001. NOM DE FAMILLE Ҩ	ROSEBURY
002. PRÉNOM(S) Ҩ	LUKAS ADRIAN
003. ÂGE Ҩ	SEIZE ANS
004. STATUT DU SANG Ҩ	SANG MÊLÉ
005. MAISON Ҩ	SERDAIGLE
006. ANNÉE D'ÉTUDES Ҩ	6E ANNÉE
007. BAGUETTE Ҩ	BOIS DE CORNOUILLER, CRIN DE SOMBRAL, VINGT-SIX CM, NE PEUT RÉALISER DE SORTILÈGES INFORMULÉS
008. ÉPOUVANTARD Ҩ	LUI-MÊME BAIGNANT DANS LE SANG DE SON MEILLEUR AMI.
009. PATRONUS Ҩ	IL SE PLAÎT À FABULER AU SUJET DE SON PATRONUS DEVANT QUI VEUT L'ATTENDRE EN CONTANT QU'IL S'AGIT D'UN POULPE À SIX TENTACULES, ANDY POUR LES INTIMES. POURTANT, CECI N'EST QU'AFFREUSE CALOMNIE. LE SORTILÈGE « PATRONUS » LUI EST TOUT SIMPLEMENT INACCESSIBLE. IMPOSSIBLE. RIEN À FAIRE. IL A BEAU LE RÉPÉTER ENCORE ET ENCORE 'EXPECTO PATRONUM', JAMAIS AUCUNE FORME ARGENTÉE N'EST SORTIE DE SA BAGUETTE.

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“hogwarts will always be there to welcome you home.”

“l'avis votre personnage sur voldemort”

Chaque jour qui passe le maître des ténèbres gagne en puissance. Longtemps, on lui a appris à craindre son retour. Aujourd'hui, c'est le cas. Il est de retour. Harry Potter l'avait annoncé, Lukas n'en avait jamais douté. Lord Voldemort. Il ne ressent que de la haine envers cet homme -si l'on peut parler de lui en tant que tel- qui arracha son père à la vie. De la haine, mais aussi une crainte sans fin. Malgré tous ses discours et ses idées de vengeances, Lukas est terrifié par le mage noir.

“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?”

Ces hommes et ces femmes sont courageux, il n'en doute pas une seconde. Ce courage que Lukas envie, ce même qui courage qui lui avait fait défaut deux ans auparavant lorsqu'il l'armée de Dumbledore fut créée. Lukas voudrait les rejoindre, pourtant la peur le paralyse. La peur de mourir en se battant pour ce en quoi il croit, tout comme l'avait fait son père avant lui. La peur de ne pas être à la hauteur au côté de ses sorciers aux capacités magiques et à la détermination sans fin.

“comment vit-il la situation actuelle ?”

En ces temps sombres, seul un fou n'aurait pas peur. Une mère en fuite, une école assiégée. La menace est constante pour un sorcier tel que lui aux ascendances moldus. Pourtant, il tente de rester le plus naturel au monde en continuant ses études, déterminé à obtenir ses ASPICS alors que le danger se cache à chaque recoin. Poudlard n'est plus un endroit sûr, mais y a-t-il le moindre lieu sûr aujourd'hui ? Lukas en doute. Chaque jour, la culpabilité d'avoir poussé David a regagné la célèbre école de magie est de plus en plus forte. Si jamais par sa faute quelque chose arrivait à son meilleur ami, il ne pourrait s'en remettre.

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“every year is the same, muggles are everywhere.”

001. TON WEB PSEUDO Ҩ	.COMPARE SCARS.
002. TON ÂGE Ҩ	TROP JEUNE POUR CONDUIRE TROP VIEILLE POUR REGARDER DORA L'EXPLORATRICE
003. CÉLÉBRITÉ CHOISIE Ҩ	TOM STURRIDGE
004. PERSONNAGE Ҩ	SCÉNARIO
005. TON AVIS Ҩ	UN FORUM MAGNIFIQUE, QUE DIRE DE PLUS MIS A PART QUE JE L'AIME DÉJÀ ?
006. TROUVÉ PAR Ҩ	PUB RPG DESIGN FUT MON GUIDE
007. DERNIER MOT Ҩ	HARRY POTTER FOREVER !
008. CONNEXION Ҩ	6/7 JOURS, PARCE QUE JE SUIS UN PEU GEEK.

première acte ; le combat ou la prose. la caresse ou l'ambre. Maman, voici quelques roses pour faner dans ta chambre

Dans une tumulte de fumée, d'énervement et de cris, les pleurs d'une femme en deuil. Recroquevillée sur elle-même dans un coin de sa chambre, elle se laissait aller dans une parfaite tristesse qui peu à peu lui faisait perdre toute notion de la réalité. Son visage bouffie, les joues décorée de larmes noircies par le maquillage, ses mains blafardes cachaient ainsi ses yeux emplis de désespoirs. A présent la femme symbolisant l'élégance et la joie de vivre s'était enfuie à des années lumières de là. La martyre luttait de tout son être pour résister à la tentation de mettre fin à sa souffrance dans un acte déséspéré. Dans un instant de pure folie, elle lâcha un nouveau cri, plus fort cette fois. Peu consciente du monde qui l'entourait, elle se croyait seule dans la pièce qui autrefois avait été sa chambre. Elle ne voyait pas le petit être qui patiemment l'observé assit sur le coffre en bois vernis. Son chagrin, sa peine, l'empêchait de faire face à son fils. S'il ne parlait pas ce n'était pas à cause de la surprise ou la peur de voir sa génitrice dans un tel état. Non. Il y a bien longtemps que l'habitude avait effacé toutes ses inquiétudes. Aussi loin qu'il s'en souvienne la femme qui neuf ans auparavant l'avait mise au monde s'abandonnait chaque année aux mêmes troubles. Dès le matin de chaque trois avril la femme s'enfermait dans la pièce qu'elle avait partagée des années durant avec son défunt époux et n'en sortait que la lune levée. Dedans, elle succombait à petit feu. Par habitude, sa progéniture avait appris à ne pas l'approcher en ce jour maudit, là laissant gémir des heures et des heures. Mais cette année, les choses se trouvaient être bien différentes. Un mélange de curiosité et de pitié s'était emparées du plus jeune de la fratrie, le poussant à se rendre au côté de sa mère. Le rituel annuelle de sa mère ne lui était plus étranger à présent. Chacune de ses actions s'étaient comme imprimée dans l'esprit du jeune garçon au fil des années. A présent, il était capable de prédire avec exactitude les moindres faits et gestes de sa génitrice. Alors, dans un élan spontané, au petit matin il avait enfilé le seul costume -acheté pour un mariage quelconque- qu'il possédait. Voilà bien longtemps qu'il ne s'était pas vêtu ainsi, son pantalon laissé entrevoir ses chaussettes et sa veste le serrait terriblement au niveau du dos et des épaules mais ce détail lui était bien égal. Enjolivant son habille par une rose blanche cueillit au fond du jardin, il se sentit fin prêt à rejoindre la trentenaire. Après cela, les événements s'était enchaînées sans que le garçonnet ne comprenne pourquoi il reste ainsi, à observer la scène. A présent, il ne bougeait toujours pas, incapable de savoir s'il devait agir et soutenir sa mère ou rester tel une poupée de cire. Plus le temps passait, plus la vue se révélait insupportable. Ses premières larmes coulèrent aux alentours de midi. Il pensa à son père. L'homme qu'il n'avait jamais connu, celui dont la vie avait été détruite bien avant sa naissance. Il ne savait rien de lui. Seul les photos entreposées un peu partout dans la maison lui permettait de se faire une idée de l'homme qu'il était. Sa mère ne parlait de lui que rarement mais à chaque fois elle le décrivait comme un homme bon, qui n'hésitait pas à se battre pour ce qu'il aimait. Lukas s'était mis à admirer l'inconnu sans qui jamais il ne serait sur cette terre. Il paraît qu'ils se ressemblaient. Certes, ils possédaient les mêmes cheveux de jais et des yeux sombres pratiquement identiques, mais pour ce que Lukas en savait, la ressemblance s'arrêtait là. Il tenait plus de sa mère à vrai dire... Sa mère... Un sanglot se fit entendre. Le garçon ne sut dire s'il appartenait à sa mère ou à lui-même. Peu importe. Sans savoir pourquoi, il se leva brusquement et quitta la pièce. Ce ne fut qu'à cet instant que Mrs Rosebury prit conscience que tout ce temps elle ne fut pas seule, cependant il lui était impossible de savoir avec exactitude qui exactement s'était trouvé à ses côtés. Après quelques instants de réflexion elle revint à ces pleurs. Quant à Lukas, il se mit en tête de s'éloigner de cette chambre maudite. A peine avait-il commencé sa course vers les escaliers qu'une agréable odeur sucrée envahit ses narines. Il inspira profondément... A ne plus en douter, il s'agissait de gaufre. Le jeune brun se hâta jusqu'à la cuisine et ne put que sourire devant la scène que lui offrait son aînée. Farine, oeufs, lait. Tout, absolument tout leur réfrigérateur avait été vidé et se retrouvaient à présent sur le potager. Au milieu de cette pagaille immense, Calleigh régnait en mettre. Le corps entier de la jeune adolescente se trouvait être tâché par divers aliments, elle semblait pourtant s'en être accommodée. D'un œil incertain elle fixait son œuvre, il fallait bien l'avouer, elle ne possédait aucun tallent cuisinière. Cependant cette fois-ci elle avait fait un effort. Vraiment. Rien n'avait brûlé. Plutôt fière du résultat elle se saisit du plat garni et le déposa avec délicatesse sur une table décorée. « Il ne te reste plus qu'à tout nettoyé poulette. Lukas ne put retenir un rire face à son aîné conversant seule. La jeune fille se tourna vers lui avec un rictus indescriptible. En plus ça t'amuse. Je passe la matinée à préparer des gaufres et toi tu te fiches de moi. Et puis, c'est quoi cette tenue ? » Calleigh n'eut pas le temps de réaliser ce qu'il se passait que le garçonnet s'éloigna en courant. Depuis le débout, il était conscient de la mauvaise tournure que les choses risquaient de prendre. Mais alors, pourquoi l'avait-il fait ? Par curiosité devant cette porte interdite pendant temps d'année ? Peut-être... En réalité, il n'en avait pas la moindre idée. « Tu es allé la voir ? » Le brun sursauta. Il s'apprêta à dire quelques choses, mais son aînée fut plus rapide. « Elle va bien ? » Face à cette question, Lukas se trouva déstabilisée. Il ne savait que dire alors il se contenta de hausser les épaules et de laisser sa soeur en déduire ce que bon lui semble. « Ce n'était pas une bonne idée. » « Je sais. » Calleigh acquiesça puis se saisit de son petit frère pour le prendre dans ses bras. A cet instant le temps semblait s'être arrêté. Les deux jeunes gens n'avaient plus bougé, depuis combien de temps, ils n'en savaient rien, ils se contentèrent de se soutenir l'un et l'autre, personne d'autre ne pouvait les comprendre après tout. « Va te changer. Des tonnes de gaufres nous attendent. » Ainsi, leur embrassade s'achevèrent.

deuxième acte ; le temps imparti et la vie j'en conviens. c'est la saison des pluies, avec la pluie en moins.

Une foule de jeune gens se tenait en plein centre de la salle principale de Poudlard. Un brouhaha régnait dans la pièce, tous ces jeunes sorciers ne cessaient d'échanger des informations, sur l'école, sur les autres élèves, les professeurs, il y avait tellement à dire sur ce qui était à présent leur école et surtout tellement à découvrir. Sur la plupart des visages on voyait l'émerveillement, la joie, mais aussi le doute. Le doute de ne pas être placé dans la maison de son choix, le doute de ne pas réussir à faire ses preuves et bien plus encore. Une multitude de sentiments, positif, négatif, une chose était certaine : personne ne restait de marbre face à Poudlard. Lukas le premier. Le garçon n'arrivait toujours pas à y croire. Le monde magique, il le connaissait depuis toujours, ses deux parents étaient des sorciers -d'ascendances moldus pour la mère, mais tout de même-, sa sœur étudiait encore dans l'école de magie, il grandit avec l'espoir d'un jour mettre les pieds à Poudlard. Pourtant, cela ne retirait ni la surprise, ni le bonheur d'être aujourd'hui dans l'enceinte de ce lieu légendaire. D'un coup, le vacarme cessa. Une vieille femme à la robe verte et aux lunettes rondes s'avança vers les jeunes élèves de premières années, elle tenait dans sa main gauche un long rouleau de papier -sûrement la liste des élèves- et dans l'autre un chapeau noir légèrement abîmé par le temps. Le Choixpeau. Dans la première lettre qu'il avait reçu de sa soeur, Lukas ne comptait plus le nombre de fois où le nom de l'objet fut écrit. Ainsi, il ne s'étonna pas lorsque le professeur appela l'une de ses camarades. Des Gryffondors. Des Serpentards. Des Poufsouffles. Des Serdaigles. Des dizaines et des dizaines d'élèves furent placés dans leur maison, certains avec le sourire, d'autres avec une expression de surprise et d'autres encore la mine figée. Ils défilèrent tous. Puis vient le tour de Lukas. « Lukas Rosebury ». Le garçon tout juste âgé de onze ans ne réagit pas de suite à l'appelle de son nom, il oublia presque que lui aussi devait passer par le rituel incontournable de l'école. Il inspira profondément, puis se dirigea vers la chaise alors que les battements de son coeur se faisaient de plus en plus rapides. Une fois assit, la première chose qu'il ressentit fut la désagréable impression d'être observé. Tous ses yeux inconnus le fixant lui donnaient la chair de poule. Le professeur ne laissa pas sa peur grandir et lui mit immédiatement le Choixpeau sur la tête. « Hmm... Un second Rosebury... intéressant. Je n'ai eu aucun mal à placer ta soeur, une sorcière intelligente. Je vois beaucoup de capacité en toi. Une timidité que tu veux affronter, le besoin de se sentir aimé et de rire, un désir d'apprendre et de découvrir, mais aussi... un puissant désir de vengeance. Mmm... Tu aurais ta place dans chacune des maisons ou peut-être pas Gryffondor... Je me demande si... » « SERDAIGLE » Un tonnerre d'applaudissement des bleus et argents vint brisé le silence religieux, le professeur lui retira le chapeau magique et il se dirigea les jambes tremblantes vers la table de sa maison. On le félicita, plusieurs élèves se présentèrent à lui et il vit sa soeur arriver vers lui, le serrer dans les bras et le félicita encore et encore d'avoir rejoint les gagnants comme elle se plaisait à le répéter. Bien que le jeune brun ressentait une joie immense au côté de ceux avec qui il allait passer sept ans de sa vie, il ne pouvait s'empêcher de se poser une question. Et si, le Choixpeau s'était-il trompé ?

troisième acte ; bien avant qu'on se soit connu bien avant qu'on se soit parlé, bien avant ce goût de déjà vu

Le dortoir des Serdaigles, un lieu que Lukas devait dès à présent considérer comme son chez-sois. La journée avait été forte en émotions, à présent que les événements s'étaient calmés, le garçon pouvait enfin penser à se reposer. Ses valises trônaient toujours près de son lit, ses affaires toujours enfermé dedans. Il n'eut ni le courage, ni la force de les vider et ne les avait ouverte que pour se saisir de son pyjama. Assis sur son lit, il regardait tour à tour ses camarades de chambre, certains riaient, d'autres -plus fatigués que lui- dormait déjà. Il était amusant de voir tout ce petit monde vivre en communauté. Plusieurs fois dans la journée, Lukas voulu rejoindre un petit groupe et faire de nouvelles rencontres, mais à chaque fois, il rebroussa chemin lâchement. Il n'osait pas aller vers les autres et n'avait adressé la parole que brièvement qu'à deux personnes dans le train, mais qui malheureusement ne faisaient pas partis de sa maison. Sera-t-il condamné à errer seul dans les couloirs de Poudlard ? Cette simple pensée le fit trembler. Hors de question. Lukas prit alors son courage à deux mains et se dirigea vers un petit groupe de garçons, ils discutaient tous ensembles depuis un petit moment... Tant pis s'il les dérangeait, il voulait connaître des gens. Parti dès le début avec l'idée de se faire rejeter, la surprise de Lukas fut grande lorsque à son arrivée on lui lança quelques sourires et l'on se mit à lui poser des questions sur sa personne. Il tentait tant bien de mal de tenir la conversation, posant des questions à son tour. Très vite, il se laissa importer dans toutes ses discutions et se mit presque à rire de ses peurs précédentes. « Comment se fait appeler un vampire snob ? » avait lancé avec un rictus amusé David Johnson, un sorcier à chevelure blondes et bouclées. Sur le coup, Lukas ne peut s'empêcher de rire avant même de répondre, bien sûr qu'il connaissait cette blague, il avait passé des années à la répéter à tout va et vient. Sa mère, sa soeur, le voisin, son chat, son meilleur ami des baques à sables. Tous y étaient passés. Alors sous le regard des autres, il répondit avec un immense sourire « Mon saigneur ! ». Il fallait l'avouer, il ne s'agissait pas du gag de l'année, pour être honnête cela devait bien être l'un des pires existants sur cette terre et pourtant...

y'a pas que la solitude, les temps morts. y'a pas que la lassitude qui caresse mon corps. n'empêche, les jours passent et se ressemblent

Dans cette partie de la fiche de présentation, vous écrivez l'histoire de votre personnage. Pas la peine de faire chaque étape de son existence, mais les principales. Il vous faudra pour cela rédiger le tout en un minimum de trente-cinq lignes et ce, de la manière que vous voulez : à travers des anecdotes ou de manière narrative, à vous de voir. Rendez votre personnage intéressant (a). N'oubliez pas que bonpatron et word sont de bons amis pour ceux qui font des fautes.