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NOM : elle répond au patronyme de martell, nom qui se veut de plus en plus reconnu dans le monde de la magie et la guerre y est sans l'ombre d'un doute pour quelque chose, il s'agit d'un nom qu'elle se doit de porter avec fierté et honneur puisque c'est l'image que ses parents veulent donner à la famille. PRÉNOM(S) : elle se prénomme jyanna, un premier prénom assez original, que seul les personnes qu'elle apprécie suffisamment sont autorisé à raccourcir en anna ou annie ; mais ce n'est pas donné à tout le monde. Son second prénom est margaery, le prénom de la son arrière grand-mère paternelle. ÂGE : elle a actuellement vingt-cinq ans, elle est dans la fleur de l'âge dirait-on, l'âge de se marier et de fonder une famille d'après sa mère cette dernière a tendance à dire qu'elle devrait déjà avoir donné naissance à un enfant où deux d'ailleurs ; un avis que la blonde ne partage pas. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : elle est née le 24 octobre 1973, une date dont sa mère se souvient avec précision, héritière de la famille martell, sa naissance était très attendue, bien que résidant en écosse, la jeune femme a vu le jour dans l'hôpital de sainte-mangouste à Londres, pas question pour la mère martell de donner naissance à ses enfants ailleurs que dans l'hôpital sorcier le plus reconnu du territoire ; avant chaque accouchement, elle passait un mois à Londres avec son mari pour s'assurer d'accoucher là-bas. STATUT DU SANG : elle est une sorcière de sang-mêlé, sa mère étant elle aussi une sang-mêlé, la faire naitre d'un père sang-pur n'a en rien changé son statut sa sang, bien que d'après sa mère cette union lui ait permis de gagner en pureté. MAISON : elle a fait ses études dans la maison des gryffondors, le courage des lions, elle l'a eu pendant des années, cette force de se battre contre ce qu'on avait prévu pour elle, mais aujourd'hui, il ne reste plus rien de tout ça en elle. NIVEAU D’ÉTUDES : elle a terminé ses études il y a déjà plusieurs années, elle a obtenu ses dix buses ainsi que ses dix aspics, ce qui a fait la fierté de ses parents, ainsi que la sienne bien évidemment, elle a travaillé dur après tout pour en arriver là. EMPLOI : elle travaille comme oubliator au sein du département des accidents et catastrophes magiques au ministère de la magie, elle a toujours voulu travaillé au ministère de la magie, maintenant, d'après sa mère, il ne lui reste plus qu'à gravir les échelons. LIEU DE VIE : elle vit dans le manoir des grands-parents Martell, dans la ville de beamish hill au pays de galles, avant la guerre, elle vivait à londres, mais son appartement est laissé à l'abandon depuis un moment déjà. BAGUETTE : sa baguette est en bois de noisetier, souvent sujette aux émotions de la jeune sorcière, il lui arrive souvent de ne pas la maitriser complètement. Elle tire sa magie d'un ventricule de cœur de dragon, dont la rapidité d'apprentissage aide à palier parfois les soucis de maitrise de sa jeune propriétaire. Elle mesure vingt-six centimètres et elle se montre relativement souple. Cette baguette est particulièrement efficace pour les sortilèges de la vie courante. GROUPE : the god complex. CÉLÉBRITÉ : eliza taylor-cotter. CRÉDITS : tumblr.

   A savoir sur ton personnage

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le chocolat est pour elle un petit plaisir simple, mais efficace, culinairement parlant, à ses yeux rien ne vaut les desserts au chocolat ; bien que nulle en cuisine, elle devient très douée quand il s'agit de préparer des desserts au chocolat, il fait croire qu'elle a besoin de motivation pour être une bonne cuisinière. ◊ jyanna a peur des araignées, ces petites bêtes qu'elle maudit, elle a toujours eu peur de ces petites bêtes, depuis son plus jeune âge, sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi, ceci dit, ce n'est pas quelque chose qu'elle évoque souvent. ◊ elle est également très lunatique, on peut la croiser et avoir l'impression que tout va bien pour finalement la croiser dans une colère folle quelques heures plus tard. ◊ impatiente, elle ne supporte pas qu'on la fasse attendre, les fils d'attente sont sa bête noir, si quelqu'un essaie de vous doubler dans une queue, il y a de fortes chances pour que ce soit elle. ◊ jyanna est particulièrement rancunière, elle a beaucoup de mal à pardonner et très rapidement, elle cherche à se venger quand on lui cause du tort de plus elle est particulièrement susceptible, ainsi, pas franchement difficile à vexer, un rien peu facilement la froisse. ◊ elle est aussi particulièrement organisée, elle aime quand les choses sont bien faites, bien ordonnées, on se repère plus facilement dans une vie bien rangée selon elle. ◊ elle est également très franche, elle ne voit pas l’intérêt de se perdre dans le vice du mensonge, ça ne mène à rien, si la vérité est blessante, tant pis, elle n'ira pas se cacher derrière un mensonge ; pourtant sans qu'elle le sache une grande partie de sa vie repose sur un mensonge, la belle ironie. ◊ la jeune femme est connue pour être plutôt extravertie, jamais elle n'a eu la moindre difficulté à aller vers autrui, parler elle n'est pas de ceux qui vont se mettre à rougir avant d'aller parler à quelqu'un, elle est très à l'aise, même avec des inconnus, ça ne veut pas dire pour autant qu'elle fait confiance à n'importe qui. ◊ elle possède de nombreuses cicatrices sur le corps, parce qu'elle s'est faite torturée par son ex-petit-ami mais aussi parce qu'elle a fait partie des mangemorts, ainsi elle s'est battue à plusieurs reprises ; elle possède la marque des ténèbres tatouée sur l'avant bras.


   TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Jyanna est de tout coeur avec le nouveau régime ; tout comme ses parents d'ailleurs. Au début de la guerre, elle avait des idées révolutionnaire, elle voulait se battre pour la justice, pour l'amour, mais il a tout gâché et ce qui résonne encore aux oreilles de la jeune femme, c'est que, si son couple s'est retrouvé brisé en mille morceaux c'est parce qu'il était un né-moldu, un monstre, un traitre. Ainsi, elle est contente de voir qu'à présent, les nés-moldus ne sont plus acceptés dans le monde de la magie, au moins, ça évitera que d'autres personnes aient à souffrir comme elle, elle a souffert. Lord voldemort est la meilleure chose qui sont arrivée au monde pourra-t-elle dire avec aisance, les paroles de ses parents recrachées de la bouche de la jeune femme complètement endoctrinée. Il semble qu'elle soit fière d'avoir combattu aux côtés du mage noir et que sa victoire la réjouisse et la rassure. Ce qui l'inquiète à présent, c'est la rébellion, sans doute guidée par des sang-de-bourbe désirant causer du tord aux sorcier puisque c'est ce qu'il font de mieux.

   

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : sweet poison, anaïs. TON ÂGE : 21 ans. PAYS : france. TU AS TROUVÉ PI PAR : tu m'en poses des questions. TON AVIS SUR PI : écrire ici, le positif, le négatif, les questions, n'hésite pas (a). DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : jveux une marraine la bonne fée. UN DERNIER MOT : RIP ronald weasley.

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« Tu seras une grande sorcière Jyanna. C’est dans ton sang. » Sa mère lui adressa un large sourire alors qu’elle continuait de coiffer ses longs cheveux blonds. Jyanna était née dans une famille de sang-mêlé. Mais pas une famille de sang-mêlé qui se complaisait dans cette condition. Non les Martell, du moins l'épouse Martell, issue d'une famille de sang-mêlés rêvaient d’une condition meilleure. Si on lui avait dit qu’en sacrifiant dix bébés un soir de pleine lune en pratiquant un rituel satanique elle pourrait devenir une sorcière de sang-pur, elle l'aurait fait sans la monde hésitation. Elle aspirait à avoir tellement plus que ce qu’elle avait déjà, elle avait cette envie de s’élever socialement, si bien qu'elle avait laissé tombé le reste de sa famille, persuadée que son mariage avec un Martell, sorcier de sang-pur faisait d'elle quelqu'un de mieux qu'eux. Les Martell méprisaient les nés-moldus plus que n’importe qui d’autre dans la société et si l’un d’entre eux avait le malheur d’être plus reconnu qu’eux, il le portait en dégout. Ils se sentaient supérieurs à ses gens là, il les détestait. Jyanna se devait d’en faire autant, parce que c’était ce que ses parents lui avaient enseigné depuis tellement longtemps, depuis toujours. Elle ne connaissait le monde qu’à travers le regard sombre de ses parents. Elle n’était qu’une enfant qu’on essayait d’influencer, de manipuler pour qu’elle devienne comme ses parents, des gens biens d’après ce qu’ils disaient, mais surtout des gens hautains et pleins de haine. « Demain, tu vas rentrer à Poudlard. Là bas, on va t’apprendre que le sang n’a pas d’importance, mais ce sera faux. C’est juste pour justifier qu’ils acceptent tout le monde dans cette école, pour éviter la discrimination, une façon qu’a le directeur de fuir ses responsabilités. » La petite fille hocha la tête pour approuver, elle ne comprenait toujours pas ce que sa mère voulait dire. Un jour ce serait clair, pour l’instant ce n’était que de vagues idées implantées dans son crâne. Aujourd’hui tout ce qu’elle voulait, c’était aller à Poudlard et profiter de ce château magique dont on lui avait tant parlé. Poudlard, c’était l’éducation pour les jeunes sorciers, c’était également là où ses parents s’étaient rencontrés. Pour Jyanna, Poudlard représentait l’accomplissement de ses rêves. Elle avait bien compris, il ne fallait pas qu’elle parle avec les nés-moldus, ils n’en valaient pas la peine. Sa mère disait qu’ils ne lui apporteraient que des mauvaises choses. Elle disait qu’elle, quand elle était à Poudlard, elle n’avait fait attention qu’aux sorciers de sang-pur et mêlés et qu’ainsi, elle avait eu une scolarité sans encombre. Jyanna le savait, il fallait qu’elle fasse comme sa mère puisque c’était le secret de la réussite. La jeune rouquine était particulièrement disciplinée, elle était bien élevée, elle avait toujours écouté ses parents à la lettre. Ils avaient toujours fait en sorte qu’elle les écoute, jeune enfant, elle était facilement manipulable et ses parents en avaient toujours profité. Leur fille ils l’avaient éduquée à leur image. Elle avait beau sembler aussi pure qu’innocente, elle n’en était rien. Elle était tout aussi haineuse qu’eux, elle détestait le même monde qu’eux alors même qu’elle n’en connaissait rien. C’était un mal nécessaire aux yeux de ses parents, il ne fallait surtout pas que la jeune femme se laisse influencer par les esprits trop libres de Poudlard. Elle était leur fille unique, leur seule chance se s’élever socialement plus que ce n’était déjà le cas. Ils avaient déjà de bons postes au ministère de la magie, mais rien n’était encore gagné pour eux. Ils voulaient plus, ils voulaient toujours plus et leur rêve était de voir leur jolie petite fille se marier avec un sorcier de sang-pur. Un rêve peut-être impossible, mais ils gardaient espoir qu’elle puisse un jour porter le nom de l’une de ses grandes familles, qu’elle puisse devenir quelqu’un de respecté dans le monde de la magie. Forcément, si cela devait arriver, eux aussi, ils en gagneraient des honneurs. C’était ainsi que dès son plus jeune âge, on lui avait placé des idées en tête, on l’avait éduquée de sorte à ce que les objectifs de la famille Martell deviennent siens et c’était maintenant avec honneur que la jeune femme allait commencer sa scolarité, qu’elle allait se lancer dans la grande voie déjà toute tracée par sa famille. Demain, elle rentrerait à Poudlard et enfin son parcours vers la grandeur allait commencer, elle avait hâte.

« Je ne parle pas aux sang-de-bourbes. » Elle ne lui adressa même pas un regard, elle savait qui il était, elle l’avait vu rentrer dans la bibliothèque quelques minutes plus tôt et elle savait qu’il était né-moldu, elle le savait parce qu’elle connaissait son nom, l’une de ses camarades le lui avait donné un jour où elle avait remarqué que la jeune Jyanna avait tendance à un peu trop regarder dans la direction du beau brun. En connaissant son nom, elle avait vite fait le rapprochement, c’était un nom inconnu dans le monde de la magie, ainsi, il était né dans une famille de moldus, donc, elle n’avait pas le droit de lui parler, il n’en valait pas la peine. Qu’est-ce que dirait sa mère si elle adressait la parole à un type comme lui ? Elle devait terminer son devoir pour le moment, elle n’avait pas envie qu’un moins que rien vienne lui mettre des bâtons dans les roues. Qu’est-ce qu’il lui voulait d’abord ? Ils ne se connaissaient même pas ; peut-être qu’il avait remarqué qu’elle avait, trop souvent posé son regard sur lui, elle ne l’espérait pas, il ne fallait pas qu’il ait remarqué ça. « Je voulais juste savoir si je pouvais emprunter la chaise. » Elle releva les yeux vers lui, un sourcil légèrement arqué et dès que ses prunelles croisèrent les yeux sombres du garçon, elle senti ses joues rougir. Idiote Jyanna. Qu’il prenne sa chaise et qu’il s’en aille l’imbécile. « Euh, oui … non … je ne sais pas … Quoi ? » Elle ferma les paupières un court instant. Elle venait de dépasser tous les stades de la stupidité. Elle n’avait sans doute jamais eu aussi honte de toute sa vie. Par Merlin, où est-ce qu’était passé son honneur de Martell ? Quand elle rouvrit les paupières, il était toujours là, un sourcil légèrement arqué et un sourire aux coins des lèvres. Sérieusement, pourquoi il n’avait pas simplement pris cette chaise avant de dégager de son champ de vision ? Elle se leva d’un bond de sa propre chaise avant de ramasser ses affaires. Stupide gamine. « Je suis désolée, je vais partir, vraiment désolée … pour tout. » Mais qu’est-ce qu’elle racontait ? Elle n’avait pas à être désolée, elle n’avait rien fait après tout, c’était lui le sang-de-bourbe qui était venu l’importuner. Ses affaires en main, elle voulu commencer à partir mais comme la dernière des idiotes elle avait réussi à en faire tomber la moitié par terre. Elle s’était vite baissée pour ramasser et évidemment il avait décidé d’en faire de même. Voilà qu’il se prenait pour un preux chevalier ou quoi ? Est-ce qu’il ne voulait pas simplement la laisser tranquille ? « Est-ce que tout va bien ? » Elle hocha rapidement la tête avant de se relever maintenant qu’elle avait tout récupéré. « Oui, oui, ça va. Merci, bonne journée. » Elle s’était éloignée bien rapidement. Elle n’aurait pas du lui parler, elle n’aurait jamais dû faire ça, c’était dans les règles dictées par ses parents. Sortie de la bibliothèque, elle laissa échapper un soupire. Il était gentil quand même, pour un sang-de-bourbe.

Tout avait commencé dans la bibliothèque de Poudlard et tout s’était terminé quelques heures plus tôt, dans les bois, non loin du manoir Martell. Ils avaient dit qu’ils s’en iraient ensemble, que l’avis des parents de Jyanna ne le intéressaient pas. Dans les couloirs de Poudlard, ils avaient appris à s’aimer, il lui avait ouvert les yeux sur la réalité du monde, enfin, il l’avait aidée à sortir de la prison dorée dans laquelle ses parents l’avait confinée pendant toute sa vie. Elle avait été cette gamine qui méprisé les né-moldus, il était été ce né-moldu trop charmant, trop curieux à qui elle avait été obligée d’adresser la parole. Il lui avait appris à ne plus juger les sorciers sur les statuts de sang, il lui avait montré un monde dans lequel elle pouvait être libre de ses faits et gestes. Il l’avait aimée plus que ses parents ne l’avait jamais aimée. Elle n’avait été qu’un outil entre leurs mains, alors qu’avec lui, elle avait l’impression de vraiment être quelqu’un. Il l’avait en quelque sorte sortie des ténèbres dans lesquels elle était née. La jeune femme l’avait aimé de tout son cœur et pendant un instant, il n’y avait eu qu’avec lui qu’elle voulait être. Elle avait oublié sa méprisable famille dans les bras du jeune homme. Tout était fini aujourd’hui. Sa mère avait toujours eu raison et c’était dans ses bras que la jeune fille pleurait à chaude larme depuis un moment déjà. Ils auraient dû se retrouver, ils auraient dû partir ensemble et construire leur vie loin de la famille Martell. Où ? Ça n’avait pas d’importance, n’importe où aurait été bien, si seulement elle avait été avec lui. Mais qu’elle idiote avait-elle faite. Il était arrivé devant elle, cet air étrange dépeint sur la figure et sa baguette en main, sans qu’elle ne comprenne pourquoi, il l’avait torturée pendant de longues heures. Elle ne savait pas ce qu’elle avait fait de mal, elle ne savait pas ce qui lui avait pris d’agir ainsi, elle ne savait même pas si un jour dans sa vie le jeune homme avait été sincère avec elle. Certainement pas, sinon, jamais il ne lui aurait causé tant de souffrance et de peines. En plus de son corps encore endoloris, elle sentait son cœur douloureux, brisé en tellement de morceaux que jamais elle ne sera capable de le consolider. Elle avait mal et elle était perdue. « Je te l’avais dis ma puce, les sang-de-bourbe son des monstres. » lentement, la mère Martell glissait ses doigts dans les cheveux de sa fille en une caresse chaleureuse et rassurante. Toute sa vie durant, ses parents lui avait dit de se méfier des nés-moldus, arrivé à un certain point, elle avait cessé d’y croire. C’était là toute son erreur. « Il n’était pas différent des autres, oublie le. » Elle sanglota à nouveau. L’oublier, c’était plus facile à dire qu’à faire. Elle l’avait aimé et maintenant, elle le détestait, elle n’allait pas l’oublier, elle ne pourrait jamais oublier son premier amour, celui qui avait meurtri son frêle corps autant que son pauvre cœur. Ses parents avaient toujours eu raison et elle le savait aujourd’hui, les nés-moldus n’étaient des moins que rien. Il en était la preuve, lui dans toute la cruauté dont il avait fait preuve. Heureusement, le seigneur des ténèbres était là et il allait régler le problème des nés-moldus. Ses parents avaient déjà décidé de le rejoindre et elle en ferait de même. Elle voulait croire en un monde meilleur, un monde dans lequel ces imbéciles, ces monstres ne seraient plus acceptés. Elle ne voulait pas qu’une autre fille puisse souffrir comme elle, elle souffrait en ce moment. « Je suis désolée maman, j’ai été tellement idiote. » La jeune femme vint se blottir dans les bras de sa mère, là où elle était en sécurité, plus que nulle part ailleurs et avec douceur, cette dernière l’étreignait. « Ce n’est pas de ta faute trésor, ils sont comme ça, tellement manipulateurs, ils savent se jouer des esprits trop gentil comme le tien, tu n’as rien fait de mal, tout est de sa faute. » Elle avait raison, tout était de sa faute, il l’avait manipulée pour mieux la briser après, elle avait compris et jamais plus elle ne se laisserait avoir. Elle resterait là, en sécurité avec ses parents, ignorant qu’ils étaient les vrais monstres, qu’ils avaient tout planifiés. Ce soir là, il était venu pour la retrouver, il était venu pour s’enfuir avec elle, mais il avait suffit d’un sortilège d’impero pour tout changer. Il n’avait jamais voulu faire ce qu’il avait fait, c’était ses parents, cette mère qui la serrait dans ses bras qui avait ordonné qu’on la torture, mais ça, elle ne le saurait jamais, condamnée à maudire la mauvaise personne, tout autant qu’il se maudissait lui-même, sans doute.