thybalt nolan Hellsing

27 ANS ◊ SANG MÊLÉ ◊ LYCAN

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON thybalt nolan hellsing 10 BUSES & 9 ASPICS Botaniste & dresseur de Dragons Order of Phoenix

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Thybalt, sculptée avec soin du bois d'un chêne, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que 11 ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : Habilité , courage , persévérance sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un ventricule de dragon qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT :
Lord Voldemort a beau être un mage puissant et dangereux, ça ne fait pas de lui un être immortel. Autrefois, il était connu sous le nom de Tom Jedusor, un sorcier comme nous, normal mais juste devenu trop puissant pour qu'on puisse le contenir. Nous pouvons le battre. C'est pour cela que l'ordre du Phénix a été créé. Car il y a toujours un espoir. Peur? Oui, j'ai peur de lui, j'ai peur de ce qu'il est en mesure de faire. J'ai peur de perdre des proches, j'ai peur du chaos qui se développe mais je ne faillis pas. La peur n'est pas une excuse à la lâcheté. Tant qu'il y a de l'espoir, rien n'est perdu...

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ?
Nous ne sommes pas des marionnettes, ni des héros. Peut-être sommes nous fous d'espérer, mais nous faisons ce que beaucoup ne font que penser. Nous agissons en mettant de côté notre peur, parce que d'autres ne sont pas en mesure de le faire. Nous faisons la sale besogne, mais nous le faisons parce qu'il n'y a personne d'autres pour le faire. Nous nous battons...parce que nous aspirons à ce monde en paix, sans effusion de sang, ni douleur.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?
Je ne suis pas seulement en danger en tant que membre de l'ordre, mais aussi parce que je suis un loup-garou. Les créatures de mon genre ne sont pas les bienvenues dans la populace magique, et pourtant, je fais avec. Je cache un secret derrière un autre, toujours avec cette peur au ventre ravalée par un courage et un espoir. Peur de me faire capturer, d'être condamné, torturé puis tué, oui, je le suis, mais je fais avec car l'idée révoltante de gagner cette guerre est plus déchirante qu'autre chose.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ ShiTON ÂGE Ҩ 21 ans CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ Colin Morgan PERSONNAGE Ҩ Inventé TON AVIS SUR PI Ҩ Je suis tellement contente qu'il soit reparti, j'aime tellement ce fofow et ses membres OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ Ancien membre. CONNEXION Ҩ 5/7 UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ

« Thyb’ ! J’en ai trouvé une, ramène tes fesses ! »

Thyb’, c’est moi, de mon vrai prénom, Thybalt. Le jeune homme aux cheveux bruns ébouriffés, habillé d’une tenue d’expédition maculée d’une odeur de terre et de conifères, à genoux à même le sol, les doigts entremêlés autour de plantes spécifiques, voilà le sorcier que je suis devenu après 27 années de vie sur cette Terre. Mon amour de la nature m’a guidé vers cette carrière de botaniste. Un choix que je ne regrette en rien. Qui plus est, je ne suis pas seul. Je ne l’ai jamais plus été depuis que je l’ai rencontré 16 ans plus tôt, dans la salle commune de Serdaigle.

« J’arrive Edwin, laisse moi le temps d’extraire la sève élaborée de cette plante… »

En pinçant du bout de mes doigts habiles et experts la tige sans endommager la plante, je parvins à extraire la sève souhaitée, que je laissai couler dans une petite fiole en verre cristallisée. Une fois cela fait, je sortis de la sacoche en peau de daim accrochée à ma ceinture un sachet hermétique, dans lequel je plongeai mes doigts pour en récolter une infime quantité de pommade que je pris soin d’appliquer sur l’ouverture à peine visible de la tige.

« Thybalt ! »

« J’arrive partenaire particulier ! Fitz ? »

Un museau humide vint se coller contre ma joue. Je souris. Oui, je n’étais pas seul. Mère et père avaient beau être dans l’autre monde, je pouvais toujours compter sur mon meilleur ami, mon frère de cœur, Edwin, avec qui je partageai mille et une aventures depuis l’aube de notre rencontre. Et nous avions un troisième compagnon qui nous accompagnait depuis maintenant 6 années. Fitz, un loup que j’ai recueilli dans la forêt, alors qu’il était agonisant et seul.


Ceci n'est ni le début, ni la fin de mon histoire...





Je suis né dans une petite bourgade paisible du Midland, fils unique d’un couple de scientifiques. Ma mère était réputée dans le domaine médicinal puisqu’elle était l’une des médicomages les plus réputées. Quant à mon père, il ne lésinait pas non plus, botaniste reconnu parmi ses confrères. On peut dire que c’est eux qui ont été les catalyseurs de mon destin. Ils m’ont tout naturellement transmis leur passion de la nature et de ses bienfaits avant même que je sois en âge de comprendre. Petit enfant choyé par l’amour parental, j’ai grandi dans un cocon douillet, bercé par la tendresse de mes parents. Déjà tout jeune, je démontrai une passion dévorante pour l’apprentissage. Lire, encore et toujours, écouter sans cesse, suivre les conseils de mes parents, quelques fois les esquiver pour alimenter ma curiosité. Je gambadais de gauche à droite, tantôt avec ma mère pour apprendre les différents bienfaits des pommades et les comment faire pour soigner, tantôt avec mon père pour jouer à l’apprenti botanique. Chaque soir, je m’affalais alors à même le plancher, après m’être décrassé de la terre, des mixtures et de la sueur qui se seraient collés sur ma peau, et me plongeais alors dans une lecture intellectuelle et historique. Quand il ne s’agissait pas de livres sur les plantes ou la médecine, alors mon attention se portait sur les documents historiques ou les contes. Bref, voilà le petit train quotidien que je menais durant mon enfance. Malgré le fait que nous habitions aux abords d’un village rustique, j’étais un enfant solitaire. Un gosse qui préférait la compagnie des animaux, des plantes et de ses parents plutôt que celles des autres gamins de mon âge.

L’année de mes 9 ans fut le début de mon cauchemar. Ce soir d’automne, ma curiosité et mon imprudence ont failli me conduire à ma perte. J’ai frôlé la mort de près, un peu trop pour ne pas sortir de cette expérience sans séquelles. Un soir de pleine lune et malgré les interdictions avisées de mes parents, j’ai eu l’inconscience de me promener aux abords de la forêt, enivré par les aromes de la nuit et l’envie de cueillir quelques champignons pour préparer un succulent bouillon à mon retour dans la maison. Puis soudain, alors que j’étais agenouillé sur un matelas de feuilles mortes, à faire mes petites emplettes, je l’ai entendu. Son grognement rauque et affamé. Puis je l’ai vu. Sa silhouette imposante et poilue. Mes yeux dorés plongés dans les siens, incandescents. Et bien que la peur me tétanise, j’avais puisé suffisamment de courage pour m’enfuir vers la maison après un long échange visuel. Vaine tentative. Ce soir là, je fus délibérément mordu. Celui qui fit couler en moi le venin de la lycanthropie savait ce qu’il voulait : me transformer, ne pas me tuer. Alors que j’agonisai sous le coup de la morsure, j’avais entraperçu, avant de plonger dans l’inconscience, le fugace départ de cette bête...

Malgré tout ce que l'on peut dire, je parvins à accepter ma lycanthropie assez vite. Il faut dire que mon parents ont été d'un grand secours les premiers soirs de pleines lune. Tous deux animagus, ils venaient m'aider pendant ces terribles nuits pour m'empêcher de commettre des dégâts, malgré la potion Tue Loup que je prenais chaque veille. A mesure que les années passaient, malgré ma jeunesse évidente, je parvenais à mieux contrôler ce problème de fourrure. Certes, chaque soir de pleine lune est toujours une épreuve épuisante et dangereuse, mais je sais que je peux éviter la catastrophe grâce à un peu de volonté. Vouloir, c'est pouvoir...


A 11 ans, comme tout petit sorcier né en Angleterre, je reçus une lettre du directeur de Poudlard, m’invitant à faire mes études dans cette école de sorcellerie. Cela faisait déjà 6 ans que j’avais eu ma première expérience magique, en faisant exploser le chaudron de la cuisine sous un excès de colère. Sans surprise, je fus envoyé à la maison des érudits, Serdaigle ! C’est là que je fis la connaissance d’Edwin Wickhman. Un premier échange de paroles suffit à faire baisser le rideau de la méfiance, car nos caractères respectifs semblaient avoir été prédestinés pour que nous nous entendions à merveille. Pendant 7 merveilleuses années, nous fîmes les cents et un coups, au grand désespoir des professeurs. Sur que nous aurions été viré si nous n’étions pas les deux meilleurs élèves de notre promotion. Les soirs de pleine lune, je restai cloîtré dans la cabane hurlante pour éviter tout risque, si près de Poudlard. Préparant moi-même ma potion Tue Loup, je ne craignais pas ainsi de voir les effets se dissiper par inadvertance. Edwin fut rapidement mis dans le secret, car nous étions déjà devenus inséparables dès les premières semaines de cours. Ainsi donc, mes 7 années au sein de poudlard se déroulèrent plutôt bien et je sortis, avec Edwin, premier de notre promotion. De quoi laisser un certain challenge pour les prochains septième années.


Comme Edwin, j’avais trouvé ma voie. Ensemble, à notre sortie de Poudlard, nous avions tous deux suivi la formation de botaniste. Une fois le diplôme obtenu, cependant, insatisfaits de nos connaissances respectives, nous avons chacun choisi d’alimenter nos connaissances. Pendant que je laissais mon meilleur ami agrémenter sa curiosité dans le domaine médicale, moi je m’étais pris de curiosité pour les Dragons. Ces bêtes légendaires ont toujours assoiffées mon admiration et c’est ainsi, en parallèle de mon travail de botaniste au sein du centre de recherche londonien, que je suivis une formation pour devenir dresseur de dragons. Entretemps, j’ai oublié un évènement qui aura bouleversé ma vie : l’arrivée de Fitz. Pendant mes études en botanisme, je l’ai trouvé, pantelant, agonisant, abandonné près de mon chalet. Un petit louveteau laissé hagard au milieu des bois, semble t’il trop vulnérable pour survivre. Je l’ai ainsi recueilli chez moi. Je l’ai nourri, soigné. Qui croirait aujourd’hui que ce loup rusé et fort était ce petit bout de chou fragile et chétif ? Après six belles années de vie commune, Fitz est devenu un membre à part entière de la meute que moi et Edwin formions jusqu’alors. Le loup s’est aussi vite habitué à la présence du blondinet qu’à la mienne, à mon grand soulagement et c’est ainsi, jusqu’à aujourd’hui, que nous avons vécu : aussi soudés les uns que les autres.

C’est sans oublier notre ralliement à l’ordre du Phénix il y a de ça quelques années… Car c’est en ces temps sombres que l’humanité a besoin de gens pour la sauver, quitte à y risquer sa peau.

Ainsi, voilà comment je mène ma vie. Je travaille d'un côté et poursuis des formations de l'autre. Je me bats et survis aux côtés des autres.