001. NOM DE FAMILLE Ҩ	BURROWS.
002. PRÉNOM(S) Ҩ	ARSÈNE WAYNE
003. ÂGE Ҩ	DIX HUIT ANS
004. STATUT DU SANG Ҩ	NÉE MOLDUE
005. MAISON Ҩ	SERPENTARD
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	7E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	EN ÉBÈNE MESURANT 22 CENTIMÈTRES AVEC UN CRIN DE LICORNE
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	A PARTIR DE LA 3E ANNÉE
009. PATRONUS Ҩ	UN ETALON NOIR

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

Lord voldemort est de retour et plus personne ne peut le nier. Est-ce que votre personnage en a peur et pense que c'est fini, il va gagner et c'est la cata, pense-t-il qu'il n'est pas imbattable, ou alors est-ce qu'il est de son côté, bref, tout ce qu'il peut penser du seigneur des ténèbres. Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

L'Ordre du Phénix est une organisation créée par Albus Dumbledore pour lutter contre Lord Voldemort et ses Mangemorts et il est de retour. Que pense votre personnage des sorciers qui viennent grossir les rangs de la résistance ? Sont-ils des pions du regretté Dumbledore, des fous suicidaires ou des héros que vous rêvez d'égaler ? Rédigez ça en un minimum de b]cinq lignes[/b].

“comment vit-il la situation actuelle ?”

La guerre, la crainte constante de se faire attaquer par des Mangemorts pour une quelconque raison. C'est la période que traverse le monde magique en ce moment, placée sous le joug de plus en plus puissant de Lord Voldemort. Partout, beaucoup de gens parlent, qu'est ce que pense votre personnage de tout ça ? A-t-il peur ou est-il excité à l'idée de marquer son nom dans l'histoire de la magie ? Rédigez ça en un minimum de cinq lignes.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	C.
002. TON ÂGE Ҩ	DIX HUIT ANS
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	ABBEY LEE HOT KERSHAW
004. PERSONNAGE Ҩ	INVENTÉ
005. TON AVIS Ҩ	TRÈS BEAU, J AI HÂTE DE LE DÉCOUVRIR DAVANTAGE ♥
006. TROUVÉ PAR Ҩ	PAR PRD IL ME SEMBLE
007. DERNIER MOT Ҩ	LET'S HAVE FUN
008. CONNEXION Ҩ	TOUT DÉPEND ;)

« C H A P T E R # 01 »

Il est tard, tu les écoutes te sermonner encore une fois, une fois de trop. Une claque, violente et rapide rencontre ta joue de porcelaine, tu te teintes de rouge, tu craches, tu lèves les yeux puis les rebaisses. La douleur est lancinante, après tout tu t’y attendais, c’était prévisible. Tu ne fais plus vraiment attention à eux alors qu’ils continuent à te faire la moral, à tenter d’exorciser touts tes démons, ceux qui hantent leurs jours depuis à présent dix-huit ans. Ta mère n’était pas comme ça avant. Elle te suivait dans tout tes excès, les favorisait, les encourageait puis il eut Peter, son nouveau mari et elle changea, jouant les mères modèles alors qu’elle avait fait de toi ce monstre de débauche et de frivolité.
Le ciel est brumeux, tes yeux froids et joueurs provoquent tes assaillants, tu sors une cigarette de ta poche et la colle à tes lèvres arides, te délectant de la nicotine enivrant tes poumons abimés. « Bordel Arsène, écoutes ! » Tu souris, tu feins de porter un semblant d’attention à ce qu’ils semblent dire, minimisant les problèmes à venir. Pourtant il y en aura, tu le sais, il y en a toujours. Ta demi-sœur, descend les escaliers, te lances un regard en coin emplit d’hargne et de dégout, tu n’y prêtes pas attention, plus. « On devrait brûler une telle traînée. » Personne ne dit rien, tu tires une nouvelle taffe tout en la fixant de tes yeux bleus merveilles. « Il n’était pas fait pour toi, il s’est laissé faire avec une facilité déconcertante. Je m‘attendais à plus de retenue de sa part, mais il m‘a prise avec une telle bestialité que j‘en ai joui dés les premières minutes.» Silence. Trouble. Peur. Angoisse. Ton sourire, leur stupeur. « Dégage, cette histoire n’est pas finie. » Tu ne te fais pas prier, c’est d’un pas lent et mesuré que tu sors du pavillon te dirigeant vers la rue principale. Tu t’assieds sur le trottoir, pieds nus, jambes découvertes, un simple tee-shirt recouvrant ton corps frêle hanté par d’innombrables ébats passés. Trainée. Putain. Chienne. Tu souffles et écrases dépitée ta cigarette sur le bitume londonien. Tu replaces une mèche de tes longs cheveux châtains derrière ton oreille et fixe ton voisin venu sortir les poubelles. Un sourire charmeur prend vie sur tes lèvres rosées. Charmeuse. Provocatrice. Hédoniste. Putain. Il ne te connait pas, passant tout ton temps entre les murs de l’académie Poudlard. Il est moldu tout comme tu pensais l’être il y a de cela sept ans. Puis tu avais reçue ta lettre et la plupart de tes questions avaient trouvé des réponses. Il s’approche de toi, l’air gêné presque maladroit hésitant à lancer la conversation. « Tu es Arsène, la sœur de Louise étudiant dans un internat c’est ça ? Je m‘appelle Liam…le voisin d‘en face. J’ai pas mal entendu parler de toi. » Tu plonges ton regard dans le sien. Appétissants. Ces yeux chocolat se posent sur ta gorge dévoilée. « Louise a le don de beaucoup parler lorsqu’il s’agit de moi. Tu as dû entendre des atrocités à mon sujet n‘est-ce pas ? » Echange. Jeu. Séduction. Il s’assied près de toi, ses bras chauds frôlant les tiens. « Pas mal oui, mais je suis sûr que tout ce qu’elle dit n’est pas vrai. Ce n’est pas possible : Pute. Vénale. Intéressée. Impulsive. Lunatique. Crue. Chienne. Et la liste est encore très longue. » Un sourire faux se dessine sur cette arabesque que tant d’hommes et de femmes ont frôlé, déchiré, meurtrie de leurs langues. « Et si je disais qu’elle a raison ? Que tout cela est vrai. » Tu tournes enfin ton visage, ton souffle rencontrant celui de ton vis-à-vis. « Et si j’étais le fruit haïssable ? Le mal viscéral qui coule en chacun de vous, la part d’ombre que l’on cache derrière une amabilité feinte. Je suis ce que chacun devrait haïr, envier, baiser. Je suis la tache d’encre sur votre papier immaculé. L’enfant capricieuse qui rythme vos nuits solitaires. La droguée de bas étage.  La chienne enragée. » Il ne sait que dire, il ne s’attendait pas à un tel flot de paroles acerbes et crues. Tu en as marre de feindre, marre de leur bonté, de leur vision de la vie que tu n’adhères pas. Toi, il te faut plus, toujours plus. Il te faut tomber d’un toit, crier à en t’époumoner, te faire baiser à en vomir. Il te faut cette liberté, cette euphorie permanente, cette adrénaline fulgurante que tu t’injectes dans les veines à coup de seringues ravageuses. Tu es blasée d’une vie que tu sembles vivre à fond. Tu recherches avec avidité cette liberté que tu vis comme un idéal. Tu t’allonges sur ce même bitume, tes muscles se relâchent, ton souffle devient irrégulier tandis qu’un froid mordant s’insinue sous tes habits légers. « La seule chose bien chez ma sœur c’est qu’elle ne cherche pas à me trouver des excuses. Elle sait reconnaître et accepte l’immoralité de ce monde. Mon immoralité. Votre immoralité. »

« C H A P T E R # 02 »

La musique résonne à tes oreilles, s’insinue et t’entoure tout comme la langue de cet inconnu qui glisse le long de ton échine. Tu te cambres prenant appui sur cette porte que tu colles déjà de ton corps plein de sueur. La cabine des toilettes n’est pas forcément le lieu le plus hygiénique ni le plus romantique mais tu n’en as cure. Seul compte l’instant présent. Ces souffles rauques, cette chaleur partagée et ce rythme effréné que ton corps aime par-dessus tout. Tu ne demandes pas de paroles, ni même de l’attention et encore moins de l’amour. Tu ne le connais pas l’ayant surement croisé au détour d’un couloir sans vraiment y porter attention. Ils ont tous un nom que tu ne retiens pas, des visages flous qui ne marque pas ton esprit perverti. « Je t’aime. » Tu te bloques, refroidie par ces sentiments prononcés qu’il te jette au visage sans ménagement. Tes yeux s’assombrissent tandis qu’il poursuit ses caresses passionnées. « Dégage.» Voix froide, cassante, impassible. Tu ne le regardes pas, ne prête pas attention à ce corps qui se tend progressivement. Tu te rhabilles, replaces ta jupe d’écolière et redresses ton chemisier. Un poing violent s’abat sur la porte, porteur d’une rage naissante. « Regarde-moi sale sang de bourbe » Tu soupires, te retournes et fait enfin face à ce visage dur où brille deux étaux de haine et de perfidie. La guerre a enseveli les âmes, les a bafoué, terrassé à coup d’idéaux brutaux. On se tait, s’allie, adhère à une forme d’obéissance ou de rébellion. Mais à vrai dire toi tu t’en fous. Tu trouves cela presque excitant. Cette adrénaline nouvelle; ne pas savoir ce dont demain sera fait, si cette ligne sinueuse que tu suis depuis tant d’années sera toujours là les jours prochains. Tu pourrais presque sortir dehors criant que tu es une née moldue juste pour le plaisir de pouvoir courir à en perdre haleine, de trouver une satisfaction presque malsaine dans cette inconnue qui s’ouvre à toi. Qui te happes avec force. Ton sang n’a jamais vraiment eu d’importance pour toi, pour les autres c’était une toute autre affaire. Une Sang de Bourbe chez les dignes représentants de Salazar Serpentard. Une vermine parmi les joyaux de l’Empire. Une catin parmi les puissants dignitaires. Cependant ce n’était pas pour cette raison qu’on te hait. On exècre ton euphorie, ta violence, ta franchise acerbe que tu dégaines sans raison avec cruauté. Tu ne comprends pas le stéréotype; sang-pur mauvais, née-moldue résistants. Et si toi, tu n’avais pas envie de te battre ? Et si toi, tu ne voulais pas suivre les traces qu’on te poussait à suivre ? Et si toi, tu voulais observer de loin le carnage à venir tout en attendant patiemment la fin ?« Je suis une sang de bourbe maintenant ? Ce n’était pas ce que tu disais quand tu étais sur moi. Ce n’est pas ce que j’ai pu entendre lorsque ta langue glissait le long de mes hanches. Ecrase-toi. Avoues simplement que ça te tue de n’avoir aucune emprise sur moi. Tu as eu ce que tu voulais non ? Tu as aimé, j’ai aimé; ne va pas nous créer de problèmes, veux-tu ? Je préfère largement lorsqu’on ne parle pas.  Maintenant dégage, tu m‘as refroidie. » Une minute, deux minutes il ne bouge pas, toi non plus. Son corps est à présent plus détendu, tu le sens près de toi. Ses yeux bleus se posent de nouveau sur toi, porteur d’une indifférence presque cruelle. « C’est-ce que tu veux, n’est-ce pas ? Que les gens te prennent pour une traînée. Qu’ils posent sur toi leurs regards désapprobateurs. C’est-ce qui te plais, être considérée comme une moins que rien. Tu as un vrai problème, tu ne seras jamais heureuse comme ça. » Son regard se fait plus pressant sur toi et tu sens ainsi l’étroitesse de la cabine. La chaleur qui t’avait habité durant votre ébat te quitte progressivement tandis que tu commences à grelotter, que ta chair se tend sous les dures reproches. « Je suis heureuse, je ne cherche pas à l’être davantage. Si ta vision du bonheur c’est d’être réduite au conformisme, c’est que tu n’as rien compris. L’avis des autres m’importent peu, qu’ils pensent et disent ce qu’ils veulent. »

« C H A P T E R # 03 »

Tu suis Emily vers la tour d’astronomie tout en regardant ta copie où trône fièrement un T vermeille. Rageuse, tu écrases le parchemin entre tes doigts fins et la glisse dans ton sac en bandoulière. Nous sommes en début d’année, le temps se refroidit peu à peu et l’atmosphère à Poudlard se dégrade progressivement. On te lance des regards en coin dû à tes origines moldues, on t’insulte secrètement au détour d’un couloir loin des yeux vigilants des professeurs. Il ne fait plus bon être moldu dans l’enceinte du château. Des clans se forment et les esprits jouvenceau sont fortement intimidés par les nouvelles exigences en vigueur. Malgré tout cela, ton attitude ne change pas. Tu es toujours aussi ignoble que ce soit envers les nés moldus, les sangs-purs ou bien même les sangs mêlés. Tu ne fais pas partie de ceux qui se battent, ces courageux qui sacrifient leurs vies pour un idéal auquel ils croient. Toi, tu fais partie de cette catégorie dont on ne parle jamais, celle qui tente de vivre du moins de continuer à faire comme ci rien n’avait changé. Celle qui suit les nouveaux préceptes, silence aux lèvres, cœur meurtri. Tu fais partie des spectateurs, ceux qui lorsque l’horreur les atteint, observe, fuit, se cache égoïstement, haineusement. Tes yeux ternes se posent sur la vision majestueuse que t’offre la hauteur de la tour gauche. « Ne me dis pas que tu songes à sauter. » Tu te retournes, lui souris légèrement. Non, sauter ce n’est pas ton genre, c’est beaucoup trop facile, trop rapide. « Non, ce qui est excitant. C’est de marcher sur ces remparts telle une funambule, de me demander si le prochain pas que je ferais est synonyme de vie ou de mort. Ce qui me plait, ce n’est pas de mourir, c’est de ne pas savoir quand. C’est de jouer avec ces lignes sinueuses tout en n’en franchissant aucunes. Un pas je vis, un pas je meurs. L’inconnue, l’adrénaline, ça c’est la vie. Je ne suis pas prête à mourir maintenant, sois en sûre ! » UNDERCONSTRUCTION