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 « you are my sunshine, my only sunshine », chandler.

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MessageSujet: « you are my sunshine, my only sunshine », chandler.   « you are my sunshine, my only sunshine », chandler. Icon_minitimeVen 15 Mar - 16:11

Chandler & Susan ♥

    C’est samedi, et je n’ai pas tellement envie que ça de traîner au château. Il est pour moi maintenant l’image d’un labyrinthe tortueux, où il est possible de tomber sur des monstres à chaque détour. Ce n’est plus qu’un grand édifice dédié aux horreurs, plutôt que ce majestueux bâtiment que j’ai connu, qui m’avait émerveillée lorsque j’avais onze ans et qui était devenu ma seconde maison. Je vais me battre pour que l’école redevienne ce qu’elle était mais, parfois, je n’ai juste pas le courage d’observer sa chute et d’observer les élèves chuter avec elle. Les Carrow sont en grande partie responsable et, alors que je m’emmitoufle dans mon manteau et que je mets mon bonnet beige sur la tête, j’espère de tout mon cœur que je ne vais pas les croiser. Ils me font peur, et pourtant, à l’image de mes compères, j’essaie de leur tenir tête. J’aimerai juste ne pas avoir le faire aujourd’hui. Le soleil brille miraculeusement en ce jour d’hiver et je veux profiter de l’espoir qu’il procure, je veux me réchauffer sous ses rayons, échappant à l’étreinte glaciale des murs de Poudlard, mourante depuis le début de ma septième année mais s’accrochant aux élèves qui veulent la voir survivre. Comme moi. Comme les membres de l’AD, aussi, les meilleurs, ceux sur qui je peux compter coûte que coûte. Je me sens tellement jeune encore, mais tellement confiante aussi ! J’ai peur de ce qui pourra nous arriver, mais je sais que, ensemble, nous pourrons faire de grandes choses et défier ceux qui nous veulent du mal. Il faut dire que, depuis quelque temps, j’acquière une autre source de force, celle à laquelle je ne voulais pas m’intéresser, pas maintenant avec cette ambiance sordide. Et pourtant… Les préjugés qui avaient pris naissance en mon sein dès que je suis entrée chez les Poufsouffle a disparu petit à petit alors que je grandissais et que je me rendais compte que tout n’était pas noir ou blanc. Cela prit du temps, et beaucoup de disputes aussi, que ce soit avec mes amis ou mes ennemis. Mais je peux dire aujourd’hui que je suis ouverte d’esprit et que c’est grâce à Chandler. Un Serpentard. Le vert a toujours été ma seconde couleur préférée - après le jaune, car je suis une effarouche patriotique qui considère la race blaireau comme supérieure. Alors que je descends les escaliers, écoutant chaque bruit suspicieux qui pourrait me révéler la présence d’une personne aux mauvaises intentions, je repense à Chandler, à cette lutte qui m’a animée pendant des mois et des mois pour essayer de l’approcher, aux regards blasés de Hannah qui ne comprenait pas mon obsession, aux regards noirs de Tracey qui ne voulait pas de moi près de lui… Je me souris à moi-même, me rendant compte à quel point c’était amusant et rafraîchissant, à quel point j’ai bien fait de m’intéresser à ce jeune homme. Au départ, c’est sa différence qui m’a interpellée. Ce n’était que curiosité, mais ça m’a conduite à l’apprécier pour qui il est réellement - peut-être un peu trop. J’adore les garçons, ils sont pour la plupart très intéressants ; et à Poudlard, je n’ai pas à me plaindre, les garçons de mon âge sont tous potables. Mais lui c’est… différent. J’aime flirter avec lui mais je n’ai pas les mêmes sensations, j’ai parfois l’impression que je ne fais plus ça pour m’amuser mais bien parce que je veux qu’il comprenne - qu’il comprenne que je pense que je me suis amourachée de son visage, de sa manière de faire, et toutes ces petits choses qui font de moi, Susan, une parfaite pouffy niaise et plus souriante que jamais dans cette obscurité. Ca me va, et puis ça fait sourire les autres - même si ceux à qui j’ai confié le secret ont peur que je me fasse avoir par l’ennemi. Qu’ils sont ridicules ! Je sais, certes, que nous sommes en guerre, mais j’aimerais que les gens soient moins méfiants, qu’ils ne ferment pas les yeux sur les belles choses à vivre juste parce qu’ils ont peur de se faire avoir. Je peux les comprendre - après tout, cette guerre n’a-t-elle pas commencé à force de trahison, de mensonge et de lâcheté ? Je sais qu’il ne faut pas oublier que des gens sont prêts à tout pour gravir les échelons mais… je sais aussi qu’il reste des gens honnêtes. L’AD en est la preuve. Je ne veux pas perdre foi en l’humanité à cause d’un fou dangereux, non… à cause de fous dangereux. Voldemort n’est pas le seul responsable pour tout ça… Je pense notamment à Rogue, ce salopard de traître… Je pince les lèvres et souffle un grand coup alors que je sors du château, plissant des yeux à cause de l’agressivité du soleil mais souriant en sentant le vent frais balayer mes cheveux. Ca fait du bien. Ca me remet les idées en place, surtout lorsque je sais pour qui je m’aventure dehors aujourd’hui, au risque de tomber sur des mangemorts voulant profiter de bain de soleil - après tout, malgré toutes les horreurs qu’ils commettent, je suis certaine qu’ils ont besoin, eux aussi, de se ressourcer de temps en temps, même si cela semble surréaliste. Je me dirige d’un pas conquérant vers le lac, essayant d’apercevoir au loin s’il est déjà présent, mais le soleil m’empêche de voir distinctement. Je réfléchis déjà presque à ce que je pourrais lui dire, j’aime le prendre par surprise à chaque fois, il semble toujours tellement à côté de la plaque qu’il en est adorable ! C’est fou, je n’aurais pas pensé qu’un jour un serpentard m’inspirerait de l’espoir, et j’avoue que j’ai peur pour lui lorsque la guerre éclatera à Poudlard. Je le vois finalement, alors que j’approche, assis près du lac, dont la glace commence petit à petit à fondre alors que le soleil brûle sur sa surface. Je trouve cette image très poétique et je regrette ne pas avoir pris mon appareil photo - j’aime garder les souvenirs en image, j’aime à penser que ce sont des choses que je pourrais raconter à mes enfants plus tard, dans un monde en paix, mais auxquels il faut quand même expliquer le passé et les horreurs qui nous ont permis de nous redresser, ensemble, pour construire quelque chose de meilleur. « Hé », je dis, alors que je m’installe à ses côtés, « Tu n’as pas eu de problèmes pour venir ici, j’espère ? » Je lui souris, contente d’être ici en ce samedi matin. « Pour ma part, ça va, je n’ai croisé personne. J’ai juste eu du mal à me lever. » Je dis, me moquant de moi-même et de mon problème avec les réveils. « Mais comme c’était pour toi, c’était un peu plus facile que d’habitude.» Je m’attends à ce qu’il prenne cette phrase amicalement, comme toujours, mais ça ne m’embête pas. Je ne pense pas que ce soit la bonne chose à faire que de lui dire maintenant ce que je pense ressentir pour lui - il faut déjà que j’en sois certaine moi-même, même si cela semble clair pour tous mes amis.
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MessageSujet: Re: « you are my sunshine, my only sunshine », chandler.   « you are my sunshine, my only sunshine », chandler. Icon_minitimeDim 14 Avr - 8:49

    Emmitouflé dans son manteau, ses mains protégées par des gants en peau de Boutefeu Chinois, Chandler était assis confortablement sur l'herbe fraiche, dans le parc, près du bord du lac. Il contemplait l'horizon d'un air absent et rêveur. Avec un petit sourire en coin. Le Lac était connu pour receler pleins de secrets, dont l’existence d'un Calamar Géant. Et parfois, il se demandait s'il n'aurait pas voulu être à la place du grand Harry Potter, il y a trois ans de cela. Participer à la Coupe des Trois Sorciers. Et plonger dans le Lac à la rencontre des sirènes et autres créatures marines. Envie du moment, rien d'autres. Car en ce moment, il fallait avoir de la force pour rêver, pour s'évader et se construire un autre monde. Les Mangemorts pénétrant dans le château, il y a quelques mois de ça, avait permis de détruire le sourire sur le visage d'une multitude de sorciers. Mais jamais au grand jamais, Chandler avait décroché son sourire de son visage. Il pensait au départ de Tracey, il y a quelques jours. C’était comme ça et pas autrement. La belle avait décidé de s’enfuir pour des raisons qui la poussaient à ne plus rester à Poudlard. La séparation avait été extrêmement dure pour le jeune garçon qui avait promis de rester fort. Au moment même des larmes s’étaient écoulées de ses yeux. Tracey, c’était comme la grande sœur qu’il adorait. Mais elle aussi, elle était sûrement partie. Peut-être en quête d’espoir et de bonheur, car ici, elle n’était pas heureuse. Elle aussi était partie.

    Un « » d’une voix familière vint s’insérer dans ses oreilles, l’échappant de ses rêves. Un seul mot et Chandler savait à qui il avait à faire. Susan. Au moins, elle était restée elle. Susan, c’était son rayon de soleil jaune. Le petit surnom lui avait été donné à cause de sa maison. Poufsouffle. Chandler avait toujours rêvé d’être un Poufsouffle. Et pourtant, le Choixpeau en avait décidé autrement, voulant plutôt que le jeune Diggle rejoint les Serpents. Etait-il vraiment ambitieux, rusé et ayant vraiment les qualités nécessaires des Serpentards ? Apparemment, oui. Même si ses camarades continuaient à crier à l’hérésie de la venue de Chandler dans leur maison, ce dernier préférait les ignorer, voulant croire aussi à son admission à la maison de Salazar Serpentard. « Tu n’as pas eu de problèmes pour venir ici, j’espère ? Pour ma part, ça va, je n’ai croisé personne. J’ai juste eu du mal à me lever. » Pas vraiment. Ce qui était bien avec lui, c’était que la plupart des personnes le laissait tranquille, pensant que Chandler semblait inoffensif. Un attardé pouvait-il vraiment causer du tort aux Mangemorts et à Lord Voldemort ? Assurément pas mais les apparences pouvaient parfois se révéler trompeuses. « Non, c’est bon, je n’ai pas eu de problèmes. J’ai mis mon manteau, mes gants et hop, j’ai quitté le château. On m’a vu mais personne ne me dit rien. » Il se rappellerait toujours de cette scène-là, dans le Hall d’Entrée. Assis tranquillement dans un coin, il avait vu un camarade sortir mais attrapé sur le coup par un Mangemort qui ne voulait guère qu’il s’en aille dehors. Alors que lui-même avait apparemment le droit. Bizarre. Comme si certains avaient des avantages alors que d’autres ne possédaient guère.

    « Mais comme c’était pour toi, c’était un peu plus facile que d’habitude. » A l’entente de cette phrase, un grand sourire se dessina sur le visage du septième année. Alors que ses joues virèrent au rose, Chandler tourna sa tête pour regarder finalement la jeune fille. Ils étaient bien là tous les deux. « Dis, Susan, j’aimerais faire un tour en barque, tu crois que c’est possible ? » Loin du château, sur le lac. Être à deux sur une barque. Comme inaccessible au monde. En effet, en sept ans, Chandler avait toujours rêvé de prendre une barque, de ramer et de contempler le monde d’un seul point. Celui de sa barque. Et là, avec Susan, il se sentait prêt à le faire. « Ou ce que tu veux. On fait ce que tu veux ! » répéta-t-il plein d’entrain.

    [HJ: Encore désolé de l'immense retard. Je n'ai pas pour habitude de répondre un mois après. Je te promets que j'irai plus vite !]
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MessageSujet: Re: « you are my sunshine, my only sunshine », chandler.   « you are my sunshine, my only sunshine », chandler. Icon_minitimeSam 20 Avr - 17:42

Chandler & Susan ♥

    Je ne sais pas pourquoi ce garçon a toujours attiré mon regard. Que je le considère comme une saloperie de Serpentard ou que je le trouve mignon, je n’ai jamais cessé de le regarder, depuis quelques années déjà. Il m’a toujours semblé différent, si éloigné des autres. Je n’avais pas été étonnée de le voir traîner avec Tracey Davis, mais ça rendait mon approche plus difficile. Il m’a laissée faire, pourtant. Moi, une Poufsouffle, un peu trop ouverte peut-être pour une personne qui m’apparaissait comme timide. Néanmoins, nous nous sommes entendus, malgré Tracey qui essayait de dresser une barrière entre nous. Le fait que nous avons réussi à passer outre m’a prouvée que je devais continuer de lui parler, de briser son mur de garçon réservé, et de peut-être plus encore. Je n’ai jamais regretté les insultes de Tracey et des autres maisons qui pensaient que je les trahissais, les regards étonnés de mes amis… Rien du tout. De toute façon, les gens qui m’apprécient réellement ont fini par accepter que je ressentais un petit quelque chose pour ce type si étrange. Ils ont même fini par reconnaître qu’il n’était pas comme les autres serpents. Encore une fois, ce fut la preuve que j’avais bien fait de devenir son amie. Et alors que je le vois, au loin, assis devant le lac, si seul, je sais que j’ai fait le bon choix en faisant cette promesse de le protéger à Tracey. Ce sera dur de la tenir, car les Serpentards sont imprévisibles, et il m’est impossible de pénétrer leurs donjons. Pourtant, je vais tout faire pour ne pas faillir, car il mérite une personne sur laquelle se reposer et je suis heureuse de pouvoir enfin prendre la place de Tracey. C’est certainement égoïste. Je m’assoies près de lui, le saluant doucement, le sortant apparemment de ses rêveries. Je pense que c’est quelque chose qu’on a en commun. Nous rêvons tout le temps. C’est tellement plus facile que de faire face à la réalité. Je lui demande s’il n’a pas eu de problèmes, prenant à cœur mon rôle, mais m’inquiétant aussi sincèrement pour lui. « Non, c’est bon, je n’ai pas eu de problèmes. J’ai mis mon manteau, mes gants et hop, j’ai quitté le château. On m’a vu mais personne ne me dit rien. » Je lui souris, toujours autant impressionnée par sa façon de faire, de décrire les choses. Il m’intrigue, m’attire, et me fait sourire, toujours. Je ne sais pas si je commence vraiment à ressentir quelque chose pour lui, ou si je suis juste trop affectueuse, mais… Les faits sont là : j’adore être en sa présence. Je me dis que ça a du bon qu’il soit différent. Des avantages et de terribles inconvénients. Néanmoins, les mangemorts ne s’occupent pas de lui. Les élèves, peut-être, parce qu’ils sont immatures. Mais pour les adultes, Chandler n’est rien. Tant mieux. « Je suis contente qu’ils te laissent tranquille, je me sens un peu plus rassurée », je dis, lui souriant doucement. [color=tan]« Moi, je suis obligée de me transformer en ninja à chaque fois. » Je lui dis ensuite que c’était quand même plus facile que d’habitude parce que c’était pour lui. Je le taquine, et pourtant je le pense sincèrement. C’est mon rayon de soleil. Il brille encore plus fort que le soleil de ce matin qui essaie de se frayer un chemin dans cette époque hivernale. Mes amis à Poufsouffle me procurent de la joie et ils sont ceux qui me permettent de garder espoir, mais Chandler c’est… différent. Comment ça ne pourrait pas l’être avec une personne comme lui ? Il rougit un peu à cause de ce que je viens de lui et sourit, et je lui fais un clin d’œil. Je ne sais pas s’il le prend sérieusement, ou s’il considère que c’est amical… Tant qu’il sait que je suis là, c’est tout ce qui compte. « Dis, Susan, j’aimerais faire un tour en barque, tu crois que c’est possible ? » Je le regarde, étonnée. C’est tellement intime, tellement chou comme proposition, que je ne m’attendais absolument pas à ce genre de choses. Néanmoins, ça me dit totalement. Vaguer au loin. S’éloigner des ondes négatives que Poudlard transmet désormais. Oublier un peu tout ce qui nous entoure. Se concentrer sur l’eau qui nous conduit où elle le souhaite, nous berçant, endormant peu à peu les idées noires qui naissent dans nos esprits affaiblis. « Ou ce que tu veux. On fait ce que tu veux ! » Je ris, son entrain entraînant le mien, et je suis heureuse d’être là et pas dans mon lit, à ruminer. C’est tellement réconfortant de se retrouver à ses côtés. « La barque ! » je m’exclame, tout à fait certaine que j’ai envie de faire ça. Et puis, ça nous rapprochera un peu plus, non ? Je le souhaite tellement ! Je me lève et attrape ses mains, emmitouflées dans ses gants, et l’aide à se relever. « Tu as des idées fantastiques », je dis, gardant ma main dans la sienne et l’entraînant un peu plus loin sur la rive, où une barque a été abandonnée. Sûrement par un professeur qui voulait récolter quelques ingrédients au fond du lac. J’ai toujours été entraînante, j’ai toujours aimé être à la tête du groupe, et je réalise que je traîne Chandler derrière moi tellement je suis excitée. Je m’arrête près de la barque, un sourire collé sur les lèvres, et une moue pas du tout désolée. « Elle a l’air en bon état. Et bonne nouvelle, je connais un sort pour la faire avancer. A moins que tu ne préfères ramer », je lui dis, lui faisant un nouveau clin d’œil - depuis que Hannah m’a appris à les faire, je ne m’arrête plus. Certains doivent trouver ça bizarre. D’autres doivent penser que je les aguiche. Eh bien, la seule personne que j’aguiche pour de vrai à Poudlard, c’est Chandler. Et c’est malheureusement le seul qui ne le voit absolument pas de cette manière… Fatalité.
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MessageSujet: Re: « you are my sunshine, my only sunshine », chandler.   « you are my sunshine, my only sunshine », chandler. Icon_minitime

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