(charlie et abraham), rp aléatoire.

≡ hiboux envoyés : · **≡ date d'arrivée :** 19/04/2013

rp aléatoire

charlie weasley et abraham fawley.

Dans la nuit, il y avait eu une mission de l'ordre qui avait mal tournée et plusieurs personnes avaient été faites prisonnières. Il fallait agir et rapidement, avant que les membres de l'ordre passent au veritaserum où soient enfermés à Azkaban. Y avait plusieurs point possibles où pouvaient se trouver les mangemorts et leurs prisonniers, alors, il fallait que plusieurs groupes frappent.

Charlie avait accepté de faire partie d'un groupe pour venir secourir les alliés de l'ordre, mais avant qu'il ne parte avec son groupe, il était tombé sur Abraham dans le QG, ainsi, il avait jugé bon de laisser partir son groupe sans lui, pour s'occuper du Fawley qu'il ne pouvait que suspecter d'être un espion mangemort. Vu la famille dont il était issu, Charlie ne serait ni le premier, ni le dernier à penser de la sorte.

quelques précisions
≡ vos personnages se croisent dans l'un des QG de l'ordre du phénix, ils peuvent choisir de rejoindre la dite mission plis tardivement. Mais d'abord, il faut régler les différents.
≡ l'ordre de passage est le suivant : Charlie puis Abraham. Si vous avez des soucis, vous pouvez vous contacter par mp pour changer l'ordre.
≡ en cas de questions, n'hésitez pas à contacter Vesper Oswald (ou un autre compte), vous pourrez également lui demander une intervention admin, si vous voulez un rebondissement (a)

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

rp aléatoire : charlie et abraham.

Ils avaient besoin d’hommes au QG, c’était ce que Charlie avait entendu dire, plus tôt dans la matinée, alors, il s’y était rendu sans attendre, après avoir laissé une nouvelle fois la petite Cressida aux soins de sa mère. Si seulement Ellaria avait pu lui confier un dragon plutôt qu’un bébé, tout dans sa vie serait probablement beaucoup plus simple. Quoi qu’on puisse lui dire, le jeune sorcier restait persuadé que s’occuper d’un dragon, c’était beaucoup plus facile que de s’occuper d’un enfant. Et dire que sa mère en avait eu sept. Jamais il ne l’avait trouvé plus courageuse qu’au moment où il avait réalisé à quel point c’était compliqué les enfants. En plus, elle avait eu Fred et George elle. En avoir deux comme ça, ça devait être invivable. Déjà en tant que frère, ça n’avait pas été facile tous les jours, mais en tant que parents, c’était à se demander comment les Weasley avaient fait pour tenir bon pendant toutes ces années.

Arrivé au QG, on l’informa de ce qu’il s’était passé dans la nuit, un groupe de l’ordre était aux mains de l’ennemi, on ne pouvait pas prendre le risque de les perdre et surtout, il fallait faire quelque chose avant qu’on ne les force à parler. Les mangemorts étaient doués pour extirper des informations, que ce soit à coup de veritaserum ou à coup d’endoloris. Ils ne pouvaient définitivement pas laisser leurs camarades dans cette situation. Il fallait faire quelque chose et vite. L’ordre avait alors décidé d’envoyer plusieurs petits groupes aux différents endroits où on soupçonnait les mangemorts d’avoir emmenés leurs prisonniers. Charlie était prêt à partir en compagnie de son groupe, quand il remarqua une silhouette se faufiler dans le couloir en face de lui. Il aurait juré reconnaitre l’aîné des Fawley.

Leur réputation n’était plus à refaire à ceux là. Si on pouvait facilement traiter des Weasley de pauvres ou de traitres à leur sang, on pouvait également facilement dire des Fawley qu’ils étaient du côté du mage noir. Charlie avait indiqué à ses camarades de partir sans lui, il les rejoindrait plus tard. Il fallait absolument qu’il vérifie quelque chose. Alors, il s’était lancé sur les traces du Fawley qu’il avait aperçu quelques instants plus tôt. Y avait déjà eu le professeur Rogue pour les trahir quelques mois plus tôt, alors faudrait pas qu’un truc pareil n’ait de nouveau lieu. Fawley n’avait rien à faire ici. Sa baguette dans sa main, le Weasley avait réussi à retrouver celui qu’il cherchait, dans l’une des pièces du manoir qui leur servait de QG. « Qu’est-ce qu’un Fawley peut bien faire dans le coin ? » Il pointait sa baguette sur celui qu’il considérait d’ores et déjà comme son adversaire. Il n’avait rien à faire ici et il se ferait un plaisir de lui indiquer la porte de sortie avant de lui balancer de quoi lui faire oublier l’existence de ce manoir. « Tu cherches un truc sympa à raconter au reste de ta famille ? » Son horrible famille qui se ferait un plaisir de répéter ce qu’ils savaient à leur maître. Il était hors de question que le Fawley sorte de là avec la moindre information.

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 30/12/2015

Un patronus vint à sa fenêtre, plus tôt dans la journée, pour l’informer que sa présence était requise à dix-neuf heures précise au sein du quartier général de l’Ordre du Phénix. Consciencieux, Abraham avait organisé sa journée de façon à être à l’heure. Parce que le trentenaire déteste réellement être en retard. Aussi est-ce pour cela qu’à dix-neuf heures précises, il se trouve devant la porte d’entrée du lieu, à donner le mot de passe permettant d’entrer à l’intérieur. Quelques coups d’œil lancés alentours, lui permet de vérifier qu’il n’y a personne aux alentours, avant de s’engouffrer à l’intérieur de la bâtisse. Il serait gênant pour lui que quelqu’un d’autre que son interlocuteur de l’ordre sache qu’il s’aventure dans cet endroit. Aussi est-ce soulagé de ne voir personne, qu’Abraham pénètre par la porte principale, se faufilant aussitôt dans les couloirs pour gagner le bureau dans lequel se situe habituellement son interlocuteur. La seule vraie pièce qu’il ait jamais visitée à l’intérieur de cette maison reconvertie en quartier général. Mais alors qu’il passe dans le couloir annexe, faisant bien en sorte d’éviter les personnes qu’il entend parler dans le couloir principal, il entend des bruits de pas qui se rapprochent de lui. Aussitôt, son cœur s’emballe et il s’empresse de chercher du regard une possible cachette dans laquelle il pourrait se dissimuler. Mais il ne trouve rien. Peut-être aurait-il le temps de lancer un sortilège de confusion. « Qu’est-ce qu’un Fawley peut bien faire dans le coin ? » l’interpelle une voix avant qu’il n’ait le temps de faire quoi que ce soit, signe qu’il a été découvert et qu’il ne peut plus rien y faire. Vaincu, il se retourne doucement un adressant un sourire pincé au jeune homme face à lui, tandis qu’il lève puis laisse retomber ses bras en signe d’impuissance. Comme une personne ayant été prise la main dans le sac et n’ayant aucune défense à fournir. « Tu cherches un truc sympa à raconter au reste de ta famille ? » Le sourire d’Abraham devient narquois alors qu’il dévisage le jeune homme face à lui. Ces traits, il les reconnait bien. Un Weasley, à ne pas s’y tromper. Ces gens-là sont tous pareils. Et idéologiquement, le Fawley leur ressemble également. Des traitres à leur sang, l’un comme l’autre. Sauf que l’un d’eux l’est officiellement, alors que l’autre joue sur les deux fronts, d’une certaine façon. Le tout est de savoir lequel a choisi la meilleure technique. « Désolé de te décevoir mais chez nous, il ne fait pas bon d’annoncer que l’on fait parti de l’Ordre du Phénix au beau milieu d’un repas de famille. » lui confie Abraham avec humour, se permettant de tutoyer le Weasley puisque lui-même a choisi de prendre cette liberté. Il lance un coup d’œil en direction de la baguette de l’homme face à lui, pas réellement intimidé. Puis il passe de nouveau son regard sur le visage du Weasley, détaillant son air circonspect. « Et oui, tu as bien compris. » ajoute-t-il, sachant pertinemment que c’est le fait de son appartenance à l’ordre, qui fait ainsi tiquer le jeune homme.

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 15/01/2013

rp aléatoire : charlie et abraham.

Un Fawley dans l’ordre du phénix, c’était une grande nouvelle, le genre de nouvelles à laquelle Charlie ne s’attendait pas à ça. Il était pourtant bien placé pour savoir que même dans les lignées de sang-pur avec une mauvaise réputation, il pouvait y avoir des exceptions. Ce qu’il connaissait d’Ellaria, c’était bien différent de ce qu’il connaissait des autres Malefoy. Il avait toujours considéré que la jeune femme valait bien mieux que le reste de sa famille. Il l’avait aimée pour ça, parce qu’elle n’était pas du genre à rentrer dans le moule. Elle suivait sa propre voie en se fichant complètement du reste. Il l’avait cru comme ça en tout cas, pendant les nombreuses années qu’ils avaient pu partager ensemble à Poudlard. Mais, concernant Ellaria, il avait fini par comprendre qu’il avait tort. Elle n’était pas si différente que ça. Elle avait changé du jour au lendemain. De la fille capable de suivre ses propres rêves pour faire sa vie sans dépendre de sa famille, elle s’était rangée dans leurs rangs. Elle était restée auprès d’eux, travaillant au ministère de la magie, parce qu’évidemment c’était mieux que le reste. Tellement plus Malefoy que le reste. Il ne savait plus quoi penser d’Ellaria aujourd’hui, mais il savait à coup sûre qu’elle n’appartenait pas aux rangs des mangemorts. Alors pourquoi ce n’était pas possible de voir un Fawley en dehors de cette organisation également ? En dehors, c’était possible sans aucun doute, mais dans l’ordre carrément ? Charlie avait bien du mal à l’admettre et qui pourrait le blâmer pour ça ? Il ne devait pas être le seul que cette réplique, sortie de la bouche d’Abraham Fawley ait manqué d’étouffer.

« Pourquoi est-ce que quelqu’un comme toi se rangerait du côté de l’ordre ? » Il voulait bien admettre cette drôle de nouvelle, à condition qu’on lui fournisse des preuves un peu plus évidence qu’une simple phrase balancée rapidement comme il venait de le faire. Chez les Fawley on devait tout avoir, l’argent, la gloire, la protection durant cette guerre, la chance de faire partie de ceux qu’on ne fliquait pas pour un oui ou pour un non. C’était une chance, sans l’ombre d’un doute. Charlie lui, il était de ceux qui avaient constamment le ministère de la magie sur le dos, ce dernier attendait avidement le moment où lui ou l’un de ses frères viendrait à trahir Ron, leur servant le rouquin, ainsi que son meilleur ami, Potter, sur un plateau d’argent. Ça n’arriverait pas. S’il savait où trouver Ron, il mourrait bien avant de révéler sa position. C’était une chose qu’Abraham n’aurait pu ne jamais avoir à connaitre, si seulement il était resté auprès des siens. « Pardonne-moi mon scepticisme. Quand on connait la réputation de ta famille, c’est un peu surprenant. » Autant que si on disait qu’un Weasley était du côté du seigneur des ténèbres. Si une telle chose devait arriver, on le traiterait rapidement d’espion, ça ne faisait aucun doute. Mais pourtant, c’était probablement normal que dans une famille tout le monde ne soit pas du même avis. Après tout, Percy aurait très bien pu se retrouver chez les mangemorts vu la voie qu’il avait choisie.

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 30/12/2015

Abraham ne peut que remarquer l’air sceptique que revêt Charlie alors qu’il lui fait part de son appartenance à l’ordre du phénix. Bien sûr, ce n’est pas le genre d’information dont le Weasley a pu avoir connaissance. Tout simplement parce que ce n’est pas le genre d’information qui s’ébruite. De ce qu’en sait le trentenaire, une seule personne connait son appartenance à l’ordre du phénix – deux, si l’on compte Avalon, mais jamais celle-ci n’en laisserait entendre le moindre mot – : la personne qui l’y a fait entrer. Une personne qui a tout intérêt à ne rien divulguer de tout cela, afin qu’Abraham puisse mener son projet à terme. Un projet qu’ils ont monté ensemble et qui ne regardent qu’eux. Car le Fawley n’a besoin de personne pour faire son attentat-suicide contre les mangemorts, il se suffit à lui-même et pour cause, l’appartenance de sa famille au cercle très fermé des sangs purs ayant rejoint les rangs du Seigneur des Ténèbres. Un fait qui doit sans doute faire en sorte que Charlie Weasley se mette à douter véritablement des propos d’Abraham et cela, le trentenaire le comprend bien. « Pourquoi est-ce que quelqu’un comme toi se rangerait du côté de l’ordre ? » lui demande le jeune homme, visiblement sur ses gardes. En même temps, celui-ci doit avoir l’âge de Caïn. Pas étonnant qu’ils mettent tous les Fawley dans le même sac, s’il a côtoyé le cadet du tireur d’élite durant ses années d’étude à Poudlard. Abraham laisse un sourire envahir ses traits alors qu’il reçoit la question du Weasley. « Pardonne-moi mon scepticisme. Quand on connait la réputation de ta famille, c’est un peu surprenant. » Abraham secoue la tête, se passe une main sur le visage. A bas la politesse, ce n’est pas comme si Charlie avait des sentiments cordiaux à lui accorder. Alors autant laisser tomber tout ceci pour en finir au plus vite. Il laisse retomber son bras le long de son buste juste avant de reprendre la parole. « Pas de ça avec moi, Weasley. Tu sais très bien que je pourrais te donner toutes les raisons du monde, tu ne me croiras pas. Tu continueras de penser que quelqu’un a vendu l’adresse de votre QG et que j’invente des excuses pour ne pas avoir de problèmes, parce que vous êtes visiblement plus nombreux que moi. » Il accompagne ses paroles d’un signe de tête en direction du couloir latéral, signifiant ainsi à Charlie qu’il a bien entendu qu’ils n’étaient pas seuls en ce lieu. De nombreuses personnes semblent être présentes à quelques pas de là et il est certain que si Abraham était venu en ennemi, il n’aurait pas le temps de lancer un sortilège de la mort en direction du Weasley qu’il serait déjà abattu lui-même. « J’étais venu pour parler à quelqu’un de quelque chose de strictement confidentiel. Cela ne sert à rien de me demander quoi, à moins que tu ne sois legilimens, tu ne le sauras jamais. Ou pas tout de suite du moins. » Inutile de dire que la Gazette du Sorcier témoignera sûrement mieux qu’Abraham de ce qu’il prévoit de faire, une fois que son attentat-suicide sera perpétré. Ou à défaut du gros journal national, des plus petits journaux sorciers s’en chargeront sûrement. Quoi qu’il en soit, Charlie finira bien par savoir ce que prévoyait le Fawley, lorsque tous deux se sont rencontrés dans l’enceinte du quartier général de l’ordre du phénix. « A défaut de pouvoir te convaincre par les mots, je peux peut-être t’aider. Je ne suis pas idiot, j’entends bien que vous partez en mission. Si c’est contre les mangemorts que cela se joue, je peux sûrement t’être plus utile que tu ne veux bien le croire. » lui témoigne Abraham en lui adressant un regard lourd de sens. « Un seul faux pas et il te suffira d’un simple coup de baguette pour ne plus jamais avoir à faire à moi. » Croisant ses bras sur son torse, Abraham attend le verdict. Inutile de préciser qu’il se sent stupide d’avoir ainsi à attendre après le jugement d’un gamin pour avoir le droit de faire quoi que ce soit. Bien sûr, à leur âge, la différence ne parait plus si énorme. Mais le trentenaire ne cessera jamais de voir Caïn comme un gamin incapable de penser par lui-même, alors comment pourrait-il en être autrement pour quelqu’un du même âge que son cadet ? Ce serait impossible.