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| Auteur | Message |
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| Sujet: trucs capacitésss Sam 2 Mar - 13:18 | |
| ◖ VOTRE NOM Ҩ Meade R. Gleason. ◖ CAPACITÉ DÉSIRÉE Ҩ Animagi. ◖ POURQUOI ? Ҩ - Spoiler:
« Tu peux y arriver, essaye encore. » La voix semblait venir de loin, alors que son professeur de métamorphose se trouvait tout près d'elle. Elle pouvait sentir son regard peser sur elle tendit qu'elle avait fermé les yeux pour se concentrer. Bon dieux, qu'est ce qu'elle était fatiguée. Pourtant, cette expérience était très importante pour elle. La jeune femme voulait voir à quel point elle pouvait s'améliorer dans chaque domaine, jusqu'où elle pouvait repousser ses limites. C'est bien pour cela qu'elle avait toujours prêtée beaucoup d'attention au cours de métamorphose, espérant un jour arriver à son but. Devenir elle aussi une animagus. Elle ne savait pas vraiment d'où lui venait cette envie, mais depuis sa première année à Poudlard elle avait d'ors est déjà commencée à s'exercer. Mais ce jour-ci, elle était bien décidée à accomplir cet exploit. Sa première métamorphose en tant qu'animagus. Elle avait aussi hâte de voir à quoi elle ressemblerait, ce qu'il la définirait en tant qu'animagi. Aussi, elle inspira, expira... plusieurs fois à la suite avant de serrer les points et de se concentrer activement une fois de plus. Elle s'imaginait en train de se métamorphoser, changeant petit à petit de forme pour devenir un animal. À ce moment-là, elle commença à ressentir des picotements sur chaque parcelle de son corps, cela lui arracha une grimace, mais elle n'était pas prête à renoncer. Elle pencha la tête en arrière, faisant un effort considérable pour ne pas arrêter immédiatement tellement sa tête lui faisait mal. Elle avait l'impression qu'on lui frappait la tête à coup de batte. « C'est bien, continue comme ça. » A présent, la voix de son professeur était presque inaudible, comme si elle venait tout bonnement de son imagination. Elle se mit alors à ouvrir ses paumes et à partir de ce moment, tout se passa très vite. Elle sentit ses os changer de forme, cela lui arracha un petit cri, mais elle continua tout de même à se visualiser mentalement. Cela lui faisait horriblement mal, mais cette douleur ne serait pas éternelle. Elle sentit ses cheveux disparaître tandis qu'elle se sentait attirer vers le sol. Ses mains atterrirent au sol. Au début, elle cru avoir échouée, encore une fois. Elle n'osait pas ouvrir les yeux, mais quand elle entendit son professeur l'applaudir, elle ouvrit rapidement ses yeux. Ce dernier se tenait face à elle, à genoux. Normalement, elle aurait du être au même niveau que lui, seulement, elle était beaucoup plus basse. Puis elle pencha la tête et lorsqu'elle vu que ses mains avaient laissées place à des pattes recouvertes d'un poil aussi noir que la nuit, elle recula instinctivement. Elle releva la tête vers son professeur, ce dernier lui souriait. « Eh bien, c'est parfait. Je te félicite ! » Meade se tourna alors vers le seul miroir qui se trouvait dans la pièce. Dans la glace, ce n'était plus son apparence humaine qui se reflétait, non. Elle avait laissé place à celle d'un animal, un lapin. Si elle avait pu se mettre de nouveau dans son apparence humaine, elle se serait bien fichue d’elle-même. Un lapin… c’était donc ça son apparence d’animagus ? Elle qui pensait ressembler à l’une de ses bêtes sauvages et puissante, la voilà représenter par le plus niais des animaux. Voici un extrait de ma fiche, qui détaille la fois ou elle c'est transformé pour la première fois. Cette capacité est très importante pour la brune, elle lui permet de fuir les mangemorts, étant donné qu'elle est en fuite. ◖ CODE Ҩ - Code:
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[b]◖[/b] <pris>meade r. gleason (lapin)</pris> Merci d'avance. |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Lun 4 Mar - 19:48 | |
| Ajoutée. |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Sam 16 Mar - 10:01 | |
| ◖ VOTRE NOM Ҩ A. Eireen-Ael O'Daleigh ◖ CAPACITÉ DÉSIRÉE Ҩ Métamorphomage. ◖ POURQUOI ? Ҩ - Spoiler:
« Comment est-ce que c’est possible… ? » Monsieur O’Daleigh n’arrivait pas à y croire. Alors que sa douce petite-fille, âgée de deux mois, se mettait à pleurer, il vit lentement les cheveux de celle-ci changer de couleur. Ils passèrent du roux hérité de sa mère à du bleu assez foncé. Jamais encore il n’avait observé ce phénomène chez elle. « Caelan ! » La jeune femme, pas habituée à ce que son mari crie de la sorte, abandonna le repas, après avoir vérifié que rien ne pourrait brûler pour rejoindre son mari. « Oui, que se passe-t-il ? » Lui demanda-t-elle en s’essuyant les mains sur son tablier. Lorsqu’il lui montra leur fille, Aslinn, elle ne put que rigoler, sous le regard inquiet d’Aidan. « … Mais pourquoi rigoles-tu ?! » « Je suis désolée, mon chéri mais.. » Commença-t-elle avant de repartir dans un éclat de rire. Il fallut plusieurs minutes à la femme pour s’en remettre, sous l’œil attentif de son époux qui ne comprenait son hilarité alors que les cheveux de leur fille venaient de changer de couleur. Caelan s’occupa de la bercer et s’installa sur le canapé. « Assied-toi, j’ai quelque chose d’important à te dire. » Il n’osa pas protester, sachant que c’était encore quelque chose de fou. Quand elle lui avait annoncé qu’elle était une sorcière, la veille de leur mariage, il était tombé des nues. En vérité, il avait surtout cru à une blague au début. Mais le regard de sa fiancée l’avait bien vite dissuadé de rire. Elle avait passé une bonne partie à lui expliquer bien des choses sur le monde sorcier. Mais elle avait apparemment omis de lui dire quelque chose. « Je ne voulais pas t’inquiéter et, réellement, je ne pensais que notre fille pourrait être une sorcière et posséder ce don.. » « Un don ?! Mais ses cheveux changent de couleur Caelan ! » « Je sais, et oui, c’est un don. Dans le monde sorcier, en tout cas. » A son regard, elle comprit qu’il ne voyait pas cette différence comme un don. « Dans mon monde, on appelle les sorciers ayant cette capacité des métamorphomages. Il s’agit d’un don qu’on acquiert à la naissance, c’est héréditaire et... » « Mais toi, tu ne l’es pas ! » Caelan soupira, effectivement, elle n’avait pas hérité de ce don mais ça n’empêchait pas que sa fille le soit puisque… « Ma mère est une métamorphomage, elle a transmis son don à notre fille. Elle sera d’ailleurs très fière de savoir que sa petite-fille en a hérité. Cesse de penser qu’il s’agit d’une malédiction. » Elle avait parlé d’une voix assez froide, c’était peu habituel chez elle. Elle prit Aslinn dans ses bras et partit s’enfermer dans sa chambre, laissant au préalable un sort sur le dîner pour ne pas que celui-ci brûle. Oh oui, elle lui en voulait beaucoup.
« Montre-moi ton vrai visage, Eireen. » L’adolescente se tourne vers la jeune femme qui vient de parler. Il s’agit d’une fille de deux ans de plus qu’elle. Une élève de Poufsouffle, elle croit sans être certaine. « Pourquoi ? Qu’est-ce qui te fait croire que ce n’est pas mon vrai visage ? » Les bras de chaque côté du corps, elle se tourne vers le miroir des toilettes des filles. Ses cheveux ont une teinte d’un bleu éclatant, une couleur qu’elle apprécie énormément. Ses yeux sont bleus, son nez est fin, elle a un teint légèrement halé… Eh bien oui, ce n’était pas elle. C’était encore une de ses apparences éphémères qu’elle se prenait parce qu’elle ne supportait pas son corps, son apparence. Trop frêle, trop fragile, trop pâle, pas assez belle pour les garçons. « Jamais tu n’as montré ton visage réel, jamais avec moi. » Eireen la regarda, elle la toisait presque. « Je ne supporte pas mon corps, ok ? » Meadow fut surprise de la révélation de la jeune fille. « Mais pourquoi ? Je suis certaine que tu es très jolie. Certes, tu as un don mais ce n’est pas pour ça que tu dois te cacher derrière. Tu es une fille en or et je suis persuadée que tu es belle. » La jeune fille soupira longuement. « Je rêve ou tu n’abandonneras jamais ? » Elle hocha la tête avec un sourire en coin. « Bon… Prépare-toi… » Eireen crispa son visage et pensa à reprendre son apparence réelle. Ses cheveux bleus reprirent la teinte rousse qu’elle avait à la naissance. Ses yeux devinrent noisettes tirant sur le vert, sa peau redevint pâle et des taches de rousseur apparurent sur son visage. Elle soupira en se voyant dans la classe. « Alors, tu es contente ? » L’autre jeune fille hocha la tête. « Tu es très belle, tu vois. Viens, maintenant, il faut qu’on aille en classe ! » Eireen appréhendait le moment où tout le monde la verrait de cette façon mais pour la première fois de sa vie, elle se sentait confiante. Elle avait confiance en son physique.
Cela fait maintenant deux ans qu’Eireen a quitté Poudlard. Au grand désespoir de son père, qui pensait qu’elle reviendrait à la maison, la jeune femme préféra rester dans le monde sorcier, rendant visite à ses parents rarement. Elle avait demandé à sa mère de ne pas informer son père de la situation du monde sorcier en ce moment. Sous peine qu’il l’oblige à rentrer à la maison et à ne plus en bouger. A la place, elle avait trouvé un petit travail à Pré-Au-Lard, en tant que serveuse. En parallèle, elle faisait partie de l’Ordre du Phénix et en était fière. Elle ne faisait pas des missions trop dangereuses, on la trouvait souvent un peu jeunes mais son don était assez utile, c’était d’ailleurs là-bas qu’elle avait fait la confiance de Nymphadora Tonks, une métamorphomage comme elle. Elle allait se battre contre le joug de Voldemort, elle voulait se battre pour le bonheur de son monde. Car oui, c’était son monde. Plus que celui des moldus. Ici, elle se sentait vraiment elle-même et ça lui faisait du bien. Les journées n’étaient pas toujours roses, mais ça lui suffisait.
Voilà trois extraits de ma présentation : le premier est la découverte de ce pouvoir par ses parents puisque c'est un don apparaissant à la naissance. Le second, c'est une sorte un peu de démonstration, de ce qu'elle peut faire, enfin je sais pas trop... Et le troisième, c'est sa situation du moment.
◖ CODE Ҩ - Code:
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[b]◖[/b] <pris>a. eireen-ael o'daleigh</pris> Merci d'avance. |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Sam 16 Mar - 11:34 | |
| c'est ajouté |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Mar 26 Mar - 12:40 | |
| ◖ VOTRE NOM Ҩ Cali Mangrover ◖ CAPACITÉ DÉSIRÉE Ҩ Légilimens ◖ POURQUOI ? Ҩ Cali a appris la légilimencie sur demande de sa mère. En réalité, elle l'apprend toujours et n'est pas encore optimale dans ce domaine. Bien que peu encline à l'apprentissage de cette capacité, elle s'y résigna afin de contrer à ses problèmes de confiance la menant sur la voie de la paranoïa, ainsi que pour assurer sa propre sécurité en ces temps difficiles. Extrait de ma fiche en expliquant plus amplement les raisons :
- Spoiler:
- Salut Fritz. - Salut Cali. - Un demi ? - Un demi. Pas de visite aujourd'hui ? - Aucune. Pas même un sorcier. - Tu en es sûr ? - Absolument certain. Je sais tout de même reconnaître mes congénères. - Certains savent bien se dissimuler. Je sais de quoi je parle. - Je suis barman. Je m'y connais, en secrets. - Pourquoi t'entêtes-tu à rester là ? - Il faut bien quelqu'un pour aider les belles demoiselles en détresse. Pourquoi t'entêtes-tu à rester au Ministère ? - Je commence à me le demander. - Dis pas de bêtises. Toi et moi, nous savons que tu fais plus que bien d'entre nous. - Tu le sais, je n'en ai pas l'impression. - Ta mère a ramené un invité. - Tu n'aurais pas pu commencer par ça ? Quand je t'ai demandé si tu avais eu de la visite, par exemple ? La demoiselle se leva avec hâte et laissa à l'abandon son verre à peine entamé. Elle se dirigea vers les toilettes, pénétra la troisième cabine, se saisit de sa baguette et fit par ce biais fondre le mur du fond. Un escalier s'était matérialisé, au milieu d'un couloir obscur. Elle vivait plus haut. Quand les choses avaient bardé, elle avait voulu changer d'appartement, et l'Ordre l'avait mise en contact avec Fritz. Il y avait une autre porte d'entrée plus officielle, qu'elle essayait d'emprunter régulièrement au cas où elle serait suivie, mais sa mère, elle, passait toujours par ici, et l'invité avait dû l'y suivre. Par conséquent, notre apprentie détective tenait à vérifier qu'elle ne trouverait rien de suspect sur leur chemin. Mais hormis une odeur inhabituelle, un peu boisée, il n'y avait rien. Croyez-vous que cela aurait suffi à rassurer celle qui jadis ne s'inquiétait de rien, se contentant de profiter de l'instant présent, se saisissant avec plaisir de tout ce qu'autrui avait à offrir et à apprendre, riant avec tout Poudlard sans exception ? Elle avait tant changé qu'elle peinait parfois à se reconnaître elle-même. Un sortilège informulé, et le verrou sautait. Les voix lui parvinrent. Il y avait celle d'un homme inconnu, plutôt jeune a priori. Elle referma la porte derrière elle avec toute la délicatesse dont elle était capable et s'avança dans le couloir tel un chat prêt à bondir. En un éclair, la baguette en main, elle venait de détruire le havre de paix que s'étaient constitués sa mère et cet homme. Manquant de tomber de sa chaise en se levant, il était à présent contre le mur, terrorisé par les yeux emplis de fureur de celle qui lui faisait face. Il avait les yeux noirs, une tignasse brune et bouclée. Il était beau, et en était doublement suspect. - Qui es-tu ? - CALI ! - Comment peux-tu amener un étranger ici sans m'en parler ? QUI ES-TU ? - Je... Terence. - Tu crois que j'ai quelque chose à foutre de ton prénom ? - Cali ! Je l'ai vérifié. Quelques secondes passèrent, dans le plus clair des silences, durant lesquelles la future Auror hésita à abaisser sa baguette. - Tu l'as vérifié ? De fond en comble ? - De fond en comble. La voix d'Emy était douce, comme toujours. Elle non plus ne reconnaissait plus son enfant, ce modèle de tendresse, de confiance, de naïveté parfois. Sa gentillesse était toujours là, bien entendu, avec sa bonté, son sens aiguë de la justice, mais elle avait enseveli tout cela sous une telle couche de méfiance que plus personne ne savait l'approcher à moins qu'elle ne l'ait tactiquement décidé, et encore moins la dompter. Cali avait presque coupé tout contact avec ses amies du collège, elle s'était faite solitaire, elle vivait dans la crainte constante que sa mère disparaisse. Elle abaissa enfin sa baguette. - Que fait-il ici ? - Nous sommes partis dans les bois avec quelques membres de l'Ordre aujourd'hui, pour voir si nous ne retrouvions pas la trace de Harry et d'Hermione. - Tu es allée dans les bois ? Génial ça. - Arrête, tu veux ? Je suis une grande fille, je prends les risques qu'il me plaît de prendre. - Sans penser aux conséquences ou aux possibles dommages collatéraux. - Je t'interdis de dire ça. Comme toujours, avais-je dit ? La voilà qui s'enfuyait, la douceur. La colère était née de la douleur. Et de la douleur de sa mère était née la culpabilité de Cali, qui soudain, chassa un peu de sa morosité pour écouter Emy. - Nous l'avons trouvé là-bas, il se cachait depuis un moment. Toutes nos planques sont pleines, il va falloir nous organiser autrement, alors je l'ai amené ici. - C'est une mauvaise idée. - Cali... - Il peut rester. Mais je vous le dis, à tous les deux : c'est une mauvaise idée. La jeune résistante se retourna, et manqua de se heurter au rescapé. Leurs regards s'entrechoquèrent. - La salle de bains est au fond du couloir. - Terence, tu devrais effectivement aller y faire un tour. J'ai besoin de parler un peu avec ma fille. Le sus-nommé ne se fit pas prier : la couche de crasse qui le recouvrait devait commencer à le démanger, et avec un soupir, Cali accepta de se plier à la requête de sa mère, et trouva sa place sur une chaise. - Si tu essayes de me convaincre, sache que je n'en ressens pas le besoin. - Ce n'est pas de ça dont je souhaite te parler. - De quoi alors ? - Tu m'inquiètes, Cali. Ta méfiance devient maladive. - Excuse-moi d'être inquiète à ton sujet, mais tu es tout ce que j'ai, et je ne compte pas te perdre. - Il est peut-être temps que ça change. - Que veux-tu dire par là ? - Que je ne sois plus tout ce que tu as. - Nous sommes en guerre. Inutile de t'expliquer les milliers de raisons pour lesquelles je ne tiens pas à me lier à qui que ce soit. - Apprends la légilimencie. Cali fut prise d'un hoquet de surprise. Les yeux écarquillés, elle resta silencieuse à nouveau. - Certainement pas. - Je t'apprendrai. - Non, Maman, je ne veux pas pénétrer l'esprit des gens, je refuse de briser leur intimité, de... - Nous n'avons plus d'intimité à l'heure actuelle. Chacun est épié, traqué. Tu ne fais plus confiance à personne et c'est en train de te rendre folle. La légilimencie peut t'aider de ce côté-là, comme elle peut t'aider à repérer tes adversaires. C'est à toi de voir ce que tu veux faire de cette capacité, mais elle n'est pas nécessairement destinée à faire le mal. - Ok. Je vais y réfléchir. - S'il te plaît. ◖ CODE Ҩ - Code:
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[b]◖[/b] <pris>Cali Mangrover</pris> |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Mer 27 Mar - 15:57 | |
| ◖ VOTRE NOM Ҩ Rhagnär F. Greyback ◖ CAPACITÉ DÉSIRÉE Ҩ Lycanthrope ◖ POURQUOI ? Ҩ On nait loup, ou l’on peut le devenir. En ce qui concerne Rhagnär, il n’a guère eu le choix, fils aîné du croquemitaine sorcier, l’évidence mise en place sous le patronyme Greyback, l’obligeant à prendre la forme lupine au crépuscule de ses dix ans, âge prérequis pour devenir animal sans craindre des conséquences terribles infligées au corps humain. Une malédiction pour ceux qui subissent la morsure, une bénédiction pour ceux dont la bête fait partie intégrante de l’être, car eux seuls répondent réellement à l’appel de la lune, sans se dénaturer par une quelconque potion appelée Tue-Loup, eux-seuls deviennent le véritable animal, plus grand que la moyenne, et connaissent la liberté l’accompagnant. Et l’enfant peut aisément s’accommoder de cette nature sauvage, plus modelable, plus enclin à vivre en harmonie avec la bête et la nature. - 1ER EXTRAIT DE LA FICHE:
Un autre jour, une autre menace qui tangue au dessus de ma tête. Autour de ma personne, d’autres enfants de mon âge courent, s’agitent, s’excitent ou s’inquiètent. La première nuit de la lune ronde est pour ce soir. Certains craignent le changement, d’autres n’attendent plus que de donner le contrôle à la bête et de courir dans les bois. Nous avons cette chance de vivre auprès d’une dernière parcelle de la forêt que l’être humain a détruite par son ambition, en plus d’être proche du loch Assynt et de la mer. De magnifiques endroits partiellement cachés aux moldus grâce à la magie. Il serait bien dommage de voir ces derniers rappliquer et succomber sous le croc acéré de ceux qui peuvent changer dès qu’ils le désirent. Comme mon père pour exemple. Mon étrange regard s’arrête un instant sur l’un de mes camarades qui tente d’attirer mon regard. « Eyh, Rhagnär ! J’ai entendu ton père en parler au mien. C’est pour cette nuit. » Un instant, mon regard se fronce, ma mine se fait sérieuse. Ce soir, Fenrir va renouveler son passe-temps favori : se transformer auprès d’un ennemi pour mieux le mordre et lui infliger la pire des malédictions au regard sorcier. A l’exception que l’ennemi de ce soir n’est autre que la chair de sa chair, le sang de son sang. Cela implique que je ne serais jamais un vrai loup, mais une forme s’en rapprochant. L’idée n’est guère plaisante, et je sens ma fierté atteinte au plus profond d’elle-même. Je ne demande pas mon reste, alors que je me dirige vers ma maison, cette imposante chaumière de bois qui surplombe toutes les autres. Comme j’ai ignoré mon ami, j’ignore aussi ma mère, cette femme au regard creux, bafouée et ignorée de son époux au profit d’une ambition démesurée, monte dans ma chambre et attrape le premier livre qui me tombe sous la main, noyant mes incessantes pensées et ma colère entre les lignes. Les heures défilent, la nuit se rapproche, mon destin de même. Je suis le fils de l’Alpha après tout. « UNE AUTRE NUIT FENRIR ! EST-CE TROP TE DEMANDER ? » Si je me suis endormi, la supplique colérique de ma mère me réveille, empêchant mon père de monter plus encore les escaliers pour venir me capturer. Son loup gronde, et pourtant, je l’entends redescendre les marches. Au fond, son attitude me déçoit, tout autant qu’elle me rassure. Je crains les crocs de mon paternel, et plus encore sa soif de sang, néanmoins, je sais aussi que ma génitrice ne pourra jamais retarder l’échéance plus longtemps. C’est un destin que de faire partie de cette meute. De ma fenêtre, je peux observer mon père quitter ce lieu, son regard famélique se retournant sur ma fenêtre, observant l’enfant que je suis pour mieux le regarder durement. L’homme est effrayant, et je ne doute pas un instant qu’il pourrait changer d’avis et me faire chercher par les deux hommes qui sont le plus proche de lui. Mais le loup déserte l’endroit, rejoignant la place à laquelle je ne peux accéder. La lune quant à elle, pointe déjà le bout de sa rondeur, et je peux déjà entendre les hurlements de ceux qui changent vite. Parmi eux, parmi les derniers, mes amis, qui possèdent cette chance de voir la liberté qui leur est offerte, quand je suis l’étranger, la tare. Mon regard vairon se fait mauvais envers cette amante qui me délaisse, la maudis intérieurement alors que je tourne les talons pour mieux retrouver mon lit. Et pourtant, que n’ai je fait trois pas qu’une douleur m’étreint le long des omoplates, me courbant l’échine alors qu’un cri de douleur s’arrache de mes lèvres, alertant sitôt la génitrice qui se précipite dans la chambre. A genoux, je l’observe, alors que je peux sentir mes os craquer, mon cœur s’exciter, et chaque fibre de mon être m’infliger la plus douloureuse des leçons. Mon corps se meure, et je peux le sentir se briser, m’obligeant à me tordre de douleur sur le plancher, alors que ma génitrice pleure à mes côtés, sans trouver de moyen d’apaiser mon mal, sans oser me bouger de place, quittant bientôt les lieux pour mieux fermer ma porte à clé. Je hais cette femme pour le peu de secours qu’elle daigne m’offrir, pensée balayée par une nouvelle vague atroce, un nouveau hurlement. J’ai l’impression de souffrir depuis des heures, quand mon regard se trouble, et bientôt, le monde change, m’obligeant à m’éteindre lentement, sans espoir de lutte. La bête prend la place de l’homme. Nulle cohabitation possible. L'adolescent quant à lui, se doit d'apprendre la patience, de ne pas répondre à l'attaque du sorcier ou de l'humain qui ne peut comprendre la véritable nature d'un lycanthrope, qui crie au loup mais se sauve sitôt ce dernier pointe le bout de son nez. Alors le loup gronde, met en garde et s'en retourne dans sa tanière, attendant sagement l'heure où la brebis égarée viendra le retrouver, pour mieux exercer la vengeance patiemment désirée.
- 2ND EXTRAIT DE LA FICHE:
A tes yeux, elle est la plus délectable des créatures, et pour cause, certainement l’une des plus jolies filles de Poudard, et bien mieux encore, volée à ton meilleur ennemi, celui qui cherche encore à avoir l’ascendant sur ta propre personne. Le jour où ce serpentard de malheur apprendra la chose, sans doute tentera t’il d’arracher ta peau de loup, pour l’heure toutefois, tu préfères penser à de bien meilleurs moments, tes doigts dérivant le long de sa cambrure, tes lèvres savourant les siennes. L’instant est particulier, luxurieux, à quelques heures de la pleine lune et de la sensation de liberté. Un soupir s’échappe de ses lèvres, tandis que tu t’efforces de mordiller la chair tendre de son cou, que le reste de ton corps s’active à la combler comme il se doit depuis plusieurs mois déjà. Enfin, tu parviens à tes fins, et la laisse s’échapper de tes bras alors que toi, ton regard se reporte sur le plafond, puis sur la fenêtre qui laisse passer l’air et te permet de constater de l’avancée de la nuit. « Tu ferais mieux de rentrer au château. » Laisses-tu échapper sous un ton aussi doux que ferme. « D’autant plus qu’il me semble que tu devais réviser une certaine leçon d’histoire que… » tu n’as guère le temps d’achever ta phrase, que déjà la créature te chevauche, ses lèvres emprisonnant les tiennes pour t’inciter à te taire. « Tu parles de cette leçon que tu devais m’aider à apprendre ? » Un rire franchit tes lèvres, alors qu’elle te rappelle avec taquinerie ce fait qui vous a conduit à être amants. N’étais-tu pas seulement censé l’aider en l’approche des ASPIC ? Et pourtant, chacune de vos rencontres pour ce faire se solde depuis trop longtemps par une approche plus charnelle. Regrettes-tu ? Bien sûr que non. La perspective de ravir tout ce qui tient à cœur à Augustus Ferwood est une délectation en soi, et un sentiment de supériorité mêlé à l’instinct de vengeance. Et comme si la belle devinait tes pensées, la voilà qui attise de nouveau ton désir, jouant de ses atouts avec une certaine assurance que d’autres ne possèdent nullement. Et si tu y réponds malgré toi, tu sais pertinemment qu’il n’est plus l’heure de la badinerie, la plus fatale se faisant trop pressante. « Callie… C’est pas franchement le moment… » Elle rit, alors qu’elle se fait dompteuse, t’arrachant un râle de bien être qu’elle étouffe sous ses lèvres. « Alors retiens ton loup Rhagnär. Encore un instant… avant que je ne rejoigne Augustus. » Cette simple pensée te met déjà dans une certaine rage, alors que tu inverses la situation, te faisant dominant, comme toujours arrachant à cette dulcinée toute la passion qu’elle possède. Tu n’es guère prêteur, et il s’avère hors de question qu’elle pense à un autre lorsqu’elle est avec toi. Ainsi tout loup fier est. Et alors que vous atteignez enfin ce nouveau paroxysme, ta bête réclame son dû, t’arrachant un grondement des plus réel, t’incitant à repousser la belle qui partage ton lit. « C’est l’heure Callie ! Il faut que tu partes. » Le ton que tu emploies n’est plus aussi suave et doux, mais bel et bien ferme et brutal, car voilà que tu t’éloignes de l’amante, faisant craquer ton cou, alors que d’autres os se brisent d’eux-même. Néanmoins, si tu ressens la douleur dans tes entrailles, elle est bien moins brutale qu’autrefois, l’habitude ayant fait son œuvre. Ton regard a déjà changé, alors que tu te trouvais dans les bras de ta dulcinée, le reste ne tardera plus à arriver. Quant à elle, voilà son regard inquiet, puisque c’est bien la première fois qu’elle assiste à une transformation. Inquiète parce qu’elle voit ton corps changer, effrayée, parce qu’elle est encore là. Mais voilà que tu portes déjà le regard sur elle, ton instinct animal prenant peu à peu le dessus sur tout le reste. « Tu ferais mieux de courir. » Une mise en garde, au même titre que l’excitation du prédateur sur sa proie, tes pensées sont mélangées, alors que tu peux déjà voir la verte et argent se hâter, enfilant ses vêtements à la hâte, avant de commencer à courir dans les couloirs de la cabane hurlante. Tu hais cet endroit, qui t’inflige une semi-liberté, ne te laissant que le loisir de parcourir ce lieu sous ta forme animale. Un grincement, et déjà ton loup sait exactement où se trouve la proie à chasser. Mais voilà qu’à mesure que les minutes s’écoulent, tu perds ta conscience, jusqu’à ce que ta crispation de douleur ne laisse place à un hurlement bestial, une ode à la lune. Loup y es-tu ? Voilà que l’animal s’ébroue, le cliquetis de ses griffes laissant à penser qu’il avance, son flair s’attardant sur les différentes odeurs de la pièce dans laquelle il se trouve. Son pelage est blanc, trempé, l’obligeant à se débarrasser de nouveau de cette désagréable sensation, avant qu’il ne se mette en chasse… Car l’une des odeurs, alléchante, s’est attardé sur les lieux. Son oreille se tend, et le voilà qui déjà s’invite dans les couloirs de ce lieu qu’il ne connaît que trop. Il n’a qu’à suivre les grincements plus intenses qui lui indiquent où sa proie se trouve. Le grondement franchit sa gorge alors qu’il se rapproche, la chasse plus excitante que jamais. Là, face à lui, sa victime, sa proie, recroquevillée dans un coin, le cœur aussi affolé que tremblant. « Rhagnär, je t’en prie, c’est moi… » Mais l’animal n’écoute pas, ses babines retroussées sur ses crocs, grondant férocement contre l’étrangère se trouvant sur son territoire. Il veille sur chacun de ses gestes, aspire à ce qu’elle se relève et se mette à courir, accentue la pression en avançant d’un pas, puis deux, traçant un demi-cercle autour d’elle, aboyant de temps à autre pour sentir sa terreur augmenter. Enfin elle esquisse un geste, et il n’a guère le temps de comprendre que déjà un éclair rouge cherche à s’abattre sur lui, l’obligeant à esquiver et perdre la trace de sa proie, quand cette dernière s’est relevée et s’est mise à courir. L’excitation est à son comble, alors que le loup reprends sa traque, retrouvant finalement sa proie, étirant ses membres pour mieux lui sauter à la gorge et savourer le liquide chaud et ferreux couler dans sa gorge, tachant son poil blanc. Quant à l’œil rouge qui le caractérise, le voilà déjà brillant d’une lueur sanguinaire.
Ce n’est qu’à l’aube que tu constateras de ton méfait, ton regard indifférent s’attardant sur le corps sans vie que ta bête à laissé trainé dans un coin. Elle ne s’est pas contentée de mordre, mais de jouer avec sa proie, de la meurtrir et de la tuer sauvagement. Tu n’éprouves que peu de choses, rien qui ne te soit douloureux, elle n’était qu’un passe-temps, une conquête pour ennuyer ton ennemi. Ce que tu trouves dommage en revanche, c’est qu’elle ne pourra plus témoigner lorsque tu iras narguer le serpentard en question. Tu soupires, puis avances, prêt à regagner le château pour la dernière épreuve des ASPIC. Néanmoins, ta conscience t’incite déjà à trouver Dumbledore pour lui annoncer le décès prématuré d’une étudiante. Au pire, il ne te laissera pas finir ton examen, cette pensée-là en revanche, t’inquiète, alors que tu avances dans le parc de Poudlard, après avoir sommé le Saule Cogneur de rester immobile. Voilà l’homme que tu cherches, et déjà tu cherches à lui parler. « Plus tard Mr. Greyback. L’épreuve de Botanique va commencer, et vous allez être en retard. » Un tour du destin peut-être ? Voilà ta chance, saisis-là, après quoi, tu conteras l’absence de remords, alors que dans cette cabane de bois, tu as laissé un cadavre commencer à pourrir. L'homme, quant à lui, gravit les échelons, se fait une place dans la meute. Devient un élément de choix avec responsabilités. ALPHA - BOLVERK - FREKI - HATI … le choix ne lui appartient que partiellement, mais il doit s'acquitter de ce qui s'en suit. Bolverk Rhagnär est devenu, par le choix de son père, se faisant son exécuteur, bien plus que son bras droit. Il est aussi celui qui prend des décisions quand l'Alpha ne veut ou ne peut le faire. Presque un chef de meute, mais pas tant que l'actuel ne sera pas mit à bas. ◖ CODE Ҩ - Code:
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[b]◖[/b] <pris>Rhagnär F. Greyback</pris>
Merci d'avance ! |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Mer 27 Mar - 16:26 | |
| Je vous ajoute tous les deux. |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss Sam 13 Avr - 18:50 | |
| Je sais pas si c'est possible puisque Daley a déjà une capacité spéciale mais bon, on sait jamais ◖ VOTRE NOM Ҩ Samaël Lawford ◖ CAPACITÉ DÉSIRÉE Ҩ légilimancie ◖ POURQUOI ? Ҩ Je n'en ai pas parlé dans ma présentation parce que de toute façon, ma présentation elle est naze Mais pour moi, Samaël est naturellement doué pour comprendre la difficulté que représente l'analyse du cerveau humain. Il n'est pas très expressif mais il est très observateur, il observe beaucoup avant de prendre une décision et si son jugement est parfois faussé par ses émotions, il n'en demeure pas moins assez maître de lui-même. Si Samaël a voulu apprendre l'art complexe de la légilimancie, c'est uniquement parce qu'il en avait besoin pour pouvoir se rapprocher de sa famille et leur prouver qu'il ne leur sera pas totalement inutile, qu'il pouvait servir à quelque chose, qu'il pouvait leur apporter plus que des ennuis. Il a toujours voulu être accepté, faire partie d'un foyer et il y voyait un moyen de leur montrer qu'il était assez particulier pour attirer leur attention. Il a donc demandé à un sorcier avec qui il avait passé beaucoup de temps lorsqu'il allait sur le chemin de traverse de lui apprendre tout ce qu'il savait et ainsi, lui transmettre le don de légilimancie. Samaël est aussi doué pour fermer son esprit et il souhaiterait agrandir son apprentissage pour devenir également un occlumens, il sait simplement que son don lui permet de tromper l'ennemi qui tente d'entrer dans son cerveau mais il avait besoin d'attaquer, de prendre les choses en main et de comprendre certaines choses. Toujours plus curieux, il ne se sert pourtant pas de son don pour faire du mal, il s'y refuse et il ne l'a jamais fait, malgré ce qu'on attendait de lui. Il se contentait d'extraire une information lors d'un interrogatoire, cela lui évitait d'avoir à torturer et pour lui, cela était d'une valeur inestimable. ◖ CODE Ҩ - Code:
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[b]◖[/b] <pris>samaël lawford</pris> Merci |
| | | | Sujet: Re: trucs capacitésss | |
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