige. « Je l'espère, je ferai de mon mieux. » La matinée s'étendit entre différents entraînements. A chaque fois que Mordred faisait une erreur, son père le menaçait toujours de sa voix grave et tonnait « Pense à l’œuf ! Pense au Basilic... » et l'intéressé frissonnait de terreur. L'intérêt de tout ceci restait toujours le même : faire régner la maison Dimitrov par dessus toutes les autres et appuyer sa puissance par la force, si besoin.

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Les vols nocturnes de Mordred sous sa forme de corbeau représentaient une véritable libération. Une bouffée d'air frais, tout simplement. Le jeune homme avait beau être majeur aux yeux de la loi, il dépendait entièrement de son père qui lui cherchait un bon parti pour un mariage. Il ne voulait pas être prisonnier des griffes d'un engagement, d'une autre famille. Il rêvait d'espace, de liberté et d'air frais. C'était la première fois de sa vie qu'il pensait ainsi. Lui, l'enfant premier né des Dimitrov qui avait toujours tout respecté à la lettre, rendu fière sa famille ainsi que son nom en ayant d'excellents résultats, lui qui était persuadé être supérieur par la pureté de son sang d'une lignée aussi lointaine que la maison Black d’Angleterre, il ne voulait plus de ça. Le corbeau virevoltait au dessus d'une forêt de pins enneigés. Au loin, la demeure de la maison Dimitrov se dressait, plongée sous un léger brouillard matinal. Il ne voulait pas rentrer. Son regard vira vers un mulot mort en contrebas. Les corbeaux étaient des charognards, mais il n'avait pas d'appétit. Il voulait voler si haut qu'il serait hors d'atteinte de son père, de ses ambitions, de ce stupide et misérable mariage. Hors d'atteinte de tout. Sa sœur n'avait pas attendu pour faire ce choix et si Mordred lui reprochait, il admirait au fond d'elle son audace tout en la jalousant. Il ne pouvait échapper aux griffes de son destin. Le corbeau se posa sur le bord de la fenêtre ouverte. Voici à peine vingt deux jours que le garçon avait achevé sa formation pour devenir un animagus et il sentait ses vols comme une parenthèse entre sa vie. Le soleil se levait lentement à l'est. Dans quelques heures, il allait rencontrer Bianca, la future femme avec laquelle il allait partager le reste de sa vie, sa couche, lui faire des enfants, héritiers des Dimitrov. Dans quelques heures, le peu de liberté que Mordred possédait encore allait disparaître à tout jamais. Néant.

⊹ LES LIENS DU SANG
L'arbre généalogique de la maison Dimitrov était grandiose. Il y avait quelques tâches au tableau. Personne n'osait le dire mais par exemple, le frère cadet de Lazar II engendra un cracmol du nom de Feodor Dimitrov qui fut exilé dans le monde des moldus et retrouvé mort quelques mois après son départ. Une fois, la branche au troisième degré avait failli. La fille de Petyr Dimitrov, Helga, avait eu une liaison avec un sang-mêlé. Ils avaient engendré un bâtard, mais leurs corps ne furent jamais retrouvés. C'était ça, les petits secrets inavouables qu'on perpétuait chez les Dimitrov. On leur prêtait souvent la phrase suivante, nous ne pardonnons pas ou encore, le corbeau n'oublie jamais. Mordred avait été obligé de grandir en se forçant à connaître ces histoires lugubres et à les cautionner. Il le faisait, parfois, non sans avoir une arrière-pensée, mais les avantages que lui conviaient son rang étaient trop précieux pour y renoncer. Il aimait se pavaner à Durmstrang devant les sorciers issus de familles plus modestes, médiocres à ses yeux. Il s'estimait supérieur à eux et il les regardait toujours de haut, avec un mépris immense. C'était sa vision des choses et il ne s'en cachait pas. Ramsay, son frère cadet, avait une vision différente. Il vivait pour les Dimitrov, pour cette idéologie radicale qui était son héritage pour lui. Il était plus discret que son ainé, mais plus dangereux. Silencieux et observateur, il avait l'esprit taciturne et la langue bien moins pendue, mais les actes plus sanglants que le reste de sa famille. Si son père ne voyait que Mordred car il était le premier né, Ramsay était le symbole de l'exécutif, de l'excès et du bourreau. Il était l'épée et Mordred, le marteau qui jugeait. Aliona symbolisait le bouclier quant à elle. Ils ne se complétaient pas, mais ils ne se faisaient pas non plus la guerre. Un soir, alors que Mordred arpentait les couloirs de Durmstrang, il avait entendu gémir un sorcier dans un couloir voisin et s'était approché. Le sorcier n'était autre que Lev Stavinsky, un sorcier de seconde-zone et issu d'une lignée qui n'avait de pur aujourd'hui, que le nom. Le grand-père de Lev avait engendré tellement de bâtards qu'on disait que les Stavinsky auraient tout intérêt à s'exiler au sud pour se cacher de leur honte. Lev se tenait contre le mur, tremblant. L'autre silhouette qui lui faisait face n'était autre que Ramsay. Il plantait sa baguette droit devant Lev. Son visage était déformé par une grimace ignoble dont Mordred ne lui connaissait pas. « Ramsay ? Que fais-tu ? » questionna l'ainé, les sourcils froncés. L'intéressé ne répondit pas et ne lui accorda pas le moindre regard. « Ramsay ! » s'impatienta Mordred « Ce misérable cloporte a osé rire de notre famille. Il a affirmé que si on comptait le nombre de nos bâtards, on pourrait repeupler l'Angleterre. » Mordred arqua un sourcil. La réflexion était mal venue puisque les Dimitrov ne comptaient aucun bâtard, les Stavinsky eux, en faisaient la collection. Ramsay ne quittait pas du regard Lev qui s'excusait en essayant de reculer, mais le mur était là. « Et que veux-tu faire ? » demanda enfin Mordred « Quelle question ! Rétablir l'honneur de la famille. Endoloris ! » aboya le cadet des frères. Un filet rouge frappa Lev qui se tortilla de douleur au sol tout en gémissant. Ramsay était comme possédé. Il continua une longue minute avant que Mordred ne lui arrache sa baguette des mains. « Ça suffit ! Il a eu son compte ! » « Ne fais plus jamais ça. » le menaça Ramsay en reprenant sa baguette avant de s'éloigner à grandes enjambées. Mordred n'aida pas Lev à se relever. Il savait qu'il ne dirait rien. Non, ce qui l'inquiétait, c'était son frère. Depuis quand connaissait-il les sortilèges interdits ? Et surtout, depuis quand les pratiquaient-ils ?

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C'était impensable. Mordred courait aussi vite que possible à travers le vaste jardin de la demeure Dimitrov. Il venait de l'apprendre de la bouche de sa mère, sa soeur avait décidé de partir, de quitter la famille car elle n'avait plus sa place ici. Ramsay avait déjà brûlé un portrait de sa sœur quand celle-ci avait fait son entrée à Durmstrang et portait son uniforme d'un rouge claquant. Ivan, leur père, s'était enfermé dans son bureau sans un mot. Mordred était-il le seul à vouloir rattraper sa sœur ? Il courait jusqu'à en perdre haleine. Plus rien n'avait d'importance dans sa tête si ce n'est, la rattraper, l'empêcher de faire l'impensable, voir Aliona, Aliona sa petite sœur. Ils avaient toujours été proches, surtout à Durmstrang où Ramsay et Mordred avaient protégé leur sœur. Ramsay, plus réservé, n'était pas aussi confident avec sa sœur que l'était Mordred. Ils avaient le même sang, ils avaient parlé l'un et l'autre de leurs craintes respectives et de leur fierté d'être de la même famille. Ils avaient toujours pu compter l'un sur l'autre, alors pourquoi elle partait ? Non. C'était impossible. Au loin, la silhouette fine de Aliona Dimitrov se dessinait sous le soleil couchant. Elle portait un sac qui contenait le peu d'affaires qu'elle emmenait. Où allait-elle partir ? « ALIONA !? » s'écria-t-il. Mais trop tard. Elle avait disparu en transplanant. A bout de souffle, Mordred s'arrêta et s'écrouler à genou en cherchant à respirer. Elle était partie, elle avait lâchement abandonné sa famille, ses frères, lui. Ce-dernier frappa plusieurs coups de poing furieux au sol. En retournant chez lui, Mordred ne parla pas à sa mère. Il ignora même l'elfe de maison qui nettoyait l'escalier. Il s'enferma dans sa chambre sans claquer la porte. Au contraire, il la referma comme une caresse. Un papier sur son lit attira son attention. Il portait l'écriture fine et droite de sa soeur. L'encre n'avait pas encore séché. Juste une phrase, trois mots, quinze lettres et la sentence était tombée, aussi lourde que l'épée qui s'abat sur sa victime.



⊹ MIROIR BRISÉ
Bianca était une beauté froide. Sa longue chevelure s'étendait en cascade le long de son dos. Elle était belle, mais sa beauté cachait une aversion féroce envers les plus faibles et ceux qui n'étaient pas de son rang. Elle ne cessait de répéter tous ceux qui ne sont pas nous sont nos ennemis et elle avait été éduquée dans cette optique. Issue d'une des plus nobles lignées anglaises, son mariage avec Mordred avait suscité de l'intérêt. C'était là, un moyen pour elle d'assurer une descendance pure, d'accroître ses pouvoirs et fonctions et surtout, d'avoir la main mise sur la Russie. Son époux le savait et les intérêts des deux maisons étaient flagrantes. Plus qu'une union sentimentale, les intérêts avaient dominé. Malgré tout, le sorcier ne pouvait nier que le physique avantageux de sa douce était un point positif de leur union. Mordred enfila un pantalon et admira le corps nu de Bianca. Il se pencha et caressa du bout des doigts, la peau dénudée de la belle. C'était une veuve noire. Ancienne mangemort, elle était vouée à ce mage noir qu'on nommait Lord Voldemort et aujourd'hui, elle occupait une place de choix au sein de la politique et du gouvernement anglais. « Où vas-tu ? » demanda-t-elle sans ouvrir les yeux, mais Mordred ne répondit rien. Il se redressa et termina de s'habiller avant de prendre sa baguette posée sur le secrétaire. Bianca tendit la main et vive comme elle l'était, s'empara de sa baguette avant lui. Elle était espiègle, taquine et joueuse, mais aussi terriblement malfaisante. « Réponds moi, Lazar. » ordonna Bianca. Elle appelait toujours son époux par son second prénom car elle n'appréciait pas Mordred et qu'elle voulait par là, prouver à quel point il était à elle, rien qu'à elle. « J'ai à faire. Je ne te questionne pas comme ça quand tu te pavanes à Londres. » répondit-il en tendant la main pour récupérer sa baguette « Plaît-il ? Je me pavane ? Ah, tu veux sans doute parler de ma petite visite chez le tailleur pour cette robe de gala. C'était une nécessité, tu devais être là. » Le sorcier ne répondit rien. Il n'appréciait pas les fêtes à l'anglaise. Pour lui, il y avait trop de manière et ce gala avait été une véritable corvée. D'un geste, il attrapa sa baguette. « Je rentre en soirée. » Il ne l'embrassa pas, ne lui jeta aucun coup d’œil avant de fermer la porte. Il y eu un crack sonore et le sorcier transplana. Leur relation était un poison dont ils s'abreuvaient tous les deux de leur plein gré.

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Il n'avait peur de rien. Mordred sentait même une vague d'adrénaline le traversait de part en part. Il serra fermement sa baguette et se mit à courir dans les bois. Il sauta par dessus une souche d'arbre et manqua de trébucher quand un sort lui frôla la tête. Il se cacha derrière un imposant pin et fronça les sourcils, un sourire narquois, mais aussi démoniaque se dessina sur ses lippes. « Vous avez perdu d'avance, miss Martell » s'écria le sorcier sans sortir de sa cachette. « Il me semble que c'est le contraire, Dimitrov ! » répondit une voix cristalline et teintée de provocation. Elle le défiait et il adorait ça. Oh non, il ne parlerait à personne, pas même à Bianca de cette rencontre hasardeuse qu'il avait fait un soir. Il se promenait dans les ruelles malfamées de l'Allée des Embrumes pour s'arrêter dans un pub miteux. Elle était là et elle l'avait presque provoqué alors qui lui faisait un compliment. Ils avaient terminé cette discussion avec des sorts et Mordred l'avait touché à la joue. Une fine entaille. L'héritier des Dimitrov ne connaissait rien d'elle, il l'avait poursuivi et avait mené sa propre enquête pour savoir de qu'il s'agissait. Il l'avait découvert rapidement après grâce à des contacts et après avoir gracieusement soudoyé le gérant qu'il s'agissait de Rose-Jane Martell, une sorcière de sang-mêlée ayant des souches françaises et anglaises et douée de la capacité d'être métamorphomage. D'après le bouche à oreille, elle était un ancien membre de l'Ordre du Phoenix, cette organisation qui avait  essayé de contrer les mangemorts avant d'être devenue une fugitive et d'avoir trouvé refuge en France. Son passé restait trouble, elle était veuve. Mais elle avait tapé dans l’œil du russe qui voulait en savoir plus sur elle. Ils avaient alors commencé un jeu du chat et de la souris. C'était le soupçon d'excitation et d'interdit qui manquait dans la vie noircie du sorcier. Il se retourna brusquement et pointe sa baguette sur la sorcière qui avait baissé sa garde un instant de trop « Stupefix ! » Le rayon rouge s'écrasa contre la poitrine de Rose qui étouffa un gémissement avant de s'écrouler au sol. Sa baguette vola plusieurs mètres en arrière. Mordred se tenait au-dessus d'elle, sa baguette à la main. Il se mit à genou et posa le bout de sa baguette contre la gorge de la sorcière. « Achève-moi. » marmonna Rose sans le quitter des yeux, mais Mordred n'en fit rien. Il appuya un peu plus sa baguette contre la gorge avant d'approcher son visage du sien. Il l'embrassa fougueusement avant de reculer la tête brusquement. Rose venait de le mordre furieusement et de poser sa main sur le poignet de Mordred qui maintenait la baguette. Un fin filet de sang coulait le long du menton du sorcier, s'égouttant sur le haut de Rose. « Ne me résiste pas. » grogna-t-il. « Je ne suis pas une cible facile, Dimitrov. ». Ils restèrent là, plusieurs minutes à s'observer avant que Mordred ne se redresse et range sa baguette. Ils échangèrent un regard. Mordred transplana comme un voleur.

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Cette douce plaisanterie avait duré plusieurs semaines, voir mois. Entre temps, celui que les anglais appelaient l'Elu, Harry Potter, avait perdu la vie et de nouvelles règlementations avaient été mises en place. De nombreuses arrestations avaient été orchestrées par le ministère anglais pour faire taire la rébellion de façon définitive et la Russie s'était alliée au Royaume-Uni pour soutenir ce nouveau gouvernement plus radical et tyrannique. Les voyages de Mordred s'étaient intensifiés lors de ces évènements. Rose et lui s'étaient revus dans la forêt, puis dans quelques autres lieux plus intimes. Leur relation n'avait aucun lendemain. Il était du mauvais côté pour elle et pour lui, elle était de sang-mêlé et surtout, il était marié. Ils se provoquaient toujours, riaient l'un de l'autre, mais ils s'attiraient inévitablement comme des aimants. Rose lui apportait quelque chose que Bianca n'avait pas. Pour Mordred, Bianca n'avait que son corps, son sang. Rose avait l'esprit, la malice et elle incarnait tout ce qu'il avait toujours désiré. Elle était libre, elle était son pêché mortel et il en avait besoin. Elle était sa liberté, son élan interdit, ce qu'il désirait plus que tout. A chaque fois qu'il lui faisait l'amour, c'était avec passion. Il était rempli d'émotions à chaque instant. Mais est-ce qu'elle l'aimait ? Peu importe. Il voulait être avec elle et le meilleur moyen de résister à la tentation, même la pire, c'était d'y céder. Mais ce-jour là, elle rendit son jugement d'un air impartial « C'est fini, Mordred. Nous deux. Je vais me rendre en France définitivement avant de me faire arrêter. Je pense trouver des alliés là-bas et je pourrai repartir à zéro. » avoua-t-elle en ajustant son chemisier. « Je peux te protéger. » répliqua le sorcier en l'observant, toujours torse-nu. « Non. Tu es russe et tu es un Dimitrov. Cette relation n'a aucun sens. C'était une folie. » Une folie. Elle avait tout résumé, mais cette folie était la drogue de Mordred. Ils se quittèrent ainsi, sans savoir s'ils allaient se revoir. Le cœur lourd, il rentra chez lui où Bianca était déjà présente. D'une voix aussi solennelle que celle de Rose quelques heures auparavant, elle lui annonça :  « Je suis enceinte. »
   

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Tu as la classe, te voilà validé et même Voldemort il te fais une petite danse sexy, roh lala, trop de bonheur mon enfant. Comme tu es validé tu peux mater ce truc débile ou encore te préparer à envoyer des fringues à Harry parce que le pauvre quand même

Cependant, tu peux aussi faire un scénario si jamais tu en as l'envie, en faisant bien attention à respecter les quelques règles. Tu dois recenser ta famille, afin que toutes les familles soient bien répertoriée et si tu en as envie, comme ça, d'autres membres pourront rejoindre ta famille et vous pourrez passer des supers noëls tous ensemble. Pense également à remplir ton profil, ça parait peut-être secondaire, mais ça permet d'en savoir plus sur ton personnage, en un seul coup d’œil, alors c'est plus utile que ça en à l'air.

Ton personnage, s'il est à l'école, il pourra être préfet ou même rejoindre un club. S'il est adulte, il aura besoin d'un travail pour payer ses factures. Dur dur d'être un adulte. Tu pourras aussi bénéficier d'une capacité spéciale et d'un patronus si jamais du en à l'envie. Il est également temps pour toi de te trouver des liens parce que c'est mieux d'avoir des liens sur un forum rpg quand même. N'hésite donc pas à en demander. Bien sûr tu pourra aussi gérer tes rps parce que le rp c'est important sur un forum rp, sinon, on appellerait pas ça un forum rp, CQFD. En plus de tout ça, tu pourra faire gagner des points à ta maison, que tu sois encore étudiant ou non et, que la meilleure maison gagne les petits.

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