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 those four walls now are home ≈ PV MAERON

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Callidora Fawley
Callidora Fawley
MEMBER ❖ mischief managed
≡ ton pseudo : cookie (vicky)
≡ hiboux envoyés : 287
≡ date d'arrivée : 26/12/2015
≡ tes points : 215 points.
≡ ta disponibilité rp : disponible pour 0/5 rps (w/ maeron ≈ ellaria ≈ emeric ≈ abraham ≈ caïn)
≡ ton avatar : ebr
≡ tes crédits : avatar par rivendell & gif de profil par la belle katie
those four walls now are home ≈ PV MAERON Tumblr_nlp9kwLtI01qcld00o1_250
≡ âge du perso : vingt-cinq ans
≡ amoureusement : fraîchement fiancée à maeron rosier, un mariage arrangé sans grande surprise malgré ses efforts pour y échapper...
≡ son emploi : langue-de-plomb, spécialiste de la salle de la mort - que se trouve-t-il derrière cette grande arche ?
≡ statut de sang : pur, un héritage dont elle est fière sans pour autant se moquer des enfants de moldus.
≡ sa maison : serdaigle, c'est dans la maison du savoir qu'elle a fait ses études à poudlard.
≡ niveau d'études : toutes ses buses et aspics obtenues, la fawley a terminé ses études il y a un moment déjà avec des notes plus qu'excellentes.
≡ sa baguette : taillée d'un bois de sycomore, plume de phénix, prédisposée aux enchantements
≡ son patronus : renard, la ruse qui prend forme sous ce vaiseau lumineux chassant la peur et le désespoir.
≡ son amortencia : une pincée de vanille, la fraîcheur de la pluie et quelques touches du bois brûlant dans la cheminée
MessageSujet: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeMer 30 Déc - 6:22


those four walls now are home
— maeron & callidora —
All I've got is a bunch of sad stories. And I told them all before the night was through And we cried, but we're here now. And I'm trying hard to make you love me but I don't wanna try too hard. And I'm trying hard to take it lightly but we're here now.

Ce métal à son doigt continuait de la démanger. L'anneau brillait, scintillait, vibrait d'éclats magnifiques et ferait fondre le coeur de n'importe quelle fille rêvant de romance et d'amour. Mais dans les faits, c'était plus un ornement qu'autre chose aux yeux de la blonde. Ouais, la célibataire convoitée depuis tant d'années s'était laissée embarquer dans cette histoire de mariage arrangé. Si tout allait selon les plans si soigneusement orchestrés par les deux familles, Callidora porterait peut-être un jour le patronyme des Rosier. Callidora Rosier. Ça lui faisait bizarre à la jeune sorcière. Trop bizarre. À ses yeux, elle avait toujours cru que James aurait été le seul... qu'elle aurait peut-être un jour fait honte à la famille en adoptant le nom de ses parents de moldus. Le scandale... elle n'osait même pas imaginer. Mais tout cela était terminé à présent. James était mort, elle portait au doigt cet anneau venu des mains de Maeron. Homme qu'elle connaissait à peine. Et pas très bavard qui plus est. La jeune femme ne comprenait toujours pas pourquoi il avait accepté de prendre sa main après ce qu'il avait vécu... Perdre l'être cher... elle savait c'était quoi et si elle avait accepté ce mariage c'était pour enfin essayer de passer à autre chose. Alors que lui... Ça ne ressemblait pas à cela du tout. Quand même, la Fawley restait patiente. Ne le pressait pas, jouait à la parfaite petite fiancée et ses regards candides. Ça l'avait surprise quand il avait accepté qu'ils prennent un petit appartement ensemble à Londres. Décidément, il était pleins de surprises... elle ignorait encore quoi penser exactement de lui. Partager cette nouvelle demeure allait peut-être changer quelque chose... Des espoirs que la douce sorcière se faisait, en ayant assez de perdre sa vie aux songes du passé. Jamais elle n'allait oublier James. Jamais. Mais, elle savait qu'il ne voudrait pas la voir l'attendre éternellement. Elle voulait seulement être heureuse. Est-ce que ce serait avec Maeron ? Au travail ? Elle l'ignorait encore et laissait les aléas de la vie la guider. Et aujourd'hui, un premier pas vers cette nouvelle vie. Son frère l'avait aidée à apporter ses affaires avant de la quitter pour aller travailler. Puis Maeron était arrivé à son tour, avec plus de boîtes. Une journée entière à ranger quelques affaires, s'installer lentement dans leur nouvelle demeure. Leur. Non, décidément, ça aussi ça lui faisait bizarre à la blonde.

Leur. Leur. Non, décidément, peu importe le nombre de fois qu'elle se le répétait mentalement, ça sonnait toujours aussi irréel à son imaginaire débordant. Comme cet anneau à son doigt ou toutes ses conversations avec sa mère qui lui parlait de mariage et de vie à deux. Comme le simple fait de penser à l'avenir, et cette robe blanche qu'elle allait un jour porter pour lui. Pas pour James. C'était impressionnant à quel point la vie pouvait se jouer de tous, lançant de nouvelles épreuves et de nouveaux défis à relever. Et apprivoiser le brun à ses côtés lui apparaissait comme le plus difficile de tous... Entre deux boîtes déballées d'un coup de baguette, Callidora jetait un coup d'oeil à son nouveau compagnon. Malgré tous ses efforts, il continuait à rester silencieux, à ne pas faire attention à elle. À l'ignorer même. Elle se replongeait donc dans ses affaires et de coups de baguette, rangeait ses affaires et posait parfois quelques décorations qui lui plaisait. Des fleurs, des photos mouvantes avec ses proches.

Bientôt, la soirée arriva... beaucoup trop vite en fait, leur restant encore quelques affaires à défaire. Mais son ventre criait famine, ses muscles la tiraillaient même si elle avait beaucoup usé de sa baguette. Alors c'était ainsi que vivaient les parents de James ? À toujours devoir se déplacer, se pencher et s'étirer pour prendre, poser ou attraper quelque chose ? Argh... ça devait être tellement épuisant à la longue, elle n'pouvait même pas s'imaginer vivre ainsi. La magie, c'était tellement plus simple. Malheureusement, même une formule tirée de sa baguette ne pouvait pas tout régler... notamment cette sitation actuelle. Callidora. Fiancée. Et sur le point de passer sa première soirée avec son fiancé peu démonstratif. Non... pas même la magie ne pouvait l'aider dans ce genre de situation. Après avoir rangé quelques assiettes de la cuisine, elle décida qu'elle en avait assez. Le reste, elle allait s'en occuper le lendemain. Elle fit donc volte-face pour poser ses yeux clairs sur le Rosier. « J'vais faire à manger, tu veux quelque chose ? » Lui demanda-t-elle doucement. Bon, c'pas comme si elle savait réellement faire à manger, elle avait jamais touché à l'art culinaire avant. Avec les elfes de maison de Poudlard, puis celui à la demeure des Fawley, elle avait même jamais vraiment mis les pieds dans une cuisine où elle devait en devenir maîtresse. Puis étrangement, ça l'excitait la jeune femme. Une nouvelle expérience. De nouvelles choses à apprendre. C'était bien la Serdaigle en elle qui faisait surface. Et puis, ça n'devait pas être si difficile que cela. Faire à manger. Les moldus le faisaient... pourquoi pas elle ? Tâchant le plus possible de ne pas montrer qu'elle n'y connaissait rien à tout cela, elle ouvrait déjà les armoires pour en tirer assiette et chaudrons. Puis, quelques aliments que lui avaient procuré sa mère. Elle allait devoir improviser mais ça la motivait bien la Fawley, qui jeta de nouveau un regard vers son futur. Assiette dans une main, louche dans l'autre, déjà prête à partir en guerre contre cette cuisine qui allait servir pour la première fois.
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Maeron Rosier
Maeron Rosier
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 14042
≡ date d'arrivée : 04/04/2012
≡ tes points : 125 points.
≡ ta disponibilité rp : free.
≡ ton avatar : aidan turner.
≡ tes crédits : jukebox joints (avatar).
those four walls now are home ≈ PV MAERON Tumblr_o01g62qHtf1uc6peyo5_250
≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
MessageSujet: Re: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeSam 2 Jan - 20:47

Go on and take everything from me and more.
— callidora fawley & maeron rosier —
You say the sky is green, I don't know what you mean. Your lies were always clear but I don't mind, no, I don't mind, I don't mind. Go on and take everything from me and more. Go on and take everything from me and more. You say the sky is blue As long as I'm with you. Funny then what did you do ? but I don't mind No, I don't mind, I don't mind.  — take everything.

Une nouvelle maison, un nouveau départ. Une nouvelle vie. Jane Rosier, la mère de Maeron n’avait de cesse de lui répéter la même chose. Il fallait tourner la page et essayer de construire une nouvelle vie sur les ruines de la précédente. Elle disait qu’il avait de la chance d’être encore jeune, il avait encore l’occasion d’être heureux si seulement il s’en donnait la peine. Elle, elle venait de perdre son époux et jouait les veuves éplorées dès qu’elle en avait l’occasion, comme pour montrer à Maeron la chance qu’il avait d’avoir déjà quelqu’un d’autre avec qui passait sa vie. Elle disait aussi que malgré le chagrin qu’il pouvait ressentir ou malgré le fait qu’il ne pourrait jamais aimer Callidora comme sa Greengrass – elle ne s’était jamais donné la peine de retenir le prénom de Melian – il méritait d’avoir quelqu’un avec qui passer sa vie. L’amour disait-elle, c’était aussi beau qu’éphémère, alors, mieux valait faire un effort pour accepter les choses et se réjouir de pouvoir au moins, avoir quelqu’un pour l’accompagner dans sa vie. Y avait une partie de lui qui se disait que pour une fois, sa mère avait peut-être raison. Il n’avait pas forcément envie de passer le reste de sa vie tout seul. Mais il n’était pas prêt à offrir son cœur à quelqu’un d’autre à qu’à Melian. Il n’y avait eu qu’elle pendant tellement longtemps, qu’il ne pouvait pas imaginer rester avec quelqu’un d’autre. Elle était morte et y avait rien pour la ramener à la vie. Tout ce qu’il pouvait faire pour l’instant, c’était se concentrer sur ce qui comptait vraiment à l’heure actuelle : rendre justice à Melian et à leur fille. Il allait retrouver celui qui avait tué les deux femmes de sa vie et il allait les tuer de ses propres mains. C’était ça le seul avenir qu’il était capable d’imaginer. Le reste il n’y pensait pas. Ce mariage avec Callidora, il l’avait accepté uniquement pour montrer à quel point il était revenu dans le droit chemin. Il s’en fichait bien de ce mariage et il n’y pensait pas vraiment. Il avait tendance à penser que de toute façon, il serait mort avec le jour j. Il savait bien ce qu’on disait, fallait commencer par creuser deux tombes dans on cherchait à se venger. Alors il était prêt à en accepter les conséquences. Si se venger devait être la dernière chose qu’il ferait de sa vie, ça lui convenait parfaitement. Il n’attendait plus rien de la vie de toute façon.

Sa vie, ça avait été Melian et Lucy. Son épouse et leur enfant. Mais on les lui avait lâchement pris. Il méprisait les mangemorts pour ça, il les avait toujours détesté, même si sa famille était en plein dedans. Il avait toujours su se démarquer parmi les Rosier. Il avait été celui qui avait fait ses études à Poufsouffle, celui qui avait choisi sa propre voix. Auror qu’il avait été et ça avait fait frissonner sa mère de dégout. Il avait été celui qui s’était mariée à une fille qui ne partageait en rien les idéaux de la famille. Sa mère disait encore aujourd’hui que c’était Melian qui avait poussé Maeron à rejoindre l’ordre du phénix. Elle détestait la jeune femme depuis qu’elle avait appris sa relation avec son fils. Que son sang soit pur, ça n’avait même pas d’importance. En choisissant d’épouser Melian, Maeron avait trahit sa famille. Déjà à l’époque, ils avaient commencé à parler alliance avec d’autres familles, ils voulaient marier leur fils à une famille qui leur offrirait des avantages. Mais, il en avait décidé autrement, il avait épousé celle qu’il aimait et ça avait fortement contrarié ses parents ainsi que ceux de la fille à qui ils avaient prévu de le marier. Puis il avait tourné définitivement le dos aux siens quand il avait rejoint l’ordre du phénix. L’ultime trahison aux yeux de ses parents. Mais maintenant ils étaient contents. Il était revenu à la maison et il avait accepté d’épouser la fille qu’ils avaient choisie. Il venait même d’emménager avec elle dans un appartement Londonien. L’idée ne lui plaisait qu’à moitié. Prévoir un mariage, ça le mettait déjà mal à l’aise, mais alors s’installer avec la jeune femme, ça n’arrangeait pas les choses. Fallait qu’il fasse des efforts quand même. Il n’avait jamais été mauvais comme gars, alors envoyer balader la pauvre Callidora sans raison, ce serait vraiment mal venu, déjà qu’il passait plus de temps à grogner qu’à communiquer quand il était en sa présence. Il avait accepté de prendre un appartement avec elle sans broncher et sa mère n’aurait pas pu être plus heureuse qu’en entendant cette nouvelle. Elle espérait vivement que les petits enfants arrivent rapidement. Elle espérait un peu trop de ce côté-là. Il y avait des limites à ce qu’il pouvait accepter. Ce n’était pas demain la veille qu’il le consommerait ce mariage. De toute façon, ça faisait aussi partie des questions qu’il ne se posait pas, puisqu’il n’avait vraiment pas l’impression qu’il serait encore en vie à ce moment là. Il était un traitre au sein de l’armée du seigneur des ténèbres et ça se saurait bien assez tôt.

Il avait passé la journée à déballer des cartons, ranger les affaires qu’il avait apporté jusqu’à la maison. Il n’avait pas pris grand-chose, mais sa mère avait insisté pour qu’il emporte tellement de trucs qu’il en avait beaucoup plus que ce qu’il avait prévu. Il aurait peut-être dû faire un effort pour dire quelque chose à la jeune femme, mais c’était compliqué. Il ne savait même pas quoi raconter. Alors en silence, il avait rangé ses affaires, déballer des cartons, ranger des trucs. La voix de Callidora avait fini par briser le silence embarrassant qui s’était déjà installé dans l’appartement. « Oui, pourquoi pas. » Se contenta-t-il de répondre. Un peu trop vite sans doute, comme un gamin gêné à qui on aurait posé une question à laquelle il n’était pas certain de connaitre la réponse. Il pouvait faire mieux sans doute. Il ne serait jamais l’époux parfait pour Callidora, ni pour personne à présent. Parce qu’il avait été marié et qu’il avait tout donné à Melian. Elle était morte à présent, mais ça ne changeait rien à ses sentiments. C’était elle qu’il aimait, c’était elle qu’il aimerait toujours. Qu’est-ce qu’il pouvait faire alors ? Rendre Callidora malheureuse alors qu’elle n’avait rien demandé à personne ? Ce n’était pas juste, sans doute qu’elle n’en voulait pas plus que lui de ce mariage. On le leur avait imposé à tous les deux. Alors peut-être qu’il ferait bien de faire un effort. Il ne fallait pas trop lui en demander, ça ne faisait que deux mois que Melian était morte, peut-être qu’il avait besoin de plus de temps pour s’ouvrir à Callidora, parce que son veuvage était récent, si bien que son alliance était encore collée à son doigt. Difficile à retirer après les années qu’elle avait passées là, à son doigt sans jamais le quitter. Il y parviendrait peut-être un jour, mais pas aujourd’hui. Pour l’instant, tout ce qu’il pouvait faire, c’était essayer de communiquer. Il fallait qu’il trouve une excuse, n’importe laquelle pour aller rejoindre Callidora jusque dans la cuisine. Il fouilla rapidement les cartons qui trainaient encore dans le salon. Il trouva un petit carton plein de thés divers et variés que sa mère lui avait refilé. Sa mère et le thé c’était une grande histoire d’amour. Il attrapa le carton pour le ramener dans la cuisine où se trouvait déjà la jeune femme une assiette dans une main et une louche dans l’autre. D’un geste du menton, il désigna les objets qu’elle avait entre les doigts. « Tu t’es déjà servie de ça au moins ? » Peut-être que ça pouvait sonner comme un reproche, il ne savait pas vraiment. Il n’était vraiment pas à l’aise avec cette situation, pourtant il n’avait jamais été particulièrement renfermé. « J’veux dire … la façon dont on a été élevés tous les deux, c’était plutôt elfe de maison et compagnie. » Leurs familles se ressemblaient après tout, ce n’était pas pour rien qu’on avait choisi de les marier. Avant de quitter les siens, il avait eu l’habitude que tout lui doit toujours fait. Mais depuis, il avait bien été obligé de s’adapter. Il avait déjà mis la main à la pâte, il n’était peut-être pas super doué en cuisine, mais il avait appris quelques bases au fil des années. « Je peux peut-être t’aider ? » Il haussa légèrement les épaules comme pour se donner un air bien plus décontracté qu’il ne l’était en vrai. Il essayait de faire des efforts et c’était très compliqué. Rester bougon dans son coin, c’était tellement plus simple.
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Callidora Fawley
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≡ amoureusement : fraîchement fiancée à maeron rosier, un mariage arrangé sans grande surprise malgré ses efforts pour y échapper...
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≡ statut de sang : pur, un héritage dont elle est fière sans pour autant se moquer des enfants de moldus.
≡ sa maison : serdaigle, c'est dans la maison du savoir qu'elle a fait ses études à poudlard.
≡ niveau d'études : toutes ses buses et aspics obtenues, la fawley a terminé ses études il y a un moment déjà avec des notes plus qu'excellentes.
≡ sa baguette : taillée d'un bois de sycomore, plume de phénix, prédisposée aux enchantements
≡ son patronus : renard, la ruse qui prend forme sous ce vaiseau lumineux chassant la peur et le désespoir.
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MessageSujet: Re: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeDim 3 Jan - 18:25


those four walls now are home
— maeron & callidora —
All I've got is a bunch of sad stories. And I told them all before the night was through And we cried, but we're here now. And I'm trying hard to make you love me but I don't wanna try too hard. And I'm trying hard to take it lightly but we're here now.

Cette situation nouvelle était loin d'être facile. Peut-être qu'au final, elle aurait été mieux d'accepter de fiancer Thane plutôt que son présent fiancé. Au moins, le Oswald se montrait plus chaleureux. Dire qu'elle avait fait tout en son pouvoir pour échapper à un mariage arrangé. Elle avait remballé bien des demandes. Trouvé des moyens de filer entre les doigts de plusieurs dont le Oswald et maintenant qu'elle abandonnait la partie, se résignait et prenait une chance en acceptant des fiançailles, elle se retrouvait avec un homme qui ne voulait pas plus qu'elle se marier. Mais l'ancienne Serdaigle n'abandonnait pas. Elle préférait de loin continuer à essayer... peut-être un jour avoir un mariage heureux plutôt que rester dans son coin à s'apitoyer du fiancé grognon avec lequel elle se retrouvait aujourd'hui. C'était ironique comment elle essayait maintenant de s'accrocher alors qu'elle avait tant fuit. Mais James était mort depuis deux ans. Malgré tout ses efforts pour le ramener de derrière le Voile, il n'y avait rien à faire. Elle ne perdait pas espoir... ça jamais... mais elle savait que le jeune né-moldu ne voudrait pas la voir se tuer à la tâche et s'enfermer de plus en plus dans la solitude dans la vaine possibilité qu'elle puisse l'arracher à la Faucheuse. Puis avec ce mariage, sa mère allait peut-être enfin la laisser tranquille. Bon, elle continuait de dire qu'elle pouvait tomber amoureuse, avoir une union heureuse comme ce fut le cas avec eux, mais elle en doutait, surtout avec l'attitude de Maeron. Puis, de ce qu'elle comprenait, il était à peine veuf d'une femme dont il était fou, Callidora ne s'faisait pas d'illusions... ce n'était pas en si peu de temps qu'il allait passer à autre chose. Ça lui avait pris deux ans pour elle...et encore là, elle n'arrivait pas entièrement à se sortir James de la tête. Alors Maeron... Elle soupirait presque à l'idée que pour les deux prochaines années, elle était condamnée à jouer l'épouse arrivée en deuxième... celle qui ne remplacerait jamais la première. Mais tout de même, elle aurait aimé avoir quelqu'un pour la soulager lorsque James était mort. À part Ellaria, la Fawley n'avait pas pu exprimer sa peine, la douleur de son deuil. Elle avait été obligée de sourire quand ses parents lui demandaient si tout allait bien. Mentir alors que son coeur se brouillait de la perte de l'unique amour qu'elle avait jamais connu. Qu'elle croyait encore qu'elle ne vivrait jamais. Donc, le deuil, elle connaissait même si le Rosier et personne ne pouvait le réaliser. Seulement Ellaria. Sa douce Ellaria. Sans elle, jamais elle n'aurait supporté la mort du jeune homme. Alors, elle essayait d'apaiser un peu le veuf qu'était maintenant son fiancé. Essayait... car ce n'était pas gagné d'avance...

Elle entendit un lointain oui pourquoi pas et ce fut suffisant pour qu'elle se lance à la conquête de la cuisine. Du regard, elle fouilla les comptoirs à la recherche d'une idée brillante. Que pouvait-elle donc préparer ? Des pâtes pour commencer lentement, peut-être ? Ouais, c'était décidé. Elle allait commencer à faire à manger quand elle aperçut Maeron pénétrer la cuisine, une boîte dans les bras. Elle se stoppa dans le début de son mouvement et l'observa. « Tu t’es déjà servie de ça au moins ? » Évidemment, il se devait encore de chialer. Un merci, aurait pu suffire. Ou même un sourire. Un peu agacée, elle tâcha de garder son calme sans le quitter des yeux. De toute façon, ce n'était pas son genre de s'emporter. Oui, elle prenait des décisions sur un coup de tête. Oui, elle ne réfléchissait pas toujours avant de parler ou d'agir. Mais elle n'avait jamais été du genre colérique ou capricieux. Sur ce côté l, elle n'avait pas hérité de la personnalité de la plupart des membres de sa famille... La plus jeune, mais la plus posée aussi. « J’veux dire … la façon dont on a été élevés tous les deux, c’était plutôt elfe de maison et compagnie. » Il venait de la démasquer. Ne sachant trop quoi faire, la blonde restait figée. Avec James, c'était toujours lui qui faisait à manger quand elle s'évadait dans sa maison avec ses parents moldus. Pas avec une baguette, juste le labeur de ses mains. Ça l'avait toujours fascinée, Callidora. À tel point qu'elle ne s'était jamais demandé comment l'elfe de maison de la famille s'y prenait. Mais maintenant qu'elle était là - Maeron lui posant la question - ça la rendait mal à l'aise, se sentir comme une débutante... ce qu'elle était au fond. Elle posa les yeux sur la louche un instant avant de reporter son attention sur lui. Elle répondit légèrement embarrassée ; « Non... c'est vrai j'ai jamais touché à une recette de ma vie mais y'a un début à tout. » Les seules recettes qu'il savait concocter était toutes ses potions qu'elle préparait depuis Poudlard. Au fond, ça ne devait pas être si différent que de préparer des pâtes pour souper. « Je peux peut-être t’aider ? » Callidora haussa les sourcils. Impossible de cacher sa surprise. Pendant un instant, elle n'était pas certaine de bien avoir entendu. Immobile, louche et assiette suspendu dans les airs, elle le regardait sans être certaine qu'elle comprenait ce qu'il venait de proposer. Elle aurait cru qu'il aurait passé la soirée à finir ses cartons et aller dormir sans même dire bonne nuit à la jeune femme. Et elle serait restée plantée là, au milieu du salon, incertaine si elle serait capable de fermer l'oeil. Surtout que depuis James, elle n'avait pas partagé son lit avec personne, sauf les occasionnelles moments où Ellaria venait se réfugier dans ses draps pour discuter toute la nuit de leurs rêves et de leurs problèmes. Mais bon, au moins, elle pouvait se rassurer, il était si distant avec elle depuis leur rencontre et nouvelle de leurs fiançailles qu'elle s'imagine bien que partager cet appartement, mais surtout un lit était un bien grand mot. Ils allaient finir chacun de leur côté du du matelas, un barrage d'oreillers entre eux, c'était certain.

Alors qu'il propose de l'aider à faire à manger avec une telle nonchalance, il fallait bien l'avouer, la Fawley ne l'avait pas vu venir. Cependant, elle chassa bientôt la surprise par un doux sourire. « Bien sûr. Je m'y connais pas trop en cuisine, mais à deux on peut arriver à faire quelque chose de pas trop mauvais. » Nouveau sourire en coin avant de laisser tomber l'assiette et la louche sur le comptoir doucement et d'attraper un énorme chaudron. Bien lourd pour ses petits bras, elle réussit tout de même à l'amener vers le four à gaz sans l'échapper et le posa dessus lourdement. « Enfin... J'espère. » Ajouta-elle avec un rictus amusé sur la lippe alors qu'elle lui jetait un nouveau coup d'oeil. La blonde sortit sa baguette, la pointa sur le chaudron et d'un sortilège informulé aguamenti remplit le contenant à moitié. Faire bouillir des pâtes. Ça ne devait pas être sorcier. De l'autre main, elle ouvrit le feu pour amener l'eau à ébullition. Mais en attendant, il y avait de nouveaux silences qu'elle se devait absolument de combler. Elle savait bien que c'était déjà un petit pas qu'il venait de faire en lui proposant son aide plutôt que de faire ses trucs dans son coin, fallait pas trop espérer mais elle allait quand même tenter sa chance. S'ils devaient passer le reste de leur vie ensemble, Callidora aimerait bien au moins essayer de le connaître un peu. Puis sa curiosité la poussait tout le temps à poser des millions de questions. Elle sautilla pour poser ses fesses sur le comptoir et faire face à Maeron en attendant que l'eau se mette à bouillir. « Et toi ? Tu as déjà fait à manger avant ? » Bon, elle se doutait bien que oui mais c'était tout ce qu'elle trouvait à demander sans risquer de le brusquer. Elle avait presque l'impression d'avoir affaire à un animal sauvage qu'il lui fallait apprivoiser et que le moindre mouvement brusque ferait fuir.
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Maeron Rosier
Maeron Rosier
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≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
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MessageSujet: Re: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeLun 4 Jan - 12:45

Go on and take everything from me and more.
— callidora fawley & maeron rosier —
You say the sky is green, I don't know what you mean. Your lies were always clear but I don't mind, no, I don't mind, I don't mind. Go on and take everything from me and more. Go on and take everything from me and more. You say the sky is blue As long as I'm with you. Funny then what did you do ? but I don't mind No, I don't mind, I don't mind.  — take everything.

Ce mariage, Maeron ne l’avait accepté que parce qu’il lui avait semblé que se soumettre aux volontés de ses parents était la meilleure chose à faire pour qu’on ne lui pose pas de question à propos de son allégeance. Plus il caressait les Rosier dans le sens du poil, plus on le pensait complètement de retour parmi les siens. Sa mère était même prête à dire que Melian lui avait lancé un sortilège de confusion pour qu’il parte avec elle comme il l’avait fait. Si ça avait été le cas ça aurait été un sortilège de confusion durant une éternité. Melian avait été une sorcière très douée, mais quand même. De toute façon, il n’y avait pas eu de sortilège entre eux deux, juste de l’amour dont il était incapable de se défaire aujourd’hui. Maeron n’avait jamais cru aux mariages arrangés. On lui en avait promis un dès son plus jeune âge, mais il n’en avait eu que faire. Il s’était barré à la première occasion, ignorant sans culpabilité l’alliance entre deux grandes familles qui se retrouvait brisée à cause de lui. Il avait choisi de vivre sa vie comme il l’entendait et il avait tiré de cette expérience plus de bonheur qu’il aurait été capable d’imaginer. Tout avait été parfait avec Melian et Lucy. C’était fini maintenant. Fallait croire qu’on disait rien, toutes les bonnes choses avaient une fin. Maintenant, il était de retour dans la prison des Rosier, coincé dans un mariage dont rien de bon ne ressortirait. Callidora pouvait bien avoir toutes les qualités du monde, elle ne serait jamais Melian, alors sans doute qu’il ne pourrait jamais l’aimer. La pauvre malheureuse était condamnée à une bien triste vie si elle devait vraiment passer le restant de ses jours à ses côtés. Depuis la première fois qu’il l’avait rencontrée, c’était à peine s’il lui avait adressé la parole. Il était du genre grognon, renfermé sur lui-même. Plus doué pour râler que pour vraiment communiquer. Il faisait la gueule les trois quarts du temps. Il n’était même pas sûr de savoir encore sourire. Son cœur était brisé en mille morceaux et la peine était écrasante. Il souffrait des pertes qui avaient marquées sa vie, il était dirigé uniquement par une volonté de vengeance. En définitive, il n’avait plus rien d’un type enjoué et ouvert. Il l’avait été pourtant avant. Il avait connu des jours meilleurs c’était certain. Peut-être que si Callidora l’avait rencontré avant qu’il ne perde tout ce à quoi il vouait son existence, elle aurait été capable de l’apprécier. Là, il était clair que s’il n’essayait pas au moins un peu de faire des efforts, elle se contenterait de le détester en silence. C’était mauvais signe pour un mariage ça.

Alors, il s’était rendu jusque dans la cuisine, prêt à essayer de communiquer un peu avec la jeune femme. C’était un premier pas en avant. Il fallait bien commencer quelque part. C’était clair que ça ne voulait pas dire qu’ils allaient tomber raides dingues l’un de l’autre à la fin de la soirée. C’était impossible ça, puisque son cœur à lui, il appartiendrait toujours à Melian. Mais peut-être qu’un jour, ils pourraient peut-être être amis. Ce serait probablement un bon début. Un moyen de rendre cette union un peu plus agréable pour eux deux. C’était avec une maladresse certaine qu’il s’était adressé à elle. Fallait croire qu’à trop se taire, il avait oublié comment parler aux gens. Il n’avait absolument pas eu l’intention de la vexer ou de passer une nouvelle fois pour le râleur du coin. Il avait juste voulu tenter quelque chose et il s’y était mal pris. Il avait tenté de se rattraper tant bien que mal, il ne lui faisait aucun reproche, il constatait juste que tous les deux, venaient d’un monde dans lequel il y avait toujours quelqu’un d’autre pour se mettre derrière les fourneaux. Chez eux comme à Poudlard, les elfes de maison avaient toujours fait un travail remarquable, si bien que plus jeune, Maeron ne s’était même pas posé de question sur la façon dont il fallait s’y prendre pour réaliser le plus simple des plats. Ça ne lui était tombé dessus qu’après Poudlard, quand il avait réalisé que maintenant, c’était le moment de mettre la main à la pâte pour s’occuper de lui-même, sans l’aide de personne. Il haussa légèrement les épaules suite à la remarque de la jeune femme. Elle avait raison, il fallait bien commencer quelque part. Il lui proposa alors son aide, ce qui eu l’air de la surprendre. Faudrait vraiment qu’il apprenne à se montrer plus serviable, parce qu’il devait vraiment passer pour le dernier des connards aux yeux de la pauvre Callidora. Il n’était pas comme ça, il ne voulait pas être comme ça. C’était la vie et les déceptions récentes qui l’avaient changé à ce point. Des épreuves qu’il ne pouvait tout simplement pas oublier. « Y a un dicton moldu qui dit, c’est en forgeant que l’on devient forgeron. On peut pas apprendre sans pratiquer. » Conclu-t-il sur un très léger sourire, avant de s’approcher d’avantage du plan de cuisine. Ils devraient bien réussir à faire quelque chose sans finir par s’intoxiquer. Ça s’apprenait. Au fil des années, il avait appris quelques techniques, même s’il n’avait jamais eu assez de talent pour pouvoir parler de grande cuisine. Il s’en sortait avec le minimum syndical, c’était déjà ça. De toute façon, rien ne les empêchait après de prendre un elfe de maison, il aimait bien ces petites créatures, mais était contre l’exploitation. Tout travail méritait salaire d’après lui.

Alors qu’elle avait fait chauffer de l’eau pour les pâtes, un plat simple dont il avait presque une parfaite maitrise – il lui arrivait encore de partir faire autre chose et de laisser les pâtes à l’abandon pendant trop longtemps – il avait attrapé quelques tomates dans le but de faire une sauce pour aller avec. Encore un truc qui ne demandait pas trop de compétence. Il suffisait de faire une rapide sauce tomate et d’y ajouter un peu de viande et quelques oignons et ça faisait une sauce bolognaise. Rien de bien compliqué, à part quand on oublié ça sur le feu, ce qu’il faisait aussi un peu trop souvent. De façon générale, il avait beaucoup de mal à regarder un plat cuire pendant plus de cinq minutes sans trouver autre chose à faire lui faisant oublier absolument tout ce qu’il avait été en train de faire quelques minutes plus tôt. Occupé à éplucher ses tomates à l’aide de sa baguette magique – parce qu’il n’allait pas le faire à la main non plus – il jeta un rapide coup d’œil à la jeune femme qui venait de s’asseoir sur le comptoir. Il haussa les épaules suite à sa question. « J’ai quitté la maison familiale à dix-huit ans, juste après Poudlard, alors il a bien fallu que j’apprenne à me débrouiller tout seul. » Il aurait pu prendre un elfe de maison, il en avait eu les moyens, mais il avait une toute petite maison à pré-au-lard et il passait le plus clair de son temps au ministère de la magie pour suivre sa formation d’auror, alors il n’avait pas envie d’avoir un elfe qui passerait le plus clair de son temps tout seul. Il considérait qu’ils avaient besoin de compagnie. Et puis après, il s’était installé avec Melian et là non plus, ils n’avaient pas vu l’intérêt de prendre un elfe, ils étaient grands, ils pouvaient se débrouiller seuls. « Mais je pense que la grande cuisine, ça doit être un don inné, dont je n’ai clairement pas hérité. » Fallait pas trop lui en demander. Ses tomates épluchées, il attrapa un couteau pour commencer à les découper en petits morceaux. « Et puis j’ai toujours eu tendance à tout laisser sur le feu et à partir faire autre chose. » Il releva les yeux vers la jeune femme. « Je m’excuse d’avance si jamais cet appartement ce retrouve en proie à un incendie. Ce sera probablement de ma faute. » Une nouvelle fois, il tenta un nouveau sourire, ce n’était pas grand-chose, mais c’était le mieux qu’il pouvait faire, puis, il retourna rapidement au découpage de ses tomates, il lui semblait plus simple de regarder ce qu’il faisait plutôt que de laissé son regard posé sur la jeune femme. Pourtant, elle était sa fiancée. Y avait pas à dire, cette situation était vraiment compliquée.

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Callidora Fawley
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≡ amoureusement : fraîchement fiancée à maeron rosier, un mariage arrangé sans grande surprise malgré ses efforts pour y échapper...
≡ son emploi : langue-de-plomb, spécialiste de la salle de la mort - que se trouve-t-il derrière cette grande arche ?
≡ statut de sang : pur, un héritage dont elle est fière sans pour autant se moquer des enfants de moldus.
≡ sa maison : serdaigle, c'est dans la maison du savoir qu'elle a fait ses études à poudlard.
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≡ sa baguette : taillée d'un bois de sycomore, plume de phénix, prédisposée aux enchantements
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MessageSujet: Re: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeLun 4 Jan - 19:46


those four walls now are home
— maeron & callidora —
All I've got is a bunch of sad stories. And I told them all before the night was through And we cried, but we're here now. And I'm trying hard to make you love me but I don't wanna try too hard. And I'm trying hard to take it lightly but we're here now.

Un premier appartement partagé ensemble. Un premier repas à déguster rien que tous les deux. Callidora était heureuse que Maeron soit venu la rejoindre même si elle ne s'en rendait pas nécessairement compte. Elle ne se rendait pas compte que depuis la mort de James, elle se sentait seule. Ouais, elle n'y avait pas fait réellement attention, et même ce soir, elle ne le réalisait pas qu'à force de rester accrochée au passé, la solitude avait fait place à tout le reste dans sa vie. Le dicton moldu que Maeron cita la fit sourire un peu. Elle se rappelait les parents de James l'avoir dit à plusieurs reprises. Des souvenirs qui la tirait tant d'années en arrière. La blonde avait beau être jeune, elle avait parfois l'impression d'être une vieille âme. Beaucoup de jeunes de son âge avaient la chance de passer une vie sans embrouilles. Et même par les temps qui couraient, ils ne savaient pas ce que c'était le deuil, s'épuiser au boulot, sentir la pression des parents sur leurs épaules. Ils vivaient des vies insignifiantes. Sans buts, se laissant porter par le vent. Callidora les enviait parfois. Mais elle refusait de s'apitoyer, s'abandonner à la tristesse du souvenir de James quelques fois pour ensuite essayer de se remémorer les moments délicieux passés avec lui plutôt que la peine lourde de sa mort. C'était ce qu'il aurait voulu. Elle le savait au plus profond d'elle. Comme s'il était encore à ses côtés à le chuchoter inconsciemment à son oreille. Alors, elle essayait, peinait à passer à autre chose. Elle avait naïvement espéré que ces fiançailles lui permettrait de retrouver un coeur léger. Si ce n'était pas de l'amour avec son fiancé, elle rêvait naïvement d'une complicité. Mais le Rosier ne lui rendait pas la tâchait facile et elle se trouvait bien stupide de s'être imaginé le contraire. Elle voulait retrouver ce sentiment enivrant qui faisait pomper le coeur et perdre ses moyens. On aurait pu croire que des fiançailles seraient l'occasion parfaite et pourtant, c'était loin d'être le cas. Mais contre toutes attentes, Maeron était soudain là, à ses côtés, et essayait de faire des efforts. Elle le voyait bien. Et ça pouvait presque la faire rougir si elle n'était pas elle-même complètement dépassée par la situation. La jeune femme accepta donc son aide. Elle n'allait pas refuser maintenant, c'était évident et il s'exécutait déjà, s'installant au comptoir pour préparer une sauce tomate.

L'occasion parfaite pour tisser des liens... ou quelque chose. N'importe quoi, vraiment. Tout ce que le Rosier lui donnerait allait lui suffire. Juste un peu d'attention, un peu de conversation. Alors, elle buvait presque ses paroles quand il entrevit finalement les lèvres au plus grand soulagement de la Fawley. « J’ai quitté la maison familiale à dix-huit ans, juste après Poudlard, alors il a bien fallu que j’apprenne à me débrouiller tout seul. Mais je pense que la grande cuisine, ça doit être un don inné, dont je n’ai clairement pas hérité. » Une petite victoire pour la blonde. Une nouvelle facette du fiancé qu'elle découvrait même si c'était minime. Un autre point commun qu'elle allait probablement partager avec lui. Le grand cuisinier, ça avait toujours été James, pas elle. Il savait faire des miracles sans même utiliser sa baguette, elle en avait toujours été fascinée. Il aurait pu lui apprendre quelques trucs mais le jeune homme avait toujours aimé préparer des plats à la Fawley et voir son regard impressionné après chaque bouchées. Maintenant, avec Maeron, ils allaient être deux paumés de la cuisine... ça promettait. Et d'une certaine manière, ça amusait la blonde. S'il y avait un quelconque spectateur à regarder les deux fiancés, il devait bien se marrer. Accrochant son regard dans le sien, elle le soutint tout en observant ce qu'il faisait. Fallait bien prendre des notes après tout. « Et puis j’ai toujours eu tendance à tout laisser sur le feu et à partir faire autre chose. Je m’excuse d’avance si jamais cet appartement ce retrouve en proie à un incendie. Ce sera probablement de ma faute. » Encore une fois, il lui souriait. Légèrement, certes, mais c'était tellement mieux que son air renfrogné habituel. Mais aussitôt, il reporta son attention sur les tomates, comme pour éviter le regard d'un bleu électrique de la belle. Mais elle, elle ne le quittait pas des yeux. Elle sourit, plus pour elle-même que pour autre chose, et jeta un coup d'oeil au chaudron dans lequel l'eau commençait à danser, agitée par quelques bulles. Ce n'était pas encore totalement à point, ça, elle pouvait le deviner pour toutes les fois où elle avait vu faire James. Elle ricana doucement aux dernières paroles du jeune homme en secouant la tête. S'il y avait bien quelqu'un qui ferait partir cet appartement en flammes, c'était bien elle. Avec toutes ses expériences qu'elle ramenait du boulot et la montagne de livres qu'elle avait apporté de son ancien appartement, elle risquait bien plus d'être la cause d'un brasier que lui. Mais bon, elle allait quand même essayer de faire attention. « J'peux pas dire que je suis plus prudente. On est vraiment mal barrés. » Répondit-elle amusée... une petite pointe de nostalgie dans la voix qu'elle avait tenté de contrôler un peu maladroitement. Deux fiancés qui ne veulent pas du mariage, deux fiancés qui ont perdu l'être aimé, deux fiancés médiocres en cuisine et deux fiancés qui risquaient de faire partir leur nouvelle demeure en flammes. Décidément, leurs deux familles avaient choisi l'union parfaite. C'est qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Maeron et Callidora. Enfin... c'était ce que leurs parents s'imaginaient, ou espéraient de tous leurs coeurs. Les deux notions s'entremêlaient dangereusement.

Elle perdit un moment son regard sur le carrelage du plancher, ses pensées divaguant vers toutes ses années où elle avait trouvé le moyen d'échapper à des fiançailles. Toutes ses années avant de se retrouver là. À ce moment précis. Dans cette cuisine. Puis, elle reporta son attention sur le chaudron et réalisa que l'eau bouillait enfin. Elle sauta du comptoir et alla prendre une boîte de pâtes que sa mère lui avait emballé et vient les envoyer dans le chaudron. Maintenant, fallait attendre. Encore. Avec un Maeron qu'elle ne voulait pas brusquer. C'était bien difficile avec toutes les questions qu'elle avait envie de poser. Au final, ce fut plus fort qu'elle. « Pourquoi tu as accepté de venir habiter avec moi ? Ou même ses fiançailles pour commencer. » Aucune reproche, seulement de la curiosité. Callidora n'avait jamais été du genre à tourner autour du pot. Elle préférait être franche. C'était peut-être venu du fait qu'elle avait toujours dû cacher son amour pour James. Un secret si lourd que dans toutes les autres sphères de sa vie, elle était incapable de mentir. Incapable de jouer au jeu dangereux de la manipulation ou de cacher ses émotions. Car la cadette Fawley, elle était un livre ouvert. Mais lui... Elle n'arrivait pas à deviner ce qui se cachait derrière ses prunelles sombres. Ça la rendait folle à la fin. Bon, elle prenait le risque qu'il se renferme de nouveau - car elle ferait probablement de même si on s'intéressait trop à elle, ses pensées, ses secrets - mais elle ne voulait pas être de celles qui font d'idylles conversations sur la couleur parfaite que doit afficher une sauce tomate pour être délicieuse. Alors, elle l'observait calmement, sans chercher à le brusquer, ce qu'elle semblait faire même sans ouvrir les lèvres de toute façon.
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MessageSujet: Re: those four walls now are home ≈ PV MAERON   those four walls now are home ≈ PV MAERON Icon_minitimeMer 20 Jan - 21:18

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You say the sky is green, I don't know what you mean. Your lies were always clear but I don't mind, no, I don't mind, I don't mind. Go on and take everything from me and more. Go on and take everything from me and more. You say the sky is blue As long as I'm with you. Funny then what did you do ? but I don't mind No, I don't mind, I don't mind.  — take everything.

Partager un appartement avec quelqu’un d’autre que Melian, ça n’allait pas être facile. Partager sa vie avec une autre femme, ça lui semblait parfaitement impossible. Il y aurait toujours l’ombre de Melian dans sa vie. Elle avait été l’amour de sa vie et il avait cru qu’ils resteraient ensemble pour toujours. Il avait toujours pensé qu’il vieillirait à ses côtés et que rien ni personne ne pourrait jamais les séparer. Mais il y avait eu la guerre pour foutre en l’air cette certitude. Il avait tout perdu avec cette guerre. Son épouse et leur fille. Il ne lui restait plus que sa rancune et son envie démesurée de se venger. Il ne voulait rien d’autre que la vengeance à présent. Sa propre vie n’avait plus une once d’importance puisque Melian n’en faisait plus partie. On pouvait faire de lui ce qu’on voulait désormais, il s’en fichait. Se marier à la première venue, même ça, ça n’avait plus d’importance à ses yeux et pourtant, il avait refusé le mariage proposé par ses parents bien des années plus tôt, décidé à suivre son cœur plutôt que les décisions de ses parents. Mais puisque son cœur était mort en même temps que Melian, il n’y avait plus rien à suivre. Il pouvait épouser Callidora, même s’il savait déjà que ce ne serait pas un mariage heureux. Ce serait un mariage sans amour, mais c’était peut-être mieux comme ça dans le fond. Il n’y avait pas de sentiment plus douloureux que l’amour. Ce sentiment qui apporte tant de bonheur mais qui peut faire souffrir bien plus encore qu’un sortilège d’endoloris en une fraction de seconde. Sans amour, sans doute que tout était beaucoup plus simple. Il ne savait pas à quoi aller pouvoir ressembler cette union, il ne savait même pas s’il serait encore en vie bien longtemps, il ne se projetait pas dans l’avenir. Il ne pouvait pas. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était vivre l’instant présent et faire en sorte que la vie de Callidora soit moins horrible que la sienne. Il ne l’aimerait jamais, ça, il le savait d’avance. Mais il pouvait faire des efforts pour arrêter de faire la gueule à tout bout de champ. Ça ne faisait pas longtemps qu’il avait perdu Melian, la cicatrice dans son cœur était encore béante et elle ne se refermerait probablement jamais totalement, mais Callidora était une fille bien, elle n’avait pas à payer les conséquences des malheurs de sa vie à lui.

Dans la cuisine, il avait commencé à s’occuper des tomates afin de préparer une sauce pour aller avec les pâtes. Ce n’était pas un plat particulièrement sophistiqué, mais c’était déjà ça. Il fallait toujours commencé par le plus facile avant de se lancer dans des trucs un peu plus compliqué. Un jour, peut-être que tous les deux, ils arriveraient à préparer de bons petits plats, à force de s’entrainer, ils ne pourraient que s’améliorer. Mais pour l’heure, il avait juste l’impression qu’ils auraient réussi à faire brûler l’appartement bien avant de cuisiner un plat digne d’un grand chef. Heureusement, ils venaient tous les deux de familles qui avaient largement les moyens de payer des réparations ou un nouvel appartement si jamais y avait besoin. Enfin, il préférait quand même éviter que l’appartement ne parte en fumée. Il avait quelques affaires auxquelles il tenait vraiment, une boite pleine de souvenirs d’une autre vie. Une vie qu’on lui avait arrachée bien trop tôt. Ses photos de mariage, celles de sa vie avec Melian et puis Lucy, bien évidemment. Tant de choses sont il ne pouvait pas se défaire, alors il espérait que cet appartement ne viendrait pas à flamber. Il releva enfin les yeux vers la jeune femme, avant de hausser légèrement les épaules. « Je suis sûr qu’on va s’en sortir. » Il n’en savait rien dans le fond. De son point de vu, tout ça semblait affreusement compliqué, mais il voulait essayer de la rassurer. Il n’était pas sûr du résultat, sans doute que ça se voyait sur chacun de ses traits qu’il ne savait pas non plus où cette histoire pourrait les mener. Il avait perdu sa femme et ça devait se savoir partout autour de lui, après tout sa mère ne se gênait pas pour rappeler à tout le monde qu’il avait épousé une trainée qui méritait bien d’avoir été assassinée. Elle le disait aussi cru que ça, se fichant bien de ce qu’il pouvait ressentir. Du côté de Callidora, il ne s’était pas vraiment intéressé à son histoire, mais pour être encore célibataire à son âge – pas qu’elle soit vieille, juste que chez les sang-purs, les mariages c’était souvent très tôt – sans doute qu’elle devait avoir une bonne raison d’avoir attendu tout ce temps avant d’accepter un mariage. Après tout, ce n’était pas comme s’il pouvait être l’homme idéal lui donnant envie de dire oui à cette union. Lui à sa place, il aurait probablement attendu quelqu’un d’autre, il avait bien conscience de ne pas être l’homme idéal.

Il continua sa sauce, les tomates épluchées et découpées en morceaux, il avait attrapé une poêle pour faire mijoter le tout dans une casserole à côté des pâtes que Callidora avait mis dans le chaudron. Il fallait découper un peu de viande maintenant. Il savait qu’il en trouverait dans le frigo. Les parents Fawley et Rosier s’étaient arrangés pour qu’il y ait de quoi mangé dedans. Il ne faudrait pas que les futurs époux ne meurent de faim après tout. Sa mère lui avait proposé de prendre un elfe une bonne dizaine de fois, s’inquiétant pour ses repas. Mais il avait refusé et pour l’instant, il avait l’impression qu’il avait bien fait, ils s’en sortaient assez bien mine de rien. Il découpait lentement la viande mais s’arrêta dans son geste devenu pourtant régulier, quand Callidora lui demanda pourquoi est-ce qu’il avait accepté de l’épouser et de s’installer avec elle. Il ne pouvait pas répondre que c’était qu’il s’en fichait et qu’il avait besoin de parfaire sa couverture pour que personne ne vienne lui poser de question quant à son allégeance pourtant douteuse. Il ne savait pas vraiment quoi répondre. Y avait probablement rien dans ce qu’il pouvait dire qui ne la vexerait pas. Le fait était qu’elle n’était qu’un prétexte pour qu’on lui foute la paix et y avait peu de chance pour qu’elle ait envie d’entendre ça. Mais il était veuf depuis peu de temps, y avait peu de personnes qui acceptaient de se marier de nouveau aussi peu de temps après un veuvage. « Et toi ? Je suis sûr que tu aurais pu trouver mieux que moi. » Il avait esquivé la question aussi bien qu’il le pouvait, pour quelques minutes tout au plus sans doute. Au moins, ça lui laisserait le temps de réfléchir à quoi raconter. Dans le fond, être sincère, c’était probablement la meilleure chose à faire. Au moins, elle saurait à quoi s’attendre avec lui, y aurait plus d’autres mauvaises surprises par la suite. Elle méritait la vérité. Toute la vérité ? Il ne savait pas vraiment. Il pouvait bien lui annoncer qu’il était un traitre, qu’il ne défendait pas les principes de voldemort et qu’il voulait juste tuer celui qui lui avait pris sa fille et sa femme. C’était ça la vérité. Il fixait la jeune femme en face de lui. Sans doute qu’il pouvait le lui dire, elle n’avait pas l’air méchante, puis si elle menaçait de tout révéler il suffirait d’un sortilège d’amnésie pour qu’elle oublie. Mais au moins comme ça, il l’aurait dit. « Est-ce que je peux te dire un secret ? » Il ne baissa pas les yeux, continuant de la fixer, de cet air qui voulait dire que c’était pas n’importe quel secret et qu’il estimait avoir besoin de savoir si oui ou non il pouvait lui faire confiance.
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