Sujet: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:19
margaery idrislethbridge
My thoughts are stars I cannot fathom into constellations.x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
ft. gemma arterton ◊ ministry of magic ✲ NOM : lethbridge, son nom d'épouse. si elle a longtemps assurée vouloir garder son nom de jeune fille, oswald-appleby, maggie lui a cependant préféré le nom de son époux quand ses relations avec sa fameuse famille se sont dégradés. ✲ PRÉNOM(S) : margaery "maggie" idris melody rose, premiers d'une longue liste qu'elle ne s'est pas donné la peine d'apprendre par cœur. elle utilise principalement ces derniers lorsqu'elle choisit de ne pas révéler son vrai patronyme. ✲ ÂGE : âgée de vingt-huit ans, elle vous assurera pourtant qu'elle n'en a que vingt-cinq si vous lui posez la question. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : second janvier 1972 à peakeshire, angleterre. ✲ EMPLOI :secrétaire au ministère de la magie, elle occupe cependant plus ce poste pour s'occuper et se tenir au courant des dernières rumeurs que par nécessité. ✲ STATUT DU SANG : sang pur, héritière de l'union des illustres familles oswald et appleby. ✲ ANCIENNE MAISON : . ✲ SITUATION AMOUREUSE : marié bien trop jeune, elle porte un grand amour à son mari même si elle n'hésite pas à aller voir ailleurs
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C'est une baguette bien spéciale que celle de Margaery, sculptée avec soin du bois d'un ébène, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : fierté, instabilité et ténacité sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilège. Le cœur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phénix qui lui donne toute sa puissance.
L'avis de ton personnage sur VoldemortJe suis le fruit de l'union entre deux famille qui considère Voldemort comme leur sauveur, plus fanatiques l'une que l'autre. Aussi, mes deux parents ont toujours mis un point d'honneur a me convertir ; j'ai vité été obligée d'adorer ce Seigneur des Ténèbres, et en parlant de lui de façon négative , je récoltais bien souvent une punition. Pourtant, malgré tout cet endoctrinement de la part de mes géniteurs, je n'ai jamais réussi à l'admirer comme eux le faisait. Je ne le déteste pas, mais je n'arrive pas à donner un sens à la cause qu'il défend. Un sorcier est un sorcier, qu'il soit né de deux parents sorciers ou de deux moldus. Tant qu'il a des pouvoirs, c'est l'un des notre. J'ai commencé à penser de la sorte vers la fin de l’adolescence, mais j'ai toujours été élevé dans le dégout des sang-de-bourbe ; même si je n'adhère pas aux idée du sauveur de mes parents, je ne peux m'empêcher pourtant de me tenir à l'écart des né-moldu, comme si un vieux traumatisme me forçait à les considérer inférieur. Malgré tout, plus les années passent, et plus je rencontre de nouveau né-moldu, plus je me rend compte de l'absurdité des idée de mes géniteurs et je commence à ne même plus faire la différence.
Ton personnage et l'Ordre du Phénix Je les respecte. Après tout, leur but est respectable, et ce qu'ils défendent est tout à fait juste. Mais pourtant, je ne peux m’empêcher de me demander : à quoi bon ? Il faut être fou pour se lancer dans un tel combat, pour oser tenir tête à un si puissant adversaire. Je ne soutiens pas Voldemort, mais je ne peux pas non plus me voiler la face. Il fort, incroyablement, et possède bon nombre de partisans. Leur bravoure et leur persévérance sont épatante, mais, au fond, je ne peux m'empêcher que malgré la noblesse de leur combat, les chances de remporter sont faibles par rapport aux risques qu'ils prennent.
Ton personnage et la situation actuelle Je tâche de l'ignorer, de vivre avec. Après tout, je n'ai absolument rien à craindre. Privilégiée par mon sang, il m'est facile de vivre en faisant semblant de ne pas voir ce qu'il se passe. J'ai mal, pour toutes ces victimes innocente, ça me fait vraiment mal au cœur de les voire se faire maltraiter ainsi. Mais d'un point de vue strictement égoïste, cela ne m'atteint pas moi, ni ceux que j'aime. Du moins, c'était le cas jusqu'à ce que mon mari décide de prendre parti dans toute cette folie ; qu'il décide de publier un article dénonçant la barbarie du Seigneur des Ténèbres ou je ne sais quelle autre diffamation. Aujourd'hui il est en fuite, et j'ai réellement peur pour lui. Tellement que j'ai décidé de partir à sa recherche. S'il veut fuir, qu'il le fasse ; mais il n'a pas à le faire tout seul.
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spacemen ◊ 7j/7 de connexion ✲ PSEUDO : spacemen, le retour. ✲ PRÉNOM : léa. ✲ PERSONNAGE : inventé. ✲ PAYS : je suis françois le français (ou le président. ou le pape. comme vous voulez ) ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : dans une pochette surprise ✲ TON AVIS SUR PI : toujours aussi parfait, sans quoi je me dédoublerais pas ✲ UN DERNIER MOT :http://media.tumblr.com/tumblr_lzbei1MdSH1qhow5p.gif
Dernière édition par Margaery I. Lethbridge le Mer 24 Juil - 21:18, édité 3 fois
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:19
Le menton posé sur sa main, adossée contre la fenêtre, la jeune brune rêvait. Elle rêvait de liberté, rêvait de quitter ma petite chambre exiguë, rêvait de partir loin. Elle enviait les oiseaux, qui d'un battement d'aile pouvait se retrouver à l'autre bout du monde. Le regard perdu dans la campagne, petite Maggie voulait déjà s'enfuir, enfermée dans un monde qui ne lui convenait pas. Plongée dans la contemplation de sa campagne anglaise de Peakeshire, elle en voulait plus. Elle scrutait l'horizon, impatiente, tâchant désespérément d'apercevoir le hiboux qui devait lui amener la clé pour s'échapper. Pour partir loin, loin de ses parents et de leur stupides règles, loin de Eamonn et Diana qui n'étaient que des enfants. Soudain, Maggie sauta sur ses pieds ; elle distinguait à peine la silouhette de l'oiseau au loin, mais déjà elle dévalait les escaliers quatre à quatre, ignorant les railleries de Pudge, l'elfe de maison, oubliant qu'elle avait été punie quelques minutes plus tôt par sa génitrice. Plus rien n'importait. Elle louvra la porte d'un grand coup, trépignant alors que le hiboux supprimait les quelques mètres qui le séparait du manoir des Oswald-Appleby. Il laissa tomber la lourde lettre dans les mains tremblantes de Margaery, qui sautait de joie maintenant. Aujourd'hui, Maggie a onze ans, et sa lettre d'admission à Poudlard sera surement son plus beau cadeau.
I. MR LETHBRIDGE to die by your side is such a heavenly way to die ◊
Je serrais mon livre contre moi. Devant moi, la file semblait sans fin, s’engouffrant à une dizaine de mètres de moi dans la petite librairie de Pré-au-Lard. Cela faisait déjà plus d'une heure que j'attendais sagement dans la queue, tâchant tant bien que mal de supporter les bavardages ininterrompus de Caitlyn, qui avait tenu à m'accompagner. Devant moi, un autre petit groupe d'étudiante, des Serdaigles elles-aussi, trépignaient sur place, discutant frénétiquement en brandissant leur ouvrage avec passion. Je n'étais pas la seule à être venue rencontrer mon idole aujourd'hui. Archibald Lethbridge. Mon auteur fétiche, jeune prodige qui à chaque nouveau livre m'étonnais un peu plus. Dans un sens, j'étais un peu attristé face à la foule qu'il avait réussi à faire venir dans le petit village ; je le voulais pour moi, et pour moi seule. Je ne voulais pas être une simple groupie au milieu d'une centaine d'autre. C'était absurde de penser ça. J'étais belle et bien une groupie parmi tant d'autre, sans quoi il n'aurait pas le succès qu'il connaissait aujourd'hui. Mais l'absurdité était quelque chose d'assez courant chez moi dès que j'évoquais l'écrivain, il avait le don de me rendre idiote. Et pourtant, Merlin seul savait à quel point il était difficile de me faire passer pour une idiote ; la totalité de mes BUSES en poche, une belle petite réputation de première de classe, j'étais l'une des premières de ma maison en cette dernière année à Poudlard. Faire la queue pendant plusieurs heures seulement pour récolter une poignée de main et un gribouillis sur mon exemplaire favori était un bel exemple de cette stupidité. Et pourtant. Les minutes filaient, les heures même, et alors que Caitlyn ne cessait de parler, je m'approchais de plus en plus de l'entrée de la petite boutique. Devant moi, une poignée de personne. Je pouvais même l'apercevoir, assis à la table, son éternel expression neutre plaqué sur le visage. Pas un sourire. Il était trop intelligent pour ça, il n'en avait pas besoin. Plus que quelques mètres, plus que deux sorciers devant moi. « Bonjour. » souffla-t-il, sans même un regard, attrapant le livre que je lui tendais d'un geste qu'il avait déjà dû faire mille fois aujourd'hui. Mon cœur battait la chamade, si fort que le rythme résonnait dans ma tête. « Je signe à quel nom ? » J'eus envie de fuir, de prendre mes jambes à mon cou. De le laisser comme ça, plutôt que de lui avouer mon nom, d'avoir à présenter, moi la gourde qui se tenait devant lui incapable de faire un geste. Avalant ma salive nerveusement, il devait sûrement s'impatienter. Je devais lui dire quelque chose. Maintenant. « Leucanthemum vulgare. » soufflai-je malgré moi, fixant toujours l'auteur penché au-dessus de mon livre. Je n'avais absolument aucune idée du pourquoi du comment j'avais bien pu sortir ce mot. Si la botanique était une de mes matières préférée, je n'avais pourtant jamais eu affaire à ce genre d'incident. Je restais figée, étonnée par ma propre bêtise. « Marguerite commune d'Europe. » lâcha Archibald avant de relever le regard vers moi, l'air amusé. « Pourquoi ? Dois-je en déduire que vous vous appelez Marguerite, mademoiselle ? » dit-il, l'ombre d'un sourire sur le visage. Je me déridai quelque peu à mon tour, laissant mon sourire déformée mes traits tendus par la peur. « Presque. C'est Margaery. » soufflai-je à peine plus fort qu'un murmure. Je n'étais pas souvent impressionné, par rien ni personne, c'était une sensation nouvelle pour moi. Et je perdais complètement pied. « Mais vous pouvez mettre Maggie. » Il signa l'exemplaire, le sourcil toujours arqué qui le rendait encore plus séduisant que d'habitude. « Helianthus annuus ? » souffla-t-il en me tendant le livre. « Grand tournesol. » répondis-je du tac au tac. J'attrapais l'ouvrage, mais le jeune homme refusait de le laisser partir. « Helianthus tuberosus ? » « Topinambour. » « Helianthus ambifloricus ? » « Vous venez de l'inventer, n'est-ce pas ? » Un sourire illumina son visage alors qu'il acquiesça. « Totalement. Vous m’impressionnez Maggie. Vous connaissez votre botanique. Je ne me rappelle pas avoir appris ce genre de chose à Poudlard. » Je souris à mon tour, retrouvant toute mon assurance ; un compliment et c'était reparti. « Vous devriez me voir dans mes bons jours, Mr Lethbridge. » lançai-je, me retenant de lui adresser un clin d’œil. A ma droite, Caitlyn se tenait toujours debout, les yeux écarquillés. « Quand vous voulez. » souffla-t-il, lâchant enfin sa prise sur le livre que nous tenions toujours. Sourire béat au visage, je déambulai dans les rues de Pré-au-Lard sans réellement savoir où j'allais. Caitlyn sur mes talons, nous n'avions pas encore dis un mot. C'est elle qui brise le silence au bout de quelques minutes. « Tu peux m'expliquer ce qui vient de se passer ? » lâcha-t-elle, apparemment aussi surprise par la scène que moi. Je haussais les épaules. Je m'attendais à tout moment le réveil brutal du rêve que j'étais en train de vivre. Caitlyn m'arracha le livre des mains avant d'ouvrir la page qu'il avait signé. Elle s'arrêta net. « Maggie. » J'acquiesçai doucement, continuant à avancer. « Maggie, tu veux sûrement voir ça. » Je retournai sur mes pas pour lire la page que me tendait la jeune blonde. Noir sur blanc, de son écriture ridiculement féminine, une adresse. Son adresse.
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Allongée à ses côtés, tout ça semblait encore irréel. Comme si les dernières heures de ma vie n'avait été qu'un rêve, construit de toute pièce par mon imagination. Mais pourtant c'était la réalité. C'était lui, la belle, l'incroyable réalité qui jouait doucement avec une mèche de mes cheveux. Ça avait commencé de la plus simple des façon : une invitation à prendre le thé. J'avais, quelques jours après notre rencontre, décidé de rendre visite à Archibald ; après tout, s'il avait laissé son adresse, c'était pour que je m'en serve. Il m'avait directement invité à entrer, me proposant une tasse, et nous avions parlé. Et pour parler, nous l'avons fait en beauté. Les minutes filèrent alors que nous trouvions toujours sujet à disserter. Comme je me l'étais toujours imaginé, Archie était un homme brillant, extrêmement intéressant ; parfait presque, si on oubliait son mauvais caractère. Le thé terminé, nous ne nous étions pas arrêté, ni même pour l'heure du dîner. Nous avions continué toute la soirée presque, jusqu'à que cette visite prenne une toute autre tournure. C'est tout naturellement que nos lèvres s'étaient trouvées, comme si rien d'autre n'avait été envisageable, comme une suite logique de la soirée. Et le reste fut tout aussi naturel. J'avais déjà été avec d'autre hommes auparavant, mais j'avais découvert la vieille au soir quelque chose de nouveau, de plus passionné. « Maggie ? » demanda-t-il doucement sans cesser de s'amuser avec mes cheveux. « Hum ? » lâchai-je, rêveuse. « Quel âge tu as déjà ? » Je souris doucement. Ce sujet n'était étonnamment pas été évoqué hier soir, et heureusement. « Crois-moi, tu veux pas savoir. » soufflai-je, peu préoccupé par la question. J'étais certes fraîchement majeure, ayant fêté dernièrement mes dix-sept bougies mais l'écart d'âge entre nous était une chose qu'on ne pouvait pas ignorer. Archie devait avoir la trentaine, peut-être plus. « Mais c'est bien la dernière chose qui me préoccupe, tu sais. » Je me tournais sur le côté pour lui faire face. Les cheveux en bataille, il avait pourtant l'air serein, loin de l'air renfrogné qu'il arborait sur la plupart de ses portraits. « Je veux être avec toi, peu importe ce qu'on dit derrière notre dos. » Le jeune homme sourit avant de plaquer ses lèvres contre mon front. « Qui a dit que je te laisse partir de toute manière ? » Je souris en me blottissant contre lui. Et il ne savait pas si bien dire ; car dans les semaines qui suivirent, et même après la fin des vacances, nous ne nous quittâmes plus. Plus jamais.
Le repas battait son plein dans le manoir des Oswald-Appleby ; un repas de famille bien commun, comme nous en avions souvent. Les elfes de maisons s'affairaient autour de la table, servant et desservant les différents plats, alors que les discussions éclataient partout autour de la grande tablée. Rien de bien exceptionnel. Et pourtant, je me tenais en retrait, me contentant de finir mon assiette en silence. Ce n'était pas dans mes habitudes d'ignorer les discussions ; j'étais même ordinairement la première à débattre lorsqu'on abordait un sujet délicat. Mais pas aujourd'hui. Le souffle court, je jouais nerveusement avec la bague au fond de ma poche. Je devais leur dire. J'allais bien être obligé de leur dire. Je relevai le regard à droite, où se tenait Thaddeus. Mon cousin, mon si précieux cousin. Il me sourit chaleureusement avant de se replonger dans la conversation. J'étais heureuse qu'il soit là ; lui et son père. Si je n'avais jamais été réellement à l'aise dans avec ma famille, si mes parents n'avaient jamais réellement tenu le rôle aimant et protecteur qui découlait de leur statut de géniteur, j'avais trouvé chez les Appleby une seconde famille. Bran, mon oncle, avait joué le rôle de second père pour moi, une sorte de figure paternelle bien plus affectueuse et presque plus présente que mon vrai géniteur, sans cesse parti pour son travail. Et Thaddeus était devenu comme un frère pour moi, même plus. Il y a avait Eamonn bien sûr, mais ce n'était pas pareil. Il était plus jeune, et même si je l'aimais vraiment, Thaddeus occupait une place plus spéciale dans ma vie. Même âge, même maison à Poudlard, nous partagions tout et étions tout le temps fourré ensemble. C'était mon meilleur ami. Aussi, le savoir à mes côtés me rassurait plus que tout. Il n'était pas au courant bien sûr de l'annonce que je m'apprêtais à faire ; personne ne l'était. Et s'il l'avait su, il m'aurait dissuadé. Mais je pouvais compter sur lui. Toujours. Du moins je l'espérais. Je profitais d'une accalmie dans la conversation pour prendre la parole. Mon cœur battait à cent à l'heure, j'étais pétrifiée ; pourtant, je devais le faire. « Ex-excusez moi. Je dois vous dire quelque chose. » lâchai-je, tâchant vainement de ne pas montrer à quel point j'étais nerveuse. Tous les regards se dirigèrent sur moi. Je pris une grande inspiration. « Je vais marier. » soufflai-je d'un coup, un sourire timide au visage. J'avais imaginé la scène mille fois. J'avais vu ma mère s'emporter, mon père me sermonner, Diana se moquer. J'avais tout prévu. Sauf le silence de mort qui s'abattit sur la pièce. Les secondes défilèrent alors que personne ne se décida à dire un mot. Je me tournai vers Thaddeus, lui lançant un regard affolé, mais celui-ci me se contenta de me fixer d'un air choqué. C'est ma mère qui brisa finalement le silence. « C'est ridicule ! Avec qui ? Tu ne ramènes jamais personne à la maison ! Personne ne savait que tu fréquentais quelqu'un. » siffla-t-elle de son ton hautain habituel. Le regard de Thaddeus se détourna; lui savait. Il savait depuis le début, c’était d'ailleurs le seul à qui j'avais parlé d'Archie. Mais même s'il n'approuvait pas cette relation, il avait gardé le secret. « A ce propos. Ça fait quelque temps que je côtoie un garçon. » dis-je en soutenant le regard ahuris de mon paternel. « Vous devriez le connaître d'ailleurs. Archibald Lethbridge. » soufflai-je, à peine audible, le regard bas. Diana sembla s'étouffer avec sa nourriture à l'autre bout de la table, alors que ma mère m’asséna le regard le plus noir que je n'avais jamais vu - et pourtant, c'était un regard tristement habituel chez elle. « Lethbridge ?! » siffla-t-elle en se levant de sa chaise. Je savais que la nouvelle n'allait pas bien passer ; je savais que j'étais trop jeune, et qu'il était trop vieux. Mais ce n'est pas ce qu'il y avait de pire pour notre famille. Mon père s'emporta à son tour. « Un sang-mêlé ? » A ce moment, je voulais disparaître ; transplaner loin d'ici, me retrouver dans ses bras. Mais je savais que je devais faire face. « J'espère que c'est une blague Margaery. J'espère que tu plaisante, que tu ne vas pas souiller le sang des Oswald-Appleby comme ça ?! » « Pense à ce qu'on va dire de nous ! De ta famille. On ne t'a quand même pas élevé comme ça, à épouser des chien de sang-mêlé ! » Je retins les larmes qui me montais aux yeux avant de me lever à mon tour, poussant violemment ma chaise. « N'essaie même pas de l’appeler comme ça ! » criai-je, à deux doigt d’attraper ma baguette. « Comment veux-tu que je l'appelle ? Il ne mérite même pas son nom ! Les Lethbridge était une grande famille tu sais, avant qu'ils décident de se marier avec des bâtards. Et à cause de quoi ? A cause de traître comme toi jeune fille. » pestiféra-t-elle, l'air méchant. « Mais ça n'arrivera pas dans une famille comme la nôtre. Jamais. » ajouta mon père, se contenant plus que ma génitrice, mais qui je le connaissais, bouillonnait à l’intérieur. « Rassied toi Margaery. J'irais faire une petite visite à cet Archibald. » « Non. » lâchai-je sans hésiter, secouant la tête frénétiquement. Les larmes coulaient abondamment sur mon visage maintenant, et j'étais simplement incapable de les retenir. « Margaery Idris Oswald-Appleby. Rassied toi. Tout de suite. » lâcha mon paternel d'un calme déconcertant, tout en dégainant sa baguette. Ma tête continua d'elle-même à secouer négativement, alors je sortis à mon tour ma baguette pour me défendre, ravalant un sanglot. Je parcourais la salle d'un regard affolé. Personne ne bougeait, tous campés sur leur chaise, immobiles. Les traits de Diana étaient déformés par un rictus amusé ; si peu étonnant de la part de ma petite sœur que je ne m'arrêtais même pas. Eamonn évita mon regard alors que Bran, qui se tenait toujours au bout de la table, me lança un regard triste, mais pourtant dégoutté lui aussi. Je me tournai enfin vers Thaddeus, en désespoir de cause. Son regard, bien que brillant, était emplie de mépris. Bien loin du temps où nous jouions ensemble dans le jardin, de celui où on s'amusait à sortir dans les couloirs de Poudlard après le couvre-feu, juste pour s'amuser. Je le dégouttais maintenant, c'était tout. Mon cœur se serra un peu plus alors que j'éclatais de nouveau en sanglot. « Thad ... » lâchai-je entre deux éclat de larme. Il se contenta de soutenir mon regard l'air hautain, avant de détourner les yeux. Je me reculai de quelques pas, chancelante. Mon père se tenait en position d'attaque, la baguette pointé sur moi, furieux. Je soutins regard pendant quelques secondes, me préparant à ce qu'il lance un quelconque sort ; mais rien. Le silence s'éternisa. C'était peine perdue. Je détournai le regard avant de m’élancer vers la sortie mais quelque chose m'en empêcha ; Eamonn me retenait par le poignet, son regard me suppliant de rester. « Maggie, s'il te plaît. » Je retournai sur mes pas avant de lui déposer un baiser sur le front. Puis d'un geste brusque, je me dégageai et détalai vers la sortie du manoir. Je transplanai dès que j'eus atteint le pas de la porte ; me retrouvant la seconde d'après dans le petit salon du l'appartement londonien d'Archie. De mon fiancé. Assis sur le canapé, en train de lire, le jeune homme souffla bruyamment en me voyant arriver, comme s'il avait prévu la scène, puis sauta sur ses pieds. Il fonça vers moi avant de me prendre dans ses bras, me réconfortant doucement. Et alors que je me laissais tomber contre lui, que je ravalai un énième sanglot, je me rendis compte que c'était terminé. Que ma seule famille, maintenant, c'était lui, et seulement lui.
III. DIRTY PAWS loneliness will stay with me, and hold me till i fall asleep. ◊
Tasse de café à la main, je scrutais d'un regard vite la petite rue animé en dessous de notre appartement. Je savais qu'il était derrière moi, je l'avais entendu entrer dans la pièce ; malgré tout, je n'étais pas d'humeur pour une énième dispute aujourd'hui. « Margaery. » souffla-t-il, pensif. S'il avait l'air calme, le fait qu'il ait utilisé mon prénom dans sa totalité n'annonçait rien de bon. Je ne répondis pas, ne prenant pas même la peine de tourner le dos. « Maggie, écoute … » continua-t-il après quelques secondes. Pour toute réponse, je pris une longue gorgée de café. « Qu'est-ce qu'on va faire mon cœur ? Ça sert à rien de l'ignorer. Ça marche plus. » « Chhut. » lâchais-je brusquement. Je ne voulais pas avoir cette conversation ; ni maintenant, ni demain, ni même dans un an. Jamais. Je ne pouvais tout simplement pas envisager quelque chose, autre que ce que nous vivions depuis plus de cinq ans. Et si ces derniers mois avaient été difficiles -pour ne pas dire un enfer- je savais que nous allions surmonter ça. Ensemble. Rien d'autre n'était imaginable. Les secondes filèrent alors que le silence s'était solidement installé dans le petit bureau d'Archibald. « Et qu'est-ce que tu proposes alors ? » lâchai-je après près d'une minute. Le jeune homme s'approcha à pas las, avant de se planter à côté de mois, debout face à la petite fenêtre, les bras croisés contre la poitrine. Il hocha les épaules. « Je ne sais pas. Je n'ai pas envie de changer, mais il faut faire quelque chose. » dit-il calmement, d'un ton presque rassurant. Je pris une autre gorgée. « On est presque à court d'assiette, tu les as toutes cassées. » « J'ai eu quelques moments d'égarement, et alors ? Ça ne veut pas dire que je veux demander le divorce. » Ni lui ni moi ne quittions la fenêtre du regard, immobile. Nous savions très bien ce qui était en train de se passer, mais aucun de nous ne voulait l'admettre. « Non, ça, jamais. » « Jamais. » répétais-je doucement en écho. Si l'idée était inenvisageable, rester comme nous l'étions aujourd'hui était tout aussi impensable. L'appartement était devenu trop petit, pour que lui et moi restions à la maison toute la journée. Cela faisait des années qu'Archie n'avait rien écrit ; assis devant sa feuille blanche tous les jours, il était loin le temps où un simple regard vers moi l'inspirait à écrire des pages entières. Sa muse, comme il m’appelait à l'époque, était bel et bien morte et enterrée. Je n'avais jamais travaillé après mes études, les revenus d'Archie étant amplement suffisant à nous entretenir tous les deux. Aussi je passais mes journées à la maison, à encaisser ses sautes d'humeurs, ses colères ou ses crises de violence, chaque fois que l'envie lui prenait. Si au début je prenais grand soin à le calmer et à le réconforter, l'ambiance à la maison était vite devenue invivable, et les scènes de ménages s'étaient multipliées. Encore, et encore. Chaque jour une nouvelle source de disputes, chaque fois un peu plus de choses à reprocher à l'autre. Je l'aimais ; vraiment, sincèrement, du plus profond de mon cœur. Mais s'en était trop. « Peut être qu'on pourrait envisager de me prendre un petit appartement. Pour quelque mois. » soufflai-je d'un ton las en avalant une autre gorgée. Il hocha la tête doucement. « Bonne idée. Je demanderais à mon assistant de te trouver quelque chose de joli. » « Merci. » répondis-je doucement. Les larmes me montèrent aux yeux mais je parvins à les retenir ; c'était indispensable de prendre un peu de distance, mais pourtant, ça faisait un mal de chien. « Je t'aime, mon Archie. » dis-je en attrapant sa main, le regard toujours braqué sur la rue à nos pieds. « Moi aussi mon ange. Plus que tout. » Il m'attira contre lui, et je vins blottir ma tête contre son épaule. Je n'avais pas envie de partir, pas envie de vivre seule. Mais pourtant, j'en étais consciente, c'était le seul moyen pour qu'un jour les choses reviennent à la normale.
+++
J’attrapais le paquet de cigarette sur ma table de nuit avant d'en attraper une. Je la plaçai entre mes lèvres sans l'allumer. « Dégage Silas. » soufflai-je, cigarette entre les lèvres. Le jeune homme allongé nu à côté de moi me regarda avec des yeux ronds. Il n'était pas vieux ; dix-neuf, peut être vingt ans, mais il avait ce petit quelque chose qui me plaisait. Son regard peut être, le même air effarouché qui me fixait en ce moment même. « Mais ... » « Ohh, tu commences pas. Je te l'ai déjà répété cinquante fois, à chaque fois qu'on se revoit c'est la même chose : tu viens, on s'amuse, tu pars. C'est simple pourtant. » Ce petit jeu m'étais devenu familier depuis ma séparation avec Archie. Silas, Ainley, Hunter, Melisandre … Le plus souvent avec des hommes plus jeunes, mais cela m'arrivait aussi d'inviter des femmes. Je m'ennuyais tellement, sans lui ; il fallait bien s'occuper. Et c'était la seule chose qui me faisait sentir aussi vivante. J'avais bien sur ce petit poste au ministère de la magie, un vulgaire job de secrétaire mal payé, bien en dessous de ce à quoi je pourrais prétendre. Mais cela me permettait de remplir mes journées autrement qu'en couchant avec la moitié de Londres. Cela pouvait sembler complètement choquant pour une femme marié, mais je savais pertinemment que mon si cher époux en faisant autant de son côté. Cela faisait bientôt plus de deux ans qu’Archibald et moi avions décidé de vivre séparément. Deux longues années où nous nous étions bien entendu retrouvés, autour d'un café ou dans un lit, mais où nous n’avions jamais eu le courage de remettre les choses au point. Aussi je continuais ma petite vie seule, ou mal accompagnée, dans mon petit appartement londonien. Et si j'aimais étrangement cette vie, je ne pouvais m'empêcher de regretter les premières années que nous avions vécues avec Archie. Toute cette passion était bien loin, et c'était triste de voir à quel point les choses avaient changé. « Arrête avec ton air outré, tu t'es pas fait prié quand j'ai décidé de te retrouver. Ni les deux premières fois qu'on l'a fait. Maintenant habille toi, et fou le camp. » « J'ai au moins le droit à une cigarette ? » « Je préfère fumer toute seule. » lâchai-sèchement, lui lançant un regard noir. Il sauta immédiatement du lit et commença à enfiler ses vêtements. Sans un mot, il quitta la chambre, se dirigeant vers la sortie. « A bientôt ! » criais-je, l'air faussement enjoué alors qu'il claquait la porte d'entrée derrière lui. Il allait revenir bien sûr, je le savais. Ils revenaient toujours. Seule au milieu de mon grand lit, j'allumais soigneusement ma cigarette. Si cette vie n'avait rien de la vie dont je rêvais dix ans auparavant, je devais pourtant m'en contenter ; car apparemment, j'étais incapable de faire les choses normalement.
Dernière édition par Margaery I. Lethbridge le Sam 3 Aoû - 12:44, édité 15 fois
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:22
margaery cette classe bienvenue grande soeur (voir jumelle, on a le même âge ) bon courage pour ta fiche je compte sur toi pour venir à mon secour
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:23
Gemma. Rebienvenue.
Invité
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:25
BROOOO J'allais justement vous MPotter toi Diana pour vous dire que j'avais finalement choisis Margaery, j'espère que ça vous dérange pas trop Et pour l'âge je viens de tilter, je me disait bien que j'avais mis 28 pour une raison Je rechange tout ça du coup, ça me gène pas du tout T'inquiète pas, super-sister va bientôt voler à ton secours Je termine vite ma fiche
Merci belle-sœur
Invité
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:26
≡ amoureusement : Célibataire, en proie à certains sentiments naissant qu'elle essaye de refouler.
≡ son emploi : Elle est couturière dans une petite boutique qui ne paye pas de mine. Un travail très éloigné de ses ambitions premières, dont elle n'a aucun souvenir.
≡ statut de sang : Sang-mêlé, rien de transcendant ni de particulièrement honteux.
≡ sa maison : Ancienne Poufsouffle, ce que personne ne parvenait à comprendre quand elle était encore à Poudlard.
≡ sa baguette : Bois d'aubépine, ventricule de dragon, parfaite pour les sortilèges.
≡ son patronus : Elle n'en possède pas, ses anciennes ambitions étouffant toute possibilité de créer un tel sortilège.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:26
Re-bienvenue ! Et puis, quel avatar Et le prénom a la classe aussi
Bref, bonne rédaction !
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:27
REBIENVENUE Bonne chance pour cette nouvelle fiche, si tu as des questions, tu connais la maison
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:36
Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 22:43
Merci à tous les quatre
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 23:03
Margaery I. Lethbridge a écrit:
BROOOO J'allais justement vous MPotter toi Diana pour vous dire que j'avais finalement choisis Margaery, j'espère que ça vous dérange pas trop Et pour l'âge je viens de tilter, je me disait bien que j'avais mis 28 pour une raison Je rechange tout ça du coup, ça me gène pas du tout T'inquiète pas, super-sister va bientôt voler à ton secours Je termine vite ma fiche
Moi ça me va très bien Margaery, c'est la classe d'accord, c'est bien grande soeur du coup et pas jumelle merci de venir à mon secour
≡ amoureusement : mariée, techniquement, même si elle ne semble plus en porter le nom.
≡ son emploi : auparavant, elle travaillait à la ménagerie magique, désormais, elle est une fugitive.
≡ statut de sang : c'est une sorcière de sang-pur, d'ces sang-pur qu'on estime traitres pour ne pas se croire au-dessus des autres.
≡ sa maison : elle était chez les gryffondor; elle n'a pourtant jamais cru en son courage.
≡ sa baguette : baguette en bois de cyprès, avec une plume de phénix pour cœur, elle est spécialisée en métamorphose, et mesure approximativement vingt-sept centimètres.
≡ son patronus : il prenait la forme d'un geai, mais désormais elle ne peut plus en produire. rien d'autre qu'un vague amas argenté.
≡ son amortencia : la potion a toujours eu la senteur du grand air, un parfum d'ébène au creux de ses cheveux et du vieux bois.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Dim 17 Mar - 23:22
LA GENTILLE SŒUR DE MON FIANCÉ
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 0:09
REBIENVENUE mine.
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 11:25
Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche. Une minute de silence pour Tessa . Beh oui, on avait dit qu'on la ferait quand quelqu'un d'autre prendrait son ancien avatar, c'est désormais chose faite Oui, bon, je m'en vais au lieu de dire des conneries.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 14:23
Ah ouais, une minute de silence
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 14:36
Une minute de silence oui, j'espère que Maggie honorera la mémoire de Gemma/Tessa BELLE-SŒUR Je vais aller te le chercher ton fiancé, histoire qu'il reste pas pourrir dans son cachot toute la vie D'ailleurs Blodwyn sera la elle aussi ou pas ? Et Mine, mon sexy cousin, va falloir qu'on se trouve le meilleur des liens, quasi aussi bon que Thad/Monroe
≡ amoureusement : mariée, techniquement, même si elle ne semble plus en porter le nom.
≡ son emploi : auparavant, elle travaillait à la ménagerie magique, désormais, elle est une fugitive.
≡ statut de sang : c'est une sorcière de sang-pur, d'ces sang-pur qu'on estime traitres pour ne pas se croire au-dessus des autres.
≡ sa maison : elle était chez les gryffondor; elle n'a pourtant jamais cru en son courage.
≡ sa baguette : baguette en bois de cyprès, avec une plume de phénix pour cœur, elle est spécialisée en métamorphose, et mesure approximativement vingt-sept centimètres.
≡ son patronus : il prenait la forme d'un geai, mais désormais elle ne peut plus en produire. rien d'autre qu'un vague amas argenté.
≡ son amortencia : la potion a toujours eu la senteur du grand air, un parfum d'ébène au creux de ses cheveux et du vieux bois.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 14:51
OWI OWI RAMÈNE LE MOIIIII elle sera là où ? dans le cachot ou dans la mission "cherchons Eamonn" ? Faut voir avec LAK, apparemment il faut que Blodwyn pleure de surprise quand elle retrouvera son fiancé et tombe dans les pommes, comme dans Django (et si tu l'as pas vu, tant pis pour toi )
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 15:40
Rebienvenue (:
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 17:56
Merci Lester
Dans la mission oui LAK ? (débarque totalement ) Tu me diras alors Et OUIII, comme dans Django, la classe Hey little troublemaker Ce film
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 18:17
≡ amoureusement : mariée, techniquement, même si elle ne semble plus en porter le nom.
≡ son emploi : auparavant, elle travaillait à la ménagerie magique, désormais, elle est une fugitive.
≡ statut de sang : c'est une sorcière de sang-pur, d'ces sang-pur qu'on estime traitres pour ne pas se croire au-dessus des autres.
≡ sa maison : elle était chez les gryffondor; elle n'a pourtant jamais cru en son courage.
≡ sa baguette : baguette en bois de cyprès, avec une plume de phénix pour cœur, elle est spécialisée en métamorphose, et mesure approximativement vingt-sept centimètres.
≡ son patronus : il prenait la forme d'un geai, mais désormais elle ne peut plus en produire. rien d'autre qu'un vague amas argenté.
≡ son amortencia : la potion a toujours eu la senteur du grand air, un parfum d'ébène au creux de ses cheveux et du vieux bois.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 20:26
Margaery I. Lethbridge a écrit:
Dans la mission oui LAK ? (débarque totalement ) Tu me diras alors Et OUIII, comme dans Django, la classe Hey little troublemaker Ce film
LAK = little ass kicker = Eamonn Je te dirai voui voui (a) t'façon il nous faudra un lien, whatever the way is OUAIIIIS j'aime ce passage
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 20:36
Ouaiiiiiis LAK c'est moi (little ass kicker ça sonne mieux xD) Pourquoi on parle de moi ?
≡ amoureusement : mariée, techniquement, même si elle ne semble plus en porter le nom.
≡ son emploi : auparavant, elle travaillait à la ménagerie magique, désormais, elle est une fugitive.
≡ statut de sang : c'est une sorcière de sang-pur, d'ces sang-pur qu'on estime traitres pour ne pas se croire au-dessus des autres.
≡ sa maison : elle était chez les gryffondor; elle n'a pourtant jamais cru en son courage.
≡ sa baguette : baguette en bois de cyprès, avec une plume de phénix pour cœur, elle est spécialisée en métamorphose, et mesure approximativement vingt-sept centimètres.
≡ son patronus : il prenait la forme d'un geai, mais désormais elle ne peut plus en produire. rien d'autre qu'un vague amas argenté.
≡ son amortencia : la potion a toujours eu la senteur du grand air, un parfum d'ébène au creux de ses cheveux et du vieux bois.
Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 20:37
Ouais mais c'est long à écrire Par rapport à ton sauvetage
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 20:45
ouais mais c'est classe xD ouais, je viens de lire x) c'est mieux si blod elle est pas là, pour l'effet de surprise quoi parce que ça gache tout, si on va la voir en mode "hey ton mec est en vie, on va le sauver ?" ça fout les retrouvailles émouvantes en l'air (et jsuis pas une grande fan des rps à trois en plus xD)
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Sujet: Re: “ hell in high heels (maggie) Lun 18 Mar - 20:50
Passage avec Diana spécialement pour toi rebienvenue avec ce personnage, la famille est au complet