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Maeron RosierADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 14042
≡ date d'arrivée : 04/04/2012
≡ tes points : 125 points.
≡ ta disponibilité rp : free.
≡ ton avatar : aidan turner.
≡ tes crédits : jukebox joints (avatar).
≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
| Sujet: ★ les écoles de magie. Ven 11 Oct - 12:20 | |
| les écoles de magie
Dans ce sujet, vous allez pouvoir trouver des informations sur le monde de la magie dans Harry Potter, ainsi même si vous ne maitrisez pas l'univers à la perfection, il vous sera facile de vous y retrouver. Cette annexe a été rédigée par MARY-W. et sweet poison elle est la propriété sur forum PRIOR INCANTATO. Merci de respecter le travail fourni par l'équipe.
PREMIÈRE PARTIE › POUDLARD, ÉCOSSE Poudlard est un pensionnat pour jeunes sorcières et sorciers. Le bâtiment, situé sur les collines d'Écosse, est invisible aux personnes sans pouvoirs magiques, grâce à divers sortilèges. Il possède sept étages et plusieurs hautes tours, ainsi qu'un grand parc contenant un lac, une forêt et plusieurs serres à des fins botaniques. Outre ses nombreuses salles de classes, dans lesquelles des cours de sortilèges, de potions, de métamorphose, d'histoire de la magie et autres sont dispensés par des sorciers qualifiés, le château de Poudlard regorge de pièces étranges, comme la Grande Salle et son plafond magique, les salles communes, la grande bibliothèque, la mystérieuse Salle sur Demande ou encore la légendaire Chambre des Secrets. Un grand nombre de passages dissimulés, d'escaliers et de portraits de peinture mouvants, rendent la visite du château à la fois inquiétante pour les élèves les plus désorientés, et passionnante pour les plus curieux. Depuis plus de mille ans, les élèves y sont répartis dès leur arrivée dans différentes maisons portant le nom des quatre fondateurs de l'école : Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. La scolarité d'un élève se déroule sur sept années, commençant ses études à onze ans minimum et quittant l'école à dix-sept ans minimum.
l'histoire ; Il y a plus de mille ans, les sorciers souffraient d'incompréhension et de peur de la part de personnes dépourvues de pouvoirs magiques. Quatre sorciers exceptionnellement doués décidèrent de fonder une école de magie, permettant d'offrir un refuge aux sorciers persécutés et de léguer leur savoir. Ainsi, Godric Gryffondor, Helga Poufsouffle, Rowena Serdaigle et Salazar Serpentard créèrent un château abritant l'école puis partirent en quête de personnes possédant les aptitudes nécessaires pour enseigner la magie aux futurs élèves. La devise de l'école est : « Draco Dormiens Nunquam Titillandus ».
Les avis des quatre fondateurs, concernant le choix des élèves admis et les matières enseignées, commencèrent à différer très rapidement, principalement entre Godric Gryffondor et Salazar Serpentard, et les premières tensions apparurent. L'école fut alors scindée en quatre maisons distinctes. Afin de choisir le plus justement possible dans quelle maison serait envoyé chaque élève, Godric Gryffondor décida d'ensorceler son chapeau rebaptisé « Choixpeau », et chacun des fondateurs fit alors don d’une petite partie de son esprit pour aider l'objet à répartir les élèves en début de première année durant la cérémonie de la répartition. Cependant, les tensions s'intensifièrent. Serpentard refusa catégoriquement l'admission de Nés-Moldus au sein de l'école, les jugeant indignes d'étudier la magie. Gryffondor s’opposa fortement à cette décision et Serpentard quitta l'établissement après avoir construit la Chambre des Secrets, située dans les profondeurs de l'école. Son héritier, qui à l'avenir sera le seul à pouvoir y entrer en parlant le fourchelang, sera destiné à libérer le basilic qu'elle contient dans le but de débarrasser l'école des « Sang-de-bourbe » à la place de Serpentard. Depuis cette époque, les tensions entre les maisons de Gryffondor et de Serpentard persistent.
inscription et accueil des nouveaux ; Chaque sorcière et sorcier du Royaume-Uni est inscrit(e) dès sa naissance à Poudlard, grâce à une plume magique qui détecte les natifs et inscrit automatiquement leur nom sur un grand parchemin. Chaque année, un professeur vérifie cette liste et contacte par hibou les sorciers qui atteignent l'âge de 11 ans avant le 31 août de l'année en cours, pour les informer de leur inscription et leur transmettre la liste des vêtements de l'uniforme, manuels scolaires et fournitures exigés. Une confirmation ou un refus d'inscription doit être renvoyé à l'école avant le 31 juillet. Les futurs étudiants doivent acheter leurs fournitures avant la rentrée scolaire, le plus souvent au chemin de Traverse à Londres. Les lettres destinées aux enfants nés-moldus, qui sont susceptibles d'ignorer leurs pouvoirs magiques, sont remises aux parents ou tuteurs légaux en main propre par un membre de l'équipe pédagogique de Poudlard. Celui-ci est chargé d'annoncer à la famille l'existence d'un monde magique et de les rassurer quant à l'avenir de leur enfant. Ils peuvent également aider la famille à se rendre au chemin de Traverse et à y faire leurs courses. Les élèves de première année n'ont pas le droit de posséder leur propre balai volant.
Pour rejoindre l'école, tous les élèves doivent se rendre le 1er septembre à la gare de King's Cross, sur le quai 9 3/4, où le Poudlard Express les attend. La voie 9 3/4 est invisible aux moldus. Pour s'y rendre, les élèves (quelquefois accompagnés de leurs parents) doivent traverser une barrière (un mur magique dans les films) entre les quais 9 et 10. Le train met environ une journée entière pour parvenir à la gare de Pré-au-Lard, juste à côté de l'école. Durant le trajet, une vieille sorcière passe dans les wagons pour vendre des friandises aux élèves, comme des Patacitrouilles, Chocogrenouilles, Dragées Surprise de Bertie Crochue, Plumes en sucre, etc. En arrivant à la gare de Pré-au-Lard, les élèves de première année sont pris en charge par Hagrid qui leur fait traverser le lac de Poudlard à bord de barques magiques. Les élèves étant déjà venus à Poudlard embarquent dans des diligences à première vue auto-tractées, mais qui sont en réalité tirées par des sombrals, des créatures ailées squelettiques qui sont invisibles aux yeux des sorciers qui n'ont jamais vu la mort. Alors que les élèves de deuxième année et plus sont déjà arrivés dans la Grande Salle pour le banquet de début d'année, les nouveaux venus arrivent plus tard, accompagnés de la directrice adjointe qui les a accueillis précédemment dans le hall d'entrée, en leur expliquant le fonctionnement de la répartition des élèves dans les différentes maisons pour toute leur scolarité.
la coupe des quatre maisons ; Il s'agit d'une sorte de compétition entre les maisons, fondée sur un système de points. Chaque bonne action d'un élève, comme donner une réponse correcte en classe ou s'illustrer d'une quelconque manière (par exemple dans les matchs de Quidditch), rapporte des points à sa maison et chaque infraction au règlement lui en fait perdre. Ces points sont comptabilisés par des sabliers dans lesquels coulent ou remontent des rubis pour Gryffondor, des émeraudes pour Serpentard, des saphirs pour Serdaigle, et des topazes pour Poufsouffle. La maison ayant le plus de points en fin d'année remporte cette coupe.
journée type ; La journée commence avec un petit déjeuner dans la Grande salle. Les élèves s'assoient à la table de leur propre maison et peuvent manger ainsi que discuter, jouer à des jeux de société ou finir leurs devoirs. Le directeur de chaque maison mange avec les autres professeurs à la grande table placée à l'extrémité de la salle et à laquelle Dumbledore s'installe également, notamment durant les cérémonies. À l'heure du déjeuner, les hiboux viennent apporter le courrier aux étudiants. Il s'agit généralement d'un exemplaire quotidien de La Gazette du Sorcier, de lettres des parents ou des amis, ou de colis. Une cloche signale le début des cours du matin à 9 heures. Il y a deux cours le matin avec une courte pause entre chaque pour que les élèves puissent se rendre au cours suivant. La sonnerie du déjeuner retentit à midi. Après manger, les cours reprennent à 13 heures et se terminent vers 17 heures. Les élèves de première année ont souvent leur vendredi après-midi de libre, alors que les sixième et septième année ont plusieurs périodes libres durant la semaine. Dans la soirée, les étudiants prennent leurs repas dans la grande salle, après quoi ils sont censés être dans la salle commune de leur maison respective, à l'exception des élèves qui doivent suivre un cours d'astronomie à minuit.
Les quatre salles communes ont une entrée secrète connue seulement des membres de cette maison et nécessitent un mot de passe pour pouvoir entrer, à l'exception de l'entrée de la salle commune de Serdaigle, où l'on est tenu de répondre correctement à une énigme. À l'intérieur, la salle commune contient des fauteuils et des canapés confortables pour les élèves, ainsi que des tables pour qu'ils puissent finir leurs devoirs. Des foyers tiennent la salle chaude, et les étudiants peuvent se relaxer, soit dans la salle avec leurs condisciples de maison, soit dans leurs dortoirs. Il y a des panneaux d'affichage dans chaque salle commune, ainsi que dans d'autres points stratégiques de l'école, où sont affichés les emplois du temps, les dates de rassemblements temporaires et autres informations. Chaque salle commune reçoit au moins deux dortoirs; un pour les garçons et un pour les filles.
les vacances et week end ; L'année scolaire à Poudlard est structurée de façon similaire à d'autres écoles « non-magiques » et collèges du Royaume-Uni, avec trois périodes de scolarité sur l'année, ponctuées par des vacances à Noël et à Pâques. L'année débute le 1er septembre et prend fin aux vacances d'été, à la fin du mois de juin, pendant une période de huit à neuf semaines avant de débuter une nouvelle année scolaire. Les étudiants ont la possibilité de rester à Poudlard pendant Noël et les vacances de printemps. Ceux qui choisissent de rester au château n'ont pas de leçons supplémentaires et peuvent se promener librement dans l'établissement. Pendant les vacances d'hiver, ces élèves ont la possibilité de fêter Noël avec les professeurs dans la Grande Salle. Le week-end, les élèves de troisième année et plus sont autorisés à se promener dans le village voisin de Pré-au-lard à condition de présenter un bulletin d'autorisation signé par au moins un de leurs parents ou un tuteur. Ils peuvent s'y détendre et profiter des pubs, des restaurants et des nombreuses boutiques. Parmi les lieux aimés à Pré-au-Lard, on trouve la boutique de friandises Honeydukes, la boutique de farces et attrapes Zonko, différents magasins de vêtements, la Cabane hurlante, qui selon la rumeur est l'édifice le plus hanté de Grande-Bretagne, et des pubs réputés tels que Les Trois Balais ou La Tête de Sanglier.
les préfets ; Chaque maison de Poudlard possède deux préfets (un garçon et une fille), sélectionnés en 5e année d'étude. Seulement deux préfets en chef sont choisis parmi tous les élèves de 7e année. Les préfets ont la possibilité de punir les élèves en cas de manquement à la discipline, mais ne peuvent enlever ou donner des points contrairement aux professeurs. D'une manière générale, ils veillent au respect du règlement et accompagnent les élèves de première année dans leurs salles communes le soir de leur arrivée à Poudlard.
cours et examens ; Dans la saga, de nombreux cours sont décrits. Certains sont obligatoires dès la première année d'études, comme la défense contre les forces du Mal, les potions, la botanique, etc.. À la fin de la deuxième année d'études, les étudiants doivent choisir au moins deux options supplémentaires. Les cours obligatoires sont les suivants : astronomie, botanique, défense contre les forces du mal, histoire de la magie, métamorphose, potions, sortilèges, vol sur balais.
Il y a des cours optionnels dès la troisième année qui sont les suivants : arithmancie, arts et musique magiques, divination, étude des moldus, étude des runes, soins aux créatures magiques.
Les examens sont menés par l'Académie des examinateurs magiques du Ministère de la Magie. Tous les élèves passent des examens généraux à chaque fin d'année, mais les examens de fin de 5e et 7e année sont les plus importants, car ils conditionnent les choix de poursuite d'études et de formation professionnelle. BUSE - )est le nom donné d'une manière générale au premier examen important passé en fin de 5e année. En réalité, cet examen se compose de plusieurs BUSE passées dans chaque matière étudiée depuis la 1re année. Leurs résultats sont essentiels pour la poursuite des études, car ce sont eux qui déterminent les cours que les jeunes sorciers pourront suivre en 6e et 7e années. ASPIC - est le nom donné d'une manière générale à un examen des plus importants subis par les élèves de Poudlard, en fin de 7e et dernière année. Les résultats des ASPIC sont essentiels pour pouvoir entrer dans le monde du travail des sorciers, car ce sont eux qui déterminent le type de profession que pourront suivre les élèves.
Les notes attribuées aux devoirs réguliers à Poudlard sont les mêmes que celles qu'un élève peut obtenir dans un système éducatif britannique classique, avec des notes allant de A (la plus élevée) à quatre ou cinq lettres plus loin dans l'alphabet. En revanche, les notes attribuées aux examens des BUSE et ASPIC sont différentes. Le candidat obtient son examen s'il obtient les notes suivantes : O (optimal), E (effort exceptionnel), A (acceptable) mais échoue à ses examens s'il obtient les notes suivantes : P (piètre), D (désolant) et T (troll).
Dernière édition par Naerys-Jeyne Oswald le Ven 11 Oct - 12:48, édité 2 fois |
| | | Maeron RosierADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : sweet poison.
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| Sujet: Re: ★ les écoles de magie. Ven 11 Oct - 12:27 | |
| les écoles de magie
Dans ce sujet, vous allez pouvoir trouver des informations sur le monde de la magie dans Harry Potter, ainsi même si vous ne maitrisez pas l'univers à la perfection, il vous sera facile de vous y retrouver. Cette annexe a été rédigée par MARY-W. et sweet poison elle est la propriété sur forum PRIOR INCANTATO. Merci de respecter le travail fourni par l'équipe.
DEUXIÈME PARTIE › BEAUXBATONS, FRANCE Chaque génération de jeune sorcier en France rêve un jour de fouler les grands espaces verts de l'Académie de Beauxbâtons. A travers les générations, n'a en effet toujours filtré qu'une imagine classieuse et doucereuse de l'endroit : ce que beaucoup retenaient de leur jeunesse dans le château, c'était ce calme qui y régnait, et cet esprit paisible qui enivrait l'air. Depuis sa fondation, l'Académie de Beauxbâtons s'érige en un grand palais, entouré de somptueux jardins verdoyants, occupant la totalité de l'ïle de Marguerite, dans le Sud de la France. Aucun sorcier, aucun moldu ne saurait exactement dire où, puisque l'endroit est incartable, mais pourquoi s'en faire ? Peu de gens seraient enclins à perturber le paradis que sont l'Académie, ses beaux jardins, son eau de mer paisible et azur : un cadre idéal pour étudier, se recentrer et découvrir toute l'envergure et la beauté de la magie. Isolés, les élèves de Beauxbâtons ont toujours retenu le positif de leurs longues années d'études à Beauxbâtons, tant et si bien que rares sont les élèves qui rentrent chez eux pendant les vacances lors de l'année. Ici, dans l'Académie, on apprend à appliquer la justice magique avec équité, et à pratiquer la magie dans tous ses aspects sans en dénigrer aucun : si l'excellence est réclamée de la part des élèves, c'est avant tout l'excellence de l'esprit qui prône. Connaissances et bon art de vivre sont les bases importantes de tout bon progrès au sein de l'Académie de Beauxbâtons. Évidemment, ce n'est pas pour rien que les français sont réputés comme les plus savants : en effet, l'école de magie française est majoritairement réputée pour son excellent enseignement théorique de la magie.
l'histoire de beauxbâtons ; Il est raconté que la construction de l'Académie telle que nous la connaissons à l'heure actuelle, s'est fait en deux étapes : la première remonterait au début du Moyen-Âge en France, dans les Xe et XIe siècles après JC. A cette époque, peu avant l'apparition de célèbres noms des légendes comme Merlin, l'Académie n'était qu'une Ecole, érigée dans les campagnes du centre de la France, dans un château perché dans les forêts du Massif-Central. A cette époque, l'enseignement de la magie n'était réservé qu'aux érudits et aux savants, des sorciers qui se montraient particulièrement talentueux et qui étaient aptes à entrer dans la légende tout en servant le pays. C'est ainsi que de premiers grands noms de la Magie en France ont commencé à voir le jour : la plus tristement célèbre des sorcières en France n'est autre que Jeanne d'Arc qui, trop souvent submergée par sa magie, a connu un bien funeste destin.
L'école ainsi que les savoirs magiques ont alors vite disparu avec l'avènement dramatique du christianisme dans les villes et les campagnes françaises : en effet, aux XIIe et XIIIe siècle, c'est la chasse aux sorciers qui rythme l'existence des habitants de la France profonde, et ceux-ci préfèrent alors se séparer du monde moldu, se retrancher de leur côté afin de continuer à faire vivre le sang magique français et alentours. C'est ainsi qu'ont émergé de nombreuses familles de sorciers pures, qui désiraient se détacher totalement du monde moldu et ne plus jamais s'impliquer dans leurs affaires : peu à peu, ont sévi les mêmes débats qu'aujourd'hui encore, sur la pureté du sang des sorciers et la légitimité des moldus d'entrer en un quelconque contact avec le monde magique.
Il faut attendre la fin du Moyen-Âge et l'avènement de la Renaissance en Italie et en Espagne pour voir ces débats - devenant parfois sanglants - s'estomper. Alors que Venise a failli être déchirée par une guerre civile, la Renaissance apaise les mœurs, lors de la création du Ministère de la Magie. Enguerrand Merchent, alors Premier Ministre de la Magie de l'histoire du pays français, met en place de nombreuses mesures visant à protéger le monde de la magie, sans pour autant faire preuve de discrimination envers toute personne se révélant avoir des pouvoirs, quelle que soit son ascendance.
C'est ainsi qu'au XVe siècle, l'Académie de Beauxbâtons quitte son lieu-dit du Massif Central pour trouver l'emplacement qu'on lui connaît actuellement, sur l'île de Sainte Marguerite. Un palais selon les règles architecturales de la Renaissance Italienne est érigé à cet endroit, et l'école reprend sa place centrale en Europe orientale. De jeunes élèves du Sud de l'Angleterre, du nord de l'Espagne et de l'Italie, voire même du Maroc et de l'Algérie se rendent à Beauxbâtons pour y apprendre les rudiments de la magie : officiellement, Beauxbâtons est la deuxième école de magie - après Poudlard - à accepter les sorciers d'ascendance moldue dans ses rangs.
A l'ère baroque, au XVIIIe siècle, en pleine Révolution des Gobelins, Beauxbâtons est victime de l'attaque de gobelins et de dragons, et est partiellement détruite. L'école restera fermée pendant toute une décennie, durant laquelle de nombreux travaux d'aménagement seront entrepris. Sous la direction d'un nouveau personnage, Esther Soubiraud, Beauxbâtons retrouve un nouveau visage. C'est à cette époque qu'est construit le palais que nous connaissons à l'heure actuelle pour l'Académie et un nouveau Blason est mis en place, encore utilisé à l'heure actuelle également.
Entre les années 1970 et 1981, la France et l'Académie de Beauxbâtons se retrouvent grandement menacés par le déséquilibre qui survient en Angleterre à cause de l'émergence de forces maléfiques et du très connu Lord Voldemort. A cette époque, les officiels de Beauxbâtons décident de mettre en place toutes les mesures possibles pour protéger les étudiants : ainsi, à travers divers procédés magiques très anciens hérités d'écrits du Moyen-Âge, Beauxbâtons est masqué de toute réalité, protégé par ce qui semble être un bouclier indestructible le protégeant à la vue de sorciers et de moldus. Ainsi, malgré la crise qui survient à Paris, Beauxbâtons est protégée.
Ces procédés ne se font pas sans conséquence, puisque depuis, les ressources littéraires et magiques de Beauxbâtons ont été la source de bien des curiosités : de nombreux "nouveaux professeurs" embauchés depuis 1986 avaient eu pour projet de s'emparer des héritages importants de Beauxbâtons afin de percer les secrets protégeant si étroitement l'école. L'Académie est alors la proie de nombreuses critiques et controverses, menaces et histoires sombres qui n'entament en rien les volontés des professeurs à bien faire.
Aujourd'hui, Olympe Maxime est la Directrice de Beauxbâtons depuis désormais plus d'une décennie.
inscription et accueil des nouveaux ; L'inscription à Beauxbâtons se fait automatiquement depuis l'enfance de tout sorcier montrant de potentiels dons magiques. C'est cependant à l'âge de huit ans, lorsque - généralement - les premiers talents magiques se présentent chez un sorcier, que l'enfant entre alors pour la première fois en contact avec Beauxbâtons. A ce moment là, un professeur de l'Académie vient systématiquement rendre contact avec la famille du jeune élève : s'offre alors à l'élève et à la famille deux choix. En effet, il est possible pour l'enfant sorcier de poursuivre un enseignement moldu pendant encore deux ans, ou alors de rejoindre des "classes préparatoires" de Beauxbâtons permettant de se familiariser avec le monde de la magie et la magie elle-même. Les enfants accédant à ces deux premières années d'études n'ont alors aucune baguette magique, mais goûtent aux prémices théoriques de la magie : dans ces deux années d'études, les jeunes sorciers apprennent les rudiments de l'histoire de la magie et de la pratique de la magie. En effet, il est important, dans l'esprit de Beauxbâtons, de profondément comprendre un domaine pour se l'approprier entièrement. A la manière d'une école primaire, ces "classes préparatoires" sont généralement moteur de grandes réussites dans les années suivantes d'enseignement.
Ces deux années passées, les étudiants apprentis entrent alors dans le vif du sujet : entre les années préparatoires et la première année d'études, l'étudiant doit obtenir une baguette magique et réviser très intensément tout ce qui lui a été appris pendant les deux années précédentes. C'est donc à dix ans que les jeunes sorciers de Beauxbâtons obtiennent leur baguette magique. Une fois dans l'école, le jeune étudiant rejoint "le système habituel" de Beauxbâtons et est alors engagé par ses professeurs dans l'un des six Domaines de l'Académie : Ourania (esprit), Hespérie (plantes), Castalie (littérature), Céléno (sciences), Nyctimène (métamorphose) ou Tlépolémos (art de la baguette). Ce classement se fait alors selon les aptitudes, les talents et les envies de l'élève : ici, on prône l'égalité entre chacun, et il n'est pas question de dévaloriser un Domaine par rapport aux autres.
Le transport amenant les élèves à Beauxbâtons est un carrosse magique, tiré par douze chevaux ailés. Le lieu de rendez-vous change toutes les années : il y a deux ans, il se trouvait à Paris, et l'an dernier, c'était dans le Jura. Le lieu de rendez-vous est transmis dans le courrier délivré aux élèves à chaque été, rendant compte de ses résultats aux examens et des nouvelles fournitures à avoir pour la rentrée. Le carrosse de Beauxbâtons quitte le lieu de rendez-vous à quinze heures précises, et rejoint généralement l'Académie pour l'heure du repas du soir.
la formation à beauxbâtons ; La formation à Beauxbâtons est un travail de longue haleine et demande de la part des étudiants, beaucoup d'implication : en effet, pendant les deux premières années d'études, le tronc commun aux jeunes sorciers est très complet et composé de nombreuses disciplines à maîtriser. Celles-ci, composant le savoir "basique" de tout jeune sorcier sont les suivantes : métamorphose, sortilèges, botanique, potions, défense contre les forces du mal, vol sur balai, astronomie et divination. Contrairement à d'autres pays et d'autres écoles en effet, Beauxbâtons considère la divination comme un art central à enseigner à ses étudiants, c'est donc l'une des matières majeures de l'enseignement d'un jeune sorcier français.
A partir du début de la troisième année, deux options connexes sont à choisir parmi plusieurs disciplines variées : alchimie, arithmancie, étude des moldus, étude des runes, histoire de la magie niveau 2, spécialisation contre les forces du mal, magie des astres, magie de la terre, soins aux créatures magiques, littérature et mythes magiques, musicologie magique, initiation à la science des baguettes, lettres et runes anciennes, études de l'ancienne magie... Alors que les matières majeures ont un coefficient de cinq, les options, elles, ont un coefficient de trois.
examens et diplômes ; A l'examen, donc, l'étudiant arrivé en fin de cycle présente sept disciplines au minimum, pour obtenir une note totale sur quarante à ses examens.
Les examens à Beauxbâtons se font de manière continue : en effet, tout au long d'une année scolaire (de septembre à juillet), les élèves passent deux séries d'examens : la première série se déroule avant les vacances de Noël, et la deuxième série se joue juste avant les vacances d'été. A la fin de l'année, le sorcier étudiant obtient donc deux notes par an : celles-ci sont alors conservées dans le dossier de l'étudiant, et compteront dans le résultat final de son examen des B.A.M.
Les B.A.M sont les Brevets d'Aptitudes Magiques : d'un point de vue théorique et pratique, l'étudiant doit prouver, à la fin de sa cinquième et dernière année d'études, qu'il a une connaissance et une pratique assez solide de la magie pour terminer son apprentissage à Beauxbâtons et ainsi devenir un sorcier de Second Cycle.
Il est possible à tout sorcier de Second Cycle de poursuivre un enseignement "universitaire" de la Magie ensuite. En effet, concept moderne créé il y a moins de dix ans, Beauxbâtons a répandu à travers la France diverses Universités de Magie qui permettent de se spécialiser plus avant dans un domaine avant d'entrer dans le monde actif de la magie. L'Université d'un étudiant sorcier se joue en deux années, à la fin desquelles, encore une fois après un volet d'examens pointilleux, obtient un nouveau diplôme : le A.S.M, Assurencement de Savoir Magique. Avec le A.S.M en poche, tout étudiant sorcier est alors persuadé d'avoir un emploi stable et à long terme par la suite. Ainsi, de plus en plus d'étudiants de Beauxbâtons adoptent ce mode de fonctionnement, et il se pourrait même qu'il se poursuive, avec le temps, à l'étranger !
week end et vacances ; Peu d'étudiants rentrent chez eux le week end : en effet, l'école ne met pas en place de dispositif pour ramener les étudiants chez eux le week end, c'est ainsi à ceux-ci et à leurs parents de s'organiser pour partir et revenir à l'école dans les temps. Quand bien même certains "petits oiseaux du nid" souhaiteraient leur faire au début de leur scolarité, il a été observé qu'aucun étudiant des années supérieures à la première année ne ressent le besoin de rentrer : en effet, Beauxbâtons propose de nombreux ateliers et de nombreuses activités, à la fois moldues et sorcières, à ses étudiants pour les occuper pendant leur temps libre (cf, à voir dans "vie quotidienne).
Pendant les vacances, le carrosse de Beauxbâtons propose de ramener les élèves au lieu où de rendez-vous fixé pour la rentrée de septembre. A tous les élèves rentrant chez eux pour les vacances, est fourni un Rapeltout spécial "Beauxbâtons" qui se colore d'une brume couleur or le jour de la veille de la rentrée. Ainsi, encore une fois, le Carrosse de l'Ecole ramène les élèves à l'école le jour donné par le Rapeltout et aucune exception n'est acceptée.
vie quotidienne ; La vie des élèves est généralement très confortable et paisible : de grands locaux sont en effet proposés aux étudiants, et un fort, sur les larges côtes de l'île, sert de volière pour les hiboux de l'école et des étudiants. Outre cela, le palais étant divisé en quatre ailes, trois d'entre elles sont réservées aux Domaines des étudiants. Sur chacune de ces trois ailes, deux étages sont occupés par de larges salles communes, qui servent également de salles d'études et d'entraide entre les différents étudiants. Les dortoirs, quant à eux, sont séparés des salles communes et sont communs à tous les Domaines : seule une séparation entre filles et garçons est faite, de manière à ne pas risquer le moindre scandale. Finalement, les salles communes à Beauxbâtons font surtout office de salles d'études, de bibliothèques spécialisées et d'un espace d'échange et d'entraide entre des écoliers qui ont tout pour s'entendre.
L'Académie de Beauxbâtons vibre chaque jour d'une volonté de faire vivre ses élèves dans un lieu calme et reposant : la concentration est mère de toute chose, mais pour être bien concentré, il faut faire fi de tous les soucis. Ainsi, l'isolation de Beauxbâtons profite généralement aux élèves, mais il est également imposé aux élèves une activité physique régulière afin de leur permettre d'extérioriser leurs problèmes et leur stress. Sont proposés parmi les sports de l'école, à la fois des enseignements moldus et sorciers. Le Quidditch, sport connu par excellence, est bien évidemment proposé et rythme régulièrement le quotidien des élèves, à travers de nombreuses rencontres et compétitions. Également sont proposés, des cours et des courses de Chevaux Ailés. En effet, Beauxbâtons bénéficiant d'une large écurie contenant les plus beaux specimen de Chevaux Ailés, il semblait logique d'autoriser les élèves à les dompter et les apprécier à leur juste valeur. L'équitation est également proposé aux étudiants souhaitant appréhender le côté moldu des disciplines sportives, ainsi que la natation, la plongée sous-marine dans les belles eaux entourant Sainte Marguerite, ou même la randonnée, à travers les grands espaces de l'île.
Des clubs sont également répartis régulièrement parmi les élèves : le club de Bavboule est, à ce qu'on dit, le plus réputé. Mais il y a également une fanfare à Beauxbâtons, qui joue généralement lors des matchs de Quidditch et autres compétitions sportives. Un concert est d'ailleurs organisé à chaque banquet de fin d'année. Un club d'échec, de littérature, de peinture, de sculpture, de dessin, de théâtre, arts basiques de la culture et de la fierté française sont proposés également. En définitive, il y en a pour tous les goûts, et les élèves n'ont certainement pas de quoi s'ennuyer.
Les buffets de fin de journée sont généralement appréciés par les élèves : composée de légumes de saison, de mets délicats, d'eau fraîche et autres jus doucereux, le festin est facile à digérer et extrêmement appétissant. Nombreuses autres écoles estimeraient ce régime peu suffisant, mais les étudiants de Beauxbâtons ont toujours su l'apprécier à sa juste valeur.
A Noël, un Bal est organisé chaque année : de nombreuses élections ont cours à cette occasion, notamment le Roi et la Reine de la promotion, ainsi que celle de l'étudiant le plus appliqué, celle de l'étudiant le plus drôle, celle de l'étudiant le plus apprécié. Ce Bal est généralement un endroit de fête où les professeurs et les étudiants peuvent se retrouver et échanger avec politesse : car le tout se fait bien entendu dans la plus classieuse cérémonie française. Si l'ouverture de bal se fait sur les plus célèbres couplets du monde magique, Valse avec les Licornes ou Ballet des Êtres de l'Eau, la suite des festivités est plus au goût des générations d'étudiants.
Le 20 mai de chaque année, est organisée la représentation des différents clubs : ainsi, une pièce de théâtre est ouverte à tout spectateur, une exposition d'arts est organisée dans une aile du palais et Beauxbâtons revêt peu à peu un air d'été.
Le premier week-end de printemps de chaque année, est organisée la fête du printemps, l'occasion pour de nombreux groupes d'étudiants de se retrouver dans un pique-nique commun à travers les espaces verdoyants de l'île de Sainte Marguerite.
chevaliers d'honneur, discipline ; Un élève méritant parmi les étudiants de Cinquième Année est désigné dans chaque domaine pour devenir Chevalier d'Honneur. Ce titre, très honorifique, souligne les longues années d'investissement d'un étudiant et lui donne également le rôle de précepteur et de "messager" entre les professeurs et les étudiants. Il est le conseiller, le guide et le surveillant de son Domaine, son représentant le plus fidèle. Ainsi, il doit être à la fois disponible pour les autres élèves, et prôner leur cause auprès des professeurs en cas de moindre problème : il est alors le délégué, la voix du peuple lorsque celui-ci a besoin de s'exprimer. Beaucoup de responsabilités pour une seule personne, mais les jeunes gens, généralement impliqués et responsables, choisis par les officiels de l'école, n'ont jamais failli à leur tâche.
La discipline reste cependant très stricte à Beauxbâtons : le règlement officiel stipule que l'uniforme réglementaire de l'école est une tenue de soie formelle de couleur bleue. Aucun autre style vestimentaire (hormis lors des occasions spéciales) ne sera autorisé. Bienséance sera le centre de toute discipline : aucun propos provoquant, aucune attitude intolérante ou vulgaire ne saura être tolérée à Beauxbâtons. Est cependant confié aux étudiants une grande part d'autonomie, il s'agit de faire preuve de savoir vivre et de politesse sans avoir besoin d'être sans cesse encadré ou repris : les sanctions sont d'ailleurs copieusement sévères à Beauxbâtons.
Dernière édition par Naerys-Jeyne Oswald le Ven 11 Oct - 16:03, édité 1 fois |
| | | Maeron RosierADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : sweet poison.
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≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
| Sujet: Re: ★ les écoles de magie. Ven 11 Oct - 12:43 | |
| les écoles de magie
Dans ce sujet, vous allez pouvoir trouver des informations sur le monde de la magie dans Harry Potter, ainsi même si vous ne maitrisez pas l'univers à la perfection, il vous sera facile de vous y retrouver. Cette annexe a été rédigée par MARY-W. et sweet poison elle est la propriété sur forum PRIOR INCANTATO. Merci de respecter le travail fourni par l'équipe.
TROISIÈME PARTIE › DURMSTRANG, RUSSIE La réputation de Durmstrang n’est plus à refaire à l’esprit de nombreux sorciers : école de sorcellerie mystérieuse aux mœurs parfois critiquées, Durmstrang laisse planer une aura de mystère autour de ses influences et volontés. Nul ne saurait dire exactement aujourd’hui où se trouve le château médiéval, tout de pierre construit – quelques parts, près du pôle, dans les régions australes, les jours y sont courts, les nuits y sont longues. Beaucoup de légendes ont tourné autour de l’école et des grands secrets qu’elle protège, il est dit d’ailleurs que les élèves, en y pénétrant, sont victimes d’un sortilège qui fait que jamais ils ne pourront révéler le lieu exact du château et de ses environs. Bénéficiant d’une protection à nulle pareille, Durmstrang se prône comme étant un endroit calme et enclin à réveiller le potentiel de chacun, un endroit élitiste qui fait naître le meilleur de tous et ne laisserait personne de côté. Selon ce que rapportent les archives, livres d’histoire et savoirs sempiternels, Durmstrang serait un château médiéval en pierres, à quatre étages et plutôt lugubre au premier abord. Plusieurs parents doutent des traitements infligés à leurs enfants là-bas, on y raconte que les hivers sont rudes et les étés passablement épuisants, que les professeurs sont exigeants et sans pitié pour les paresseux, et que l’ambiance entre les élèves et sans cesse animé par l’esprit de compétition.
l'histoire de durmstrang ; Peu d’archives prétendent parler avec exactitude de l’école de magie de Durmstrang, de sa fondation, de ses fonctions ou même de ses principes actuels. Le secret, la discipline et le calme ont toujours été les principales volontés de l’école et ce, depuis sa naissance il semblerait. Des dossiers officiels ne nomment l’école qu’à partir du XVe siècle, lorsque la société magique a commencé à s’organiser concrètement dans les grandes villes des pays de l’Est, mais beaucoup de sources semblent confirmer la fondation de l’école même entre les Xe et XIe siècles. Nul ne sait réellement qui a eu la brillante idée de concentrer l’élite du monde magique des régions occidentales de l’Europe dans une seule et même école, plusieurs hypothétiques noms célèbres dans le monde de la magie ont déjà été attachés à l’histoire de l’école, mais rien n’a jamais été prouvé. Pour les élèves eux-mêmes, le château de Durmstrang, sa construction, sa fondation et son fonctionnement, restent très obscurs et ce, malgré la grande fierté que la Russie a de porter le cœur du monde magique occidental. - Alors que l’école de magie de Poudlard offrait l’enseignement aux sorciers de tous bords et de toutes généalogies, Durmstrang s’est très vite montré comme ayant des envies et des volontés différentes. En effet, jusqu’au XVIIe siècle, Durmstrang n’accueillait que des étudiants de famille de sang-pur : le château était alors amplement grand pour les quelques générations d’élèves qui s’y présentaient, d’autant plus que les élèves féminines n’y étaient pas acceptées. L’on raconte des biens étranges histoires sur cette époque lointaine, où de nombreuses tortures étaient soi-disant infligées aux élèves pour les endurcir et où, dès le printemps perçant, ces mêmes enfants devaient passer plusieurs mois dehors en formation spéciale. Encore une fois, l’école de magie préservant bien soigneusement ses secrets, rien n’a jamais été prouvé ou contredit, et les rumeurs vont grandissant à chaque nouvelle génération, grossissant également la réputation de l’école auprès de certaines familles. - Depuis sa création, Durmstrang est une école qui rassemble de nombreux étudiants de différentes nationalités : si la majorité des étudiants sorciers sont russes, slovaques, bulgares ou issus des régions soviétiques, il arrive aussi à Durmstrang d’accueillir de nombreux grands noms des mondes magiques germaniques, norvégiens ou roumains, certains jeunes sorciers très chanceux de pays très occidentaux se sont également présentés au château pour y être enseignés. - « Hann blótađi ekki, hann trúđi á mátt sinn eiginn ok megin. » est la devise de l'école, adoptée au XIIe siècle il semblerait. La phrase aurait été gravée à cette époque à l'entrée du château de Durmstrang, comme un rappel constant aux élèves de l'école, que leur destinée est entre leurs seules mains.
- Durmstrang a une histoire parsemée de légendes toutes plus diverses les unes que les autres : on raconterait en effet que la forêt des montagnes englobant le château, serait peuplée de créatures si anciennes qu'aucun livre n'en parlerait à l'heure actuelle, des créatures que plus personne n'aurait vues depuis des lustres et qui menaceraient constamment la sécurité des élèves les plus aventureux, ceux assez fous qui se risqueraient à se promener à l'extérieur de l'enceinte du château dans la nuit. - L'élève le plus tristement célèbre de Durmstrang est évidemment Gellert Grindelwald, un sorcier talentueux et plein de promesses, un digne représentant de la maison des Drauhtins, qui est devenu le Mage Noir le plus connu des pays de l'Est. Ambitieux et insatiable, Gindelwald a semé la terreur et le chaos dans les pays autour de la Russie pendant des années, avant d'être stoppé dans sa marche funeste par le célèbre Albus Dumbledore. Beaucoup de mystères entourent la scolarité de Gindelwald à Beauxbâtons, mais de vieilles légendes urbaines raconteraient que, Gindelwald, enfant asocial et mal compris par ses camarades, aurait semé la terreur parmi ceux-ci pendant toutes les années de sa scolarité. Peu de gens ont cependant un jour osé témoigné du passage réel du jeune Gellert dans les murs de l'école. Pour les plus extravagants, il aurait été raconté que Grindelwald aurait caché dans l'école de Durmstrang la plus grande partie de son savoir en magie noire et que celle-ci serait révélée à l'élève digne d'être l'héritier du Mage Noir. - Pendant des années, Durmstrang a été l'école gagnante incontestée du Tournoi des Trois Sorciers, une compétition entre les écoles de Beauxbâtons, Poudlard et Durmstrang qui visait à récompenser les plus talentueux et plus courageux sorciers du monde magique. Fort du travail implacable produit sur ses élèves, Durmstrang était l'impitoyable gagnante pendant des décennies, indétrônable et orgueilleuse. Jusqu'à ce que le Tournoi soit annulé, car considéré comme trop dangereux. En 1994, lorsque le Tournoi a été remis au goût du jour, Durmstrang y a participé, mais les funestes événements qui entourent ce nouveau Tournoi (la disparition du Directeur Igor Karakof en particulier), ont poussé Durmstrang à se retirer du Tournoi des Trois Sorciers.
inscription et accueil des nouveaux étudiants ; Il est évident pour tout jeune sorcier manifestant des pouvoirs magiques que sa scolarité se fera à Durmstrang. En effet, l'école n'accueillant aucun né-moldu, les choses se font beaucoup plus facilement qu'en Angleterre ou en France. A l'âge de dix ans, les jeunes sorciers reçoivent une lettre de convocation les appelant à se rendre à Durmstrang, l'école de magie. Chaque élève souhaitant se rendre à Durmstrang doit pouvoir s'acheminer jusqu'à la ville de Moscou par ses propres moyens. Quels que soient les horizons des élèves, la "rencontre" entre l'officiel moyen de transport de l'école et les écoliers, se fait à la gare Léningradsky de Moscou. Ainsi, les élèves et futurs élèves sont alors pris en charge et c'est un train qui parcourt la distance séparant la capitale du pays, de l'école magique. De nombreuses rumeurs circulent au sujet de la durée du trajet, certains diraient qu'il dure trois jours, d'autres disent que ce n'est que quelques heures à peine, et, comme pour de nombreux éléments de son fonctionnement, Durmstrang demeure un épais secret.
Tout nouvel écolier se rend pour la première fois à Durmstrang à dix ans : là, le jeune "novice" est pris en charge par un précepteur - qui n'est pas un professeur - qui s'occupe de former le jeune sorcier aux disciplines du corps et de l'esprit. L'enfant, accompagné de son précepteur, s'exile dans les montagnes et les steppes russes autour du château pendant toute l'année, et découvre ainsi la base de la magie, selon les anciennes croyances Goths et scandinaves. A travers la discipline du corps et de l'esprit, le jeune sorcier survit "à la dure" pendant de longs mois. A la fin de cette année de "novice", le jeune sorcier est alors soumis à un test d'aptitudes et de connaissances, qui le répartissent alors dans une des trois castes de l'école : Gafaúrds, rassemble les "grands esprits" qui, selon les ambitions de Durmstrang, guide les jeunes élèves de cette caste à devenir de hauts fonctionnaires de la société magique de leur pays. Drauhtins guide les sorciers les plus téméraires et courageux, ceux qui ont en eux, une magie puissante et feront des sorciers légendaires par leur talent. Kindins, quant à cette dernière caste, elle est composée des sorciers prometteurs, qui serviront avec volonté leur pays et veilleront à sa bonne marche - ils sont souvent considérés par les autres comme les "inférieurs" de l'école.
la formation à durmstrang ; Tout jeune sorcier souhaitant acquérir des connaissances et perfectionner au maximum les savoirs "basiques" de la magie doit passer cinq ans à Durmstrang : ainsi, de onze à seize ans, les jeunes étudiants de l'école suivent un "tronc commun" offert à tous. Aux rares élites, généralement des sorciers de sang-pur montrant d'excellentes aptitudes dans de nombreux domaines et dans la force de leur esprit, sont proposées trois années supplémentaires, appelées Gutþiuda. S'il réussit dans ces trois années hautement éprouvantes et pointilleuses en matière de magie, le sorcier accède alors au rang de Ansis, un titre suprême qui apporte bien des privilèges et promet un avenir glorieux à tout sorcier le portant. Les Ansis sont pourtant très rares encore aujourd'hui dans les pays communs à l'école de Durmstrang, peu d'élèves se révèlent avoir assez de connaissances, de nerf et de volonté pour y parvenir : à ce jour, les rares sorciers qui y sont parvenus seraient, dit-on, majoritairement issus de la caste des Gafaúrds.
Les cinq années de "tronc commun" à Durmstrang, ont tout pour ressembler à celles de n'importe quelle école. Des disciplines basiques de la magie comme les sortilèges, la métamorphose, les potions, l'astronomie, la botanique, les défenses contre les forces du mal et l'histoire de la magie sont obligatoirement enseignées aux jeunes élèves et ce, dès leur première année au sein de l'école. Si de nombreuses rumeurs circulent dans les pays étrangers quant à l'apprentissage de la magie noire chez les élèves de Durmstrang, il n'en est rien aux yeux des officiels de l'école : en effet, il est simplement souligné que l'apprentissage des défenses contre les forces du mal se fait "en regardant le mal dans les yeux", ainsi, les élèves apprennent de manière réaliste à lutter contre les forces du mal, ainsi qu'à appliquer ces forces pour savoir les reconnaître et les affronter "dans le vif". Durmstrang prône cependant "avoir assez confiance en ces élèves pour que ceux-ci reconnaissent l'usage des bons sortilèges et des mauvais sortilèges".
Au bout de la troisième année d'études, tout étudiant doit ajouter à ses matières obligatoires, deux "options facultatives", comme le Vol sur Balais (considéré comme accessoire, sinon), la Divination, l’Étude des Runes, l'Arithmancie, la Magie de la terre, les Soins aux Créatures magiques.
La formation suivante, composant les trois années de Gutþiuda, est beaucoup plus secrète. En effet, en y entrant, le jeune sorcier est contraint de signer un accord de principe l'engageant à garder les savoirs enseignés comme secrets : il est dans l'intérêt du sorcier de respecter cette promesse, puisque ce sont ces savoirs qui donnent toute sa valeur au titre d'Ansis. Des sciences occultes contenues dans les livres les plus anciens et secrets de Durmstrang sont enseignées alors, comme l'Alchimie, l'Occlumancie, et, évidemment, la Magie Noire. Si, jusque-là, Durmstrang s'appliquait à rester "neutre" vis à vis des savoirs de Magie Noire, le savoir et la magie de tout Ansis repose majoritairement sur celle-ci : ainsi, les savoirs de la magie sont largement étendus à des domaines beaucoup plus vastes, des sortilèges beaucoup plus puissants. Le sorcier apprend à tirer une différente part de magie de lui-même, celle qui le rend Ansis, extraordinairement plus puissant que le commun des mortels. Plus sombre également, cependant.
examens et diplômes ; A chaque nouvelle année, les étudiants passent des examens au mois de juin : ces examens ont la réputation d'être difficiles, à la fois pratiques et sous formes de tests de connaissance, ils demandent d'avoir assimiler tout l'enseignement des années passées.
Aucun "grand examen" n'est soumis aux élèves avant la dernière année du tronc commun. En cinquième année, donc, les élèves se préparent à passer leur D.M.E (diplômes de magie expérimentale). C'est le diplôme le plus bas que l'on peut obtenir à la sortie de Durmstrang, et ce ne sont pas les élèves qui choisissent s'ils ont ou non la possibilité de suivre la suite de l'enseignement à Durmstrang, mais les professeurs et le Directeur de l'école qui accordent ce privilège. Les D.M.E rassemblent dans de très longues heures d'examens, l'ensemble des connaissances acquises par le sorcier étudiant depuis qu'il a débuté en tant que "novice" à l'âge de dix ans. A la fois, le sorcier doit se montrer digne de la caste dans laquelle on l'a mise, mais également bon connaisseur de tout ce qui lui a été enseigné. Deux notes peuvent être attribuées aux examens : D signifie Digne, l'élève est alors diplômé dans la matière et I signifie Indigne, l'élève est alors recalé dans cette matière. La valeur du D.M.E dépend alors du nombre de D obtenus par l'élève.
Pour les trois années qui suivent, des examens finissent chaque année et sont éliminatoires à chaque fois : entre la première année et la deuxième année de Gutþiuda, plus de la moitié des élèves est recalé : les rares qui parviennent à accéder en 2e et 3e année réussissent très rarement à être dignes du titre d'Ansis. Le dernier sorcier à avoir acquis le titre Ansis était Kiril Assen, en 1912.
week end et vacances ; L'école de Durmstrang est trop isolée pour que les élèves puissent rentrer chez eux le week end : il est de toute manière impossible dans l'organisation de l'école que ce système soit possible. En effet, dans une semaine de classe, des cours sont imposés le samedi dans la matinée, se poursuivant même parfois dans l'après-midi. Une fois par mois, ces cours sont suspendus et les élèves se rendent alors dans un "stage de recadrement" dans les montagnes qui bordent le château : sont privilégiés dans ces stages l'entraide et l'esprit d'équipe dans les différentes castes. Toutes les années d'études - hormis les Gutþiuda qui restent au château - sont alors confondues dans ces stages, et les résultats de ces stages comptent pour les épreuves de fin d'année.
Aux vacances, il est possible pour les élèves de rentrer chez eux, mais rares sont ceux qui le font : au contraire, Durmstrang prônant des préceptes d'indépendance et de volonté, les élèves quittent le nid assez volontairement et ne rentrent chez eux, bien souvent, qu'en été.
vie quotidienne ; La communication entre les familles et les élèves se fait uniquement par le biais des hiboux de l'école, des oiseaux extrêmement chers et protégés du froid polaire qui entoure le château : ainsi, le courrier entre les élèves et les parents est soigneusement contrôlé par l'école.
Durmstrang prône la discipline avant tout pour ses élèves : de nombreuses talents chez les élèves sont alors utilisés dans l'école. Non seulement, le Quidditch est un sport qui se pratique (à partir de la troisième année uniquement, avec le début des cours de Vol sur Balai), mais également des sports d'adresse et de discipline de l'esprit. Ainsi, des Tournois d'échecs sont très souvent organisés dans l'école et sont pratiques communes à Durmstrang : beaucoup d'élèves souhaitent pouvoir s'y inscrire. Un club de Duel est également disponible, ainsi que des disciplines beaucoup plus surprenantes, comme la voile, la chasse, les mathématiques et le tir à l'arc.
Les banquets sont généralement frugaux à l'école, et rassemblent la totalité des élèves : de nombreuses viandes richesses sont proposées, parfois dans des morceaux peu ragoûtants, comme les abats et la tête, mais les élèves ont appris à se contenter de ce genre de mets. L'hydromel est la boisson "officielle" de Durmstrang. Chaque jour, de nombreux elfes de maison, réduits à l'esclavage, s’affairent à assurer le confort de tous les élèves : le bois, denrée rare, est cependant extrêmement préservé et les feux de cheminée sont exclusivement réservés aux cours : les seuls feux magiques produits au château sont ceux des élèves, les hivers sont alors très rudes, mais "l'unité avant tout" sait faire face.
Les uniformes officiels de Durmstrang sont faits de fourrure de bête, extrêmement chaudes pour l'hiver, ainsi que d'un tissu rouge sang censé représenter la supériorité du sang sorcier. Les uniformes sont obligatoires en toute circonstance et pour tous les élèves. Les uniformes des étudiants en Gutþiuda sont cependant différents : leurs fourrures sont noires ainsi que le tissu, offrant des mines mornes et fatiguées à tous ceux qui les portent.
castes et intendants, discipline ; Chaque caste d'étudiants dispose d'une partie du château : ainsi, les trois castes bénéficient de deux salles communes - une pour les élèves féminines, l'autre pour les élèves masculins. Selon les castes, les enseignements de la magie sont appréhendés de différentes manières, sous différents aspects, plus ou moins intellectuels, pratiques ou physiques. Appartenir à une caste, c'est appartenir à une famille et signer définitivement son avenir. Les salles communes sont généralement modestes et moyennement confortables, surtout des lieux d'études au calme, de rassemblement des élèves et de concentration.
Les intendants de l'école ne sont pas des élèves : Durmstrang prônant l'unité de ses talents et le travail avant tout, il a semblé logique qu'aucun élève ne puisse être au-dessus des autres en bénéficiant de la possibilité de punir/réprimander les autres. Les intendants sont des surveillants, ajoutés au corps professoral de Durmstrang. Leur but est de veiller à la bonne marche de la discipline et du bon statut de Durmstrang : les règles strictes de l'école sont ainsi maintenues par des mains de fer. Aucune amourette de tout genre n'est autorisé entre les étudiants de Durmstrang, entre les professeurs, entre étudiant/professeur ou de quelque sorte que ce soit. Toute communication clandestine entre un élève et l'extérieur est interdite. Les sorties dans le village voisin de Durmstrang ne se font qu'encadrées lors des journées "excursions", en définitive, de nombreuses règles rythment la vie des étudiants. Les punitions peuvent être variées et étendues : si les lignes à copier sont de rigueur, il est également possible pour un intendant ou un professeur d'user de la magie pour faire appliquer la discipline. Qui plus est, les donjons de Durmstrang sont également aménagés pour "l'isolement" d'un étudiant qui se trouverait être particulièrement récalcitrant.
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