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| SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. | |
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| Sujet: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 14:53 | |
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{daenerys siloë-lynn dawson} « RUNNING UP THAT HILL » | | | | | | | | | | | A OBTENUS SEPT BUSES, N'A PAS PASSE SES ASPIC | | BOIS DE SAULE PLEUREUR, AILE DE FEE MESURANT 29,8 CENTIMETRES | | | | |
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] “hogwarts will always be there to welcome you home.”
“l'avis votre personnage sur voldemort” A la pensée de Voldemtn, je suis effrayée, tout simplement. Étant une née-moldue, une proie pour les sbires de seigneur des ténèbres, une tâche dans son utopie de pureté du sang. Comment ne pas être terrifiée ? Mais bien plus que cette peur viscérale et prenante, il y a cette envie, ce désir tenace de tout changer, cet esprit de rébellion qui guide mes gestes, ma vie, mon âme. Se battre pour sa liberté, pour le salut de mon sang. Il a tout détruit, tout. L'espoir et la liberté, le bonheur et les sourires, tout détruit, comme envolés au vent, des larmes, c'est tout ce qu'il reste. Des larmes et goût âcre d'amertume. Et tout ça pourquoi ? Pour la folie d'un seul homme. C'est un monstre, c'est tout ce que je pense, un assassin, qui ne mérite même pas le nom d'humain.
“que pense-t-il de l'ordre du phénix ?” L'ordre du phœnix était une bonne chose, une poignée de cœurs rebelles prêts à se battre pour vivre, pour se défendre, pour la liberté, l'égalité, pour le salut de notre Monde aujourd'hui perdu. Ils faisaient réellement quelque chose, et surtout, ils représentaient et représentent toujours l'espoir. Ce phœnix, symbole de la renaissance n'est autre que l'étendard de cet espoir d'une victoire utopique. Je crois en l’avènement d'un monde meilleur, et je crois en l’ordre du phœnix, ils sont notre ultime rempart, notre ultime espoir.
“comment vit-il la situation actuelle ?” Vivre ? Non, ce n'est pas vivre, cette guerre a tout détruit, tout. Le monde n'est plus tel que je le connaissais et l'aimais, les ténèbres l'ont détruits, il n'y a plus de lueur d'espoir, plus rien. Ainsi oui, je vis mal cette situation, je déteste ça, me sentir faible, impuissante, comme un gibier fuyant le chasseur, je déteste ça, avoir peur, tout le temps, à chaque instant. Une peur viscérale, qui prends la moindre parcelle de mon esprit. En somme, depuis l'avènement du mal, je ne vis plus, je survis. J'ai tout quitté pour vivre, mes amis, ma sœur, tout. Peur, doutes, douleur et mort ne sont plus que ce qu'il reste de nos vies. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] “every year is the same, muggles are everywhere.”
Dernière édition par D. Siloë-Lynn Dawson le Dim 29 Avr - 21:35, édité 12 fois |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 14:53 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]CHAPITRE UN ▷ ONCE UPON A TIME « TOUCHÉ ! C'est toi l'chaaaaaat ! » La petite fille éclata d'un rire tonitruant. L'un de ces rires francs et incontrôlés, symbole même de ce bonheur innocent et enfantin. La joie éphémère d'être encore un enfant. En effet, quoi de plus beau que l'enfance ? Pour eux, sangs purs ou impurs, pas de principes ni de convenances, juste des jeux innocents, ou se mêlent rêves et imagination, ou un simple cheval de bois devient le plus fier des destriers, et le plus maigrelet des bambins un puissant sorcier. Le pays de l'imaginaire enfantin est un monde bien étrange, impénétrable par les adultes, trop endoctrinés dans leurs idéaux cartésiens pour le comprendre, pour savoir écouter le doux murmure des rêves et surtout pour les comprendre. Et chez nos jeunes moldus, monde ou la véritable magie n’existe que dans les livres, ces jeux enfantins sont la porte ouverte vers un imaginaire inconnu, pourtant guère éloigné de la réalité ; une réalité que, bien plus tard, la petite Siloë-Lynn allait toucher du doigt, mais ça, elle était à mille lieux de le penser. Aujourd'hui, les enfants jouaient à chat, se poursuivant en un nuage de poussière dans le jardin entourant la modeste maison Londonaise de la petite famille. Essoufflée par cette course folle, elle finit par s'arrêter, cherchant des yeux sa sœur jumelle, Lullaby qui était censée la poursuivre. Rien, elle devait avoir largement semé la petite, Siloë sourit, commençant à marcher tranquillement. Tout à coup, une masse se jeta sur elle, la faisant tomber au sol, dans la poussière sous des éclats de rires. « Je t'ai eu ! » « Dégage Lulla, tu es lourde ! » « Non. »« Maiiiiiiiiiiis euh ! Tu es gros et lourd, puis tu pues dégage ! » « Si tu me dit que je suis la meilleure frangine du monde. » « Jamais ! »« Dommage pour toi sœurette, vraiment dommage » s'exclama t-il avec un sourire narquois « Bon, d'accord, tu es la meilleure de toutes les sœurs du monde, ça te va ? » «Je ne sais pas, j'hésite. »« Maaaaais ! »« D'accord Silo, c'est bon je m'en vais ! ». Alors que le petit garçon se relevait, laissant Siloë-Lynn libre de ses mouvements, celui-ci observait sa sœur, les jumelles se ressemblaient énormément, les même cheveux dorés, les même yeux bleus, le même sourire qui ferait craquer n'importe qui. Et pourtant, malgré cette immense complicité, elles étaient différentes. Siloë était aussi sauvageonne que Lullaby était un ange, l'une était extravertie, rêveuse et rigolote, l'autre était plus timide, calme et posée. Ils étaient l'ombre et la lumière. Le jour et la nuit. Soudain, la voix douce de leur mère, Carol-Ann se fit entendre. « Lulla ! Siloë ! Ou êtes vous ? » Les jumeaux Hawkins se tournèrent vers la provenance de la voix, plus loin dans le jardin, Carol-Ann avançait vers elles d'un air déterminé, un sourire étirant ses lèvres rosées. La jeune fille lança un regard vers sa soeur, puis après un hochement de tête de connivence, tous deux se ruèrent vers leur mère, se jetant sur elle dans une étreinte qui était tout sauf douce. Carol-Ann éclata de rire en enlaçant ses enfants. Sa vie. « Maman, ça existe la magie ? » Un instant, Carol-Ann s'était vue submerger par les souvenirs, revoyant les premières années de vie de sa progéniture, les premiers pas, les premiers mots, les premiers rires. Tous souvenirs qu'elle chérissait comme des trésors. Mais elle avait été tirée de ses pensées par la question innocemment posée de sa fille, un léger sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu'elle caressa les cheveux blonds de la petite. « Mais non, bien-sur que ça n'existe pas Siloë, c'est comme le père Noël ! » « Lulla, s'il te plait. Partout autour de nous, il y a une forme de magie, même si, cela fait tellement partie de nos existences que cela est considéré comme réel, mais c'est si merveilleux qu'a mon sens cela est .. magique ! » « Comment ça ? » « L'amour, le bonheur, l'amitié .. ces sentiments sont si beaux, si puissants tu sais ma princesse, bien plus que les dragons, les sorcières et autre contes ! » La petite sembla réfléchir un instant, comme pour s'assurer que la réponse lui convenait, puis elle s'élança dans la maison en courant, poursuivie par son jeune frère. Carol-Ann éclata de rire en les suivant. Heureuse.
La vie passe tellement vite, lorsque l'on est heureux. Lorsque la joie est présente dans les cœurs d'une famille des plus banales. Les heures, les jours, les semaines, les mois, les années, à peine le temps d'un battement de cil que voilà quatre beaux printemps de passés. Trois années ou les jumelles Dawson avaient bien grandis, atteignant leurs sept ans dans un entremêlement de rires et de jeux, de rêves et de promesses. Bonheur, simple & sincère. Le bonheur. Mais ce jour là, la pluie tombait à grosses gouttes dehors, le ciel bleu sombre recouvrait la petite maison.Siloë-Lynn ne semblait guère vraiment heureuse, assise sur le tapis de sa chambre, les yeux dans le vague. La pièce, rendue sombre par la quasi-absence de lumière, n'avait jamais semblé aussi vide à la petite fille de sept ans, elle était seule, sa sœur étant allée à l'anniversaire d'une copine qui se terminerait assez tard, elle dormait la-bas. La petite Siloë s'ennuyait profondément. Elle aurait voulu sortir, profiter de la fraicheur de la pluie sur son visage, mais il était tard, trop tard pour aller jouer dehors, elle était censée être couchée depuis plus d'une heure. Elle soupira, ses yeux fixaient depuis une demi heure qui lui avait parut une éternité les poutres de bois écaillées du plafond, suivant le parcours d'une araignée sur sa toile. Il n'y avait aucun bruit, si ce n'était le bruit étouffé des voix à la télévision, en bas, et le martèlement des gouttes sur la vitre. Silence; Calme; Ennui. « Ne pourrais-il pas se passer quelque chose ? N'importe quoi .. » murmura t-elle à la pénombre. Elle poussa un nouveau soupir lorsque l'araignée qu'elle observait disparu derrière la poutre, la laissant seule. Elle n'aimait pas le calme, ce silence inquiétante qui lui rappelait sa solitude; Elle tourna légèrement la tête observant le ciel noir strié de pluie, les nuages sombres formant dans le ciel des formes inquiétantes, cachant les étoiles et la Lune. La petite sentit son cœur s'emballer. silence; Ses yeux parcoururent la pièce, à la recherche de la plus infime source de vie; Silence; ses mains tremblèrent légèrement, elle n'aimait pas ce silence, elle n'aimait pas être seule. Soudain, Siloë sentit une sensation étrange, comme si quelque chose bouillonnait en elle; « Ne pourrais-il pas se passer quelque chose ? N'importe quoi .. » Ses mots résonnèrent dans son esprit, encore & encore. « N'importe quoi .. » Tout à coup, les poutres se colorèrent de rose, de bleu et d'un tas d'autres couleurs chatoyantes, éclairant la pièce de douces lumières colorées. Un sourire se dessina sur les lèvres de la petite qui éclata de rire. Intrigués, ses parents se regardèrent puis se levèrent d'un même geste.« N'es-tu pas censée dormir chérie ? » demanda son père en poussant la porte avant de pénétrer dans la pièce. Il leva les yeux vers les poutres colorées, puis sur sa fille, euphorique. Aucun mot ne sortait de sa bouche tant il semblait choqué. « C'est .. Que .. Que s'est t-il passé princesse ? » murmura Carol-Ann tandis que les lumières s'éteignaient doucement; Elle n'obtint aucune réponse cette nuit là.
Et les phénomènes de ce genre se répétèrent souvent, sous le fruit d'une émotion forte, Siloë faisaient des choses incroyables que les jeunes parents mettaient sous le compte du hasard jusqu'au jour du neuvième anniversaire de la petite fille. Une petite fête était organisée avec la famille. Bonheur, une joie intense et sincère envahit Siloë-Lynn alors qu'elle sentait tout autour d'elle l'amour et la joie. Un sentiment puissant, très puissant. trop puissant. En effet, alors que sous ses doigts efficaces et euphoriques, le papier d'un cadeau rouge vif laissait place à une ravissante poupée, celle-là même dont elle avait rêvé durant des jours, ses yeux d'enfant se retournant vers le visage de porcelaine à chaque fois qu'elle passait devant la vitrine, elle se sentit s'envoler de bonheur, littéralement. En effet, ses pieds se détachèrent lentement du sol tandis qu'elle se sentit léviter. « Mamaaaaan ! » Carol-Ann et Caleb, son époux, se tournèrent vers leur fille qui avait crié. « Siloooooooë ! » « Laisse moi faire, je m'en charge. » Carol se tourna vers l'homme qui avait parlé, il s'agissait d'Emric, son beau frère. Sans attendre de réponse, celui-ci sortit un objet de sa poche, un bâton long et fin, lisse et ouvragé. Carol s'apprêta à l'interroger lorsque d'un geste sec du poignet il fit lentement redescendre la petite. Carol se précipité vers elle, fort heureusement, personne n'avait rien vu, trop occupés à admirer Lullaby essayer sa nouvelle robe dans une autre pièce. « Il s'est passé quoi Maman ? » « Je .. » « Suivez moi dans une pièce tranquille, je crois que je comprends ce qu'il t'arrive Siloë-Lynn. » La petite fronça les sourcils, intriguée avant de suivre son oncle vers la chambre de ses parents, celle-ci lança un rapide regard vers son mari, avant de suivre Emric, curieuse et intriguée. Emric attendit patiemment que la petite famille soit installées avant de prendre la parole. « Est-ce la première fois qu'un événement de ce genre t'arrive ? » « Emric attends .. » « Non, une fois j'ai fais voler la perruque de ma maitresse quand elle m'avais grondé, enfin je crois que c'était moi, oh et j'ai mis le feu au tapis de Lulla quand elle m'avais embêtée, et aussi .. » «C'est bien ce que je pensais » murmura Emric, un léger sourire aux lèvres. « Quoi ? Que se passe t-il Emric ? Ou veux-tu en venir, s'il-te-plait ? » Emric sourit, avant de se tourner vers Siloë. «Ce que je vais te dire, Siloë-Lynn pourrais bien changer le cours de ta vie, mais tu ne dois pas avoir peur, cette courbe sur la voie de ton existence n'est en rien quelque chose de mal. Au contraire. » La petite resta silencieuse, étrangement elle n'avait pas peur, comme si elle s’attendait à ce que son oncle allait lui annoncer, sans pour autant l'anticiper. « Tu es une sorcière, Siloë-Mynn. » Alors que Caleb poussa un cri de surprise, observant son frère comme s'il était complétement fou, Carol-Ann resta longuement silencieuse, observant le visage de son beau-frère, un instant, elle cru qu'il faisait une mauvaise blague simplement, comme lorsque l'on fait croire à un enfant qu'il y a un monstre sous son lit pour l'effrayer. Mais son visage était on en peut plus sérieux, ses yeux pâles fixant la petite fille qui n’avait rien dit. Sorcière. Un instant, le visage de la sorcière de Blanche-Neige vint à l'esprit de Siloë, mais s'effaça rapidement. Sorcière. Ce mot, elle sentait qu'il y avait bien plus derrière ces simples lettres qu'une vieille femme hideuse et machiavélique. Sorcière. Ce mot ne l'effrayait pas, au contraire il semblait fait pour elle, comme si elle le comprenait. Sorcière. Ce mot se posa dans son esprit tel un papillon dont elle se saisit, doucement. Sorcière. Plus qu'un simple mot, une voie, un avenir; Non, pas un avenir, son présent, son passé et son futur. Sorcière. « D'accord » murmura la petite fille. « Mais tu n'es pas sérieux Emric ? Sorcière c'est quoi cette connerie ? » Siloë lança un regard surpris à son père, elle ne s'attendait pas à le voir crier ainsi. « Caleb, attends .. » « Alors c'est ça .. j'aurais du m'en douter non de Dieu .. oui c'est ça, elle est comme toi .. un espèce de monstre capable de stupides tours de passe-passe ! Non .. je refuse, j'ai déjà perdu mon frère à cause de cette école de fous, je refuse d'assumer que ma fille sois des leurs ! » « Caleb, arrête ! » « Non Carol, tu ne sais pas ce que j'ai vécu, voir mon frère devenir une espèce de magicien à deux balles, partir dans cette école de fous et changer » « S'il te plait Caleb, essaye de comprendre .. d'accepter » «Je m'en fous, je veux plus supporter ça, je me casse ! » « Caleb, non tu ne vas pas faire ça ! Je t'en prie .. » « Désolée Carol, j'en peut plus. » Ce furent ses derniers mots. Il partit, comme ça, sans un mot, ni un regard, rien. Comme ça, d'un revers de la main. Durant les heures qui suivirent, Emric leur expliqua le sens de la magie, évoquant l'existence de Poudlard et des baguettes magiques, du quidditch et des sortilèges. Carol-Ann et la petite Lullaby, encore troublés par le violent départ de Caleb, mirent du temps à accepter la nouvelle avant de comprendre la véritable nature de l'univers magique. Rien de tout ça n’étonna Ewylan, elle était sorcière, et au fond d'elle même, elle l'avait toujours su.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]CHAPITRE DEUX ▷ CRY ME A RIVER « Sang-de-bourbe ! » L'insulte résonna plusieurs fois dans la tête de Siloë, par trois fois, elle avait entendue ces trois mots, onze lettres, quatre syllabes & tout un tas d'autres synonymes. Trois fois, et à chaque fois, le flot d'émotions qui l'avait envahie avait été différent. La première fois, elle avait tout juste douze ans, et entamait sa deuxième année à l'école de sorcellerie Poudlard. La jeune femme traversait le couloir en compagnie d'amis de sa promotion, un professeur venait de leur intimer le silence .. avec plus ou mois d'efficacité mais trop occupée à calmer ses rires, Siloë n,'avait pas vu le jeune homme qu'elle bouscula, un garçon de Serpentard, suffisant et imbu de son sang, celui-ci s'était retourné puis avait regardé la jeune femme de haut en bas, comme s'il regardait un elfe de maison. Arrogance & Suffisance. « Pardon, je ne t'avais pas vu » s'excusa néanmoins Siloë-Lynn, qui n'avait pas cillé, observant calmement le jeune homme. « Comment oses-tu me regarder ainsi dans les yeux, sale sang-de-bourbe ! » s'était t-il exclamé avant de s'éloigner avec un reniflement méprisant; Incompréhension. A cette époque, la jeune femme ignorait tout de ce mot. Ce ne fut que quelques instants plus tard, alors qu'elles étaient installées au cours d'histoire de la magie qu'elle demanda l'explication à l'un de ses amis. « Qu'est ce que cela veut dire .. sang .. sang-de-bourbe ? » « C'est un terme assez .. enfin, le genre de terme politiquement incorrect qui désigne les .. » Elle marqua une légère pause, feignant de regarder le professeur et de prendre quelques notes, comme si elle cherchait ses mots pour ne pas vexer Siloë. « pour désigner une personne dont les parents sont des moldus, qui si tu préfère n'a pas de sang sorcier dans les veines ». Ewylan avait réfléchi quelques instants aux paroles de son ami, bien qu'elle s'était habituée au monde magique, il lui restait visiblement beaucoup à apprendre. « Pourquoi, c'est mal de ne pas être un enfant de sorciers ? » « Certains le pensent ». Cette discussion resta à jamais gravée dans la mémoire de Siloë.
La seconde fois, elle avait quatorze ans, et c'était durant une heure de pause à la bibliothèque, Ewylan et un petit groupe de Poufsouffle était installé à une table, profitant de la chaleur de la pièce du savoir avant de repartir, le soir même chez eux pour les vacances de Noël. Les discussions allaient de bon train, entre éclats de rires et confidences. Une profonde complicité liaient la plupart des Jaune & Noir, tant qu'il leur était impossible de ne pas se trouver dans la même pièce sans que la moindre discussion se termine en fou-rire. Aujourd'hui, une simple discussion sur Peeves s'était terminée en réflexion sur le sexe chez les fantômes .. bientôt interrompue par la voix de la bibliothécaire. « Bon les Poufsouffle, j'apprécie la profondeur de votre discussion mais s'il vous plait, quitte a rester ici veuillez travailler hein, je sais qu'il fait très froid, que ce soir c'est les vacances mais si vous ne vous mettez pas au travail je serais obliger de vous demander de sortir, ce serait dommage non ? » Tandis qu'il s'éloignait, Siloë décida de s'avancer sur son devoir de potions. « Genre tu vas t'avancer Silo ! » lui lança un garçon de sa bande. « Ah crois moi Fred, je serais bien contente quand ce devoir sera terminé et que toi, tu sera en train de le recopier sur Lulla dans le Poudlard-Express, quand on retourneras à l'école ! Et puis je ne sais pas toi, mais moi me retrouver exclue de la bibliothèque et poireauter dehors, ça ne me tente pas. » La jeune femme sourit avant de s'approcher des livres traitant des potions, riant en repensant aux facéties de ses comparses de maison. Ses doigts effleurèrent les couvertures poussiéreuses de vieux cuir, se posant brièvement sur l'ouvrage qui l’intéressait .. Mais une main attrapa le livre au moment au les doigts de Siloë s’apprêtaient à le prendre. « Désolée Dawson, les sangs-purs d'abord, tu n'y voit pas d'inconvénients j’espère ? » s'exclama d'une voix mielleuse une fille de Serpentard qu'elle n'appréciait guère. « Et bien si, ça me dérange Sparks, vois-tu je tenais ce livre en premier. » « Et que compte-tu en faire ? Les sangs-de-bourbe tels que toi ne méritent même pas de pénétrer ces murs ! » Indignation. Siloë-Lynn sortit sa baguette d'un geste rapide, incontrôlé, son corps tremblait de colère tandis qu'elle s'exprima d'une voix glaciale. « Tu vas regretter tes paroles sale conne ! » « Dawson, Sparks, on se calme, vous êtes à la bibliothèque enfin ! Mademoiselle Dawson, je suis vraiment désolé mais je vais vous demander de sortir ! » s'exclama Madame Pince, le bibliothécaire « Mais .. ! » « Désolé Mademoiselle, mais la baguette magique, est strictement interdite. » Sur ce, il s'éloigna, tandis que Siloë retourna à sa table ranger ses affaires en fulminant. «Bon, bah je crois que je serais pas le seul à faire mes devoirs dans le train .. » Siloë-Lynn le frappa derrière la tête avec un livre avant de partir.
Cette-fois, elle avait quinze ans, alors qu'elle se baladait dans un couloir, un éclat de voix se fit entendre. «Ôte-toi de mon chemin, laisse donc passer tes supérieurs » Une voix claire et glaciale. Emplie de suffisance et de fierté. Une Serpentarde toisait de toute sa grandeur une pauvre petite Gryffondor de première année, la menaçant de sa baguette. La petite terrorisée tremblait, les larmes aux yeux semblant sur le point de couler. Injustice. Rapidement, Siloë se revit au même âge, terrorisée et effrayée comme cette petite. Les mots franchirent la barrières de ses lèvres sans qu'elle ne puisse les retenir. « Sparks, si tu t'attaquais à quelqu'un de ton âge, à moins que tu ne soit trop lâche et que tu préfères les première années ! » La Verte et Argent prit le temps de gratifier la petite Gryffondor d'un regard des plus menaçants avant de plonger son regard de glace dans les yeux noisette de la Poufsouffle. Violence et Haine et brillait. Ainsi qu'une lueur, plus sournoise encore. Le dégout. « Tiens tiens, on se la joue justicière maintenant, Dawson ? Tu vas ravaler ta fierté ! Depuis quand une sang-de-bourbe se croit elle à notre niveau ? » Haine, tentée d'indignation et incompréhension. Ewylan sortit sa baguette, s’apprêtant à répliquer par un bon sortilège. Ce ne fut que l’intervention du professeur de potions qui empêcha un duel en plein couloir. Siloë ne comprenait pas, comment une telle discrimination pouvait t-elle exister ? Le soir même, alors qu'elle était rentrée chez elle, la jeune femme demanda à sa mère. « Pourquoi de telles personnes pensent t-elle ça ? » Carol-Ann sourit, passant sa main dans la chevelure de sa fille. « Tu sais chérie, dans le monde ou nous vivons, certaines personnes n'acceptent pas les différences. Il faut croire que chez les sorciers, cela n'est pas différentes que chez les .. » Elle marqua une pause, depuis toutes ces années, elle avait toujours eu du mal à prononcer le mot moldu, et ce bien malgré le fait qu'elle ait parfaitement accepté la particularité de sa fille. « moldus ? » acheva Siloë avec un sourire. « Oui je sais bien, mais je ne comprends pas. Nous sommes tous pareils, humains ! Cela m'échappe totalement ! » « Le monde est ainsi fait princesse, parfois les gens ne comprennent pas les différences, ou bien cela les effraie ! Cela est souvent du à la peur ou bien simplement à la bêtise, mais tu ne dois surtout pas prendre ça pour toi. Ne laisse pas ces critiques te blesser. » «Papa a eu peur de moi alors ? » demanda Ewylan à voix basse. Carol-Ann tressaillit, un peu surprise d'entendre sa fille évoquer ça. Pourtant cela ne l'éttonnait pas. Depuis précisément six ans, le jour même ou Ewylan avait découvert qu'elle était une sorcière, son père était parti, elle n'avait jamais eu de nouvelles. Bien sur les années étaient passés, soignant les blessures les plus ancrées pourtant sans jamais les cicatriser. Carol-Ann s'était même remarié à un homme, un sang-mêlé nommé Cole Buckley, qui avait accepté, évidement Ewylan. « Oui, il a eu peur, mais c'est .. ce n'est pas ça je crois. » « Il m'en veut ? » Carol-Ann déposa un baiser sur la joue de sa fille avant de se diriger vers la porte de la pièce, sans répondre. Que pouvait t-elle répondre face à l'indéniable ? « Maman ? » « Oui, Daenerys ? » Siloë ne releva même pas que sa mère l’avait appelée Daenerys, son premier prénom, qu'elle n'appréciait guère .. c'était son père qui avait choisi ce prénom. « Toi .. tu .. enfin, tu ne m'abandonneras jamais, pas vrai, tu ne me lasserais jamais ? » Un sourire se dessina sur les lèvres de Carol-Ann. Sa fille, malgré ses grands airs était donc d'une douce fragilité. « Je serais toujours là, ma princesse. Toujours. » « Lulla m'avait dit ça aussi .. » Carol-Ann se mordit la lèvre, gênée. Depuis le départ de leur père, quelque chose s'était brisé entre les jumelles, et c'était accentué le jour ou Lullaby avait manifesté ses pouvoirs, à l'âge tardif de dix ans. Ce n'était pas vraiment de la froideur, ni même une certaine tension qui s'était installée entre eux. Plus que ça. La distance. Infime, à peine perceptible, mais bien assez pour briser un lien qui semblait des plus inébranlables. elles restaient assez proches, riant et se racontant le moindre détail de leur vie, mais la flamme ardente qui brulait, symbole de l'amour fusionnel de deux soeurs semblait éteinte. Ils étaient proches, sans plus l'être. Fusionnels sans plus l'être. Jumelles, sans plus l'être vraiment. Déchirure. Ce ne fut que lorsque sa mère eu quitté la pièce que Siloë s'autorisa à lancer un regards vers une photographie accrochée au mur. Un instant figé, fugace. Ultime souvenir d'un moment de bonheur perdu. Éphémère. L'image utopique de l'amour d'autrefois. Un simple bout de papier brillant qui faisait pourtant battre le cœur de la jeune femme contre sa poitrine. Une larme coula le long de sa joue pâle tandis qu'elle détournait les yeux, comme si les sourire des deux enfants de la photo la brulait. Siloë-Lynn & Lullaby, Lullaby & Siloë-Lynn. A jamais unies. A jamais perdues.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]CHAPITRE TROIS ▷ UNTIL THE DIE Chère Maman, J'espère que tu es moins fatiguée, Cole m'a dit que tu dormais un peu mieux depuis quelques temps, c'est bon signe pas vrai ? Il faut y croire maman, c'est ce que tu me dis toujours. Y croire. Encore et encore. Garder espoir. Je sais que tu iras mieux, tu es forte, je sais que ce cancer ne t'emporteras pas. Tu m'a promis de rester là, toujours. Et jamais tu n'a trahi une de tes promesses, c'est pas aujourd'hui que tu vas commencer. Tu sais, ici c'est pas la joie, je ne supporte plus cette ambiance, savoir que tu es là et moi ici c'est juste insupportable, j'y arrive pas. Et pourtant, je m’accroche, repensant au moments de bonheur pour ne plus penser à mes peurs, comme la première fois que je suis allée au chemin de traverse, tu te rappelle ? Oncle Emric nous avais fait rentrer tous ensemble, Lulla a battu le record du nombre de "Oh c'est pas vrai !" à la minute. Je ris seule en repensant à ce moment et je sais que tu riras aussi. Ça te fera du bien de rire, même un instant, oublier tout ça. Tu sais pour être honnête je donnerais n'importe quoi pour être avec toi maman, tu me manque. Horriblement. J'ai peur maman; tellement peur. Mais je sais ce que je t'ai promis, avoir mon diplôme et réussir. Pour toi, pour nous. Je t'embrasse, avec toute mon affection. Je t'aime.
Ewie.
PS : J'embrasserais Lulla pour toi, promis, je ferais ce que tu m'as dis, je lui dirais que ..
La plume resta quelques instants suspendue au dessus du parchemin ? Lui dire quoi ? Qu'elle lui manquait ? Qu'elle n'avait jamais voulu ça ? Qu'elle l’aimait ? Non. Elle ne pouvait lui dire ça, d'un coup de baguette les derniers mots s'effacèrent, comme s'ils n'avaient jamais été tracés. Comme si cela n'était qu'illusoire. Comme si rien n'avait changé. Et pourtant, rien n'était plus pareil. Qu'est ce qui avait changé ? Pourquoi celui qui lui semblait si importante était aujourd'hui une étranger ? A qui la faute ? Et tout un tas d'autres questions s'entremêlait dans l'esprit de Siloë. Pour lui c'était de sa faute si son père était parti. Elle avait bien la rancœur brillante dans les yeux de son frère, il lui en voulait. C'était fini. Elle secoua la tête, chassant ses sombres pensées avant d'attacher le parchemin à la patte d'un hibou gris. L'observant partir jusqu'à ne devenir qu'un minuscule point dans le ciel bleu de ce début de printemps. « Maman .. » murmura t-elle. Cela faisait déjà de longs mois que le cancer de Carol-Ann avait été diagnostiqué. De longs mois de douleur. De longs mois de traitements. De longs mois d'errance et de peur. De longs mois où Siloë n'avait vu sa mère que de brefs instants, chaque moment où elle ne pouvait s'empêcher de remarquer sa maigreur, ses longs cheveux châtains désormais épars sur son crâne, son teint cadavérique et tout les autres effets de son mal. Siloë ferma les yeux un moment, laissant la fraicheur printanière se poser sur son visage, la légère brise faisant s'envoler ses cheveux grossièrement attachés. Alors que le sourire de sa mère, figure fugace d'un souvenir lointain, se dessina dans son esprit un bruit de pas chasse le souvenir. Avec un soupir elle quitta la volière, laissant un instant la fraicheur du printemps caresser ses cheveux bruns. Mais alors qu'elle rentra dans son dortoir, elle vit de suite que quelque chose ne tournait pas rond. Les visages des élèves étaient tous tournés vers elle, la fixant d'un air pathétique. « Qu'y a t-il ? » demanda t-elle d'une voix forte, peut-être un peut plus froide qu'elle ne l'aurait voulu, mais un sentiment étrange l'avait envahi. « Que se passe t-il enfin !? » Son viel ami Fred s'avança, l'air grave qu'il affichait lui était étranger et faisait presque faux sur son visage habituellement empli d'une joie de vivre communicative. « Siloë, il .. tu dois aller voir la directrice, immédiatement , ta sœur y est déjà .. » Il marqua une pause, son regard observait les visages tout autour de lui, comme s'il cherchait un quelconque réconfort. Un appui. « C'est .. à propos de ta mère, Siloë. C'est important. » Il n'en dit pas plus, comme si les paroles qu'il avait murmuré l'avait écorché tant elle étaient emplie de gravité. Un silence pensant avait alors envahi la pièce. Un silence de mort. Siloë sentit son cœur s'accélérer, non, se briser. D'un geste brusque elle se retourna, bousculant l'un des élèves qui était près d'elle et quitta la pièce sans même un regard. Ce n'est que lorsqu'elle fut seule dans le parc qu'elle se laissa tomber le long d'un arbre, laissant les larmes couler le long de ses joues. Une averse tombait violemment, mais ça n'avait pas d'importance. Elle ne sentait pas les gouttes de pluie la piquer comme des milliers de petits dards, ni même le froid mordant, le gout salé des larmes et encore moins la dureté de l'écorce. Elle ne sentait rien, ne ressentait rien.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]CHAPITRE TROIS ▷ FIGHT FOR LIFE Fuir. Fuir pour son salut. Fuir pour sa liberté. Fuir. Fuir pour survivre. Fuir. C'était tout ce qu'il lui restait à faire, le dernier espoir. Siloë n'avais cessé de courir depuis de longues minutes, plus peut-être, à vrai dire, elle n'en savait strictement rien, et cela ne l'importait pas, elle devait juste courir, ne pas s'arrêter, courir encore. Énormément de choses s'étaient passées en un été. Les ténèbres avaient tout envahi, prenant le ministère, l'école, tout. C'est pour ça que Siloë avait décidé de partir, quittant sa maison sans rien dire, sans un mot. Partir pour vivre. Elle n'aurait pas eu la force, la force de vivre comme si de rien n'était, d'affronter tout ça, alors que son pilier venait de s'effondrer, la laissant tomber dans le vide, sans qu'une main ne tente de la rattraper. Seule. Elle ne sentais rien, ne voyant à peine qu'un entremêlement flou et sombre de formes et de couleurs, J'ignorais la boue qui salissait mes vêtements, les branches qui entaillaient mon visage, les gouttes glacées qui coulaient sur sa peau. Rien n'avait plus d'importance que sa fuite. C'était une question de vie ou de mort. De sa vie, sa mort qui ne dépendaient plus que d'elle, de son intelligence, de sa force. Au bout de longues minutes d'une course effrénée, elle finit par se stopper, épuisée, un point de côté le lançait et sa respiration était haletante tant sa course avait été rapide. Elle m'appuya contre un arbre tout en lançant un regard tout autour d'elle pour vérifier qu'elle était bien seule. La forêt était silencieuse, les rafleurs qui la poursuivaient semblaient semés. La jeune femme soupira de soulagement puis enfin, elle se permis de laisser son corps glisser le long de l'arbre pour s'assoir, appuyant son dos contre la surface rugueuse de l'écorce.
Cela faisait très précisément deux jours, treize heures et une poignée de minutes qu'elle avait fuit, choisissant la voie de la cavale. Choisi ? Non, je n'avais pas choisi, le choix était vital, viscéral. Elle était condamnée si elle restait à Poudlard. Née-moldue était synonyme de haine et de souffrances, De rejet et de mort. Non, elle n'avait pas choisi, il ne lui restait que ça à faire, rien ne la retenait. Un instant, fugace, éphémère, le visage de sa sœur accapara son esprit, avant de disparaitre. Non, elle était seule. Ses doigts effleurèrent le galion de l'AD dans la poche de sa veste; tandis que les réminiscences de ces moments remontaient en ma mémoire, moments de joie, d’excitation, d'euphorie. La jeune femme pouvais presque sentir à nouveau l'adrénaline qui se répandait dans ses veines lors de ces réunions. Soudain, des bruits de pas mêlés à des chuchotements se firent entendre. Siloë se releva lentement, prenant garde à ne faire craquer aucune branche, sa main droite serrait ma baguette, tandis que je fléchissais légèrement les jambes, tentant de contrôler sa respiration. Elle se tenait prête à bondir, prête à fuir. Les voix se rapprochaient, elle se tenait prête. Un rapide regard derrière le tronc qui me cachait lui apprit que trois silhouettes se dirigeaient vers elle. Rafleurs ? Fugitifs ? Sorciers ? Elle l'ignorais, mais elle ne pouvait prendre de risques, l'enjeu était trop important, vital. « Là, près de l'arbre, elle est là ! Attrapez là ! » Elle bondit, en reconnaissant la voix d'un des rafleurs qu'elle fuyait depuis déjà plusieurs heures, se précipitant vers l'avant, slalomant entre les arbres. Tel un gibier fuyant le chasseur. Fuir, fuir pour vivre. Ses jambes la lançaient, les branches la griffaient, ses vêtements trempés collaient sur sa peau gelée. Elle me concentra, son esprit cherchant un endroit ou transplaner. Enfin, à peine l'image d'une cachette m'était venue que je disparaissais en un bruit sourd. Ce n'était que le début.
Dernière édition par D. Siloë-Lynn Dawson le Dim 29 Avr - 21:34, édité 14 fois |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 14:56 | |
| Bonjour everybody, comme vous le voyez, mon avatar est pour le moment invisible car je n'ai aucune idée xD Auriez-vous quelques propositions à me faire ? (a) Autrement si quelqu'un a besoin d'un lien en particulier avant que je ne commence ma fiche, ma boite à mp est ouverte. |
| | | Maeron RosierADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 14042
≡ date d'arrivée : 04/04/2012
≡ tes points : 125 points.
≡ ta disponibilité rp : free.
≡ ton avatar : aidan turner.
≡ tes crédits : jukebox joints (avatar).
≡ âge du perso : 30 ans.
≡ amoureusement : veuf d'un premier mariage, déjà fiancé de nouveau.
≡ son emploi : rafleur.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : poufsouffle.
≡ niveau d'études : études terminées avec 11 buses et 10 aspics.
≡ sa baguette : bois de chataîgné, vingt-sept centimètres, crin de licorne.
≡ son patronus : il est incapable de créer un patronus suite au décès de son épouse, mais avant c'était un corbeau.
≡ son amortencia : l'odeur de la prairie, celle si familière des sucreries de chez honeydukes ainsi qu'une teinte de chocolat.
| Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 14:57 | |
| Bienvenuuue ♥ Bonne chance pour ta fiche, si tu as d'autres questions, n'hésites pas (a) Bonne chance pour ton vava (a) |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:07 | |
| Bienvenueeee |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:09 | |
| OOOOH je savais que t'allais finir par venir, je le savais ! Rien qu'au pseudo je savais que c'était toi *meurs* Si tu as besoin d'un lien avec pansy, je ne peux que plussoyer comme avatar tu recherches plutôt une mannequin ou une actrice ? Une chanteuse peut être ? Je suis a fond sur emily didonato mais elle est pas très connue dans le monde du rpg donc sinon... heu... Katie Cassidy (je sais pas si elle est prise...) ... HANNAH MURRAY ... |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:12 | |
| Merci (: Cricri d'amour ▷ Alors je suis plus actrice, merci pour tes propositions, je vais voir ce que me propose Bazzart sur elles (toujours à fond sur Scodelario à ce que je vois, mais tu passes de Nott à Parkinson pour une fois ) |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:12 | |
| BIENVENUE J'adore le pseudo de ton personnage, c'est beauuu *o* Anyway, bonne chance pour ta fiche *-* Pour l'avatar, tu jouerais quel genre de perso ? Quelle tranche d'âge ? |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:13 | |
| BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche - Irene-Eve Buckett a écrit:
- Pour l'avatar, tu jouerais quel genre de perso ? Quelle tranche d'âge ?
|
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:16 | |
| Eh ouais je suis une abonnée à Kaya parce que Kaya c'est la vieee , que veux-tu, ma passion pour cette fille est intarissable, je l'aime, je pourrais virer de bord tellement je l'aaaaaime ! Et oui, nott c'mon scenario (on n'abandonne pas les bonnes habitudes hein ) mais bon ca change pas grand chose au final Donc un lien, ca te dit |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:35 | |
| Alors mon personnage, dans les grandes lignes, c'est une fille très bornée, assez secrète dans le sens ou elle ne supporte pas de dévoiler ses faiblesses et ses sentiments. Elle a une faucheuse tendance à se montrer assez abrupte dans ses propos mais a coté de sa, elle est très généreuse et douce avec ceux dont elle a vraiment confiance, un poil maladroite (a) . Sinon elle est lunatique, courageuse, très franche, loyale, impulsive et orgueilleuse, c'est une vraie tête de mule. et pour le moment, j'hésite entre Freya Mavor Kristen Bell ou Emma Stone (: Pansy, je te mpotte (a) |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 15:37 | |
| Ehm alors Emma Roberts, Shelley Hennig, Ashley Benson, Kristen Stewart, Taylor Warren ? |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 16:11 | |
| Bienvenue sur le forum ! |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 16:13 | |
| Taylor Warren. Bref, bienvenue à toi et bon courage pour la suite de ta fiche. Et il me semble te connaître mais peut-être que je me trompeuuuhh... Ophélie ? |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 16:19 | |
| Merci à tous de vos conseils et de votre accueil, j'épluche les pages de bazzart à la recherche de la perle rare (a) Oui .. Ophélia ? |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 16:22 | |
| Hola chica. |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 16:49 | |
| Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 17:12 | |
| Bienvenue parmi nous miss ! Haw Daenerys ♥ |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 17:25 | |
| Ophée ▷ aooooooon, contente d'te retrouver. Les autres ▷ merci ! :D |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 17:34 | |
| Bienvenue, bon courage pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 18:06 | |
| J'ai finalement choisi Kristen Bell, ça fait bien cinq ans que je ne l'ai pas jouée, j'ai décidé de me faire un petit retour aux sources (a) Merci à tous de votre aide et désolée d'être aussi difficile |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 18:17 | |
| Kristen est magnifique |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Ven 13 Avr - 19:40 | |
| JE T'AIME ET JE VAIS AIMER TON PERSONNAGE MA PETITE OPHELIE |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Sam 14 Avr - 0:12 | |
| - Evander Selwyn a écrit:
- JE T'AIME ET JE VAIS AIMER TON PERSONNAGE MA PETITE OPHELIE
GRAOUUUUU merci ma Marine que j'aime et qui m'espionne et qui a un personnage dément qui envoie trop du paté |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. Sam 14 Avr - 1:44 | |
| Bienvenue ! Han quel beau prénom. |
| | | | Sujet: Re: SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. | |
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| | | | SILOË-LYNN ▷ les mots ne sèchent pas les pleurs, les mots ne réparent pas les coeurs. | |
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