reysen archibald beesbury

It's where my demons hide Don't get too close It's dark inside.

NOM : il répond au nom de beesbury, un nom déjà trop connu dans le monde de la magie, il aurait dû y faire honneur, cependant il a choisi de vivre sa propre voie plutôt que de suivre les idéaux de sa famille. PRÉNOM(S) : il se prénomme reysen fantaisie de la part de ses parents très certainement, au final, il se présente plus souvent comme iron tout simplement, laissant de côté le prénom composé. Son second prénom est archibald, le prénom de son grand-père, déjà beaucoup plus simple. ÂGE : il est  âgé de vingt-six, c'est la trentaine qui arrive à grand pas, mais ça ne l'inquiète pas plus que ça ; c'est même le cadet de ses soucis. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : il est né le 11 septembre de l'année 1972 dans la ville de Londres en Angleterre, dans l'hôpital de sainte mangouste plus précisément. STATUT SOCIAL : il est actuellement fiancé, certainement pas par amour, juste pour assurer ses arrières ; cette union ne lui plait en rien et plus le temps passe plus il déteste la femme qui partage sa vie. STATUT DU SANG :  il appartient à une famille de sang-mêlé, une de celles qui n'ont jamais eu besoin de jouer sur leur statut de sang pour se démarqué au sein du monde de la magie. MAISON : il a fait ses études dans la maison gryffondor, une maison dont il a toujours défendu les couleurs avec beaucoup d'entrain. NIVEAU D’ÉTUDES : il a terminé ses études à l'école de sorcellerie de poudlard, , il a obtenu au total sept buses et sept aspics il a obtenu a chaque fois une moyenne de (E) et un seul (O), en défense contre les forces du mal. EMPLOI : il travaille au ministère de la magie, département des jeux et sports magiques, dans une branche qui s'occupe du quidditch, l'une de ses passions. LIEU DE VIE : il habite dans un manoir dans les environs de londres, une propriété privée, interdite au moldus, la maison est protégée par de nombreux sortilèges. BAGUETTE : sa baguette est en bois d'accacia, ainsi elle s'avère être inutile dans d'autres mains que les siennes. Son coeur contient un ventricule de coeur de dragon, elle mesure vingt-huit centimètres, elle est particulièrement rigide et plutôt efficace dans les sortilèges d'attaques. GROUPE : like a wizard.

nothing left to say
≈ 001. à poudlard, il faisait parti des élèves turbulents, il était de ceux qui trouvaient toujours une connerie à faire et qui accumulait les heures de retenues sans que ça ne l'inquiète vraiment, au contraire. ≈ 002. il est né dans une famille de sorciers pleine de ressources, pour eux, la cohabitation entre les moldus et les sorciers étaient une chose primordiale, sa mère travaillait au ministère de la magie, son but était de facilité la cohabitation entre les deux peuples, elle était plutôt connue dans le monde de la magie, elle avait écrit plusieurs livres et elle a sorti le nom de beesbury de l'ombre, cependant, elle a été tuée au moment de la chute du ministère de la magie en aout 1998, ses idées n'étant pas en harmonie avec les idées pro-voldemort. ≈ 003. quand il était à Poudlard, il occupait le poste de batteur dans l'équipe de quidditch de sa maison, il était très doué pour ce sport, mais il a laissé tomber à sa sortie de Poudlard pour entrer au ministère de la magie, département des sports magique, un choix qui ne découle pas du hasard. ≈ 004. il est très nul en cuisine, c'est à peine s'il est capable de faire cuir des pâtes. Il pourrait facilement faire brûler la maison si on le laissait en cuisine. ≈ 005. il est le père d'une petite fille de six ans, la mère de l'enfant est morte en couche ; il était encore très jeune, mais amoureux, depuis, l'amour est devenu un domaine compliqué, mais ça n'a pas d'importance, sa fille est la seule femme de sa vie, il n'y a rien qu'il ne ferait pas pour cette petite ; elle s’appelle Rose. ≈ 006. tic, il porte des lunettes de vue, de temps en temps ; il devrait les porter au quotidien, mais au final, c'est plutôt quand ça lui chante. ≈ 007. depuis le début de la guerre, il s'est toujours arrangé pour s'impliquer le moins possible, il travaille toujours au ministère de la magie et a appris comment se comporter pour ne pas avoir d'ennui avec les mages noirs, il doit bien admettre que ce n'est pas facile tous les jours, d'autant que le nom Beesbury respire encore cette lutte pour les nés-moldus lancée par sa mère ; cependant, lui, il le crie au et fort, ce combat n'était pas le sien. ≈ 008. il semble souvent égoïste, voir sans cœur, un homme qui se fiche bien du sort du monde et qui cire les pompes des mages noirs ; c'est une image qu'il ne cherche pas à démentir, elle lui permet de continuer sa vie en gardant la tête accrochée à son cou alors ça lui convient et moins impliqué il est, plus sa fille est en sécurité. ≈ 009. il est très bon aux échecs, il n'a jamais joué à la version moldue, mais c'est un adepte de celle des sorciers, depuis tout jeune, il passe des heures devant ce jeu. ≈ 010. il est du genre à apprécier rester au coin du feu avec un bon roman dans les mains, il aime tout particulièrement les écrits fantastiques, ceux qui content une vie mouvementé, pleine d'aventure, qu'il n'aura jamais mais dont il rêvait quand il était bien plus jeune.

   TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?
Depuis le début de la guerre, Reysen a appris à vivre avec la situation actuelle. Il a choisi de ne pas se mêler des conflits et de rester bien sagement à son poste au sein du ministère de la magie. Certes, beaucoup de choses le dérangent, le sidère même dans cette situation. Il a les mangemorts en horreur, mais il a toujours fait en sorte de ne surtout pas se les mettre à dos. Son nom de famille avait la réputation d'être celui d'une femme qui a voué sa vie au combat en faveur des nés-moldus, ainsi, faire disparaitre cette image de son nom n'a pas été une chose facile, mais à force d'effort, il estime avoir une situation assez stable. Cependant, il sait qu'il reste sur le fil du rasoir et qu'il n'a pas le droit à l'erreur. Il ne veut pas s'attirer de problèmes pour la simple et bonne raison qu'il estime que le seul moyen de protéger sa fille c'est de rester le plus neutre possible et de ne pas s'attirer les foudres du gouvernement actuel. Protéger sa fille semble être le seul et unique but de son existence.
   

   

sweet poison - anaïs

21 ans ≈ beacon hills≈ fréquence de connexion : 8j/7

VOTRE AVIS SUR PI : il est très gentil. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : bha ça, c'est une longue histoire, tu veux pas l'entendre. PERSONNAGE : inventé héhé. CÉLÉBRITÉ : darek hale, tyler hoechlin. CRÉDITS : tumblr. VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : mettre un truc anti DC xD.  DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : nan ça ira je pense . UN DERNIER MOT ? : reysen ne montre plus ses fesses maintenant, c'est triste ><.

Happiness can be found in the darkest of times.

if one only remembers to turn on the light.Un soupire passa le seuil de ses lèvres alors que son regard se détournait enfin de la dalle de marbre en face de lui. Il fixait plus loin désormais, un horizon tout aussi morbide que la tombe qui se tenait devant lui. C’était difficile. Il ne savait plus comment il en était arrivé là, il ne savait pas comment continuer à avancer. C’était un avenir incertain qui s’ouvrait à lui à présent. Les choses étaient compliquées, plus compliquées qu’il ne les aurait jamais imaginées. Il se souvenait tellement bien de toutes ces années où tout lui avait semblé simple et sans conséquences. Il se souvenait de Poudlard, les couloirs de l’école lui avaient probablement donné bien trop confiance en la vie. Ses années passées là-bas l’avaient rendu insouciant, il avait l’impression que rien de mal ne pourrait jamais lui arriver. Il se souvenait de la première fois qu’il l’avait vue. Ils étaient jeunes, des gamins tout juste arrivés à Poudlard. Elle s’était assise en face de lui à la table de la maison de Gryffondor. Ils avaient vite sympathisés. Elle était devenue une amie fidèle, puis une petite amie parfaite. Ils avaient échangé leur premier baiser dans les couloirs du château, c’était Poudlard qui avait fait naitre leur romance et là-bas, il avait semblé que jamais rien ni personne ne viendrait les séparer. Ils avaient enfreint la plupart des règles présentes dans le règlement intérieur tous les deux. Ils avaient passés tellement d’heures en retenues, même les professeurs avaient finis par être convaincus qu’ils étaient fais l’un pour l’autre. Sa mère par contre, elle n’avait jamais été très sûre qu’elle soit la personne idéale pour lui. Pendant un moment, elle avait pensé que c’était elle qui l’entrainait dans toutes les conneries qu’ils faisaient. Elle pensait que son fils ne pouvait pas avoir un tel comportement, elle aurait espéré qu’il ressemble un peu moins à ses aînés, mais elle s’était trompée. Il était comme ses aînés et c’était plutôt lui qui avait entrainé la jeune femme sur la voie qu’il avait choisi s’emprunter. Madame Beesbury avait fini par accepter la jeune femme. Tous les deux, ils étaient devenus plus raisonnables à leur sortie de Poudlard. Lui, il avait rejoint le ministère de la magie, elle, elle étudiait l’art des baguettes magiques. Sa mère n’avait pas été souvent très fière de lui. Elle était autoritaire, sur d’elle, à cheval sur ses propres règles et lui, il ne savait pas obéir aux règles, il avait toujours pensé qu’elles étaient là pour être brisées. Souvent, les engueulades avaient fusées entre lui et sa mère. Parce qu’il avait récolté une retenue de trop, parce qu’il n’écoutait pas ce qu’on lui disait. Plusieurs fois, il avait reçu des beuglantes à poudlard. Ouvertes dans la salle commune des Gryffondors, elles avaient plus servies à amuser la galerie qu’à lui faire comprendre qu’il devait adopter un meilleur comportement. Cependant, il y a quelques mois, il avait pu voir de la fierté dans son regard quand il lui avait annoncé qu’ils allaient se marier et qu’ils allaient avoir un enfant. Peut-être qu’elle avait compris qu’enfin, il prenait au sérieux ses responsabilités. Elle avait été vraiment fière de lui et ce n’était pas souvent qu’il avait pu voir cette étincelle dans le regard de sa mère. Il ne pouvait s’en vouloir qu’à lui-même, il n’avait après tout, jamais agit de sorte à ce qu’elle le soit. Il était encore jeune et quelques jours plus tôt, il avait eu l’impression que la vie lui souriait, qu’il avait beaucoup de chance dans la vie et que rien ne pourrait jamais briser tout ça. Mais Joanna était morte. Elle était morte en donnant la vie à leur enfant, ce petit bout de bébé qui avait l’air si fragile, qu’il aimait déjà de tout son cœur, mais il ignorait complètement comment s’en occuper. Il était dépassé par les événements, paniqué et pourtant, il n’avait pas le droit à l’erreur, l’avenir de la petite Rose en dépendait. Il devait retourner vers ce bébé, il devait quitter ce cimetière et continuer sa vie, même si ça semblait complètement impossible en cet instant.

« Beesbury fils, j’ignore ce qui me retient de ne pas t’envoyer rejoindre ta mère. » Le regard du sorcier se posa sur son interlocuteur. Il aurait eu envie de lui coller son poing en pleine figure. C’était avec arrogance qu’il venait de lui rappeler – bien qu’il n’ait clairement pas oublié – que sa mère avait été exécutée au moment de la chute du ministère de la magie. Ils avaient tués son père également, parce qu’il avait essayé de défendre son épouse. Sa mère avait toujours défendu la cause des nés-moldus, il s’agissait d’une femme impliquée et motivée et le combat qu’elle menait au quotidien lui avait couté la vie. Le nouveau régime ne tolérait pas qu’on puisse défendre les nés-moldus et évidemment, tous ceux qui ne se rangeaient pas de leur côté étaient des ennemis. Ses parents étaient morts et il n’avait pas l’intention de les rejoindre. Il y avait Rose, sa fille, il ne pouvait pas mourir, elle n’avait que lui. Elle venait déjà de perdre ses grands-parents, il ne voulait pas qu’elle perde son père également. Il avait développé un instinct protecteur inébranlable pour son enfant. On aurait pu douter qu’il soit un jour un bon père vu le comportement qu’il avait eu quand il était plus jeune, mais il avait l’impression d’en être un. Le premier qui oserait faire du mal à sa fille, il serait capable de le tuer à mains nues. Sa fille était la raison pour laquelle il était là, au ministère de la magie alors même que tout ce qui s’y passait avait tendance à le dégouter. Il n’avait peut-être jamais été un fervent défenseur des nés-moldus comme l’avait été sa mère ; mais elle lui avait toujours appris à ne pas juger les autres là-dessus. Il n’avait peut-être pas retenu grand-chose de ce qu’elle avait cherché à lui apprendre au cours de sa vie, mais ça, il l’avait bien retenu. Cependant, il préférait faire preuve d’une parfaite neutralité, voir même cirer les pompes de ces monstres qui avaient envahit le ministère de la magie, si ça pouvait lui éviter de finir comme sa mère. Certes, techniquement rien n’empêchait son interlocuteur de l’abattre sur le champ, puisque rien ne les empêchait de tuer n’importe qui sans raison, cependant, il faisait en sorte que personne n’ait rien à lui reprocher alors il aurait aimé que ses efforts servent à quelque chose. Il était encore une brebis parmi les loups et il devait s’arranger pour prouver à tous ces gens qu’il n’était pas un traitre. Il n’en n’était pas un. Il n’espionnait pas le ministère pour faire un rapport à l’ordre du phénix et jamais il ne prendrait un tel risque. C’était égoïste peut-être, mais en se protégeant lui, il protégeait aussi sa fille et c’était de loin tout ce qui comptait pour lui. Le reste, il le voyait et il l’observait avec une certaine tristesse. Il y avait de nombreux sorciers que cette guerre avait déjà emportés – à commencer par ses parents – et il avait la certitude que ça allait continuer encore longtemps. Cependant, même face à cette horreur, sa priorité restait sa fille. Si elle avait été menacée par le gouvernement actuel, il se serait très certainement joint à la cause de l’ordre du phénix,  mais puisqu’elle n’était qu’une enfant de cinq ans, futur sorcière de sang-mêlé, il n’y avait aucune raison pour qu’on s’en prenne à elle, à part bien sûr si son père décidait de tenir tête au ministère de la magie. Il n’en ferait rien puisque Rose était définitivement la seule personne à qui il était capable de penser au beau milieu de cette guerre. Chaque jour qui passait, il cherchait un nouveau moyen d’assurer ses arrières et peut-être qu’un jour, il finirait par avoir du mal à se regarder dans la glace, mais ça n’avait pas d’importance. C’était à Rose qu’il devait penser et seulement à elle. « Peut-être parce que je n’ai rien fait qui justifie qu’on m’exécute. » Il haussa légèrement les épaules avant de replonger dans son dossier qui lui faisait face, ignorant son interlocuteur qui venait de lever les yeux au ciel dans un soupire agacé. Il fallait croire que cet imbécile était simplement venu chercher à le provoquer. Il détestait vraiment ce ministère de la magie, mais il ne pouvait rien faire pour s’en échapper.


« Dis lui de laver les carreaux quand elle aura fini avec le jardin ! Qu’elle serve à quelque chose puisqu’elle est encore en vie ! Et ne la ménage pas, ce n’est qu’une sang-de-bourbe après tout. » Dans un soupire il leva les yeux au ciel alors que la jeune femme s’était déjà éloignée. Il ne se souvenait même plus ce qu’il faisait encore avec elle. Elle venait d’une famille réputée dans le monde de la magie, elle avait été une fille bien à une époque. Il n’était pas sûr de l’avoir vraiment aimée d’un amour sincère, mais ils étaient fiancés à présent. Avant, c’était une femme plus douce, plus agréable que celle qu’elle était devenue du jour au lendemain. Maintenant, il avait du mal à la supporter et la seule raison qui le poussait à rester avec elle était la même que celle qui l’avait poussé à lui demander sa main alors même qu’il n’avait jamais été sûr des sentiments qu’il éprouvait à son égard : la réputation de sa famille était un avantage non négligeable dans le monde dans lequel ils vivaient. Il avait besoin de cette dernière pour assurer ses arrières, faire en sorte d’avoir une vie sans problème, offrir à Rose ce qu’il pouvait, malgré le monde de merde dans lequel elle était obligée de grandir. Il avait besoin d’elle et il lui semblait qu’elle avait toujours eu besoin de lui pour mettre un terme à sa trop grande solitude. Il se plaisait à croire qu’il l’avait aimée à une époque, au début de leur relation, quand elle avait été encore souriante et dynamique, quand elle avait eu cette âme d’enfant dans ce corps de femme au visage angélique. Maintenant, il avait l’impression de la détester un peu plus chaque jour et elle n’avait de cesse de lui donner de nouvelles raisons de la maudire. Il soupira, il fallait qu’il retrouve Letan pour lui faire part des ordres donnés par Madame. Il savait bien que la seule raison qui la poussait à laisser vivre Letan, ou la laisser loin d’Azkaban ou de n’importe quel autre projet Live Bait, c’était parce que le travail qu’elle accomplissait dans cette maison lui convenait. Il se souvenait de la Letan qu’il avait rencontré dans les couloirs de Poudlard, cette fille avec du caractère qui ne se serait jamais laissé faire et avec qui il ne s’était jamais très bien entendu. Elle méritait certainement mieux que ça, mais il n’avait trouvé aucune autre solution de la sauver du département des mystères et des expériences étranges qui avaient lieux là-bas. C’était Azkaban, Live Bait, la mort ou ce manoir. Il avait l’impression que le manoir n’était pas la pire chose dans la liste de ce qui aurait pu lui arriver. Elle le détestait encore plus aujourd’hui qu’elle ne l’avait jamais détesté. Il était ce type autoritaire qui lui donnait des ordres, il le faisait parce qu’il y avait sa fiancée, sinon sans doute qu’il l’aurait laissé vivre sa vie en lui demandant simplement de faire bonne figure quand quelqu’un du ministère se pointait à sa porte. Au fond lui que le sol soit récuré à la perfection ou que les carreaux soient tellement propres qu’on aurait dit qu’ils n’existaient pas, il s’en fichait. Il aurait pu la laisser partir, faire croire qu’elle s’était évadée, mais qui croirait qu’une pauvre fille sans baguette avait pu franchir les protections du manoir ? La libérer ce serait semer le doute dans la tête de bien trop de personnes. On l’avait déjà regardé comme un fou quand il avait demandé à garder Letan avec lui, mieux valait éviter d’en rajouter une coucher. Dans un soupire, il passa la porte pour rejoindre le jardin et la jeune femme déjà bien occupée à tailler les haies – des haies qui auraient été mieux entre les mains d’un jardinier sans doute mais bon, l’allure du jardin ne l’importait peu. « Quand tu auras fini, il faudra faire les carreaux. » Il n’ajouta rien avant de tourner les talons, pas de politesse rien, le regard de sa fiancée le fixait à travers la fenêtre, pas question de décevoir Madame ; elle l’avait dit, sous entendu en tout cas, Letan ne méritait pas de politesse, elle n’était qu’une sang-de-bourbe.