(archie) ◊ across the universe.

archibald eoin lethbridge

i'll be a story in your head.

NOM : lethbridge.	PRÉNOM(S) : archibald, eoin.
ÂGE : quarante-deux ans.	STATUT DU SANG : sang mêlé.
DATE DE NAISSANCE : 19.06.56.	LIEU DE NAISSANCE : london, uk.
STATUT AMOUREUX : marié.	EMPLOI : écrivain.
GROUPE : running up that hill.	CÉLÉBRITÉ : hugh dancy.

WELCOME TO OLLIVANDERS ✲ Ollivander en a vendu des baguettes, pendant tout l'exercice de son métier au Chemin de Traverse. Mais nulle autre ne ressemble à celle d'Archibald qu'il/elle a obtenu à l'âge de onze ans : faite d'un bois d'olivier, mesurant 38,5 centimètres, celle-ci est spécialisée en sortilèges et sa magie tirée d'un crin de licorne, elle peut avoir la réputation d'être d'une grande finesse. Sans nul doute aucun, prenez garde au sorcier puissant qu'est devenu(e) Archibald avec sa baguette entre les mains.

TA MAISON A POUDLARD ✲ RAVENCLAW

11 BUSES ✲ 11 ASPICS

→ 001. LORD VOLDEMORT EST DE RETOUR, L'AVIS DE TON PERSONNAGE : Voldemort, ce nom a longtemps effrayé plus d'une personne dans son entourage. C'était le nom à ne surtout pas prononcer devant ses parents ou bien, ils devenaient blancs comme des morts. Pourtant, il n'était plus là, les gens n'avaient peur que d'un nom. Archibald lui, pour avoir connu la première guerre à un âge où il était déjà bien assez vieux pour comprendre, il a toujours pensé que c'était le bonhomme qui faisait peur et non son nom. Ainsi tant qu'on entendait que son nom, des rumeurs infondées, il n'y avait rien d’inquiétant. L'annonce de son retour en revanche, elle a clairement fait frissonner le sorcier de terreur. Lord Voldemort, c'est un peu le grand méchant de toutes les histoires, celui dont il faut avoir peur et Archibald pense qu'il est bien plus sage d'en avoir peur et de le craindre plutôt que de nier son pouvoir et sa puissance. Avoir peur au moins, c'est l'assurance qu'on protégera toujours ses arrières, qu'on saura anticiper le danger. S'en foutre au contraire c'est le meilleur moyen de se faire avoir bêtement, de se brûler les ailes et de se heurter à une chute bien vertigineuse. Alors forcément, il mentirait s'il dirait ne pas avoir peur du seigneur des ténèbres.

→ 002. L'ORDRE DU PHÉNIX, L'AVIS DE TON PERSONNAGE : L'ordre du phénix, il ne saurait dire si les gens qui en font partie sont des gens particulièrement courageux ou simplement des fous à tendance suicidaires. Ce sont des gens bien courageux dans le sens qu'ils osent se lever contre les mangemorts, ils ne restent pas dans leur coin à attendre que les choses se passent bien tranquillement (ce que lui en revanche, il avait prévu de faire) alors oui, dans un sens ils ont beaucoup de courage. Mais c'est risqué, incroyablement risqué. Un de ses frères est tombé en l'honneur de l'ordre du phénix quelques temps après le début de la guerre. Il ne saurait dire s'il est mort en héros ou juste comme un imbécile. Il n'avait de toute évidence pas assez conscience de ce dans quoi il s'engageait. L'ordre à du courage, mais il se fiche de ses soldats, ce qui compte pour eux, c'est Harry Potter, les autres, ne représentent que la chaire à canon bonne à être sacrifiée en attendant le seul combat qui compte. Harry Potter VS Lord Voldemort. Son frère faisait partit de la chaire à canon. Il avait eu le courage de se lever contre l’oppression, mais il n'en était pas moins fou et suicidaire sinon, il n'aurait jamais risqué sa vie de la sorte.

→ 003. TON PERSONNAGE FACE A LA SITUATION ACTUELLE : La situation actuelle, il avait prévu de la passer tranquillement dans son coin, en espérant que personne ne vienne le faire chier. Malheureusement pour lui, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Un beau matin il s'est réveillé avec l'idée de se servir de cette situation pour relancer sa carrière. On peut dire que pour la première fois depuis longtemps, ses écrits ont été lus, mais ils ont été très mal reçus. Suffisamment pour que des mangemorts se pointent à sa porte pour l'arrêter. Traitre à son sang, voilà l'étiquette qu'on lui a collé dessus depuis cet article. Il a du s'enfuir, à contre coeur. Il a toujours été le genre d'homme à apprécier son confort. Son fauteuil au coin de la cheminée. La chaleur de sa couette, la sensation agréable de l'eau de la douche qui réveille doucement le matin. Bref, sa vie lui convenait telle qu'elle était et la fuite, c'est vraiment différent. Il n'aime pas ça. Les nuits sous la tente, le froid, les longues journées passées dans des coins pourris, ça l'agace et peu à peu au milieu de cette fuite en solitaire, c'est lui-même qu'il est en train de perdre. Il se comporte presque comme ses adversaires, il agit comme il ne le devrait pas. Il déteste cette guerre, cette situation et ce qu'il a l'impression de devenir.

SWEET POISON ✲ PRÉNOM : anaïs. ✲ PERSONNAGE : scénario de maggie. ✲ PAYS : winterfell, westeros. ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : dans ton ... ✲ TON AVIS SUR PI : tout pourris caca beurk. ✲ UN DERNIER MOT : dixième compte ça se fête, enfin y en a au moins deux qui sont sur la sellette en ce moment alors je ne resterai peut-être pas à dix, c'est triste u___u

we're all stories in the end.

Il était là depuis combien de temps ? Il n’en savait rien, mais une chose était sûre, il en avait marre. Il n’avait pas l’intention de rester là toute la journée à les écouter parler de choses dont finalement, il se fichait un peu. Il avait mieux à faire de sa journée. De toute façon, depuis le début de la réunion, la seule chose qu’il avait écouté, c’était les ‘bonjours’ au début. Depuis un moment déjà, il tirait plus d’intérêt à essayer de comprendre le mécanisme de l’objet posé sur le bureau plutôt que d’écouter les paroles de celui qui se situait derrière. Le représentant de sa mission d’édition qui était en discussion passionnée avec son agent. Une discussion dont lui, il se fichait. Ce n’était que du blabla administratif rien de passionnant selon lui. Il avait mieux à faire. Il ne savait pas encore quoi, mais il savait qu’il avait forcément mieux à faire. Ailleurs. Loin de ce bureau. Ce n’était pas difficile de trouver mieux de toute façon. Là, il s’ennuyait et puis les minutes passaient plus il avait l’impression que sa patience atteignait ses limites. Il n’avait pas la patience d’un poufsouffle, sans quoi, bien des années plus tôt, le choixpeau aurait peut-être été moins catégorique sur son choix de maison. Ça avait été une évidence pourtant. A peine eut-on posé ce vieux machin sur le haut de sa tête qu’il s’était écrié ‘serdaigle’ comme si c’était aussi évident que la somme de deux et deux. Il avait été à sa place chez les bleu et bronze. On disait que les sorciers les plus brillants étaient issus de cette maison. On, en principe, c’était les Serdaigles eux même, mais s’ils le disaient, c’était certainement que c’était vrai. Brillant lui, il l’avait été pendant toute sa scolarité, nez plongé dans les bouquins, bien loin des terrains de quidditch ou des boutiques de farces et attrapes de Prré-Au-Lard, il préférait étudier. Etre le meilleur, tel était son but et il l’avait atteint durant sa scolarité à Poudlard. Nombreux étaient ceux qui avaient détesté ce sourire supérieur qui se dessinait sur ses lèvres à chaque fois qu’un enseignant le félicitait. Les autres, il s’en fichait de toute façon. Il n’avait jamais été de ceux qui se trimbalaient avec toute une ribambelle d’amis dont plus de la moitié faisaient preuve d’une loyauté très limité. On disait aussi (et cette fois pas uniquement chez les Serdaigles) que les véritables amis pouvaient se compter sur les doigts de la main. Cette phrase était vraie aux oreilles du sorcier. Ainsi, il n’avait jamais eu un entourage particulièrement développé. Enfin, son entourage professionnel l’était, mais ce n’était pas son imbécile d’agent où l’autre gros lard derrière son bureau qu’il allait considérer comme des amis. « Lethbridge ? » Son nom résonna dans sa tête comme si on venait de sonner une clochette juste à côté de son oreille. D’un bond il se redressa sur sa chaise, reprenant ainsi un semblant d’intérêt pour la conversation en cours. « Oui ? » Il n’avait rien écouté jusque là, ainsi, il serait bien incapable de dire pourquoi ils s’en remettaient ainsi à lui. Ils ne le faisaient pas d’habitude. Il pouvait rêvasser aussi longtemps que possible, personne ne venait l’emmerder. Son agent lui faisait un résumé à la fin de la réunion et s’il n’était pas d’accord sur un point, il chargeait ce dernier d’en avertir l’autre gros lard. C’était très bien d’habitude, pourquoi est-ce qu’il fallait que les choses changent aujourd’hui ? « Vous n’avez rien écouté n’est-ce pas. » Le sorcier haussa les sourcils, presque surpris qu’il ne s’en rende compte qu’aujourd’hui. Ça faisait des années qu’ils travaillaient ensemble. Depuis qu’il avait publié son livre, il y avait plus de dix ans aujourd’hui. C’était avant qu’il ne rencontre Margaery. Ainsi, ça faisait vraiment longtemps. « Pas plus que d’habitude, pourquoi ? » L’homme en face de lui leva les yeux au ciel de cet air désagréable qui donnait envie à Archibald de se lever pour lui coller son poing dans la figure. Il avait souvent eu envie de le cogner, mais il ne l’avait jamais fait, c’était mieux ainsi, mieux valait ne pas commencer. « Vous devriez écouter un peu plus. C’est de votre carrière qu’on est en train de parler. » Il haussa les épaules. Sa carrière, qu’est-ce qu’il y avait de si important à dire sur sa carrière d’abord. Rien de plus que d’habitude d’après lui. « Qu’est-ce qu’elle a ma carrière ? » L’autre soupira. Il semblait désespéré et Archibald avait toujours cette maudite envie de le cogner qui le rongeait de l’intérieur. Il devait rester calme, même si ces derniers temps tout particulièrement, ce n’était pas son fort. Il balança le dernier manuscrit qu’il lui avait envoyé sur le bureau, non sans violence. « C’est nul. Voila ce qu’elle a votre carrière. Elle ne vaut plus rien. » Le sorcier s’efforça d’adresser un sourire à l’homme lui faisait face. Un sourire qui sonnait faux, cet imbécile venait d’insulter son travail après tout. « J’ai l’impression de l’avoir attendu une éternité ce manuscrit et je n’ai jamais été aussi déçu après tant d’attente. Qu’est-ce qui vous arrive ? » Il avait dépassé les bornes là. Mais il fallait encore et toujours rester calme, ô combien la tâche s’avérait être compliquée. « Mon mariage, ça va plus. » C’était la seule excuse qu’il avait pour l’instant. Comme si c’était les problèmes de son mariage qui étaient responsables de ces échecs professionnels. C’était plutôt le contraire. Il n’avait de toute façon pas envie d’en parler avec ce gros nase. Il venait de se séparer avec son épouse, ça ne regardait que lui. « Les femmes sont toutes les mêmes, elles n’apprécient pas les hommes qui échouent ! Si votre femme apprécie les écrivains de talents, croyez-moi elle est déjà en train de se faire sauter par Thraïn Mortimer, lui c’est un écrivain qui a de l’avenir contrairement à vous si vous ne vous décidez pas à vous bouger le cul ! » La goutte qui venait de faire déborder le vase. Il se leva violemment de sa chaise la faisait tomber à la renverse sans se soucier de la ramasser. D’un doigt accusateur il pointa cet abruti, le fixant d’un regard noir et plein de rage. « Ne parlez plus jamais comme ça de ma femme ou je vous assure que vous aurez besoin des meilleurs médecins de sainte mangouste pour vous remettre sur pieds. Vous pouvez aller vous faire foutre. Et peut-être qu’il serait grand temps que bougiez le votre de cul ! Année après année votre poids ne cesse de s’accroitre à tel point que ça m’épate toujours à chaque fois que je vous vois. » Dans un soupire il tourna les talons pour quitter le bureau. Il venait très certainement de perdre son contrait avec sa maison d’édition, mais ça n’avait pas d’importance, ce type n’était qu’un connard. Tant pis, il en signerait un nouveau avec quelqu’un d’autre.

Fuir. C’était la seule chose qui lui restait à faire aujourd’hui. Il avait été idiot. Parfaitement idiot. Il avait voulu faire parler de lui, il fallait admettre que c’était une réussite. Maintenant il était dans la merde. Sa carrière battait de l’aile, son mariage était un désastre et maintenant, la guerre faisait rage sur le monde des sorciers. Il avait voulu se raccrocher à quelque chose, redorer un peu sa carrière alors que peu à peu son nom tombait dans l’oublie. Il aurait mieux fait de laisser les choses se faire. Archibald Lethbridge, l’écrivain raté ça valait toujours mieux qu’Archibald Lethbridge, le traitre à don sang. Il avait écrit ce qu’il pensait, sur cette guerre et tout ce qui allait avec, il aurait du savoir que ce serait mal vu par les mangemorts. Ils s’étaient pointés à sa porte un beau matin, pour l’arrêter bien évidemment. Il s’était débarrasser d’eux ; légitime défense. Bien que de nos jours l’excuse ne passe sûrement plus. Il s’était enfui. Il continuait à s’enfuir jour après jour pour sauver sa peau. Il n’avait pas l’intention de finir enfermer à Azkaban ou, six pieds sous terre à bouffer des pissenlits par la racine. Alors, comme beaucoup d’autres sorciers il fuyait. Ils avaient sans doute déjà retrouvé sa famille, mais ces derniers n’avaient rien pu dire. Il ne les avait pas prévenus avant de s’enfuir, il n’était pas complètement con. Ils avaient du retrouver Margaery aussi. Elle était protégée par son statut de sang-pur, tant qu’elle ne se mêlait pas de ses affaires à lui, elle ne risquait rien. Ils étaient séparés et ne se voyaient qu’occasionnellement. Ils n’auraient rien à tirer d’elle. Il espérait juste qu’ils n’aient pas eu l’idée de lui faire du mal. Non, elle était sang-pur et venait d’une famille distinguée, ils ne pouvaient pas lui faire du mal. Il était le seul à pouvoir lui faire du mal à présent. Il ne fallait pas qu’elle ait l’idée de le retrouver. Il fallait qu’elle reste sagement dans son coin à profiter de son statu de sang-pur qui la protégeait des ennemies. Il ne voulait pas d’elle à ses côtés dans cette fuite, il n’avait pas besoin d’elle, tout ce qu’il voulait c’était qu’elle aille bien. Malgré les problèmes de leur couple, il avait la conviction d’aimer encore suffisamment cette femme pour vouloir la protéger. Aux yeux de nombreuses personnes leur mariage avait toujours été particulièrement bancal. Elle était beaucoup plus jeune que lui. Beaucoup trop jeunes d’après certains. Mais ça n’avait pas eu d’importance, ça n’avait pas d’importance et ça n’aurait sans doute jamais d’importance. Ils s’étaient aimés bien plus qu’on ne pourrait l’imaginer aujourd’hui et ce qui leur était arrivé n’était que la conséquence de la vie, du temps qui passe, des choses qui se fanent. Ce n’était pas une question d’âge ou de mariage précipité. S’arrêtant auprès d’un cours d’eau, le sorcier soupira. Penser à Margaery, ça ne l’aidait pas vraiment. Plus que jamais, elle lui manquait. Même séparés, il avait toujours eu l’occasion de la retrouver, malgré ce qu’il avait pu lui faire subir, ses excès de colère ou son échec professionnel qui aurait facilement pu les ruiner, elle ne l’avait jamais laissé tomber. Même après leur séparation. Aujourd’hui, il était seul dans les bois à courir pour sauver sa vie. Il était là, parce qu’il avait fait une belle connerie. Il avait oublié que la liberté d’expression n’était plus de mise quand le gouvernement tournait à la dictature. Ou alors il l’avait su et il avait cru qu’il pouvait se servir de ça pour relancer sa carrière. Stupide idée de toute évidence. Ça reviendrait, un jour peut-être qu’il pourrait rentrer chez lui sans risquer de se faire arrêter, à ce moment là il pourrait certainement publier le récit de ses aventures. Il prendrait un autre héros en fait, certainement pas lui, il n’avait rien d’un héros, son âme était trop sombre pour lui. Il avait trop souvent tendance à jouer dans la même cours que ses adversaires et c’était mauvais, vraiment mauvais. Son héros ne se défendra pas, ou alors très peu, à coup de sortilège impardonnable. Non ce sera plutôt un type comme Harry Potter, sauvant le monde avec bravoure, affrontant ses ennemis avec loyauté et admiré bien contre lui, par toute une population. C’était ce genre de héros dont le monde avait besoin. C’était d’Harry Potter, le gamin de dix-sept ans dont aujourd’hui le monde avait réellement besoin. Le monde était bien pathétique selon Archibald. Encore quelque chose qu’il tachera d’améliorer dans son roman. Son peuple à lui ne comptera pas sur un gamin de dix-sept ans pour sauver le monde, ils auront un peu plus d’honneur que ça quand même. Penché vers l’eau froide qui circulait à ses pieds, le serdaigle se mouilla le visage, luttant ainsi contre la fatigue qui s’accumulait en lui au fil des jours, laissant son teint se ternir, ses cernes se creuser, ses traits s’endurcir. Ce livre il l’écrirait très certainement, mais ce n’était pas le temps de penser à ça. Il devait penser avant tout à survivre, sinon, il était clair qu’aucun nouveau roman ne serait publié sous le nom d’Archibald Lethbridge. Pourtant, écrire l’aidait. Il avait écrit des tas de lettres à Margaery depuis qu’il s’était enfui. Des lettres qu’il avait brûlées, il ne fallait pas que ça tombe entre de mauvaises mains. Non loin de son cours d’eau, il installa son campement, entouré de quelques sortilèges de protection. Un feu de camp près de lui, une couverture sur les épaules, il tira de ses affaires un bloc note et un crayon, très moldu mais tellement plus pratique que le parchemin, la plume et l’encrier. Un soupire passa ses lèvres avant que son stylo ne commence à gratter le papier. Il écrirait ce roman, avec ce héros, ce soir et plus tard, écrire l’aiderait à tenir, il le savait. Il savait cependant qu’il devrait trouver une histoire d’amour pour mouvementer la vie de son héros, là encore, il ne pourrait s’inspirer de lui-même. Son héros retrouverait les bras de sa belle dans son épopée, lui il resterait seul, c’était la meilleure chose à faire. Tout ce qui arrivait dans sa vie à lui, malheureusement, il ne pouvait pas tracer des ratures dessus pour recommencer. Tout était définitivement plus simple au fond d’un bouquin.