♦ le jeu du "ctrl+v".

Citation :: enoch sixsmith

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 04/04/2012

Citation :: les plus forts c'est l'équipe 3
le jeu de rapidité

BRAVO A L’ÉQUIPE 3 QUI REMPORTE 10 POINTS
C'est qu'il est trop chou en fait Aemon avec sa Naerys hein ?

prior incantato ‹ tous droits réservés .YESTERDAY

Citation :: http://www.bazzart.org/t88249-bob-morley

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Citation :: 213683

Citation :: Victor Breckinridge

Citation :: 213683

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

Citation :: Le monde avait changé plus qu’il ne voulait le croire. Là, alors qu’il se retrouvait en face de Blodwyn, c’était la seule conclusion qu’il était capable de tirer. Elle avait changée. Il ne savait pas ce qu’ils lui avaient fait et au fond de lui, il ne voulait même pas savoir. Se mêler de tout ça n’était pas dans ses ambitions, la seule chose qui comptait vraiment pour lui c’était Cayden à présent, alors mieux valait qu’il se mêle de ses oignons et laisse tomber le reste. C’était compliqué, d’autant plus que c’était Blodwyn, c’était une amie. Il fallait croire qu’il était un peu trop loyal parfois, ou qu’il l’était redevenu au fil des mois qui avaient suivis sa dépression d’après Azkaban. C’était parce qu’il avait voulu aider Sansa qu’il s’était retrouvé à Azkaban, stupide idée. C’était parce qu’il avait voulu aider Cersei qu’il s’était retrouvé dans un sale état suite à cette griffure qui lui avait presque couté la vie. Si c’était à refaire – pour Cersei, certainement pas pour Sansa – il le referait sans hésiter. Ça avait quelque chose de stupide en ses temps de guerre d’agir ainsi. Il aurait sans doute mieux fait de tourner le dos à tous ses proches pour ne rester qu’en compagnie de Cayden au fin fond de la librairie. Il n’aurait même pas dû en sortir pour aller voir Blodwyn. Elle n’avait rien à faire ici, il ne comprenait pas ce qu’elle était venue faire là, mais en plus elle ne le reconnaissait pas. Il perdait son temps tout autant qu’il lui faisait perdre le sien. Cette rencontre n’avait aucun sens, il ne pouvait pas l’aider, il ne faisait que potentiellement leur créer des problèmes à tous les deux. La police magique tournait bien souvent dans les rues de Pré-Au-Lard et s’ils étaient vus ensemble, ils pourraient facilement avoir des ennuis. Il s’agissait là d’une chose qu’ils avaient certainement tous les deux envie d’éviter. « Par gentillesse, parce qu’il parait que ça se fait. » Si elle n’avait aucune idée de qui il était, il passait probablement juste pour l’harceleur du coin. Elle avait raison, il le savait, sans doute qu’il était plus sage d’arrêter d’insister et de la laisser tracer son bout de chemin sans chercher à en savoir plus, sans chercher à lui filer un coup de main, dont, de toute évidence, elle ne voulait pas. Il valait mieux pour lui comme pour elle, qu’il la laisse tranquille et qu’il retourne finir son verre dans sa boutique, il le ferait certainement à contrecœur, mais il le ferait. « Ok, d’accord, je vous laisse tranquille donc. » Il recula d’un pas comme pour appuyer ses propos. Il allait repartir en la laissant derrière elle, même si elle était enceinte jusqu’au cou, qu’il faisait un froid de canard dehors et qu’il était dans son droit de penser qu’elle était en danger toute seule ici. Elle ne voulait pourtant pas de son aide et continuer à insister, ça n’allait certainement pas faire avancer les choses alors autant s’arrêter là. « Désolé de vous avoir fait perdre votre temps. Faites attention à vous. » Il laissa échapper un léger soupire, reculant d’un pas sans réussir à lâcher la jeune femme du regard. Physiquement, elle avait tout de Blodwyn et pourtant elle lui en était en tous points différente. Il ne saurait probablement jamais pourquoi, il ne savait même pas s’il le reverrait un jour, si jamais elle finirait par se souvenir de lui, des moments qu’ils avaient passé ensemble pendant la guerre. Il finit cependant par faire volte-face, s’efforçant de ne pas jeter un dernier coup d’œil derrière son épaule alors qu’il s’éloigné rapidement vers sa boutique.

Citation :: 213785

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

Citation :: 213807

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 14/04/2012

Citation :: 213785

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

Citation :: 213807

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 14/04/2012

Citation :: 213785

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

Citation :: http://thelovelyrichardmadden.tumblr.com/post/90252120635/richard-madden-jenna-coleman-filmed-at-the

Citation :: http://www.p-incantato.com/u924

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

Citation :: thaddeus appleby ~ voir son identité

http://www.redbubble.com/people/fandomizedrose/works/12207791-my-ideal-weight-is-pedro-pascal-on-top-of-me-2

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 27/03/2013

Citation :: les plus forts c'est l'équipe 1
le jeu de rapidité

BRAVO A L’ÉQUIPE 1 QUI REMPORTE 10 POINTS
Il est parfait ce smiley plus qu'une question et ce sera fini pour ce soir

prior incantato ‹ tous droits réservés .YESTERDAY

Détroit, Michigan

Citation :: http://magicalquill.forumactif.ws/

Citation :: Leur relation n'avait jamais été appelée à évoluer. C'était une certitude, plutôt bancale, à laquelle Mélissandre pouvait toutefois se fier. Tout les séparait, hormis cette étrange amitié et leur tare commune. Elle l'avait parfois vu en compagnie d'autres femmes, sans en ressentir de jalousie, car elle avait l'habitude de l'aimer – mais l'aimer « de loin ». Elle le voyait, elle appréciait les moments passés à ses côtés. Elle ne désirait rien de plus, se contentant de ce qu'il voulait bien lui donner. Il était la source vers laquelle elle se tournait lorsqu'elle souhaitait se désaltérer. Absalon représentait un tout, un univers qu'elle osait à peine frôler, trop intimidée à l'idée de trop en faire. Il était destiné à se fiancer (si son père consentait enfin à se réveiller, évidemment), à se marier à une femme au sang dont la pureté ne laisserait aucun doute. Malgré sa lycanthropie, ses fiançailles n'étaient seulement qu'une question de temps – idéalisant le jeune homme au plus haut point, Mélissandre se demandait pour quelles raisons il n'était pas déjà père de trois enfants. Plus qu'un mentor, un ami, Absalon était devenu le point culminant de ses nombreux désirs. Trop idéalisé ? Peut-être, peut-être pas. Une chose était cependant sûre : elle vivait à présent un amour qu'elle ne pourrait ressentir qu'une seule fois dans sa vie. Cette connexion, elle ne la comprenait qu'à peine et s'y offrait avec un plaisir immense. Cette douleur cuisante n'était que le fruit de sa passion – elle se délectait de ces formes, de ces nouvelles sensations, qu'elle n'avait jamais connues auparavant. Elle trouvait son plaisir dans la souffrance que lui apportaient ses sentiments qu'elle imaginait non partagés. Le baiser qu'ils avaient échangé avait révolutionné son point de vue, de manière telle que Mélissandre ne savait plus quoi faire, quoi dire. Les mots restaient bloqués dans sa gorge, ses entrailles se tordaient lorsqu'elle portait son regard vers son interlocuteur. Mais, les doigts contractés autour de la main de ce dernier, elle aurait voulu voir ce moment perdurer à jamais. Une éternité passée à ses côtés, sur ce banc, dans ce jardin. Ils pouvaient tout oublier ; la lycanthropie, le père d'Absalon et le déshonneur de Mélissandre. Soudain, elle eut un éclair de lucidité et s'imagina, quelques années plus tard, en compagnie du jeune homme. Rêver d'une famille, d'un mariage heureux et d'enfants – était-ce réellement trop demandé ? Jusqu'à présent, elle avait toujours réussi à contenir ses rêves naïfs, consciente de n'être qu'une enfant perdue au milieu d'un monde trop grand, mais le contact des lèvres d'Absalon contre les siennes avait réveillé en elle une ardeur inédite. Cette joie contenue était mêlée à un semblant d'amertume, presque de chagrin. L'avenir ne leur serait sûrement pas favorable et, si elle osait y penser, elle risquait de traverser un océan de pleurs. Enfin, les doigts d'Absalon caressèrent sa joue d'où perlait d'une larme. Sa voix retentit alors et ses mots eurent pour effet de rassurer Mélissandre – il ne l'abandonnerait pas et, au fond, elle le croyait. Il ne lui mentirait pas de manière aussi éhontée et, saisie par l'envie de l'embrasser, elle s'abandonna à la contemplation des fleurs qui se situaient ici et là dans le jardin. Réprimant ses pulsions, il lui était bien difficile de tenir une conversation qui, elle le craignait, ne mènerait peut-être à rien.

Au fur et à mesure, les paroles d'Absalon la touchèrent et lui donnèrent l'envie de continuer à y croire. Puis vint le moment fatidique où le jeune homme se racla la gorge et lui avoua ses sentiments. Enfin, il lui parlait ouvertement – sincèrement. Son honnêteté, elle pouvait la voir dans ses prunelles glacées qui la toisaient avec attendrissement. Mélissandre sentit son cœur rater un battement. Cette sensation la fit frissonner – elle avait l'impression que son organe vital avait gonflé dans sa poitrine, remplissant alors tout son espace disponible. Elle osait à peine croire à ce qu'elle entendait – il s'agissait sûrement d'une erreur d'interprétation. Mais quelle erreur pouvait-elle accorder à cette déclaration pourtant si douce, si claire. Lorsque Absalon acheva son court laïus, la jeune femme garda un moment le silence. Elle avait besoin de temps pour comprendre ce qui avait été dit. Sa joie devenait toutefois palpable et faisait rosir ses joues d'ordinaire si pâles. Depuis sa morsure, elle vivait l'un des rares moments où elle se sentait enfin bien. Ce terme était relatif mais elle en comprenait le sens dorénavant alors que, timidement, elle portait son regard azuré vers celui d'Absalon. C'était une confrontation où, finalement, ils se ralliaient l'un à l'autre. Un échange de bons procédés. Une compréhension enfin distincte. Un pas de plus vers cette évolution tant désirée mais également tant redoutée. La gorge serrée, Mélissandre avait l'impression que jamais plus elle ne pourrait laisser sa voix s'échapper d'entre ses lèvres. Bouche bée, il lui fallut un certain temps afin de reprendre contenance. Sans y prendre garde, elle commença à caresser la main d'Absalon, dessinant lentement des arabesques sur sa peau. Plus forts que n'importe qui, rien n'était moins sûr – mais une partie d'elle tendait tout de même à y croire. Une image furtive croisa son regard. Deux loups-garous s'embrassant sous les feuilles d'un saule pleureur ; le père d'Absalon allait être heureux d'apprendre cette nouvelle. Un petit mouvement de lèvres fit creuser ses fossettes. « Sommes-nous plus forts que les autres parce que nous sommes des loups-garous ? » demanda-t-elle alors, les yeux brillants de larmes qu'elle cherchait vainement à refouler. A son tour, elle porta sa main tremblante vers la joue d'Absalon. « Je ne veux pas être un monstre. » souffla-t-elle, cherchant du réconfort dans les yeux du jeune homme. Elle l'aimait, elle le voulait – mais si elle se haïssait, comment pouvait-il songer à l'adorer autant qu'elle l'adorait ? Une partie d'elle savait, pressentait même, que leur relation spéciale découlait de cette morsure qui avait barré leur peau tour à tour. Elle ne voulait pas tomber dans une spirale infernale où leur relation se détériorerait à un moment ou à un peau. Cette malédiction les poursuivrait toute leur vie. A jamais marquée par le sceau de cette tare qui lui collait à la peau, Mélissandre craignait son avenir incertain. Poussée par un élan soudain, Mélissandre se pencha en avant et, le temps d'un battement d'aile d'un papillon, frôla les lèvres d'Absalon avant de les y poser. Ces secondes parurent durer une éternité mais, par ce frêle baiser, Mélissandre tenait à sceller un pacte qui lui tenait à cœur. Un pacte de fidélité. Elle voulait vivre, être humaine et se laisser enfin aller.

Citation :: https://38.media.tumblr.com/204b6da5e7f8ebc8dd107a3f7ff1b374/tumblr_n404q47H9D1qirafjo6_250.gif

Citation :: https://2img.net/r/ihimg/a/img844/9751/37218112.png

Citation :: 4 juillet* au 24 juillet à midi

Citation :: http://www.makinggameofthrones.com/production-diary/2014/6/26/behind-the-scenes-of-season-4s-fiercest-fights

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