001. NOM DE FAMILLE Ҩ	CALLAHAN
002. PRÉNOM(S) Ҩ	ALEXANDER TOBIAS
003. ÂGE Ҩ	VINGT SIX ANS
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG PUR
005. EMPLOI Ҩ	JUGE DES CRIMES MAGIQUES AU MINISTERE
006. DIPLÔMES OBTENUS Ҩ	Optimal pour les Buses & ASPIC
007. BAGUETTE Ҩ	Une baguette en bois de noyer de 24cm, composé d'un poil de phénix, la moins incurvée de ma famille, mais très rigide spécialisé pour les runes.
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	Une abîme qui ne me laisse que deux choix possibles : la chute ou prendre la main de mon père avec lesquels j'ai des rapports (très) conflictuels, autant vous dire que je suis pas sorti de l'auberge.I
009. PATRONUS Ҩ	Un ours

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“it takes a great deal of bravery to stand up to your enemies, but a great deal more to stand up to your friends.”

“l'avis de votre personnage sur voldemort”

Je ne sais que penser de Lord Voldemort. Toute ma famille l'encense bien évidemment, c'est sûr que sans lui, jamais notre famille n'aurait acquis un tel statut et je ne saurais donc en mesure de pouvoir exercer la profession que j'exerce aujourd'hui et de posséder la culture et la baguette que j'ai entre les mains. Une part de moi lui est donc reconnaissante, bien que d'un autre côté, je ne peux qu'exercer un certain dégoût envers cette personne qui était animé d'une personnalité de dictateur omnipotent, me rappelant ce pourquoi j'aimerais parfois être un simple humain, bien loin de tout cela.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

Cet... ordre, force est de constater que je reste bien indécis à leur égards. Du peu que j'en ai côtoyé, ils me sont toujours apparus incroyablement sots, laids et superficiels, pensant exercer la sorcellerie par pur fruit du hasard, se sentant exceptionnel sous prétexte que cela n'est pas dans leur sang d'origine, je méprise tout ce snobisme intellectuel et leurs revendications à la noix. Pourtant, avec un peu de recul, je tente parfois de réfléchir sur la question et de me demander si tous ces jugements sont réellement universels ou juste ancrés dans le contexte actuel de Lord Voldmort au pouvoir et haine public des nés-moldus. Il ne faut peut-être pas mettre tout le monde dans le même panier... mais pourtant l'exception confirme la règle.

“comment vit-il la situation actuelle ?”

Jai peur de lui à vrai dire, je sais qu'il pourrait m'approcher avec mon don, Voldemort, et j'ai trop peur de devoir le côtoyer, n'adhérant pas réellement à toutes ces pratiques et son idéologie, j'ai l'impression d'être le cul entre deux chaises, une espèce de taupe quelques soit le parti que j'adopte. Pourtant, en tant que Mangemort, je crois que j'ai trouvé dans leur violence un sorte d'exutoire pour exprimer tout mon mal être, mes angoisses et ma souffrance. Perpétuel indécis, j'ai l'impression de m'enfoncer dans une spirale infernale, un gouffre de noirceur et de mensonges qui me ronge un peu plus chaque jour, surtout sans Morgana à mes côtés à présent.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	CUDDER
002. TON ÂGE Ҩ	17ANS
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	RYAN GOSLING
004. PERSONNAGE Ҩ	SCENARIO
005. TON AVIS Ҩ	Une orgie est-elle envisageable ?
006. TROUVÉ PAR Ҩ	Bazzart il me semble
007. DERNIER MOT Ҩ	Hello I love you won't you tell me your nameeee hello I love you let me jump in our gamee.
008. CONNEXION Ҩ	5J/7

Alexander à 17ans. C'est un sang pur. Un Callahan, cadet de la dynastie d'origine irlandaise qui travaillait au Ministère, famille aisée et prestigieuse. C'est un jeune homme anglais marginal. Brillant à l'école, mais marginal. Misanthrope, qui paraît toujours à l'écart, dans sa bulle et lance des regards qui font froids dans le dos au premier qui ose trop s'approcher de son espace vital. Quelqu'un qui ne parle pas, qui peut vous balancer d'insultes haineuses et de phrases méprisantes en un seul regard. Quelqu'un de mystérieux, dont personne ne sait absolument rien, si ce n'est la réputation qui traîne derrière son nom de famille. Probablement un des plus disciplinés Serdaigle, celui que chaque maison aurait rêvé d'avoir. Quelqu'un dont les professeurs ne se sont jamais plaints, de par son attitude irréprochable et suffisante, et ses notes brillantes. Quelqu'un qui intriguait cependant chacun des élèves de Hogwarts, mais que finalement, personne n'a osé approcher, même les plus lourdingues qui veulent se donner un genre, étant donné l'aura charismatique et sombre du jeune homme, ou du moins mystérieuse. Quelqu'un qui ne participait jamais en classe, mais dont les rares interventions demandées par les professeurs étaient claires, nettes, précises et synthétiques, à en faire clouer le bec du professeur. Alexander fut donc élevé par son père, qui était assez absent et lui laissait une grande part d'autonomie, étant donné que Alexander ne lui avait jamais causé le moindre souci depuis la mort de sa mère, comme s'il avait soudainement grandi de dix ans suite à cette tragique perte lors de ses 15ans. Durant son adolescence, Alexander fut bien entendu éduqué avec l'idée que les sangs purs devaient diriger le pays et les sangs-mêlées n'étaient que de la vermine, mais il gardait un oeil critique et un regard assez reculé sur la chose, ayant un avis totalement neutre et indécis sur la question, pour lui, seul comptait la magie et si le sang-mêlé était intelligent et cultivé, il ne voyait aucune raison de le mépriser. Sa mère, qui représentait la seule personne pour laquelle Alexander avait une sympathie et attachement profond, lui confiant même parfois des choses, lui qui était d'habitude d'un silence de glace. Sa perte, bien qu'il resta à l'enterrement, dans son discours pleine de poésie et de charme d'une placidité déconcertante, l'a beaucoup affecté. Il avait perdu le seul être auquel il tenait et qu'il considérait important, digne d'être aimé. A Hogwarts, il n'avait pas d'amis car ils les trouvaient tout simplement tous aussi stupides les uns que les autres. Tous ces élèves aussi idiots les uns que les autres qui vont droit à l'abattoir avec leurs connaissances vagues, mais qui se croient pourtant intelligents. Toutes ces filles sottes qui avaient l'odeur des cheeseburgers américains, ses professeurs qui avaient tous l'air sous substances illicites, cette culture si basse, ces sous-vêtements en apparence qui étaient si vulgaires, toutes cette fille qui s'extasiaient devant le premier jeune homme a la coupe au bol, tout ceci avait toujours été trop aberrant pour lui. Alexander était le genre de jeune homme tout simplement avide de connaissances, qui pouvaient passer ses longues soirées de pluie anglaises en hiver à dévorer des livres de magies, philosophie, astronomie, mathématiques, sciences et potions, botaniques, biologie, histoire.. tout y passait avec lui. Mais ce sont finalement cette haine pour cette société qu'il devait côtoyer au quotidien, tous ces gens insignifiants dont il croisait la route et avec lesquels il était parfois dans le devoir de converser, et les grandes encyclopédies de l'anatomie humaine qui lui donnèrent le goût et la passion de la médecine, mais surtout du cerveau humain. Le cerveau humain, ce bel objet qui le passionnait tant. Alexander pensait ainsi finir sa scolarité paisiblement avant de voyager grâce à l'argent qu'il aurait reçu pour sa majorité, mais le destin décidait d'en jouer autrement en ce jour particulier.

« He le muet, j'me fais chier, fais moi rigoler, ah non c'est vrai, tu parles pas. TOI. PAS PARLER. TOI = SILENCE. » dit un sale serpentard devait bien s'emmerder dans le réfectoire. Alexander levait à peine le regard, sa remarque ne lui faisant strictement ni chaud ni froid. Un idiot parmi tant d'autres. « J'te parle l'autiste, c'est parce que t'es un crâne d'oeuf que tu dois pas me regarder quand j'te parle. » Alexander devait alors machinalement la tête, le regard froid et méprisant vers le jeune homme en simple caleçon qui faisait le coq autour de ses camarades au rire imbéciles et ignorants. « Einstein disait : Il n'y a que l'univers et la bêtise humaine qui est infini, mais jusqu'ici, je n'ai pas eu de preuves concernant l'univers. » finit par répondre Alexander d'un ton parfaitement calme et placide avant de se remettre à sa lecture. Le jeune juvénile le poussait alors de sa chaise, blessé dans sa fierté ou agacé qu'il ne soit plus la star du petit spectacle qui l'avait installé. Alexander était alors dans sa huitième année, et lorsque le professeur principal arrivait pour faire l'habituel inspection, Alexander fut prise d'un désir violent de vengeance et d'assouvissement de sa supériorité intellectuelle. Fixant le jeune homme droit dans les yeux, il serrait ses mâchoires avant de manipuler pour la première fois sans vraiment le vouloir l'esprit du jeune homme. Lorsque le surveillant arrivait l'air intrigué dans le dortoir face à tant de chahut, il put donc ainsi voir notre jeune brute en herbe clamer haut et fort : « Je voue une passion sans égale aux chèvres. Je suis un être atteint de crises de zoophilies aigües qui ne peut contrôler mes parties génitales en présence de jeunes chevrettes. » La salle retenait son souffle face à Alekseï qui échappait un sourire sadique, peu réellement conscient de ce qu'il venait d'enclencher en lui. « Je crois que tu n'est pas seulement zoophile McGil .. n'est - ce pas ? » Reprenant son petit manège par le même mécanisme, ivre de plaisir et hilare, McGil continuait alors : « OUI OUI C'est vrai j'aime aussi les vieilles femmes âgées que je prends plaisir à forniquer après leur mort, je suis un nécrophile refoulé. » La jeune brute devenait alors rouge de honte alors que Alexander observait le professeur, sans l'once de remord et un sourire au coin amusé. Alexander. Septième année. La dernière année. Et alors que la dernière chose qu'il souhaitait c'était se faire remarquer, on lui détecta à la suite de cette altercation la particularité de la Legilimens. Le pouvoir de contrôler les esprits des personnes et y incruster des souvenirs, émotions, penser, tout comme en retirer. Lui qui était passionné du cerveau humain fut au départ ravi de cette nouvelle. Cependant, la rumeur se répandit comme une traînée de poudre et son père, cet être bienveillant revint plus que jamais par la suite dans sa vie personnelle et scolaire, le traitant durement, lui qui l'avait toujours laissé libre auparavant. Désormais, le patriarche Callahan a donné un poste de juge important au jeune Alexander, au Ministère de la Magie au département de la Justice, fier de l'éducation conservatrice et drastique qui l'a donné à son aîné à sa sortie de Poudlard en développant son don pour qu'il devienne puissant et influent face à un Alexander qui ne voulait qu'une seule chose : qu'on lui foute la paix. Face au retour de Voldemort et son père qui s'est fermement engagé à ses côtés, l, il n'est également pas rare de voir certaines familles de sang pur tenter d'enrôler dans leur rang Alexander et son don si rare et dangereux, ce dernier ne sachant absolument quoi penser : les nés-moldus sont-ils réellement de la mauvaise vermine comme il avait pu l'observer dans sa vie quotidienne en se comportant comme des gueux et semant le cirque partout ou ils ramènent leur vermines, devrait-il faire confiance à ce père, ce chien qu'il n'a jamais réellement apprécié de fait mais pour lequel il éprouve néanmoins une affection génétique du fait de ces vieux souvenirs lorsqu'il était enfant, devrait-il combattre les nés-moldus ou au contraire les aider comme certaines familles? Alexander a toujours été un être indécis en proie à des angoisses et un profond mal être, angoisses et mal être qui le ronge et le pousse toujours à repousser l'échéance d'un choix. Cependant le choix, il l'a bel et bien fait : il a rejoint la troupe des Mange-morts face à l'ultimatum de son père qui commençait à avoir des doutes sur les réelles croyances que Alexander avait jusqu'ici toujours réussi à cacher et découvrit sa romance avec une jeune sang-mêlée, Alexander lui même ne se reconnait plus. Sombre, cruel, sans pitié et violent, il faut croire qu'il embrasse la nature à laquelle il était toujours destinée : celle du sang et de la magie noire.

Extrait du journal personnel de Alexander :


Morgana elle est anglaise. Elle a un léger accent particulière à sa région d'origine qui ne s'entends pas forcément directement mais qui a tout son charme et la rends encore plus attirante. Elle a des yeux envoûtants qui pétillent et vous emmènent de l'autre côté de la terre juste quand elle ouvre les paupières, elle a une longue crinière à la fois sauvage, insouciante et très impressionnante. Elle a un visage fin, un visage de porcelaine qui force le respect et attise les convoitises, elle a des jambes à vous en faire perdre la tête. Elle a un sourire bouleversant qui vous force également à sourire niaisement sans que vous puissiez rien y faire. Une beauté incandescente et qui paraît à la fois si inaccessible et vulnérable, une beauté qui vous laisse bouche bée et vous coupe le souffle. Sans parler de son parfum envoûtant et qui vous propulse directement dans le Jardin D'Eden, jardin de toutes les féeries et émerveillements. Morgana, elle était belle comme un accident de bagnole, elle paraissait sans problème, laissant des éclats rêveurs partout ou elle passait. Je crois, que naturellement, mon esprit et mon regard tends vers elle, inconsciemment sans que puisse réellement le vouloir ou non. Nous nous sommes rencontrés au Ministère. Elle était pas trop sotte, cultivée, dynamique et pleine d'entrain, elle méritait bien que j'use de ma salive pour elle. Durant chaque moment passés ensembles, nous partions, nous explorions le ministère comme des enfants pour aspirer à des jours meilleurs, rêver et s'aimer, s'aimer dans nos longs silences et nos longs regards, nos jeux enfantins et nos aventures romanesques, ou je jouais le preux chevalier téméraire et elle la princesse en péril. Ses sentiments se sont bien entendu approfondis avec le temps, et même avant que je ne goûte ses lèvres, cette délicieuse torture, je ne voyais qu'elle parmi toutes les sottes qui foulaient cette Terre. Elle avait comme dépeuplé la Terre de toutes ces femmes, aussi envoûtantes soient-elles. Lorsqu'on s'est finalement mis ensembles, je savais très bien qu'un jour, j'allais devoir affronter le fait que j'étais un sang pur et elle une sang mêlée, chose que mon père et ma famille ne pourrait jamais accepter. Je lui ai donc toujours menti ou été évasif sur le sujet de ma famille, moi qui tenait pourtant tant à elle, je tenais également tant à ma famille également que la perpective de me dire que je ne pourrais jamais la présenter à mon père dont l'avis m'était si important me brisait le coeur en deux. Lorsque Voldemort revint des morts, je savais que j'étais cuit, que cela sonnait le glas de notre relation. Mon père me soupçonnant d'appartenir désormais à L'Ordre du Phoenix ou révolutionnaire face à mon refus d'intégrer les Mangemorts, découvrit alors ma romance avec Morgana et rentrait dans une fureur indescriptible. Il m'a menacé de me renier et de me laisser à ma piètre condition, et j'ai beau me prétendre solitaire, ou même de s'occuper personnellement de Morgana pour qu'elle ne me voit plus, le respect que j'éprouve pour mon patriarche et pour ma mère qui devait se retourner dans sa tombe si elle me voyait renié de la famille, mais plus important encore tout l'amour que j'éprouve pour Morgana me poussa à l'obéir. J'ai donc rangé les Mangemorts oui, mangemorts dont je méprise pourtant la cruauté et l'espèce de snobisme intellectuel, restant cependant tacite et obéissant pour ne pas que mes idées me coûtent la vie. J'ai quitté Morgana. Ce que je peux éprouver en ce moment même lorsque j'y repense relève de l'indicible et de l'ineffable tant c'est douloureux. Marié à une femme que je n'aime pas, je ne peux que constater que je suis à présent le parfait fils que mon père aurait voulu que je sois, pourtant, elle me manque, et je souffre d'une torture cruelle et lente en son absence. Devrais-je céder à la tentation et à mes pulsions de désir non consumés pour la jeune femme, ce Graal ultime ? Je sais qu'elle me veut tout comme je la veux, elle est absolument ancré dans mon esprit et pourtant si j'étais amené à la revoir, je ne pourrais que la repousser, car elle me fascine, elle me fait perdre la tête, elle me rend toute chose, elle me rends con, elle me donne envie de me détester moi- même. Pour elle, je sais que je serais absolument capable de tout, même du plus grand crime contre l'humanité.