001. NOM DE FAMILLE Ҩ	Au choix (préférablement à consonance anglaise)
002. PRÉNOM(S) Ҩ	MARINE et le deuxième est au choix
003. ÂGE Ҩ	VINGT-SIX
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG-MÊLÉ
005. MAISON Ҩ	SERDAIGLE ou GRYFFONDOR ou BEAUXBÂTONS
006. OCCUPATION Ҩ	AUROR (peut-être chef d'une division spéciale ?)
007. AVATAR Ҩ	IMOGEN POOTS
008. NÉGOCIABILITÉ Ҩ	AVATAR DIFFICILEMENT NÉGOCIABLE

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“it takes a great deal of bravery to stand up to your enemies, but a great deal more to stand up to your friends.”

“un petit bout d'histoire”

l’histoire est assez libre sauf pour ces quelques points :
▬ elle est mi-anglaise mi-française, elle maîtrise très bien les deux langues bien qu’elle soit dotée d’un petit accent lorsqu’elle parle en anglais (et à vous de voir si elle a étudié en France ou en Angleterre) ▬ elle a toujours été douée en DCFM et Sortilèges et c’est sans surprise qu’elle a entamé ses études pour devenir Auror (faites en Angleterre par contre) ▬ elle était la meilleure de sa promotion d'Auror ▬ elle fait partie de l'Ordre du Phénix depuis ses vingt ans environ
ensuite, prière de ne pas faire une histoire super-méga-dramatique dans le genre ses parents torturés pendant 38104 heures devant elle lorsqu’elle avait quatre ans et là, traumatisme et désir de vengeance intense... Je ne dis pas de lui créer une vie ennuyante, mais juste pas ‘’too much’‘ :)
côté caractère, forgez-la à peu près comme bon vous semble tout en respectant les points suivants : ▬ c’est une personne plutôt fière et indépendante qui ne tolère pas l’injustice ▬ elle est assez discrète, réservée sur sa vie
( j’ai laissé l’histoire et le caractère très libres (je pense), car j'ai très envie que la personne qui prendra Marine se l'approprie ... mais si vous vous sentez trop laisser à vous-même pour créer le personnage, je peux aider et fournir d'autres traits )

“ce qu'il y a entre toi et moi”

Quelques extraits pour vous guider (le premier est issu de ma [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]) :

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« À DROITE !! REGARDE À DROITE, EDWIN ! » lui cria Marine. Trop tard, il était déjà tombé par terre, stupéfixié. Aoutch, son coude. Que Marine se dépêche de venir le libérer, bon sang de goblin ! Il l’observait tandis qu’elle s’approchait lentement - sûrement pour le punir de ne pas avoir regardé à sa droite de malheur. Finite incantatem. De retour sur ses deux pieds, il se massait le coude. Screugneugneu, c’était douloureux (mais il retenait une grimace, pas question de paraître encore plus nul qu’il ne venait de l’être). « Tu y étais presque. On recommence? Et regarde bien des deux bords cette fois-ci !» « Oui, maman... » Il avait vingt-cinq ans maintenant, avait terminé ses études de botaniste médicomage et avait entamé une formation en Défense Contre les Forces du Mal (oui, parce qu’il ne se lassait jamais des études et que celle-ci ne pouvait pas être inutile, si ?) quelques mois auparavant en même temps qu’il travaillait à temps partiel. Aujourd’hui, c’était examen pratique et ça n’allait pas très bien. Parce que l’examinatrice s’appelait Marine. Et qu’elle était très mignonne et avait un délicieux accent français. Mais elle ne devait être guère impressionnée par ses talents de défenseur - elle qui avait été la meilleure de sa cohorte d’Aurors et qui en avait formé d’autres à son tour. Au moins, il avait réussi à lui voler quelques minutes de sa précieuse vie l’autre soir, après le cours. Elle s’était étonnée qu’il ne se lance pas dans une carrière de chasseur de mage noir (« Avec tes connaissances en botanique, tu serais déjà avancé et puis tu te débrouilles pas mal en Défense »), il lui avait expliqué que ce n’était pas trop son truc et qu’il préférait nettement sauver des vies avec ses plantes chéries. Sur ce, elle avait renchéri qu’emprisonner des Mangemorts et adeptes de magie noire sauvait aussi des vies. Après cela, il n’avait pas su quoi répondre et s’était contenté de l’embrasser. Avant de le regretter amèrement (même s’il en rêvait depuis très longtemps) en se souvenant qu’elle était une Auror très accomplie qui connaissait des sortilèges sûrement très douloureux. Elle avait esquissé un sourire mystérieux avant de continuer sur ses plans de carrière possibles : « Et l’Ordre du Phénix ? » Bah, je n’ai pas ma place, je ne suis pas Auror, moi. Mais tout le monde est toujours le bienvenu, Edwin. Il y réfléchirait.

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« Edwin. Que fais-tu au Ministère ? Proche du Bureau des Aurors, de surcroît. » « Hé bien... je suis allé voir un copain au Département de Justice, mais en voulant retourner à Ste-Mangouste, je me suis trompé d’ascenseur, je pense. » Il ajouta un petit sourire coupable pour rajouter un peu de crédibilité à son excuse. « Prends celui-ci, il t’amènera directement à l’entrée. Bonne journée ! » s’exclama Marine en faisant demi-tour. « Merci ! ... mais dis-moi, prends-tu ta pause déjeuner bientôt ? On aurait pu aller prendre un de ces bons sandwiches grillés dans le hall... » Champion de la subtilité : clairement pas Edwin Wickham. Elle esquissa un sourire, pas dupe pour deux Noises. « Je ne prends jamais de pause avant 14 h » répondit-elle tout simplement avant de retourner à sa paperasse d’Auror, sans laisser la chance à son prétendant de se rattraper.

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« Et le blondinet de l'autre jour ? » La mine de Marine se renfrogna : « Oh, s'il te plaît. » « Quoi ? Il semblait pas trop méchant... et plutôt mignon, non ? » Marine ne répondit pas. « Oh, non, tu ne vas pas recommencer à me laisser à mes monologues ! ... » « ... » « D'accord. Chouette. Super sympathique. Comment dois-je interpréter ce silence ? Qu'il te plaît ? Ou qu'il est un total raté ? » « C'est pas un raté. » « Alors, première option ? » « Non. Et puis, laisse-moi tranquille et mêle-toi de tes oignons, tu m'embêtes. » Elle lança trois Mornilles sur la table pour la soupe aux épinards qu'elle avait à peine entamée et sortit du restaurant.

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« Est-ce la semaine ‘’ Passons tout notre temps au Département des Aurors ‘’ ? » « Non, pourquoi ? » demanda innocemment Edwin. « Alors que fais-tu à nouveau ici ? » s'échauffa Marine. « Il est 13 h 55. » « Et alors ? » Si Edwin avait eu deux onces de jugement de plus, il aurait compris qu'aujourd'hui n'était pas le bon jour pour jouer les malins et se serait retiré rapidement. Mais voilà, il voulait lui parler. Devait lui parler. Juste un peu et il repartirait content. Juste un mot gentil, une information de plus sur elle, un petit rapprochement. « Selon mes savants calculs et une source fiable, tu as pause dans cinq minutes. » « En effet et j’aimerais beaucoup en profiter pour être seule. » « Je serais silencieux ? » « Non ! » Elle prit le jeune homme par le bras pour l’amener plus loin ; il n’était aucunement utile que ses collègues entendent cette conversation... c’étaient des plans pour qu’ils la narguent avec cette histoire jusqu’à Noël prochain.... « Tu ne peux pas te pointer comme ça comme bon te semble sans m’avertir... » « Ah, parce que si je te demandais de me réserver 30 minutes demain, tu le ferais ? » s’enquit le botaniste, optimiste. « Non, bien sûr. Je n’ai pas le temps. » « De manger ? Mais tout le monde doit manger ! » Marine leva les yeux au ciel, retint de justesse un sourire rieur. Mais il ne fallait pas qu’il s’aperçoive qu’elle l’avait trouvé drôle. « Je n’ai pas le temps pour toi, Edwin. »

Elle n'aurait pu être plus explicite. Docilement, le coeur quelque peu meurtri, l'ego plutôt anéanti, il s'inclina devant cette défaite et se retira de l'affaire. Une dizaine de fois avait-il tenté de l'approcher, une dizaine d'échecs. Il fallait reconnaître que ça s'annonçait très mal parti. Les rares fois où il la croisa par hasard par la suite, il était poli mais distant. Après, n'était-ce pas ce qu'elle désirait ? Rien entre eux ?

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« Tu ... tu fais partie de l'Ordre maintenant ? » s'étonna Marine en voyant Edwin autour de la table de cuisine des Weasley, lieu de rencontre de l'OP en cet après-midi de juin. « Bonjour, oui, moi aussi ça va, merci. Ça faisait longtemps (six mois, pour les curieux). Et, oui, me suis désormais un membre de l'Ordre, bien deviné ! » Kingsley réclama alors le silence, expliqua qu'il n'y avait pas une minute à perdre. Marine semblait nager en plein dilemme... et finit par s'asseoir à côté du nouveau recruté. Puis lui chuchota : « Qu'est-ce qui t'a fait changer d'idée ? » Il se pencha, murmura : « Cela me semblait le seul d'être utile pour amener la fin de cette guerre. » « Eh bien... C'est chouette que tu ... » Mais les yeux noirs de reproche de Kingsley persuadèrent les deux sorciers d'arrêter leur conversation secrète. Rien (même pas tous les yeux noirs du monde) n'aurait pu effacer le léger sourire d'Edwin : avait-il rêvé ou elle ne semblait pas totalement malheureuse de le voir ici ?

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« ... ai-je le droit de te parler maintenant ? Ou tu es trop pressée ? » « Toujours aussi comique. » « Toujours Auror ? » « Heh... oui. Que voulais-tu que je fasse d’autre ? » « Rien, j’essaye simplement de commencer une conversation... pas génial, hein ? » « Plutôt. » Il enfouit ses mais dans ses poches ; l’envie de lui prendre les siennes serait moins lourde ainsi. Depuis qu’il avait intégré l’Ordre, elle semblait commencer à considérer qu’il y avait peut-être en lui un potentiel intéressant pour devenir quelqu’un d’utile dans sa vie. Bref, c’était loin d’être gagné.

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Presque tout l'Ordre était présent, bien entendu. De un, par pur plaisir de célébrer le mariage de deux de leurs compatriotes (Bill et Fleur) et de deux, par mesure de sécurité. « Elle est très jolie, en effet » glissa Thybalt à Edwin. « Qui ça ? » répondit-il, sur la défensive. « Hmm, je ne sais pas, peut-être celle que tu fixes depuis au moins une bonne quinzaine de minutes. » « Je ne fais pas une telle chose. » Thybalt arqua le sourcil, se donnant la mine mais-oui-bien-sûr-et-je-suis-un-dinosaure. « Va la voir, je sais pas, invite-la. » « Mais si elle me rejette ? » « He bien, ça ne serait pas la première fois, pas vrai ? » Ha-ha-ha. Son meilleur ami lui tapota l’épaule en signe d’encouragement, puis le poussa dans le dos : allez, un peu de courage.
Thybalt avait tort : elle n’était pas très jolie, elle était splendide, magnifique, resplendissante... comme toujours, mais plus. « Bonsoir, Marine. » Bonsoir, Edwin. « Me ferais-tu la faveur de m’accompagner sur cette chanson ? » La jeune Auror semblait hésiter. « Entre amis. » « Nous ne sommes pas vraiment amis. » « Pas encore. Et ce n’est pas comme si je n’avais pas essayé... » Elle échappa un petit rire. « D’accord, mais juste une, hein ? » Elle lui tendit son main, il la prit avec bonheur.

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“derrière le voile”

Bonjour
Premièrement merci de t'être rendu jusqu'à la fin ! J'espère que le personnage t'intéresse toujours autant Je sais pas si le lien est assez clair, mais enfin, je vais sûrement te MPotter, car j’ai dix mille trucs à dire. Mais avant de te lancer dans une grande aventure palpitante, voici quelques trucs que tu dois savoir .... Le prénom est quasi-non-négociable, car je l'aime beaucoup énormément. Mais si jamais tu frôles la crise cardiaque à sa simple lecture et que tu arrives à trouver THE prénom qui me ferait changer d'idée, nous pourrons aviser .. mais c'est mission quasi-impossible, je préviens ! Ensuite, pour ce qui est de ses origines/noms/études, c'est vraiment libre tant qu'il y a la notion de double-nationalité. J’ai laissé l’histoire et le caractère très libres, mais je me réserve le droit de refuser des trucs si ça me plaît pas (car j’ai une grande tendance dictatoriale). J’espère que cette liberté t’inspirera plutôt que de te laisser avec un gros blanc quant à comment la façonner. L'avatar est très peu négociable parce que Imogen quoi . Je reste très ouverte aux suggestions, hein ! mais pas beaucoup aux changements je suis quelqu'un d'extrêmement difficile héhé.
Bon ensuite, je n'attends pas une personne qui pondra de très longs RPS, tant qu'il y a un peu de contenu, ça va faire mon bonheur :) et pas trop de fautes aussi svp sinon je m’étouffe et meurs (rien de moins). Et bah, évidemment, j'espère quelqu'un de relativement actif
Petite info pas du tout utile : j'ai failli '' tuer '' Marine par flemme de faire ce scénario et pour expliquer son absence et là du coup, c'est tout stressant de poster ça, mais enfin, tout le monde s'en fiche, je sais
Bon voilà, si je ne t’ai pas fait fuir avec mes multiples exigences et que tu veux tenter ta chance, ça va me faire un immense plaisir de répondre à toutes tes questions ! et de te donner plein plein de câlins
Ah oui, ai-je dit que j'allais vénérer jusqu'à ma mort quiconque prendra ma Marine ?