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 Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }

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MessageSujet: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeSam 22 Déc - 0:00

« Block the entrances, close the doors,
seal the exits 'cause this is war »


À la base, la journée avait plutôt bien commencée, en apparence en tout cas, il ne semblait pas y avoir d'événement pénible dans l'enceinte du château. Aucun n'élève ne s'était blessé en cours d'initiation à la magie noir, aucun mangemort n'avait fait de tentative de meurtre sur un enfant pas assez sang pur à son gout. L'infirmerie était plutôt calme en ce début d'après midi, si bien que Charlie avait laissé sa collègue prendre une pause en lui disant qu'elle pouvait gérer toute seule. C'était tout à fait vrai après tout : le seul patient qui était là pour le moment, c'était un gosse de deuxième année qui avait, semble-t-il, mal digéré ses choco-grenouilles et bonbons en tout genres qu'il avait mangé la veille. Ce n'était peut-être pas très sympa pour ce garçon, mais Charlie était contente d'avoir ce genre de cas dans l'infirmerie, ça voulait dire que même durant cette période troublée les enfants s'amusaient encore un peu dans les dortoirs. Surement devaient-ils faire moins de bruit qu'avant et rester vigilant, mais au moins, selon la blonde, tant qu'il y avait des enfants qui riaient, il avait encore de l'espoir. C'était surement une réflexion de bonne femme, mais c'était dans un sens, c'était pour ça que son père était mort, pour que le monde reste digne de voir grandir des enfants épanouis. Certes en disant ça, il pensait surtout à elle, mais tous les parents du monde devaient ressentir la même chose que lui. C'était pour cela que Charlie voulait se battre, c'était pour ça qu'elle avait choisi de devenir infirmière, c'était surement une façon d'effacer les souffrances des gamins.

Elle se surprit à sourire niaisement toute seule, en pensant à sa propre scolarité à Poudlard. Elle aussi avait passé des soirées à manger des bonbons, à rire avec ses amis... trois nuits par semaines c'était la fête dans le dortoir des filles, quitte à être crevé le lendemain, ce n'était pas grave du moment qu'on s'amusait. Et les temps étaient difficiles, mais l'armé de voldemort n'avait pas atteint le château au moins. Quoi qu'il en soit, elle se rappela qu'il y avait souvent des discutions sur les garçons (un truc de filles quoi). Elle se souvint d'ailleurs avoir éprouvé de la jalousie lorsque l'une de ses amies avait avoué avoir flashé sur Phineas. Pourquoi de la jalousie ? Elle soupira en pensant à son ami, elle n'aurait pas du faire preuve d'autant d'acrimonie au cours de leur discussion il y a deux ans. C'était le dernier jour qu'elle avait passé avec lui... enfin bon, ce qui était fait, était fait, on ne revient pas sur le passé. Et le temps passant, les remords grossissaient au point d'être aussi imposant qu'un tyrannosaure rex. Elle se mordilla la lèvre inférieure et préféra songer à autre chose, cependant, elle eu à peine le temps de se demander s'il y aurait du saumon fumé ou des croquettes pour chat au repas de ce soir qu'elle fut brusquement sortie de ses pensées.

Un élève légèrement blessé entra dans l'infirmerie, plutôt paniqué. Décidément, elle aurait dû toucher du bois en fin de mâtiné pour que les choses restent que calmes. Enfin bref, elle se précipita pour lui faire des soins, heureusement il n'avait pas grand-chose. Il lui raconta qu'il avait eu un accrochage avec un mangemort et que le professeur Burgess-Holmes avait pris sa défense. Et zut, Clive s'était mis dans merde ? Pourvu qu'il n'aie rien de grave. Enfin bon, l'infirmière tenta de ne pas laisser paraitre son inquiétude, le garçon était déjà assez paniqué comme ça. « Ne t'inquiète pas pour le professeur » elle lui adressa un sourire réconfortant tout en pensant que, si l'élève avait eu un souci avec un mangemort, il était préférable que celui-ci quitte poudlard... mais comment dire ça à un gamin ? Elle ne voulait pas être trop directe mais n'allais pas non plus parler en langage codé genre « J'ai demandé à la lune s'il était possible d'avoir l'autographe d'un accessit en quidditch »... cela ne voulait strictement rien dire ! Tout ça pour dire que c'était surement plus simple pour une personne atteinte de plangonophobie de se battre contre une armée de poupée que pour Charlie de devoir faire de la peine à un gosse. Grand dieux, pourquoi fallait-il que les temps soient si troublé ? Les enfants ne devraient jamais avoir à subir ça.

Enfin bon, du coup, elle préféra conseiller au garçon de se reposer. De son côté, elle restait à proximité de ses potions en fixant la porte, espérant vite voir arriver Clive, pas trop amoché de préférence. Ils s'étaient connus dans la bibliothèque de Poudlard alors qu'ils étaient étudiants, elle savait qu'il était assez doué en magie pour se défendre... seulement, il ne pouvait pas faire face à toute une armée seul... l'envie de voler à son secours démangeait la blonde, mais elle ne pouvait pas quitter l'infirmerie, pas si elle était la seule infirmière disponible. Et puis, Charlie ne s'était jamais affichée en tant que membre de l'Ordre... elle tenait à garder ça plus ou moins secret (même si le fait qu'elle n'aime pas les mangemorts n'étaient pas un secret), pour pouvoir garder son poste. En même temps, elle tenait sa baguette dans sa main, s'attendant à voir débarquer le monstre qui avait osé blesser un élève, peut être voudrait-il finir le travail, elle ne laisserait jamais faire ça et tant pis pour son poste.

L'attente devenait presque insupportable et trop de questions se bousculaient dans la tête de la blondinette. Clive était-il gravement blessé ? Était-il en danger ? Qui allait passer cette porte le prochain ? Y'aurait-il du saumon fumé au repas de ce soir ? L'air obstiné qu'avait pris Charlie ne fit que se dessiner davantage lorsqu'elle entendit qu'on s'approchait de l'infirmerie. Pitié, faites que ce soit Clive ! Surtout pas un mangemort. Il fallait que ce soit Clive. L'étreinte de ses doigts se referma davantage sur sa baguette tandis que la personne en question s'approchait de plus en plus. Au point de bientôt rompre le suspens qui criait dans le cerveau de Charlie comme une mandragore sortie de son pot. Autant dire que c'était vraiment insupportable !



Dernière édition par Charlie J. Williams le Mer 23 Jan - 21:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeMar 25 Déc - 19:48

“ don't carry on, just walk away ”
charlie j. williams et w. clive burgess-holmes♪♫♬
Poudlard n’était plus ce qu’il avait connu. Quand il était plus jeune, Clive avait l’habitude de voir le château comme étant le lieux le plus formidable du monde. Il n’avait pas énormément d’amis, il n’était pas du tout populaire, certainement pas un joueur de quidditch, non, il avait surtout l’air d’un pusillanime mais, au moins, il valait mieux que tous les savantasses de l’école. Il n’avait pas besoin de reconnaissance de toute façon, pas de la part des autres élèves, celle des professeurs à chaque fois qu’il obtenait une bonne note lui suffisait. L’endroit qu’il préférait dans le château, c’était sans aucun doute la bibliothèque. Un endroit calme et apaisant, pas le genre d’endroit où se regroupaient tous les foutriquets ou autres gourgandine de l’école. Non, un lieu pas forcément très fréquenté et toujours très calme, sans quoi la bibliothécaire revoyait les élèves perturbateurs avec une acrimonie non dissimulée. Poudlard, c’était un paradis sur terre à une époque aux yeux de Clive. Il était loin de ses parents et il pouvait se plonger dans tous les palimpsestes qu’il désirait, assis au fin fond de la bibliothèque sans que ses méprisables frères viennent l’emmerder, quoi qu’ils avaient été à Poudlard avec lui au moins quelques temps, ceci dit, la fameuse bibliothécaire les avait à l’œil à chaque fois qu’ils entraient dans la bibliothèque et puis si jamais il en avait vraiment marre il pouvait toujours retourner dans la salle commune des poufsouffles. Là il avait la paix puisque ses frères étaient des serpentards, comme le reste de la famille. Lui il était un peu une erreur de parcours. Son allégeance pour l’ordre du phénix en était la preuve la plus marquée. Bref, aujourd’hui, Poudlard c’était bien plus sombre qu’autrefois. Aujourd’hui, il y avait des mangemorts à chaque couloirs, un rythme presque militaire, on enseignait la magie noire aux élèves et on appliquait des punitions qui devaient sans l’ombre d’un doute retourner Albus Dumbledore dans sa tombe. La guerre avait réduit la beauté des lieux en poussière. Le monde entier n’était plus qu’une dichotomie, opposant l’armée du seigneur des ténèbres à celle de l’ordre du phénix, un combat silencieux, invisible aux yeux des moldus qui ignorent sans doute même qu’il y a une guerre. Au moins, eux, ils ont encore l’occasion de s’occuper de leurs cucurbitacées ou de leurs amélanchiers dans l’innocence la plus totale. Sans doute que Clive, lâche comme il était, aurait du se dissimuler parmi eux. Se lancer dans la cuniculiculture ou construire une ziggourat en forme de parallélépipède dans un pays lointain. Mais il était professeur, il ne pouvait pas laisser ses élèves sans protection et une baguette en plus du côté de l’ordre du phénix, ce n’était jamais de trop. Au fond, il enviait peut-être les professeurs moldus, eux qui ne devaient se soucier que de faire comprendre à leurs élèves ce qu’était une diacritique ou une épanadiplose quand lui il devait intervenir pour éviter qu’ils subissent le sortilège doloris ou quelques autres souffrances.

Pourtant, aujourd’hui Poudlard semblait plutôt calme et avec le mois de décembre qui approchait à grands pas, le château redevenait quelque peu lumineux. Le sapin de noël dressé dans la grande salle, aussi beau que les années précédentes lui rappelait les années passées. Il était bien content que les mangemorts n’est pas décidés de virer noël de la liste des évènements importants du châteaux. Si les jours étaient sombres, le sorcier espérait qu’au moins, les élèves auraient l’occasion de passer un joyeux noël, ce serait déjà ça. Sans doute que lui, il profiterait de l’occasion pour aller partager une bouteille de champagne ainsi que quelques tranches de foi gras avec Cedrella, dans la petite boutique qu’elle tenait à Pré-au-lard. Quoi qu’il en soit, le sorcier se décida à remplir une écuelle de croquette pour chat afin de nourrir le félin lui servant d’animal de compagnie, un chat pas très aimable d’ailleurs, il l’avait ramassé à pré-au-lard quelques années plus tôt et il avait gardé un côté sauvage même s’il passait les trois quarts de son temps à dormir. Il aimait les chats, mais s’il avait vraiment du choisir un animal de compagnie, il aurait pris un blaireau pour son allégeance envers la maison poufsouffle. Quoi qu’il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’il aurait aimé avoir un ornithorynque. Un animal impressionnant celui lui, un bec de canard, un corps de loutre et une queue de castor. Une véritable chimère que l’ornithorynque. Il laissa échapper un soupire, réalisant soudainement que ce n’était pas avec des réflexion de la sorte qu’il serait bien utile au sein du château. Sa réflexion l’avait poussé à croiser les bras sur sa poitrine et dans son soupire, il les avaient fait retombés le long de son buste, non sans se cogner avec une certaine violence le cubitus contre son bureau, faisant ainsi tomber au sol un objet doter d’une clochette qui tintinnabula dans la pièce. Après avoir prononcé un juron à mi-voix, il quitta son bureau.

Marchant avec calme dans les couloirs, il arriva face à une scène pour laquelle il n’avait besoin d’aucunes prolégomènes afin de comprendre ce qui était en train de se passer. Un mangemort aux allures de Hans Trapp avait décidé de punir un élève pour une faute que même s’il l’avait commise, n’avait rien d’assez grave pour mériter telle punition. Après un soliloque intérieur - trop long pour tenir dans un phylactère mais assez rapide pour que le gamin n’ait pas trop à souffrir - pesant le pour et le contre de son intervention, il se décida à agir. Se lançant dans un amphigouri déstabilisant presque le mangemort, il fini par se placer entre le mangemort et le gamin. Il était peut-être un peu malade sur les bords et qui plus est victime d’anosognosie puisqu’il ne semblait pas se rendre compte que ce genre de réaction pouvaient être perçue comme une véritable maladie mentale. En même temps, avait-il vraiment le choix ? Sans son intervention, le pauvre enfant n’aurait même pas eu l’occasion d’apercevoir le potron-minet du lendemain. Soi parce qu’il serait mort - quoi qu’en principe, les mangemorts évitaient de tuer les élèves, Rogue étant un crétin ne cautionnant pas l’assassinat de gamins non nés-moldus - ou parce qu’ils seraient à l’infirmerie trop blessé pour ouvrir les yeux à l’aube. Non, le dernier jour de la vie de cet enfant n’était pas arrivé. Ni celui de Clive, après tout, tué un professeur c’était pas le top. S’ils avaient eu un professeur d’arithmancie de secours sans doute qu’ils se seraient débarrassés de Clive depuis longtemps. Ou alors Rogue tenait encore suffisamment à ses collègues pour les laisser enseigner. Après tout ils avaient bien laissé Minerva à son poste elle aussi alors que Rogue savait pertinemment à qui allait son allégeance. Tout le monde le savait. Clive aussi, c’était clair et net, trop peut-être, si bien qu’il passait pas loin de trois nuits par semaine à l’infirmerie après être intervenu dans un conflit de ce genre. Heureusement il connaissait bien Charlie l’une des infirmières, elle avait l’habitude de le voir et puis, ils étaient amis depuis longtemps déjà. Il indiqua au gamin de se rendre à l’infirmerie pour soigner son nez dégoulinant de sang. Avec un nez rouge pareil, il aurait presque pu ressembler à Rodolphe, le renne enrhumé du père noël. Le gamin s’exécuta quittant rapidement les lieux et laissant ainsi Clive et le mangemort en face à face.

Le mangemort, quelque peu ventripotent, ne semblait pas vouloir lui faire de cadeaux. Son air énervé, rappelait à Clive l’image d’un tyrannosaure-rex sur le point de dévorer sa proie. Il se surprit à imaginer que derrière cet air froid et foncièrement mauvais, le mangemort avait forcément une faiblesse. Ce serait drôle s’il souffrait de plangonophobie, se débarrasser d’un mangemort avec une poupée, voilà qui serait fort amusant. Clive ne rigola pas longtemps en sont fort intérieur quand le mangemort lui lança un sortilège tombant à terre, il pris le temps de remarquer une légère tâche de moisissure rappelant l’effet des omphalomyces sur des feuilles. Peut-être que son rythme nycthémère quelque peu dérangé ces derniers temps ne l’aidait pas à avoir l’esprit clair, si bien qu’il se perdait facilement dans ses pensées superfétatoires, qui cette fois lui valurent de se prendre un second sortilège en pleine face. Heureusement qu’il ne participait pas à un tournoi de duel, sans quoi il serait difficilement dans les premiers, peut-être serait-il accessit s’il arrivait à se concentrer plus de deux minutes. Cette année, peut-être que le petit papa noël devrait songer à lui apporter une potion pour augmenter sa concentration, sans quoi il ne verrait pas la nouvelle année. Peut-être qu’il se faisait trop de soucis pour Cedrella au quotidien pour avoir l’esprit clair. Depuis qu’elle s’était faite enlevée par les mangemorts, il avait du mal à l’imaginer seule dans sa boutique dans protection. Mais il ne pouvait pas l’aider. Il avait des obligations à Poudlard et il ne pouvait pas lui envoyer de gardes du corps. À cette période de l’année, il trouverait peut-être les lutins du père noël pour aider la jeune femme, mais ils ne seraient sans doute pas très efficace. Si tant est qu’ils existent. Le sortilège qu’il venait de se prendre lui faisait défensivement trop tourner la tête. Il avait l’impression d’avoir respiré un gaz méphitique dont l’effet toxique détruisant un a un chacun de ses neurones. Finalement, après un dernier sortilège tout aussi douloureux, le mangemort laissa échapper un rire mauvais avant de quitter les lieux. Une chance pour lui. Il n’avait plus qu’à aller à l’infirmerie pour demander à Charlie de ne remettre en forme. Il aurait du signer un contrat synallagmatique avec elle, quoi que si un contrat lui donnait à elle l’obligation de le retaper à chaque fois qu’il s’en prenait plein la tronche, quel était son obligation équivalente à lui ? Il n’en savait rien. Peut-être de lui adresser une bonne nouvelle. La seule chose qu’il pouvait lui annoncer, c’était le menu du dîner, elle ferait avec ça. Difficilement, il se redressa, se dirigeant vers l’infirmerie. Il termina par arriver au deuxième étage et entra dans la pièce, ou bien vite il aperçu une Charlie semblant angoissé. Sans doute que sa tête amochée n’allait pas la rassurer. Pourtant, bien qu’ayant du mal à tenir en équilibre, il lui adressa un large sourire. « J’ai une bonne nouvelle Charlie. J’ai demandé à la lune ce qu’on mangeait ce soir et elle a dit qu’il y avait du saumon fumé au menu ! » Il tangua manquant presque de s’écrouler, sans doute que le coup à la tête de sa chute avait été un peu trop fort. « C’était pas la lune en fait. Mais les elfes de maison. » Il allait souvent voir les elfes de maison. Fervent défenseur de leur cause, mais aussi parce qu’il aimait passé dans les cuisines grignoter un peu, comme le faisait beaucoup de poufsouffle, l’avantage d’avoir accès rapidement aux cuisine depuis la salle commune. Son sourire étirait toujours ses lèvres alors qu’il s’assit sur un lit. « Je crois que j’ai besoin d’aide. » Il croyait assez bien apparemment. La pièce semblait tournée autour de lui comme s’il s’était pris une grosse cuite. Il avait vraiment besoin d’un coup de main.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeMer 26 Déc - 13:34

« The white house may belong to the past
The screams are always haunting us »


« J'ai une bonne nouvelle Charlie. J'ai demandé à la lune ce qu'on mangeait ce soir et elle a dit qu'il y avait du saumon fumé au menu ! » L'homme manqua de tomber avant de reprendre la parole « C'était pas la lune en fait. Mais les elfes de maison. » D'un point de vue extérieur et sans connaitre le personnage, on aurait pu prendre cet homme pour un fou récitant d'étranges amphigouris. Mais fort heureusement, Charlie le connaissait. Si vous lui demandiez d'écrire un livre sur ce type elle répondrait que pour cela il faudrait noircir des pages et des pages de prolégomènes pour expliquer le bazar qu'il y avait dans la tête de ce dernier avant d'atteinte enfin le contenue du livre. Enfin bref, la blonde était plus que ravie de voir ce fou entrer dans son infirmerie. Elle se surprit à songer que c'était son cadeau de noël avant l'heure. Petit papa noël, merci ! Sa crise d'angoisse pouvait toucher à sa fin c'était bel et bien Clive qui était apparu ! Il était en vie - du moins pour le moment - et Charlie était tellement heureuse que son souhait soit exaucé qu'elle aurait pu élever une ziggourat en l'honneur des lutins du père noël au sommet de laquelle se trouverai un sapin de noël et un panneau géant sur lequel il y aurait écrit "joyeux noël".Ceci dit elle se contenta d'afficher un air soulagé et de se précipiter vers le blessé qui c'était assis sur un lit. Elle n'avait pas encore relevé ses remarques tellement elle avait envie de sortir de champagne pour fêter le fait que Clive ne soit pas mort ! Alors comme ça, c'était bien du saumons fumé qu'il avait pour le repas de ce soir, bonne nouvelle en effet elle préférait largement ça aux croquettes pour chats ! « Je crois que j'ai besoin d'aide. » La blonde sortie de sa béatitude, Clive n'était pas en train de faire un soliloque, mais venait de lui donner la réplique. Elle se devait d'y répondre et de jouer son rôle d'infirmière. Elle posa sa baguette sur le lit tant qu'elle passa une main sur front puis dans le cou du professeur pour sonder son pouls. Ce n'était pas bon signe, il semblait avoir reçu un sort d'empoisonnement. Elle n'avait donc pas jusqu'au potron-minet pour se décider à agir. Soit dit en passant, lancer un sort d'empoisonnement, elle trouvait vraiment que c'était être pusillanime, autant ne pas engager de combat dans ce cas, enfin bon, ce n'était pas comme si les mangemorts étaient réputé pour leur fairplay lors des duels. Au contraire, selon Charlie, il y avait une véritable dichotomie entre les idées soi-disant nobles des mangemorts et leur façon de se comporter.

Tout d'abord, elle reprit sa baguette « Revigor » le sortilège qu'elle venait de lancer à Clive, bien que n'étant pas le remède absolu, n'était pas superfétatoire. Il lui permettrait de gagner du temps en lui redonnant de l'énergie avant qu'il s'évanouisse, elle avait besoin qu'il reste à peu près en état de parler si elle voulait le guérir. « Je suppose que tu ignores le sortilège d'empoisonnement dont tu es victime, ce serait trop facile sinon. Mais si tu as noté quelque chose de particulier comme des vapeurs de gaz mephique ou un liquide d'une couleur spéciale n'hésite pas essayer de t'en souvenir maintenant. » Si seulement l'un des savantasses qui bossaient sur les sorts ou sur les potions avaient l'intelligence d'inventer un truc de guérison universelle ! Elle se retrouverait peut-être au chômage, mais ça n'avait guère d'importance lorsque des vies étaient en jeu. Si un quelconque foutriquet ventripotent de l'armée de Voldemort se ramenait, il serait accueil avec une certaine acrimonie dans la voix de la blonde, sans compter qu'elle ne se gênerait surement pas pour lancer un sort de pétrification. Enfin bref, elle était furax contre ces abrutit de mangemort qu'elle rêvait de transformer en omphalomyces ou en ornithorynques... au moins, ils seraient moins emmerdant sous ces formes. Ce n'était pas le bon moment du cycle nycthémère pour rêver de se débarrasser des mangemorts, chose qu'elle faisait déjà trois nuits par semaine, au minimum, quoi que le rêve qu'elle avait fait cette nuit était plutôt stupide... c'était Hans Trapp atteint de plangonophobie qui parlait en phylactère et qui disait « J'ai demandé à la lune si je pouvais pratiquer la cuniculiculture avec une gourgandine avant le dernier jour... » C'était tout ce dont elle se souvenait et c'était bien assez.

Elle attrapa donc l'une des fioles aux formes de parallélépipèdes, le liquide dedans avait une couleur orangeâtes presque kaki, il s'agissait d'un mélange de feuilles d'amélanchier, de cucurbitacée et d'écaille d'un dragon - dont elle avait oublié le nom - qui ressemblait à un tyrannosaure-rex. Peut-être que ceci serait suffisant pour remettre à neuf le sorcier mais d'après le palimpseste qu'elle avait lu au sujet de ce remède antipoison, il y avait des effets secondaires comme la paralysie provisoire des membres les plus touchés, engendrant parfois des symptômes d'anosognosie chez les patients qui sont soumis à cet effet. Enfin bon, les potions et leurs effets secondaires ne formaient pas un contrat synallagmatique : il arrivait que le remède marche sans que les effets pointent le bout de leur nez. Cela dépendait des patients. Avant de faire boire ce truc - totalement dégueulasse au niveau du gout et de l'odeur - elle attendait quand même de voir si Clive pouvait lui donner des informations sur le sortilège dont il était victime. Il était préférable de traiter le bon maléfice par le bon remède - sur cette pensée elle s'étonna de composer des phrases qui ressemblaient presque à des épanadiploses - sinon, les résultats ne seraient qu'accessit. Charlie préférait avoir de meilleurs résultats. D'ailleurs, mal utiliser cette potion pouvait aussi n'avoir aucun effet : c'était un peu comme soigner Rodolphe, le renne enrhumé du père noël avec une pommade pour cubitus cassé. Elle s'empara d'une seconde fiole, la faisant tintinnabuler contre la première. C'était aussi un remède contre certains poisons, techniquement, d'aspect et d'odeur, la différence entre les deux fioles était infimes, mais de la même façon qu'un signe diacritique pouvait changer tout le sens d'un mot, l'effet des deux liquides étaient différents et ne soignaient pas les mêmes maux. « Si tu survis Clive, je t'offre du fois gras de première qualité. » Certes, ce n'était pas un argument des plus convaincants pour les gens normaux, mais pour Charlie ça valait largement le coup. Elle adorait la bonne nourriture et le fois gras entrait dans sa définition de « bonne nourriture ».
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeDim 30 Déc - 19:15

“ don't carry on, just walk away ”
charlie j. williams et w. clive burgess-holmes♪♫♬
C’était au naturel que Clive ne semblait pas être tout seul dans sa tête, si bien que la plupart des gens de son entourage ne s’inquiétaient plus pour lui quand il sortait des phrases débiles ou qu’il se comportait de façon tout à faite inappropriée en vue de la situation. C’était Clive. Seule explication à la plupart de ses réactions. Personne ne doutait du fait qu’il aurait pu être un grand sorcier s’il s’était un jour montré capable d’avoir la meilleure réaction possible face à la situation à laquelle il était confronté. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Il l’avait prouvé bien des fois, aujourd’hui encore de toute évidence. Il n’avait même pas été fichu de resté concentrer sur un duel qu’il avait lui même provoqué. Certains pourraient penser qu’il s’agissait de pure folie de ne pas répliquer face au mangemort - vu son état, on pouvait facilement penser que c’était bel et bien le cas - lui, il dirait plutôt que c’était une façon d’assurer ses arrières. Laisser le mangemort lui faire la fête, suite à quoi, il n’aurait pas à se laisser envahir par une rancœur envers le poufsouffle, ce qui l’arrangeait bien. Il n’avait pas envie de nourrir personnellement la haine d’un mangemort. Sa famille qui voulait sans doute le voir mourir ou perdre son âme au fin fond d’Azkaban, ça lui suffisait largement. Au moins, il avait encore l’intelligence de remarquer que son état méritait un peu d’aide. Assis sur l’un des lits de l’infirmerie, il attendait que Charlie trouve la solution miracle à son esprit totalement embrouillé, tellement plus que d’habitude. Il fallait bien l’avouer, même d’habitude, son cerveau était un gros méli-mélo de pensées s’embrouillant facilement, mais au moins d’habitude lui, il savait les dénouées, là ça lui semblait compliqué. Un léger coup de baguette et un rapide sortilège et il se sentait déjà un peu mieux. Ce n’était pas encore ça. Il ne pourrait guère tenir jusqu’à la fin de la journée uniquement grâce à l’aide de ce sortilège, mais c’était toujours mieux que rien. Au moins il n’avait plus l’impression d’être complètement droguée - quoi que c’était peut-être naturel ça aussi - et son esprit redevenait un tant soi peu plus clair. Il leva les yeux vers elle écoutant sa question, avant de hausser les épaules. « Hm non. J’étais trop occupé à analyser cette tâche de moisissure. Mais une chose est sûre, il ne s’agissait que d’un simple sortilège. Pas de liquide, pas d’odeur particulière. Mais la vraie question est, d’où vient cette tâche de moisissure ? » Non, en vérité tout le monde s’en fichait éperdument. Sauf lui de toute évidence. Le château était sain en temps normaux, toujours propre alors forcément, lui ça l’intriguait. De toute façon, depuis que les mangemorts avaient élus domicile à Poudlard, plus rien était pareil, même l’hygiène du château. Quoi que, c’était peut-être simplement du à un conduit d’eau qui aurait fuit pile à cet endroit. Il faudrait qu’il vérifie ça quand il irait mieux. Comme si c’était vraiment important. Le problème de Clive, c’était sans doute que, quand il avait une idée dans le crâne, même si elle était complètement débile, il n’arrivait pas à s’en débarrasser. Un gros défaut qui finira sans doute par avoir raison de lui.

Le sorcier releva les yeux vers son amie alors qu’elle était partie chercher des fioles. Des potions. Il détestait ça. Elles avaient l’habitude d’être particulièrement dégueulasse et puantes. Sauf l’amortancia peut-être, quoi qu’il avait souvent l’impression que si lui il devait en renifler une, elle sentirait le vide intégrale. Ce serait plutôt bien représentatif de sa vie amoureuse, qui, il fallait bien l’avouer n’avait jamais été bien palpitante. Pire encore, elle n’avait tout simplement jamais existée. Heureusement que sa famille n’en avait plus rien à faire de lui, sinon ça mère aurait fini en dépression en arrivant à la conclusion que son cadet ne serait pas celui qui lui donnerait des petits enfants. Elle devait déjà faire une dépression vu que ses frères étaient des abrutis finis dont aucune femme censée ne voudrait. Quoi qu’au moins l’un deux avait pu trouver une folle, mais les deux c’était un peu improbable. Au fond, tout le monde s’en fout de toute façon, Clive le premier. Il secoua légèrement la tête pour faire sortir sa maudite famille de ses pensées manquant encore de clarté. Il adressa un sourire à la jeune femme qui était revenue vers lui, deux fioles dans la main. Deux fioles dont il n’avait pas envie de connaitre le contenu soit dit en passant. Est-ce qu’il aurait le choix, là rien n’était moins sûr. « Ce sera avec plaisir Charlie. Pour la peine, je vais faire un effort pour survivre. » Aucun doute qu’il aurait bien besoin d’un morceau de foi gras de qualité pour effacer le gout d’une des étranges potions que la blondinette tenait dans ses mains et encore, il avait bien peur que le gout soit à jamais intégrer à ses papilles gustatives. C’était souvent le cas des aliments dégueulasses. Il pointa les dites fioles d’un coup de menton. « Qu’est-ce que c’est ? Du jus de citrouille ? De la bièraubeurre ? De l’hydromel aux épices peut-être, j’adore ça ! » Il se doutait bien qu’il n’y avait rien de tout ça dans ses fioles, sinon, il se ferait presque volontairement attaqué pour être sûr de finir à l’infirmerie. Malheureusement pour lui, il y avait peu de chance pour que ce soit le cas. Aucune chance même. Les potions, c’était pire que les dragées surprise de Bertie crochue, au moins avec ce genre de bonbons, il y avait quand même un peu d’espoir de tomber sur un truc totalement mangeable, quoi que le plus souvent, Clive tombait sur des trucs dégueulasses, une bonne raison pour tracer un trait définitif sur ces petites sucreries totalement fourbes. Avec les potions médicales tout particulièrement, il n’y avait aucune chance, c’était toujours imbuvable. À croire que les sorciers qui élaboraient de tels outils, tenaient à mettre en gardes les autres, une façon personnalisée de faire comprendre au reste du monde de ne surtout pas se blesser - ou se faire blesser dans le cas de clive - à nouveau. Malheureusement, le résultat était très médiocre, tant mieux pour eux, sinon leur industrie risquerait de s’effondrer.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeLun 31 Déc - 16:15

« Make it stop, let this end. »


Le directeur de la maison Poufsouffle répondit à la question de Charlie, mais pas de la façon dont celle-ci l'avait espéré. « Hm non. J'étais trop occupé à analyser cette tâche de moisissure. Mais une chose est sûre, il ne s'agissait que d'un simple sortilège. Pas de liquide, pas d'odeur particulière. Mais la vraie question est, d'où vient cette tâche de moisissure ? » S'il n'était pas son patient préféré (quoi qu'elle préférait ne pas l'avoir comme patient, mais hélas il était au contraire son plus fidèle "client", d'ailleurs si elle ne connaissait pas si bien, elle aurait pu croire qu'il faisait ça pour passer du temps avec elle), elle aurait sans doute donné un coup de parchemin sur la tête de Clive. Non mais, sa vie était en jeu et lui il se demandait pourquoi il y avait une tâche de moisissure sur le sol. C'était une vraie question existentielle après tout, "qui suis-je ?" ; "où vais-je ?" ; "dans quel état j'erre ?" et "Pourquoi y a-t-il du moisit sur le sol ?". Ce qu'il pouvait être à l'ouest des fois ! Ce n'était pas un scoop cela dit. Bon au moins, le sortilège n'avait pas agit par le biais d'une quelconque odeur ou d'un produit. Pas de gaz, ni de poison. Cela lui permettait d'éliminer la première potion. « Si ça t'inquiète tellement tu n'as qu'à aller nettoyer cette tâche une fois que tu seras réparé. » Connaissant le personnage, il en était capable en plus. Elle pouvait même l'imaginer habillé en femme de ménage, quoi que vu le grand dadet que c'était, le résultat serait surement très ridicule. Enfin bref. Elle s'apprêtait donc le premier antidote tandis qu'il relevait les conditions posées par la blonde sur sa survie. « Ce sera avec plaisir Charlie. Pour la peine, je vais faire un effort pour survivre. » Elle rit doucement. Si elle n'avait pas promit cela, il n'aurait pas fait d'effort pour survivre ? Elle savait que si, mais il avait toujours l'air tellement sérieux ou convaincu par ses propres parole que quelqu'un ne le connaissant pas aurait pu s'y méprendre. Heureusement pour Charlie, elle avait eu le temps de connaitre la notice de Clive depuis qu'elle le connaissait. Enfin bref, ce n'était pas des paroles en l'air, mais pour le moment il y avait plus important que le fois gras.

« Qu'est-ce que c'est ? Du jus de citrouille ? De la bièraubeurre ? De l'hydromel aux épices peut-être, j'adore ça ! » Demanda-t-il en montrant les fioles d'un coup de menton. Elle afficha un drôle d'air sur son visage qui disait "oh non, mon grand, ce n'est pas du tout ça" mais elle se contenta de définitivement poser la fiole au liquide orangeâtes en compagnie des autre fioles pour juste garder celle qui lui ressemblait, mais avec un liquide légèrement plus foncé. « Ce n'est ni du jus de citrouille - bien qu'il y ai de la citrouille dedans - ni de la bièraubeurre et encore moins de l'hydromel... désolée, ça put la mort et c'est complètement dégueulasse, mais au moins ça à le pouvoir de purifier et de nettoyer l'organisme de façon plutôt spectaculaire. » Elle marqua une pause en attrapant un récipient de la taille d'un verre à saké et revint vers l'habitué de l'infirmerie. « Va falloir faire preuve de courage pour avaler ça, mais rassure toi, il faut en prendre très peu. » À coup de pipette elle laissa couler cinq goûtes du liquide dans le petit récipient avant de le lui tendre. Ceci fait, elle alla ranger la fiole avec ses frangines et attrapa un paquet de bonbons avant de revenir vers Clive « Tien ça fera passer le gout, ça vient de chez Honeyduke. Heureusement que j'ai toujours un paquet de bonbons quand je bosse à l'infirmerie, ça aide les grands enfants comme toi à supporter les potions. » Elle se moquait gentiment, mais d'une certaine façon, elle était contente de ne pas avoir à avaler ce genre de potion. Sans être forcément pote avec les élèves, Charlie était plutôt bien vu par ceux là, après tout, son meilleur ami possédait une boutique de farce et attrape et certains la croisaient dans cette même boutique, de plus, elle était du genre à conseiller les élèves sur les produits qu'on y vendait. Évidemment, elle ajoutait toujours qu'elle ne serait pas responsable qu'une quelconque heure de colle provoqué par ses conseils et que si les farces et attrapes étaient utilisé de façon intelligente, il y avait peu de chance pour que le coupable soit démasqué ou le subterfuge découvert. On sentait bien l'experte en la matière. Charlie, même si elle était du genre studieuse, adorait se servir de ce genre de produit pour s'amuser.

Enfin bref, elle espérait que la potion suffise à soigner Clive, sinon il faudrait qu'elle trouve autre chose. Et pour le plus grand malheur du professeur, ce serait surement tout aussi dégueulasse. Enfin bon, ce n'était pas le moment d'être pessimiste. Après tout, il était assez coriace pour survivre non ? Dn plus, si Clive décédait - déjà elle s'en voudrait terriblement - elle perdrait un allier de l'Ordre au sein de Poudlard. Alors il avait intérêt de s'en sortir. « Au passage, si tu meurs je te tue alors ce serais mieux que reste en vie. » Une menace pas spécialement efficace, mais c'était juste histoire de dire qu'il n'avait pas intérêt de la laisser toute seule à Poudlard. Comme elle aurait préféré que ce soit Clive le directeur de Poudlard, au moins les choses auraient été bien différentes. Déjà, il n'y aurait plus d'élève envoyé à l'infirmerie à cause de ces stupides mangemorts qui trouvaient ça drôle de s'en prendre à plus faible qu'eux. Mais bon, "avec des si on mettrait Paris en bouteille" et hélas, ce n'était pas Clive le directeur de Poudlard et les mages noirs étaient bel et bien présents. Après tout, c'était surement leur présence qui parasitait l'école jusqu'à faire pousser des moisissures partout où ils passaient. D'ailleurs, cette théorie n'était peut-être pas aussi stupide qu'elle en avait l'air : les mages noirs laissaient la marque des ténèbres partout où ils passaient, ainsi, avec de l'imagination on pouvait bien imaginer que la moisissure pouvait avoir la forme de la marque... enfin bref, ce n'était pas le moment de divaguer.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeMar 1 Jan - 15:26

“ don't carry on, just walk away ”
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Un jour, Clive apprendrait à revoir sa liste de priorité. Ainsi, il arrivera certainement à s’en sortir un peu mieux dans les situation délicates. Certes, ça paraissait compliqué vu sa façon d’être, mais on pouvait toujours espérer qu’un jour, il y arriverait. Ainsi au lieu de se poser des questions sur une tâche de moisissure en plein duel, il se défendrait afin de ne pas finir une fois de plus à l’infirmerie. On aurait presque pu croire qu’il le faisait exprès. Toujours à se mettre dans des situation délicates en ignorant les risques. Pourtant, des fois, il fuyait les situations les plus délicates, ainsi, il n’avait pas volé au secours de Cedrella quand elle avait eu besoin de lui. Il aurait du se foutre des conséquences de ses actes mais il n’en avait rien fait, ce qui était plutôt paradoxal. Peut-être avait-il simplement compris que se balader avec des mangemorts à ses baskets pour retrouver les mangemorts qui avaient Cedrella avec eux, n’était pas l’idée la plus brillante du monde. Au contraire, ça n’arrangerait pas ses affaires, ni même celles de Cedrella, ça ne ferait que doubler le nombre de mangemort sur son dos. Peut-être avait-il aussi su que la jeune femme était une sorcière remarquable et qu’il lui faudrait peu de temps pour échapper à ses agresseurs. Il pouvait bien retourner le problème des millions de fois dans sa tête, il ne saurait toujours pas ce qui l’avait poussé à agir avec autant de lâcheté. Et même s’il trouvait la réponse à cette question, ça ne l’avancerait pas des masses, ce qui était fait - ou pas fait en l’occurrence - était fait, il était inutile de passer quinze plombes à ressasser le passé. Le plus important à cet instant précis c’était sans doute qu’il retrouve ses esprits et qu’il survive au sortilège dont il avait été victime, sinon, une chose serait sûre, il n’aurait plus jamais l’occasion de s’attarder sur sa culpabilité ou sur une tache de moisissure jonchant le sol du château. Bien sûr, il savait que Charlie ne mettrait pas bien longtemps à le remettre sur pieds. Il lui faisait confiance et la considérait sans doute comme la meilleure infirmière de l’école. « Je ferais peut-être ça. » Nettoyer la tâche de moisissure qu’il avait vu. Comme s’il n’avait que ça à faire. En même temps il pouvait régler le problème en quelques secondes à l’aide d’un simple sortilège alors ce n’était pas comme s’il serait obligé de se prendre une journée complète pour effectuer cette tâche quelque peu inutile. De plus, il voulait vraiment s’assurer que ce ne soit pas le résultat d’une fuite d’eau à l’intérieur du mur sans quoi, il faudrait absolument faire quelque chose avec que l’eau ne s’accumule jusqu’à éclater le mur. Bloquer toute une partie du château à cause d’une fuite, ce serait tragique. À ses yeux en tous cas. Pour d’autre, ce ne serait qu’un petit problème supplémentaire, de ceux qu’on met tout au fond de la liste de ses priorité et qu’on fini par oublier. Il était peu conventionnel comme type, c’était un fait indéniable. Il était le taré qui s’inquiète pour un mur, au beau milieu d’une guerre. Sans doute que cette façon de penser et d’agir finirait par lui couter la vie, surtout que Charlie ne serait peut-être pas toujours dans les parages pour lui sauver la mise. Pour l’heure, il venait de lui annoncer qu’il ferait un effort pour survivre afin qu’elle lui offre un foi gras de qualité. Sans doute qu’il avait bien d’autres raison de vouloir survivre que celles de s’occuper de cette fichue tasse ou de se voir offrir du foi gras, fort heureusement, la vie ne se résumait pas qu’à ça à ses yeux. Sans quoi il aurait été sans doute plus sage de l’enfermer à Sainte Mangouste. Super, être le voisin de chambre de Gilderoy Lockhart avait toujours fait parti de ses rêves. Ou pas d’ailleurs, un personnage sans doute encore plus inutile qu’il ne l’était lui-même et qui avait trop longtemps provoquait un engouement de la part des femmes, que Clive trouvait définitivement injustifié. Lui aussi il aurait pu avoir toutes les femmes à ses pieds s’il avait décidé de s’inventer des histoires dont il sortait toujours vainqueur. Peut-être pas d’ailleurs, Lockhart avait quand même plus de charisme que lui. Encore une fois, le sorcier secoua légèrement la tête afin de couper court au fil de ses pensées et vaquer cet inutile pseudo sorcier de son crâne, s’il devait mourir, il aimerait que ce soit en pensant à quelqu’un d’autre qu’à Lockhart.

Elle était revenue vers lui avec deux potions ayant tout pour paraitre effrayantes. Il savait bien qu’il ne s’agissait pas de bièraubeurre ni de jus de citrouille et certainement pas d’hydromel aux épices. Il se risqua tout de même à demander, après tout qui ne tente rien n’a rien et l’espoir fait vivre. Évidement, elle lui répondit de façon négative en prenant soin de préciser que c’était dégueulasse mais efficace. Forcément. À croire qu’un médicament pour être utile se devait d’être nécessairement dégueulasse. « Génial. Un jour il faudra leur apprendre qu’on peut sauver des gens sans pour autant tuer leurs papilles gustatives. » un bel espoir qui ne verra jamais le moindre aboutissement. Le monde avait beau être plein de magie, il n’en existait de toute évidence, aucune assez puissante pour résoudre le problème des médicaments dégueulasses. « Je suis toujours courageux. J’aurais facilement pu être envoyé à gryffondor. Si je n’avais pas eu pour seuls amis les livres. » Ou pas. Évidemment, c’était ironique. Il n’avait bien souvent aucun courage et personne ne l’aurait pu à Gryffondor. Heureusement d’ailleurs. Poufsouffle lui allait tellement mieux. Il regarda la jeune femme verser quelques goutes de potion dans un petit verre. Finalement ça ne faisait vraiment pas beaucoup, il devrait survivre. Elle s’éloigna quelques instant pour ramener un paquet de bonbons, ça au moins, c’était plus attirant que n’importe quelle potion bizarres. « Tu es vraiment la meilleure infirmière de Poudlard. » Il lui adressa un sourire avant d’attraper le petit verre et d’en observer le contenu quelques instants. Il releva la tête vers la sorcière, un sourire sur les lèvres. « Une menace que je serais fou de prendre à la légère. » Il repencha la tête vers le verre, l’observant quelques seconde avec dégout avant de lever le verre comme l’aurait fait quelqu’un pour trinquer. « à la tienne Charlie ! » Sur ses mots il porta le verre à ses lèvres pour en avaler le contenu. Dégelasse bien entendu. Mais c’était presque impossible que cinq malheureuses gouttes de potions puissent avoir autant de gout. Il reposa brutalement le verre comme quelqu’un qui aurait avalé cul sec un shooter complet d’alcool particulièrement fort. Il tira la langue comme un abrutit comme si cette dernière avait besoin d’être aérer. « Par Merlin ! C’est vraiment immonde ! » Il espérait au moins que les effets se feraient sentir rapidement et que son monde pourrait ainsi rapidement redevenir un peu plus clair, histoire qu’il n’ai pas avalé une telle atrocité pour rien. Il continuait de tirer la langue régulièrement en grimaçant, comme si ça pourrait vraiment changer quelque chose à l’enfer qu’était en train de subir ses papilles gustatives.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeMer 2 Jan - 14:32

« Our promises that never came
Except this silent rain »


Décidément, Clive était surement l'une des personnes les plus bizarres de Poudlard, enfin, ce n'était pas le seul allumé, c'était une évidence, mais s'il existait un classement des plus étranges personnages de l'école, il était sûr d'avoir sa place dans les meilleurs. Il y avait aussi la dénommée Luna Lovegood qui pouvait rivaliser avec lui, l'infirmière avait surpris une conversion de cette enfant une fois et ... c'était plutôt étrange, disons que l'on pouvait se demander si cette jeune fille vivait vraiment dans le même monde que les autres... peut-être y avait-il un monde parallèle qui n'était visible que par les fous, Clive était donc probablement capable de voir ce monde. Enfin passons. « Je ferais peut-être ça. » Il parlait bien évidemment de nettoyer la moisissure qu'il avait vue auparavant dans le couloir où il s'était fait. Charlie haussa les épaules en se disant qu'il avait vraiment du temps à perdre, surtout dans les conditions actuels. Après tout, c'était la guerre, l'ascension de ce crevard de Voldemort et pas le grand ménage de printemps de Poudlard (quoi que ce serait drôle de faire ça sans magie un jour : rien de tel pour purifier l'esprit et le corps qu'un grand nettoyage des lieux, Charlie était convaincu qu'un intérieur propre reflétait un esprit sain). Mais allons bon, Clive resterait Clive quoi qu'il arrive et puis de toute façon, tous deux étaient plus ou moins coincé dans l'école, incapable de participer aux combats qui se déroulaient en dehors de l'enceinte du château, il pouvait donc perdre tout le temps qu'il voulait dans le nettoyage des moisissures. Ajoutons à cela qu'il fallait bien des gens pour garder un oeil sur ce qu'il se passait au sein de l'école et pour protéger les élèves de ces abrutis de mangemorts. Si Clive et Charlie n'étaient pas là, il y aurait surement eu des morts à Poudlard, par exemple l'élève qui avait été agressé par l'un de ces monstres et que Clive avait défendu. Heureusement pour lui, il n'y avait eu plus de peur que de mal. Charlie avait eu vite fait de le retaper celui-ci. Mais dieu seul sait ce qu'il lui serait arrivé si le professeur d'Arithmancie n'avait pas été là. C'était dans ces moments-là que Charlie était contente d'être à l'infirmerie, lorsqu'elle pouvait vraiment se rendre utile.

Suite à la question du professeur concernant le goût du liquide qu'il s'apprêtait à boire, elle avait honnêtement dit à ce dernier que la potion était dégueulasse. « Génial. Un jour il faudra leur apprendre qu’on peut sauver des gens sans pour autant tuer leurs papilles gustatives. » Elle rit un peu suite à sa réponse. Elle aurait pu lui citer une ou deux potions qui n'étaient pas mauvaise, mais ce serait surement frustrant pour lui de devoir prendre l'un des plus dégoutants remèdes qu'il existe dans ce monde. Bien-sur, il y avait pire comme liquide, mais il y avait aussi, largement meilleur. Ceci-dit, il n'avait pas tort, pourquoi est-ce que les potions étaient toutes imbuvables alors que le propre d'une potion c'était d'être bu. Ce serait surement digne d'une dissertation en cours de potion, tien. Peut-être même que Rogue avait la réponse à cette question. Mais aller voir l'ex-professeur de potion en lui demandant "pourquoi les potions sont presque toutes infectes ?" ça ne le faisait pas vraiment, il aurait surement pris son habituel air de cimetière dévasté par les dégâts du temps avant de tourner le dos à la jeune femme et de vaquer à ses affaires. Dumbledore lui au moins, aurait gentiment disserté avec elle sur cette question, les bons hommes comme lui se faisaient de plus en plus rare, surtout à Poudlard. Il était donc préférable de penser à autre chose. « Je suis toujours courageux. J'aurais facilement pu être envoyé à gryffondor. Si je n'avais pas eu pour seuls amis les livres. » Encore une fois, la blonde pouffa de rire. « Mais bien-sur. Le choixpeau ne choisit pas une maison en fonction des amis. Et puis entre nous, c'est comme si la maison de Poufsouffle avait été faite pour toi alors je ne pense pas que tu aurais pu être ailleurs. Ce n'est pas pour rien si l'animal symbole est un blaireau... je veux dire, sans mauvais jeu de mot par rapport à l'utilisation du mot blaireau. Tu es un animagus blaireau quoi. » Elle haussa les épaules et lui rapporta des bonbons pour faire passer l'horrible goût de la potion. « Tu es vraiment la meilleure infirmière de Poudlard. » Elle n'irait pas dire ça, mais c'était sûr que sa collège était un peu plus strict qu'elle, ce qui faisait de Charlie une infirmière plus cool. Elle ne releva pas plus que ça, puis le menaça de le tuer s'il mourait. « Une menace que je serais fou de prendre à la légère. » L'infirmière acquiesça d'un signe de tête. « Ça je ne te le fais pas dire ! ». Elle rit légèrement avant que le professeur d'arithmancie se décide à boire les cinq malheureuses goûtes qui composaient son remède. Il y en avait peu et ce n'était pas plus mal vu le gout de la potion en question. « Par Merlin ! C'est vraiment immonde ! En même temps, elle n'avait pas été fourbe : il était au courant que ce serait tout bonnement imbuvable. « Prends des bonbons au lieu de râler. Si je t'ai donné le bon remède, tu devrais en sentir les effets d'ici une vingtaine de minutes. Par contre t'aura peut-être du mal à dormir pendant un ou deux jours parce que ça donne la patate et ça nettoie l'organisme d'un peu tous les maux, même de la fatigue. Enfin disons que c'est plus un effet secondaire qu'une vertu propre à la potion. » D'ailleurs il ne fallait surtout pas prendre cette potion juste sous prétexte que l'on se sentait fatigué, ça pouvait être dangereux pour le corps. Après tout, les sorciers ne sont pas des surhommes.

Charlie de regarda sa montre en trouvant les secondes bien longues. Non pas qu'elle s'ennuyait, il était surement impossible de s'ennuyer en présence de Clive, c'était un véritable spectacle à lui tout seul. Mais si les secondes étaient longues c'était parce que la vie de son ami était en jeu. Elle voulait savoir le plus vite possible si la potion avait fait son effet. Sinon elle serait partie chercher l'abrutit qui lui avait lancé le sortilège afin de savoir ce qu'il avait utilisé exactement. Vu comment les mangemorts étaient con, cela aurait peut-être été sans succès et elle aurait donc été se plaindre à Rogue, lui au moins ne laisserait surement pas crever son collègue. Du moins, c'était à souhaiter. Enfin, ce qui était vraiment à souhaiter, c'était que la potion qu'elle avait donnée à Clive fasse effet, comme ça, pas besoin d'aller se plaindre à Rogue.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeLun 21 Jan - 19:19

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Est-ce qu’il irait vraiment aller s’occuper de cette tâche de moisissure au beau milieu du couloir ? C’était possible, après tout, seuls ceux qui ne connaissaient pas Clive pouvaient en douter. Il avait parfois des réactions bien étrange qui n’appartenaient qu’à lui et que personne ne pouvait comprendre. C’était quelque chose qu’il assumait, même si, bien souvent, ça lui méritait quelques critiques. Il avait depuis longtemps cessé de compter toutes les fois où on le traitait de grand malade. Il s’en fichait de toute façon. Le regard des autres, c’était bien la dernière chose dont il se préoccupait. Heureusement pour lui d’ailleurs. Sinon, il se serait sans doute déjà suicider. Non, il ne s’arrêtait pas à ça et mine de rien, il tenait à sa vie. Même s’il passait presque tout son temps libre à l’infirmerie après avoir provoqué l’un des trop nombreux mangemorts du château. Il pensait que c’était mieux que ce soit lui plutôt que les élèves. S’il le voulait, lui, il était plus à même de se défendre que les élèves. Il connaissait plus de sortilèges, il avait plus de pratique. Ainsi, il préférait prendre leur place, même si ça lui valait une nouvelle visite à l’infirmerie. Une de plus ou une de moins personne ne verrait la différence. Il avait bien de la chance d’être ami avec Charlie, une autre infirmière aurait facilement pu en avoir marre de lui et de sa face d’imbécile. Heureusement, ce n’était pas le cas. Quoi qu’en tant qu’amie, peut-être qu’elle préférait ne pas le voir répliquer tous les quatre matin parce qu’il était blessé ou comme aujourd’hui, empoisonné. Sans doute que la prochaine fois, il ferait un peu plus attention à lui-même. C’était ce qu’il se disait à chaque fois et à chaque fois, il terminait à nouveau à l’infirmerie. S’il n’avait pas eu assez de courage pour aller chercher Cedrella Dieu seul savait où, ou pas assez de courage pour l’affronter maintenant qu’elle lui avait brisé le cœur, il avait au moins le mérite de savoir défendre ses élèves et ce qu’importe les risques qu’il fallait prendre. Il y avait des décisions qu’il avait prises qui étaient mauvaises. Comme celle de laisser Cedrella s’en sortir seule, même s’il restait persuadé qu’avec les mangemorts du château sur le dos, aller la secourir aurait été plus risqué pour elle que de la laisser se débrouiller toute seule. Bref, oui, il prenait souvent de mauvaises décisions et même lui, il n’était pas en mesure de le nier. Cependant, il était aussi capable d’en prendre de bonnes, défendre les élèves de Poudlard, c’était à ses yeux une bonne décision. Ils étaient innocents. Des gosses qui n’avaient rien demandé à personne et qui se retrouvaient au beau milieu d’une guerre qui avait tout pour être insensée. Il savait qu’il faisait quelque chose de bien en prenant leur place. Même si après, il finissait à l’infirmerie, empoisonné, à devoir boire des potions parfaitement dégueulasse gentiment servies par Charlie. Elle avait solution à presque tout selon Clive. Il savait qu’elle le remettrait en état rapidement, c’était sans doute pour ça qu’il ne s’inquiétait pas de sa propre survie. Il faisait suffisamment confiance à Charlie pour savoir que jamais elle ne le laisserait mourir. Encore cette fois, il en avait la preuve. Il lui avait fallu peu de temps pour revenir avec des potions, qu’elle pensait pouvoir l’aider. Il n’en doutait même une seule seconde et sans doute qu’il aurait avaler tout d’une traite sans poser de questions s’il n’avait pas été convaincu qu’après il serait forcé de vomir tout ce qu’il avait dans l’estomac tellement le gout abominable de la potion aurait traumatisé chaque cellule de son corps. Elle avait elle-même souligné qu’il faudrait du courage pour avaler cette mixture. Ça n’avait rien de très motivant. Le sorcier adressa un sourire à l’infirmière. « Je ne renierai jamais ma maison. J’en suis fier. Même si oui, on peut aisément dire que je suis un blaireau. Je ne crois pas que ce soit un hasard si c’est cet animal là mon animagus. » Un blaireau, tout de suite, ça faisait négatif. Pourtant, c’était l’animal emblème de la maison Poufsouffle et quoi qu’on en dise, les Poufsouffle avaient bien de qualités. Disons qu’ils étaient sûrement plus discrets que d’autres. Moins ambitieux que les Serpentards qui voulaient faire parler d’eux et moins qui étaient suffisamment prétentieux pour vanter leur courage à tout va. Clive n’avait aucun problème avec les autres maison. Disons seulement qu’il fallait l’avouer, en toute objectivités, ceux qui se faisaient le plus remarquer c’était bien les élèves de ses deux maisons. Lord Voldemort, le plus grand mage noir de tous les temps était un Serpentard et Albus Dumbledore, celui que Clive considérait comme le meilleur sorcier que la terre ait porté, été issu de Gryffondor, c’était bien la preuve qu’ils finissaient par se faire plus remarquer que les autres.

Quoi qu’il en soit, la blondinette apporta des bonbons en soulignant que c’était pour faire passer le mauvais gout de la potion. Cette fille était parfaite aux yeux de Clive. Même si ses menaces restaient un peu légère. Difficile de tuer un homme mort. Une nouvelle fois, il lui adressa un sourire avant d’avaler rapidement le contenu du verre. Quelques gouttes seulement, mais un gout parfaitement infecte. Heureusement qu’il n’avait pas bu l’intégralité de la potion, sinon, en effet, il n’aurait pas tardé à tout recracher. Il reposa rapidement le petit verre devant avant de commenter oralement le gout de cette potion. C’était à se demander s’ils ne le faisaient pas vraiment exprès de donner un gout pareil à leurs potions. C’était presque inconcevable que cinq gouttes de potions soient aussi fortement marquées dans ses papilles. Il attrapa rapidement une poignet de bonbons pour les mettre dans ses bouches et ne pris que très peu le temps de mâcher avant d’avaler. Le gout était toujours présent, mais moins prononcé, ce qui était déjà bien plus supportable. « J’espère que c’était la bonne potion. Si j’avale autre chose par-dessus ça, je vais mourir c’est sûr. » Aucun doute, il avait tendance à légèrement exagérer certaines choses. Non, ça ne le tuerait pas d’avaler autre chose. Sans doute qu’il aurait envie qu’on l’achève pour ne pas avoir à supporter à nouveau une potion dégueulasse, mais, ça ne le tuerait pas. « Si je dors pas, j’en profiterai pour corriger mes copies en retard. » Il n’en avait pas beaucoup et en vérité, elles n’étaient même pas en retard mais bon, il pourrait quand même en profiter pour corriger les dite copies si jamais le sommeil lui manquait. Vingt minutes avant de savoir si c’était le bon remède. Vingt longues minutes sans doute. « Tiens, je suis même pas sûr de t’avoir demandé comment va le garçon que j’ai aidé. » Peut-être qu’il l’avait déjà fait. Il n’arrivait pas à s’en rappeler. Disons qu’il n’avait pas eu l’esprit très clair en entrant dans l’infirmerie, il pouvait parfaitement avoir oublié ses propres paroles tout comme la réponse de Charlie. Heureusement, il avait vraiment l’impression que son état était en train de s’améliorer, seconde après seconde, même s’il avait encore un peu l’impression que le monde autour de lui tanguait dangereusement. Une simple impression, à moins que Poudlard soit devenu un bateau, mais bizarrement, il en doutait.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeVen 8 Mar - 11:42

« Our promises that never came
Except this silent rain »


Clive le blaireau. Ça sonnait plutôt bien. Évidemment, pour Charlie, la connotation n'était pas vraiment négative, même s'il fallait reconnaitre que l'image qu'on se faisait du blaireau, pas doué et socialement à la masse, pouvait correspondre à Clive. Le professeur d'Arithmancie était comme ça, ce n'était pas une tare, c'était son caractère et puis c'est tout. Charlie le connaissait depuis qu'elle était étudiante à Poudlard, ils étaient tout deux très présent dans la bibliothèque de l'école. Sans doute pas pour les même raisons, elle bouquinait des livres de magie blanche ou de sortilège pour parfaire ses connaissances, Clive lui, le devait bouquiner tout ce qu'il trouvait pour passer le temps. Il ne semblait pas avoir beaucoup d'amis. La blonde avait finalement fait connaissance avec lui en prenant sa défense face à des gosses qui l'emmerdait. Comme elle avait trois ans de plus et un caractère assez affirmé, ça n'avait pas été difficile de les faire partir. Depuis, ils étaient devenus amis et même s'ils avaient longtemps été séparé à cause de leur études, ils s'étaient finalement tout deux retrouvé à Poudlard quelques années plus tard. L'infirmière avait été amusé par ce hasard, chacun parcours son chemin et par de son côté et puis finalement, les routes se croisent à nouveau. Tout deux travaillaient à Poudlard, tout deux étaient membre de l'Ordre. Même si Clive n'était pas comparable à Phineas au niveau de son amitié, après tout ce temps passé ensemble et leur intérêt commun, la blonde avait quand même ennormément d'affection pour le professeur. Peut-être parfois comme une grande sœur, même si elle n'avait rien à voir avec la famille stupide de Clive. Oh oui, elle connaissait la réputation des Burgess et des Holmes, le mage lui avant déjà parlé. Heureusement, tous les sangs purs n'étaient pas comme ces gens là, la preuve, les Williams et les Harkiss étaient des membres de l'Ordre en général. Enfin, mise à part le père de Phineas qui avait péter les plombs mais ceci était une autre histoire. « Je ne renierai jamais ma maison. J’en suis fier. Même si oui, on peut aisément dire que je suis un blaireau. Je ne crois pas que ce soit un hasard si c’est cet animal là mon animagus. » Charlie rit doucement aux paroles de Clive. Il avait raison d'être fière, même si pour elle, la meilleure maison restait quand même celle de Serdaigle. Après tout, elle y avait quand même passé sept longues années. Et puis, même si elle avait voulu être à Gryffondor comme son père, celui-ci lui avait expliqué en quoi Serdaigle était mieux que Gryffondor, enfin, c'était surtout pour la consolé lorsqu'elle était enfant. « Et au moins, tu peux être fier de maitriser cet art de métamorphose, blaireau ou pas, peu de gens peuvent le faire. » Elle, n'avait jamais essayé de devenir animagus, elle n'en voyait pas l'intérêt même si d'une certaine manière, c'était une façon de prouver que l'ion était un bon sorcier. Quelle forme aurait prit Charlie si elle avait été capable d'une telle prouesse ? Une maman poule ? Une maman lionne ? Allez savoir. La seule chose qui était sûre, c'était que ça aurait eu un lien avec son côté affectif.

Enfin bref, Clive était encore en vie et s'il n'était pas devenu vert ou tout flasque, ce qui signifiait que la potion ne devait pas être mauvaise, sans parler de son goût. « J’espère que c’était la bonne potion. Si j’avale autre chose par-dessus ça, je vais mourir c’est sûr. « Quel chochotte ! Elle afficha un air moqueur en entendant ça, on voyait bien que ce n'était pas elle qui buvait ce genre de choses. Mais bon, il faut parfois souffrir pour guérir et il vaut mieux boire ce genre de d'horreur plutôt que de rejoindre le monde des morts, non ? Être infirmière dans le monde de la magie c'était un peu comme être sadique sans l'assumer, piquer les gens, leur faire boire des potions immonde, dire que c'est pour leur bien et être satisfait de son travail... c'était définitivement sadique. « Si je dors pas, j’en profiterai pour corriger mes copies en retard. « Ça s'était quelque chose que Charlie ne connaissait pas, elle n'aurait pas aimé être professeur pour ça d'ailleurs. Elle aurait sans doute été incapable de mettre des mauvaises notes en se disant qu'elle ne voulait pas plomber la moyenne d'un élève ou qu'il était trop adorable en cours pour mériter une mauvaise note. Elle passerait son temps à chercher des excuses pour mettre la moyenne à tout le monde. Ce n'était pas pédagogique du tout alors autant s'abstenir. Elle n'eu pas vraiment le temps de rétorquer que Clive lui posa une question, comme un éclair de lumière qui venait de lui revenir. « Tiens, je suis même pas sûr de t’avoir demandé comment va le garçon que j’ai aidé. » Il allait bien, heureusement, sinon la blonde aurait arraché les yeux du mangemort responsable à mains nues. Pas touche à ses élèves ! Charlie aurait surement fait une bonne maman mais sans toute trop protectrice ce à quoi toute bonne maman poule répondrait qu'on n'est jamais assez protecteurs avec ses bébés. « Grâce à toi, il aura quelques mauvais souvenir, mais rien de plus grave. Heureusement que tu étais là. J'hésite à le renvoyer chez lui, mais je sais que pour beaucoup, Poudlard est comme une maison. » Le garçon en question était en train de dormir dans un lit de l'infirmerie. La blonde l'avait pas mal shooté avec des potions pour qu'il arrête de stresser. Au moins, son sommeil allait être réparateur même si elle aurait préférer éviter ce genre de remède qui sur certaine personne devenait parfois addictif. Ceci dit, à prise exceptionnel les produits de ce genre ne pouvait pas vraiment nuire et puis Charlie connaissait son travail, elle n'aurait pas donné une potion dangereuse à un enfant. Quoi qu'il en soit, l'infirmière était vraiment contente d'avoir Clive à ses côtés pour défendre le château, enfin, c'était un bien grand mot, mais sans lui, elle aurait surement eu des blessures plus grave à soigner.
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MessageSujet: Re: Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }    Don't carry on Just walk away { Clive & Charlie }  Icon_minitimeJeu 4 Avr - 17:03

“ don't carry on, just walk away ”
charlie j. williams et w. clive burgess-holmes♪♫♬
Il avait fallu bien des années à Clive pour réussir à devenir un animagus, il lui avait fallu de longues années d’apprentissage et des tas de manuels qu’il avait dévoré. Il avait beaucoup travaillé pour y arriver. Sur son temps libre évidement, parce qu’il n’avait rien de mieux à faire. C’était tout à fait son style de se lancer dans ce genre d’expérience pour occuper son temps libre alors que d’autres gens, à sa place seraient plutôt du genre à sortir entre amis. Ce n’était pas du tout son style à lui. Il sortait beaucoup à Pré-Au-Lard pour voir Cedrella ou Alice, mais à part ça, il ne faisait rien de sa vie, si ce n’est lire des ouvrages divers et variés et se lancer dans des apprentissages fous. Déjà quand il avait été jeune, il préférait la compagnie des bouquins à celle du reste du monde. Les livres étaient souvent bien plus intéressants que les gens. Ils étaient riches de connaissances et de savoir, plein de mystères. Clive était sans doute la personne qui passait le plus de temps à la bibliothèque et ce depuis des années. Il y avait passé tellement de temps quand il était étudiant, tellement d’heures passé au milieu d’ouvrages à étanché sa trop grande soif de connaissance. Charlie l’avait également beaucoup fréquentée, c’était un de leur plus grand point commun, pas étonnant qu’ils soient devenus amis les deux accrocs à la bibliothèque. Aujourd’hui, ils avaient bien plus en commun, ils avaient une amitié solide et l’ordre du phénix qui les unissait sous la même bannière. Il aimait beaucoup Charlie. Depuis qu’il l’a connaissait, elle avait été une amie fidèle. Elle ne l’avait pas laissé tomber et ça avait été une vraie joie de la retrouver à Poudlard quand il était devenu enseignant dans ce château. Il appréciait la jeune femme pour ses nombreuses qualités. De plus, elle n’était pas du genre à le prendre pour un fou et ce ô combien il avait pourtant l’air d’en être un. Elle avait toujours su le comprendre et depuis peu, depuis le début de l’année, elle arrivait toujours à le remettre sur pieds alors qu’il prenait des décisions digne d’un fou. À chaque fois qu’il se retrouvait blessé parce qu’il avait eu la folie de s’opposer aux mangemorts, de s’interposer entre eux et leur cible d’origine ou alors simplement de les provoquer sans raison apparente (au fond il y avait toujours une raison, ils étaient des mangemorts c’était suffisant), elle s’était occuper de panser ses blessures avec toujours beaucoup d’attention. Le sorcier savait qu’il pourrait toujours compter sur son amie et ce même si elle aurait sans doute espéré qu’il éviter de prendre des risques inconsidérés. Elle savait pourquoi il agissait ainsi et sans doute qu’elle était bien placée pour le comprendre. Après tout, elle faisait elle aussi partie de l’ordre du phénix. Tout comme lui, elle détestait les mangemorts et le comportement dont-ils faisaient part sur les élèves. Elle les détestait tout autant que lui et elle se préoccupait du bien être des élèves du château autant que lui il le faisait. Ils étaient fait pour se comprendre ces deux là. Il était ravi qu’elle soit là, à ses côtés au quotidien dans cette guerre qu’ils se devaient de mener. Elle avait toujours des paroles réconfortant, elle faisait toujours preuve d’une douceur maternelle si appréciable. Vu comment la mère de Clive l’avait toujours traité, il aurait facilement pu souhaiter que Charlie l’adopte. Mais elle était déjà son amie et il était sans doute un peu vieux pour avoir besoin d’une figure maternelle. Il savait en tout cas, que le jour venu, Charlie serait une excellente mère. La façon dont elle parlait aux élèves, dont elle lui parlait à lui, cette douceur dont elle faisait preuve au quotidien, ça montrait à quel point elle avait un grand cœur. Il n’y avait pas à dire, Charlie était une femme extraordinaire aux yeux du sorcier. Il lui adressa un sourire alors qu’elle lui disait qu’il pouvait être fier de lui, même si son animagus était un blaireau, il maitrisait cet art de la métamorphose et elle avait bien raison, ce n’était pas donné à tout le monde juste à ceux qui le voulaient vraiment et qui travaillaient beaucoup pour y arriver. Comme tant d’autres choses d’ailleurs. Selon Clive, on pouvait presque tout réussir en adaptant sa quantité de travail à sa volonté. Peut-être qu’il n’y avait que lui qui voyait les choses ainsi, lui que la surcharge de travail ne dérangeait absolument pas. Il avait définitivement toutes les qualités des poufsouffle. « Merci. » Il lui souriait toujours alors qu’il l’a remercié dans un souffle.

Il avait avalé la potion que l’infirmière lui avait donné. Elle était parfaitement imbuvable et il n’avait pas encore fini de s’en plaindre. Il aurait pu continuer pendant de longues heures si seulement il n’avait que ça à faire. Mais même si pour l’instant il semblait n’avoir rien à faire de sa journée ou du moins, suffisamment de temps libre pour s’occuper de champignons sur l’un des murs du château, il avait quand même encore bien du boulot qui l’attendait au fond de son bureau. Des copies à corriger et ses prochains cours à préparer. Une quantité de travail conséquente qui lui prendrait certainement tout l’après midi, surtout qu’on n’en doutait pas, il finirait par se perdre dans la lecture d’un ouvrage complet alors qu’il ne serait partit que pour trouver quelques informations essentielle à son travail. Forcément, il y passerait sans doute aussi une partie de la nuit. Il avait beau être travailleur, il était facilement perdurable, il était de ceux qu’une mouche pouvait facilement déconcentrer. Apparemment, la potion que lui avait refilé Charlie pouvait causer des insomnies, il n’en souffrirait pas beaucoup, de toute façon, il souffrait quotidiennement d’insomnies et il n’était sans doute pas le seul. Il n’y avait probablement que les mangemorts qui arrivaient à dormir sur leurs deux oreilles. Il profiterait de cette nuit pour terminer tout ce qu’il n’aura pas eu l’occasion de faire pendant l’après midi, puisqu’il serait déconcentré à la moindre occasion. Le sorcier s’interrogea tout de même sur l’état de santé du gamin qu’il savait sauvé des griffes du mangemort, espérant que ce dernier n’avait pas trop souffert. Ce n’était qu’un gamin, très jeune, troisième année grand maximum. Clive n’était pas du genre à préférer que les mangemorts s’attaquent aux septièmes années plutôt qu’aux premiers, non aucun d’eux ne méritaient le courroux des mangemorts, mais quand même, il fallait être réaliste, les plus jeunes étaient bien moins résistants aux tortures que les plus âgés. Charlie le rassura quant à l’état du petit. Il allait bien, c’était déjà ça. Il haussa les épaules. « La plupart des élèves qui sont ici y sont parce que les parents pensent qu’ils y sont plus en sécurité que chez eux. Ses parents sont peut-être des nés-moldus, des membres de l’ordre ou des sorciers considérés comme des traitres. Le renvoyer chez lui c’est prendre le risque de le renvoyer dans un foyer vide malheureusement. » La plupart des gens avaient fuit leur foyer de peur d’être attaqué par les mangemorts. Beaucoup étaient les sorciers qui avaient envoyé leurs enfants à Poudlard avant de s’enfuir, parce qu’ils pensaient qu’ils y seraient en sécurité. Une belle erreur selon Clive. Il laissa échapper un soupire alors qu’il sentait sa tête retrouver le pseudo ordre auquel il était habitué. « Merci pour ton aide Charlie, je commence à me sentir beaucoup mieux. » Il jeta un coup d’œil à sa montre. L’heure tournait et il avait vraiment beaucoup de boulot. Il se releva d’un bond. « J’ai du travail qui m’attend. » Il enlaça rapidement la jeune femme en signe de salut avant de s’éloigner. « Je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi, encore une fois, tu es ma sauveuse. » Il lui adressa un sourire sincère avant de saisir la poignet de la porte de l’infirmerie. « Encore merci. On se voit ai dîné ce soir. » Après un dernier sourire et un dernier regard, il quitta l’infirmerie, s’éloignant dans les longs couloirs du château afin de rejoindre son bureau. Il reverrait la jeune femme au dîné, ainsi ils le mangeraient ensemble leur saumon fumé !


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