sofia esméralda lucy morgana rowena MANCCINI

30 ANS ◊ SANG MÊLÉE

THE MINISTRY OF MAGIC, LONDON Sofia Manccini 9 BUSES & 9 ASPICS PROFESSEUR DE BOTANIQUE the order of the phoenix

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Sofia, sculptée avec soin du bois d'un olivier, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui/elle : justesse, fougue et détermination sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilège. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phénix qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Pourquoi n'est-il pas rester dans son trou celui là ! Je ne suis pas du tout d'accord avec sa façon de penser. Les enfants moldus sont autant des sorciers que les autres. Et puis la pureté du sang à d'autre quoi : à ne vouloir que des sangs purs ils font des enfants complètement fous. Bien sur qu'il me fait un peu peur mais je le combattrais quoi qu'il arrive. Après tout il a déjà été battu une fois alors pourquoi ne pourrait-il pas l'être de nouveau ?

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Je pense qu'il faut des gens comme eux pour se battre contre Voldemort. Ils ne sont ni fous ni des héros. Ils font juste ceux qui semblent le plus juste pour notre monde magique. Je suis d'ailleurs tout à fait d'accord avec eux. Je grossis même les rangs de l'Ordre du Phénix. Je pense qu'il faut se battre pour obtenir ce que l'on veut ! Lord Voldemort ne doit pas prendre le pouvoir et il faut se battre pour notre liberté.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Je ne me sens pas vraiment à mon aise en ce moment. J'ai l'impression que tout le monde me regarde, qu'ils savent que je fais partie de la résistance. Je ne suis pas toujours aussi méfiante mais en temps de guerre il faut se méfier de tout le monde. Je ne veux pas vraiment me battre mais pour mes élèves je le ferai. Je suis moi même fille d'un père moldu et je ne pourrai jamais accepter qu'on fasse du mal à un moldu ou à un sang-de-bourbe comme les appellent les serpentards. Je suis donc les fesses entre deux chaises, je ne sais pas comment faire.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ elementary TON ÂGE Ҩ vingt ans dans un mois vingt et un CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ katie mcgrath PERSONNAGE Ҩ inventé TON AVIS SUR PI Ҩ ce forum gère la fougère OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ sur google CONNEXION Ҩ 5/7. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ je vous n'aime

"FAUT IL FAIRE LA GUERRE POUR SE PLAIRE ? FAUT IL FAIRE L'AMOUR ET SE TAIRE ? FAUT IL RÉDUIRE AU SILENCE NOS DIFFÉRENCES ?"
[Camille Lou & Louis Delort]
La Guerre pour se plaire
1789 les amants de la Bastille

Palerme, Italie. J'avais six ans et ma sœur, ma mère et moi avions enfin aménager dans la maison que papa et elle avaient retapé. J'étais vraiment contente. C'était fini de partager mes jouets avec Amélia. J'aimais beaucoup ma sœur mais je n'aimais pas qu'elle joue avec mes jouets tout comme elle n'avait pas que je touche à ses affaires. Cela faisait six mois que nous habitions la maison et l'été arrivait enfin. Ce jour là je m'étais dépêcher à ranger ma chambre comme à la demande de ma mère pour pouvoir aller jouer dehors. Mes parents avaient une grande propriété avec une belle maison de campagne avec piscine. Je savais que je n'avais pas le droit de m'approcher de la piscine alors je prenais le chemin pour aller jouer un peu plus bas vers les terres et les oliviers. Mademoiselle Sofia, ne vous éloignez pas ! Votre mère tient à ce que je vous surveille. Mais oui Crystal ne t'inquiète pas je ne vais pas loin. L'elfe avait déjà tourné les talons pour voir ce que ma grande sœur faisait. J'en profitais alors pour descendre un peu plus bas et je vis alors la plage. Je ne pus m'empêcher de sourire et j’entamais ma descente vers la crique. Maman ne m'avait jamais interdit d'aller à la crique et Crystal non plus. Je ne pensais donc pas faire quelques choses de mal. Mes pieds foulèrent le sable fin et je m'avançais vers l'eau. Je ne me rendis pas compte de suite que l'eau avait commencé à monter. Je jouais sur le sable dos à la mer. Je commençais à me faire un château de sable. J'allais l'appeler comme la fille au cheveux noirs et aux lèvres rouges : Blanche-Neige. Mon château serait le plus beau et il résisterait à tout. Je mettais donc des pierres, des coquillages et tout ce qui pourraient rendre mon château le plus unique au monde. Une fois finit je me retournais pour voir la mer et une vague arriva sur moi sans que je ne puisse faire quoi que se soit. Je tombais sur le sol et je bus la tasse. L'eau salée brûla ma trachée et je me mis à crachoter alors qu'une deuxième vague me remouillait complètement. Je me mis à courir pour me mettre à l'abri de l'eau et je vis une petite grotte. Je courrais vers elle pensant être à l'abri alors que cette grotte serait plutôt ma prison. Je me recroquevillais sur moi même ne sachant pas quoi faire pour me sortir de cette situation. Je me mis à crier alors que l'eau commençait à rentrer dans mon abris. J'avais peur tellement peur. Je commençais à boire la tasse et je devais bien en avoir bu cinq ou six quand je sentis mon esprit s'embrumer. Je pensais tout à coup que maman et Crystal ne seraient pas contente quand elles me trouveraient. J'allais perdre connaissance quand je sentis une main puissante empoigner mon bras. Je sentais l'air rentrer de nouveau dans mes poumons et je rouvrais les yeux. Mon père venait de me sauver la vie. Il me serrait dans ses bras tandis que moi je sanglotais. J'avais eu la peur de ma vie.
Poudlard, quelque part en Ecosse. J'étais dans les jardins du château anglais mon livre de botanique dans les mains. Je n'étais pourtant qu'en cinquième année mais je savais déjà ce que je voulais faire. Je voulais être un botaniste magique pour pouvoir découvrir de nouvelles plantes pour les offrir à ceux qui me tiennent vraiment à cœur. Alors je lisais beaucoup de livre. Je me disais que ça ne me ferrait pas de mal. Je prenais juste un peu d'avance. Ce jour je devais travailler mes potions avec Antoine et comme à son habitude il était en retard. Cet homme ne serait jamais quelqu'un de ponctuel. Quand il arriva enfin devant mon banc je me levais et je lui faisais les gros yeux. « Tu es encore en retard Antoine ! Ce n'est pas possible tu ne pourras jamais être à l'heure une fois dans ta vie. » « Ohh per favore ne t'énerve pas Sofia. Je suis venu réviser avec toi quand même non ? Allez vient j'ai réservé une place au bord du lac. » « Il n'y a pas de place attitré au bord du lac Antoine. » « Justement il a fallu que je cours pour y déposer mon sac pour être sur d'avoir la place. » Je levais les yeux au ciel. Personne n'allait jamais au bord du lac c'était un endroit étrange plein de sirène qui essayaient de vous attirer dans les profondeurs du lac. Mon meilleur ami aimait beaucoup aller au bord du lac pour deux raisons : il pouvait regarder les sirènes qu'il qualifiait de ''sublimes'' et il n'était jamais embêté par ses dernières comme j'étais toujours avec lui. Je me disais alors que nous n'allions pas vraiment réviser et qu'il allait plutôt mater toutes ses femmes mi poisson tandis que moi j'allais vraiment réviser notre sort. Je m'asseyais donc sur le sable tandis que comme je l'avais prévu il commençait à faire des signes de main aux jeunes femmes. Je soupirais et je m'étais mes lunettes sur mon nez pour pouvoir vraiment apprendre mon cours. Je ne pouvais pas rater un examen par sa faute. Il fallait que je sois dans les meilleures pour être prise dans l'école de botanique de France pour pouvoir rentrer dans les serres de Paris. C'était mon objectif et je ferai tout pour y arriver. Je me levais au bout d'un moment. J'avais marre d'entendre rire les femmes parce que mon meilleur ami leur faisait les yeux doux. « Je reviens j'ai oublié mon livre dans le dortoir, éloigne toi de l'eau le temps que je revienne et écoute moi pour une fois Antoine ! » Je courais jusqu'au dortoir pour récupérer mon livre et je recourais pour aller le rejoindre au bord du lac. Bien entendu je ne m'étais pas attendue à ce qu'il m'écoute mais j'avais quand même un petit espoir. J'arrivais sur le bord du lac et je regardais autour de moi. Il n'était pas là. Je posais alors mes yeux sur sa veste au bord du lac. Il était allé dans l'eau, il s'était fait happer par ses diablesses. Je regardais tout autour de moi pour le voir s'enfoncer de plus en plus dans l'eau. Il n'aurait jamais dû les défier. « ANTOINE !!! » J'avais beau hurler il ne m'entendait pas du tout. Il était dans un autre monde. J'enlevais ma propre veste pour aller à son secours mais je me rappelais tout à coup que je ne savais pas nager mais même si je courrais pour aller chercher de l'aide il serait trop tard. Je ne pouvais pas rester ainsi à rien faire. Je prenais ma baguette et je lançais des éclairs rouges à plusieurs reprises. J'étais certaine que quelqu'un les verraient. Je m'approchais alors de l'eau et toujours en hurlant son nom je me dirigeais vers lui. Il était en face d'une des sirènes et visiblement il n'allait pas tarder à plonger pour les rejoindre. Je commençais à ne plus avoir pied et je tentais de nager pour aller le rejoindre. Je ne voulais pas que mon meilleur ami ne meurt. Je ne pourrais jamais plu me regarder dans la glace s'il mourrait. J'étais presque à l'atteindre dans le senti quelque chose me frôler. Je fus prise de panique quand je vis devant mes yeux une sirène. Elle entraîna Antoine dans l'eau et moi aussi par la même occasion. La seule chose dont je me souviens c'est d'avoir bu beaucoup d'eau. Je me réveillais le lendemain à l'infirmerie. Antoine était à côté de moi. J'étais heureuse qu'il soit vivant mais je garderai à une vie une blessure sur mon bras faite par une des sirènes. Je n'ai jamais plus approcher le lac de ma vie. Je ne souviens plus de ce qu'il s'est passé là-bas mais inconsciemment j'évite cet endroit.
Sofia ? Ou devrais-je dire Professeur Manccini ? Professeur Dumbledor ! Je vous en prie asseyez-vous ! Quelle fut ma surprise quand je vis mon ancien directeur d'école dans mon bureau. J'espérais qu'il n'avait pas besoin d'un service parce que je débutais juste dans ma carrière de professeur d'université donc je ne pourrais pas laisser mon poste longtemps surtout que j'avais un cours qui commençait dans la demi-heure ! Nous nous mîmes simplement à discuter de tout et de rien. Finalement , il voulait une toute autre chose. Il ne venait pas simplement me féliciter pour mes trouvailles en matière de plante et mon tout nouveau poste de professeur d'université. Il venait me proposer un poste dans son établissement. J'étais très étonnée mais en même temps j'étais très heureuse. Je n'aurais pas pu rêver mieux ! J'ai donc accepté sa proposition et j'ai commencé à donner des cours de botanique à Poudlard. Au début, je ne savais pas si j'aimerais vraiment l'enseignement. Après tout, je suis une femme de terrain et pas vraiment une enseignante et pourtant mon ancien directeur voulait que je devienne enseignante dans son établissement. Il me faisait confiance et je ne voulais pas le décevoir. Vous savez, dès le début de mon job de professeur, j'ai adopté mon caractère de méchante professeur qui ne laisse absolument rien passé mais qui en même temps reste proche de ses élèves en les aidant tous et en les chouchoutant un peu quand même. Il fallait bien entendu que je sois la plus dure, étant la plus jeune, je ne pouvais pas ne pas faire mes preuves. Pourtant cela m'en coûtait vraiment. Je ne voulais pas que mes élèves me détestent ! Je ne me suis jamais sentie aussi bien que dans cette école. J'étais vraiment dans mon élément et l'enseignement était peut être au final ma véritable voie... J'ai plus ou moins abandonné mon travail de recherche sur les plantes même si parfois il m'arrive encore de passer des nuits blanches à essayer de croiser telle ou telle plante juste pour voir ce que ça donne. Je reçois toujours beaucoup de courrier de jeunes chercheurs en plante qui veulent connaîte mes techniques – que je ne divulgue presque jamais bien entendu ! Parfois j'accepte mais je dois bien avouer que j'aimerais me consacrer un moment à l'enseignement pur, ne faire rien que cela. J'ai déménagé à Londres pour prendre des questions de commodités. Je ne pouvais décemment pas faire un allé retour par jour pour retourner dans la maison que m'a légué mes parents à leur mort à Palerme en Italie. Pour résumé, j'ai trouvé ma voie depuis que j'enseigne la botanique à Poudlard mais j'ai trouvé encore mieux qu'un poste en venant ici à Poudlard. Je vous en parlerais plus tard ne vous inquiétez pas. Pour le moment, je suis professeur de botanique et je mène toujours la vie plus ou moins dure à mes élèves. Je veux qu'ils réussissent alors je mets la barre haut sûrement trop haut mais j'obtiens les résultats que je veux comme ça. Cependant j'ai toujours beaucoup de mal avec Poudlard. Le temps est beaucoup trop pluvieux, il y fait toujours froid, en plus le château est gris, on dirait qu'il n'a pas d'âme. Pourtant j'y passe les plus belles années de ma vie.... Vous savez j'ai retrouvé un homme à Poudlard. Quelqu'un de brillant, un être exceptionnel. J'en suis retombée amoureuse mais j'avais une peur bleue de le lui dire. Je ne voudrais pas le faire fuir une seconde fois. Alors je suis devenue son amie, on a commencé par parler de livre étant donner que j'en ai toujours un tas dans mon appartement, et en plus de cela je cache des bestioles dans mes plantes pour l'obliger à venir dans mes serres. Je sais c'est nul que je n'ai trouvé que ça. Son nom ? Timothy John Sweetlove. L'être le plus merveilleux du monde. Mais je suis tiraillée entre deux choix : laisse libre cours à mes sentiments et risquer de le mettre en danger ou de le protéger et d'être malheureuse.