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NOM : Ferguson-Hakws. Les Ferguson avaient besoin de purifier leur descendance. Les Hawks avaient besoin d'argent. L'alliance parfaite et inattendue de deux familles. Ma famille. PRÉNOM(S) : Dalhia. Il s'agit d'une fleur, mais mes parents ne l'ont pas choisi pour cette raison. Parmi la liste des prénom proposé par ma mère, Dalhia était le seule qui plaise à mon père.ÂGE : Vingt et un ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née un treize avril, près de trois minutes après mon frère jumeau, Enoch. Nous avons vu le jour dans le château des Freguson, à Cork. STATUT DU SANG : Je suis de sang mêlé. Une épouvantable erreur et toute une lignée s'en retrouve infectée. MAISON : Gryffondor. Inutile de vous dire à quel point mes parents ont été déçu par cette répartition. Heureusement, Enoch ne s'en est pas tiré mieux que mon en finissant à Poufsouffle. A choisir, Gryffondor, c'est très bien. NIVEAU D’ÉTUDES : Je suis sortie de Poudlard avec 10 BUSEs et 9 ASPICs dont la grande majorité ont été obtenue avec la mention optimale. EMPLOI : Je suis devenue infirmière dans le service de pathologie des sortilèges. J'adore le métier que je fais, même s'il peut être très éprouvant, physiquement et émotionnellement. LIEU DE VIE : Après notre diplôme, nous avons emménager dans la résidence familiale de Hawks, en plein cœur de Londres. BAGUETTE : 23 centimètre d'aubépine contenant un ventricule de dragon, relativement souple. GROUPE : Like a Wizzard. CÉLÉBRITÉ : Gabriella WildeCRÉDITS : Tumblr.

A savoir sur ton personnage

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Dalhia et son frère son très proche l'un de l'autre. Leur doctrine? Divisés pour mieux régner. Ainsi, en arrivant à Poudlard, chacun s'est choisi un clan, une allégeance. Enoch s'est rangé du côté des sangs pures et Dalhia du côté des amis des moldus. ◊ Pendant sa scolarité, Dalhia a été un modèle de droiture, de loyauté et de perfection. C'était une fille agréable, douce et enjouée. Elle était très appréciée par les élèves de sa maison. Mais était-ce la véritable Dalhia ou une simple illusion? ◊ Dalhia est dépendante au coca cola et ce, même s'il s'agit d'une boisson moldue. ◊ Dalhia ne mange que les dragées de Berties Crochues rouges et roses. ◊ Dalhia a des crises de boulimie. ◊ Dalhia ne supporte pas les mensonges qui ne sortent pas de sa bouche. N'essayez pas de lui mentir, cela n'en vaut pas la peine, elle flaire le mensonge à des kilomètre à la ronde. ◊ Dalhia est incapable de produire un patronus depuis que ses parents lui cherche un fiancé d'ascendance pure pour masquer sa grossesses. ◊ Dalhia est folle amoureuse de son frère, elle n'a jamais aimé un autre homme comme elle l'aime lui. Si elle a eut des autres relations, ce n'est que pour protégé celle qui l'unit à son jumeau. ◊ Dalhia ne sait pas dormir seule ◊ Dalhia n'a jamais compris sa répartition à Gryffondor, mais elle l'a toujours utilisés comme une force. ◊ Dalhia est passionnée par la photographie. ◊ Dalhia est une fille de Corck et tout le monde sait que les filles de Cork ont le diable au corps.


TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ?

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Notre doctrine? Divisé pour mieux régner. Il a toujours été du côté des pros sangs pures, pendant que moi je me tenais du côté de l'ancien ordre. Aujourd'hui, la victoire en vient au Seigneur des Ténèbres. Je me suis effacée. Je suis rentrée dans les rangs, sagement. Je garde toutefois des contacts avec mes anciens amis... Si on peut les appeler ainsi. Je ne sais absolument pas comment les choses vont se dérouler... Mais quoi qu'il en soit, nous serons toujours du côté de la victoire... Peu importe celui qui est victorieux. Nous avons habilement jouer nos cartes pour ne pas avoir se soucier de la situation.

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TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : Belgicanos, mais vous pouvez aussi m'appelez Elodie. TON ÂGE : J'ai vingt quatre ans. PAYS : Belgique. Alléluia.  TU AS TROUVÉ PI PAR : Cela fait un petit moment que je traîne ici en invité, mais j'avais énormément de travaille pour l'école (dernière année oblige).TON AVIS SUR PI : J'adore le contexte et le fait qu'il y ait toute sorte de personnages, avec des avatars que l'on attend pas toujours. Félicitation. DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : Oui, j'aimerais beaucoup. UN DERNIER MOT :   

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Son cœur loupe un battement. Il cogne et frappe douloureusement contre sa poitrine. Mais elle s'en fiche, elle n'a d'yeux que pour la silhouette inanimé de son frère. Elle a vu son corps s'écraser contre le sol avec une telle violence. Sa vie défile sous ses yeux. Leur vie. L'espace d'un instant, elle a entraperçu ce que sa vie serait si elle venait à le perdre. Elle ne supporte pas cette idée. Elle ne peut pas le perdre. Jamais. Elle arrive à sa hauteur. Le sang perle contre sa joue. Il est blessé, mais c'est elle qui souffre. Elle pose ses mains contre ses joues, elle murmure son nom pour qu'il lui revienne. Ses doigts effleurent l'égratignure. Elle grimace douloureusement, alors que lui reste immobile. Il a suffit un instant seulement. Le genre d'instant qui s'éternise, qui ne semble pas avoir de fin. Le genre d'instant qui vous brise. Les paupières du gamin papillonnent. Ses orbes apparaissent lorsque le voile de chair se soulève. L'air peut à nouveau circuler librement. Elle retrouve son souffle. Elle retrouve la vie. Elle vient écraser ses lèvres contre le front de son frère. Les larmes roulent sur ses jouent rondes. Elle se laisse submergée par ses sentiments. Partagée entre joie et l'angoisse. Elle a tout juste cinq ans et déjà, elle sait que l'amour ne tient qu'à un fil. La menace pèse sur ses frêle épaule. Elle pourrait le perdre. Elle n'a pas besoin de parler. Elle n'a pas besoin de le regarder. Il sait. Il glisse sa main dans la sienne, la gratifiant d'un sourire alors qu'il se redresse. Ce n'est qu'une chute. Un enfant maladroit qui tombe de son perchoir de fortune. Ce n'est pas grand chose et pourtant, elle est bouleversée et désorientée. C'est un sentiment bien trop puissant pour un si petit être. Elle ne le comprend pas. Elle ne l'explique pas. C'est juste là. Il presse ses doigts contre la paume de sa sœur, lui arrachant un sourire. Il va bien. Il est là. Les craintes s'estompent. Les battements de son cœur se calque presque naturellement aux battements de son cœur à lui.


Les jumeaux Ferguson-Hawks avaient onze ans, ils étaient près pour Poudlard, mais Poudlard était elle prête pour eux? Rien n'était moins sûre. Dalhia s'est emparé de la main de son frère, avançant dans la grande tout en dévorant le plafond magique du regard. Les premières années s'immobilisent et sont appelés les uns après les autres sur l'estrade pour être réparti. Elle tourne son regard vers lui et instinctivement, il porte son attention sur elle. Il s'approche d'elle pour lui murmurer quelques mots.  Tu prends les amis de moldus ou les pro Sang Pur? Ses lèvres se pincent délicatement l'une contre l'autre. Elle jette un coup d’œil à la volée autour d'eux pour finalement en revenir à lui en haussant les épaules. Peu importe. Tout ce qui compte, c'est que l'on soit ensemble. Dans ses yeux, une lueur inquiète, une angoisse profonde. Etre séparé. Cette menace père sur les jumeaux. Elle ne le supporterait pas.  Ils ont toujours convenu qu'ils seraient séparé pour mieux régner, mais pas comme cela. Dalhia déteste l'idée que son destin se trouve dans les mains d'une relique vieille comme le monde. Elle sent l'étreinte de son frère se resserrer sur sa main. Rien ne peut nous séparer. RIEN. Quoi que ce Choixpeau puisse décider. Pour toute réponse, elle hoche la frimousse blonde. Elle sait que c'est bien plus que des mots, c'est une promesse. Dalhia Ferguson-Hawks. Ils n'ont pas besoin de se regarder, ils se comprennent, ils prennent une inspiration profonde, prenant une bouffée de courage. Elle s'avance vers l'estrade, relâchant les doigts de son frère à la dernière seconde. ils y sont. Il n'y a plus qu'à attendre que la décision tombe. Ils ne peuvent rien faire d'autre. Elle finti par prendre place sur le tabouret. Elle fait face à tous les élèves de Pouldard, mais elle ne cherche qu'un seul être parmi la foule. Son frère. Il est là où elle l'a laissé. Le choixpeau se pose sur la tête, il prend quelques secondes, il semble hésiter. Gryffondor. Acclamation et applaudissement. Quoi? Gryffondor? Le petit bout de femme est pétrifiée. La main du professeur McGonagal se pose sur son épaule, l'incitant à rejoindre sa nouvelle maison. Elle s'exécute, ne lâchant pas le regard de son frère. Elle est perdue. Enoch Ferguson-Hawks. Le jeune homme bondit vers l'estrade, n'ayant qu'une seule envie la rejoindre. Mais le choixpeau en décida autrement. Poufsouffle. Elle écarquille les yeux. Son monde s'écroule. Elle n'arrive plus à respirer. Il doit forcément y avoir une erreur. C'est impossible.


Un éclat de rire s'échappait de ses lèvres rosées. Oh. Attendez je reviens. Elle s'extrait du groupe qui l'entoure. Une reine parmi des abeilles. Tout semble gravité autour d'elle. Elle est si belle, si douce, si agréable. Elle plait à tout le monde. Comment pourrait-il en être autrement? Le pas léger, elle rejoint son frère, lançant un regard amusé à son groupe d'ami. Elle se tourne ensuite vers son frère, roulant des yeux vers le ciel. Pitié. Enoch laisse échapper un rire franc. Je croyais que le rôle de la gentille te plaisait. Elle croise les bras contre sa poitrine, un petit air bouguon s'emparant de ses traits de poupée. Gentille peut-être, mais complètement niaise... Arg. Comment peuvent-ils... Hey Dalhia, tu viens manger avec moi? Elle se fige, portant son attention vers Olivier Dubois. Elle crève d'envie de lui faire avaler cette main malencontreusement posée dans le bas de son dos. Et pourtant, elle ne lui offre qu'un sourire éblouissant. J'arrive tout de suite, je dois encore dire quelques petites choses à mon frère. Mielleuse au possible, elle passe délicatement une main contre sa joue. Elle attend qu'il s'éloigne avant d'en revenir à son frère, exaspéré. Un nouvel éclat de rire, mais différent du premier. C'est un rire sans saveur, un rire jaune et amer. Elle sait à quel point c'est douloureux pour lui de la voir agir ainsi avec un autre. Rappel moi ce que l'on fout dans ces foutues maisons? Elle secoue la frimousse à la négative. Elle toise les élèves qui l'entoure avant d'en revenir à son frère. On peut se voir plus tard? Avec le tournois des trois sorciers, tu sais bien que l'on ne peut pas foutre un pied d'hors sans se faire prendre... PAR MERLIN. Je m'en fiche. Je n'en peux plus. J'ai besoin de t'avoir... Oh s'il te plait Enoch, ne me repousse pas. Il soupire, pose ses mains sur ses épaules et vient déposer un baiser sur son front. Comme si je le pouvais. Poudlard se dresse entre eux. Lorsqu'ils sont au château, ils ne peuvent pas se voir aussi souvent qu'ils le voudraient. Et quand il se croisent, ils ne peuvent pas être sincère, ils doivent maintenir les apparences. Ça les bouffe. Ça les déchire. C'est compliqué et difficile.


Enoch et Dalhia. Dalhia et Enoch. Deux êtres qui s'accordent à la perfection. Parfois les jumeaux donnent l'impression de former un être entier, un être complet, comme si chacun d'un n'était qu'une partie incomplète et imparfaite. Ils se complètent plus que n'importe qui. Ils ont beaux être séparés l'un de l'autre, ils semblent toujours être l'un auprès de l'autre. Ils ne semblent jamais seuls, comme s'ils étaient sans cesse accompagné par l'ombre de l'autre jumeau.L'évidence frappe aux yeux, mais elle ne choquent personne. Nulle ne pourrait croire ce qui les unis réellement. Aux yeux de ces touts seuls, ils ne sont que des jumeaux unis par un lien indestructible depuis leur naissance. Il n'y a rien de malsain, rien de plus qu'un amour pur et intense qui unis deux frère et sœur. S’ils savaient comme ils se trompent. Dalhia, tu viens? La demoiselle relève son regard vers le jeune Dubois. Elle lui sourit et attrape simplement sa main. Elle ne s'excuse pas, probablement parce qu'elle ne se rend même pas compte d'avoir été complètement ailleurs. Il sert délicatement les doigts de la jeune femme dans les siens, souriant béatement aux anges. Et les pensées de la jeune Ferguson-Hawks qui s'envole. Evidemment, il est loin de se douter que tout ce qu'elle lui offrait ne lui était pas réellement destiné. Dalhia ne pense qu'à son frère. Aucun homme n'est jamais parvenu à se hisser à la hauteur de cet amour. Mais au fond? A-t-elle seulement essayer d'en aimer un autre? A-t-elle seulement laisser une chance à ses prétendants? Non. Evidemment que non. L'ombre d'Enoch plane sur chacun des hommes qui a un jour voulu l’enlacer. Alors même ce Dubois, même ce garçon parfait avec lequel on prétend qu'elle s'accorde si bien, oui, même lui ne parvient pas à la détourner de son amour véritable. Qui-a-t-il de mal à aimer? Rien. Il n'y a rien de laid, rien de mauvais dans l'amour, peu importe la personne que l'on chérit. Elle entend d'ici l'opinion publique se soulever, outré par cette alliance malsaine et mauvaise. Elle s'évade un peu plus, pour échapper à ses doigts inconnus qui parcours son dos. Qu'il cesse. Qu'il arrête. Ses caresses la brûlent et ses baisers la répugnent. Elle s'évade, mais cela ne suffit plus. Elle le repousse finalement, sans qu'il ne l'ait vu venir. Elle prend ses jambes à son cou, avec une seule idée en tête, retrouver ses bras à lui.


Elle quitte l'allée des embrumes. Elle se faufile dans l'obscurité. Elle marche d'un pas rapide, déterminé à laissé cette conversation derrière elle. Comme si elle le pouvait. Il n'y a pas de retour en arrière possible. Elle a beau fuir, la réalité la rattrapera, ce n'est qu'une question de temps. Elle finit par rejoindre le chemin de travers. Elle se plonge dans la foule. Elle se laisse sombrer, emportée par la masse qui se presse dans les rues, sans se soucier du monde qui les entoure. Tout résonne dans sa tête. C'est une cacophonie insupportable. Les premières gouttes tombent, s'écrasent contre sa peau dénudée. Elle s’immobilise au milieu de la marée humaine qui se presse et se bouscule à la recherche d'un abri. Ses orbes se lèvent vers le ciel. Par Merlin, que va-t-il advenir d'elle. Elle ne sait pas de qu'elle doit faire face à une telle situation. Elle n'y est pas préparée. Enoch. Bon Sang, que va-t-il penser de tout cela? Elle a l'impression d'avoir pris un billet pour l'enfer. L'aller sans le retour. Elle est coincée. Elle ne contrôle rien. Ses mains se glissent sur son ventre, tremblantes. Il n'y a aucun changement. Son corps est resté le même. Et pourtant... Tout est à présent différent. Elle porte la vie en elle. Une telle chose n'aurait jamais dû arrivé. Lorsqu'elle avait imaginé son avenir, jamais elle n'y avait vu d'enfant. Elle savait qu'il ne pourrait jamais lui en donner un et si lui ne le pouvait, alors aucun d'autre ne le ferrait. Et pourtant... Le destin se moque bien de ce qu'elle croyait. Il se joue d'elle. La pluie s'abat sur elle, de plus en plus dense. Elle demeure immobile. Incapable de bouger. Elle ne sait pas. Elle ne sait plus. Elle est plus perdue que jamais. Elle aimerait pouvoir se réjouir. Avoir un enfant de lui, c'était le lus beau cadeau que l'on puisse lui faire. Oh. Elle ne s'attendait pas à ce que l'on comprenne l'amour qu'elle lui vouait. Elle savait ce que le reste du monde en penserait. C'était un secret qui pesait contre son cœur. Mais elle l'aimait. Peu importe ce qui était attendu. Elle l'aimait. Et s'il y a bien une chose qu'on ne décide pas, c'est l'amour. Le destin s'était déjà joué d'eux. Il les avait emprisonnés dans un amour impossible, malsain et incompréhensible. Un amour destructeur et passionnée. Un amour comme on en rencontre pas deux fois dans une vie. Elle portait en elle le fruit de cet amour. Elle savait que cela devait demeurer secret. Le monde n'est pas près à comprendre un amour comme le leur. Elle ne sait que trop bien ce que l'on en dirait, ce que l'on en penserait. Elle ne la pas choisi, mais elle l'aime quand même, comme elle n'a jamais aimé auparavant. La voyante avait répondu à ses questions. Plus encore, elle avait confirmé ce que Dalhia savait déjà. Elle attendait un bébé, un bébé  de l’homme de sa vie, un bébé de son frère.


La matriarche tourne en rond. Elle fait les cent pas dans la salle de séjour. Elle se stoppe parfois pour vérifier que ses enfants maintiennent la distance entre eux. Elle porte une main tremblante à ses lèvres et se tourne finalement vers son mari, complètement désemparée et déstabilisée. Elle ne l'a pas vu venir. Comment est-ce que cela a pu se produire? Dis quelques choses. FAIS quelques choses. TU es l'homme. TU ne vas pas les laisser détruire ce que nous avons battis. Son talon frappe le sol, appuyant chacune de ses paroles. Le daron lève un emain pour lui intimer le silence. Il ne la regarde pas, non, il ne peut détacher son regard de ses deux enfants. Sa propre chaire. Son propre sang. Comment ont-ils pu le trahir de la sorte? Dalhia laisse échapper un sanglot. Ce n'est pourtant pas une gamine pleurnicharde, il avait pourtant l'habitude de voir sa fille fière et forte. S'est-il trompé à ce point? Enoch a un mouvement vers elle, il vient poser sa main contre son genou. ASSEZ. hurle le père, se relevant pour foncer droit sur eux. Le temps semble figé autour de lui. Il se saisit des poignet de sa fille, l'obligeant à se rekever. Il la secoue vivement.Assez. Je ne veux plus t'entendre couiner, petite traînée. Il la relâche violemment contre le sofa avant de se tourner vers son seul hériter masculin. Et toi, je t'interdis de la toucher encore une seule fois. La veine de son front palpite furieusement. Le sang d'Enoch ne fait qu'un tour, il bondit sur ce vulgaire géniteur. L'épouse pousse un cri de stupeur, elle porte les mains à ses lèvres mais elle reste figée, complètement figée. Contre toute attente, c'est la voix de Dalhia qui s'élève, stridente et hystérique. NON. ENOCH NON. Elle se glisse entre eux, accueillant bien malgré elle un cou de poing qui devait revenir à son frère. Elle ne bronche pas, elle tente tant bien que mal de repousser celui qu'elle aime vers le fauteuil. S'il te plait, mon amour. S'il te plait. Il se laisse entraîne, bien malgré lui, saisissant le visage de sa sœur entre ses mains pour vérifier son état. Les deux amants ont à peine le temps de se lover l'un contre l'autre que Dalhie est tiré brutalement en arrière et poussée contre un fauteuil voisin. La baguette du père se tend, menaçante, vers ce fils qu'il ne reconnaît plus. Je n'hésiterais pas. Il finit par tourner son regard vers sa femme. Nous aurons besoin de leur trouver des époux. Le plus rapidement possible, avant que cette abomination ne commence à être visible.


Dalhia déambule les couloirs. C'est le début de l'après-midi, il fait toujours relativement calme à cette période de la journée. Elle surveille ses patients sans oser franchir le seuil de la porte de peur de les déranger. Il y a tellement de souffrance et tellement de blessure dans ce long couloir. Parmi tous les services, celui des pathologies des sortilèges est celui qui garde le plus de patient à long terme. Ce sont des êtres détruits par un simple coup de baguette magique. Arrivée au bout de couloir, le petit bout de femme tourne les talons, elle enfonce les mains dans les poches de son uniforme et s'adosse dans l'embrasure de la porte. Allongée là, un garçon est lové dans son lit, les paupières closent. Elle sourit doucement. Elle laisse ses pensées s'éavder. Quand elle le voit allongée dans ce lit, incapable de se souvenir de son identité, sans personne pour venir le voir, elle se considère chanceuse.  Si tu arrêtais de me fixer et que tu entrais m'expliquer ce qui te tracasse. Elle pince les lèvres, hésite quelques secondes et vient s'installer au pied de son lit. Elle fixe à présent le vide, restant étrangement silencieuse. Elle ne sait rien de lui, pas même son nom. Et pourtant, elle se sent étrangement bien en sa compagnie. Elle se sent en confiance et apaisée. Mais oserait-elle lui parlé de ce qui se trame dans sa vie? Oserait-elle lui dire qu'elle attend un enfant de l'homme de sa vie? Oserait-elle lui dire que cet homme est son frère. Non. La révélation faite à leurs parents lui a suffit. Elle demeure profondément blessée par les propos que son père a pu tenir à son égard, mais aussi à l'égard de son frère. Pauvre petit chose qui grandit en elle. Que va-t-il advenir de lui? Elle refuse qu'un autre homme puisse l'élevé et le considéré comme son fils. Non, seul Enoch peut tenir se rôle... Mais Ils ne la laisseront pas prendre une décision aussi irrationnelle. Oh la môme, qu'est ce qu'il se passe? Elle sourit douloureusement, posant son regard vers lui. Elle lui prend délicatement la main. Tu sais que normalement, c'est moi qui devrait m'occuper de toi? Peut-être la môme, mais il faut bien que quelqu'un se soucie également de toi.

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Tu as la classe, te voilà validé et même Voldemort il te fais une petite danse sexy, roh lala, trop de bonheur mon enfant. Comme tu es validé tu peux mater ce truc débile ou encore te préparer à envoyer des fringues à Harry parce que le pauvre quand même

Cependant, tu peux aussi faire un scénario si jamais tu en as l'envie, en faisant bien attention à respecter les quelques règles. Tu dois recenser ta famille, afin que toutes les familles soient bien répertoriée et si tu en as envie, comme ça, d'autres membres pourront rejoindre ta famille et vous pourrez passer des supers noëls tous ensemble. Pense également à remplir ton profil, ça parait peut-être secondaire, mais ça permet d'en savoir plus sur ton personnage, en un seul coup d’œil, alors c'est plus utile que ça en à l'air.

Ton personnage, s'il est à l'école, il pourra être préfet ou même rejoindre un club. S'il est adulte, il aura besoin d'un travail pour payer ses factures. Dur dur d'être un adulte. Tu pourras aussi bénéficier d'une capacité spéciale et d'un patronus si jamais du en à l'envie. Il est également temps pour toi de te trouver des liens parce que c'est mieux d'avoir des liens sur un forum rpg quand même. N'hésite donc pas à en demander. Bien sûr tu pourra aussi gérer tes rps parce que le rp c'est important sur un forum rp, sinon, on appellerait pas ça un forum rp, CQFD. En plus de tout ça, tu pourra faire gagner des points à ta maison, que tu sois encore étudiant ou non et, que la meilleure maison gagne les petits.

Voilà, donc, maintenant que tout ça c'est fait, il ne faut pas hésiter à rejoindre le flood, c'est très bien pour l'intégration, ça permet d'apprendre à connaitre les gens et finalement de s'intégrer dans la communauté, ne soit pas timide, on n'a jamais mangé personne. Mais si tu as trop peur, nous comprenons, et des parrains et marraines tout gentils sont mis à disposition pour t'aider, il suffit de demander

Enfin, je crois Pour aider prior incantato, mais aussi parce que ça t'aidera à remporter des points, tu peux voter sur les tops sites, mais aussi nous laisser un mot doux sur bazzart.

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