001. blake était l'un des étudiants les plus doué de serdaigle, sa maison à l'école. il partageait plusieurs cours avec grayson, au début, grayson n'en pouvait plus du petit homme aux yeux bleus mais il est rapidement tombé sous son charme intellectuel. 002. la seule chose que blake n'a jamais été capable de faire avec brio était de monter un balais. encore aujourd'hui, il n'est pas au point et ça le rend dingue. 003. il connait tout sur les dragons, un sujet qui le passionne énormément, il a eu envie de revenir au pays pour s'occuper de sa famille et ayant vent de ce qui se passait, voulait aider l'odp.. 004. alors qu'il quittait poudlard le coeur gros, il commençait déjà à écrire sa première lettre pour grayson dans le poudlard express. un homme lui a lancé le sortilège d'oubliette ce qui a effacé toute trace de grayson dans son coeur. il le verrait dans la rue et ne le reconnaitrait pas. c'est la famille de grayson, les fleming qui ont manigancé cela. ils ne voulaient pas que grayson ait une relation homosexuelle et encore moins avec un né-moldu. une véritable honte pour les fleming. 005. il a vécu quelques relations depuis grayson mais rien de sérieux, il sait que ce n'est pas aussi fort que ce truc qu'il a ressentit auparavant et qu'il n'est pas capable de mettre le doigt dessus. 006. son équipe de quidditch préféré son les faucons de falmouth (a). 007. il sait qu'au fond, il ne serait jamais capable de tuer quelqu'un, même si sa vie en dépendait. 008. il adore la lecture, plus jeune, il a presque lu en totalité ce que contenait la bibliothèque de poudlard. 009. il aime bien faire croire aux mangemorts qu'il est de sang mêlé pour le moment, dans cette crise même s'il est fier de son statut de né-moldu. 010. il se doute bien d'avoir été victime d'un sortilège d'oubliette et est à la recherche d'un puissant sorcier pour annuler le sort.

extrait de ma fiche, juin 1990  never let me go
l'odeur de sa peau contre la mienne me faisait le plus grand bien. je savais que le temps allait bientôt nous séparer et que juin allait faire son entrée dans cette année. je savais donc de cette façon que nous allions devoir nous quitter pour une dernière fois. son menton enfoui dans mon cou, il releva la tête pour me fixer avec ses grands yeux. je retins mon souffle avant de caresser ses cheveux et de déposer un chaste baiser sur ses lèvres. la forêt interdite pouvait bien porter son nom. elle portait sans doute ce nom pour faire peur aux étudiants. nous, c'était notre repère secret. une petite grotte de pierre, ou seulement nous connaissions l'existence. je vis dans son regard qu'il était inquiet pour moi. je relevai la tête vers l'entrée de la grotte afin d'observer le ciel, le soleil allait bientôt se coucher et la pleine lune allait faire son apparition. déjà deux ans que j'étais porteur de cette malédiction. une malédiction qui m'obligeait à m'enchaîner les soirs de pleine lune et vivre la pire des souffrances, celle d'être un loup. deux ans à venir dans cette grotte avec lui, chaque soir de pleine lune et de le laisser faire naître les chaînes autour de mes poignets. « tu sais, ça va aller... » dis-je en esquissant un sourire, les yeux voilés. je ne pouvais pas lui laisser voir ce que je ressentais à ce moment. j'avais peur, comme à chaque soir de pleine lune. mais ce soir, j'avais peur d'être séparé de lui à tout jamais. nous étions en 7ième année, bientôt le destin allait nous séparer. j'avais reçu une tonne de hiboux de mon oncle sans bien sur lui répondre. il était au courant pour moi et lui, sans doute un de mes frères qui nous avait grillé. j'étais surpris qu'il n'ait pas transplanner directement à l'école pour nous séparer mais j'avais l'impression qu'il avait une idée derrière la tête lors de ma sortie de Poudlard. il m'avait sûrement déjà trouvé une fiancé. je soupirai avant de me décoller un peu de celui qui faisait briller mes nuits et mes journées. « c'est le moment. » dis-je, bien trop habitué à cela. je lui souris en coin tendrement avant de me lever et de le voir soulever sa baguette vrs moi. « salveo alligatum! » dit-il clairement avant de diriger des chaînes vers moi. j'entendis les cliquetis de métal se rapprocher. je fermai simplement les yeux, immobile, avant de sentir mon corps se coller contre le mur de pierre, accompagné du resserrement des chaînes sur mes poignets, mon thorax et mes jambes. « c'est pas trop serré? » dit-il tendrement avant de s'approcher de moi. je soupirai tranquillement avant de le regarder dans les yeux. « non ça va... tu peux y aller. » dis-je simplement. je savais qu'il était incapable de me voir me transformer et que ça lui brisait de le coeur de m'entendre souffrir pendant une bonne partie de la nuit. il sourit en coin avant d'approcher son visage du mien. les yeux remplis de larmes, il savait aussi que c'était la dernière soirée que nous avions passé ensemble. il prit mon visage entre ses mains avant de sceller ses lèvres avec les miennes. un baiser si impulsif, si bestial. il m'embrassa comme il ne m'avait jamais embrassé, je lui répondis avec toute la hargne qui me restait. il s'écartait de moi avant de me regarder une dernière fois. « je t'aime grayson fleming » dit-il avant de disparaître alors que la lune faisait son ascension dans le ciel.

votre blabla promotionnel du scénario ici, préciser ce qui est négociable et ce qui ne l'est pas. Novitates autem si spem adferunt, ut tamquam in herbis non fallacibus fructus appareat, non sunt illae quidem repudiandae, vetustas tamen suo loco conservanda; maxima est enim vis vetustatis et consuetudinis. Quin in ipso equo, cuius modo feci mentionem, si nulla res impediat, nemo est, quin eo, quo consuevit, libentius utatur quam intractato et novo. Nec vero in hoc quod est animal, sed in iis etiam quae sunt inanima, consuetudo valet, cum locis ipsis delectemur, montuosis etiam et silvestribus, in quibus diutius commorati sumus. Etenim si attendere diligenter, existimare vere de omni hac causa volueritis, sic constituetis, iudices, nec descensurum quemquam ad hanc accusationem fuisse, cui, utrum vellet, liceret, nec, cum descendisset, quicquam habiturum spei fuisse, nisi alicuius intolerabili libidine et nimis acerbo odio niteretur. Sed ego Atratino, humanissimo atque optimo adulescenti meo necessario, ignosco, qui habet excusationem vel pietatis vel necessitatis vel aetatis. Si voluit accusare, pietati tribuo, si iussus est, necessitati, si speravit aliquid, pueritiae. Ceteris non modo nihil ignoscendum, sed etiam acriter est resistendum.