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 (a&l.) it's too late to apologize

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MessageSujet: (a&l.) it's too late to apologize   (a&l.) it's too late to apologize Icon_minitimeSam 13 Avr - 13:30


it's too late to apologize
amadeus wheedon et lucy o'meara-campell
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Beamish Hill. C’était une ville qui était banale, simple, sans le moindre intérêt pour bien des sorciers, surtout en cette délicate période de guerre. Lucy, c’était tout un pan de sa vie qui était incrusté dans cette ville. Les jours où elle avait été plus heureuse qu’aujourd’hui, cette période où elle avait eue tout ce qu’on pouvait attendre d’une vie, sans même sans rendre compte. Elle réalisait aujourd’hui, qu’elle avait été stupide. Stupide de s’accrocher à une carrière fondée sur le mensonge, stupide de laisser de côté les plus belles choses de sa vie, uniquement pour jouir d’une réussite professionnelle qui n’avait plus la moindre importance aujourd’hui. Oh, elle aurait pu être fière, ce jour où elle avait réalisé qu’il ne lui restait plus rien hormis sa carrière, elle qui avait toujours bossé très dur pour se faire reconnaitre, elle aurait du rester fière d’elle, comme elle l’avait tant été les jours, les mois, les années ayant précédés la mort de son époux. Cet homme avec qui elle avait vécu dans une petite maison de Beamish Hill, pendant bien des années. Une maison qui aujourd’hui était laissée à l’abandon, verrouillée dans un coin de la ville comme on aurait verrouillé un coffre emplit de vieux souvenirs. Lucy s’était accrocher à l’espoir qu’en laissant tous ses souvenirs de côté, elle pourrait avancer plus facilement dans ce qui lui restait de vie. Ce long chemin, droit et vide dont elle ne voyait pas la fin. C’était un espoir vain. Enfermer ses souvenirs derrière elle, tenter de s’accrocher à autre chose, ça n’avait rien changé à la peine qu’elle ressentait, jour après jour et qui semblait indélébile en son cœur. Elle n’avait fait que se voiler la face, croire que ça changerait quelque chose. Au même titre que sa stupide vengeance. Quelqu’un de plus honnête que Lucy le lui dirait certainement : que gagnera t-elle une fois qu’elle aura réussi à venger son mari ? Une courte satisfaction. Une impression d’avoir bien agit, d’avoir débarrassé le monde d’une pourriture. Mais ce serait une sensation éphémère, un bien être momentané qui disparaîtrai en un clignement de paupières. Il n’y avait plus rien devant elle, si ce n’est une vengeance dépourvue de sens. Un but qu’elle s’était fixé pour continuer à exister dans ce monde où elle avait l’impression de ne plus avoir sa place, mais c’était stupide. Elle était stupide et c’était quelque chose qu’elle ne se répéterait jamais assez. Sa vie n’était désormais plus qu’une vaste étendue de regret. Toutes ses choses qu’elle avait faites, toutes celles qu’elle n’avait pas faite. Les erreurs qu’elle avait commises par simple ambition, pour une carrière qu’elle avait à présent laissé tomber. Elle avait toujours aimé son époux, d’un amour inconditionnel, l’amour d’une femme pour son mari, il était le seul à avoir réussi à saisir son cœur alors que le reste du monde la voyait très certainement comme une salope égoïste. Le reste du monde ne se trompait pas. Elle avait souvent agit de telle sorte qu’on pouvait la juger ainsi. Mais avec son mari, ça avait toujours été différent. A ses côtés, elle valait mieux que ce qu’on pouvait penser d’elle, dans ses yeux, elle avait bien plus d’honneur que dans ceux des autres. Elle l’aimait et maintenant qu’il était mort, elle réalisait qu’elle ne le lui avait pas suffisamment répété, qu’elle l’avait trop de fois laissé de côté au profit d’un article qu’elle écrivait avec toute l’hypocrisie dont elle était dotée. Par Merlin, de l’hypocrisie, elle en avait et elle en aurait pour le restant de ses jours. Elle était journaliste, elle faisait partie de ces gens censé révéler au reste de la population ce qui se passait dans leur monde et au lieu de ça, elle avait passé sa vie – ou une très grande partie – à ne leur servir que des tissus de mensonges. Des mots qui sonnaient faux, mais qui auraient dû les rassurer ou les passionner, parce que c’était ce que le ministère de la magie ou bien le patron de la gazette voulait. Avec du recul, sa carrière n’avait rien de reluisant et aujourd’hui, elle n’était plus qu’une pauvre femme à qui il ne restait plus rien, un fantôme condamné à poursuivre un but dépourvu de sens.

Elle errait dans les rues de Beamish Hill. Ces rues qu’elle connaissait par cœur pour les avoir traversées tant de fois. Elle savait exactement quel chemin éviter pour éviter de se retrouver en face de la maison lui servant de boite à souvenir. Elle n’avait pas la force d’affronter cette maison, mais paradoxalement, ses pas l’avait menée jusqu’au cimetière de la ville. C’était dans cette terre du pays de galles que reposait le corps de son défunt mari. C’était ici qu’elle l’avait enterré, un mois et quelques semaines plus tôt. Elle avait encore l’impression que ça avait été hier. Cette impression elle l’aurait très certainement jusqu’à la fin de sa vie. Elle ne pouvait pas oublier ce jour tout comme elle ne pouvait pas oublier la peine qui s’était emparée de son cœur quand elle avait appris sa mort. Elle l’avait souvent considéré comme un fou. Lui, qui s’était engagé dans l’ordre du phénix, lui, qui se battait pour aider les autres alors qu’il n’était en rien concerné par cette guerre. Il n’avait eu aucune raison de se battre. Elle l’avait pensé, elle le lui avait dit sur un ton sonnant comme un reproche. Pas uniquement parce qu’elle l’aimait, mais parce que ses actions au sein de l’ordre du phénix mettaient en péril sa carrière de journaliste. Une salope égoïste, c’était bel et bien ce qu’elle était, même elle, elle n’était plus en position de le nier. Son mari était mort pour cette cause qu’il avait jugée noble, pour des idées qu’il avait et qu’il avait décidé de défendre quoi qu’en soit le prix à payer. Il avait agit pour la bonne cause, pendant qu’elle, au sein de la gazette, elle écrivait ce qu’on lui demandait d’écrire, elle mentait, elle défendait la cause des mangemorts sans même y croire une seule seconde. Même aujourd’hui, alors qu’elle avait rejoint l’ordre, ce n’était même pas par respect envers son époux, pour continuer cette tâche qu’il avait pu se confier. C’était encore une fois dans le seul but de servir un intérêt personnel. Les autres, elle n’en avait que faire, cette guerre, elle s’en fichait, elle n’en verrait pas le bout, elle ne voulait pas en voir le bout. Lucy n’était pas comme son défunt mari, jamais elle ne se prétendrait défenseuse de la veuve et de l’orphelin. Elle se battait uniquement pour son compte. Encore une belle preuve de son égoïsme sans limite.

Dans le cimetière de la ville, elle prit le temps de se dresser devant la tombe de son époux. Un long moment. Le temps filait entre ses doigts alors qu’elle fixait une pierre tombale, la seule chose qui restait de l’homme qu’elle avait aimé. Une stupide pierre tombale, aussi froide que la mort elle-même. Bêtement, elle pouvait passer des heures à fixer cette pierre sombre, le regard perdu dans le vide, le teint blafard, ignorant le reste du monde autour d’elle. Des heures avaient dû passaient depuis qu’elle avait mis le pied dans ce cimetière mais elle n’avait rien remarqué, ni le monde autour d’elle, ni les bruits aux alentours, ni même la pluie qui s’était abattue sur elle. C’était comme s’il n’y avait plus qu’elle dans sa bulle de tristesse et de solitude. La pluie tombait encore quand elle reprit enfin ses esprits, qu’elle cessa enfin de ressasser chacun des instants passés avec son mari dont elle arrivait à se souvenirs. Elle laissa échapper un long soupire avant de se baisser vers la pierre tombale, passant ses doigts fin sur les mots gravés sur la tombe. Elle mit ses mains dans les poches de sa veste, pour les protéger du froid qui les rendait douloureuse, puis elle tourna les talons, quittant le cimetière silencieux. Elle repoussa la grille grinçante du lieu derrière elle avant de relever les yeux, s’apercevant dès lors qu’une silhouette se dressait devant elle. La surprise la fit reculer d’un pas, ainsi, elle se retrouva le dos coller à la clôture noire et froide du cimetière. Elle fronça légèrement les sourcils pour reconnaitre les traits de la personne qui lui faisait face, malgré l’obscurité installée par le temps pourris.
« Amadeus Wheedon. » Prononça-t-elle dans un murmure assuré. Elle aurait reconnu cet homme entre mille. Elle l’avait connu à Poudlard, elle l’avait connu après Poudlard, elle avait écrit des mensonges dans son dos. « Qu’est-ce qui t’amène ici, si loin d’Azkaban ? » Il avait été à Azkaban. Meurtre, accident, le doute avait plané. Meurtre finalement. S’il n’avait pas tué délibérément un autre joueur de quidditch, il avait tué un des membres du magenmagot, il méritait sa place à Azkaban et après avoir assassiné ainsi quelqu’un, personne ne l’aurait crue si elle avait commencé à prétendre que cette histoire avec un autre joueur n’était qu’un accident. Il s’était condamné lui-même, elle, elle n’avait fait qu’assurer ses arrières, comme elle le faisait tout le temps.
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MessageSujet: Re: (a&l.) it's too late to apologize   (a&l.) it's too late to apologize Icon_minitimeSam 13 Avr - 15:38


it's too late to apologize
amadeus wheedon et lucy o'meara-campell
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Vengeance. Un plat qui se mange froid. Entre autre. Mais tout avait vite refroidit. Tout avait bien du refroidir. Ca faisait des années qu’Amadeus avait froid. Il avait froid et était incapable de se réchauffer. Il avait froid depuis que sa flamme avait cessé de brûler devant lui, depuis qu’elle était partie, depuis qu’elle l’avait laissé. Mais ce n’était rien. Rien comparé à ce qu’il serait amené à ressentir. Amadeus était pétri de froid depuis le 20 Février 1994. Ce jour ou l’on l’avait jeté entre les pierres glaciales d’Azkaban pour des crimes qu’il avait à peine commis. Bien sûr personne ne le croirait. Personne ne le croyait pour le premier. Alors que ça arrive tous les jours ou presque. Le Quidditch est un sport violent. Les joueurs vols à plusieurs dizaines de mètre d’altitude, centaine parfois pour l’attrapeur qui prend encore plus de risque de la moyenne. Ces mêmes joueurs de haute voltige cherche à éviter pendant tout le match des cognards puissant et diriger par d’autre joueur possédant une force inouï. Alors forcément si on ne fait pas attention. Si par exemple on est absorber par le vif d’or. Si notre regard caresse l’objet doré et volant juste devant nous plutôt que de faire attention au cognard envoyé par l’équipe adverse et qui arrive par derrière... Forcément. Les accidents arrivent. Le cognard la frappé derrière la tête, coup du lapin sans doute, et sinon il a fait une chute de trente mètre, ça lui a été fatal. Pour le reste il ne savait rien. Pourquoi diable un supporter était-il soumis au sortilège de l’Imperium ? Pourquoi diable voulait-il penser que le cognard avait été ensorcelé et désenchanté ? Pourquoi comble de la mal chance l’attrapeur avait-il du être un né-moldu, et lui le fils d’un supposé ex mangemort ? Pourquoi Sirius Black avait-il du s’échapper quelques mois plutôt et faire planer sur Londres le doute d’un nouveau ralliement de mangemort ? C’était absolument ridicule. Un coup monté. Un coup monté mal fagoté auxquels tout le monde avait finit par croire. Si on lui demandait il dirait qu’il regretterait, mais qu’il n’aurait probablement pas fait autrement. Il regrettait que son coup est pris de tel proportion. Il regrettait la mort de l’attrapeur. Mais sans son cognard l’équipe adverse aurait gagné. Et il était justement embauché pour empêcher que ces choses là arrive. S’il devait ne jamais envoyé de cognard de peur que ça tue celui qui ne faisait pas attention et qui se le prend en pleine tête, il ne gagnerait plus aucun match. Il n’avait jamais pu comment on avait pu l’accusé en premier lieu.

La colère commençait à gronder dans ses entrailles. Malgré le froid, il bouillonnait, sous sa mâchoire serré ses dents grinçaient les unes contre les autres dans un bruit extrêmement désagréable. Ils avaient détruit sa vie. Leur haine pour Voldemort et ses partisans l’avait assassiné, l’avait plongé dans le froid et l’angoisse, l’avait privé de toute lumière. La deuxième attaque était plus difficile à faire passer pour un accident. Il pouvait dire ce qu’il voulait. Qu’il avait perdu la tête, qu’il n’avait pas supporté de ce faire accuser de la sorte et qu’il avait voulu s’enfuir. Mais la fuite est l’attitude d’un coupable. Tout son geste criait sa culpabilité irréaliste. Mais de toute façon ce n’était pas le plus important. Après tout personne n’était au courant. Personne n’était au courant parce qu’on avait préféré l’accuser de sornette plutôt que de l’accabler de quelque chose qu’il avait déjà fait. On avait préféré l’enfermé sans même finir le procès. Il fallait dire qu’il l’avait probablement cherché. Il les haïssait. Tous. Tous les membres du mangenmagot. Et ceux de la gazette du sorcier. Ceux qui avait publié ses âneries sans se soucier de la vérité.

Assis sur le bord de son lit, il se faisait craquer la nuque tenant dans ses mains la gazette du dit jour ou tout s’était effondré. Il passait sa baguette sur l’article écrit sur lui. Sur cette montagne de connerie. Sa baguette s’arrêta sur le nom de l’auteur. Lucy O’Meara Campell ! La garce. Elle ne l’avait jamais aimé. Enfin il ne voyait pas d’autre option. Déjà à Poudlard elle devait avoir une dent contre lui. Ou alors c’était son statut de commère insupportable. Déjà à Poudlard il ne la supportait pas. Maintenant il avait réellement envie de l’assassiner. De la torturer, de voir la peur dans son regard, de sentir ses veines exploser une à une sous l’effet de la douleur. Oh il voulait aussi qu’elle ressente le froid. Le froid qu’il ressentait. En soit ce n’était pas de sa faute. Elle ne faisait pas partie de ses accusateurs, de ceux qui l’avait envoyé à Azkaban. Mais elle avait répandu la nouvelle. Elle avait fait de lui un mangemort aux yeux de tout le monde. Et après sa sortie - tout sauf légale- d’Azkaban et le retour de Voldemort, qu’il soit, ou non aller dans ses rangs il n’aurait pu marcher librement sans qu’on le prenne pour un mangemort. A cause d’elle il était coincé à vie dans cette étiquette. Certes maintenant il était un mangemort et donc ce n’était plus des calomnies. Mais ça l’était toujours pour le meurtre de l’attrapeur. Et ça l’était toujours pour les trois années ou il n’avait pas été mangemort et ou il avait été traité comme tel. Alors oui il s’était promis de la retrouver et de lui en faire baver. Pas pour Poudlard, il s’en était déjà occupé en temps et en heure, mais pour l’article. Et il avait mis le temps. Parce qu’étonnement pour une journaliste bavarde et commère comme elle, elle se faisait plutôt discrète ces derniers temps. Mais on l’avait retrouvé. On l’avait vu. Il disparu.

Il réapparu dans un petit village appelé Beamish Hill, au coeur de royaume de Wales. C’était étrange pour une commère comme lieu d’habitation. C’était calme et froid. Enfin de toute façon tout était froid ces temps si, et la pluie n’arrangeait rien. On lui avait dit que son mari avait été enterré là il y a un peu plus d’un mois et qu’elle s’y trouverait surement. Il avait sourit sous l’information. La vie était peut être juste après tout. Enfin ça ne l’empêcherait pas de prendre sa revanche. Cependant par un soucis obscure de respect il ne pénétra pas dans le cimetière et erra dans les rues proches en attendant qu’elle apparaisse ou qu’elle sorte du cimetière. Tous les sens en alerte, il s'apprêtait à sentir le moindre mouvement dans les parages. Elle sortit enfin et lui sortit de l’ombre brumeuse et duveteuse de pluie pour s’avancer vers elle. Il la vit faire un pas de surprise, et laissa glisser sa baguette au bout de ses doigts. « Amadeus Wheedon. » Il sourit sombre et sadique. « Lucy» Il savait bien son nom de famille, il ne souhaitait pas s’en encombré l’esprit. Elle ne venait pas d’une famille de sang-pur, son nom de méritait donc pas d’être retenu. « Qu’est-ce qui t’amène ici, si loin d’Azkaban ? » Elle le cherchait en plus. Il ricana. Presque le même rire qu’il avait entendu de la bouche de Bellatrix lorsqu’il s’était échappé d’Azkaban et qui l’avait fait trembler d’effroi. «C’est drôle j’étais persuadé que c’était toi qui avait écrit les conneries de l’an dernier sur l’évasion massive d’Azkaban pour aller rejoindre le fameux criminelle Sirius Black!» Elle devait donc le savoir, qu’il n’y était plus depuis longtemps et qu’il se baladait librement, s’amusant à faire ce que bon lui semblait. Enfin ce que bon lui semblait. Ce que bon semblait à Voldemort. «Je suis désolé pour ton mari... Enfin non. J’aurais aimé pouvoir le tuer moi même.» Il était d’une honnêteté froide et immonde. Si autrefois son âme perlait à travers son regard bleu, aujourd’hui tout s’était assombris et il était difficile de distinguer quoique ce soit. «Maintenant je suis ennuyé, je te contenterais si je t’envoie le rejoindre... Et en même temps tes crimes ne peuvent pas rester impunis.» C’était l’hôpital qui se fou de la charité. Lui qui parle de crime. Lui le criminel qui accuse l’autre d’avoir commis des crimes. Le plus sérieusement du monde avec ça. Il faut dire qu’Amadeus avait toujours eu la capacité de se penser innocent face à ses deux actes. C’était aussi étonnant qu’accablant. Et ça démontrait un certain trouble psychologique.
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MessageSujet: Re: (a&l.) it's too late to apologize   (a&l.) it's too late to apologize Icon_minitimeVen 19 Avr - 16:17


it's too late to apologize
amadeus wheedon et lucy o'meara-campell
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Mentir. C’était devenu une chose que Lucy faisait à merveille. Toute sa vie, elle avait été une gamine pleine de curiosité qui ne pouvait pas s’empêcher de se mêler des histoires qui ne la regardait pas. Ça avait était plus fort qu’elle déjà lors de sa scolarité à Poudlard. Elle mettait la main sur une information et sans même chercher à la vérifier, elle racontait sa version des choses à qui voulait bien l’entendre. Elle n’avait était qu’une peste durant ses années d’études à Poudlard. Aux yeux de certains, elle n’était pas que ça, mais sûrement que dans ces plus jeunes années, elle avait un répertoire d’ennemis plus long que celui de ses amis. Elle avait toujours considéré que c’était parce qu’elle était curieuse, menteuse, manipulatrice, qu’elle avait si bien réussi sa carrière à la gazette du sorcier. Elle s’était donné la peine de réussir en se fichant bien des moyens à utiliser pour y arriver. Elle s’était toujours considérée supérieure à la fameuse Rita Skeeter. Ses articles n’étaient que des torchons aux yeux de Lucy. Mais quand on comparait bien, les siens ne valaient pas mieux et pourtant, il lui avait fallu des années pour s’en rendre compte. Aujourd’hui, elle le savait, sa vie n’avait été qu’un long mensonge. Elle n’était qu’une garce égoïste qui n’avait pensé qu’à sa carrière au détriment d’autrui. Elle ne s’en était pas souciée, trop repliée sur sa petite personne, trop satisfaite d’elle-même, trop ambitieuse pour lâcher l’affaire. Il était évident qu’aujourd’hui, il était bien trop tard pour chercher à réparer ses erreurs. S’excuser auprès de ceux qu’elle avait trahis au cours de sa carrière, ça ne servait plus à rien. De toute façon, elle était incapable de ressentir la moindre culpabilité. Ce qui était fait, était fait. Tel était la philosophie qui rythmait sa vie. Elle ne pourrait pas se racheter auprès des vies qu’elle avait publiquement démolies dans un article, tout comme, rien ni personne ne serait jamais capable de lui rendre son mari. C’était peut-être l’ordre naturel des choses. Elle avait semé des peines dans bien des vies sans s’en préoccupait et maintenant, c’était elle qui souffrait. Elle n’avait jamais cru en un équilibre des forces, ni même à la roue qui devait tourner à un moment ou a un autres. Le destin, le hasard, n’étaient à ses yeux que des belles conneries auxquelles elle n’avait jamais prêté attention. Ce n’était ni le hasard ni le destin qui lui avait permis d’écrire ses nombreux articles pleins de mensonges, ce n’était ni le destin, ni le hasard qui lui avait pris son mari. C’était un mangemort et elle le retrouverait. La vengeance était une erreur, on lui avait bien souvent répété cette phrase qui n’était malheureusement pas restée gravée dans son cerveau. Elle n’avait que faire des erreurs à présent. Elle en avait commis déjà plus de mille au cours de sa vie, une de plus ou une de moins, elle n’était plus à ça prêt. Si venger son mari devait la conduire à sa perte, elle était prête à l’accepter. De toute façon, elle était morte en même temps que lui. Elle n’était plus rien d’autre qu’une femme au bord du gouffre, pleine de haine et de rancœur. Elle n’était plus qu’une ombre, un fantôme qui errait dans le monde emplie d’une soif de vengeance. Elle se rendait compte que c’était en les perdants qu’on se rendait compte de la valeur des choses. Elle regrettait tellement de choses à présent qu’elle devait bien l’admettre, la vie ne valait plus vraiment la peine d’être vécue. Elle était à présent dotée d’un pessimisme à toute épreuve. Il n’y avait plus que la vengeance qui comptait, le reste était inutile. C’était la guerre de toute façon et elle avait bien peur que cette dernière ne s’arrête jamais. Finalement, elle se contrefichait même su sort du monde. Elle n’avait foi en l’ordre du phénix, elle ne combattait pas sous sa bannière par conviction. Juste pour elle. Parce que malgré tout les malheurs qui étaient arrivés dans sa vie récemment, elle restait, une garce égoïste.

Cette personne qui avait causé la chute de bien des gens. Amadeus Wheedon n’en faisait qu’à moitié parti. Il s’était perdu lui-même en assassinant un membre de la cour de justice. Il n’aurait jamais du se retrouver face au Magenmagot. Il était innocent. Elle le savait, du moins, elle l’avait su avant de laisser cet aspect des choses complètement de côté pour simplement écrire ce que les gens voulaient savoir. Ça aurait pu être différent s’il n’avait pas décidé d’assassiner cet homme. Elle aurait pu écrire les choses différemment. Le pauvre accusé à tord et envoyé à Azkaban. Un bel article qui aurait fait pleuré les ménagères et qui aurait facilement pu avoir sa dose de succès. Mais il avait tué cet homme, alors si elle avait prétendu qu’il était innocent au moins pour l’un de ses crimes, ça n’aurait pas eu le moindre intérêt. Il avait tué un homme. Il n’était plus qu’un assassin, les gens se fichaient qu’à l’origine il n’ait été qu’un pauvre homme accusé à tord. Son patron à elle s’en fichait, le ministère s’en fichait. Elle était alors entrée dans le moule, elle avait écrit ce que les gens voulaient lire et encore une fois, elle avait reçu quelques félicitations pour son travail. C’était tout ce qu’elle voulait elle. S’attirer la rancœur d’un homme, elle s’en fichait. De toute façon, depuis sa cellule à Azkaban il ne pouvait pas grand-chose contre elle. Maintenant, les choses étaient différentes, mais elle n’avait même pas fait attention à son nom dans la liste des récents évadés. Il n’était qu’un nom sur la longue liste des gens sur lesquels elle avait écrit un ramassis de connerie. Un nom qu’elle pensait avoir oublier depuis bien longtemps, parce qu’elle était passé à autre chose, parce que l’eau avait coulé sous les ponts depuis cette affaire, parce qu’elle n’avait fais véritablement attention aux gens qu’elle avait brisé à travers ses articles. Elle avait passé une très grande partie de sa vie à la Gazette et jamais elle n’avait eu le moindre remords en repensant aux mots qu’elle avait laissé glisser sur son papier.

Il était pourtant là, devant elle et malgré toute la négligence dont elle avait fait preuve ces dernières années, elle le reconnu en un rien de temps. Son nom lui était revenu bien rapidement en mémoire, peut-être parce qu’elle l’avait également connu à Poudlard, ou seulement parce que l’information avait été là, dans un coin de sa mémoire, prête à ressortir au premier stimulus. Les mains toujours au fond des poches de son épais manteau, elle serrait avec force le manche de sa baguette. Il était un mangemort, elle faisait parti de l’ordre et il lui en voulait sans doute pour ce qu’elle avait écrit sur lui. Il fallait qu’elle se tienne prête à se défendre. Il n’était pas inconnu au meurtre de toute évidence. Elle savait qu’il n’hésiterait certainement pas à la tuer. Elle ne s’accrochait pas tout particulièrement à son existence, mais, elle ne laisserait pas quelqu’un se débarrasser d’elle aussi facilement qu’il s’était débarrasser de ce membre du magenmagot. Si elle devait mourir, elle espérait que ce serait quand même en emmerdant bien le monde. C’était dans la logique des choses après tout, puisque c’était ce qu’elle s’était acharnée à faire de son vivant et, il fallait l’admettre, elle était plutôt douée dans ce domaine là, bien que ce ne soit pas nécessairement quelque chose dont une personne saine d’esprit chercherait à se vanter.
« Lucy » Au moins, il se souvenait de son prénom. Elle ne broncha pas, ne bougeant même pas un cil. Se contentant d’écouté ce qu’il avait à dire. L’expression de son visage montrant cependant son désintéressement total à ce qu’il était en train de dire. « C’est drôle j’étais persuadé que c’était toi qui avait écrit les conneries de l’an dernier sur l’évasion massive d’Azkaban pour aller rejoindre le fameux criminelle Sirius Black ! » Elle s’en fichait comme elle se fichait d’à peu près tout en ce moment. C’était là, la tragique conséquence du deuil. La vie était fade et sans intérêt désormais. Assez surprenant de la part de cette fille, trop curieuse qui s’était toujours mêlée de tout, même des choses qui ne la concernaient absolument pas. Surtout des choses qui ne la concernaient absolument pas. Elle haussa cependant les épaules avec nonchalance avant de lui répondre.
« Il n’y a pas que moi qui écrivait de belles conneries au sein de la Gazette du Sorcier. Je faisais partie des meilleurs, mais je n’étais pas la seule. » Elle avait au moins la décence d’admettre l’évidence. Elle était vraiment douée dans l’art de mentir sur le dos des gens. Ce n’était pas une chose dont elle pouvait être fière et pourtant, ça ne semblait pas la déranger plus que ça. Ça ne l’avait jamais dérangée, ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer. « Je suis désolé pour ton mari... Enfin non. J’aurais aimé pouvoir le tuer moi même. » Elle laissa échapper un ricanement ironique. « Dommage pour toi, tu arrives trop tard. » Elle faisait preuve d’une indifférence qui aurait presque pu laisser croire qu’elle n’en avait pas grand-chose à faire de son mari. C’était faux. Sa mort avait réduit sa vie en cendres. Simplement, elle n’allait pas se mettre à pleurer ou à fulminer de colère devant des répliques qui selon elle n’en valait pas la peine. Il n’avait pas tué son mari, ainsi, il ne valait pas la peine qu’elle s’intéresse tout particulièrement à lui et a ses attaques qu’elle jugeait dénuées de sens.
« Maintenant je suis ennuyé, je te contenterais si je t’envoie le rejoindre... Et en même temps tes crimes ne peuvent pas rester impunis. » Elle laissa échapper un léger soupire amusé avant de arqué légèrement un sourcil, l’amusement bien qu’ironique, lisible sur son visage. « Dixit celui qui a commis au moins un des deux crimes dont il a été accusé. » Un léger sourire, presque satisfait, étira le coin de ses lèvres. « Je n’ai jamais tué personne et mentir n’est pas encore considéré comme un crime majeur, malgré le gouvernement plus que bancal. » Au contraire. Mentir, c’était la spécialité de ce nouveau gouvernement Lucy le savait très bien puisqu’elle n’avait pas quitté la Gazette à la chute du ministère. Elle avait menti pour les mangemorts comme elle l’avait fait avec leurs prédécesseurs. Encore une fois, sans le moindre scrupule.
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MessageSujet: Re: (a&l.) it's too late to apologize   (a&l.) it's too late to apologize Icon_minitimeDim 21 Avr - 10:34


it's too late to apologize
amadeus wheedon et lucy o'meara-campell
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C'était si difficile à comprendre que ça qu'il puisse vouloir vengeance pour des mots qui l'avait blessé ? Ou alors il était réellement un esprit troublé, déchiré, assassiné par la noirceur qui était rentré en lui au fur et à mesure. Parce que contrairement à ce qu'on peut penser, on ne nait pas ramoneur. Enfin noir en sommes. Ah moins d'être africain, mais c'est une autre histoire. On a jamais vu d'enfant naître avec leur noir comme de la suit. Il y a peut être quelques prédispositions, sinon on en serait peut être pas là aujourd'hui. Mais la noirceur c'est surtout une suite de bonne et de mauvaise situation. Souvent plutôt de mauvaise. Amadeus avait souvent juger le mensonge comme un crime, aussi déshonorant, qu'impitoyable en conséquence. Est-ce que Lucy c'était-elle renseigner sur l'effet qu'avait pu avoir certain de ses articles ? Ou même, sur l'effet qu'elle faisait à Poudlard. Il n'avait jamais aimé la jeune femme. Elle était brillante, mais l'utilisait mal, et n'en faisait qu'à sa tête. Elle avait beau ne pas vouloir, comme Lord Voldemort et ses compatriotes nettoyer ce monde des sangs purs il trouvait que son coeur n'était pas plus blanc que le sien, et que si la haut, il y a avait un gigolo à barbe blanche qui regardait tout et qui décidait de qui méritait d'être sauver ou non, et bien ni lui, ni elle n'avait leur place. Mais bon la religion était une connerie Moldu que lui avait appris Béatrice sans probablement trop y croire elle même. Le mensonge était souvent ce qui poussait dans les situations les plus désespéré. Si en premier lieu on ne l'avait jamais accusé, à tord, il n'aurait probablement jamais réagit de la sorte. Certes c'était un peu exagérer comme réaction. Mais il ne fallait pas revenir là dessus. C'était odieux comme souvenir. Ou peut être que si. Peut être que justement il fallait exactement revenir là dessus. Après tout pourquoi était-il venu après toute ses années retrouver Lucy, si ce n'était pas pour nettoyer son nom ? Si ce n'était pas pour revivre cette affreuse journée qui avait été infini.

-1994-

La journée avait commencé normalement, comme commence toute journée ou l'on a un gros match de quidditch à la clé. Surtout que pour une fois Amadeus jouait en équipe national. C'était exceptionnel, il avait été appelé pour remplacer le batteur qui avait eu un accident, mais s'il les faisait gagné, nul doute qu'il serait le prochain sur la liste dès que le poste se libérait, ce qui devait être bientôt. C'était quelque chose d'important. Les Canons de Chudley c'était bien, mais l'équipe national, c'était encore tout autre chose. Un brun stressé il n'avait pas été capable d'avaler quoique ce soit de la journée. Passant la journée avec Sutton, et sa cousine, Bérénice, poursuiveuse chez les Harpie de Holyhead pour s'entrainer, encore et toujours pour être le plus parfait pour le match. Jusque là, rien de nouveau sous le soleil, une journée normal d'un joueur de quidditch normal, un brun stresser peut être, mais normal. Au début du match il avait enfourché son balais, normal, et s'était envolé. Le match c'était déroulé presque normalement. Si Cinead, son coéquipier batteur n'avait pas été complètement bourré et incapable de renvoyer un cognard correctement. Cinead avait beau être son capitaine chez les Canons, à ce moment là il avait eu envie de lui envoyer un cognard en pleine tête, qu'au moins il est une bonne raison de ne plus pouvoir jouer. La fin du match approchait, ce n'était pas bien brillant, mais ils s'en sortait pas trop mal, s'ils attrapaient le vif d'or il y avait encore une chance. Pourtant lorsqu'Amadeus leva les yeux vers l'attrapeur adverse il vit le vif d'or briller à quelques mètres de la main tendu de l'attrapeur. Il n'eut pas le temps de chercher l'attrapeur de son équipe du regard qu'il vit un cognard passer et qu'il fonça dessus, l'envoyant de toute ses forces dans la direction de l'attrapeur. Le cognard décolla rapidement et frappa de plein fouet l'attrapeur en pleine tête qui chuta de balais et s'effondra des dizaines de mètre plus bas. Mort. Le silence c'était fait dans le stade. Amadeus était resté perché sur son balais, incapable de vraiment réagir. Il avait finit par redescendre, venir vérifié si c'était vraiment vrai, si le cognard avait aussi mal frappé que ça en avait l'air. Il savait c'était un accident. Il avait seulement voulu éviter qu'il attrape le vif d'or. Au moment ou il toucha le sol, le ministère de la magie arriva et s'empressa de l'arrêter. Il ne comprit pas, et s'attendit à ce que ces coéquipiers du jour le défende. Les accidents arrivent aux Quidditch. Ils étaient désolés, mais l'arrêté. Subitement le mot mangemort fut sur les lèvres de tout le monde et Amadeus palis à vue d'oeil comprenant encore moins ce qu'il se passait. Tout c'était accéléré il s'était retrouvé à moitié enchaîné, privé de baguette, mais pas tout à fait dans une cage, au milieu du mangenmagot qui l'accusait de toute part. Il entendait des sornettes, des histoires d'Imperium, de cognard ensorcelé. Il ne comprenait pas. Il n'avait finit par entendre qu'un brouhaha d'accusation. Par entendre son avocat ne réussir à rien quand bien même sa défense devait être ultra efficace et même imparable puisqu'il était innocent. Il s'était sentit bouillir, la sueur avait perlé sur son front, partout. Il avait entendu Azkaban, des éclairs de terreur était passé devant ses yeux. Il avait vingt quatre ans. Il ne pouvait pas finir comme ça. Pas pour ça. Il voyait flou, tremblait, son regard essayait de s'échapper de la salle quand il s'arrêta sur une baguette. Sans trop savoir ce qu'il faisait sa main saisit la baguette, et voulu lancer un sort contre les chaines qui le retenait prisonnier. Une seconde plus tard tout le monde hurlait et le menaçait de sa baguette, l'homme dont il avait volé la baguette était froid et mort derrière lui, et lui horrifié parce qu'il venait de faire, comprenant subitement que maintenant il n'avait plus aucune chance de s'en sortir.

-Retour présent-

« Il n’y a pas que moi qui écrivait de belles conneries au sein de la Gazette du Sorcier. Je faisais partie des meilleurs, mais je n’étais pas la seule. » Rappelé à l'ordre par la voie serpentine de la journaliste, Amadeus sortit sonné de ses souvenirs torturés. C'était tout de même trop con. Bien sûr maintenant c'était trop tard, il était un meurtrier, un vrai, il avait tué en pleine connaissance de cause, de sang froid, mais c'était de leur faute. La faute du mangenmagot, la faute de Lucy. « Tous des pourris » pensa-t-il sans se rendre compte qu'il avait parlé à voix haute. Enfin voix haute. D'un coté c'était exactement ce qu'il pensait. Il détestait les journalistes, et les juristes. Enfin ces temps si il détestait beaucoup de monde. « Dommage pour toi, tu arrives trop tard. » Il fallait lui concéder quelque chose, elle avait une certaine classe. Ne pas broncher lorsqu'il la provoquait délibérément au sujet de son mari était preuve de force, ou de folie. Probablement un peu des deux. Mais aujourd'hui, qui n'était pas fou ? Qui n'était pas fort ? Les morts. Les trouillards et les fuyards. « Dixit celui qui a commis au moins un des deux crimes dont il a été accusé. » Ca l'amusait la garce. Et elle savait donc bien toute la vérité. Le contraire l'aurait étonné. Lucy était une fouineuse de première. A Poudlard elle savait tout avant tout le monde. Pour peut elle aurait su qu'il était amoureux de Béatrice avant que lui même ne soit au courant. Mais bien sûr elle avait écrit ce qu'on lui avait dit d'écrire à savoir qu'il avait assassiner de sans froid un attrapeur né-moldu en plein match. Parce qu'en plus d'être mangemort il était con. Le meutre au mangenmagot ayant été largement passé sous silence. « Si je te dis que c'était un accident aussi tu me croiras pas je supposes? » Non parce que c'était plus ou moins le cas. Il n'avait pas agiter sa baguette dans l'optique de tuer le pauvre homme. Mais bon au final, il l'avait bien tuer donc bon... « Je n’ai jamais tué personne et mentir n’est pas encore considéré comme un crime majeur, malgré le gouvernement plus que bancal. » Il était clair que de nos jours le gouvernement ne valait plus grand chose. C'était assez affolant. Mais là tout de suite il s'en fichait. « Et moi je ne suis lus à un près... Et puisque la justice ne comprend rien à rien je peux bien m'en occuper... » En ce moment il ne s'agissait que de ça, rendre justice. Le nombre de gens qui cherchait à se venger de la perte des êtres chers. « Tu ne voudrais pas un peu de justice pour le meurtrier de ton mari ? » Il n'avait pas besoin de poser la question pour savoir la réponse. « Ah moins que tu veuilles faire plus et le faire vraiment souffrir... » s'abaisserait-elle a la torture par désir de vengeance ? Il s'était rapprocher d'elle, tournant autours d'elle tout en faisant glisser sa baguette contre elle. « Je pourrais te montrer » Enchaînant immédiatement avec un sortilège Doloris qu'il maintint à peine une seconde, il laissa échappé un sourire mauvais qui marquait entre autre le dégoût qu'il avait pour lui même. Il détestait ce sort. Ca ne l'amusait même pas. Quoique... Il en avait eu envie. Pendant tellement longtemps... Elle le méritait, non ?
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