lavande annabeth brown

DIX SEPT ANS ◊ SANG MÊLÉ ◊ « HOGWARTS IS OUR HOME »

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY lavande annabeth brown SEPTIÈME ANNÉE GRYFFONDOR

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Lavande, sculptée avec soin du bois d'un pommier, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : sa précision, sa douceur, et son instincts sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en incantation. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'un crin de licorne qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Voldemort la terrorise. Pour elle, il n’est qu’un monstre, ce n’est plus un homme, plus un être mais une entité terrifiante et immonde. Jamais elle ne se retrouvera devant lui, elle se faisait intérieurement cette promesse. Elle sait qu’elle ne devrait pas, que d’avoir peur d’un nom est un chose absurde, pourtant chaque lettre lui donne la chair de poule. Obliger les gens à taire son nom c’est comme si on oubliait même qu’il n’a été un jour qu’un homme. La plus belle ruse du diable est de faire croire qu’il n’existe pas. Et cela, Voldemort l’oubli. [/b]

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ?L’ordre du phénix est ce qu’elle voit comme ça consécration, elle se doit d’y entré. Elle doit être un membre. Chaque geste, chaque mouvement est un pas de plus vers ce but. Quand la guerre éclatât, l’ennui fut surpassé par la peur. Doucereusement, elle s’infiltra dans ses veines. Refusant de se soumettre, non pas par conviction, mais simplement pour la justice, Lavande prit les armes. Un des premiers membres de l’armée de Dumbledor, pour elle, l’ordre n’est que la suite logique des choses. [/b]

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ?Lavande a un secret. Un terrifiant secret. La situation actuelle l’amuse. Non pas dans le sens où vivre dans la peur est une chose follement agréable et ludique, mais dans celui qu’enfin elle ne s’ennuie plus. Elle n’a plus de temps pour ça. Elle joue encore et toujours aux imbéciles mais cette fois dans un autre but, leur faire oublier à eux l’horreur de la situation. Un horreur dans lequel elle se complait. Lavande est une enfant du chaos, rien n’est plus juste que ça. La destruction pure. [/b]

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ heresia auctor. TON ÂGE Ҩ dix sept printemps. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ holland roden. PERSONNAGE Ҩ personnage de la saga. TON AVIS SUR PI Ҩ c'est beau, c'est simple, c'est free, ça a tout compris . OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ bazzart. CONNEXION Ҩ écrire ici (xxj/7). UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ VOUS SEREZ TOUS MES ESCLAVES !

"QUAND UNE RUMEUR NE MEURT PAS, CE N'EST PAS UNE RUMEUR."

Il y a toujours eut deux Lavande. Celle publique que tout le monde connait, et l’autre, celle qu’elle nous cache. Elles ne sont pas si éloigné que ça, car au fond, elle reste toujours une même personne. Elles se sont détachées arrivé à Poudlard. Comme si cet évènement avait bouleversé son être tout en entier. Bien que quitter le foyer familial peut être déroutant, personne n’aurait réellement été préparé à ce qu’il se passa. On pourrait caractériser son cas de dédoublement de la personnalité, mais personne n’avait jamais trouvé ça assez grave pour en inquiéter les médecins, ou est-ce simplement car personne n’en a rien à faire. La gamine qu’elle était, douce, gentille, serviable, et polie se mua en une autre impétueuse, capricieuse et avec un pistolet à la place de la bouche. Ses parents dépassés par les évènements la laissèrent un peu pour compte, pensant dans un espoir vain que leur adorable petite fille allait redevenir normale du jour au lendemain sans qu’ils aient à rien faire. Tu n’es pas ma fille ! Ma fille n’aurait jamais pleuré parce que je lui ai acheté une robe verte au lieu d’une robe bleu ! Peut-être parce que tu ne connais pas ta fille ! Devant tant de négligence, et d’indifférence, elle les haït. Plus que tout autre chose, rêvant de faire de leur vie un enfer.

En vérité, Lavande passa sa première année seule, gagnant en elle un monstre de rancune. Ses doux parents qui lui avaient promis mont et merveille sur cette école, sur les amitiés qu’elle y ferait et sur les joies qu’elle y passerait avaient mentit. Tout ce bonheur tant attendu fut une simple fumisterie. Une pauvre gamine rejetée par ses camarades. T’es qui toi ? Je suis Lavande, et toi ? Quelqu’un qui te connait pas. Tout façon t’as un nom nul, et je ne traine pas avec les gens qui ont un nom nul ! Dégage Pissenlit. Dans les limbes de son lit, le soir sortait ses larmes, caché, enfouie. Elle se refusait de les laisser gagner, d’avouer une seule seconde qu’elle avait mal.

Lors des premières vacances, elle rentra les pieds trainant, sa valise trop lourde, alors qu’elle espérait voir ses paternelles souriant l’attendant avec impatience, elle n’eut qu’une vieille femme bedonnante, sa voisine, pour lui faire le transplanage d’escorte. Viens, ma petite, ton papa et ta maman travaillent au ministère, ils n’ont pas pu venir. Aller on rentre à la maison. Coincé entre sa famille peu présente, et un Poudlard froid, elle ne réussit pas à sourire, s’emmurant dans le silence. Un an et sept mois de silence. Les professeurs même eux n’arrivait pas à faire sortir un mot de sa bouche. Miss Brown, vous êtes si imbécile qu’aucun mot ne puisse sortir de votre bouche ? Ou ai-ce une façon de vous rendre intéressante ? Un an et sept mois seule. Écoutant les conversations des autres sans jamais en faire partie, regardant la vie sans la vivre. Une petite fille oubliée voilà tout ce qu’elle était.




Quand enfin, elle reprit gout aux autres, quelque chose la frappa. Une de ses choses qui vous transforme, qui vous façonne. L’ennuie. Lavande Annabeth Brown s’ennuyait. Tout lui fessait ressentir de la plus grande lassitude. Les cours, les discutions des autres, et la vie en elle-même. Alors, elle fit tout pour ne pas s’ennuyé. Elle devint ce que tout le monde crut. Une abrutit sans cervelle qui n’est bonne qu’à maudire les autres. Juste pour donner un peu de piment dans sa misérable vie. Mais Lavande n’avait jamais été stupide, pour ainsi dire, elle fut une de ses gosses qu’on nomme surdoué. Tout était trop facile, tout était d’une stupidité infantile. Elle refusait qu’on sache, cachant comme un secret l’intelligence qu’elle avait en elle. Elle combattit le feu par le feu. Dans cette masse d’imbécile, elle serait leur reine. Celle qu’ils aimeraient tous, celle qui serait pour eux, le pâle reflet de leur propre insignifiante existence. Sa faiblesse était sa puissance, son arrogance son masque. Elle n’était rien qu’une gamine qui jouait à la grande. A trop jouer, on finissait par se brûler. Ron Weasley fut une de ses pierres de son empire. Elle l’agrippa au moment où il était le plus haut, là où il pourrait lui être le plus utile. D’elle ils avaient tous vu une gryffondor qui aurait dû être blaireau, mais ce n’est pas de jaune qu’avait voulu la vêtir le choixpeau, mais de vert. Oui, Lavande Brown n'était pas ce qu'elle paraissait être.

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