I. TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ? Ce nouveau régime aurait pu la satisfaire. Il l’aurait fait, avant. Aujourd’hui les circonstances s’avéraient différentes. Katherina a trahi les mangemorts et a fait un trait sur tout ce qu’ils représentaient. De ce fait, il n’est pas étonnant de la savoir comme opposante au nouveau régime instauré. Elle aurait préféré entendre la victoire de Potter annoncée, et non celle du Seigneur des Ténèbres. Lorsqu’elle a été enfermée à Azkaban, elle a eu l’occasion de mûrement réfléchir à la situation à laquelle le monde était confronté. La jeune Harrington avait bien cru perdre espoir. Sauf que la voilà en liberté. En fuite, certes, mais toujours libre. Aucune marque n’imprégnait sa peau. De nouveau à l’extérieur, Kate a pu prendre du recul et se rendre compte qu’elle n’abandonnerait pas. Elle attend le bon moment, de voir ce qui va se passer et des personnes qui croiseront sa route. Elle ne sait pas encore si elle souhaite véritablement continué à se battre. Tout laisse à penser que les derniers résistants sont voués à leur perte… Mais, Katherina essaye de garder espoir, même si cela lui coûte. Elle priait pour trouver une échappatoire. Et vite.

II. TOUT-A-SAVOIR : Katherina est la cadette d'un frère, Jared, et d'une soeur, Junalia (1) ◊ C'était une garce à Poudlard qui brillait sur le terrain de Quidditch. (2) ◊ Elle est plus intelligente qu'elle en a l'air (3) ◊ Son coeur autrefois de glace a retrouvé vie suite aux derniers événements (4) ◊ Elle n'a pas participé à la bataille de Poudlard et a passé pratiquement tous ces derniers mois en fuite (5) ◊ Elle a trahi les mangemorts après trois ans d'implication. (6) ◊ Les retrouvailles familiales ne risquent pas d'être aussi joyeuses qu'on l'aurait cru. (7) ◊ Katherina compte bien survivre. (8) ◊ Elle ne déteste pas les mangemorts, mais leur maître. (9) ◊ Profondément attachée à la liberté, laisser celle des autres aux mains du Lord n'est pas dans ses intentions (10).

L'hôpital Saint-Mangouste eut l'occasion de recueillir cette chère Elizabeth Harrington. Bien qu'ils aient déjà eu le plaisir de voir Jared Harrington, l'aîné, et June Harrington. Katherina solda la fin de cette génération. Née un soir de décembre de l'année 1977, elle eut l'occasion d'ouvrir les yeux sur le monde qui l'entourait. Leurs parents, Elizabeth et Lukas Harrington, travaillaient respectivement au ministère, bien qu'ils ne prêchent pas leurs idéaux. Etant donné qu'ils se trouvaient être secrètement des mangemorts, ils prêchaient la cause du Seigneur des Ténèbres. Ce dernier trônait sur le monde sorcier, avant que le jour fatidique n'arrive. Trois années plus tard, on annonçait la disparition de Lord Voldemort. Les Harrington faisaient partie des familles les plus impliquées dans le régime qu'il instaurait. Ce qui faisait qu'ils se désolaient de cette annonce et des événements qui furent engendrés. Son frère et sa soeur, âgés de deux ans de plus qu'elle respectivement, assimilaient plus la situation que leur cadette. A son âge, on retrouvait chez elle des caractéristiques de ses géniteurs : capricieuse, mesquine, joueuse. Cela ne fit que s'accentuer au fil du temps. Les années lui suffirent pour lui forger une personnalité de fer. Ses parents avaient de quoi être fiers, ce qu'ils espéraient tant portaient leurs fruits. Pendant ce temps, leurs deux autres enfants se trouvaient déjà être scolarisés dans lé célèbre école de sorcellerie Poudlard. Elle les jalousait en secret, étant donné qu'elle remarquait bien l'intérêt et le plaisir qu'elle voyait chez ses parents quand ils parlaient d'eux. Ces jours la marquèrent suffisamment pour lui donner comme objectif de faire de son mieux pour les rendre aussi contents d'elle qu'ils l'étaient pour Lukas et June.

La présence de Katherina dans l’enceinte de l’école de magie britannique ne passait pas inaperçue. Au contraire, elle représentait l’une des élèves les plus populaires. Elle se plaisait dans son rôle de reine, respectée, admirée. Elle adorait attiser la jalousie des autres filles et l’intérêt des garçons. L’avis des professeurs étaient mitigés. Ils remarquaient bien ses traits de personnalité qui auraient pu l’aider à rejoindre la maison Serdaigle, comme son frère Jared. Travailleuse, impliquée, elle se montrait très intelligente. A son plus grand plaisir, son talent se laissait voir à travers ses bulletins de note. Elle n’égalait pas le niveau de son aîné, mais elle avait déjà fait un bon bout de chemin. Ce qui l’isolait bien de sa sœur June, c’était son côté sportif. Katherina souhaitait se démarquer sur tous les terrains et produisait les efforts attendus. Elle se débrouillait bien et, de ce fait, avait fait en sorte de se procurer les meilleurs balais qu’il lui était possible d’avoir. La jeune femme s’en vantait bien, même si elle ne disait pas non à traîner sur les gradins en regardant les joueurs pratiquer cette activité. Ce qui l’avait rendu immensément fière, c’était de voir comment les autres la voyaient : Fière, droite, charismatique, autoritaire, ambitieuse, douée, forte, et belle. Oui, on ne niait pas ses traits singuliers. Ce dont elle en jouait quotidiennement, il fallait avouer. Etant donné qu’elle préférait amplement mener les rênes et contrôler la situation, elle veillait bien à prendre la position de force. C’était elle qui décidait avec qui elle passerait son temps et ce qu’elle ferait. Elle ne tolérait pas le fait qu’on la familiarise quand on ne la connaissait pas, qu’on la touche sans son accord ou qu’on la compare aux autres. Car oui, elle n’était pas la seule dans sa maison à tenir un rôle non négligeable au sein des élèves. Un certain nombre de filles rivalisait à ses côtés, mais Katherina savait comment les désarçonner et les exploiter. A son plus grand plaisir, ses parents se montraient plutôt fiers de ce qu’elle était devenue. Elle ne supportait pas qu’on la comparait à sa sœur, pour le physique et son frère pour le niveau intellectuel. Si elle avait fait tant d’effort pour se relever meilleure, ce n’était pas pour la rabaisse au simple titre de « Sœur d’un tel ». A l’arrivée d’Harry Potter à Poudlard, elle se trouvait déjà en troisième année. Elle le méprisait en public, même si en réalité elle se fichait bien de lui. Ce qui comptait pour elle, après être la meilleure, c’était de s’amuser. Et c’était ce qu’elle faisait, n’étant plus indisposée par le regard de ses parents.

Sa vie toute tracée prit une drôle de tournure lors de sa sixième année. Ses yeux gris acier s’étaient posés sur ce garçon. Ce gars. Slevin. Il avait tout. Tout ce que Kate n'avait pas. Il représentait l'exemple même de toute son éducation. Etant élevée comme une sang-pur digne de ce nom, la logique aurait voulu qu'elle le méprise, l'humilie, comme les autres. Malheureusement, le destin ne semblait pas de cet avis. Ils eurent l'occasion de se rencontrer, en privée. A plusieurs reprises. Jusqu'à ce qu'ils en viennent à sortir ensemble. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Kate ne regrettait pas ces moments passés à ses côtés. Par son intermédiaire, Katherina goûtait à la liberté. Le plaisir de l'interdit. C'était ce qui l'avait tout d'abord intéressée chez lui. Plus tard, elle fut charmée par son caractère, sa joie de vivre, son comportement envers les autres. Lors des matchs dans lequel il jouait, elle ne le quittait jamais des yeux. Elle se plaisait dans sa situation. Ils se voyaient en cachette, et cela convenait parfaitement à la jeune femme. Sauf que Slevin n'était pas de cet avis. Ce dernier voulait affirmer leur couple. Kate se voyait incapable d'exaucer son voeux. Si tel aurait été le cas, elle aurait dû trahir sa famille, les valeurs qu'elle avait appris à prêcher, toute son éducation. Son nom aurait été sali, et elle n'aurait pu jamais s'en relever. Néanmoins, cela ne l'effrayait pas tant que ça. Elle s'en fichait, étant donné qu'elle n'y pensait guère. Elle ne pensait qu'à elle et Slevin. Cette histoire dura longtemps, trop longtemps. Suffisamment pour que Katherina tombe amoureuse de lui. Pour la première fois. Ce constat l'avait énormément effrayée. Ce fut à ce moment-là où elle remit tout en question et qu'elle en était venue à la seule conclusion possible : La rupture. Elle se souvenait de chaque détail. Cela avait été dur, pour les deux. Au final, deux coeurs brisés s'en sortirent de cette entrevue. Ce ne fut plus jamais pareil par la suite.

Les seuls faits qui sortaient de l’ordinaire étaient la chambre des secrets ouverte pendant sa cinquième année, l’évasion de Sirius Black et la Coupe de Feu. Elle avait bien tenté sa chance, mais ce fut Cédric Diggory qui représenta l’école. Comme beaucoup d’autres, elle ne l’appréciait pas tant que ça. Pourquoi un simple Poufsouffle devait représenter l’école alors que tout le monde savait que les Serpentards remplissaient les meilleures qualités pour le faire ? Indignée mais à la fois rassurée, elle avait vu la situation se dégrader à l’annonce de la participation d’Harry Potter. Elle suivit le comportement de ses compagnons. Sa fin de sa scolarité se solda par la mort de ce fameux élève. A partir de là, la jeune femme se désola de ce qu’elle avait pu penser de lui. Elle ne l’aimait pas, mais il ne méritait pas de mourir. Certains de ses amis se fichaient bien de ce qui était arrivé, mais ce n’était pas son cas. Voir les gens souffrir ne lui plaisait pas le moins du monde. Mais le pire, c'était que le Seigneur des Ténèbres était revenu, à son plus grand désarroi.

Le mariage. Katherina restait persuadée qu’elle n’aurait pas eu à y penser avant un bon moment si ses parents n’auraient pas pris l’initiative de lui faire part de leurs « projets ». Depuis un certain temps, elle était promise à un de ses camarades, Salazar, un autre Serpentard qu’elle n’avait jamais pris la peine de connaître. Jusqu’au moment où elle dû faire face à la réalité qui s’imposait devant ses yeux. Elle voyait sa future vie toute tracée : Une future mage noire, mariée à un sang-pur choisit soigneusement, travaillant au Ministère de la Magie. Tout ce que souhaitaient ses parents pour leurs enfants. La jeune Harrington se répétait que c’était mieux ainsi et que plus vite elle se ferait à cette idée, mieux ce serait. Mais, au fond, elle se voilait la face. Elle n’avait aucune envie de se marier à un inconnu dont elle se fichait. Dès leur première rencontre, ils avaient vu une antipathie naître entre eux. Surtout qu’après l’épisode de Liam, elle ne partageait aucune envie de devoir dépendre d’un homme. Ce qu’elle voulait, elle, c’était continuer sa petite vie tranquille à Poudlard, cloîtrée dans son enceinte, protégée de son avenir. A l’extérieur, elle n’était plus la reine. Elle ne représentait qu’un pion sur l’échiquier, même si elle avait du mal à l’admettre. Cela l’effrayait, d’autant plus que ses compères ne semblaient pas partager cet avis. Néanmoins, elle devait faire face à ce fait. Qu’elle ne fut pas sa surprise d’apprendre la fuite de son « fiancé ». Maintenant considéré comme un traître, elle avait reçu l’ordre de le faire revenir par tous les moyens. Et elle savait pertinemment qu’ils ne lui pardonneraient pas cette trahison. Il avait signé son arrêt de mort. Cette mission ne l’enchantait guère : Elle était partagée. D’un côté, elle n’avait aucune envie de le mener dans la gueule du loup, d’autant plus qu’elle l’admirait sans l’admettre d’avoir eu le courage de partir ; et d’un autre, elle voulait prouver ses capacités et montrer de quoi elle était capable. Aujourd’hui, rien n’est moins sûr. Ce qu’elle avait tendance à sous-estimer, c’était que son destin restait entre ses mains. Et que seule elle pouvait décider de ce qu’il adviendrait.

Katherina se sentait de moins en moins concernée par les événements qui bousculaient le monde magique. Ou plutôt s’en désintéressait. Il fallait l’avouer, elle n’avait jamais été du genre à vouloir sauver le monde ni à protéger la veuve et l’orphelin. Tout ce qui comptait à ses yeux, c’était elle. Elle et seulement elle. Du moins, c’était ce dont tout le monde était persuadé. Pourquoi les contrarier en prouvant le contraire ? Perte de temps, voilà tout. C’est pourquoi, lorsque son chemin croisa celui de Slevin, elle se sentit ébranlée par les paroles de ce dernier. Ce dernier lui avait prouvé par a plus b qu’elle ne devait rien à personne. Comme toujours. Kate avait déjà entendu ce genre de discours, mais celui-là avait réussi à détruire ses dernières résistances. De ce fait, plus rien ne la retenait. C’est ainsi que Katherina abandonna les mangemorts et tout ce qui les concernaient, pour partir aux côtés de Slevin. Sa fuite fut une surprise pour pas mal de monde. Comment en était-elle venue à agir comme tel ? Personne ne le savait. Et Katherina espérait bien que cela continue. Il manquerait plus que la vérité soit dévoilée au grand jour. Ils avaient suffisamment de problèmes comme ça. C’était un grand changement pour elle. La jolie Harrington, qui avait toujours vécu dans le luxe et n’avait jamais manqué  de rien, apprenait comment était la vie. Ces mois de fuite lui permirent de mûrir et de voir les choses différemment. Quoiqu’il en soit, Katherina n’avait pas perdu son temps avec Slevin. Peu importe dans quelles conditions elle était plongée, Katherina restait Katherina. Après tout, c’était tout ce qui lui restait, désormais. Ses ennemis étaient devenus ses amis. Elle eut l'occasion d'assister à pas mal de retournements de situation, ou des situations critiques. Pendant ce temps-là, les choses se dégradaient dans le monde magique. Tout avait changé. Il n'y avait pas de retour en arrière possible.
Malgré tout ce qu’elle endura pendant cette période, elle ne regretta pas un seul instant d’être partie. La jeune femme restait persuadée d’avoir fait le bon choix.

La vie était trop courte. Tout le monde le savait,  mais n’en prenait compte uniquement lorsque leur vie était menacée. Katherina avait toujours vue sa vie menacée. Cela s’était révélé comme une crainte perpétuelle. Néanmoins, cette crainte n’avait jamais été aussi accentuée qu’en Mai. Le 2 de ce mois-ci, la victoire de Lord Voldemort avait sonné. En apprenant la nouvelle, Kate aurait presque cru voir sa vie défiler devant ses yeux. Plus aucun espoir n’était possible. Les forces de la résistance étaient rompues. L’Elu n’existait plus. Il était parti avec les derniers espoirs de voir l’équilibre à nouveau instauré. Katherina n’avait pas participé à cette bataille. Pour plusieurs raisons. La première étant qu’elle restait en cavale avec un éternel pacifiste, l’autre étant qu’elle n’était pas prête à mettre sa vie en péril. On pouvait en conclure que l’ancienne Katherina n’avait pas totalement disparue, donc. Ce n’était pas le plus important. Quelques jours s’écoulèrent avant que leur vie ne bascule. Des jours, peut-être même des semaines. Mais le résultat s’avérait le même. Slevin et elle furent capturés. Evidemment, les jeunes ne s’étaient pas laissés faire mais durent vite rendre les armes. Katherina n’avait peut-être jamais eu aussi peur de toute sa vie. Elle avait appréhendé les événements, le sort qu’on lui réservait. La seule chose qui l’avait réconfortée était la présence de Slevin à ses côtés. Hélas, cet avantage lui fut bientôt enlevé suite à leur emprisonnement. Enfermés dans des cellules d’Azkaban, ils devaient abandonner tout espoir de fuite. Ou de tout ce qui avait un jour compté. Personne ne soupçonnait sa réelle identité, tous la voyaient comme une née moldue en fuite qui accompagnait un autre né moldu. Ayant appris la mort de son frère aîné Jared quelques temps auparavant, Kate, effondrée, demeurait persuadée de ne jamais pouvoir se relever indemne de cette nouvelle épreuve. Tout lui tombait dessus. Elle subissait les conséquences de ses actes avec amertume. La jeune Harrington n’avait pas compté le nombre exact de jours pendant lesquels elle avait séjourné à la prison britannique du monde sorcier. Quoiqu’il en soit, Katherina découvrit une manière inhabituelle de s’évader de cette prison. Etant donné que la jeune femme avait développé un don d’animagus plus tôt dans sa jeunesse, cette capacité n’avait jamais été dévoilée. Ce qui faisait que personne ne soupçonnait l’étendue de  ses compétences. Par ce biais, elle s’était enfuie avant qu’ils ne la trouvent. Tout ceci orchestré par le départ de Slevin, sans qu’elle n’en sache rien. Une fois à l’extérieur, Katherina s’était fait une promesse. Tout d’abord, de retrouver Slevin et ensuite, de faire tout ce qui était en son possible pour survivre.

Plus rien ne comptait aux yeux de Katherina, hormis sa survie et celle de ses proches. Le chaos régnait dans leur monde. Tout avait changé, tout avait basculé. Une dictature s’était installée, laissant aucun répit aux anciens résistants. Les nés-moldus restaient persécutés, considérés comme des anomalies. Désormais, les lois décrétaient que la liberté ne se méritait pas. Mais qu’elle s’avérait être un dû, grâce à une ascendance pure. Même les sang-mêlé se voyaient touchés. Plus personne n’était à l’abri du nouveau régime et de ce qu’il préparait, hormis ses fidèles. Les rebelles ne jouissaient d’aucune compassion. Certains avaient rendus les armes, d’autres étaient partis dans d’autres pays. Contrairement à la Bulgarie, les Etats Unis, la France et la Roumanie se sont affichés comme des opposants. Ce qui permet aux rescapés de trouver refuge et sécurité ailleurs. Katherina avait envisagé cette possibilité. Après tout, qu’importait maintenant ? C’était terminé. Seule, elle ne parviendrait à rien. Seulement elle ne pouvait se résoudre à abandonner Slevin à son sort. Au bout d’un certain temps, elle avait retrouvé sa trace et l’avait revu, sous sa forme de louve. Cette complicité qui s’était tissée au fil des mois derniers ne l’effrayait plus. Maintenant, ils étaient seuls. Seuls contre le monde. Les derniers résistants. Ils devaient rester ensembles. Ce raisonnement ne ressemblait pas aux discours que tenaient habituellement l’ancienne Mangemort, mais il était véridique. Dans ce monde plongé dans les ténèbres, entrevoyait un rayon d’espoir. Katherina n’était pas prête à laisser tomber.