NOM : il porte le nom de weasley, le nom d'une traitre, c'est ainsi que l'on voit sa famille à présent, une image peu valorisante, sans l'ombre d'un doute. PRÉNOM(S) : il s'appelle ronald bien que la plupart des gens se contentent de l'appeler ron ce qui lui va très bien, il se présente lui-même sous ce nom. Son deuxième prénom est bilius, le prénom de l'un de ses oncles. ÂGE : il est âgé de dix-huit ans, un âge bien jeune, trop jeune sans doute pour tout ce qu'il a déjà connu dans sa vie. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : il est né dans l'hôpital de sainte mangouste dans la ville de Londres tout comme le reste de la fratrie weasley. Il est né le 1er mars 1980.STATUT DU SANG : il est sang-pur, la famille weasley fait parti des familles ayant gardé leur pureté au fil des siècles, bien qu'ils soient souvent trainés dans la boue, que ce soit parce qu'ils manquent d'argent ou qu'ils soient considérés comme des traitres. EMPLOI : il travaille avec son frère George, dans la boutique weasley, Farces pour sorciers facétieux, que ce dernier avait monté avec son frère jumeau, mort durant la bataille de poudlard. NIVEAU D’ÉTUDES : il n'a fait que six années d'études à Poudlard, il a passé la septième à courir après les horcruxes, persuadé que ça pourrait changer les choses. Il a obtenu 7 BUSEs sur neuf épreuves passées, il a échoué en divination et en histoire de la magie LIEU DE VIE : il vit au sud de Loutry Ste Chaspoule à Devon en Angleterre, dans une maison souvent surnommée le terrier. BAGUETTE : sa baguette est taillée dans du bois de frêne, elle mesure trente-cinq centimètre, son coeur contient du crin de licorne. Il possède encore cette baguette, qui n'est pas la seule qu'il a eu dans sa vie. GROUPE : the fallen. CÉLÉBRITÉ : rupert grint CRÉDITS : tumblr.
I. TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ? Les Weasley sont des traitres, Ron est sûrement le pire de la famille. Lui qui a été si proche de Harry, lui qui a combattu à ses côtés, lui qui a de ses mains détruit l'une des parties de l'âme de Voldemort. Ils étaient pu l’exécuter pour trahison, le laisser pourrir dans une cellule d'Azkaban pour ses soit disant crimes. Selon le nouveau régime, c'était tout ce qu'il méritait. C'était le sort qu'on lui réservait si jamais il avait refusé de se rendre et qu'on l'avait retrouvé. Ça aurait pu être un sort qu'il aurait accepté. Cependant, il a choisi de se rendre, il savait que les mangemorts n'hésiteraient pas à éliminer un par un les Weasley jusqu'à ce qu'ils l'attrapent lui. C'était une chose qu'il ne pouvait pas accepter, alors il avait choisi le chemin de la rédemption, c'était ce qu'ils disaient. Au fond, il n'avait plus pas eu le choix. Aujourd'hui, il fait sa vie sous ce nouveau régime, il survit tant bien que mal dans ce monde qu'il ne comprend pas, qu'il déteste mais qui ne changera sans doute plus. Tout le monde à abandonné, lui y compris, au fond, il n'y a peut-être pas pire moyen d’honorer la mémoire de son meilleur ami.
II. TOUT-A-SAVOIR :il est né dans une famille de sorciers très nombreuses et manquant d'argent, ainsi, il a souvent récupérer les affaires de ses frères ainés et n'a finalement pas grand chose lui étant propre. ◊ il est très doué aux échecs, il joue très souvent à la version sorciers et il a clairement fait ses preuves lors de sa première année dans une partie grandeur nature. ◊ il avait hérité du rat de son frère, un rat à qui il manquait un doigt à une patte, cet animal était en fait peter pettigrow, le mangemort ayant trahit et conduit à leur mort lily et james potter. ◊ durant sa sixième année à Poudlard, il était préfet de la maison Gryffondor et gardien dans l'équipe de Quidditch, c'est aussi pendant cette année qu'il a connu sa première histoire d'amour avec Lavande Brown. ◊ ron a une peur bleu des araignées, cette peur a sûrement été déclenchée par son frère Fred, qui, quand il avait trois ans a transformé son ours en peluche en araignée géante alors qu'il le tenait dans ses bras ; tout ça pour se venger de son petit frère ayant cassé son balais jouet. ◊ c'est un grand fan de quiddicth, ses joueurs favoris sont les Canons de Chudley, il possède énormément de posters et d'objets à l’effigie de cette équipe. ◊ il possède le déluminateur d'albus dumbledore, un mystérieux objet qui absorbe la lumière pour éteindre les sources lumineuses ou qui la libère pour les rallumer, il a aussi la capacité de guider son propriétaire d'une manière parfaitement inexpliquée. ◊ en cinquième année, il a bien entendu fait parti de l'armée de dumbledore et il a participé au combat au ministère de la magie, il a d'ailleurs été blessé durant celui-ci. ◊ harry potter était son meilleur ami, ensemble, ils ont traversé beaucoup d'aventures et ils ont connus énormément d'heures de retenus. ◊ ron est un garçon très gourmand, une chance pour lui, sa mère est une excellente cuisinière qui confectionne bien souvent de délicieux petits plats..
TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : sweet poison, anaïs. TON ÂGE : vingt ans PAYS : france. TU AS TROUVÉ PI PAR : par magie. TON AVIS SUR PI :il est magique. UN DERNIER MOT : Hé toi là bas avec ton casque à cornes, présente-moi ta femme, tu sauras pourquoi t'as des cornes !
Dernière édition par Ronald Weasley le Ven 18 Oct - 19:18, édité 1 fois
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Sujet: Re: (rbw.) ☆ our king. Sam 28 Sep - 14:32
weasley is our king.
that makes me sound a lot cooler than I was.
Poudlard, c’était fini. C’était derrière lui, bien loin derrière lui à présent. Le monde s’ouvrait à lui, à eux et ils n’avaient pas encore la moindre idée de l’endroit où ils allaient aller. Pour l’instant, ils étaient dans la maison poussiéreuse de Sirius Black. Un repère comme un autre. Il ne savait pas combien de temps ils allaient passer ici, il ne savait pas combien de temps ils allaient passer à rechercher les horcruxes. Il fallait bien l’admettre, le plus tôt serait le mieux. C’était le règne de la terreur dans le monde de la magie. Il ne pouvait pas s’empêcher de se demander comment allait sa famille. Il ne les avait pas revus depuis le mariage. A cette pensée, son cœur se serra. Il espérait qu’ils allaient bien. il avait toujours été proche de sa famille, même si ses frères s’étaient bien souvent amusés à lui en faire voir de toutes les couleurs. Surtout les jumeaux. Fred et Georges avaient toujours pris un malin plaisir à faire de lui le sujet de tous leurs tests. Ils avaient même, quand il n’était qu’un enfant voulu le soumettre au serment inviolable. Heureusement que son père était entré à temps pour les en empêcher. Même les âneries de Fred et de Georges lui manquaient déjà. Poudlard lui manquait déjà également. Il n’avait jamais été le plus studieux des élèves, contrairement à Hermione, mais ça lui manquait quand même. La chaleur de la salle commune des Gryffondors lui manquait. A cette pensée, un léger sourire étira ses lèvres. Ils en avaient fais, tous les trois du chemin, depuis le jour où ils s’étaient retrouvés dans cette salle commune pour la toute première fois, elles étaient nombreuses les années qui s’étaient écoulées depuis ce jour là et chaque année avait apporté son lot de danger. Il y avait eu le professeur Quirell et de ce qu’il cachait derrière son turban, le seigneur des ténèbres, ou du moins ce qu’il en restait à l’époque. Cette partie d'échec qu'il avait mené pour permettre à Harry d'aller le combattre. Une partie d'échec grandeur nature ; c'était rien comparé à ce qu'il allait devoir affronté cette année, les échecs, c'était une partie de rigolade à côté de cette chasse aux horcruxes, cette année ce n’était pas un voldemort déjà à moitié mort qu’ils devaient combattre, c’était Voldemort au sommet de sa puissance. Ron laissa échapper un soupire à cette pensée. La tâche qu’on leur avait confiée, n’était définitivement pas simple. Il avait l’impression que les épreuves des années passées n’étaient mêmes pas suffisantes pour les préparer à ce combat là. Pourtant, ensemble, ils devraient réussir, ensemble, ils avaient toujours tout réussi. Ils avaient même combattu un basilic alors qu’ils n’avaient que douze ans, certes, harry avait battu le basilic, il avait sauvé Ginny, sa petite sœur, mais il avait été utile à sa façon lui aussi. Faire du baby-sitting auprès d’un Gilderoy Lockhart, ça n’avait rien d’une tâche facile. Il se souvenait bien de cette deuxième année à Poudlard. Sans doute que ce qui avait le plus marqué son esprit cette année là, c’était leur rencontre avec Aragog et ses enfants dans la forêt interdite. Une araignée géante avec plein de bébés araignées géantes. Un cauchemar pour quelqu’un comme Ron. Rien que de repenser à cette soirée il en avait des frissons. L’atterrissage dans le saule cogneur au début de cette même année, ce n’était rien comparé à cette rencontre avec une acromentula. Aux yeux du sorcier, il n’y avait probablement pas pire créature au monde que les araignées. Traumatisme d’enfance surement. Si Fred n’avait pas transformé son ourson en peluche en araignée géante quand il n’avait que trois ans, peut-être qu’il aurait pu affronter Aragog avec plus d’assurance. Quoi que vu la taille de la bête, on pouvait en douter. Malgré sa place chez les Gryffondor, Ronald Weasley n’était pas le garçon le plus courageux au monde. Enfin, il avait assez de courage pour être là aujourd’hui, lancé à la recherche d’objets dont ils ignoraient tout. Au moins, cette année là, Harry avait déjà commencé sa quête aux horcruxes sans le savoir, il en avait détruit un. C’était aujourd’hui ça de moins à faire. Après cette année haute en couleur, il se souvenait d’être parti en vacances en Egypte avec sa famille. Il s’agissait de bons souvenirs passés avec ses parents, ses frères et sa sœur, des souvenirs qu’il gardait précieusement ô combien ils étaient loin à présent. Il espérait vraiment que tout allait bien pour eux. Après l’Egypte il y avait eu l’histoire avec Sirius Black, celui dont ils squattaient la maison en cet instant. Longtemps, ils avaient cru que Sirius Black était un traitre, un meurtrier, celui qui avait permis à Lord Voldemort de venir assassiner Lily et James Potter. C’était pourtant le parrain d’Harry. Il passé bien des années en prison, mais il s’était échappé, tout le monde avait cru que c’était pour finir le travail en tuant Harry. Eux même, ils l’avaient cru. Pourtant Sirius était un chouette type. C’était croutard, le rat de Ron qui avait causé la mort des parents d’Harry. Bizarrement, il ne pu s’empêcher de sourire à cette idée tellement dit comme ça, c’était absurde. Il reprit pourtant vite un air sérieux, après tout le meurtrier Peter Pettigrow était resté bien longtemps dans la famille Weasley. Ils avaient hébergé un monstre sans même le savoir. Il se souvenait bien aussi de cette soirée durant laquelle il avait appris cette nouvelle. Il se souvenait du chien qui l’avait trainé dans la cabane hurlante de pré-au-lard. Il se souvenait bien des crocs dans sa jambe. Il frotta machinalement son mollet, à l’endroit où il s’était fait mordre en repensant à cette histoire. Finalement le chien c’était Sirius Black, son rat c’était Peter Pettigrow et le professeur Lupin était un loup-garou. Pas étonnant que ces trois là aient été amis durant leur scolarité. Ils étaient faits pour se rencontrer, tout comme Harry, Hermione étaient fait pour se rencontrer. Ils s’étaient rencontrés dès leur première année et aujourd’hui encore, ils étaient ensemble, envers et contre tout, prêt à affronter le monde mon vaincre enfin le seigneur des ténèbres.
Le seigneur des ténèbres qui étaient revenu durant leur scolarité. Ils étaient en quatrième année à Poudlard quand c’était arrivé. Il était revenu à la fin du tournoi des trois sorciers, quatre sorciers pour le coup, puisque Harry avait été également choisi pour participer, en plus des trois autres champions. Ron se souvenait de la rancœur qu’il avait ressenti envers son meilleur ami quand ce dernier avait participé à ce tournoi, il lui en avait voulu de ne pas lui avoir dit comment il avait fait pour mettre son nom dans la coupe de feu ; il avait fallu qu’il le voit affronter un dragon pour réaliser à quel point il fallait être fou pour mettre son nom dans cette maudite coupe, il lui en avait fallu du temps n’avait pas mit son nom dans cette coupe, mais qu’encore une fois, il était victime d’un mauvais coup. Dès lors ils auraient du savoir que Lord Voldemort avait un rôle à jouer là-dedans. C’était toujours à cause de lui qu’Harry se retrouvait en danger, depuis trois ans déjà. Chaque année, Harry tombait dans des pièges, chaque année, il avait de la chance de s’en sortir, Cedric Diggory, l’autre champion de Poudlard, n’avait pas pu en dire autant à l’issu du tournoi des trois sorciers. Il était mort et pourtant le ministère de la magie n’avait pas voulu admettre le retour du seigneur des ténèbres. Peut-être que s’ils avaient réagis plus tôt, le monde n’en serait pas là où il en était aujourd’hui. Il leur avait cependant fallu un an pour s’apercevoir de leur erreur. Une année entière, pendant laquelle ils avaient décidé d’envoyer Dolores Ombrage à Poudlard pour faire taire les rumeurs du retour de Voldemort. Une folle cette femme. Pour palier au manque de formation en défense contre les forces du mal, Hermione avait eu l’idée de fonder une armée, elle savait que Harry pouvait entrainer les volontaire bien mieux qu’Ombrage ne le ferait – elle ne le faisait pas de toute façon. L’armée de Dumbledore était née cette année et ils avaient combattu les mangemorts au ministère de la magie. Sirius Black avait perdu la vie dans l’affrontement et enfin, confronté aux faits, le ministère avait admit le retour du seigneur des ténèbres. La guerre avait vraiment commencé à ce moment là. Leur dernière année à Poudlard aussi. Ils avaient quitté le château définitivement, ils avaient choisi à la fin de l’année scolaire, quelques mois plus tôt, de partir à la recherche des Horcruxes et c’était bien ce qu’ils faisaient. Dumbledore avait dit que c’était le seul moyen de venir à bout de Lord Voldemort. C’était la seule chose qu’il avait dit. C’était bien maigre comme aide. Tout ce qu’ils avaient pour le moment, c’était un faux horcruxe avec une note signée « RAB » Des initiales qui pouvaient appartenir à tout un tas de gens, c’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Ronald laissa échapper un long soupire alors qu’il arpentait les couloirs grinçant de la maison des Black. Ces initiales c’était vague. Elles pouvaient appartenir à Reginald Albert Baggins tout comme elles pouvaient appartenir à Regulus Acturus Black. Le sorcier s’arrêta soudainement devant la porte sur laquelle il venait de lire ce nom. Il la fixa un long moment avant d’appeler Harry et Hermione, c’était peut-être l’indice qu’ils cherchaient pour continuer leur quête.
Harry était mort. Tout comme Remus, Tonks et tant d’autres. Tout comme Fred, son frère. La guerre était finie, révolue, ils avaient perdu la bataille et peut-être qu’il était lâche d’abandonner de la sorte, mais ça n’avait pas d’importance, il le devait. Hermione ne pouvait sans doute pas comprendre. Il ne savait pas où elle irait, mais elle survivrait, elle était assez forte pour ça, il le savait. Tant que lui, il ignorait son emplacement, même sous veritaserum, il ne pourrait pas la trahir. Pas plus qu’il ne l’avait déjà fait apparemment. Il s’était rendu au ministère de la magie, il avait baissé les bras, il avait rendu les armes parce que c’était d’après lui la meilleure chose à faire. Trop de gens étaient déjà morts, il n’était pas nécessaire que d’autres aient à perdre la vie de façon injuste. Surtout pas sa famille. Ils avaient déjà suffisamment souffert comme ça et ça n’allait pas s’arrêter. Sous ce régime, les Weasley seraient à jamais des traitres. Ce régime n’étaient pas bon pour eux, n’était pas bon pour lui, sans doute qu’au fond, il préférerait ne pas avoir à se rendre, il préférait être loin d’ici avec Hermione, mais il ne voulait pas être responsable d’un nouveau mort au sein de la famille. La mort de Fred, c’était déjà de trop. Il ne laisserait pas quelqu’un s’en prendre à nouveau à sa famille, même si pour ça, il devait passer pour un lâche, capable de tout abandonner. Au fond, le vrai courage, c’était peut-être de faire ce que l’on pensait être juste. C’était ce qu’il faisait. Le combat était fini à présent, il n’y avait plus rien à faire. Harry était mort, l’ordre n’était plus, à quoi bon continuer à se battre. Ils étaient deux contre le reste du monde. Deux fous désireux de donner un sens à la mort de leur meilleur ami. Peut-être qu’au fond, le seul sens que prenait la mort d’Harry, c’était celui de la défaite. Ils avaient perdu la guerre, il fallait bien l’admettre et maintenant à moins d’un miracle, il avait l’impression que les choses n’étaient pas prêtes de changer. Le monde était fini et ni lui, ni Hermione ne pouvait changer les choses. La seule chose qu’il pouvait faire, c’était faire de son mieux pour protéger sa famille, c’était survivre, envers et contre tout. C’était également ce que devrait faire Hermione au lieu de chercher des solutions là où il n’y en avait pas ; au lieu de chercher l’espoir, là où il n’y en avait plus.