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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 17:34 | |
| - Citation :
- andy whitfield
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 17:39 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:10 | |
| - Citation :
Lorsque je ferme les paupières pour reprendre mon calme, je parviens très nettement à voir le visage d’Hester se dessiner au milieu de l’obscurité de mes yeux clos. Ses traits sont toujours aussi déformés par le chagrin que la dernière fois que je l’ai vue, à peine quelques jours auparavant. Mon cœur se sert alors que je me remémore son air fatigué et son visage bouleversé. Mais alors que je plisse un peu plus mes yeux fermés, la voix de mon paternel commence de nouveau à me parvenir, comme d’un autre monde, plus lointain. Je ne cherche pas à l’écouter plus longtemps, me contentant de rouler des yeux dès que j’ai ouvert de nouveau les paupières. Il ne semble pas comprendre mon comportement, restant face à moi, l’air totalement ébahi. Mais je ne compte pas attendre qu’il ait repris ses esprits pour partir, n’étant pas encore suicidaire pour deux sous. |
| | | Moses FlemingADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : MARY-W.
≡ hiboux envoyés : 7583
≡ date d'arrivée : 05/04/2012
≡ tes points : 90 points.
≡ ta disponibilité rp : xx pris.
≡ ton avatar : mads mikkelsen.
≡ tes crédits : @odistole (avatar), tumblr (gifs).
≡ âge du perso : quarante ans.
≡ amoureusement : immunisé.
≡ son emploi : professeur de sortilèges à poudlard.
≡ statut de sang : sorcier de sang-pur, noble jusqu'au bout des doigts, qui tient à la dignité de sa famille.
≡ sa maison : ancien gryffondor, un choix qu'il n'a jamais particulièrement compris ni accepté, tous les siens finissant normalement chez les serpentards.
≡ sa baguette : bois d'ébène, spécialisation en maléfices, longueur de trente-deux centimètres avec pour centre un ventricule de coeur de dragon.
| Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:17 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:18 | |
| - Citation :
- ◖ kaya scodelario — pansy m. parkinson
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:18 | |
| - Citation :
Lorsque je ferme les paupières pour reprendre mon calme, je parviens très nettement à voir le visage d’Hester se dessiner au milieu de l’obscurité de mes yeux clos. Ses traits sont toujours aussi déformés par le chagrin que la dernière fois que je l’ai vue, à peine quelques jours auparavant. Mon cœur se sert alors que je me remémore son air fatigué et son visage bouleversé. Mais alors que je plisse un peu plus mes yeux fermés, la voix de mon paternel commence de nouveau à me parvenir, comme d’un autre monde, plus lointain. Je ne cherche pas à l’écouter plus longtemps, me contentant de rouler des yeux dès que j’ai ouvert de nouveau les paupières. Il ne semble pas comprendre mon comportement, restant face à moi, l’air totalement ébahi. Mais je ne compte pas attendre qu’il ait repris ses esprits pour partir, n’étant pas encore suicidaire pour deux sous. |
| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:23 | |
| - Citation :
- ◖ kaya scodelario — pansy m. parkinson
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:28 | |
| - Citation :
Lorsque je ferme les paupières pour reprendre mon calme, je parviens très nettement à voir le visage d’Hester se dessiner au milieu de l’obscurité de mes yeux clos. Ses traits sont toujours aussi déformés par le chagrin que la dernière fois que je l’ai vue, à peine quelques jours auparavant. Mon cœur se sert alors que je me remémore son air fatigué et son visage bouleversé. Mais alors que je plisse un peu plus mes yeux fermés, la voix de mon paternel commence de nouveau à me parvenir, comme d’un autre monde, plus lointain. Je ne cherche pas à l’écouter plus longtemps, me contentant de rouler des yeux dès que j’ai ouvert de nouveau les paupières. Il ne semble pas comprendre mon comportement, restant face à moi, l’air totalement ébahi. Mais je ne compte pas attendre qu’il ait repris ses esprits pour partir, n’étant pas encore suicidaire pour deux sous. |
| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 19:37 | |
| - Citation :
- Pansy M. Parkinson
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 20:30 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 21:03 | |
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| | | Moses FlemingADMIN ❖ we are the champions≡ ton pseudo : MARY-W.
≡ hiboux envoyés : 7583
≡ date d'arrivée : 05/04/2012
≡ tes points : 90 points.
≡ ta disponibilité rp : xx pris.
≡ ton avatar : mads mikkelsen.
≡ tes crédits : @odistole (avatar), tumblr (gifs).
≡ âge du perso : quarante ans.
≡ amoureusement : immunisé.
≡ son emploi : professeur de sortilèges à poudlard.
≡ statut de sang : sorcier de sang-pur, noble jusqu'au bout des doigts, qui tient à la dignité de sa famille.
≡ sa maison : ancien gryffondor, un choix qu'il n'a jamais particulièrement compris ni accepté, tous les siens finissant normalement chez les serpentards.
≡ sa baguette : bois d'ébène, spécialisation en maléfices, longueur de trente-deux centimètres avec pour centre un ventricule de coeur de dragon.
| Sujet: Re: → le ctrl+v. Sam 23 Mar - 23:09 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 2:05 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 10:37 | |
| - Citation :
Lorsque je ferme les paupières pour reprendre mon calme, je parviens très nettement à voir le visage d’Hester se dessiner au milieu de l’obscurité de mes yeux clos. Ses traits sont toujours aussi déformés par le chagrin que la dernière fois que je l’ai vue, à peine quelques jours auparavant. Mon cœur se sert alors que je me remémore son air fatigué et son visage bouleversé. Mais alors que je plisse un peu plus mes yeux fermés, la voix de mon paternel commence de nouveau à me parvenir, comme d’un autre monde, plus lointain. Je ne cherche pas à l’écouter plus longtemps, me contentant de rouler des yeux dès que j’ai ouvert de nouveau les paupières. Il ne semble pas comprendre mon comportement, restant face à moi, l’air totalement ébahi. Mais je ne compte pas attendre qu’il ait repris ses esprits pour partir, n’étant pas encore suicidaire pour deux sous. Aussi je m’empresse de fuir face à l’air béat de mon père, tournant les talons pour traverser la maison à pas rapides, afin de rejoindre la porte d’entrée. En quittant ces lieux, ce n’est pas seulement mon paternel que je fuis, mais aussi l’ensemble de la famille Panderman, réunie dans le manoir de mes parents – je ne peux toujours pas considérer cette maison comme étant la mienne – afin de passer les fêtes de fins d’années. Ce prétexte pour fuir les lieux, m’arrange donc bien plus qu’autre chose. Me saisissant de la poignée, je m’empresse d’ouvrir le battant de bois afin de quitter le manoir, le claquant derrière moi, marquant ainsi un départ pour le moins fracassant. Aussitôt, je remarque que la brise souffle avec vigueur à l’extérieur, ébouriffant mes cheveux et affolant mes mèches qui se mettent à voler en tout sens. Le ciel s'est rapidement assombri durant la journée et menace à présent de laisser déverser une quantité monstrueuse d'eau. C'est ce que laissent entendre les énormes nuages noirs glissant doucement au dessus du manoir de mon père, tentant certainement de m'intimider par leur simple présence. Mais c'est une technique d'intimidation qui ne m'atteint pas. Pas vraiment du moins. Je suis bien trop occupé à maudire mon paternel pour sa façon de continuellement me remonter les bretelles, alors que je ne suis déjà pas dans mon assiette. Comme-ci cela ne lui suffisait pas de m’avoir déjà brisé une fois, voilà qu’il s’acharne maintenant sur ma personne. C'est la seule conclusion à laquelle je peux parvenir alors que je m'applique à faire les cent pas devant le perron du manoir de mon père, tandis que le gravier crisse sous mes pas, bien que je n'y fasse pas réellement attention. Je préfère débattre inutilement contre mon ego en ce qu'il s'agit de la représentation que je peux ou non me faire de mon paternel, plutôt que de me concentrer sur ce sujet – concernant les parents d’Hester – qui m’oppresse depuis que j’ai quitté la blonde, et me donne l'impression de serrer mon cœur dans un étau. Le pauvre organe se trouve d'ailleurs bien malmené, puisqu'il se trouve être tiraillé dans tous les sens. Depuis quelques semaines déjà, les sentiments et la raison, se le disputent avec ardeur, tentant sans cesse de l'amener un peu plus à eux. Comme le feraient deux personnes étreignant un épais cordage pour jouer au tir à la corde. Après tout, s’il m’en était donné l’occasion, je passerai le restant de mes jours avec la jeune femme, sans jamais me soucier de ce qu’en penserais les miens. Mais le peu de temps que j’ai passé à l’intérieur, avec le reste de la famille Panderman, me rappelle avec vigueur le nombre de mangemorts qui composent les miens. Tout autant de personnes qui seraient déçus par mes desseins amoureux, s’en donneraient à cœur joie pour malmener la pauvre. C’est pourquoi je me suis interdis de la voir trop souvent et depuis, les images des lèvres de la descendante Steadworthy se posant sur les miennes ainsi que les sensations que cela engendre, ne cessent de hanter mon esprit ; ce sont des choses dont je ne peux pourtant pas profiter pour le moment, à mon plus grand désarroi.
Après avoir poussé un profond soupir, je me décide enfin à dévaler les quelques marches me séparant de la sortie et donc de la longue allant menant à la grille marquant l’entrée du lieu, alors que quelques gouttes se mettent à tomber du ciel, s'écrasant contre mon front et venant s'entremêler avec mes cheveux. Peu m’importe à vrai dire, je ne tente pas réellement de fuir le mauvais temps à vrai dire, mais plutôt ceux qui l’amènent. Je ne considère pas le reste de ma famille comme étant du même sang que moi, préférant de toute évidence les fuir que de continuer à les côtoyer. Pour eux, je ne suis rien d’autre qu’un raté, un traître et un abruti qui déshonore la longue lignée Panderman. Ils me haïssent depuis toujours – ou depuis mes onze ans tout du moins, seulement ne peuvent-ils pas prétendre m’avoir apprécié auparavant alors qu’ils m’ont si rapidement tourné le dos. |
| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:02 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:08 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:09 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:31 | |
| - Citation :
Lorsque je ferme les paupières pour reprendre mon calme, je parviens très nettement à voir le visage d’Hester se dessiner au milieu de l’obscurité de mes yeux clos. Ses traits sont toujours aussi déformés par le chagrin que la dernière fois que je l’ai vue, à peine quelques jours auparavant. Mon cœur se sert alors que je me remémore son air fatigué et son visage bouleversé. Mais alors que je plisse un peu plus mes yeux fermés, la voix de mon paternel commence de nouveau à me parvenir, comme d’un autre monde, plus lointain. Je ne cherche pas à l’écouter plus longtemps, me contentant de rouler des yeux dès que j’ai ouvert de nouveau les paupières. Il ne semble pas comprendre mon comportement, restant face à moi, l’air totalement ébahi. Mais je ne compte pas attendre qu’il ait repris ses esprits pour partir, n’étant pas encore suicidaire pour deux sous. Aussi je m’empresse de fuir face à l’air béat de mon père, tournant les talons pour traverser la maison à pas rapides, afin de rejoindre la porte d’entrée. En quittant ces lieux, ce n’est pas seulement mon paternel que je fuis, mais aussi l’ensemble de la famille Panderman, réunie dans le manoir de mes parents – je ne peux toujours pas considérer cette maison comme étant la mienne – afin de passer les fêtes de fins d’années. Ce prétexte pour fuir les lieux, m’arrange donc bien plus qu’autre chose. Me saisissant de la poignée, je m’empresse d’ouvrir le battant de bois afin de quitter le manoir, le claquant derrière moi, marquant ainsi un départ pour le moins fracassant. Aussitôt, je remarque que la brise souffle avec vigueur à l’extérieur, ébouriffant mes cheveux et affolant mes mèches qui se mettent à voler en tout sens. Le ciel s'est rapidement assombri durant la journée et menace à présent de laisser déverser une quantité monstrueuse d'eau. C'est ce que laissent entendre les énormes nuages noirs glissant doucement au dessus du manoir de mon père, tentant certainement de m'intimider par leur simple présence. Mais c'est une technique d'intimidation qui ne m'atteint pas. Pas vraiment du moins. Je suis bien trop occupé à maudire mon paternel pour sa façon de continuellement me remonter les bretelles, alors que je ne suis déjà pas dans mon assiette. Comme-ci cela ne lui suffisait pas de m’avoir déjà brisé une fois, voilà qu’il s’acharne maintenant sur ma personne. C'est la seule conclusion à laquelle je peux parvenir alors que je m'applique à faire les cent pas devant le perron du manoir de mon père, tandis que le gravier crisse sous mes pas, bien que je n'y fasse pas réellement attention. Je préfère débattre inutilement contre mon ego en ce qu'il s'agit de la représentation que je peux ou non me faire de mon paternel, plutôt que de me concentrer sur ce sujet – concernant les parents d’Hester – qui m’oppresse depuis que j’ai quitté la blonde, et me donne l'impression de serrer mon cœur dans un étau. Le pauvre organe se trouve d'ailleurs bien malmené, puisqu'il se trouve être tiraillé dans tous les sens. Depuis quelques semaines déjà, les sentiments et la raison, se le disputent avec ardeur, tentant sans cesse de l'amener un peu plus à eux. Comme le feraient deux personnes étreignant un épais cordage pour jouer au tir à la corde. Après tout, s’il m’en était donné l’occasion, je passerai le restant de mes jours avec la jeune femme, sans jamais me soucier de ce qu’en penserais les miens. Mais le peu de temps que j’ai passé à l’intérieur, avec le reste de la famille Panderman, me rappelle avec vigueur le nombre de mangemorts qui composent les miens. Tout autant de personnes qui seraient déçus par mes desseins amoureux, s’en donneraient à cœur joie pour malmener la pauvre. C’est pourquoi je me suis interdis de la voir trop souvent et depuis, les images des lèvres de la descendante Steadworthy se posant sur les miennes ainsi que les sensations que cela engendre, ne cessent de hanter mon esprit ; ce sont des choses dont je ne peux pourtant pas profiter pour le moment, à mon plus grand désarroi.
Après avoir poussé un profond soupir, je me décide enfin à dévaler les quelques marches me séparant de la sortie et donc de la longue allant menant à la grille marquant l’entrée du lieu, alors que quelques gouttes se mettent à tomber du ciel, s'écrasant contre mon front et venant s'entremêler avec mes cheveux. Peu m’importe à vrai dire, je ne tente pas réellement de fuir le mauvais temps à vrai dire, mais plutôt ceux qui l’amènent. Je ne considère pas le reste de ma famille comme étant du même sang que moi, préférant de toute évidence les fuir que de continuer à les côtoyer. Pour eux, je ne suis rien d’autre qu’un raté, un traître et un abruti qui déshonore la longue lignée Panderman. Ils me haïssent depuis toujours – ou depuis mes onze ans tout du moins, seulement ne peuvent-ils pas prétendre m’avoir apprécié auparavant alors qu’ils m’ont si rapidement tourné le dos. Aussi je leur rends bien la pareille, quoi que j’imagine que la haine que j’ai à leur égard, ne les atteint même pas. Après tout, qu’est-ce qu’un Panderman ayant fini à gryffondor contre le reste de sa famille, tous serpentards. Je pince un peu plus les lèvres, alors que je baisse la tête, avançant toujours un peu plus vite. C’est alors qu’entre la pointe de souliers dans mon champ de vision et que je redresse subitement la tête, m’arrêtant juste à temps avant de foncer dans quelqu’un. Pas n’importe qui à vrai dire. Il ne me faut pas plus de quelques secondes pour reconnaître Olympe, un mangemort de plus dans la famille. Elle est comme les autres évidemment et ne m’apprécie donc guère. Je recule précipitamment, évitant ainsi – je l’espère – de m’attirer ses foudres, mais ne prend tout de même pas la peine de dévier mon regard. Aussi je reste ainsi, les bras ballant des deux côtés de mon buste, les prunelles fixées dans les siennes. « La porte est ouverte. » je finis par grommeler en désignant l’autre côté de l’allée où le battant de bois marquant l’entrée de ma maison, est encore perceptible malgré la distance qui nous en sépare. Aussi, faisant un pas de côté, je m’empresse de m’écarter afin de laisser la place à ma chère cousine de passer, espérant qu’elle ne me retiendra pas. Décidément, je déteste les gens de ma famille. Tous ces Panderman, partout, je ne peux décemment pas les voir.
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:37 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 11:38 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 13:00 | |
| - Citation :
- Opélia S. Korolenko
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 13:01 | |
| - Citation :
- « Bien. Et que dirais-tu, si je t'apprenais à y résister ? A défaut de savoir le lancer, tu pourras prévenir toute attaque contre ton esprit et tu auras la possibilité de rester maître de toi-même. »
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 13:02 | |
| - Citation :
- Opélia S. Korolenko
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 13:06 | |
| - Citation :
- « Bien. Et que dirais-tu, si je t'apprenais à y résister ? A défaut de savoir le lancer, tu pourras prévenir toute attaque contre ton esprit et tu auras la possibilité de rester maître de toi-même. »
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. Dim 24 Mar - 13:25 | |
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| | | | Sujet: Re: → le ctrl+v. | |
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