f. amore richards

22 ANS ◊ MÊLÉ

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON fawn richards 8 BUSES & 8 ASPICS MEMBER OF THE ORDER OF THE PHOENIX

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Fawn, sculptée avec soin du bois d'une vigne, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : sauvage, efficace et élégante sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un crin de licorne qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Tu fermes les yeux et essaies de t'imaginer son visage. Tu t'appliques à faire cet exercice tous les matins depuis déjà tant de fois que tu ne sais même plus quand cela à commencer. Tu discernes les traits particuliers du Lord et tu inspires. Cet exercice te permet de forger ta volonté, parce que tu sais que si tu ne te laissais pas aller à de telles choses, tu laisserais la terreur s'emparer de toi. Il serait mentir de dire que tu n'as pas peur de lui, il t'effraie, mais plus assez pour te terrifier et te donner l'audace de faire demi tour et abandonner tes convictions. Au fur et à mesure de tes travaux de visualisations pour t'habituer à cette créature, tu t'es rendu compte que tu avais espoir. Espoir de pouvoir vaincre cet homme - si tant est qu'il en soit un - et que tous réunis, vous en aviez les moyens. La peur est une fin en soit et, tu es prête à ne plus avoir peur.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Tu ne t'attendais pas vraiment à accepter rejoindre les rangs des membres de l'ordre du phénix. Tu t'attendais encore moins à en avoir l'occasion. Tu te souviens de tes années à Poudlard, où parfois tu semblais t'être trompée de maison. Comme vouée à aller à Serpentard plutôt qu'à Gryffondor. Tu te souviens de tous ces courageux lions et d'autres élèves d'autres maisons, plus gentils, plus niais. Tu pensais que les membres de l'Ordre étaient niais et, qu'ils avaient un idéal trop éloigné de la réalité. Tu n'étais pas vraiment aimée durant ta scolarité et, si quelques éléments de ton destin ne t'avaient pas forcé la main, tu serais soit restée sagement chez toi à attendre que le temps passe et que la guerre se termine, par la victoire de l'un ou l'autre des clans, ou tu aurais rejoints les rangs du Lord par soumission, parce que tu as pensé durant un certain temps, qu'ils étaient ceux qui avaient le plus de possibilité de gagner et le plus de pouvoir. Maintenant que le temps à passer et, que tu n'es plus - plus autant - la superslut que tout le monde pensait, tu as une grande estime des membres de l'ordre, pas forcément de tous, mais au moins d'une certaine partie. Faisant toi-même partie de ce groupe, tu sais que vous n'êtes pas des imbéciles assez incrédules et idéalistes pour penser que la victoire est gagnée d'avance et que la vie va être rose dans peu de temps, mais tu sais que vous êtes assez réalistes pour savoir que vous avez une chance de gagner et de sauver le monde.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?Il fait déjà nuit dehors, bien trop nuit pour que tu daignes sortir le bout de ton nez autrement que pour une mission ou une réunion avec les membres de l'Ordre. Tu sais que ce n'est pas le moment pour se reposer, mais tu es humaine, tu en as besoin. Tu sors ta baguette et pointe des chandelles, les faisant s'allumer par de simples mots. Tu t'agenouilles ensuite sous ton lit, comme une enfant qui regarde si un monstre ne se trouve pas en dessous. Tu en as vue des monstres, bien trop ,mais trop peu pour ne plus en avoir peur. Tu as appris à être courageuse cependant. Parce que le choixpeaux ne t'aurait jamais envoyé à Gryffondor si tu n'avais pas cette once de courage. Lentement, tu sors un coffret en bois de dessous le lit. Tu la poses sur le lit et inspires profondément. Tu n'es pas vraiment prête pour ça, mais ton coeur en a besoin. Tu en sors un album photo et, le serre contre toi avant de t'allonger sur ton lit et de caresser le papier plastifié de l'album. Tu souris doucement et décides enfin de l'ouvrir. La première photographie montre un bébé foudroyant l'appareil photo de ses yeux gris. Tu souris un peu plus en remarquant les sourcils foncés de cette petite chose. Cette petite chose, tu le sais, c'est toi. Tu tournes une page et te retrouves nez à nez avec une femme semblant exténuée, tenant ce même bébé dans ses bras. Les deux êtres semblent heureux. Tu ne peux t'empêcher de sourire un peu plus, avant de sentir tes yeux te picoter. Tu enchaînes doucement les photos, une à une, laissant parfois ton doigt touché certaines avant de tourner une autre page et d'inspirer un bon coup pour éviter que tes larmes ne coulent. La guerre t'a séparée d'êtres chers, êtres que personne ne pourrait jamais remplacer. Ton père, ta mère et, cette petite soeur aussi pétillante qu'un rayon de soleil. Elle t'a aussi ouvert les yeux sur une partie de toi que tu ne souhaitais pas montrer au monde, cette toi courageuse et sympathique, amusée et impliquée. Tu as confiance cependant, dans la fin proche de cette guerre. Tu ne sais pas qui en sortira vainqueur, tu espères que ce sera l'Ordre du Phénix, ton camp. Une chose est certaine, tu feras tout ton possible dès maintenant pour empêcher que d'autres sorciers ou moldus perdent les êtres auxquels ils tiennent le plus, car tu as finalement compris quelque chose grâce à cette guerre. Ce n'est pas une question de bien ou de mal, c'est une question de pouvoir. Et le réel pouvoir réside dans l'amour. Tu fermes ton album photo mouillé par tes larmes et, soupire, agacée par la niaiserie à laquelle tu viens de penser.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ aztec. TON ÂGE Ҩ dix sept ans le dix neuf novembre! CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ phoebe jane tonkin. parce qu'elle est hot et que c'est mon actrice préférée. PERSONNAGE Ҩ amore est un personnage inventé. TON AVIS SUR PI Ҩ j'ai arrêté le rpg pendant presque un an, j'ai pas mal de fois essayé de m'y remettre mais à chaque fois que je voyais un forum attirant, un second coup d'oeil me retirait l'envie de m'inscrire. PI a réussi à passer plusieurs coups d'oeil et je me suis inscris. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ l'une de mes soeurs à un compte sur bazzart, je me suis faufilé et j'ai découvert PI. CONNEXION Ҩ au minimum deux fois par semaine, mais normalement tout les soirs. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ love me love me, say that you love me.

"you can't bandage the damage, you never really can fix a heart."

Tu fermes les yeux et inspires profondément. Tu as besoin de sortir, de prendre l'air. Loin de toute l'agitation de la guerre, mais aussi proche que possible aussi. Tu te dois de rester sur le qui-vive et de récolter de nombreuses informations. Ton cerveau a cependant besoin de relaxation. Tu te lèves dans un soubresaut et te tourne vers l'armoire où sont rangés tout tes vêtements. Tu choisis de prendre un top dans le style aztec ainsi qu'une veste en jean, avant de t'enfiler un short et des bottines. Tu ne mets pas de chaussettes. Tu n'as jamais aimée ça. C'est bien connu, porter des chaussures sans chaussettes donne une odeur désagréable à tes pieds. C'est pourquoi tu as créer un sortilège te permettant de ne pas transpirer et de donner à tes pieds, une odeur de vanille. Tu attrapes ta baguette et la ranges dans la poche intérieure de ta veste, te permettant ainsi de l'avoir à porter de main, dans un endroit furtif et laissant peu de risques de casse. Tu portes ensuite à ton doigt une bague en argent, surmontée d'un lapis-lazuli. Cette bague porte de nombreux souvenirs, de nombreuses significations. Elle appartenait à ta soeur, et c'est l'une des raisons pour lesquelles c'est ta bague préférée. Tu lui avais offert lors de son quinzième anniversaire et trop grande à cette époque, ton père avait jeté un sortilège pour qu'elle se transforme à la taille du doigt auquel on voulait le porter. Ainsi, elle pourrait la porter au fil du temps sans crainte de voir la faire aggrandir. Tu repenses aux bons moments passés avec elle. Avant que cette tragédie n'arrive, tu n'arrivais pas à penser au peu de moment que tu avais pu partager avec elle, tu n'en avais pas passer assez. Depuis, tu t'en souviens distinctement, et chacun de ces souvenirs te fait l'effet d'un endoloris. Tu aimerais pouvoir revenir en arrière, et tout recommencer. Des souvenirs t'assaillent de toute part, et doucement, tu perds le fil du temps. C'était très tôt le matin, aux alentours de six heures vingt cinq. Tu avais passée la nuit chez un homme encore une fois, et ce sans en avoir avertit tes parents. Ce matin là, tu t'étais remise en question en te réveillant aux côtés d'un homme dont tu ne te souvenais même pas le nom. Tu avais décidé de t'excuser, et de demander pardon à tes parents ainsi qu'à ta soeur. De ne pas leur avoir assez montré que tu les aimais, qu'ils étaient tout pour toi et que même si tu avais été dure avec eux durant de nombreuses années, tu n'avais jamais cessé de les tenir au plus profond de ton coeur. Ils habitaient dans un quartier sorcier aux revenus moyens - pour ne pas dire aisés - . Tu avais décidée de descendre à une boulangerie pour acheter quelques cupcakes pour appuyer ta démarche. Tu étais arrivée devant ton petit portillon, les cupcakes à la main. Inspirant un grand coup, tu avais poussé la petite porte blanche repeinte quelques jours plus tôt par ta mère. Elle adorait peindre et faire des travaux manuels. Ce côté digne des moldus ressortait énormément chez elle, et c'était ce qui lui donnait son charme. Tu t'étais avancée en imaginant comment commencer la conversation, puis tu t'étais brusquement arrêtée. La porte entrouverte t'avait interloquée. Personne n'était censé être debout à cette heure là, si c'était le cas, cette porte ne devait en aucun cas être laissée ainsi. Tes sens étaient bizarrement en alerte, tu sentais que quelque chose clochait. Attrapant ta baguette, tu étais entrée doucement. Avant d'arriver dans le salon. Ils étaient tout les trois là. Tu pouvais voir les cheveux de ton père et de ta mère dépassés du canapé, et ceux de ta soeur allongée sur le sol. Le feu dans la cheminée se mit à crépiter. Tu hésitais à entrer dans la pièce, ne sachant comment commencer la conversation. Ce n'est qu'au bout d'une minute que tu te rendis compte que quelque chose n'allait vraiment pas. Le silence. Ils étaient tout les trois dans le salon, dans un silence presque morbide. « Papa? - silence - Maman? - autre silence - Aphrodite..? » Ta raison te criait de partir, mais ton corps ne le voulait pas. Tu t'étais avancée doucement, avant de jeter les cupcakes au sol et de t'agenouiller près de ta soeur. Son corps était froid, et ses yeux ouvert, ne dégageaient plus une once de vie. Tes parents avaient les yeux fermés, et de la façon dont ils étaient positionnés, tu savais qu'ils n'avaient pas été dans cette position auparavant. Levant ta baguette, tu n'eu le temps que de te protéger avec un sortilège de défense. Alors sortant de sa cachette, tu avais pu l'appercevoir. Lui. Tu rouvres les yeux et te rends compte que des larmes ont coulés sur tes joues. Tu les essuies d'un revers de la main. Tu n'aimes pas te rapeller ces mauvais souvenirs, car ils te montrent une part de ton histoire dont tu voudrais effacer l'existence. C'est pourtant elle qui te permet d'avancer. Tu respires profondément et sors de ton logis, te dirigeant vers le bar le plus proche. Tu as besoin de te défouler. Il fait nuit dehors, et cette même nuit t'enlace dans son manteau noir et froid. Tu ouvres la porte du bar et te laisse enserrer par la chaleur qui sort des radiateurs. Des hommes boivent, un groupe de femme fête quelque chose et le barman sert les clients. Ce bar est le plus moldu que tu es pû trouver. Tu ne pouvais pas te rendre dans un bar du côté sorcier, pas par les temps qui courrent. Tu t'avances et pose ton coude sur le bar, regardant rapidement de chaque côté. « De la vodka. » Le barman joue de ses mains et dépose finalement un verre remplit d'un liquide translucide, surmonté d'un zeste de citron vert. Tu le sirottes doucement, savourant les moindres gouttes que t'offre cette boisson. Tu sens que quelqu'un s'asseoit à côté de toi, mais tu n'y prêtes pas attention. Jusqu'à ce qu'il s'adresse à toi. « Que fait une aussi jolie jeune fille dans un bar comme celui-ci? » Tu finis ton verre et te tournes vers lui. Tu sursautes. Parce que cet homme à un air de ressemblance profond à lui. Tu déposes l'argent pour la boisson et part sans demander ton reste. « Je dois partir. » Tu t'arrêtes sur le trottoir et regardes autour de toi. Tu coures, parce que tu as besoin de courir. Tu ne fais pas attention à la grand-mère que tu as faillie renverser, ni à ce ballon qui a faillit te faire chuter. Tu continues, à en perdre la raison. Soudain, tu te stoppes. Tu es assaillie par le battement sanguin qui circule dans tes oreilles, et alors, tu t'asseois. De nouveau prête à retomber dans tes souvenirs. Lui . Tu l'avais connu lors de ta dernière année à Poudlard. Il était grand, blond, élancé. Serpentard. Tout pour te donner envie qu'il soit ton coup d'un soir. Il l'avait été. Mais lorsqu'il avait dit t'aimer près du lac noir, tu avais sucombé. Tu étais une terreur à l'école, et personne ne semblait assez apte à t'aimer. Pas même ta petite soeur qui courait secourir toutes les victimes de tes fureurs. Tu l'avais aimé jusqu'à ce que dans ce couloir près de la salle de métamorphose, il avait avoué devant toute une assemblée n'avoir jamais rien ressentit à ton égare. Qu'il avait juste décidé de montrer au monde que tu pouvais être détrôner, toi la princesse rouge et or. Celle qui n'était pas assez bien pour les gryffondors car elle ressemblait trop aux serpentards , et qui répugnait les serpentards car elle était une rouge et or doublé d'un sang souillé. Tu avais été anéantie ce jour là, et ce car tu lui avais accordé ta confiance, à lui et à personne d'autre. Et que tu l'avais aimé. Tu avais tout fait pour l'éviter, et voilà qu'il se retrouvait devant toi. Ta soeur froide à tes pieds et tes parents cadavériques sur le canapé du salon. « Je t'offres un verre? » Sa voix avait été claire, fluide et sifflante. Tu avais reculer d'un pas, ou deux peut-être. Il avait donné un coup de baguette dans les airs et tu avais volé contre un mur. Retombant sur le sol dans un fracas. Ta baguette en main, tu t'étais relevée, avant de te faire expulser de nouveau et de retomber de nouveau. « Tu te souviens de ce jour, où j'ai avoué ne t'avoir jamais aimé? Savais-tu que ta soeur était venue me voir ensuite au lieu de simplement venir te réconforter? » Il s'était arrêté, avant de tenter un nouveau sort. Sort qui ne fit aucun effet car ton sortilège de défense avait été plus rapide. « Elle m'a félicité ce jour là, parce que j'avais réussi à te mettre terre. Toi sa soeur. Mais elle était aussi en colère contre moi, car je venais de te faire souffrir. » Tu avais eu envie de sourire, parce que tu savais que ta soeur t'aimais plus que tout. Tu l'espérais tout du moins, car tu avais peut-être brisé tout tes liens familiaux. Liens qui ne pourraient jamais être réparés. Tu avais lancé un nouveau sortilège de protection et t'étais mise à courir, montant les escaliers à vive allure et manquant de tomber sur le tapis. Tu étais finalement entrée dans la chambre qui t'avait servie durant de nombreuses années. Il t'avait poursuivit en ricanant. Tu avais remarqué son tatouage, celui des mangemorts, et tu savais que tu courrais à ta perte. Tu avais fermé ta porte à clé d'un sortilège, mais tu savais que n'importe quel sortilège pourrait l'ouvrir. Tu avais donc déplacé tout tes meubles par magie pour qu'ils puissent bloquer une possible entrée. Tu t'étais alors assise puis mise à pleurer. Tu l'avais entendu derrière la porte, ricanant et usant de magie. Tu savais qu'il ne te restait plus beaucoup de temps à vivre. Parce qu'il avait du tuer facilement tes parents. Tu t'étais mise à regretter de n'être pas arrivée avant, car tu aurais peut-être pu faire quelque chose. Les prévenir. Bassesse, tu ne l'aurais pas su. Les meubles avaient volés dans la pièce, et calmement, il y était entré. Il s'était doucement rapproché de toi et tu n'avais pas bronché. Il t'avait alors attrapé par les cheveux et jeté au sol. Tu agissais comme une Serpentard, soumise, faible. Tu avais pourtant été dans la maison des lions, cette même maison à laquelle tu n'avais jamais réellement prouvé ton appartenance. Il avait ensuite pointé sa baguette vers toi et t'avait sourit. « Tu sais ce qui m'emmerdes là? C'était que malgré tout, t'étais bonne. » Tu lui avais alors sourit, comme si tu étais d'accord avec ce qu'il venait de dire. Tu l'étais, tu savais que tu étais bonne. Tu n'aurais jamais réussi à avoir autant d'hommes sous tes draps si ça n'avait pas été le cas. Tu aurais préféré qu'il te dise que tu étais belle, jolie, pas bonne. Tu l'avais désarmé rapidement, sans même t'en rendre compte. Comme si une force venait soudainement de t'habiter. Et d'un simple geste, tu l'avais envoyé dans les airs. Quelque chose avait alors craqué et un râle sourd t'avait sortit de ta transe. De ton courage. Tu t'étais approchée et l'avait vu. Allongé sur le sol, la cage thoracique transpercé par un bout de bois. Tu avais alors cessé de respirer, comme si ton monde venait de s'écrouler. Il s'était écrouler. Tu avais perdu tout ce qui pouvait compter. Ta mère, ton père, ta soeur. Et ton innocence, ton humanité. Tu repris ton calme, revenant à toi. Tes yeux verts regardaient une flaque d'eau reflétant la lune. Tu transplanes alors, te rendant le plus près possible du QG de l'Ordre. Tu as compris quelque chose le jour où ton monde s'est écroulé, il existe plusieurs mondes. Et certains méritent d'être sauvés.

Code:

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"I'm a lightweight, easy to fall easy to break."

est née un trente et un octobre ١ se fait plus souvent apeller par son deuxième prénom ١ est courageuse ١ intrépide ١ impatiente ١ sauvage ١ romantique ١ manipulatrice ١ généreuse ١ égoïste ١ n'aime pas les chiens ١ ni les serpents ١ joue souvent avec ses lèvres ١ aime les films à l'eau de rose ١ et les films d'horreurs ١ mais n'aime pas la niaiserie en général ١ ni les personnes trop gentilles ١ arrive à détecter lorsqu'on lui ment ١ est paranoïaque ١ possessive ١ jalouse ١ protectrice ١ n'aime pas partager ١ pleure souvent ١ ne supporte pas lorsqu'une porte est entrouverte ١ séductrice ١ enjôleuse ١ ne tombe plus facilement amoureuse ١ est vouée à tomber amoureuse des mauvaises personnes ١ porte souvent du vernis ١ aime les vêtements avec un style aztec ١ ne sort jamais sans la bague de sa soeur ١ bipolaire ١ souvent incomprise ١ rancunière ١ maternelle ١ était traitée de superslut lors de ses années d'études ١ continue toujours ses relations d'un soir ١ joue toujours avec les gens ١ aime le pouvoir ١ mais encore plus la justice ١ veut un monde meilleur ١ ne mange jamais de chocolat ١ ni de fraises ١ préfère les poires ١ et la vodka ١ écrit un journal intime ١ regarde souvent son album photo familial ١ est sang-mêlé ١ et fière ١ essaie de ne jamais regretter ses actes ١ regrette pourtant de ne pas avoir été là pour sa famille ١ est rongée par le meurtre qu'elle a causée ١ doit se laver trois fois par jour pour avoir l'impression d'être propre ١ se regarde souvent dans son reflet ١ narcissique ١ fait partie de l'ordre du phénix ١ a prouvé à maintes reprises qu'elle méritait d'en faire partie ١ ne se remet pas souvent en question ١ passe toujours une main dans ses cheveux en entrant quelque part ١ ne supporte pas les chaussettes ١ ni les fêtes de noël ١ meurtrie ١