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 FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.

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MessageSujet: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:16


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{Fleur Delacour Weasley}
Ordre du phoenix


001. NOM DE FAMILLE Ҩ
DELACOUR-WEASLEY.
002. PRÉNOM(S) Ҩ
FLEUR CALYPSO
003. ÂGE Ҩ
VINGT ANS
004. STATUT DU SANG Ҩ
SANG MÊLÉ
005. EMPLOI Ҩ
TRAVAILLE A GINGOTTS
006. DIPLÔMES OBTENUS Ҩ
DIPLOME DE L'ACADEMIE DE BEAUXBATONS
007. BAGUETTE Ҩ
BOULEAU, PLUME DE PÉGASE, SPECIALISEE DANS LES SORTILEGES
008. ÉPOUVANTARD Ҩ
ELLE, JEUNE ET FRAGILE
009. PATRONUS Ҩ
UN CYGNE

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“it takes a great deal of bravery to stand up to your enemies, but a great deal more to stand up to your friends.”



“l'avis de votre personnage sur voldemort”
Lord Voldemort. Le fait d'entendre son nom me fait frémir, comme nous tous je crois. C'est un sorcier puissant, intelligent et cruel. Mais je me dois de le combattre, car je me refuse à fonder une famille dans un monde gouverné par la magie noire.


“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”
Je fais parti de l'ordre du phoenix et j'en suis très fière. Nous faisons tout pour protéger nos pairs. Certains nous traitent de fous, peut-être bien, mais si nous ne nous battons pas qui le fera ?


“comment vit-il la situation actuelle ?”
Je ne l'admets pas facilement, mais j'ai peur. La menace est constante et je sais qu'il arrive pourrait arriver quelque chose à Bill ou même à moi. Oui j'ai peur de mourir, mais avant tout j'ai peur de mourir avant d'avoir pu vivre ma vie, avant d'avoir fondé une famille, d'avoir vécu ma vie à fond. Et s'il arrivait quelque chose à Bill ... Je préfère ne pas y penser et tout faire pour que ça n'arrive pas.


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“every year is the same, muggles are everywhere.”



001. TON WEB PSEUDO Ҩ
METAPHORE (c).
002. TON ÂGE Ҩ
DIX-NEUF ANS
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ
CLEMENCE POESY
004. PERSONNAGE Ҩ
DE LA SAGA
005. TON AVIS Ҩ
TRES BEAU DESIGN, BELLE CSS, MEMBRES SYMPATHIQUES & THEME PARFAIT, BREF JE KIFFE (a)
006. TROUVÉ PAR Ҩ
MA SOEUR (:
007. DERNIER MOT Ҩ
HAKUNA MATATA
008. CONNEXION Ҩ
7/7



Dernière édition par Fleur Delacour-Weasley le Ven 13 Avr - 20:12, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:16


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Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants



Quand j'étais petite, ma mère me racontait souvent des contes de fées. Cendrillon, Blanche-Neige, la Belle au bois dormant ou Raiponce. A cette époque j'étais persuadée d'être une princesse tout comme elles et que ma vie ne serait que princes, fées et châteaux. Malheureusement, j'ai vite compris qu'on ne naissait pas princesse, mais qu'on le devenait. Car si Cendrillon et Blanche-Neige ont rencontré une marraine la bonne fée ou des nains bienveillants, la réalité est toute autre. Car le château peut être une mignonne chaumière aux coquillages, le prince charmant peut être le grand méchant loup. Mais aussi et surtout, contrairement aux princesses, je devrais me battre et faire couler le sang pour pouvoir espérer vivre mon conte de fées. Au début, il me fut difficile d'accepter que mon histoire ne serait jamais un conte de fées, mais avec le temps, je me suis rendue compte que même si le château n'est pas un château, que même si le prince charmant se révèle être un loup, que cette histoire vaut la peine d'être vécue. C'est pourquoi j'ai décidé de me battre pour vivre mon conte de fée. A bas Cendrillon, Blanche-Neige, Aurore et Raiponce, je suis Fleur Delacour et mon conte à moi promet d'être le plus beau jamais narré.




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CHAPITRE 1 - When you wish upon a star


Un an après mon premier séjour en angleterre pour le tournoi des trois sorciers, je quittais de nouveau la France pour rejoindre la capitale anglaise. C'est des rêves pleins la tête et des projets pleins le coeur que j'emménageais à Londres afin d'y travailler. J'avais en effet été engagée à la banque Gringott afin d'y perfectionner mon anglais. Je n'imaginais pas à cette époque à quel point ce boulot bouleverserait ma vie, quoi qu'il en soit c'est avec une folle envie de réussir que je m'apprêtait à commencer une nouvelle vie ici en Angleterre.

C'est nerveuse que j'arrivais à la banque de Gringott afin d'y entamer ma première journée de travail. Vêtue d'une élégante robe de sorcier bleue marine, je parcourais le chemin de traverse en observant autour de moi avec curiosité. Il n'existait pas de tel endroit en France. Des sorciers de tout milieu et de tout pays se croisaient et se recroisaient, les effluves des herbes des apothicaire se mêlaient aux brouhaha des enfants joueurs. L'ambiance était à la fois joyeuse et conviviale, et, alors que je traversais d'un pas décidé la rue, je sentis une douce chaleur envahir ma poitrine, me faisant un instant oublier la nostalgie de ma France natale. Au bout de longues minutes de marche, la banque se dressait enfin devant moi. Bâtisse de pierre blanche, d'apparence instable mais dont l'aura brillait d'une force inébranlable. Je me stoppais devant le bâtiment fermant les yeux un moment. Ne jamais montrer ses faiblesses, toujours paraître forte. Ne jamais montrer ses peurs, toujours paraître intouchable. Quitte à me montrer froide. Mieux valait ne pas avoir d'amis que de flancher. J'étais une Delacour après tout.

Delacour. En France ce nom à lui seul imposait le respect. Mon père était un grand sorcier de sang-pur qui avait fait sa gloire en défendant son pays et sa famille de nombreuses fois. Ma mère, Apolline était une sorcière magnifique et douée. Enfin ma grand-mère, Cornelia fut une devineresse des plus respectée et une magnifique vélane. Ma famille avait su s'imposer dans l'aristocratie et sur l'autel des grands sorciers français. Et je me devais de leur faire honneur. Je rouvris les yeux, c'est tête haute que j'allais rentrer dans cette banque et c'est avec la classe et l'honneur d'une Delacour que j'allais revenir en France une fois mon travail effectué. Je détachais mes cheveux, laissant de longues mèches blondes venir caresser mes épaules et mon dos avant d'entrer d'un pas décidé dans la banque. Me dirigeant vers mon destin, fière.

Fière, toujours. Mes talons claquaient sur le sol de marbre tandis que je m'avançais vers le bureau au fond du long couloir. Tout le long du corridor, des gobelins travaillaient sur de petits bureau. Malgré leur apparence presque risible, je sentais en eux une puissante magie. Au fond du couloir, se trouvait le gobelin Hodrod qui dirigeait la banque. Le gobelin me toisa avec sévérité. Il était de notoriété publique que les gobelins n'aimaient pas les humains et celui-ci semblait vraiment méfiant à mon égard.

« - C'est vous la française qui a été engagée ? Demanda-t-il d'un ton dur.
- Oui. Répondis-je sans ciller.
- Et vous pensez vraiment mériter un tel poste ? »

Il me testait, voulant savoir si réellement j'étais prête à m'engager dans cette aventure. Si, même en tant qu'être humain, je valais le coup. Le gobelin m'observait, une lueur intense brillant dans le regard. D'ordinaire, ceux qui me regardaient ainsi s'arrêtait son mon visage de poupée ou sur mes courbes affriolantes. Lui ne regardait ni mon visage ni sur mon corps, il me regardait droit dans les yeux. Droit dans mon âme. Jamais personne ne m'avait regardé ainsi. Il sondait mon âme, cherchant mes faiblesses. Je m’efforçais à soutenir son regard, à ne pas trembler, à ne montrer aucune faiblesse. Rien. C'est en maîtrisant parfaitement ma voix que je lui répondis, plus motivée que jamais.

« - Je ne pense pas mériter ce poste. Je le mérite, c'est une évidence. Et je compte bien vous le prouver. »

Je m'étais exprimée d'une voix claire, sans ciller, sans trembler. Avec toute la fierté dont une Delacour était capable. Le gobelin me toisa un instant tandis qu'une flamme brillait dans son regard. Indescriptible. Au bout de quelques minutes il cligna enfin des yeux.

« - Bienvenue à Gringott jeune demoiselle. Weasley ! Allez donc montrer à la jeune Delacour son bureau. »

Le dénommé Weasley se retourna. C'était un garçon de grande taille, aux longs cheveux roux attachés en catogan vêtu de vêtements moldus. Il était plutôt beau garçon malgré sa décontraction et il me gratifia d'un grand sourire. Je reconnus en ses traits fins le jeune Ron Weasley, que j'avais connu deux ans auparavant à Poudlard. Ils étaient sans doute parents, et sûrement frères. Néanmoins, malgré son sourire, quelque chose me gênait, me troublait. Alors que la plupart des garçons me regardaient avec avidité, lui se contentait de me fixer avec gentillesse. Pas une once de désir dans son regard, juste une sympathie naturelle. Mon sang de Vélane et ma beauté naturelle avaient toujours eu un pouvoir attractif sur les hommes. Ils me regardaient avec avidité et désir. Les filles, elles, me fixaient avec jalousie et envie. Ces regards m'avaient toujours rassurés, ils me permettaient de me sentir plus forte. Oui, j'aimais ce pouvoir que j'avais sur les hommes. Mais là, ce pouvoir ne semblait pas agir sur lui, ce qui me troublait.

« - C'est donc toi Fleur Delacour. Fit-il avec un sourire. J'ai beaucoup entendu parler de toi. Sois la bienvenue à Gringott. Je suis William Weasley, mais apelle moi Bill.
- Merci bien, Bill.
- Suis moi, je vais te montrer ton bureau.
»

Sans cesser de sourire, il me guida dans la dédale des couloirs de la banque. Tandis que nous marchions, je ne pus m'empêcher de l'observer. Il avait un visage fin et de longs cheveux roux. Une dent pendait à son oreille et bougeait au rythme de ses pas. Malgré son look atypique, je ne pu m'empêcher de le trouver beau garçon, et son attitude me troublait d'autant plus. Il était différent des autres, je le sentais. Il n'avait rien à voir avec ces hommes qui se retournaient à mon passage. Il était différent. Pour la première fois, je me sentais intimidée devant un garçon, moi qui avait enchaîné les conquêtes, moi qui attirais tout les regards, moi qui faisais tomber les garçons comme des mouches, moi, Fleur Delacour. Bon sang, si ma famille me voyait. Il m'emmena jusqu'à un couloir puis pénétra dans une petite pièce dont la fenêtre donnait sur le chemin de traverse. La piece était petite mais confortable. J'allais m'y sentir bien.

« - J'éspère que tu t'y plairas. Dit Bill sans se départir de son sourire.
- Je pense que je serai très bien ici, merci ! Lui répondis-je dans un anglais approximatif.
- Si tu as le moindre problème n'hésite pas à venir me voir, mon bureau est en face du tien. Installe toi, je reviendrais plus tard pour t'expliquer en quoi consistera ton travail. »

Sur ce il quitta la pièce, me laissant seule. Ce garçon me troublait. Il était totalement indifférent à mes charmes et ne semblait que vouloir m'aider. Cette attitude m'étais étrange, inconnue. Bizarrement, elle m'effrayait. D'ordinaire, les garçons me regardaient avec désir ce qui me rassurait, me donnait l'impression d'être unique. Ils avaient forgé ma personnalité. Grâce à eux j'étais devenue sûre de moi, de ma beauté. Grâce à eux, je me sentais invincible. Mais la, Bill semblait ne pas avoir remarqué ma poitrine pulpeuse, la douce cambrure de mon dos, le bleu de mes yeux ou la volupté de mes lèvres. Pas plus que mon aura de Vélane ne semblait l'avoir touché. C'était effrayant, troublant, inhabituel.





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CHAPITRE 2 - It's a love story baby just say yes


Je travaillais à Gringott depuis deux mois déja, et j'appris appris énormément de choses. Sur la banque en général mais aussi sur la culture anglaise. Ma nouvelle vie était rythmée par mon travail et mes sorties au chemin de traverse. Ma vie était plutôt calme, posée, à mille lieues de la vie que je menais en France, entre les garçons et mes amies. C'était reposant à vrai dire, mais malgré tout, les temps étaient sombres en Angleterre. Le mage noir Lord Voldemort était de retour et ses sbires attaquent modus et sorciers chaque jours. De nombreuses boutiques ont fermées ici au chemin de traverse et aujourd'hui, alors que je traverse la rue pour me rendre à la banque, je ne vois plus que peur et incompréhension dans cette rue d'ordinaire si gaie. Je soupirais, la magie et la joie qui longtemps avait éclairé cette jolie rue avait totalement disparue et c'est méfiants et silencieux que les sorciers traversaient la ruelle. J'accélérais le pas, oppressée par l'ambiance qui régnait dans cette rue. Le monde était divisé, entre ceux qui pensait le mage noir de retour et ceux qui niait. Certains pensaient le jeune Potter fou alors que d'autres lui faisaient confiance. Moi, je lui faisais confiance. C'est avec cette pensée que je me dirigeais vers Gringott. C'est alors qu'un peu plus loin devant moi, j'aperçu Bill, marchant à pas rapides vers la banque. Cela faisait environ une semaine que je ne l'avais pas vu, il était de plus en plus en plus absent, sans jamais en révéler la raison.

« - Salut Bill ! M'écriais-je en français. »

Il se retourna, m'adressant un franc sourire. En discutant avec lui, j'avais énormément progressé en anglais mais il avait appris également quelques mots de français ! Avec le temps, nous étions devenus bon amis, et j'étais heureuse de le revoir.

« - Bonjour Fleur ! Toi bien aller ? Me demanda-t-il dans un français plus qu'approximatif.
- Bon tu sais quoi, le mieux c'est que nous parlions tous les deux anglais ! Je vais très bien, et toi, où étais-tu ?
- Cela n'a aucune importance. Eluda-t-il. Allons-y. »

Nous nous mîmes en marche en silence. Comme à chaque fois, je fus surprise par la totale absence de réaction de Bill à mon écart. Alors que tous les hommes se retournaient sur moi à notre passage, lui ne me regardait même pas, perdu dans ses pensées. Depuis quelque temps, il était troublé, préoccupé. Et ses absences m'intriguaient. Il le niait, mais j’avais vu son comportement changer avec les mois. Lui qui était toujours gai et de bonne humeur se montrait lunatique, sombre, silencieux. Et absent. Parfois, il disparaissait des semaines entières, puis revenait comme si de rien n’était. Cette attitude me troublait, et pire encore m’inquiétait. Un hibou nous passa devant, laissant tomber un exemplaire déchiré de la gazette du sorcier. Je me stoppais, le ramassant et parcouru rapidement le journal. Comme tous les jours, la gazette niait l’existence du mage noir et accusait Harry Potter de mensonge. J’avais connu Harry l’an dernier et savais qu’il était digne de confiance. Je le croyais. J'étais là le soir où il avait tué Cédric Diggory et je me souviens d'Harry ramenant son corps. Je me redressais, plongant mon regard dans celui de Bill.

« - C’est ridicule. M’exclamais-je. Ils nient une vérité qui saute aux yeux.
- Je sais. Malheureusement nous ne pouvons pas faire grand-chose.
Dit-il un air sombre. »

Nous nous tûmes un long instant, chacun dans ses pensées. Puis au bout d’un moment, Je me tournais vers lui.

« - Tu as peur ? Demandais-je.
- Ce serait mentir que de te dire non. Lord Voldemort est là, quelque part, il attend son heure. Et je sais que lorsqu’il s’éveillera pour de bon, les dégâts seront terribles. J’ai peur oui. Pour mes proches, ma famille surtout. Acheva-t-il d’une voix tremblante. »

Il se tut. Jamais il ne s’était ouvert ainsi, sur ses peurs, et ses faiblesses. Sa famille. Ne sachant réellement que dire, je lui posais une main sur l’épaule, lui adressant un sourire qui se voulait rassurant. Il me lança un regard reconnaissant puis nous nous remirent en marche en silence. Nous ne nous étions presque rien dit pourtant, quelque chose venait de changer en nous. Car nous savions que dorénavant, nous serions toujours l’un là pour l’autre.

Les semaines passaient, toutes semblables, sombres et effrayantes, animées par cette guerre des opinions. Cela faisait presque deux semaines que Bill était parti. Je ne pouvais m’empêcher d’être inquiète. De plus, une sensation étrange oppressait ma poitrine depuis qu’il était parti. Je la ressentais le matin quand je traversais la rue où nous nous retrouvions afin d’arriver ensemble à la banque, vers midi quand j’allais manger au chaudron baveur où nous aimions aller, quand je finissais mon travail et que d’ordinaire j’allais lui rendre une visite à son bureau afin qu’il m’apprenne quelques mots d’anglais. C’était une sensation étrange. Oppressante. Une sorte de vide. Il me manquait. Oui, il me manquait. Mais je ne devais pas le montrer. Ne jamais montrer ses faiblesses, jamais, tel était ma devise.

Ce matin là, c’était d’un pas lourd que je me dirigeais vers la banque. Il me manquait, et j’ignorais pourquoi. Même mes amis proches de France ne me manquaient pas ainsi. Pourtant, tout en Bill me manquait. De son regard doux à son rire, de ses blagues à sa douceur, de son français approximatif à son sourire. Bon sang comme il pouvait me manquer ! Je marchais le long du chemin de Traverse, comme tous les matins. Je passais devant Fleury & Bott et Mme Guipure sans m’arrêter, silencieuse et rapide, vers une journée qui je savais serait morose. Car elles me le paraissaient toutes sans lui. Bon sang, comment pouvais-je être aussi mièvre. Moi, Fleur Calypso Delacour. La vélane aux milles conquêtes, la femme au visage de poupée et au corps de déesse. Moi qui jouais de mes charmes en permanence, moi qui d’une oeillade faisait tomber tous les garçons me laissait aller à des sentiments qui me dépassais. Je passais d’un pas rapide devant le glacier, notre point de rendez-vous du matin. Je ne pris pas la peine de regarder, continuant ma route.

« - Fleur ! »

Je me stoppais, comme électrisée par cette voix. Elle combla presque instantanément ce vide qui s’était installé en moi depuis des jours. Je me retournais. Bill était là, vêtu comme à son habitude de vêtements moldus, ses longs cheveux roux attachés en un catogan duquel s’échappaient quelques mèches, ses yeux bleus brillants. J’aurais voulu me jeter dans ses bras, lui hurler comme il m’avait manqué, mais je me ravisais. Lui qui j’avais n’avais montré de sentiments à mon égard ne devait pas ressentir la même chose que moi. Lui qui jamais n’avait été envouté par ma beauté, lui qui jamais n’avait semblé montré plus plus que de l’amitié à mon égard. Il ne devait pas savoir à quel point il m’avait manqué, à quel point sans lui l’Angleterre m’avait semblé triste et pluvieuse.

« - Comment tu vas ? Fit-il en s’approchant de moi.
- … Très bien. Tu as été absent longtemps. Tout va bien ?
- Oui rassures toi. On y va ? »

J’acquiesçais puis nous nous mîmes en marche vers la banque. Le vide qui s’était installé en moi s’était comblé et pourtant, je n’étais pas tranquille pour autant. Un sentiment étrange brulait en moi, que je ne parvenais pas exprimer et que je ne voulais pas exprimer. Au fil des mois, il m’était devenu indispensable. Au fil des mois, ses absences m’étaient devenues insoutenables. Je ne pouvais mettre un mot sur ce que je ressentais. Et je ne le devais pas. Bill ne ressentait pas la même chose, j’en étais sûre. Je tus mes sentiments pendant les semaines qui suivirent, chaque jour confirmant mes pensées. Mes sentiments se faisaient plus forts, mais aussi plus douloureux. Et alors que Décembre pointait le bout de son nez, je devais me rendre à l’évidence : J’avais besoin de lui. Ce sentiment m’était nouveau et me semblait effrayant. Chaque jour, quand Bill et moi nous retrouvions, j’avais le sentiment d’être au bord d’un immense précipice. Si je ne saute pas, je souffre, mais sauter me paraît tellement dur que je préfère souffrir. Et, alors que Noël approchait, j’apprenais à vivre avec cette souffrance.

Pourtant, un évènement inattendu vint bouleverser mes sentiments. Bill & moi étions au chaudron baveur, savourant un copieux repas, comme les deux amis que nous étions. Je riais à ses blagues, comme si de rien n’étais. Soudain, un hibou au plumage miteux vint se poser sur la table, renversant la carafe d’eau qui se déversa sur la table. Bill attrapa en silence la lettre attachée à la patte de l’oiseau, parcourant le message. Au fur et à mesure de sa lecture, son teint blêmit alors que sa lèvre se mit à trembler. Je me redressais, soudainement inquiète. Pendant quelques secondes il resta silencieux, comme paralysé puis soudainement enfoui son visage dans ses mains, tremblant. Il resta ainsi quelques secondes avant de quitter la piece en laissant tomber sa chaise. J’attrapais la lettre, en lisant rapidement le contenu. Elle était de sa mère, lui disant que son père avait été attaqué au ministère et qu’il était actuellement à Sainte-Mangouste dans un état sérieux. Je lançais quelque gallions sur la table avant de quitter la taverne rapidement.

Je le trouvais à quelque pas de la taverne, assis le long d’un mur, le visage enfouis dans ses genoux. Je m’approchais de lui, m’asseyant doucement à ses côtés. Il ne réagit pas, ses pleurs l’empêchant de discerner ma présence. Avec douceur, je passais mes bras atour de ses épaules. Nous restâmes ainsi de longues minutes, lui pleurant dans mes bras, moi le berçant doucement. Au bout d’un moment, il se dégagea avec douceur.

« - Merci Fleur. Merci.
- C’est normal Bill. Nous sommes amis.
- Je dois aller à Sainte-Mangouste voir ma mère. J’aimerais que tu m’accompagnes.
- Moi ?
- Je ne vois personne d’autres que toi pour ça Fleur.
- D’accord. Je viens avec toi. »


Il sourit puis m’attrapa doucement la main. A ce contact je frémis. Mes sentiments dansant dans mon coeur et dans mon âme. Se mêlant et s’entremêlant. Puis il me fit transplanner. Nous arrivâmes à l’hopital. Il ne me lâcha pas la main. Nous nous rendîmes rapidement à l’étage des blessures magiques. Quand nous arrivâmes à la salle d’attente, le frère Bill était là, l’air hagard. Il se redressa à peine quand Bill s’installa à ses côtés, serrant toujours ma main dans la sienne.

« - Maman est avec lui. Dit doucement Charlie.
- Tu sais quelque chose ?
- Non … Rien.
»

Au bout de minutes qui parurent une éternité, une médicomage vint briser le silence pesant qui s’était installé. Chaleureuse, elle nous annonça que Mr Weasley allait s’en sortir. Je sentis Bill se détendre d’un seul coup tandis qu’à ses côtés Charlie poussait un cri de joie, quant à moi, je poussais un long soupir de soulagement.

« - Vous pouvez aller le voir. Dit doucement la médicomage »

Bill me lança un regard doux avant de se lever et, accompagné de son frère, ils entrèrent dans la chambre de Mr Weasley. Je restais assise dans la salle d’attente un long moment, attendant patiemment Bill, profitant de cet instant pour tenter de mettre un nom sur mes sentiments. Je ne parvenais à les saisirs, ils dansaient autour de moi sans que je parvienne à les attraper. Amitié ? Attirance ? Désir ? Amour ? Je ne savais pas. De toute manière cela avait peur d’importance. Bill ne m’aimait pas. J’en étais certaine, sinon, pourquoi se montrerait-il si indifférent à moi alors que tous se tournent sur mon passage ? Il me considère comme une amie, rien de plus. Au bout d’un long instant je vis Bill sortir de la pièce, accompagné de son frère. Il était tremblant et livide. Presque instinctivement, je m’approchais de lui, l’enlaçant avec douceur. Il posa sa tête sur mon épaule, laissant quelques larmes couler le long de ses joues. Je le serrais contre moi. Je ne su jamais vraiment combien de temps s’écoula. A cet instant j’oublais la valse cruelle et confuse de mes sentiments, seule comptait la peine de Bill, et je me jurais d’être là. Toujours pour lui. Il se dégagea doucement, sans rien ajouter. Un instant ses yeux croisèrent les miens, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. D’un signe de tête, il salua son frère puis prit ma main, la serrant dans la sienne. Puis nous quittâmes l’hôpital. Nous marchâmes quelques minutes dans les rues de Londres puis nous pénétrâmes dans une ruelle isolée afin de tranplanner en toute discrétion. Au lieu de transplanner, il se tourna vers moi.

« - Merci d’avoir été là Fleur. Merci. »

Il me caressa la joue avec douceur. Son regard plongé dans le mien, brillant d’une intensité que j’avais je n’avais vu. Une lueur que je ne parvenais à lire mais qui m’empêchait de détourner les yeux. Sa main quitta ma joue, allant caresser ma nuque, ce contact me fit frémir.

« - Tu es vraiment quelqu’un d’exceptionnel Fleur. Ton soutien m’a vraiment été utile. Quand je l’ai vu, l’air si faible. J’ai cru défaillir pourtant, même si tu n’étais pas dans la pièce, je pouvais sentir ta présence. Tu étais là Fleur, et jamais je ne te remercierais assez.
- Merci à toi Bill. Non vraiment. Merci. Je suis arrivée, je ne connaissais personne et tu as été là. Un soutien mais aussi un ami, cher et précieux, attentionné et attentif, drôle et sympathique. Grâce à toi j’ai beaucoup appris, sur l’Angleterre mais aussi sur moi-même. Merci pour tout William Weasley.
»

Sa caresse se fit plus insistante, plus sensuelle aussi. Son corps se rapprocha du mien. Tandis que mes yeux me fixaient avec une intensité brûlante, à la fois plaisante et effrayante. Avec une douceur violente, il me plaqua contre le mur, ses mains allant et venant le long de mon dos. J’étais comme paralysée, mes sentiments se mêlant plus que jamais. Ses lèvres se posèrent soudainement contre les miennes, douces. Son baiser était fougueux et tendre à la fois. La peur m’enserrait le ventre, pourtant c’est presque machinalement que je lui rendis son baiser. Cela ne dura qu’un fugace instant. Pendant lequel je baissais les armes. Pendant lesquels je tirais un trait sur mes peurs. Instant magique, instant magnifique, instant de rêve. Instant éphémère. Mes peurs revinrent à la charge. Brutalement, je détournais la tête, mettant fin à cet instant magique. Ses yeux se figèrent dans les miens. Je détournais le regard. Un lourd silence s’installa.

« - Pourquoi as-tu fais ça Bill ?
- Cela parait évident.
Dit-il d’une voix douce.
- Pas pour moi. Tu n’as jamais montré quelquonque attirance pour moi ! J’ai toujours eu un effet sur les garçons, mais pas sur toi ! Je ne comprends pas Bill.
- Tu es belle Fleur, c’est indéniable, mais ce n’est pas ça qui m’attire chez toi.
- Mais bon sang à part ça qu’ai-je de plus qu’une autre ?!
- Tu es douce, fière, sensible, attentionnée, généreuse, perfectionniste. Tu es toi. Et je t’aime.
»

Ces mots se figèrent dans mon coeur comme deux lames. Ils me pétrifièrent, me coulèrent sur place. Je les avais entendus des centaines de fois, de la bouche de ces hommes attirés par cette aura qui se dégageait de mon corps. J’étais belle, je le savais. Et cette beauté rendait mes contacts avec les garçons plus faciles. Mais avec Bill c’était différent, il n’était pas attiré par ma beauté. Et ça je ne le comprenais pas. Ces simples mots avaient comme coupé la confiance que j’avais en lui.

« - Pourquoi Bill ?
- Pardon ?
- Pourquoi tu m’aimes.
Répondis-je sans ciller, Bill marqua une pause puis répondit, ses yeux fixés dans les miens.
- Je t’aime car tu ne montre jamais tes faiblesses, je t’aime car tu t’es adoucie à mon contact, je t’aime car ton aura de vélane ne me touche pas, je t’aime car tu écorche ma langue, je t’aime car tu es bien plus que la fille froide et superficielle que tu semble être, je t’aime car tu es toi. Je t’aime tout simplement. »

Je restais paralysée, mes doutes soufflés par les mots de Bill. Incapable de bouger, incapable de répondre. Les mots s’étaient gravés en mon âme, comme tracés dans ma chair. A jamais. Un léger sourire éclaira son visage, sa main attrapa la mienne. Il joua doucement avec mes doigts puis sa main remonta le long de mon bras. Je fermais les yeux, profitant de la caresse. Sa main effleura ma gorge puis caressa mon visage. Je rouvris les yeux, me noyant dans le bleu de ses yeux. Ces mots. Je les avais entendus maintes fois, mais jamais je ne les avais prononcés. Il posa ses lèvres sur les miennes, avec douceur. Je frémis mais lui rendit son baiser. Avec fougue. Une vague de sentiment déferla en moi, balayant mes derniers doutes.

« - Je t’aime William Arthur Weasley. Je t’aime car tu es le seul qui a su voir derrière mon masque. Tu es le seul qui a su m’aimer pour ce que je suis et non pour ce dont j’ai l’air. Je t’aime car tu es toi, l’homme le meilleur que je connaisse. »

Les mots venaient, fusaient comme un courant. Comme une eau vive qui coulaient dans mes veines. Ils me venaient, naturellement et légers. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien. Il m’attira contre lui, découvrant mon corps de ses mains douces. Nos corps se touchaient en une caresse sensuelle. Instant magique. Ses mains allaient sur la cambrure de mon dos alors que les miennes venaient caresser son torse musclé. Sensualité, amour, douceur, fougue, tendresse. Nos corps allaient et venaient dans une danse magique. Comment décrire cette sensation ? Les mots me manquaient. Magique, fabuleux, inoubliable, magnifique, sensationnel. Aucun mot n’était assez fort, assez puissant. Nos corps ne fîmes qu’un. Nous étions un. Nous étions deux. Nous deux. A jamais ancrés l’un dans l’autre. Son âme se mêlant à la mienne. Son coeur s’installant au sein du mien. Nous étions nous. Juste nous.





[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]


CHAPITRE 3 - Until the end


Cela faisait plus d'un an que Bill et moi étions ensemble. Nous vivions heureux et amoureux. Au début de l'année, il m'avait présenté à sa famille. Et à vrai dire je n'avais pas été très bien accueillie. Je crois qu'ils ne me faisaient pas confiance, et qu'ils appréciaient peu ma personnalité. Mais Bill m'aimais, je le savais, et quoi qu'en dise sa famille, il serait là, pour moi. Toujours. En un an, les choses avaient changés. Notre monde n'était plus ce qu'il avait été. Lord Voldemort était passé à l'action et le ministère ne pouvait plus le nier. Les actions du mage noir et de ses sbires se multipliaient, touchant les moldus mais aussi les sorciers. Le chemin de Traverse n'était plus que l'ombre de lui même, un lieu vide de toute vie, et de tout espoir. De nombreuses boutiques ont fermées, dont celle du célèbre fabriquant de baguettes Ollivanders. Oui, les temps étaient sombres. Pourtant, l'espoir subsistait. Je m'étais en effet engagé aux côtés de Bill dans l'ordre du phoenix et nous gardions tous l'espoir d'endiguer un jour la menace de vous-savez-qui. Les temps étaient durs, mais nous étions unis et malgré mes inquiétudes, je me devais de garder mon calme, de faire face avec dignité. J'avais été élevée ainsi, une Delacour se devait de rester forte, en toute circonstance. L'apparence était ce qu'il y avait de plus important, car c'est par l'apparence que l'on nous juge. Mon apparence, c'était ma force, et je préférais nettement paraître froide que faible. Oui, j'accorde à mon apparence une importance capitale. Je suis superficielle, je le sais et je l'assume.

L'année avait été difficile pour l'ordre du Phoenix. Les missions s’enchainaient, plus dangereuses les unes des autres et nous avions subi de nombreuses pertes. Et, alors que l'été approchait, l'ambiance était plus lourde que jamais. Bill et moi travaillons à Gringotts, allant parfois en mission pour l'ordre. Malgré tout la vie continuait, et, bien qu'inquiets, nous suivions notre route. Depuis que nous étions ensemble, ma vie s'était éclairée. Tout sonnait comme une évidence. J'étais heureuse. Pourtant, la vie nous réserve parfois des surprises et la voie peut parfois prendre un tournant inattendu. La ligne droite peut devenir une courbe. Et notre voie a bifurquée ce jour de Juin. C'était une journée comme les autres, qui aurait pu se terminer comme les autres. Mais alors que Bill et moi étions occupés à remplir des papiers administratifs, un hibou se posa sur son bureau, tenant une lettre. L'écriture était saccadée et tremblante, signe de la gravité de la situation : Poudlard était aux mains des mangemorts, ils étaient rentrés par l'armoire à disparaître chez Barjow & Beurk. Les membres de l’ordre devaient se rendre là-bas afin de prêter main forte aux professeurs et aux élèves.

Nous quittâmes rapidement la banque, baguettes à la main. Bill était inquiet, je le voyais à sa mâchoire crispée et à ses mains tremblantes. Je savais William très proche de sa famille et, ayant moi même une jeune soeur, je pouvais comprendre son inquiétude. Son frère Ron ainsi que sa soeur Ginny étaient à Poudlard. Quand nous arrivâmes devant l'austère boutique, de nombreux membres de l'ordre étaient déjà prêts. J'en reconnus quelques comme Tonks ou Maugrey. Nous nous engouffrâmes dans l'armoire puis, baguettes à la mains, rejoignîmes la tout d'astronomie. De nombreux mangemorts étaient là, reconnaissables à leur marque noire et à leur regards cruels. Je ne les connaissais pas mais tous m'aspirais une haine immense. Un peu plus loin dans la tour, se tenait Albus Dumbledore face au jeune Drago Malefoy. Tel ne fut pas ma surprise de voir une marque noire se détacher sur sa peau diaphane. Alors lui aussi. Un peu plus loin, j'aperçus Seevrus Rogue et Harry Potter. C'était pour lui que nous nous battions, que nous risquions nos vies car il était notre unique espoir. Et j'aurais donné mille fois ma vie pour cet espoir.

Nous enchaînions les combats, tentant de repousser les mangemorts. Il nous fallait les vaincre. J'étais parvenue à assomer une femme mangemort grâce à un stupefix puis un grand homme à la peau noire avec un rictusempra. Mon regard se porta vers le vénérable directeur de Poudlard. Ce n'étais plus Malefoy qui lui faisait face mais Severus Rogue, le maître des potions de Poudlard - membre de l'ordre de surcroit. Rogue fixait le directeur, une lueur indescriptible dans ses yeux sombres. Il leva sa baguette, sans quitter le directeur des yeux puis prononça la funeste incantation. L’éclair vert toucha le directeur de plein fouet. Satisfaits, les mangemorts quittèrent la tour tandis que nous regardions, hagards, le directeur tombé. Je me retournais, cherchant Bill des yeux. Je n’aperçus pas son sourire ni même sa longue chevelure flamboyante. Mon coeur s'emballa tandis que le cherchais. Je fus prise d'un long frisson quand je croisais le regard de sa mère. Une lueur inquiète brillait dans le regard de Molly. Je m'approchais d'elle, le coeur battant.

« - Greyback ... »

Mon coeur rata un battement. Greyback était un dangereux mangemort, loup-garou qui plus est. Molly et moi nous regardâmes quelques secondes. La mère de Bill ne m'avais jamais porté dans son coeur mais aujourd'hui nous étions unies, car nous aimions toutes les deux Bill. Au bout de quelques secondes, elle m'invita à la suivre. M'expliquant que Bill était à l'infirmerie. Toute la famille Weasley était là, attendant des nouvelles. Je me laissais tomber sur une chaise, morte d'inquiétude. Les minutes qui s'écoulèrent me parurent des heures tandis que je tentais d'imaginer ma vie sans lui. Je ne parvins pas à l'imaginer car je savais que ma vie sans lui serais vide. Mme Pompresh sorti de l'espace fermé de rideaux qui entourait son lit.

« - Il va s'en sortir. Vous pouvez aller le voir, mais je vous préviens, il est très marqué. »

Molly fut la première à entrer, suivie des jumeaux, de Ron & de Ginevra. Je la suivie. Bill était étendu sur son lit, l'air épuisé. Son visage fin était couvert de trois larges cicatrices encore luisantes. Je portais les mains à ma bouche. Défiguré. Il était défiguré. Il se redressa légèrement, plongeant son regard dans le mien. Tout les regards s'étaient tournés vers moi, du coin de l'oeil, je vis Molly me fixer avec insistance. Je m'approchais, m'asseyant à côté de lui sur les rebords du lit. Doucement, je passais ma main sur sa joue, effleurant du bout des doigts les cicatrices. Puis, avec une douceur extrême, je posais mes lèvres sur les siennes. Le baiser ne dura que quelques secondes, pourtant il avait un gout de promesse. La mienne.

« - Je serai toujours là Bill. Toujours. Lui murmurais-je de façon à ce que lui seul puisse m'entendre.
- Je t'aime. »

Je me redressais. Molly, Arthur, Fred, George, Ron & Ginny me regardaient, surpris et soulagés. Je me plaçais devant Molly, la regardant droit dans les yeux.

« - Balafré ou non Bill est l'homme de ma vie. Je reste.
- J'ai mis longtemps à le comprendre, mais, vous méritez Bill. Je souris, plongeant mon regard dans le sien.
- C'est vraiment quelqu'un d’exceptionnel. Et puis, je suis suffisamment belle pour deux !
- Ca tu as raison Fleur !
Lança George. Et puis réjouis toi fréro, Fred et moi on va pouvoir te trouver pleins de nouveaux surnoms maintenant ! »

J'éclatais de rire, accompagnée par le clan Weasley en entier. Nous étions différents, mais unis. Unis par cet amour pur et sincère qui nous unissait, Bill & moi. La fière français et le doux anglais, le généreux et la superficielle, la princesse et le loup-garou.

Quand on est petite fille, on imagine une vie rectiligne, parfaite à tout points de vue. Un château, un prince, des amis, une famille. Mais parfois, une courbe vaut mieux qu'une ligne. Le château peut-être une petite chaumière logée au bord d'une plage, la famille un clan pauvre mais heureux et soudé, le prince un loup-garou. Mais quoi qu'il en soit, la vie vaut que l'on se batte. Car, même si elle est parfois cruelle et imprévisible, rien ne vaut la vie. Et c'est pourquoi je vais me battre aux côtés de l'ordre du Phoenix. Car je veux faire de ma vie mon conte de fée.

Elle part, jolie petite histoire.






Dernière édition par Fleur Delacour-Weasley le Ven 13 Avr - 22:48, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:17

Bienvenue ici ^^
Et bon courage pour ta fiche
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:19

Fleuuuuuuuuuuuuuuuur :puppy: :puppy:

Bienvenue :puppy:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:21

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :calinchou2:
Dites les admins (a) J'ai un little problème, je me suis trompée en mettant mon mail en m'inscrivant, j'ai mis mon gmail qui est mon adresse perso, y'aurait-il moyen de changer ça ? :tong:
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Moses Fleming
Moses Fleming
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : MARY-W.
≡ hiboux envoyés : 7583
≡ date d'arrivée : 05/04/2012
≡ tes points : 90 points.
≡ ta disponibilité rp : xx pris.
≡ ton avatar : mads mikkelsen.
≡ tes crédits : @odistole (avatar), tumblr (gifs).
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≡ âge du perso : quarante ans.
≡ amoureusement : immunisé.
≡ son emploi : professeur de sortilèges à poudlard.
≡ statut de sang : sorcier de sang-pur, noble jusqu'au bout des doigts, qui tient à la dignité de sa famille.
≡ sa maison : ancien gryffondor, un choix qu'il n'a jamais particulièrement compris ni accepté, tous les siens finissant normalement chez les serpentards.
≡ sa baguette : bois d'ébène, spécialisation en maléfices, longueur de trente-deux centimètres avec pour centre un ventricule de coeur de dragon.
MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:22

FLEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUUUR :puppy: I love you
Bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche (a)

Si tu as des questions, n'hésite pas *-*
Mpotte moi pour que je sache par quoi je remplace ton mail :mimi:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:36

Bienvenue parmi nous Fleur ! :calin:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:55

Merciiiiiiiiiiiii :sex:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 18:58

    Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:17

Merci :red:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:19

La belle Fleur I love you
Bienvenue.
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:20

Merciiiiii (I know who you are chica :héhé: )
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Maeron Rosier
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≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:34

Fleuuuur :puppy:
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche *o*
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:39

Héhéhé, on a le don, avec ta sœur, de se rencontrer sur tous les forums HP :héé:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 19:44

Oh Fleurk ma chère belle-soeur ! :coeur:
Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche ! :red: :love: :puppy: :calin:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:12

Rah, Fleur. J'aime tellement ce personnage. :puppy:
Bienvenue et si tu as la moindre question, n'hésite pas !
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:14

Merciiiiiiiiiiiii :red:
Moi aussi j'adore ce personnage, je l'avais jouée sur un forum similaire mais hélas je n'ai pas pu la jouer longtemps, du coup quand j'ai vu qu'elle était libre j'ai sauté sur l'occasion :tong:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:21

Sur Salveo Maleficia ? :potté:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:37

Exact (a)
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:39

Je savais que tu craquerais, JE LE SAVAIS ! :puppy: :puppy:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:39

Ah une autre survivante de SM :please:
Et puis avec la plus belle de toutes les belles-sœurs :puppy: :héhé:

BIENVENUE SUR LE FORUM
&
bon courage pour ta fiche :red:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:43

Oh génial ! Il y a pas mal d'autres membres rescapés de SM. (comme Fred, Doraleen, Ron, Hermione... mi (a)) :puppy:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:45

FRED :red: J'aime tellement ce personnage (a)
Et oui, je jouais Fleur mais aussi Sarah-Lou Llewellyn. Tu y étais aussi ? :love:

Rose I love you C'est cool ça, j'ai vécu de bons moments sur ce forums et j'ai écris des RPs magnifiques. Je me souviens d'un RP avec Seamus Finnigan magnifique, je suis très décue de pas l'avoir gardé :mimi:


Dernière édition par Fleur Delacour-Weasley le Ven 13 Avr - 20:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:47

Rose Bennett a écrit:
Oh génial ! Il y a pas mal d'autres membres rescapés de SM. (comme Fred, Doraleen, Ron, Hermione... mi (a)) :puppy:

Oh c'est vrai ? le monde est petit :puppy:
Bon, je vais faire ma fiche moi (a)
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitimeVen 13 Avr - 20:57

D. Siloë-Lynn Dawson a écrit:
Rose Bennett a écrit:
Oh génial ! Il y a pas mal d'autres membres rescapés de SM. (comme Fred, Doraleen, Ron, Hermione... mi (a)) :puppy:

Oh c'est vrai ? le monde est petit :puppy:
Bon, je vais faire ma fiche moi (a)

Oui arrête de polluer ma fiche sister :slave:
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MessageSujet: Re: FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants.   FLEUR DELACOUR-WEASLEY Ϟ Cendrillon, pour ses vingt ans, est la plus jolie des enfants. Icon_minitime

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