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 regrets collect like old friends + auguswood

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MessageSujet: regrets collect like old friends + auguswood   regrets collect like old friends + auguswood Icon_minitimeMar 5 Mar - 19:07


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THE MAN I KILLED
augustus & elwood

La main autour d'un shot de whisky pur feu, je regardais mes collègues rire et hurler suite à une plaisanterie de Scribbley. Scribbley était l'archétype même du camarade sympathique, plaisant à souhait, qui prenait plaisir à payer sa tournée au bar. Il était mon opposé complet, aussi bien physiquement que mentalement. C'était peut être pour ça que je me sentais totalement exclu. Je ne buvais pas, ou du moins que par de petite gorgée, alors que mes collègues avalaient des litres et des litres sans même se soucier de la note finale. Je ne parlais pas, tandis qu'eux se faisaient entendre depuis Poudlard. Et surtout, alors qu'eux s'amusaient, je m'ennuyais. Vraiment. Voir les autres passer du bon temps me faisait réaliser que rien ne me plaisait. J'avalai une lampée de mon alcool sans m'en rendre compte. Pourquoi diable étais-je venu ? J'aurais dû répondre négativement à l'invitation de Scribbley. J'aurais dû, réellement, mais je lui devais bien ça : il m'avait dépanné une fois ou deux, lorsque j'avais oublié mes notes, pendant des procès particulièrement difficiles à suivre. Pour une fois, nous ne jugions pas des nés-moldus. Il s'agissait plutôt de meurtres, ou d'autres affaires sanglantes du genre. Autant dire que sans son aide, j'aurais été perdu, et donc, moins efficace. Je lui devais une fière chandelle, que je remboursais en venant "faire la fête" avec lui, dans ce bar miteux, qui vendait de l'alcool dont la provenance était inconnue.

La main moite de Scribbley se posa sur mon épaule, me faisant frissonner à travers ma chemise. Il se pencha vers moi, l'oeil vif et les joues rouges. « Tu pourrais aller prendre une autre bouteille au bar, Adler ?.. » Son haleine alcoolisée me dérangeant, je quittai la tablée et ses cris de singe. Voir à quel point on ne se contrôlait plus, lorsque le whisky était de la partie, me conforta dans l'idée que je faisais bien de m'abstenir. De toute façon, je n'aimais pas le goût de l'alcool, encore moins l'idée d'y devenir accro. Je n'avais jamais rencontré le père de Meade, mais j'avais appris dès les premières minutes de ma rencontre avec elle qu'il était alcoolique. Etre dépendant de quelque chose... La pensée me rendait fou. Peut être parce que j'avais été dépendant de Meade, et que me sevrer avait été délicat. De loin, je jetai un regard à Scribbley. Il riait à gorge déployée. Au moins, me dis je pour ne pas culpabiliser d'entretenir sa consommation, il avait l'air heureux. Un peu plus apaisé, si le mot était le bon, je m'accoudai au bar, attendant que le serveur vienne me servir.

Lorsqu'enfin il vint, je déposai sur le comptoir une poignée de gallions que mon collègue m'avait donné afin de régler la note et commandai une bouteille de whisky, ou de vodka, de toute façon, c'était du pareil au même. Il mit un temps fou à me ramener mon dû. A vrai dire, il était en train de parler à un client, sans même faire attention à ce qu'il se passait autour de lui. Je fronçai les sourcils vivement. Lorsque l'on est gérant d'un bar, le minimum, c'est de prendre les commandes de ceux qui font tourner le bar, non ? Encore un idiot qui était saoûl. Je me manifestai plusieurs fois, jusqu'à un point d'exaspération maximal. Cela suffisait. J'avais patienté plus de cinq minutes pour une simple bouteille ? Je pouvais sentir le regard lourd et pesant de mes camarades sur mes épaules, parce que je ne revenais pas assez vite. « Ca suffit maintenant ! » Enfin le serveur daigna poser un oeil sur moi, ou plutôt sur les pièces d'or posées bien à plat sur le bois. Cupide, par dessus le marché? « Ouais ouais. » Il se retourna et passa dans l'arrière boutique. Je me retournai vers le client avec qui il discutait. « Vous n'aviez même pas vu que quelqu'un était en train de commander ? Quel manque de respect... » Ledit client pivota jusqu'à croiser mon regard.

Elwood Harkness.

Elwood avait été, il y a fort fort longtemps, comme un petit frère pour moi. Il me suivait comme un chiot suit son maître, accompagnée par ma petite soeur, qui avait le même âge que lui. Dire que je n'avais aucune affection envers lui était totalement faux. Mais il avait été accusé d'avoir commis le meurtre d'un Auror très important, et je l'avais précipité à son jugement. Grâce, ou plutôt à cause de moi, il avait été emprisonné à Azkaban. Et il avait été récemment relâché. Autant dire que je devais occuper la place numéro, ou au minimum être dans le top ten, sur la liste des gens qu'il détestait le plus au monde. Pourtant, j'étais toujours intimement convaincu qu'il était responsable de la mort de cet homme. Toutes les preuves étaient contre lui, c'était pour cela que j'avais glissé mon propre avis dans les notes du président du Magenmagot. Je n'aurais pas voulu le croire, bien entendu. Elwood, je le connaissais depuis qu'il savait se tenir debout, aussi bien ses bons côtés que ses mauvais. Il était un bon gamin. Un bon gamin qui avait finit par céder à son côté animal et qui avait tué.

J'étais dans un bar, à côté d'un gamin qui avait sûrement tué un Auror, et qui devait me détester autant qu'un bambin déteste les épinards. Très bien.

Je ne ressentais pas spécialement de la peur, ou du dégoût, mais je me disais surtout que cela ne serait pas du meilleur effet si mon sang giclait partout, ou que mes cendres recouvraient les chaussures de mes collègues. Définitivement pas très classe.

Mon regard se durcit un peu. Pour un homme qui avait passé du temps à Azkaban, il avait plutôt bonne mine. Voire meilleure mine que moi. « Oh. » fut le seul mort, enfin, plutôt le seul son, à réussir à passer le seuil de mes lèvres. Le serveur revint rapidement, posa la bouteille de whisky face à moi et rafla les pièces sans se rendre compte de la scène qui s'étalait sous ses yeux. Scribbley vint vers moi et attrapa la bouteille, me gratifiant d'une tape amicale sur l'épaule. Il n'avait pas dû reconnaître Elwood. Je levai un sourcil, attendant une réaction de la part de mon interlocuteur. Sans doute l'alcool lui avait il déjà monté au cerveau. « Harkness. » je lançai, pour attirer son attention. Des années plus tôt, j'aurais dit son prénom. Mais à présent, il n'était plus qu'un énième nom que j'avais vu atterrir dans la pire des prisons qu'il m'ait été donné de visiter. « Quel bon vent t'amène ? » j'ajoutai, testant l'atmosphère entre lui et moi. Comme si il pouvait subsister un semblant d'amitié entre nous... J'avais beau être quelqu'un de réfléchi, j'étais, ce soir là, un véritable nigaud.


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Charlie Weasley
Charlie Weasley
ADMIN ❖ we are the champions
≡ ton pseudo : sweet poison.
≡ hiboux envoyés : 5700
≡ date d'arrivée : 15/01/2013
≡ tes points : 50 points.
≡ ta disponibilité rp : free 1/3 (elladora + abraham).
≡ ton avatar : richard madden.
≡ tes crédits : rose red (avatar).
regrets collect like old friends + auguswood Tumblr_nlmij4kiVD1qjemobo1_250
≡ âge du perso : vingt-cinq ans.
≡ amoureusement : célibataire.
≡ son emploi : soigneur de dragon à gringotts.
≡ statut de sang : sang-pur.
≡ sa maison : gryffondor.
≡ niveau d'études : études terminées avec six buses et six aspics.
≡ sa baguette : sa baguette magique est en bois d'ébène. Elle mesure 22,5 cm et contient un poil de licorne.
≡ son patronus : un ours.
≡ son amortencia : ....
MessageSujet: Re: regrets collect like old friends + auguswood   regrets collect like old friends + auguswood Icon_minitimeSam 9 Mar - 1:16


“ regrets collect like old friends ”
hello darkness my old friend
i've come to talk with you again.
Augustus and Elwood
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Une soirée comme une autre. L’heure de la fermeture de la librairie était arrivée. Il aurait pu rester avec Alice, finir la soirée en sa compagnie. Bien souvent, ça lui suffisait. Il aimait passer du temps avec Alice. Elle ne cherchait pas à juger con manque flagrant d’implication dans cette guerre. Elle était comme lui. Elle se contentait d’observer le monde s’agiter sans pour autant prendre la décision de se mêler à ce flot constant de mouvement. Ils avaient pris cette décision de rester là, passif à voir les gens se mener un combat dénués de sens, pour des raisons différentes sans doute, mais le fait été qu’aucun ne pouvait critiquer l’autre sur le choix qu’il avait fait. C’était assez régulièrement qu’on lui avait reprocher de n’oser bouger le petit doigt pour aider autrui. Il avait envie de rire face à ce genre de remarque. Un rire plein d’ironie et de rancœur. Il avait voulu aidé le reste du monde, à une époque qui lui semblait fort lointaine à présent. Il avait risqué sa vie pour des gens qu’il ne connaissait même pas et tout ça pour quoi ? Pour qu’ils le laisse croupir en prison. Il possédait une longue liste de nom de personne qu’il détestait à présent, ceux qui l’avaient abandonné à son triste sort alors qu’il était innocent, ceux qui avait décidé qu’il était coupable alors que c’était faux. Mais c’était sa parole contre celle de tant d’autres personnes, sa parole et tant de preuve contre lui. Pour eux, c’était comme s’il avait été retrouvé avec les mains pleine du sang de ses supposées victimes, parce qu’ils n’avaient pas tout vu, parce qu’ils n’avaient pas assisté à la scène qui s’était déroulée devant ses yeux à lui et parce qu’ils n’avaient pas voulu le croire. Il avait été condamné à tord et le ministère s’en était aperçu bien trop tard et là encore, à peine libérer ils lui avaient bien fait comprendre qu’il devait se demerder tout seul pour recoller les morceaux de sa vie qu’ils avaient détruite. En sortant, il n’avait plus rien. Quelques rares amis qui avait choisi de croire en son innocence malgré la sanction su magenmagot. Mais sa fiancée lui avait tourné le dos, sa famille également. Le monde lui avait tourné le dos. Alors oui, aujourd’hui, me monde pouvait bien être dans le pétrin, lui, il ne se mouillerait pas pour sauver des gens qui n’en avaient jamais rien eu à foutre de sa tronche. Il ne rejoindrait pas l’ordre du phénix, de toute façon, ils représentaient à ses yeux un idylle perdu depuis longtemps déjà; maintenant, ils n’étaient qu’une bande d’abrutis inutiles au possible. Ils n’aidaient pas plus que lui les gens, il l’avait constaté au moment où Cedrella s’était faite prendre par les mangemorts, personne n’avait bougé le petit doigt pour elle. Quels imbéciles. Lui, il se bougerait le derrière uniquement pour le peu de personne qui en valait la peine. Ses amis. Lyse peut-être, même si elle l’avait laissé tomber dans un premier temps, rompant ainsi leur fiançailles et la confiance qu’il y avait entre eux. Mais elle était la mère de son fils, celui-là même dont il ignorait l’existence quelques temps plus tôt. Pour eux, pour Alice, pour Blodwyn, il pourrait décider de se bouger, mais pour les autres que dalle et on pouvait le lui reprocher un million de fois, le traiter d’égoïste de toute façon, on sorcier de plus ou de moins parmi les combattant, on ne voyait pas la différence. Et puis, ceux qui le jugeait, ils pouvaient toujours aller se faire voir, c’était le dernier de ses soucis. C’était étrange de penser qu’un jour, il avait voulu devenir auror, le gentil sorcier venant au secours de la veuve et de l’orphelin. Pathétique. Azkaban avait changé sa façon de voir le monde. Azkaban avait changé un tas de chose dans sa vie, à commencer par sa personnalité. Les détraqueurs n’avaient que trop souvent piétinés les moments de bonheur qu’il gardait pour lui. Ils étaient toujours là. L’air était toujours froid, glacial même. Et le bonheur, n’était plus qu’un loin souvenir, là derrière les barreaux, il ne restait plus que les pires peines, le malheur déchirant les cœurs les plus purs. C’était une torture cette prison, une torture qu’il ne méritait pas lui qui n’avait jamais causé suffisamment de tord à quelqu’un pour se retrouver derrière les barreaux. C’était une bonne partie de ce qu’il avait été autrefois qui était resté derrière les barreaux. Plus jeune, c’était un garçon plein de vie, le premier à plaisanter de tout et n’importe quoi, il enchainait les bêtises stupides, s’amusaient d’un rien, imaginait un avenir plein de bonheur, un avenir plein d’amour. Aujourd’hui il ne savait plus vraiment que cela faisait d’aimer et d’être aimé, il ne souriait que très peu et paraissait au quotidien blasé de ce qui lui restait de vie. Sans compter qu’il ne dormait quasiment plus alors son visage en plus d’être fermé, reflétait un certain manque de fatigue. Il n’était plus que le fantôme de l’homme qu’il avait été autrefois et personne n’avait chercher à l’indemnisé de ce qu’il avait perdu quand on l’avait enfermé à tord. Il ne lui restait plus que sa rancune, son amertume sa haire et l’alcool. Ce soir encore, prendre l’air s’était résumé à aller s’asseoir au comptoir du bar qu’il fréquentait sans doute trop souvent, c’était rapidement devenu un habitué de ce bar.

Ce soir encore, il parlait avec l’un des employés de la petite enseigne. Ignorant un peu le reste du monde, c’était un art dans lequel il excellait. Il s’en fichait des autres clients, il y en avait bien quelques un avec qui il parlait de temps en temps, mais les habitués étaient assez rares, les gens préféraient rester cacher chez eux plutôt que de venir au bar, surtout que le couvre-feu rendait les soirées plutôt courte. Elwood connaissait bien les employés du bar, eux, ils étaient toujours là, ainsi, il avait bien souvent été amené à parler avec eux. Il n’était pas forcément un grand bavard (du moins, il ne l’était plus), mais il se plaisait cependant à discuter avec eux. Ils se comprenaient sur certains points. Il aidait Alice à tenir sa librairie à quelques pas de là, alors ils pouvaient facilement comparés leurs expériences de commençant sur le déclin. Tout comme ils pouvaient s’entretenir des trop nombreux changement que la petite ville de pré-au-lard ne cessait de connaitre. Finalement, il entendit le cliquetis des pièces contre le bar, une commende. Mais ils continua de retenir le tenancier. Il n’aimait pas être coupé au beau milieu d’une conversation et comme il se fichait bien du reste du monde, il faisait bien ce qu’il voulait. Cependant, l’homme haussa un peu le ton et son ami (oui vu ses relations actuel, même le barman il peut le considéré comme un ami, c’est mieux que rien), se résigna pour apporter commande. C’est alors que l’autre type décida de s’adresser à lui. Le sorcier tourna la tête vers sont interlocuteur et quelle surprise se fut d’apercevoir le visage de son interlocuteur.

Augustus Alder. La bonne blague. Il avait envie de lui sauter à la gorge. Sans doute était-ce là une mauvaise idée. Il n’avait pas envie d’être vraiment un meurtrier. Leur prouver qu’ils avaient eu raison de l’enfermer ne le tenait absolument pas, le fait été qu’ils s’étaient tromper. Il ne répondit rien. Se contenant de regarder le garçon de haut en bas avant de fixer ses prunelles dans les siennes. Augustus, ce traitre. Il l’avait considéré comme un frère autrefois. Le grand frère qu’il n’avait jamais eu. Avant qu’elle ne l’envoie en prison, il avait été très proche de sa sœur jumelle, mais pour un garçon qui grandit, avoir un modèle masculin, un grand frère sur qui compter, c’était important et c’était en Augustus qu’Elwood l’avait trouvé. Pendant de nombreuses années on aurait vraiment pu les croire frères et pourtant il faisait parti de ceux l’ayant précipiter derrière les barreaux d’Azkaban. Il l’avait cru coupable. Lui qui aurait du le connaitre, lui qui aurait savoir qu’il était incapable d’un tel crime, lui qui aurait du savoir que Sansa était la vraie coupable. N’avait-il pas écouté tout ce qu’il avait pu lui dire ? Les trop nombreux doute qu’il avait envers Sansa, de cette façon dont elle avait changé ? Il aurait du retenir ses paroles et comprendre qu’il ne mentait pas quand il criait que sa sœur était la vraie coupable, pas lui. Mais il n’en avait rien fait. Le laissant à son triste sort, l’oubliant derrière les barreaux de sa cellule. Il prononça son nom. Au moins, il se souvenait au moins de ça. S’il avait oublié ce qui les unissait autrefois, il n’oubliait pas son nom. Sans doute qu’il avait trop souvent tourné les page du dossier Harkness laissant ce nom s’ancrer dans sa mémoire. Il avala le contenu de son verre avant de laisser échapper un rire ironique à sa question. Il quitta son interlocuteur des yeux un court instant, le temps d’adresser un signe de tête au serveur, qui compris sans qu’il ne dise un mot et s’empressa de remplir à nouveau son verre. « Quel bon vent m’amène ? Sérieusement ? A ton avis, qu’est-ce qui peut bien pousser un homme qui a passé quatre ans à Azkaban, qui a tout perdu là-bas, à venir dans un bar si ce n’est l’envie de se saouler jusqu’à oublier combien de personne l’ont trahit, combien de personne l’ont laissé croupir dans la pire prison de la terre. » Son volume sonore avait considérablement augmenté alors qu’il sentait ses nerfs se crispé, sa haine prendre le dessus sur tout le reste. « Et toi ? Tu es venu fêter l’emprisonnement massif de né-moldus à Azkaban ? Enfermer des innocents ne t’as jamais vraiment gêné. » Il lui lança sans doute le regard le plus sombre qui puisse avoir à sa disposition. Il avait une forte envie de se lever pour lui coller son poing en pleine figure. Mais ce n’était pas correct. Il ne voulait pas causer de tord aux employés, il devait se calmer et de toute façon, il pouvait bien lui casser toutes les dents ne suffirait pas à calmer la rancœur qu’il éprouvait envers cet homme qu’il considérait autrefois comme un frère.
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