Sujet: (ca-m. ~ bt.) ☆ greatest day of sin. Sam 19 Oct - 22:38
greatest day of sin.
I have these pages torn and crumbled on the floor, When we were younger. I have a heavy heart, it doesn't want to start to love you again. Now we're free The time, it ticks away.The hands, they slowly say, the words we cannot speak. Your soul, it's black and white. Our shadows dance at night atop a moonlit peak. It kills me every day, My heart is torn and frayed and born insanity ★ CINAED ADLER-MONROE & BEITRIS TYRELL.
C’était terminé. C’était ce qu’elle avait dit à Cinaed avant de quitter la maison pour s’enfuir en direction de l’école primaire où était scolarisé la petite Arabella. Elle était en avance pour la sortie des classes, mais elle s’était sentie bien incapable de soutenir le regard du sorcier plus longtemps. Elle ne voulait pas que ce soit terminé, elle voulait rester avec lui. Elle voulait passer le reste de sa vie à ses côtés. Elle avait besoin de lui, elle le sentait dans son cœur comme au plus profond de ses entrailles. Elle l’aimait. Pour la première fois depuis longtemps, elle était dans une relation stable qui la rendait particulièrement heureuse. Elle se fichait d’avoir du renoncer à la magie, ça n’avait pas la moindre importance, au moins, elle était en sécurité, elle avait un toit au dessus de la tête et un homme qu’elle aimait à ses côtés. Elle n’avait rien de mieux à demander. Sa vie était parfaite. Pourtant, il fallait qu’elle mette un terme à cette relation, elle n’avait pas le choix, elle était coincée. Elle se retrouvait encore face à ce genre de situation particulièrement compliquée qui lui imposait de faire un choix qu’elle allait forcément regretter. Quoi qu’elle choisisse, elle le regretterait, elle le savait pertinemment. Bien-sûr, le meilleur choix à faire dans ce cas là, c’était de faire en sorte que personne ne soit mis en danger. Rompre avec Cinaed, c’était la seule solution qu’elle avait pour que personne ne soit mis en danger. Elle avait bien pensé à s’enfuir en France, elle se disait qu’il l’aurait suivie si elle lui avait demandé de quitter le pays avec elle pour qu’ils puissent rester ensemble malgré cette maudite loi qui interdisait l’union entre les nés-moldus et les sorciers. Ils auraient pu faire ça. Mais ce serait une fuite éternelle. Ils étaient combien de temps à pouvoir rester ensemble avant que la France ne s’effondre à son tour. Lord Voldemort était un poison qui se rependait lentement sur le monde. Toute la Grande-Bretagne en avait été victime, très vie, la Russie l’avait rejoint. Il ne restait plus que la France comme grande puissance magique Européenne à tenir tête aux Royaume-Unis. La puissance du seigneur des ténèbres n’avait pas de limite, il l’avait prouvé en gagnant cette guerre, il était le plus grand mage noir de tous les temps, et il était – apparemment – immortel. Le monde allait s’effondrer, ce n’était qu’une question de temps. Fuir en France, ce ne serait qu’un moyen de repousser l’inéluctable. Ils allaient devoir se séparer, pas parce qu’ils n’étaient pas faits l’un pour l’autre, pas parce que leur couple ne fonctionnait pas, simplement parce qu’on avait décidé qu’ils ne pouvaient pas rester ensemble à cause de leur statut de sang. La fuite, c’était une solution qui réglait bien des problèmes, mais elle était fatiguée elle de s’enfuir à chaque fois qu’un problème venait s’incruster dans sa vie. Aujourd’hui, ils avaient Arabella et ils ne pouvaient pas lui imposer de s’enfuir, ils ne pouvaient pas chambouler toute sa vie pour aller en France, puis ailleurs et encore ailleurs jusqu’à ce qu’il n’y ait plus qu’en Antarctique qu’ils puissent vivre ensemble. La fuite n’était pas une valeur sûre, on pourrait encore les retrouver. Où qu’ils aillent, ils vivraient dans le doute, dans la peur qu’on finissent par leur tomber dessus. Elle ne voulait pas vivre comme ça, elle ne voulait pas qu’Arabella ne vive comme ça. Elle devait protéger cette petite fille. C’était son rôle en tant que marraine, son meilleur ami avait eu confiance en elle, suffisamment pour lui confier ce rôle. Il était mort à présent et elle ne voulait surtout pas le trahir. Elle devait protéger Arabella quoi qu’il lui en coute. Aujourd’hui, ça allait lui couter son couple. Si elle ne mettait pas un terme à sa relation avec Cinaed, elle l’avait bien compris, ce serait Arabella qui en paierait les conséquences. Ce n’était qu’une enfant, elle méritait d’avoir une belle et longue vie. La mort de ses parents était déjà une chose compliquée, alors maintenant il était temps de choisir la solution qui lui faciliterait la vie à elle. Beitris fini par lâcher un soupire avant de quitter sa voiture, refermant avec force la portière, avant de se rendre dans l’école primaire pour retrouver Arabella.
C’était dans ce même genre d’école qu’elle avait commencé ses études elle. Son chemin avait commencé dans une école moldue, tout ce qu’il y avait de plus simple. A cette époque, jamais elle n’aurait imaginé que ce soit possible qu’elle puisse être une sorcière. Elle en rêvait parfois, pouvoir utiliser la magie, combattre des dragons, chevaucher des licornes, c’était le rêve de bien des enfants moldus. Ils ne rataient rien. Le monde de la magie était encore plus corrompu que le monde des moldus. Elle ne savait pas ce qu’elle serait devenue si jamais elle n’avait jamais reçu sa lettre pour Poudlard, mais une chose était sûre, elle ne serait pas là, confrontée à un choix qu’elle ne voulait pas faire. Depuis le début de la guerre, elle n’avait de cesse de se dire que toute sa vie aurait été bien plus simple si elle n’avait jamais reçu sa lettre pour Poudlard. Elle serait une moldue parmi tant d’autre, elle ne serait pas plongée dans une guerre insensée, elle n’aurait pas été obligée de fuir et de se cacher telle une criminelle. Elle n’aurait jamais rencontré Cinaed, elle ne serait pas aujourd’hui obligée de rompre avec lui afin de protéger sa filleule. Oui, la vie aurait été plus simple si jamais elle n’avait quitté les cours d’écoles moldue pour rejoindre la gigantesque enceinte de Poudlard. Elle n’avait jamais demandé à entrer à Poudlard et pourtant, on lui reprochait d’y avoir un jour mis les pieds. Le monde de la sorcellerie ne tournait clairement pas rond. La jeune femme fut prise d’un léger sursaut alors que la cloche de l’école retentissait. Le bruit strident venait de la sortir de ses pensées. Elle laissa échapper un léger soupire avant de se concentrer sur les enfants qui peu à peu sortaient dans la cour. Rapidement elle repéra la petite Arabella qui se précipitait vers elle. La voir là, en face d’elle, lui faisait d’avantage comprendre que pour le bien de cette enfant, elle devait vraiment rompre avec Cinaed. C’était un sacrifice nécessaire pour Arabella. Cinaed s’en sortirait très bien sans elle. De retour dans le monde des sorciers, il serait sans doute plus à l’aise. Peut-être qu’il finirait par trouver quelqu’un d’autre. Certes, il n’était pas l’homme le plus doué du monde avec les sentiments, mais avec elle, il avait appris à aimer à nouveau, il n’était pas une cause perdue, il s’en sortirait, elle le savait. Peut-être même qu’un jour il comprendrait pourquoi elle agissait ainsi. Pour le moment, elle préférait ne rien lui expliquer. Il essaierait de trouver une solution au problème, tout comme elle, elle le faisait depuis quelques temps déjà. Mais du temps, ils n’en avaient plus, elle avait gaspillé celui qu’on lui avait laissé en cherchant une solution qui n’existait pas. Elle ne voulait pas qu’Arabella soit en danger parce qu’ils prenaient du temps à réfléchir pour trouver une solution. Maintenant, la solution était toute trouvée. Elle l’avait trouvée. Ce qu’elle avait fait avant de quitter la maison, elle l’avait bien sûr fait à contrecœur. Mais c’était fait maintenant et elle allait simplement passer pour une folle à lier si elle revenait sur ses paroles. C’était trop tard, la machine était déjà lancée et il n’était impossible de faire marche arrière, la vie d’Arabella en dépendant. En écoutant la petite fille raconter sa journée de cette voix douce, enfantine et hésitante, elle sentait son cœur se serrait, elle se demandait quel genre de monstre pouvait oser menacer la vie d’une petite fille qui n’avait rien à voir avec cette guerre. Certes, à ses onze ans, elle recevrait certainement une lettre pour Poudlard parce que ses parents étaient des sorciers, mais pour l’heure elle n’était qu’une gamine parmi tant d’autres, une simple enfant. De retour dans la voiture elle laissa échapper un énième soupire. Elle ne comprenait vraiment pas le reste du monde, ceux qui avaient remporté cette guerre. Jamais elle ne les avait compris et jamais elle ne les comprendrait. Ils n’étaient peut-être même pas humains pour menacer des enfants. Ce n’était malheureusement pas propre aux sorciers, pour ce qu’elle en savait toutes les guerres comportaient leurs lots de monstres.
Elle n’avait pas envie de rentrer à la maison. Elle hésitait à emmener Arabella faire un tour au parc, ou bien aller manger une glace, pourquoi pas même aller au cinéma. N’importe où du moment que ce serait loin de la maison. Arabella avait pourtant école le lendemain, ainsi, il était certainement plus raisonnable de rentrer à la maison, elle le savait bien. Elle se sentait particulièrement anxieuse. Elle ne voulait pas affronter à nouveau Cinaed mais elle était presque sûre qu’il n’était pas encore parti. Elle ne lui avait pas laissé le temps de parler avant de s’enfuir rapidement vers l’école d’Arabella. Elle le savait, dans ce genre de situation, la discussion était inévitable. Elle pouvait prier autant qu’elle le voulait, espérer de toutes ses forces pour qu’il soit parti, il y avait quand même peu de chance qu’il lui obéisse bien sagement sans chercher à comprendre ce qui n’allait pas chez elle. Au fond, ça avait quelque chose de presque rassurant, s’il restait, ça voulait dire qu’il tenait à elle. Ça ne devrait pas la rassurer, au contraire, ça rendait les choses tellement plus compliquées. Il tenait à elle, elle le savait, elle en était convaincue, c’était la force de l’amour, ce sentiment à la fois si agréable et si destructeur. Elle détestait l’amour. Cet amour qui était en train de la torturer en cet instant. Elle avait simplement envie de pleurer, comme si ça allait résoudre les choses. Non pleurer ne changerait rien au problème. Bien qu’elle ait souvent eu tendance à fondre en larmes à la moindre difficulté, elle le savait, pleurer ne servait absolument à rien. Surtout maintenant, ça ne ferait que réduire à néant ses efforts pour se montrer aussi sûre d’elle que possible. Si elle se mettait bêtement à pleurer elle n’aurait pu aucune crédibilité. A trop réfléchir, elle ne s’était même pas rendu compte d’à quel point le chemin du retour avait été particulièrement rapide. Ce n’était peut-être qu’une impression, elle qui voulait fuir cette discussion, elle avait forcément eu l’impression que le trajet avait été rapide. Devant la porte d’entrée, elle laissa échapper un nouveau soupire. Pourvu qu’il soit parti. Cette phrase se répétait inlassablement dans son esprit alors que lentement elle poussait la porte d’entrée. Elle ne mit pas beaucoup de temps à remarquer qu’il était là, en train de l’attendre sûrement. Elle rangea ses affaires et celles d’Arabella correctement à leur place avant de foncer vers la cuisine avec la petite fille. C’était l’heure du gouté et il n’allait quand même pas lancer la discussion devant la petite fille. C’était peut-être la solution, resté coller à Arabella pour éviter Cinaed. Ce serait sans doute absurde. Finalement, il les avait rejoints jusque dans la cuisine. Il était temps de mettre les choses à plat, le plus vite serait le mieux et ce pour tout le monde. « Arabella, ma puce, tu peux aller gouter devant la télévision si tu veux. » Elle adressa un large sourire à l’enfant. Cette dernière ne se fit pas prier, elle quitta rapidement la cuisine, son gouté en mains. Bien trop vite aux yeux de Beitris, il ne restait plus qu’elle et Cinaed dans la cuisine. Nerveusement elle passa une main à travers les mèches de ses cheveux. Avant de baisser les yeux vers le sol, le carrelage semblait moins difficile à regarder en cet instant. « Tu es toujours là. » Elle pinça légèrement les lèvres avant de relever les yeux vers le sorcier. Évidemment qu’il était toujours là. Il n’avait peut-être même pas l’intention de partir, malgré tout ce qu’elle avait pu lui dire. « Pourquoi, est-ce que tu es toujours là ? » Elle n’était pas sûre de vouloir entendre la réponse à cette question, mais il fallait bien partir de quelque chose et ça semblait un bon début, en fait elle n’en savait rien. Elle avait sans doute beaucoup plus l’habitude d’être celle avec qui on rompait plutôt que celle qui prenait la décision de rompre. C’était pour cette raison que pendant tant de temps elle avait choisi de fuir l’amour comme la peste, parce qu’elle en avait marre qu’on la laisse tomber, elle en avait marre des ruptures. Avec Cinaed, c’était différent, elle avait donné une chance à leur histoire parce qu’elle avait sentie au plus profond d’elle-même qu’elle ne serait pas déçu par lui comme elle l’avait été avec les autres hommes. Elle avait eu raison, elle n’avait aucune raison de lui en vouloir à lui, il était parfait. Pour une fois, elle serait le problème dans l’un de ses couples, elle serait celle qui foutrait tout en l’air. Elle n’en avait pas envie, mais elle n’avait pas le choix.
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Sujet: Re: (ca-m. ~ bt.) ☆ greatest day of sin. Lun 2 Déc - 20:40
Shadows settle on the place, that you left
Our mind are troubled by the emptiness. Destroy the middle, it's a waste of time. From the perfect start to the finish line.
BEITRIS & CINAED
Il leva la bouteille au dessus de sa tête, laissant les faibles rayons du soleil se perdre dans le liquide mielleux, s'extasiant quelques instants devant la clarté dorée de son breuvage avant de fermer les yeux et de porter à nouveau le goulot à sa bouche. Il ignorait depuis combien de temps il déambulait dans le Londres moldue, dans cette ville qui n'était plus la sienne. Pas la sienne même, car l'avait-elle jamais été ? Peut-être était-ce l'alcool qui coulait dans ses veines, ou tout simplement son bon sens qui se réveillait enfin après cette longue période de silence, mais le sorcier questionnait enfin sa véritable place dans cette société moldue, dans cette vie sans pouvoir qu'il menait depuis la fin de sa course folle. A la maison, avec Beitris et Arabella, il ne s'était jamais réellement posé cette question tellement tout semblait couler de source, aussi improbable cela pouvait-il paraître. Mais maintenant ? Sans l’atmosphère rassurante de sa nouvelle demeure, sans la perspective d'un avenir finalement stable, finalement heureux, Cinaed n'en savait plus rien. Loin de sa nouvelle famille et du semblant d'équilibre qu'ils s'étaient forgés, ensemble, il était simplement perdu, et l'alcool qui embrumait ses pensées depuis le matin ne l'aidait pas à mettre ses idées aux clair. L'ancien professeur était assis au fond d'une ruelle à l'autre bout de la ville, impasse où il avait trouvé refuge après des heures à tituber, peinant à présent à tenir sur ses jambes. Entre ses mains, la bouteille quasiment achevée, précieuse bouteille qu'il avait acheté après qu'on l'ai mis à la porte du bar où il se lamentait depuis son départ. Voila longtemps qu'il n'avait pas terminé une bouteille de la sorte, longtemps qu'il avait résisté à l'envie de replonger dans l'ivresse et dans l'oubli ; il avait trouvé à Poudlard, mais surtout auprès de Beitris, une stabilité qui lui avait permis de s'éloigner de ses démons. De cette sale manie qui avait, quelques années auparavant gâché sa vie, problème de boisson qui lui avait valu sa place de capitaine chez les Canons de Chudley, qui lui avait arraché sa gloire de l'époque. Il avait pendant longtemps tâché de fuir l'alcool, et du lot de mauvais souvenirs qu'il apportait. Eleazar l'avait sauvé, et il ne pouvait pas se permettre de replonger. Mais après l'annonce du matin, il n'avait pas tenu le choc ; il avait trouvé en l'ivresse le doux sentiment d'abandon qui lui avait tant manqué, celui qui lui faisait, pendant un temps, oublier et supporter. Qui aurait dû l'aider à supporter. Pourtant malgré tout ce qu'il avait avalé, il sentait toujours cette rancœur le ronger au fond de lui, cette tristesse le submerger chaque fois qu'il y repensait, chaque fois qu'il revoyait son visage, qu'il repensait à sa maison. Peu importait l'alcool qui brûlait dans ses veines, il n'arrivait pas à lâcher prise. Monroe aurait voulu crier, laisser sortir toute la colère et la rage qui le paralysait, s'énerver contre elle, s'en prendre au monde entier. Mais faute de mieux, le sorcier renversa sa tête contre le mur, soufflant bruyamment tout en fermant les yeux, fort, comme pour chasser toutes ces pensées qui s'agitaient dans son esprit assombri.
L'après-midi devait à présent être bien entamée. ; le soleil commençait déjà sa lente descente dans le ciel vaporeux, laissant le sorcier amorphe toujours étendu dans sa ruelle. S'il avait depuis toujours évité tout engagement, tout attachement de n'importe quelle sorte c'était pour une bonne raison : cette douleur qui le lacérait sans arrêt, lui rappelant sans cesse ce qu'il n'avait plus, et ce qu'il aurait pu avoir. Cet esprit masochiste qui enchaînait les souvenirs joyeux en compagnie de la brune et de l'enfant, avec des scénarios hypothétiques d'un futur joyeux, si plausible qu'il pouvait déjà s'y voir : leur petite maison décorée pour Noël, Arabella courant sur la plage en été, Beitris en robe de mariée. Il sentait déjà la désagréable sensation du costume étriqué, le lourd regard des quelques personnes présente à leur célébration. Ses traits s'étirer sur son visage ravi. Son pied parti sans même s'en rendre compte, envoyer voler le sac d'ordure à ses pieds ; éclat de violence qui le surpris lui même, amorphe comme il était depuis qu'il s'était réfugié ici. Non, ce n'était pas juste. C'était même incroyablement cruel de la part de la sorcière, de lui faire ça à lui, qui avait tout abandonné pour ses beaux yeux. C'était un sang pur à présent, il n'avait rien à craindre ; il aurait pu, bien tranquillement, continuer sa vie parmi les siens, continuer à enseigner dans son précieux Poudlard en la laissant bien sagement se débrouiller avec ses problèmes. Mais non, il s'était battu, il s'était rendu, il s'était construit une nouvelle vie rien que pour elle et pour Arabella, pour les garder saine et sauve. Il s'était naïvement laissé séduire par cette sang-de-bourbe, et voilà où cela l'avait mené. Bien sur, cette sang-de-bourbe, il l'aimait. Il avait beau essayer de se le cacher, il en était fou. Et c'est ce qui faisait encore plus mal. (en construction )