pansy e. parkinson

17 ANS ◊ SANG PUR ◊ HOGWARTS IS OUR HOME

HOGWARTS SCHOOL OF WITCHCRAFT AND WIZARDRY pansy evelynn parkinson 7e ANNÉE SLYTHERIN

"THE WAND CHOOSES THE WIZARD"

C'est une baguette bien spéciale que celle de Pansy, sculptée avec soin du bois d'une vigne, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : souplesses, justesse, rapidité sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges offensifs. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phénix qui lui donne toute sa puissance.

I. DONNE-NOUS L'AVIS DE TON PERSONNAGE SUR VOLDEMORT : Lord Voldemort est un grand sorcier, ca personne ne peut le nier. Il est puissant et adulé, tout ce que Pansy désire devenir. La jeune sorcière ayant toujours vécu dans la pure tradition sorcière de sang-pur, personne ne niera le fait qu’elle est du côté du Mage Noir. Elle suivra sa famille coûte que coûte, et puisque sa famille est du côté du Seigneur des Ténèbres… Mais il y a Katherina, sa sœur, qui s’est rangée contre Voldemort, avec l’ordre et qui vient de foutre toutes ses convictions en l’air. Alors Pansy doute. Et si le sorcier n’était pas aussi puissant que ce que l’on pouvait imaginer ? Et s’il venait à perdre. La jeune fille ne sait plus, avec le moment du choix qui s’approche de plus en plus, elle n’a toujours pas pris sa décision. Suivre ses parents aux côtés de Voldemort ou sa sœur dans la Rébellion ? Elle ne sait plus que penser. Le Seigneur des Ténèbres pourrait bien gagner, il pourrait perdre aussi. Tiraillée entre ces deux options, Pansy pense de plus en plus à prendre la fuite et à partir dans un pays loin de l’Angleterre. Alors en attendant, elle profite du peu de temps qu’il lui reste en foutant sa vie en l’air.

II. QUE PENSE TON PERSONNAGE DE L'ORDRE DU PHÉNIX ET DE SES MEMBRES ? Au départ, l’Ordre du Phénix n’était qu’une association de fous qui lui ont pris sa sœur et l’ont embobiné pour l’emmener loin de sa famille. Ayant de nombreux à priorisa par rapport à cette organisation, Pansy doute cependant de plus en plus. Et s’ils n’étaient pas aussi fous que ce qu’on voulait bien lui faire croire ? Toutes ses bases ont volé en éclat aussi sec qu’ils ont réussi à amener sa sœur dans leur camp. Depuis ce jour-là, Pansy ne les vois plus du même œil. Alors qu’elle les percevait au paravent comme des perturbateurs au règne suprême et inévitable de Voldemort, à présent ils représentent une alternative à la prise de pouvoir du Seigneur des Ténèbres. Des fous suicidaires ou des Héros ? Elle ne sait plus qu’en penser.

III. COMMENT TON PERSONNAGE VIT-IL LA SITUATION ACTUELLE ? Entrer son nom dans l’Histoire, elle en a toujours rêvé, mais pas de cette manière. Tuer des gens, elle n’y a jamais été confrontée, mais elle n’a pas peur de le faire. Elle ignore cependant toujours qui elle devra tuer. Sa sœur et ses camarades de classe ou ses amis et sa famille ? Elle a peur, peur de faire le mauvais choix. Mais elle n’a pas peur de se battre… Si Voldemort venait à gagner, elle sait qu’elle n’aura pas de soucis à se faire, sa famille est une grande lignée de sang pur qui la protègera si elle fait son petit numéro de fille perdue mais l’envie de rejoindre la rébellion est de plus en plus forte. Car malgré la puissance que Voldemort gagne chaque jour, Pansy a un pressentiment, un mauvais pressentiment.

"PLACE AU MOLDU DERRIÈRE L’ÉCRAN"

TON PSEUDO Ҩ CRIPSOW. TON ÂGE Ҩ top secret . CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ kaya scodelario. PERSONNAGE Ҩ de la saga. TON AVIS SUR PI Ҩ il m'a manquéééé. OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Ҩ ancienne version, j'étais... bah pansy hein. CONNEXION Ҩ 7/7 sauf exceptions. UNE ULTIME BAFOUILLE Ҩ LONGUE VIE A PI .

"THERE'S MANY THINGS I WISH I DIDN'T DO"

Citation :

Pansy Parkinson, sorcière descendant d’une longue lignée de sang pur, petite dernière désirée par sa famille. Née un certain trois décembre, cette date est loin d’être anodine. En effet, son caractère est aussi froid que l’hiver, saison qui l’a vue naître. Elève studieuse, brillante et trop bien élevée, pourtant populaire et convoitée, Pansy se fiche de tout. Eternelle désintéressée, elle cultive avec soin l’image d’une fille modèle qu’elle n’est pas. Pansy, elle est compliquée, mais tellement simple. C’est une jeune femme formée de contrastes, un véritable oxymore à elle toute seule. Aussi fragile que forte, aussi bavarde que discrète, silencieuse mais bruyante. C’est ainsi que se révèle son côté énigmatique et mystérieux. Insolente, elle l’est, pour sûr, grande gueule et moqueuse, elle est la plus instables des personnes qu’il vous sera donné de rencontrer.

DECEMBRE 1990 ▽ MANOIR PARKINSON « miss parkinson, cessez de rêver et remettez-vous à votre exercice. » levant les yeux au ciel, Pansy soupira. La vie de seconde héritière d’une grande famille de sang pur était quelque chose de très peu enviable. Lever à neuf heures pour prendre un petit déjeuner souvent trop copieux pour enchaîner avec une leçon de trois heures de piano avant d’aller déjeuner pour recommencer à suivre divers cours inintéressants jusqu’à dix-neuf heures du soir. Tout cela pourquoi ? Pour être digne du nom qu’elle porte. « miss parkinson, que vous arrive-t-il ? n’êtes-vous pas censée travailler votre grammaire ? » Pansy grogna mais ne dit rien, se remettant à gratter sur son parchemin. « bien, vous voyez que… » mais le professeur s’arrêta net de parler. Pansy, étonnée que quelque chose ait pu détourner son attention, releva les yeux pour découvrir sa mère qui venait de pénétrer dans la pièce. Elle souriait de son habituel sourire énigmatique. Aussi mystérieuse que sa fille, elle avait pris un grand soin à l’éduquer de telle manière à ce qu’elles se ressemblent étrangement. Mrs Parkinson, une grande dame perchée sur dix centimètres de talon haut, des jambes sans fin, physiquement parfaite, elle impressionnait tous les gens autour d’elle par sa grâce naturelle. Pourtant Pansy n’éprouvait rien pour cette femme qu’un profond dégoût. Votre mère n’était-elle pas censée vous épauler ? Vous soutenir ? Jamais Mrs Parkinson n’avait fait ca, elle passait juste son temps à pousser sa fille dans ses retranchements. Et pour ca, Pansy lui en voulait. Elle tenait une lettre dans sa main droite qu’elle tendit à sa fille. « tu es loin de la mériter mais je ne m’opposerai pas au choix d’Albus. » Elle lança un regard indéchiffrable à sa fille puis quitta la pièce. « Chère Mademoiselle Parkinson, nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard. Veuillez croire, chère Mademoiselle Parkinson, en l'expression de nos sentiments distingués. Minerva McGonagall, directrice-adjointe. » Ces quelques lignes réussirent à arracher un mince sourire à la jeune fille qui regagna bien vite son masque de désintérêt total. Tout était merveilleux chez la famille Parkinson après tout.

SEPTEMBRE 1990 ▽ GARE DE KINGS CROSS « johanna aies au moins la décence d’attendre ta sœur » s’exclama la mère des deux jeunes filles. Johanna Parkinson, aussi brune, grande, fine et élégante que sa petite sœur. On remarquait leur air de famille d’un seul coup d’œil. Mais elles ne se ressemblaient que physiquement. Effectivement, là où Pansy était soumise à sa mère, Johanna était une rebelle qui n’écoutait que son cœur. Il n’y avait donc aucun doute quant à la préférence de ses parents pour la cadette. Pourtant elle avait suivi la tradition familiale et avait été envoyée à Serpentard. Evidemment, Pansy espérait atterrir chez les verts et argents également. « oh, regarde, il y a le jeune malfoy là bas. Essaye de bien t’entendre avec lui, pansy. » Pansy soupira. Avec sa mère, elle ne savait jamais de quel pied danser. Certains jours, elle lui promettait un grand avenir au bras de l’héritier malfoy et parfois, comme le jour de son anniversaire, elle la prenait de haut et lui criait qu’elle n’était qu’une bonne à rien. En réalité, elle était contente de quitter le manoir familial. « va lui parler. » Pansy sourit en voyant Johanna lever les yeux au ciel puis se dirigea vers l’entrée du train et lança à sa mère « ne t’inquiète pas, je lui parlerai dans le train. » puis elle disparut.

SEPTEMBRE 1990 ▽ POUDLARD EXRESS « salut, je peux m’asseoir ? » demanda Pansy en s’asseyant directement en face du jeune homme qui se tenait là. Il acquiesça silencieusement alors qu’elle posait sa valise sur le porte bagage. Pansy regarda le jeune homme en face d’elle. Il n’avait pas d’écusson sur son uniforme, il était donc en première année. De taille moyenne, brun, yeux bleus, il lui semblait l’avoir déjà vu quelque part. Peut être s’étaient-ils déjà rencontrés durant l’une des fêtes données par ses parents ? « salut, moi c’est théodore. Théodore Nott. » « enchantée. Pansy. Pansy Parkinson. on se connait non ? » Il hocha la tête « on s’est croisés à plusieurs reprises pendant des réceptions. » « mmh… oui je vois. Tu dois être un ami de malfoy alors ? » « non pas vraiment… » « sinon tu penses aller dans quelle maison ? » « serpentard. Enfin je ne sais pas trop, ma mère était à serdaigle. Et toi ? » « Serpentard, tradition familiale oblige. » Ils continuèrent à bavarder jusqu’à ce que la porte du compartiment s’ouvre sur un garçon aux cheveux blonds si pâle qu’il semblait malade. Mais ni Théodore ni Pansy ne s’inquiétait de son état. Il était toujours blanc comme un ligne. « Parkinson, Nott. » Et sans rien demander, il s’assit à côté de la fenêtre, près de Théodore et en face de Pansy. « Malfoy. » grogna Théodore en guise de salutation. Pansy, elle, se tut. Que dire de toute manière ?

SEPTEMBRE 1990 ▽ GRANDE SALLE DE POUDLARD « Pansy Parkinson » Théodore avait été envoyé à Serpentard, Drago aussi, mais sans grande surprise. A présent, elle pouvait sentir les regards se braquer sur elle. Elle vit même Johanna cesser de parler pour l’observer. McGonagall posa le Choipeaux sur sa tête et elle entendit alors un murmure dans sa tête. « Parkinson… Esprit vif, élégance non cachée, un certain goût pour l’insolence mais suffisamment rusée. Aucun doute. SERPENTARD ! » Une salve d’applaudissements suivirent la declaration du Choipeaux. La jeune fille alla se placer à côté de Théodore, un grand sourire sur les lèvres. Sa mère ne pourrait pas se plaindre cette fois-ci.



JANVIER 1992 ▽ SALLE COMMUNE DES SERPENTARDS « alors Nott, toujours pas décidé à devenir ami avec malfoy ? » demanda pensivement pansy, assise dans l’un des fauteuils émeraudes de la salle commune. Théodore grogna puis releva ses yeux de son livre. Il détestait qu’on le dérange lorsqu’il lisait. Il répondait toujours par une remarque blessante pour faire fuir son interlocuteur. Sauf lorsqu’il s’agissait de Pansy. Elle avait su devenir son amie sans qu’il ne le demande. D’ailleurs il la considérait comme sa seule véritable amie. « non, je ne compte pas devenir ami avec malfoy pour la simple bonne raison que je n’ai pas l’intention de me faire dominer par un petit gringalet décoloré de son espèce. » pansy laissa échapper un rire qui attira les regards étonnés de blaise zabini et de daphnée greengrass. Elle les fusilla du regard avant de répondre d’une voix grave « ouais je comprends. Pour moi tu seras toujours bien plus impressionnant que malfoy. » Elle lui sourit sincèrement puis le quitta, le laissant interloqué devant une telle déclaration. Il savait que Pansy aimait faire des sorties théâtrales mais généralement elles n’impliquaient aucun compliment destiné à quelqu’un d’autre qu’elle-même.

NOVEMBRE 1994 ▽ COULOIR DU TROISIEME ETAGE « tu vas me dire ce qu’il y a entre toi et nott à la fin ? » demanda Evan James, une mine agacée sur le visage. Il regardait pansy avec intensité, ses yeux sombres faisant frissonner la jeune Serpentard. « parce que je comprends pas ce que tu peux lui trouver. » « y a rien entre lui et moi, james. C’est juste un ami, rien d’autre. » « mon cul, arrête de te foutre de ma gueule, parkinson. » « et toi arrête de croire que je trompe à chaque fois que je parle à quelqu’un ! » Sur ce, elle lui lança un regard noir et s’en alla. Lorsqu’elle rejoignit la tour d’astronomie où elle avait l’habitude d’aller lorsqu’elle était énervée, elle eut la surprise d’y trouver drago malfoy, adossé au mur. « pansy ! quelle bonne surprise. » « ce n’est pas partagé, malfoy » elle avait beaucoup de mal à contenir sa frustration lorsqu’elle était proche de drago. Ils avaient tenté de s’entendre mais ils finissaient toujours par se crier dessus. « pourquoi on est ennemis ? » « parce que tu veux toujours tout dominer, avoir raison quand tu as tort et que je n’aime pas perdre ? ce n’est qu’une suggestion » « et à cause de nott. » « qu’est-ce que théo à a voir là-dedans ? » « mes parents ont toujours pensé que je me marierai avec toi. Et toi, tu continues à m’éviter et à préférer nott. Même james est mieux que moi à tes yeux. Qu’est ce que j’ai fait ? » « théo est beaucoup plus gentil avec moi. Et james… » Elle hésita « Tu n’aimes pas Evan. » Acheva Drago, un mince sourire aux lèvres. « Je… Je ne sais pas. Non, je ne crois pas que je l’aime. » « Ca te dirait de venir au Bal de Noël avec moi ? » Pansy cligna des yeux. Une fois, deux fois, trois fois. Avait-elle bien entendu ?

DECEMBRE 1994 ▽ GRANDE SALLE « tu es ravissante, parkinson. » « on pourrait aussi arrêter de s’appeler par nos noms de famille, malfoy. » « ca me va aussi. » « au fait, je crois qu'evan te fais la gueule. » « ouais il m’a pas adressé la parole depuis qu’il sait qu’on va au bal ensemble. » « et théo ? » « théo ne m’a jamais parlé, pansy. » « ah oui, c’est vrai. » « on danse ? » Elle hocha la tête et attrapa la main du Serpentard. Elle commençait à l’apprécier depuis qu’il avait cessé de toujours avoir raison mais elle lui préférait toujours théo. Théo et son sourire énigmatique, ils ressemblaient d’après Drago. Ils avaient ce même don pour faire naitre le désir chez quelqu’un mais ne jamais le contenter. « tes parents pensent vraiment que nous allons nous marier ? » « ouais, c’est pathétique. Je préfèrereais choisir moi-même la femme que j’épouserai. Même si tu n’es pas si mal que ca » « les miens aussi le voudraient. » « mais il y a théo. » Pansy le fusilla du regard mais n’ajouta rien. « on pourrait arrêter de le faire revenir dans la discussion ? » « ouais. Ouais on va faire ca. » C’est à ce moment que le morceau s’arrêta et que Théodore apparut derrière Drago. « je peux te l’emprunter ? » Drago sourit à pansy l’air de dire qui avait raison ? mais il s’en alla, laissant le champ libre à Théo. « tu es magnifique ce soir. » « merci, tu n’es pas mal non plus. » il était vrai qu’avec son costume bien coupé et une cravate assortie à ses yeux, elle ne pouvait qu’approuver. « tu es venu avec malfoy. » « et toi avec greengrass » Ils se regardèrent quelques instants dans les yeux avant de soupirer dans un ensemble si coordonné qu’il ne pouvait pas ne pas avoir été prévu. « et pourtant aucun de nous ne désirait ca. » « mais on l’a fait quand même » « parce qu’on est des trouillards. » « j’aurais aimé venir avec toi, pansy. » « et moi avec toi, mais c’est trop tard, théo. » Sur ces mots, le morceau se stoppa pour laisser place au discours de Dumbledore. Pansy choisit alors de rejoindre Drago, sans un regard en arrière.

MAI 1995 ▽ COULOIR DU DEUXIEME ETAGE « pansy, est-ce que toi et drago vous êtes… ensemble ? » demanda théo avec un air inquiet. « heu… non, et on le sera jamais puisqu’il a décidé de s’intéresser à quelqu’un d’autre que moi. Pourquoi ? » théo ne put retenir un grand sourire « comme ca » mais pansy n’était pas dupe « et tu en dis quoi ? » « oh, je dirais pas que c’est dommage hein » pansy sourit doucement à son tour « ouais je dirais pas ca non plus » ils se regardèrent quelques instants avant d’éclater de rire, bêtement. Mais ils ne dirent rien. Leur relation était faite de non-dits, de sous-entendus qu’ils étaient les seuls à comprendre. Tous s’accordaient à dire qu’ils étaient faits l’un pour l’autre, même drago. et poutant aucun ne se décidait à faire le premier pas, parce que leur relation était comme ca. Beaucoup pouvaient dire qu’ils étaient ensemble, ils ne l’étaient pas, mais ils n’étaient pas prêt d’être avec quelqu’un d’autre parce qu’ils s’aimaient, mine de rien.

AOUT 1996 ▽ MANOIR PARKINSON « mrs parkinson vous fait dire qu’il y aura une réception ce soir au manoir et que les malfoy et les james seront invités ainsi que mr nott et son fils. Entre autres mais qu’ils sont les seuls susceptibles de retenir votre attention. » « par les james elle comprenait qui ? » « mrs james, son mari et son fils. » « merci james. Vous pouvez disposer. » Le majordome s’en alla alors que pansy jurait bruyamment. « que sa passe-t-il petite sœur ? » demanda johanna en entrant dans la chambre de Pansy. « Mon ex hyper jaloux, mon supposé futur mari et mon meilleur ami avec qui j’entretiens une relation étrange viennent au manoir ce soir. Tous les trois. En même temps. Ca va être l’enfer. » « entre nous, je peux m’occuper de l’ex si c’est james. » Pansy écarquilla les yeux mais lâcha quand même un « ca serait super, merci. » Le soir arriva trop vite au goût de la jeune fille qui se retrouva bien vite assise à une longue table, drago à sa gauche et théo à sa droite. « alors… » commença Drago. « essaye pas de faire la conversation, malfoy, ca servira à rien, on va juste attendre en silence que cette soirée se finisse, d’accord ? » « théo ! » « bah quoi ? c’est pas parce que tu sais qui est revenu et qu’on est tous les deux dans la bouse de dragon qu’il faut qu’on devienne amis. » Et voilà, le sujet avait été lancé. Pansy savait très bien pourquoi ses parents avaient organisé une réception. Pas juste pour le plaisir mais pour s’organiser face au retour du Seigneur des Ténèbres. « t’es loin de savoir ce que j’endure, nott. » « bien sur, le pauvre petit malfoy souffre bien plus que les autres ! le monde tourne pas autour de toi ! » « ne parle pas de ce que tu ne sais pas ! » « les garçons arrêtez ! » Ils se lancèrent des regards gênés puis se turent. Heureusement que johanna occupait james.

SEPTEMBRE 1996 ▽ GRANDE SALLE « ca va pas drago ? » demandait daphnée greengrass de son habituelle voix chantante. Ah daphnée… s’il n’y avait pas eu pansy, il serait tombé dans ses bras dès le début. Mais il avait eu le béguin pour la jeune parkinson et daphnée s’était trouvée être une garce de première. Après avoir compris que lui et pansy n’avaient aucun avenir à cause de son affection pour théo, drago avait décidé de ne plus s’occuper des filles tant qu’il ne serait pas certain de survivre à la guerre. Car c’était certain à présent, la guerre était bien là. « si, si. » mais il n’échappa pas au regard appuyé de pansy qui l’observait, l’air inquiète. Finalement il la vit détourner le regard et entamer une longue discussion avec théo, discussion qu’elle était la seule capable de tenir. « et sinon toi les vacances théo… » « peut aller. Toi ? » « peut aller. On est tous dans la même merdre, théo. » « je sais »

JANVIER 1997 ▽ DORTOIR DES SIXIEME ANNEE « hey pansy, t’en veux une ? » demanda tranquillement Théo en s’approchant de son amie, lui tendant une cigarette. « depuis quand tu fumes théo ? » « depuis que je sais que je vaix foutre ma vie en l’air de toute façon. » Pansy soupira. Théo, elle, drago, ils étaient tous dans le même bateau, contraints de se battre pour une cause qui ne les concernait pas. « donne » et elle attrapa sa première cigarette, la première d’une longue lignée. En quelques semaines, elle commença à penser qu’elle pouvait ne pas sortir vivante de cette guerre sans fin. Alors elle commença à boire, expérimentant d’astucieux mélanges, tous plus forts les uns que les autres. Et personne ne se rendait compte que doucement, pansy se tuait. A petit feu pour rester discrète, personne ne vint jamais lui demander ce qu’elle faisait, debout si tard le soir, seule, enfermée dans son dortoir de préfète. Seul théo savait. Parce que théo avait appris à lire entre les lignes mais il ne disait rien. Parce qu’il ne pouvait pas venir et lui dire que tout allait bien, qu’elle allait s’en sortir. Elle lui aurait ri au nez parce qu’il n’y croyait pas lui-même. Alors il continua à la regarder mourir doucement sans rien dire.



JUIN 1997 ▽ GRANDE SALLE « dumbledore est mort » « hein ? » « dumbledore est mort » la voix de pansy était calme, ce n’était qu’un murmure. Elle avait un petit sourire en coin alors qu’elle était assise sur le lit de théo, le visage complètement serein. « c’est rogue qui l’a tué, son corps et en bas dans la cour. » le cœur de théo rata un battement. « quoi ?! » et il tomba, évanoui.

AOUT 1997 ▽ MANOIR PARKINSON « je sais plus quoi faire, pansy, papa veut que je rejoigne les mangemorts. » « pourquoi tu le fais pas ? » « parce que je … je… je suis pas d’accord avec leurs idées ! » Johanna hurlait à présent, heureusement qu’il y avait un sort de silence autour des murs de sa chambre… « pourquoi tu me dis ca ? ca me regarde pas. » pansy parlait d’une voix légèrement cassée mais elle paraissait tout à fait normale, comme si elle se contrefichait de l’état dans lequel était sa sœur. « parce que… j’ai pris une décision. J’ai fini mes études, demain je pars du manoir, je m’enfuis et je vais rejoindre mes amis dans l’ordre du phenix. » même pansy ne put pas retenir l’expression effarée qui se dessina sur son visage pendant un millième de seconde. Et puis elle retrouva son masque désintéressé. « d’accord. » et elle quitta la pièce pour retrouver sa chambre. Sur le bureau se trouvait une nouvelle lettre, déposée par un grand hibou brun. « salut Jack. » Jack était le hibou de théo, pansy savait déjà ce que disait la lettre. Les nott s’enfuyaient pendant un temps, le temps que le climat se re-stabilise en angleterre. ma très chère pansy, père et moi nous rendons en amérique pour un temps. Histoire de revenir lorsque le climat sera redevenu plus stable. Je te retrouverai bientôt, j’espère. Avec toute mon affection. Théo au rythme où allaient les choses, jamais théo ne reviendrait vivant. Nott serait traqué par les aurors à la salve de Voldemort et il serait tué, tout comme son fils.

AOUT 1997 ▽ CHEMIN DE TRAVERSE « théo ? » « pansy ! » pansy cligna des yeux, incertaine. « qu’est-ce que tu fais là ? » « je suis… en… déplacement, c’est temporaire, je reste pas longtemps. N’attire pas l’attention, par pitié. » « mais tu fais parti de la famille nott, t’as pas de problèmes à te faire ! » « pansy, je suis considéré comme un rebelle maintenant, tu n’as pas entendu ? » « … un rebelle ? » « un déserteur, mais certains prétendent que je fais parti de l’ordre du phenix ! » « je… quoi ? toi ? faire parti de cette organisation de barges ? » « pansy, ta sœur en fais partie. » alors c’était officiel, johanna les avait rejoints… Pansy regarda ses pieds. « et toi aussi. » « il faut que j’y aille, on se revoit à poudlard. Peut être. »

SEPTEMBRE 1997 ▽ SALLE COMMUNE DE SERPENTARD « nott ? Pffft c’est un traitre. » soupira Goyle. Mais pansy ne l’entendait pas de cette oreille « GOYLE ! n’essaye même pas de me faire croire que tu le connais ! ce n’est pas un traitre ! » « mais… » vu sa capacité cérébrale peut élevée, goyle ne trouva rien à redire mais drago se leva finalement « tu sais, pansy. Je ne pense pas que … » « oh ta gueule malfoy ! on sait tous les deux que ca t’arrange ! » et sur ces mots, elle quitta le groupe des serpentards pour retrouver son dortoir et son paquet de cigarettes.

SEPTEMBRE 1997 ▽ DORTOIR DES PREFETS « c’est gentil ce que tu as dis… tu sais. Avant. » « je sais, je ferai pas ca tout le temps » « je t’aime pansy » « quoi ? » « je t’aime pansy, mais je suis un traitre, un déserteur, jamais je n’aurai le droit de … » « ta gueule, théo. Ferme-la d’accord ? »