001. NOM DE FAMILLE Ҩ	FENWICK.
002. PRÉNOM(S) Ҩ	HARRY, PERCEVAL, PRESLEY.
003. ÂGE Ҩ	VINGT-SIX ANS.
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG MÊLÉ.
005. EMPLOI Ҩ	HISTORIEN, FORME EN ARCHEOLOGIE DU MONDE MAGIQUE.
006. DIPLÔMES OBTENUS Ҩ	SEPT BUSES SUR HUIT ET A OPTENU TOUT SES ASPICS.
007. BAGUETTE Ҩ	BOIS DE SAULE, CONTENANT UN VENTRICULE DE DRAGON, AVEC DES FACILITES POUR LES SORTILÈGES.
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	UN BALAI, POUR CAUSE DE VERTIGE.
009. PATRONUS Ҩ	UN ÉCUREUIL.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
“it takes a great deal of bravery to stand up to your enemies, but a great deal more to stand up to your friends.”

“l'avis de votre personnage sur voldemort”

Avant de faire sa charmante connaissance, je vous aurais probablement répondu quelque chose comme sa biographie. Ou "il parait que...", et j'aurais terminé par "pour ma part je...". Ceci étant une simple habitude d'historien. Bien que personnellement, j'abhorre cet être au plus haut point pour des raisons diverses et variées. Classique : c'est un psychopathe que je ne rêve point d'avoir pour "maître" et également, car j'ai perdu mon paternel et ma tante à cause de lui et sbires durant la première "guerre".
Néanmoins, désormais ma réponse serait d'avantage du genre : "Qui ça?".

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

Comme mon père avant moi, je n'ai pas hésité à rejoindre l'ordre lorsque j'ai appris que celle-ci avait été reformé. Au grand damne de ma mère qui malgré un statut de moldue était parfaitement au courant de toute cette guerre par le bié de mon défunt paternel. Je ne fais pas parti des justiciers de première ligne, ceux qui tous le monde connait tel que les Weasley, Lupin et d'autres encore mais je ne rechigne jamais à leur donner un coup de main même pour des tâches ingrates ou de banales surveillances. Tant que je n'ai point besoin de fréquenter Saint Harry Potter, tout me va.
Néanmoins, désormais ma réponse serait d'avantage du genre : "C'est quoi? Une secte?".

“comment vit-il la situation actuelle ?”

Etant donné que j'ai bien failli me faire découper en rondelles par un mage noir psychotique et sa servante. Il me semble que je vis plutôt bien la situation. Je continue de marcher, d'aller de l'avant - bon je tangue un peu parfois. Je tente de garder en tête le but de ma vie. De ne pas trop me faire remarquer. Et surtout, je tente de me rappeler qui je suis et ce que je fais agonissant dans une ruelle sombre et malfamé de Londres, dégoulinant de sang et un foutu bout de bois à la main!
Mais à part ça, je le vis très bien. Merci.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	SOUL DAMAGE.
002. TON ÂGE Ҩ	DIX-NEUF ANS.
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	IAN SOMERHALDER.
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTÉ.
005. TON AVIS Ҩ	IL EST BEAU, CLASSE. J'ADHERE, J'ADORE!
006. TROUVÉ PAR Ҩ	BAZZART.
007. DERNIER MOT Ҩ
008. CONNEXION Ҩ	3 A 6J/7

Δ Δ Δ Lorsque j'ouvre les yeux, je ne vois rien. Rien hormis peut-être ces deux points blancs dont je n'ai qu'un vague souvenir mais, qui ne m'ont point quitté. Le paradis et l'enfer ne peuvent pourtant être aussi aveuglant, notre monde n'étant lui-même pas éblouissant. Mon esprit vagabonde lentement dans le brouillard qui l'entoure. N'ai-je dont plus de corps? Suis-je endormi? Non, pas endormi, suis-je mort?

Le brouillard s'épaissis tandis que je tente de rattraper mes souvenirs. Mes tentatives pour me calmer se révèlent insuffisantes mais ma peur à l'avantage de dissiper rapidement la brume devant mes yeux ainsi que de mes autres sens.

Je m'aperçois alors de mon erreur. J'habite toujours mon corps et celui-ci, bien qu'encore engourdis semble habité par une immense douleur. Je sais ou plutôt, je sens qu'elle va m'assaillir et que je vais souffrir comme jamais je n'avais souffert avant.

La première chose que je remarque est que je suis allongé sur le sol. Face contre terre ce qui est étrange au vu du reste de ma position. J'essaye d'identifier calmement chacun de mes membres mais la douleur constante de ma nuque ne cesse d'augmenter et me déconcentre. Elle hausse et hausse encore. J'halete littéralement, ou plutôt, j'aimerais. Mon cerveau et ma gorge ne semble plus communiquer.

Un courant électrique me parcourt et j'écarquille brutalement les yeux sous la violence du choc. Je me souviens.

Je me trouvais au Chaudron Baveur, à la transition entre le monde moldu et le chemin de traverse. Je revenais d'une mission banale de surveillance pour l'Ordre et m'apprêtais à rejoindre mon appartement pour rattraper quelques heures de sommeil.

Ma baguette de saule à la main, je n'eus pas le temps de frôler les briques du mur de séparation qu'ils étaient sur moi. Pas des mangemorts, uniquement des rafleurs mais dans ma situation cela ne faisait aucune différence. J'avais beau être de sang-mêlé et non né-moldu, mon nom de famille était ce qu'il était. Il était officiel que mon père, Benjamin Fenwick et sa soeur, Bathilda avaient combattu Celui-dont-on-ne-doit-prononcer-le-nom lors de la première époque noire.

J'avais tenté de me défendre mais ils avaient agit stratégiquement, me retenant tout en se plaçant dans mon dos. Je fus néanmoins étonné qu'aucun d'eux n'utilisent la magie. Un sortilège d'entrave et j'aurais été maitrisé dans les plus brefs délais.

Les attaques se firent physiques. Coups de poings, coups de pieds dont l'un d'entre eux me plia en deux au point de me faire mettre les genoux au sol. La vue brouillait j'avais cherché ma baguette qui m'avait échappé quelques instants plus tôt et gisait à moins d'un mètre sur le sol. Dans un dernier élan, j'étais parvenu à m'en emparer avant de jeter un ultime sort et de sombrer dans l'inconscience.

Doucement, j'ouvre de nouveaux les yeux et me retrouve face à face avec un plancher en bois poli. Ancien et élégant. Et surtout, étrangement familier. Je laisse mon regard glisser sur la surface qui m'est visible et fini par trouver ce que j'y cherche : une infime incrustation. KHJ.

Cette information me permet de reconnaître sans doute possible l'endroit ou je me trouve. Qui eut cru que le narcissisme du vieux Kenneth Jenkins , ancien membre du Magenmagot trouverait un jour une quelconque utilisation. Mille deux cents planches gravés de ses initiales.

— (...) Endoloris!

Je n'eus pas le temps de réagir à l'entente soudaine de cette voix que le sort me touchait déjà de plein fouet. Plié en deux par la douleur, je roulais sur le côté et me retrouvé un moment aveuglé par le lustre situé juste au dessus de moi.

— Alecto, soit gentille avec notre invité... aide le donc à se redresser., ordonna une voix suave que je n'identifiais pas.

— Bien, maître., répliqua une voix féminine et glaciale.

Mon esprit cherchait à se sortir du brouillard qui l'avait envahi et moi-même, je subissais. D'un nouveau sort, je sentis mon corps être élevé tandis que l'on m'attachait fermement les poignets. Je m'obligeais à me concentrer d'avantage lorsque mes pieds quittèrent le sol.

A mon côté, baguette en main, se tenait une jeune femme blonde vêtue de noir. Son regard hautain braqué sur mon corps n'annonçait rien de bon, tout comme la marque qui parcourait son avant bras. La marque des ténèbres.

Un frisson d'horreur me parcouru l'échine lorsque je comprenais enfin pleinement la situation dans laquelle je me trouvais. Me détournant de mon bourreau, je levais les yeux vers la silhouette qui nous observait quelques mètres plus loin, confortablement installé dans un fauteuil.

— On dirait que vous êtes enfin réveillé., articula-t-il avec une touche sarcasme dans la voix. Nous allons pouvoir commencer à discuter.

Je fis mon possible pour rester de marbre face à ses paroles. Malheureusement, je n'en restais pas moins tétanisé.

— A qui avons-nous affaire déjà?, interrogea-t-il sur un ton particulièrement désinvolte.

— Harry Fenwick, maître. Historien et soupçonné d'être un membre de l'ordre tout comme son père., répondit calmement la blonde.

Harry. Voilà des années que personne ne m'avait appelé ainsi et pour cause, j'en avais changé pour Perceval des que j'en avais eu l'occasion.

— Benjamin Fenwick... Je me souviens de lui... Très joli feu d'artifice., rit-il.

Serrant la mâchoire, j'eus un mouvement - stupide - pour lui sauter à la gorge. Mouvement vain étant donné les chaînes qui me tenaient dans le vide au centre de l'ancienne salle à manger des Jenkins.

— Diffindo!

Je reçois le sort en plein visage de la même manière que si elle m'avait entaillé la joue avec un poignard. La douleur est lensinente mais je fais mon possible pour l'ignorer.
— Allons, allons, allons. A quoi bon s'énerver ainsi? Nous avons tout notre...

Il s'interrompt soudain, son regard fixé sur ma joue. Une étincelle passe dans son regard reptilien et une vague de peur m'assaille. Je réalise seulement maintenant mon erreur.

— Tiens donc... Alecto, quel est le dernier sortilège qu'a jeté notre invité?

Très légèrement surprise, elle n'hésite cependant pas à récupérer ma baguette sur le sol pour vérifier à l'aide d'un sortilège la réponse à cette question. A mon grand damne, celle-ci révèle sans rechigner son secret.

— Regeneracium. Très intéressant sort que voilà. Très ancien également et horriblement délicat. Mais quand il est réussi, une véritable merveille. Peu importe le nombre de blessure tant que celle-ci n'est pas directement mortelle tel qu'un avada... Il répare le corps, régénère les cellules, fabrique de nouveaux organes si besoin est... Et quelle souffrance constante pour celui qui le subit... Je pense... Que l'on va pouvoir s'amuser un peu...

16 HEURES PLUS TARD ;

Je ne sais pas ou je suis. Les ruelles se succèdent et se ressemblent toutes. Le sang coule sans discontinue de mes blessures. D’où viennent-elles, je n'en ai pas la moindre idée et pire encore, je ne sais plus qui je suis...