puis une citation aussi pour faire encore plus joli
NOM : il porte le nom de gedwyr, un nom respectable dans le monde de la magie, il s'agit sans doute du seul héritage qu'il a de ses parents, alors il le porte avec fierté, sans doute encore plus depuis qu'il l'a transmis à sa fille. PRÉNOM(S) : il se prénomme wayne-dryn, ses parents ont définitivement fait preuve de beaucoup d'imagination lorsqu'ils ont choisi son prénom. en principe, on l'appelle juste wayne. son second prénom est zilean le prénom de son arrière-grand-père maternel, un grand homme d'après ses parents, mais il n'a jamais eu la chance de le connaitre. ÂGE : il est âgé de quarante ans, on pourrait presque lui dire que sa crise de la quarantaine ne va pas tarder à arriver, il a l'impression lui, qu'il l'a terminée il y a peu de temps. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : il est né le 2 avril 1958, dans la ville de Londres en Angleterre, dans l’hôpital de sainte mangouste, il a d'ailleurs passé les premières années de sa vie dans la ville de Londres, avant de déménager à Thurkelham en écosse, après le décès de ses parents. STATUT DU SANG : il est un sorcier de sang-mêlé, ses deux parents étaient des sang-mêlés également, évidemment, dans de telles circonstances, il pouvait difficilement posséder un autre statut de sang. MAISON : il a fait ses études au sein de la maison poufsouffle, on dit pourtant depuis quelques temps que la loyauté ne fait clairement pas parti de ses qualités, enfin, une chose est sûre, le jaune est une couleur qui lui va bien au teint, alors cette maison était faite pour lui d'après le choixpeau. NIVEAU D’ÉTUDES : il a terminé ses études il y a bien longtemps déjà avec la totalité de ses buses et de ses aspics, soit dix diplômes dans les deux cas. EMPLOI : il dirige actuellement le département de la coopération magique internationale, il dirigeait déjà ce département pendant la guerre, mais l'homme le remplaçant pendant a été retrouvé mort récemment, certainement pas un hasard, enfin, il a joué de ses relations pour reprendre son poste, finalement, avoir une maitresse chez les mangemorts, ça a fini par payer ; oui on peut facilement dire qu'il a couché pour réussir, au moins sous le gouvernement de voldemort. LIEU DE VIE : il vit actuellement à bloxam creek en irlande, dans la même maison où il s'était installé avec son épouse bien des années plus tôt, une maison particulièrement bien protégée par des sortilèges en tout genre. BAGUETTE : sa baguette est en bois de vigne un bois qu'on dit plutôt rares, elle contient un ventricule de coeur de dragon lui procurant une magie rapide, très utile dans les duels ; elle mesure vingt-huit centimètres et se montre relativement souple. GROUPE : garden of bones. CÉLÉBRITÉ : pedro pascal, oberyn ouais, lalala swaggy swag. CRÉDITS : tumblr.
A savoir sur ton personnagewayne-dryn est né dans une famille de sang-mêlé, ses deux parents étaient des sorciers, il a grandi dans le Londres sorcier, ainsi, il connait surtout le monde des sorciers ; si son épouse, née moldue a cherché à l’accoutumer au monde moldu, irrémédiablement il se sent plus à l'aise parmi les sorciers. ◊ ambitieux, il n'a jamais laissé son avenir entre les mains du hasard, il a toujours voulu entrer au ministère de la magie, ainsi il a travaillé dur quand il était étudiant à Poudlard et au sein du ministère de la magie, il a su gravir les échelons en faisait preuve de force et de persévérance ; en principe, il n'est pas de ceux qui abandonnent facilement. ◊ il a des origines chiliennes par sa mère, il sait parler la langue à la perfection, elle avait commencé à la lui apprendre et après sa mort il a tenu à continué cette apprentissage afin d’honorer les origines de sa mère, de plus il s'est exilé là bas pendant plus d'un an, forcément, ça aide à parfaire un apprentissage d'une langue d'être en immersion dans le pays concerné. ◊ se considérant comme pas complètement fou, il maitrise aussi bien la baguette que le poignard, il doit bien avoué que parfois un coup de poignard est plus efficace qu'un sortilège. ◊ il a conscience des erreurs qu'il a commises ces derniers temps, s'il ne regrette pas forcément d'avoir quitté le pays (malgré ce qu'en pense les autres, ce n'était pas qu'un signe de lâché, il voulait sauver ses proches), cependant ses adultères à répétition pendant cette dernière année, ce n'était certainement la meilleure chose à faire ; bref, il en a conscience mais il ne supporte pas qu'on le lui rappel, ça a tendance à l'énerver. ◊ personne ne saurait dire s'il est patient ou complètement impulsif, il faut croire que ça dépend des circonstances et de son humeur, un jour il peut faire preuve d'une patience en or et le lendemain foncer dans le tas sans réfléchir ; sans doute peut on dire qu'il est particulièrement lunatique. ◊ rentré en Angleterre depuis peu, il a retrouvé sa femme dans un état bien malheureux, il ne sait pas pourquoi ni comment ça lui est tombé dessus, mais il est particulièrement motivé à essayer de découvrir ça ◊ s'il a fait parti de l'ordre du phénix durant la première guerre, on ne peut pas en dire autant pour la seconde ; au yeux du reste du monde, il s'est enfui avant que les choses ne se compliquent, officiellement, il ne cherche pas à contredire cette rumeur, ça évite que les mangemorts du ministère le soupçonnent de trahison, mieux vaut être un lâche qu'un traitre ces derniers temps. ◊ bizarrement, il ne supporte pas qu'on l’appelle wayne-dryn, ça sent les problèmes, plus jeunes, on ne l'appelait comme que que quand on l'engueulait, sa femme elle, utilisait ce prénom quand elle avait quelque chose d'important à lui dire ou quelque chose à lui reprocher, alors en définitif, il préfère wayne de la part de ses proches, gedwyr pour les autres. ◊ son plat préféré est certainement la tarte au citron, pas le plus équilibré des plats sans doute, mais il aime vraiment ça, s'il pouvait il ne mangerait que ça ; par contre pas question de lui mettre une meringue avec, il ne supporte pas ça.
TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ? Longtemps loin de la guerre, Wayne aurait du, ne pas avoir trop de soucis à se faire. Il n'a pas pris par au combat, il était au Chili pendant que les autres se battaient ; que sa femme se battait, que sa fille se battait. Loin de la guerre, il a continué sa vie avec ses regrets, mais il doit avouer avoir sans doute un peu trop profité de cette année et quelques mois loin de chez lui, pendant un moment, c'était presque comme s'il était dans un rêve, que ses actions n'avait pas la moindre conséquence. Maintenant qu'il est de retour en Angleterre, il commence à les voir d'un peu trop prêt les conséquences. Il a retrouvé sa femme dans un état déplorable, il ignore comment ça s'est passé, logiquement, tant qu'il était loin, il n'aurait pas du lui arriver quoi que ce soit. Quoi qu'il en soit, il est déterminé à présent à découvrir ce qui s'est passé, et surtout à la venger. Dans la situation actuelle, il est se traitre au sein du ministère, ce type qui a rejoint la rébellion dans un but purement personnel et c'est à peine s'il s'en cache. Il marche clairement sur la lame d'un rasoir ; mais sa femme n'a plus toute sa tête et si elle l'avait, elle le maudirait, sa fille le déteste, alors au fond, il n'a plus rien à perdre.
et derrière ton écran.
TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : sweet poison, anaïs. TON ÂGE : 21 ans. PAYS : westeros. TU AS TROUVÉ PI PAR : ta mère. TON AVIS SUR PI : prout. DÉSIREZ-VOUS UN PARRAIN ? : owi. UN DERNIER MOT : pffff sérieux, si j'en refais un après celui-là, envoyez quelqu'un chez moi pour m'assassiner u__u
Poudlard était le dernier endroit où Wayne voulait être pour le moment. Il savait déjà qu’il aurait le droit à plein de belles paroles, des regards réconfortants et tout ce qui allaient avec. Il n’avait pas besoin de ça, il n’avait pas besoin que chaque jour pendant une bonne partie de l’année, on vienne lui répéter que ses parents étaient morts. Il aurait préféré rester Merlin seul savait où, enfermer dans son coin sans que personne ne vienne le déranger. Pourtant, sans un mot il avait suivi son oncle et sa tante en direction de la gare. Ils étaient ceux qui s’occupaient de lui depuis la mort de ses parents, au début des vacances scolaires. C’étaient des gens biens, mais avec leurs deux jeunes enfants, ils avaient peut-être mieux à faire que de s’occuper d’un adolescent, c’était une idée qui s’était installée dans sa tête au fur des jours passés chez eux. Pas qu’ils aient donné cette impression, juste, qu’il aurait définitivement préféré resté tout seul enfermé dans son coin. Agé de quinze ans, il avait passé la majeure partie de sa vie avec ses parents, il n’avait eu qu’eux pendant longtemps et maintenant, il savait très bien qu’il n’aurait plus jamais l’occasion de les revoir. Tous les deux étaient des aurors et tous les deux avaient été tués par des mages noirs. Ces derniers étaient rares en Angleterre. On entendait de plus en plus parler d’eux depuis une vingtaine d’année. Plus nombreux, plus puissants, forcément, plus dangereux. Ils avaient tués ses parents. Arrivé sur le quai du Poudlard Express, le jeune sorcier poussa un long soupir. Cette année ne serait pas des plus joyeuse et il savait d’avance que ses camarades n’allaient pas lui faciliter la vie. Ça se savait déjà, dans le monde de la magie que les parents Gedwyr étaient décédés. La nouvelles s’étaient répandue plus vite qu’il n’aurait pu l’imaginer. Il avait reçu un tas de courrier, des lettres, des cadeaux, tout un tas de choses auxquelles il n’avait même pas touché, c’était encore dans sa nouvelle chambre, dans le manoir de son oncle et de sa tante en écosse. « Ça va aller ? » La voix de sa tante le tira de ses trop nombreuses pensées. Il ne savait pas quoi répondre. Sans doute que ça irait, il n’avait pas le choix en même temps, il fallait que ça aille, il n’allait de toute évidence pas se mettre à pleurer comme un imbécile en plein milieu du château de Poudlard. Il haussa vaguement les épaules avant de faire quelques pas en direction du train. « Ça ira. » Il se tourna vers son oncle et sa tante qui étaient toujours là. « Merci. A bientôt. » Il leur adressa un léger soupire avant de soupirer à nouveau et de s’éloigner d’avantage en direction du train. Au final, il ne savait même pas quand est-ce qu’il les reverrait, ils n’avaient pas discuté de son potentiel retour pendant les vacances, ils n’avaient pas beaucoup discuté tout court. Par sa faute sans doute, il n’avait pas franchement envie de parler à qui que ce soit depuis quelques temps. Ils étaient compréhensifs, après tout, ils avaient également perdu une partie de leur famille, ils partageaient un peu de sa peine, ils savaient qu’il ne fallait pas trop le pousser. Sans doute que dans ses amis, peu avaient conscience de ça. Il s’en rendit bien vite compte alors qu’on lui sauta littéralement dans les bras le faisant lâcher sa lourde valise au sol. « Je suis vraiment désolée, est-ce que ça va ? » Même elle, elle était au courant, pourtant, elle venait d’une famille de moldus, il fallait croire que vraiment tout Poudlard saurait qu’il avait perdu ses parents, quelle joie. « Merci, ça va. » Sur ses mots, il se surprit presque lui-même à enlacer à son tour la jeune femme, enfouissant sa tête dans son cou. Il pensait qu’il aurait repoussé n’importe quelle personne qui viendrait à lui en lui servant de stupides excuses. Avec elle c’était différent, dans les bras de la jeune femme, il se sentait bien, il se sentait mieux, soudainement apaisé des maux qui pesaient sur son cœur depuis la mort de ses parents.
« Il faut qu’on soit partis samedi dans la matinée, sinon, on y sera jamais à temps. » La voix de son épouse sonna comme un murmure inaudible aux oreilles sur sorcier. Ce n’était pas qu’il avait l’habitude de na pas l’écouter, au contraire, depuis qu’ils étaient mariés, ils semblaient être ce couple heureux, parfaitement stable qui ferait rêver bien des gens. « Hun, hun. » Réponse automatisée qui passa le seuil de ses lèvres sans même qu’il ne s’en rende compte, le nez plongé dans son dossier, le reste du monde semblait ne plus avoir aucune importance pour lui. Son épouse posa bruyamment les assiettes qu’elle venait d’essuyer sur la table, comme pour le faire sortir de ses pensées. Il sursauta légèrement avant de relever les yeux vers elle qui le fixait, un sourcil arqué, les bras croisés sur la poitrine. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Elle laissa échapper un soupire avant de s’avancer vers lui. « Ça fait au moins un quart d’heure que je te parle et je suis sûre que tu es incapable de me répéter un traitre mot de ce que j’ai dis. » Elle n’avait pas tord, il n’avait pas écouté, pourtant, il lui adressa un sourire avant de lui attraper la main, l’attirant vers lui jusqu’à ce qu’elle s’assoie sur ses genoux. « N’importe quoi, tu sais bien que je t’écoute toujours. » La sorcière laissa échapper un léger rire avant de se pencher sur le dossier qu’elle ferma d’un coup sec. « Lui par contre, je suis certaine que tu le connais par cœur. » Il n’avait pas vraiment le choix, s’il voulait sa promotion, il fallait qu’il connaisse ce dossier le bout des doigts. Il avait toujours été particulièrement ambitieux. Ses parents avaient toujours été fiers de ça, son oncle l’avait toujours poussé à donner le meilleur de lui-même pour pouvoir satisfaire son ambition. Eiris elle, elle l’avait toujours encouragé et soutenu dans son choix, elle était certainement la personne qui croyait le plus en lui, c’était elle. « Berkely part à la retraite, ils vont devoir le remplacer. » Oui, ils devraient remplacer le dit Berkley et il voulait sa place à celui-là. Elle lui adressa un sourire avant de déposer un baiser sur ses lèvres. « Tu auras cette promotion, j’en suis sûre. » Il lui rendit son sourire avant de l’embrasser à son tour. Ils étaient mariés depuis presque vingt ans, ils s’étaient rencontrés à Poudlard. Il se souvenait encore qu’elle avait été la seule personne avec qui il se sentait bien après la mort de ses parents, elle avait été la seule avec qui il avait envie d’être et le fait qu’elle soit déjà en couple à cette époque là ne l’avait pas empêcher de l’embrasser pour la première fois, entre les murs du château de Poudlard. Le premier baiser d’une longue liste. A présent occupé avec sa femme, il ne remarqua pas que la porte de la cuisine venait de s’ouvrir, c’était à peine s’il remarqua les raclements de gorge pourtant bien significatif qu’ils n’étaient plus seuls dans la pièce. « Je suis là, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué. » Enfin, il lâcha les lèvres de son épouse, à contrecœur. La sorcière quitta ses genoux avant de retourner à la vaisselle. « Comme je disais à ton père, qui ne m’écoutait pas, on partira samedi matin. Tous les deux, préparez vos affaires en avance, il est hors de question que je repasse derrière vous pour vérifier que vous n’avez rien oublié. » Les départs en vacances demandaient toujours une certaine organisation, il ne fallait rien laisser au hasard d’après Eiris, chose impossible d’après lui. « C’est à papa qu’il faut dire ça, pas à moi. » Alors qu’il se levait de table pour aller essuyer la vaisselle il arqué un sourcil, le regard posé sur sa fille. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » La jeune femme leva les yeux au ciel d’un air innocent. « Tu vas forcément oublier quelque chose. » Elle n’avait pas tord, c’était toujours lui qui oubliait quelque chose, Lisea avait hérité du même sens de l’organisation que sa mère, quelque chose que lui, il n’avait que dans le contexte du travail. « N’importe quoi. » D’un geste rapide il donna un coup de torchon à sa fille et rapidement, ils se lancèrent dans une bataille au beau milieu de la cuisine. Une soirée normal chez les Gedwyr.
« Je suis tellement désolé. » Il avait le front appuyé contre celui de son épouse. Leur destin était scellé à présent. Aujourd’hui, c’étaient les choix qu’ils avaient fait bien des années plus tôt, quand ils étaient encore à Poudlard, qui leur retombaient dessus. Ces histoires étaient trop vieilles, ils avaient tous les deux crus que jamais ça le les rattraperaient. Il fallait croire que certaines personnes avaient la rancune tenace. « Je t’aime. » Alors que les larmes coulaient sur les joues de sa femme, il serait son cœur se déchirer davantage. Il l’aimait aussi, toute sa vie, elle avait été la seule femme qu’il avait aimée. Il l’avait rencontré dans la salle commune de Poufsouffle dès leur première année à Poudlard, depuis ses quinze ans, il n’aimait qu’elle. Vingt-cinq années d’amour qui étaient en train de s’envoler parce qu’il avait eu le malheur de l’aimer alors qu’elle était encore en couple avec l’homme le plus rancunier de la planète. Il lui en voulait parce que vingt-cinq ans plus tôt, il lui avait volé sa petite amie et il lui en voulait encore plus, parce que, dix-sept ans plus tôt, il l’avait fait enfermé à Azkaban. « Je t’aime aussi, il peut bien t’effacer les souvenirs de cette journée, mais tu te souviendras toujours de ça, hein ? Je t’aime et tu sais au fond de toi que jamais, jamais je ne vous laisserez toi et Lisea, sans avoir de bonne raison. » Il n’allait pas tarder à en avoir une, une bonne raison. Dès qu’il aurait scellé ce fichu serment inviolable, il serait obligé de partir s’il ne voulait pas mourir sur place. Il aurait pu mourir pour l’ordre et bien entendu, il aurait pu mourir pour Eiris ou pour Lisea, mais mourir à cause d’un serment inviolable stupide passé avec un abruti pour des raisons absurde ? Il n’en n’avait définitivement pas envie et puis, s’il refusait ce maudit serment, il avait promis de tuer Eiris. Pour arriver jusqu’à son bureau au ministère de la magie, il avait déjà assassiné sa secrétaire, une jeune femme trop gentille dont le corps ensanglanté gisait encore sur le sol à quelques pas d’eux. Il pourrait tuer Eiris, il n’y avait pas à en douter. « Je le sais, bien sûr que je le sais. » Au cours de l’été, ils avaient fêté leur vingtième anniversaire de mariage. Bien-sûr qu’elle le savait. Elle y croyait en tout cas, aujourd’hui, elle en était sûre, elle n’oublierait pas, c’était une chose qu’elle savait depuis toujours, pas seulement depuis aujourd’hui. Mais lui, il savait qu’elle oublierait, ce qui restait d’aujourd’hui, ce qu’on dirait de lui, ce serait qu’il était ce lâche qui avait abandonné femme et enfant pour sauver sa vie, pour éviter de prendre part à cette nouvelle guerre qui venait tout juste d’éclater. Ce serait la vision qu’on aurait de lui et dans sa solitude, dans la peine qui irait avec, elle finirait par le croire aussi. Lisea aussi en serait persuadée. Bientôt, elle deviendrait la fille d’un lâche. Il la connaissait bien, il était persuadé qu’elle finirait par le haïr pour ça. Toutes les deux elles finiraient par le haïr. Peut-être était-ce mieux ainsi, elles pourraient passer plus rapidement à quelque chose, le regretter moins longtemps. Il ne reviendrait pas, il ne pourrait pas revenir. Il embrassa sa femme pour ce qui semblait être la dernière fois de sa vie, après ça, il partirait pour un long exile, il ne savait même pas où. Loin de la Grande-Bretagne, c’était tout ce qu’il savait. Un rire ironique lui fit crisper la mâchoire. Le moment semblait être venu. Il attrapa les mains de son épouse avant de reculer de quelques pas, il s’éloigna encore, lâchant petit à petit ses mains tout en la fixant. Leurs mains s’étaient à peine lâchées, qu’elle lui attrapa de nouveau le poignet. « Ne le fait pas, laisse le me tuer, je ne veux pas oublier ça. » Il laissa un léger sourire se dessiner sur son visage, un sourire qui n’ôtait rien à l’expression de tristesse qui marquait ses traits. « Je suis désolé, je ne peux pas. » Il préférait savoir qu’elle le détestait plutôt que de la savoir morte. Non sans déception, elle lâcha son poignet et attrapa la baguette qu’on lui tendait, prête à sceller ce stupide serment qui allait les séparer. Ils étaient leur plus grande faiblesse, jamais elle ne l’aurait laissé mourir et jamais il ne l’aurait laissée mourir. Jusqu’à ce que la mort nous sépare, c’est ce qu’ils s’étaient et pourtant, ils avaient fait le choix de laisser des vieilles rancunes du passé qui n’étaient même pas leurs, de venir les séparer.
« Qu’est-ce que tu fais là ? » Il jeta un regard désintéressé à la jeune femme qui se tenait en face de lui. Elle haussa légèrement les épaules avant de franchir la porte devant laquelle elle se tenait sans même attendre qu’il l’ait invitée. « J’ai entendu dire que Hepburn était mort, égorgé. » Dans un soupire, le sorcier ferma la porte derrière la jeune femme avant de croiser les bras sur la poitrine en la fixant. Elle était bien la dernière personne qu’il avait envie de voir pour le moment. Depuis son retour en Angleterre, il pouvait constater que tout ce qu’il avait pu construire dans sa vie n’était à présent plus qu’un vulgaire tas de ruine, elle faisait indéniablement partie des facteurs de destruction de son existence, bien évidemment qu’il n’avait pas envie de la revoir. Elle lui rappelait les longs mois passés au Chili, cette période où, au plus profond de son désespoir, il avait cherché le réconfort là où il l’avait pu. Dans les bras de femmes dont il avait bien vite oublié les noms. Elle en revanche, il ne l’avait pas oubliée. Il ne pouvait pas l’oublier. Il avait vu en elle le même désespoir qui siégeait en lui. Ils auraient pu se comprendre l’un et l’autre, si seulement ils avaient essayé de parler sérieusement de ce qui les tracassait, au lieu de ça, ils avaient choisi d’ignorer l’évidence et de se réjouir des plaisirs les plus simples, comme s’ils pouvaient effacer les cicatrices d’une vie passée. Elle avait compté à ses yeux, pas comme Eiris, jamais comme Eiris, mais elle avait été cette femme un peu différente qui aurait presque pu l’aider à voir la vie différemment ; si jamais, bien évidemment, elle n’avait pas essayé de le tuer. Elle n’avait au final été que cette menteuse, manipulatrice qui s’était jouée de lui pendant de nombreux mois. Elle était venue le tuer, elle était venue pour rompre le serment inviolable qu’il avait scellé avant de quitter l’Angleterre. Aujourd’hui, elle lui rappelait les erreurs qu’il avait commises, là-bas, loin de chez lui, loin de son mariage qu’il avait définitivement bafoué. « En quoi c’est censé m’intéresser ? » Elle leva les yeux au ciel comme si c’était évident. Ça l’était, il avait lui-même tué le fameux Hepburn, cela-dit, ça, elle n’était pas censé le savoir et, puisqu’il n’avait pas utilisé sa baguette, il y avait peu de chance pour que le ministère de la magie découvre qu’il était le meurtrier. Au ministère de la magie, on était, de toute façon, trop occupé à traquer tout le monde et n’importe qui, qu’on finissait par en oublier les meurtriers. « On sait tous les deux que tu l’as tué. » Il laissa échapper un long soupire. Qu’est-ce que ça pouvait lui faire à elle de toute façon ? Si elle voulait l’arrêter, qu’elle le fasse, mais qu’elle le fasse vite ; mais, de toute évidence, la rapidité n’était pas son fort. « Tu veux ton travail et j’ai de bonnes relations au ministère de la magie, alors je devrais pouvoir t’aider. » Il arqua un sourcil, elle avait essayé de le tuer, pourquoi diable est-ce qu’elle voudrait l’aider maintenant. Il y avait forcément une autre raison, il avait appris à la connaitre au fil des mois et il se doutait qu’elle n’offrait pas son aide gratuitement. « Pourquoi tu ferais ça ? » Un sourire se dessina sur le visage de la sorcière alors qu’elle haussait encore les épaules. Tout en elle semblait lui crier de ne surtout pas lui faire confiance et pourtant, il avait bien envie de l’écouter, s’il avait tué Hepburn, c’était bel et bien pour récupérer son poste. « J’ai appris pour ta femme, c’est moche. » Dans un soupire il serra avec force les mâchoires. Il n’avait pas envie de parler de ça, surtout pas avec elle. L’état dans lequel était son épouse ne la regardait pas le moins du monde. Et il était clair, qu’il n’avait pas envie de parler de son épouse avec celle qui avait été sa maitresse pendant de nombreux mois. « Du coup, je me suis dis que je pouvais faire une bonne action pour toi. En souvenir du bon vieux temps. » Le bon vieux temps hein ? Elle devait avoir oublié le passage où elle avait essayé de le poignarder dans son sommeil, chose que lui, il n’était pas prêt d’oublier, si bien que sa réplique lui arracha un rire des plus ironiques. « Bon vieux temps hein ? Tu parles du moment où tu as essayé de me tuer ou de celui où on couchait ensemble pendant que tu prévoyais de me tuer ? » Elle laissa échapper un lourd soupire de lassitude. « Tu accordes un peu trop d’importance à des détails sans importances. » Sans importances qu’elle disait. C’était sans importance, qu’elle ait essayé de le tuer. Ils ne devaient pas avoir la même définition de détail sans importance de toute évidence. « Bref, je peux t’aider, tu prends, tu ne prends pas, je m’en fiche. » Il laissa échapper un soupire. « Si j’accepte, est-ce que j’aurais une dette envers toi ? Ce qui me semblerait injustifié parce que tu as essayé de me tuer. » Elle haussa encore les épaules avant de s’approcher de la porte. « Sans doute oui et oublie un peu ça tu veux ? Tu sais où me trouver si jamais tu veux de mon aide. Prends soin de ta femme. » Un sourire aux lèvres, elle quitta sa demeure. Bien-sûr qu’il allait accepter son aide. Les choses les plus importantes de sa vie avaient toujours été sa famille et son travail. Sa famille, il l’avait perdue à présent que ce soit dans ses propres erreurs, dans la haine d’Eiris, dans sa folie ou dans la rancœur de Lisea, il avait perdu cette famille dont il avait été pourtant si fier. Il ne lui restait que ce travail qu’on lui offrait, au sein du ministère de la magie qui lui ouvrait une porte vers la vengeance, qu’importe ce qui était arrivé à son épouse, les responsables finiraient par payer.
O-B-E-R-Y-N Là, je défaille, t'as fais un excellent choix, omg (même si je vois d'un coup plein de Gedwyr, plein d'ennemis ) Non sérieusement, je suis fan
≡ amoureusement : célibataire, aux dernières nouvelles, elle échappe au mariage forcé.
≡ son emploi : elle était encore vaguement assistante au département des jeux et sports magiques au ministère de la magie. avant de devenir une fugitive.
≡ statut de sang : sang-pur, famille récemment tombée en disgrace à cause de son oncle.
≡ sa maison : ancienne serpentarde, ambitieuse et déterminée, ça lui ressemble bien.
≡ sa baguette : bois de cornouiller, plume de phénix, spécialité en sortilèges, une baguette très capricieuse qui n'en fait parfois qu'à sa tête.
OBERYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYN MON AMOUR DE MA VIE Fais-moi des bébés, tu peux pas savoir à quel point j'adule ce gars En plus on va faire les gigolos ensemble, la grande classe à Dallas
Je savais qu'il te plairait celui là j'arrive te faire des bébés si ça t’intéresse, il aura une meuf (deux même, parce qu'il fait les choses bien xD) Bhé ouais, on va devenir super riche en bossant ensemble on sera trop swag
(J'aime trop le costume jaune, ça fait trop poufsouffle ça aussi ) Mais grave que ça me plaît C'est l'homme de ma vie, je vais chérir chaque seconde où il passera à l'écran dans GOT parce qu'Oberyn Martell c'est le meilleur personnage de toute la série ET OUI CA M’INTÉRESSE VILE TENTATRICE !
On va conquérir le monde avec deux gigolos aussi sex
(mais trop, du coup il est a pouffy pas le choix xD) Je l'aime déjà aussi, après un épisode on va dire que je l'aimais d'avance parce que tu m'avais dit qu'il était cool, alors je l'attendais avec impatience j'espère qu'il y sera plus par la suite dans les épisodes quand même Haha, je suis le mal en personne je t'ouvre un sujet en zone d'admin xD
(Choix de maison parfait ) Ahah ouais j'ai du en parler pas mal, je lui voue un culte Il va devenir encore meilleur tu vas voir Mais vu la tonne de personnages dans cette série, à mon avis il n'aura pas beaucoup de scènes quand même (ce qui est un crime contre l'humanité, on ne devrait pas nous soustraire de la vie d'Oberyn )
≡ son emploi : professeur de sortilèges à poudlard.
≡ statut de sang : sorcier de sang-pur, noble jusqu'au bout des doigts, qui tient à la dignité de sa famille.
≡ sa maison : ancien gryffondor, un choix qu'il n'a jamais particulièrement compris ni accepté, tous les siens finissant normalement chez les serpentards.
≡ sa baguette : bois d'ébène, spécialisation en maléfices, longueur de trente-deux centimètres avec pour centre un ventricule de coeur de dragon.
(et ouaiiiis ) J'ai encore plus hâte de le voir maintenant du coup ouais c'est compliqué de caser tout le monde dans les épisodes x) c'est pour ça qu'il faut en tuer XD (mon bébé ) en plus si on le voit pas beaucoup, je vais galérer avec les avatars et les gifs, pendant toute ma vie