NOM : Pavlenko. PRÉNOM(S) : Vadim. ÂGE : Trente-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Moscou, date au choix. STATUT DU SANG : Sang-pur. EMPLOI : Exécuteur. NIVEAU D’ÉTUDES : Il a terminé ses études, réalisées à Durmstrang. LIEU DE VIE : Londres côté sorcier. BAGUETTE :  composition au choix, il la possède toujours. GROUPE : Killer Within. CÉLÉBRITÉ : Zachary Quinto (négociable). CRÉDITS : écrire ici.

oberyn lindberg & vadim pavlenko

Le premier contact entre Vadim et Oberyn se passa durant une mission entre les banques de Moscou et de Londres. Ils s’adressèrent à peine la parole, la tension étant palpable entre ces deux hommes aux caractères bien trempés, mais le travail fut réalisé rapidement, et chacun de son côté put apprécier l’efficacité silencieuse de l’autre. Puis il y eut une seconde mission, et une troisième, toutes terminées avec un professionnalisme où jamais un mot inutile n’était prononcé. Dans leurs banques respectives, c’était un soulagement : on préférait de loin que Lindberg et Pavlenko travaillent ensemble, plutôt que de devoir travailler avec eux. Ils n’étaient ni désagréables ni agressifs avec leurs collègues, mais tous ceux qui avaient eu à travailler en équipe avec un des deux reconnaissaient que c’était une expérience qu’ils ne souhaitaient pas réitérer. Quand Vadim fut affecté définitivement à Gringotts, ils eurent d’autres mission ensemble, puis leurs supérieurs les  dirigèrent chacun vers un travail différent, et ils ne se croisèrent plus. Si Oberyn oublia tout de son partenaire, ce ne fut pas le cas de Vadim. Quelque chose chez Oberyn le fascinait, une violence réprimée qu’il sentait battre en écho avec la sienne, et qu’il avait besoin de voir libérée. Oberyn était pour lui un spécimen à décortiquer, une muraille impassible qui cachait des secrets aussi noirs que les siens, il en était certain. Mais il avait besoin de percer cette muraille avant de découvrir quoi que ce soit. Il tenta de gagner l’amitié d’Oberyn, mais se heurta à un silence qui ne le découragea pas un instant. L’amitié ne l’intéressait de toute façon pas, et réussir à le percer à jour de cette façon aurait été presque décevant. Il se mit donc à passer sa vie au peigne fin, et découvrit ainsi qu’Oberyn faisait partie de l’Ordre du Phénix, mais il apprit également quelque chose de beaucoup plus précieux : il vit Oberyn en compagnie d’une jeune fille qui semblait en fuite. Et pour la première fois, Oberyn ressemblait à un vrai être humain doté d’émotions. Fort de sa découverte, Vadim passa donc au niveau supérieur : il séquestra purement et simplement Oberyn, expérimentant sur lui des nouvelles tortures, mais aucune ne porta ses fruits. Jusqu’à ce qu’il prononce le nom de Lyla, en l’accompagnant de toutes les ignominies qu’il pourrait faire subir à la jeune fille si Oberyn ne se livrait pas. Et Vadim eut alors l’extrême jouissance de voir la muraille imprenable tomber en morceaux. Vadim avait obtenu un pouvoir quasi-absolu sur Oberyn en parlant de Lyla. Ainsi, il le força à trahir l’Ordre du Phénix au profit des rafleurs et des Mangemorts. Il put alors voir la véritable violence d’Oberyn en action, celle qui réduisait les corps en charpie et ne laissait que des cadavres derrière lui.

Vadim a trouvé en Oberyn le partenaire de tueries idéal, celui qui assassine sans états d’âme, et qui pourtant reste infiniment torturé par l’absence de Lyla dans sa vie. Car Oberyn n’ose plus s’approcher de sa belle à présent qu’il a trahi sa cause. Vadim ne l’en empêche pas, mais Oberyn semble penser que c’est mieux pour sa sécurité et ne fait pas mine de revenir vers elle, malgré le manque évident qu’il essaye de cacher de son mieux. Et Vadim prend un réel plaisir à observer tout ce qu’Oberyn est capable de faire pour la protéger. Il est devenu son sujet favoris, sa meilleure expérience, et il est certain d’avoir encore énormément à découvrir de lui. Il reste des secrets bien cachés derrière Oberyn Lindberg, et Vadim frémit d’avance à l’idée de les découvrir. C’est un lien compliqué et ambigu qui s’est créé entre eux à travers la haine et la torture, et si Vadim est consumé par l’envie de briser Oberyn, il repousse ce moment constamment. Il sait qu’une fois qu’il aura complètement révélé l’âme de sa victime, il perdra également le meilleur partenaire qu’il ait jamais eu. Ils se ressemblent presque parfaitement, tous deux rongés par leur folie et leurs pulsions, et Vadim ne voudrait pas perdre la seule personne en qui il se voit tant. Ce n’est pas de l’amitié qui est né entre eux, mais ça y ressemble fort, malgré tout …

lyla wellington & vadim pavlenko

Lyla Wellington n’était personne, elle n’existait pas, mais elle apparut soudain quand Vadim commença à enquêter sur la vie d’Oberyn Lindberg. La tendresse entre ces deux là était évidente aux yeux de Vadim, bien qu’elle soit encore très fragile. C’était encore le début de la guerre, mais elle était déjà en fuite, et Vadim s’arrangea pour tomber sur elle alors qu’elle cambriolait une maison vide, et pour lui sauver  la vie « totalement par hasard ». Il avait monté la scène de toutes pièces, mais elle n’en soupçonna rien, et il se fit passer pour une âme charitable à ses yeux. Il la revit plusieurs fois après ça, la mettant en confiance par un comportement irréprochable, et apportant toujours une aide précieuse à la jeune fille. Ainsi, il la poussa doucement à se confier à lui, et il apprit énormément de détails sur sa vie, la carrière de médicomage qu’elle avait du abandonner, ses parents moldus qui résidaient à Godric’s Hollow … Autant de détails qu’il enregistra soigneusement, pour pouvoir les glisser nonchalamment à Oberyn et lui prouver qu’il était devenu si proche de Lyla qu’il pouvait lui faire n’importe quoi sans qu’elle ne s’en rende même compte. Grâce à tous ces petits détails, il put faire pression sur Oberyn, qui ne semblait tenir à rien, sauf à elle. Lyla ne sut jamais que Vadim était un rafleur, elle se confia même à lui quand Oberyn, soudain, changea de camp en trahissant l’Ordre du Phénix. Il se montra un confident parfait, et continua d’entretenir cette amitié trompeuse quand Lyla fut forcée, à la fin de la guerre, de rendre sa baguette et de quitter le monde sorcier. Régulièrement, il allait la voir à son travail, côté moldu, s’inquiétant pour sa sécurité et son bien-être, renforçant jour après jour la confiance qu’elle avait en lui. Si elle avait perdu Oberyn dans cette guerre, elle avait l’impression d’avoir trouvé un ami en la personne de Vadim.

Au fil des mois, Vadim s’est attaché à Lyla, il apprécie sa présence et finit par ne plus avoir à se forcer pour être agréable avec elle. Mais que personne ne s’y trompe, si Oberyn fait le moindre faux pas, c’est Lyla qui en pâtira, et Vadim n’aura pas une seule seconde d’hésitation. Même s’il est doux et aimable avec elle, prêt à lui rendre service dans le monde moldu, il rêve quelquefois de serrer ses doigts autour de ses bras au point d’y imprimer des hématomes, de déchirer sa peau délicate, d’entendre ses cris de douleur … Elle est un trophée qu’il ne peut pas toucher pour l’instant, mais elle ne sera pas toujours en sécurité auprès de lui.