(abraham) ✲ out of feathers, out of bones.

abraham wd. steadworthy

the man who sold the world.x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
ft. daniel craig ◊ order of the phenix.
✲ NOM : Steadworthy. Cette famille s'est fièrement illustrée aux côtés d'Albus Dumbledore durant la première guerre des sorciers. Elle dénombra un nombre conséquent de pertes, dont le propre père d'Abraham. ✲ PRÉNOMS : Abraham Wenceslaus-Donalbain. Ses parents, bien qu'appartenant à des familles de sang-pur, étaient fascinés par le monde des moldus, plus particulièrement par la littérature anglaise et française. Les prénoms Wenceslaus (variante de Venceslas) et Donalbain sont respectivement tirés de la pièce de théâtre Ubu Roi et de Macbeth. ✲ ÂGE : trente-sept ans. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 juillet 1960, Sunderland (UK). ✲ EMPLOI : auror. ✲ STATUT DU SANG : pur. Son ascendance ne l'empêche cependant pas d'être en cavale. ✲ SITUATION AMOUREUSE : marié.

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C'est une baguette bien spéciale que celle de Abraham, sculptée avec soin du bois d'aubépine, d'une rudesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour lui : persévérance, bravoure et optimisme sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilèges. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phénix qui lui donne toute sa puissance.

L'avis de ton personnage sur VoldemortLors de la première guerre, des sbires de Voldemort ont été responsables de la mort du père d’Abraham. Si, au départ, il ne se sentait concerné par ce problème que parce que sa petite amie était née-moldue, les événements prirent une tournure inédite à la suite de ce deuil. Il se sentit investi d’une mission, celle de venger la mort prématurée de son géniteur. Il ressent forcément à l’égard de cet être une haine incommensurable. Il en a évidemment peur, conscient que les partisans de l’Ordre du Phénix sont trop peu nombreux face au nombre considérables de mangemorts, ou de sorciers « passifs ». Optimiste, il sait que seule l’unité des sorciers est susceptible d’atteindre, et donc de détruire, Lord Voldemort. De fait, il espère que les sorciers l'affronteront publiquement, sans craindre des représailles de la part de leur opposant.

Ton personnage et l'Ordre du Phénix Abraham a rejoint les rangs de l’Ordre du Phénix peu avant la fin de la première guerre. En compagnie de son épouse, il avait la ferme intention de rétablir la paix dans le monde des sorciers. Plus jeune, il était inexpérimenté et a souvent pris de mauvaises décisions. Ses maladresses ont souvent failli causer sa perte. Malgré tout, à présent, cette obédience est le souvenir le plus palpable qu’a laissé Dumbledore derrière lui ; ils entretiennent son héritage de la plus belle façon. Ils se battent pour ce qui est juste, ce qui est bon. Ces sorciers forment la résistance, la seule barrière qui représente l’éclat d’un espoir fragile. Ce ne sont pas des héros, juste des hommes, des femmes, qui croient en l’avenir.

Ton personnage et la situation actuelle Sa femme étant une née-moldue, Abraham n’a pas eu d’autre choix que de fuir en sa compagnie. Il craint pour la vie de son épouse, comme pour celle de sa fille Hester. Mais, à travers la cadence effrénée de la fuite, il a dû transplaner afin de fuir un groupe de mangemorts. Lyra Steadworthy transplana également et, alors séparés, ils ne se retrouvèrent pas. Abraham est à la recherche de son épouse, ne restant jamais bien longtemps au même endroit. L’absence de Lyra commence à lui peser et, ne pouvant pas répondre aux courriers d’Hester, il a conscience que l’implosion silencieuse de sa famille n’est pas une chose à laquelle il s’attendait.

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✲ PSEUDO : Ophée. ✲ PRÉNOM : Ophélia. ✲ PERSONNAGE : scénario de gros chou (Hester) :héé:

. ✲ PAYS : L'Etoile Noire. ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : il est tombé du ciel. ✲ TON AVIS SUR PI : c'est le plus cool ; les membres sont grave classes, tout le monde est beau, gentil, sexy. (surtout mon ex mais ça, elle le sait déjà) :bg:

✲ UN DERNIER MOT : - Écartez-vous derrière ! On sort ! - Ouais c’est ça ! Et en revenant si vous pouviez me ramener un paquet de... [blam !] - Sont fous ces Égyptiens, on leur demande de s’écarter, puis eux ils restent derrière.

see, kings lose crowns but
princes stay intelligent.x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
Ils les avaient renvoyés chez eux. Malgré l’approche des fêtes de fin d’année, le manoir des Steadworthy n’arborait pas les traditionnelles décorations colorées. Un sapin, nu de toute guirlande, trônait dans un coin du salon. Les flocons de neige tombaient, tourbillonnaient, en une cadence effrénée. Les quatre adolescents étaient alignés les uns à côté des autres devant leur mère. Pâle, et bravant silencieusement la souffrance qui meurtrissait son cœur, Jane Steadworthy toisait ses enfants avec tendresse. Ses doigts fébriles réajustaient les cols, lissaient les vestes. Abraham passa un bras rassurant autour des épaules de sa plus jeune sœur, Abigail, qui ne parvenait pas à retenir ses larmes. Du haut de ses onze ans, qui aurait pu l’en blâmer ? L’autre sœur cadette d’Abraham, Prudence, s’était murée derrière un silence buté depuis leur départ de Poudlard. Cette attitude, que personne ne cautionnait, était principalement alimentée par le chagrin. Enfin le frère aîné de la fratrie des Steadworthy, Slender, tentait d’épaule chacun des membres de sa famille. A dix-neuf ans, il avait l’impression d’endosser le rôle de chef de famille ; cette idée, bien que chimérique, le mettait plus bas que terre. Mort. Helmet Steadworthy était mort. Il avait courageusement brandi l’étendard de l’Ordre du Phénix jusqu’à la fin, jusqu’au sacrifice ultime. Il avait laissé une épouse brisée, quatre enfants désorientée et une famille en émoi. En cette fraîche journée hivernale, ils devaient lui faire leurs adieux. Abraham, le bras toujours enroulé autour du cou d’Abigail, croisa le regard larmoyant de sa mère. Il était rongé par le désir de vengeance, l’envie de continuer le travail de son père et d’achever ceux qui avaient détruit sa famille. Jamais il n’avait ressenti pareille sensation. Rien ne parvenait à apaiser ses tourments. A dix-sept ans, son avenir – pourtant brillant – s’était considérablement assombri. Il se souvenait de la promesse qu’il avait faite à sa petite amie, Lyra Jones. Ils avaient prévu de se marier à leur sortie de Poudlard. A présent, même cette liaison éternelle semblait être compromise. « Où va-t-il être enterré ? » La voix de Prudence, éraillée après l’avoir dissimulée durant ces quelques derniers jours, retentit. Jane s’immobilisa. Ses prunelles étaient perdues dans le vide qu’elle s’évertuait à fixer. « Au cimetière de Godric’s Hollow. » Le silence intervint de nouveau. Lourd, brutal. Un fin soupir passa les lèvres rosées de la jeune veuve. Elle n’était pas encore prête à faire ses adieux à l’homme qu’elle aimait. « Il est temps. Slender, mon chéri, occupe-toi de Prue. Abe, transplane seul. Abigail, prends ma main. » Tous s’exécutèrent. Chacun de leurs gestes était ponctué par la douleur qui secouait leurs nerfs. Helmet Steaworthy avait été un homme bon, honorable, toute sa vie. Son meurtre était injuste et appelait à être vengé.

Se baissant, le jeune homme évita de justesse un sortilège de mort. Il l’avait senti effleurer sa pommette. Saisissant sa baguette, il la pointa vers la tête du mangemort. Aussitôt, un éclair vert frappa ce dernier. Il tomba à la renverse, les bras en croix et le regard fixe. La respiration sifflante, Abraham esquissa un pas prudent vers son ancienne fiancée. Celle-ci, encore étendue sur le sol, se redressa brusquement sur ses avant-bras. Les yeux écarquillés, ses lèvres frémirent. « …Abe ? » Ses mèches blondes dansaient furieusement autour de son visage angélique alors qu’elle secouait la tête de droite à gauche, refusant de se laisser happer par cette hallucination. Abraham Steadworthy était censé être mort depuis un peu moins d’un an ; peu après la fin de leur scolarité, il avait été pris au piège par deux mangemorts. Son envie de venger son père avait été la dernière chose à laquelle il s’était accroché. Le jeune homme posa un genou à terre et, alors que Lyra semblait vouloir s’enfuir, il saisit tendrement ses poignets. Il ne désirait pas la heurter outre-mesure, conscient que son apparition pouvait aisément la faire douter quant à sa propre santé mentale. « C’est moi. » Laissant échapper un cri décontenancé, la jeune femme replia l’une de ses jambes et frappa du pied le torse de son ancien amant. Le souffle coupé, ce dernier perdit l’équilibre. Leurs regards se croisèrent, ne se lâchèrent plus. « C’est pas possible. Pourquoi ? Pourquoi… pourquoi tout ça ? » La gorge serrée, Abraham ne parvint à déglutir qu’après plusieurs vaines tentatives. Comment lui expliquer ? Elle ne comprendrait pas, malgré tout l’amour qu’elle lui portait – ou qu’elle avait pu lui porter. Seul son frère aîné, qui l’avait aidé à se faire passer pour mort, savait qu’il ne l’était pas véritablement. Abraham peinait à se relever, dérangé à l’idée d’avoir à affronter de nouveau le regard de Lyra. Sa demande s’était faite pressante et il aurait été lâche de sa part de ne pas lui répondre. « Pour protéger ma famille, pour te protéger. » Excédée, la jeune femme se remit debout et poussa son ancien fiancé de ses deux mains. Déséquilibré, Abraham tint pourtant bon et affronta son passé. Il pouvait lire sur les traits de son visage la tristesse que sa disparition avait créée, le chagrin lancinant qui élançait quotidiennement son cœur et la colère qu’impliquait sa réapparition brutale. « Et qu’est-ce que t’attends ? Tu crois que j’ai besoin de ta foutue protection ? Tu crois que tu peux arriver comme ça et… faire comme si de rien n’était ? » Abraham baissa son regard azuré vers la pointe de ses chaussures. « Rickon a toujours été là pour moi, lui. » Fronçant les sourcils, le jeune homme releva sa figure vers sa vis-à-vis. « Rickon ? Pourquoi tu me parles de Rick-… oh. D’accord, très bien, je vois. » Il croisa ses bras sur son torse. Les deux protagonistes se toisaient, sans souffler mot. La perspective de voir, un jour, Lyra au bras de Rickon lui donnait la nausée. Mais sans doute devrait-il s’y faire car, au final, il avait consciemment tout perdu.

Toutefois, naturellement, ils s’étaient rapprochés. Ils ne pouvaient pas éternellement s’en vouloir et ce, même si la disparition brutale d’Abraham avait plongé Lyra dans l’inquiétude la plus dense. A présent, son ancienne fiancée et Rickon étaient entrés dans la confidence. Trois personnes savaient qu’il était en vie et, bientôt, tout le monde saurait qu’Abraham Steadworthy ne reposait pas six pieds sous terre ; mais il avait toujours besoin de plus de temps pour venger son père. Lentement, il effleurait des doigts cette félicité tant désirée. Il ne voyait toujours pas à quel point sa présence dérangeait Rickon, qui avait toujours été l’un de ses plus proches amis. Peu à peu, ce dernier voyait s’échapper Lyra. Sa crainte de la perdre le poussa à rejoindre les rangs des mangemorts. Il menaça Lyra de la tuer si elle ne restait pas avec lui. Et maintenant, ils étaient là, tous les deux. Dans le manoir de Rickon, là où leur amitié avait paru inébranlable quelques années plus tôt. Lorsque le père d’Abraham mourut, Rickon soutint son ami. Il le soutint de manière telle que le descendant Steadworthy se sentit proche de lui, comme s’il avait fait partie de sa famille. Même si Rickon avait changé, même s’il n’était plus l’ami qu’Abraham avait adulé, il ne pouvait pas le détester. Il l’aimait. Cet amour fraternel, toujours profondément ancré dans son cœur, l’empêchait de le haïr pour ce qu’il représentait. Les sortilèges fusaient. Une légère entaille barrait la joue d’Abraham alors que, pour se défendre, il pointa la pointe étincelante de sa baguette vers le torse de son agresseur. Avada kedavra. Il tua son ami, son frère, dans une lutte acharnée. Il le tua pour survivre. Vacillant, Abraham tomba à genoux près du corps de son ancien compagnon. Son visage « C’est ta faute, tu l’sais… c’est ta faute. » Des larmes, mêlées de sang, roulèrent le long de ses joues. Hébété, son regard balaya l’ensemble de la pièce. Rickon était mort depuis bien longtemps. Combien d’heures resta-t-il à ses côtés ? Longtemps, bien trop longtemps. Il ne refit surface que lorsqu’il sentit la présence rassurante de Lyra qui s’accroupit et colla son buste à son dos, les bras enroulés autour de son cou. Son souffle, lent et régulier, caressait son oreille. Il pouvait déceler dans ses soupirs le chagrin d’avoir également perdu un être cher, malgré l’odieux personnage que Rickon était devenu. « Je suis là, avec toi, tout ira bien. » Les paupières d’Abraham papillonnèrent un court instant. « Il est temps qu’ils sachent que tu es vivant, Abe. » Il hocha la tête, approuvant les dires de Lyra. S’il avait accompli sa mission silencieuse, s’il avait véritablement vengé son père, il n’en savait rien. Il était conscient que Lyra lui apporterait un soutien non-négligeable, une épaule sur laquelle se reposer. Quelques jours après la mort de Rickon, Abraham refit surface dans le monde des sorciers et, accompagné de Lyra, il rejoignit l’Ordre du Phénix. Ils se marièrent et eurent un enfant, Hester. Jamais l’avenir n’avait paru plus reluisant ; seule Prudence semblait toujours être relativement vexée de ne pas avoir été dans la confidence, à propos du prétendu décès de son frère. Sa sœur cadette et ses frères aînés s’en amusaient d’ailleurs beaucoup. L'histoire aurait pu prendre fin à ce moment-là, où tout semblait idyllique.

Lorsque le retour de Voldemort fut supposé par ses détracteurs, Lyra et Abraham reprirent leurs places respectives au sein de l’Ordre du Phénix. Ils souhaitaient protéger le monde dans lequel leur fille unique vivait. En tant que née-moldue, Lyra fut rapidement accusée d’avoir volé la baguette d’un sorcier. Parvenant à la faire sortir du Ministère de la Magie avant d’avoir été arrêtée, les deux sorciers retournèrent chez eux. Ce n’était qu’une brève visite, de sorte à pouvoir prendre le minimum vital. Ils partiraient bientôt en cavale et ni l’un ni l’autre ne savaient s’ils s’en sortiraient vivants. « Et Hester ? » Proche de la fenêtre, Abraham guettait les passants qui circulaient sous ses yeux. Il savait que ce n’était qu’une question de minutes avant de voir arriver des partisans du Ministère, ou bien quelques sbires de Voldemort. Pourtant, cette question lui brûlait les lèvres, tant et si bien que c’en était devenu douloureux. Lyra secoua la tête et plaça un tas de vêtements dans son sac. « Elle est de sang-mêlé, elle ne risque rien. » Abraham fronça les sourcils et fit volte-face, toisant sa femme avec l’inquiétude qui était sienne. « Le simple fait d’être notre fille pourrait lui attirer des ennuis, tu ne penses pas ? » Lyra étira ses lèvres en un léger sourire. « Je…je crois que c’est ce qu’on doit faire. On doit s’enfuir et… Abe, je m’inquiète aussi, mais j’ai confiance. » Le front d’Abraham se plissa. Il était conscient qu’Hester ne risquait rien, malgré l’appartenance de ses parents à l’Ordre du Phénix. En vivant dans l’ignorance, elle n’était pas susceptible de représenter une quelconque menace aux yeux des partisans du Mage Noir. L’histoire se répétait. Abraham et son épouse devaient disparaître de la surface de la terre, dans le seul but de protéger leur fille. Un craquement sonore retentit dans le couloir. Dans un sursaut, Lyra passa la anse de son sac sur son épaule et saisit la main de son mari. Ils transplanèrent et laissèrent derrière eux une maison vide de toute vie. Ils ne répondaient jamais aux courriers que leur envoyait Hester, de peur d'être localisés et de l'impliquer inconsciemment dans leurs problèmes. Triste retournement de situation pour ceux qui, dix-sept ans plus tôt, fêtaient la mort du fléau qui pourrissait à nouveau leur univers.

MON PAPA

MON GROS CHOU :red:

JE T'AIIIIIIME :love:

Ouuuuh, je suis sexy moi ? :héhé:

REBIENVENUE MON EX :bed:

MA FILLE, MON GROS CHOU. :red:

JE T'AIME

MERCI MON EX :red:

T'es la plus sexy, ouais. :héé:

Re-bienvenue chez toi avec ce nouveau personnage :puppy:

& bon courage pour cette fiche I love you

Abraham WD. Steadworthy a écrit:: MERCI MON EX
T'es la plus sexy, ouais.

Aon

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 03/08/2012

Waaaaw, un papa James Bond, ça claque ! :arcciel:

Re-bienvenue et bon courage pour cette nouvelle fiche ^^

Ca va pas pas toi de faire des persos aussi sexy Tu veux tous qu'on meurt à cause de la sexytude de tes comptes c'est ça ? Tsss
Toujours aussi hot Mine, réserve moi un de tes meilleurs lien Et puis courage pour cette nouvelle fiche

WOW le bad-ass dad!!! :puppy:

Bo, courage pour cette fiche!

Haan, toi en Papa Steadworthy, ça gère trop. :red:

T'es sexy encore une fois. :fall:

Re-bienvenue chez toi et bon courage pour cette nouvelle fiche du coup. :puppy:

Merci à tous pour cet (énième) accueil de fou. :red:

Lyla ; J'ai pas eu le temps de te le dire (même dans le flood) mais Emily est un super choix. :fall:

mon ex ; me gusta :héé:

Morgana ; Un papa James Bond, ça a un gros potentiel de tueries, faut l'avouer. :héhé:

Cinaed ; Si j'essaie d'être aussi sexy, c'est pour te plaire voyons. Pour entretenir la flamme du désir. :mimi:

Je te réserve le plus cool, le plus sex, de mes liens - même si rien ne peut surpasser le Thadd/Monroe. :héé:

Eugenie ; Etre un papa badass, c'est la vie. :héé:

Joshua ; Je me mets en mode papa Steadworthy uniquement pour pouvoir vous tourmenter - et puis, bon, il fallait bien que je craque à un moment ou à un autre. Et toi, t'es toujours sexy. :fall:

Et ben, avec un papa comme ça, je crois que ce serait dur de ne pas frôler l'inceste. ;)
Bon courage pour ta fiche

DANIEL CRAIG *O* !
Bienvenue à toi sur PI !! ^^

Hoho, merci toutes les deux. :héé: