meade + i got a love that keeps me waiting

meade r. gleason

you're never walks, only staggerx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
ft. phoebe tonkin ◊ we are both
✲ NOM : elle porte celui de son père, Gleason. ✲ PRÉNOM(S) : son premier est Meade, prénom qu'elle n'aime pas tellement et dont elle n'aime pas donner la signification. Son second est Reyna, qu'elle affectionne beaucoup plus. ✲ ÂGE : elle est âgé de vingt neuf ans. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : elle est née dans une banlieue de la capitale anglaise, un certain soir de juillet. ✲ EMPLOI : elle enchaîne les petits boulots, son arrogance étant la cause de la plupart de ses renvoie. ✲ STATUT DU SANG : c'est une née-moldue, elle ne s'en est d'ailleurs jamais vantée. ✲ ANCIENNE MAISON : lorsqu'elle étudiait à Poudlard, la brune faisait alors partit de la maison des sages et des réfléchis, Serdaigle. ✲ SITUATION AMOUREUSE : il y a deux ans de cela, elle était encore fiancée.

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C'est une baguette bien spéciale que celle de Meade, sculptée avec soin du bois d'un chêne blanc, d'une finesse inestimable. C'est il y a très longtemps que celle-ci a choisi son sorcier, à cette époque il n'avait que onze ans et a d'instinct su qu'elle était faite pour elle : loyal, puissante et agile sont les principales qualités de cette baguette, spécialisée malgré tout en sortilège. Le coeur de cette baguette recèle bien des mystères, mais c'est la magie d'une plume de phénix qui lui donne toute sa puissance.

L'avis de ton personnage sur VoldemortLe mage noir à toujours inspiré de la peur à la brune, de part la nature de son sang elle l’a toujours craint, sachant très bien qu’elle faisait partie des première proies de ce dernier. Souvent elle en avait entendu parler, lorsqu’elle étudiait encore à Poudlard on murmurait déjà des rumeurs à son sujet. La jeune femme n’y croyait alors pas, se baignant dans les rêves, se rassurant en se disant qu’il ne risquerait pas de revenir une seconde fois. Elle avait surtout peur de ce qu’il pourrait lui arriver si c’était le cas. Seulement, plusieurs années après avoir quitté l’école de magie, elle devait enfin voir la réalité en face : il était de retour et plus fort que jamais. Elle a peur, même si elle ne cesse de le cacher, pour se donner une plus forte allure, elle ne cesse de frissonner lorsqu’elle entend quelqu’un prononcer son nom, pour elle, il est le diable incarner, la mort même.

Ton personnage et l'Ordre du Phénix Meade a toujours su apprécier les membres de l’Ordre à leur juste valeur, appréciant la cause de leur combat. Après tout, ce sont pour des sorciers comme elle qu’ils se battent sans relâche contre les forces de ce mage noir. Cependant, jamais elle n’oserait rejoindre les rangs de cette organisation, jugeant cela trop dangereux pour elle, même si cela ne lui aurait pas déplut. Elle préfère pour le moment les admirer de loin, espérant que ces derniers pourront enfin mettre un terme aux agissements de Voldemort. D’eux, elle n’en pense que du bien, voyant les sorciers rejoignant ses rangs comme de courageuses personne. Bien plus courageuse qu’elle.

Ton personnage et la situation actuelle La jeune femme, malgré son incroyable don à intérioriser toutes ses émotions, ne pourrait pas cacher le faite qu’elle a peur de tout cela. La guerre est présente, elle en a conscience et cependant elle cherche à la fuir par tout les moyens, étant à présent comptée parmi les fugitifs. Elle court, toujours, nuit et jour, espérant échapper aux Mangemorts qui la recherche elle et tout les sorciers partageant le même sang. Sans relâche elle continue, essayant de ne pas perdre espoir. Elle espère que tout cela cessera vite, et même si elle craint par-dessus tout le mage noir, elle n’hésitera pas à se battre pour sauver sa vie. C’est ce qui lui importe le plus, de pouvoir vivre.

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candids ◊ 7j/7 de connexion
✲ PSEUDO : candids, ou encore freedomflag. ✲ PRÉNOM : Andréanne, même si je préfère Andréa. ✲ PERSONNAGE : c'est le scénario orgasmique de Augustus :fall:

. ✲ PAYS : la douce France. ✲ OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM : il y a looooooongtemps, sur bazzart. ✲ TON AVIS SUR PI : il est toujours aussi beau et aussi accueillant, peut-être pour ça que je me suis décidé à revenir pour de bon avec ce scénario :calinchou:

. ✲ UN DERNIER MOT : I love you

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Broken dreams and silent screamsx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x
(+)
Tous les enfants la regardent, elle en est consciente, elle ne change pourtant pas ses manières quelque peu déplacée. Elle a grandit comme cela, de ce monde impitoyable où elle a vu le jour. La brune sait très bien qu’elle est mal vu par le reste de son école, mais elle n’en a que peu à faire. Elle déjà beaucoup d’autres problèmes pour se préoccuper de ce que peu bien penser les autres d’elle. Elle se contente de rester comme elle, au risque de passer pour une personne peu fréquentable. Cela lui importe peu au final de se retrouver seule.

Marchant d’un pas lent dans la rue où elle vit avec ses parents, elle fait attention à ne pas se dépêcher. Il faut dire qu’elle n’est pas du tout pressée de rentrer chez elle, où elle vit chaque jour l’enfer. Malgré le froid, elle n’avance pas plus vite, préférant de loin tomber malade. Comme toujours, elle sait très bien qu’elle retrouvera son père allongé dans le miteux canapé de leur salon, complètement soule, des bouteilles de bière jonchant le sol. La télévision allumée, cette dernière affichant sûrement un match d’un stupide sport, comme tous les jours. Arrivant finalement chez elle, elle prend soins de ne pas faire de bruit, ne voulant pas réveiller son paternel qui devait sûrement être en train de décuver. Elle savait qu’il ne valait mieux pas l’énerver quand il était dans cet état. Sa mère elle, était assise dans la cuisine, la tête cachée dans ses bras croisés sur sa table. Elle pleurait, elle pouvait l’entendre de l’entrée. Tous les trois vivaient dans la misère de ce monde, la pauvreté. Elle ne savait pas à qui en vouloir au fond. Devait-elle haïr son père, cet ivrogne ? Ou encore tout simplement cette société qui ne cherchait même pas à aider des gens comme eux ? Soupirant, elle avança vers la cuisine pour passer légèrement sa main sur le dos de sa mère, lui offrant une petite caresse, dans l’espoir de la réconforter quelque peu. Il fallait se montrer fort lorsque l’on vivait dans une situation pareille, la brune en était consciente, mais voir sa mère dans cet état lui brisait le cœur. Tâchant cependant de garder la tête haute, elle ne se retourne pas pour croiser le regard de sa mère, dont elle sent les yeux fixer son dos. Il ne fallait pas qu’elle devienne faible à son tour, non, jamais.

Le souffle court, la jeune fille ne comprenait toujours pas ce qui venait de se passer, beaucoup trop abasourdie pour aligner une seule pensée. Sa tête lui faisait mal, elle commençait à ressentir la nausée. S’appuyant contre un mur, elle plissa ses yeux, comme pour s’assurer que ce qu’elle voyait été réel. Si elle ne rêvait pas. Le salon était dans un état affreux. Des milliers de papiers jonchaient le sol, les bières de son père s’étaient brisées au sol, formant des bouts de verre. L’un d’eux c’était enfoncé dans la paume de main de la jeune fille, se mettant à grimacer, elle le retira, réprimant une larme. Sa mère quand à elle était tout comme elle, choquée. « Je voulais pas… je sais pas ce qui se passe… », Murmura-t-elle, la voix brisée. Sur ce point, elle ne mentait pas. Rentrant de son école, elle avait surpris ses parents en pleine dispute. Son père une fois de plus, totalement ivre c’était mit à frapper sa mère. Meade était alors rentrait immédiatement dans la pièce, prise d’une grande colère. Les hurlements jaillissaient de tous les coins, tandis qu’elle se mettait à insulter son père de tous les noms. Non pas qu’elle le détestait, elle savait très bien qu’au fond il avait été quelqu’un de bien dont la vie n’avait pas su se montrer sympathique à son égard, mais elle ne supportait pas l’idée qu’il lève la main sur sa mère. S’étant mis à hurler à plein poumon après avoir fermée ses yeux, elle n’avait alors pas fait attention à ce qui venait de se passer. Son père était à présent couché au sol, quelques mètres plus loin, s’étant fortement heurté au mur de la pièce. Sans explication il gisait maintenant au sol, complètement ivre, tandis que la mère de l’enfant la fixait d’un air apeurée. Contrairement à Meade, elle venait de voir toute la scène. Complètement effrayée, elle c’était mit à pleurer une fois de plus.

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Elle gardait le silence, admirative devant tout ce qui se passait devant ses yeux. La magie, cela existait donc finalement. Jamais la brune ne l’aurait cru, de plus, elle n’aurait encore moins pensée qu’elle pourrait faire partit de ce monde. Cependant, c’est ce qu’on lui avait répété des centaines de fois depuis qu’elle avait reçu cette lettre chez elle. Ce jour-là, la joie et la tristesse c’était mélangée dans son être. Elle était heureuse de quitter cette maison où seul la misère régnait, mais elle était à la fois brisée de devoir quitter sa mère, sans ressource. Elle avait peur pour elle, peur dont son père pourrait lui faire subir durant les années où elle serait obligée de suivre ses cours à Poudlard. Cependant, elle tâcha de rester le forte le jour où elle dû quitter sa mère, lui promettant de venir la voir pour les vacances. Préférant de loin garder un œil sur elle que de passer Noël dans l’école de magie. Soupirant légèrement une fois de plus, elle se mit à crier quand un sorcier de son âge la bouscula une fois de plus, tandis qu’ils se dirigeaient vers l’estrade afin que la répartition soit faite. « Mais merde, t’es aveugles ou quoi ? » fit-elle en le bousculant à son tour, le gratifiant d’un regard noir. Elle n’avait pas peur, oh non, son arrogance était telle qu’elle n’avait aucunement peur de qui que ce sois. Le sorcier en question avança rapidement, Meade le perdant de vue. Elle leva les yeux au ciel tandis que tous les autres la fixaient du regard. « Quoi ? Y a un problème ? » Dit-elle d’un ton brutal. Il n’y avait que de cette manière qu’elle savait ce protéger, de façon brutal. Passant une main dans ses cheveux légèrement décoiffée, elle fut attentive à la répartition, commençant à s’inquiéter. Dans quelle maison allait-elle tomber ? On lui avait longuement parlé de chacune d’elle, ventant leurs mérites, mais malgré tout, aucune d’elle ne semblait lui convenir. Elle était mitigée quand au choix de sa futur maison. « Meade Gleason. » Lorsque son nom fut prononcé, la brune releva la tête, elle se mit à grimacer, une moue boudeuse se formant sur son visage. Bien vite, elle sentit le regard des autres braqués sur elle. Il faut dire qu’elle n’avait pas fière allure. Ses cheveux étaient en bataille, tandis qu’aucun sourire n’apparaissait sur ses lèvres. Arrivant sur l’estrade, elle s’assit sur le tabouret, attrapant le chapeau et l’enfonçant sur sa tête. « Quelle délicatesse… » Commença le choixpeau. Levant les yeux au ciel, la jeune fille soupira, observant d’un rapide regard la salle entière qui avait les yeux rivés sur elle. « Ou vais-je pouvoir te mettre ? » Il semblait hésiter, beaucoup. Pas étonnant lorsque l’on pouvait connaître la personnalité de Meade. « Où tu veux, mais grouille. » Soupirant une fois plus, elle avait de quoi en agacer plus d’un de part ses manières quelques peu déplacés. Cependant, elle continuait de garder cette excuse minable. Elle prétendait qu’en étant née dans cette misère, elle n’avait pu qu’en adopter les manières. Excuse totalement fausse, tout le monde peut changer lorsqu’il le souhaite. Tandis qu’elle continuait de se plaindre, regardant le ciel enchanté de la Grande Salle, le choixpeau ne semblait pas se décider. « Malgré ton mauvais comportement, tu sembles être quelqu’un de très réfléchit, mais surtout intelligent… » Commença le choixpeau. « Ah bah enfin… » Murmura la jeune fille, sachant que le moment tant attendu approché à grand pas. « SERDAIGLE ! » hurla alors ce dernier. Et tandis qu’elle se levait, un léger sourire se dessina sur ses lèvres, tandis qu’elle pouvait voir les camarades de sa maison se lever, hurlant l’arrivée d’une nouvelle camarade. Pour Meade, c’était une nouvelle vie.

Cela faisait maintenant quelques temps que la jeune femme se trouvait dans cette salle de classe, debout face à ce chaudron qui ne cessait de bouillir. Se mettant à soupirer bruyamment, elle venait une fois de plus de rater cette potion. Il faut dire que même si cette dernière se trouvait dans la maison des réfléchis, elle n’en était pas moins la meilleure élève. Effectivement, elle avait toujours su montrer un niveau pitoyable dans cette matière. « Comment est-ce que tu as pu venir à Serdaigle, Meade ? Sérieusement, faire une potion, ce n’est pas sorcier. » Ecoutant les paroles du jeune homme, elle lève une fois de plus les yeux au ciel, son arrogance toujours présente se fait ressentir. Croisant les bras sur sa poitrine, elle le fixe du regard, tandis que ce dernier s’active devant elle. « C’est pas sorcier, gnagnagna, ben oui, ben désolé moi je suis pas un rat de bibliothèque Auggie ! Regarde, j’ai bien tout fait, j’ai bien tout coupé, c’est pas de ma faute si c’est vert à la place de blanc. » Soupirant une fois de plus, elle manque de ricaner en le voyant se remuer. Il espérait sans doute sauver la potion que tout deux devaient préparer. Ce dernier affiché une mine dépité. Sûrement devait-il être énervé de voir qu’elle n’arrivait à rien. « De toute façon, moi, j’aime pas les potions. Ça sert à rien. La seule qui est bien c’est celle pour faire des furoncles. » Tandis qu’elle l’observe alors en train de continuer la préparation de leur potion, du moins sauver cette dernière, elle s’approche doucement de lui et se penche malicieusement à son oreille, un sourire gravé sur ses lèvres. « Les boutons de Stoneheilf, en deuxième année… Ben, c’état moi. Bien fait pour elle. Elle m’avait piqué une plume en sucre. » Son sourire toujours présent, elle se redresse légèrement. L’observant faire, elle le voit alors lui jeter un regard noir. « Aucun respect pour la culture magique, vraiment ! » se met-il alors à prononcer. Manquant de soupirer de nouveau elle répond. « Ça fait quatre ans qu’on se connaît. Tu devrais être habitué, depuis. » Le regardant droit dans les yeux, elle le voit alors lui tourner le dos en déplaçant le chaudron avec lui. Grimaçant légèrement, elle s’approche de nouveau du jeune homme, se mettant sur la pointe des pieds, pour poser doucement son menton sur son épaule. « Tu boudes ? Tu m’en veux ? » Ne bougeant pas d’un pouce, elle l’entend alors grogner. « En fait, tu m’en veux parce que j’ai eu une meilleure note que toi en sortilèges ? » De nouveau, elle l’entend grogner. Affichant alors une mine quelque peu triste, elle se tait pendant un long moment, n’aimant pas particulièrement qu’Augustus et elle se dispute. Espérant que ce dernier cesse, elle vient alors se pencher légèrement pour déposer un baiser sur sa joue, fermant les yeux quelques instants. Se reculant alors et posant ses mains sur ses épaules elle prononce alors « Arrête de bouder et apprends moi à faire cette fichue potion. » Venant se placer à ses côtés elle lui sourit alors, se forçant à se concentrer.

« Tu peux y arriver, essaye encore. » La voix semblait venir de loin, alors que son professeur de métamorphose se trouvait tout près d'elle. Elle pouvait sentir son regard peser sur elle tendit qu'elle avait fermé les yeux pour se concentrer. Bon dieux, qu'est ce qu'elle était fatiguée. Pourtant, cette expérience était très importante pour elle. La jeune femme voulait voir à quel point elle pouvait s'améliorer dans chaque domaine, jusqu'où elle pouvait repousser ses limites. C'est bien pour cela qu'elle avait toujours prêtée beaucoup d'attention au cours de métamorphose, espérant un jour arriver à son but. Devenir elle aussi une animagus. Elle ne savait pas vraiment d'où lui venait cette envie, mais depuis sa première année à Poudlard elle avait d'ors est déjà commencée à s'exercer. Mais ce jour-ci, elle était bien décidée à accomplir cet exploit. Sa première métamorphose en tant qu'animagus. Elle avait aussi hâte de voir à quoi elle ressemblerait, ce qu'il la définirait en tant qu'animagi. Aussi, elle inspira, expira... plusieurs fois à la suite avant de serrer les points et de se concentrer activement une fois de plus. Elle s'imaginait en train de se métamorphoser, changeant petit à petit de forme pour devenir un animal. À ce moment-là, elle commença à ressentir des picotements sur chaque parcelle de son corps, cela lui arracha une grimace, mais elle n'était pas prête à renoncer. Elle pencha la tête en arrière, faisant un effort considérable pour ne pas arrêter immédiatement tellement sa tête lui faisait mal. Elle avait l'impression qu'on lui frappait la tête à coup de batte. « C'est bien, continue comme ça. » A présent, la voix de son professeur était presque inaudible, comme si elle venait tout bonnement de son imagination. Elle se mit alors à ouvrir ses paumes et à partir de ce moment, tout se passa très vite. Elle sentit ses os changer de forme, cela lui arracha un petit cri, mais elle continua tout de même à se visualiser mentalement. Cela lui faisait horriblement mal, mais cette douleur ne serait pas éternelle. Elle sentit ses cheveux disparaître tandis qu'elle se sentait attirer vers le sol. Ses mains atterrirent au sol. Au début, elle cru avoir échouée, encore une fois. Elle n'osait pas ouvrir les yeux, mais quand elle entendit son professeur l'applaudir, elle ouvrit rapidement ses yeux. Ce dernier se tenait face à elle, à genoux. Normalement, elle aurait du être au même niveau que lui, seulement, elle était beaucoup plus basse. Puis elle pencha la tête et lorsqu'elle vu que ses mains avaient laissées place à des pattes recouvertes d'un poil aussi noir que la nuit, elle recula instinctivement. Elle releva la tête vers son professeur, ce dernier lui souriait. « Eh bien, c'est parfait. Je te félicite ! » Meade se tourna alors vers le seul miroir qui se trouvait dans la pièce. Dans la glace, ce n'était plus son apparence humaine qui se reflétait, non. Elle avait laissé place à celle d'un animal, un lapin. Si elle avait pu se mettre de nouveau dans son apparence humaine, elle se serait bien fichue d’elle-même. Un lapin… c’était donc ça son apparence d’animagus ? Elle qui pensait ressembler à l’une de ses bêtes sauvages et puissante, la voilà représenter par le plus niais des animaux.

C’est d’un pas rapide que la jeune femme arpenté les couloirs de l’école de magie, n’ayant pas vu l’heure durant le temps ou elle se préparait, elle allait une fois de plus arriver en retard en cours. Cela ne la dérangeait guère, le cours de potion était de loin le cours qu’elle détestait le plus. Ce qui l’inquiétait par contre, c’était Augustus. Le connaissant, ce dernier devait sûrement l’attendre devant la classe. Elle fut quelque peu surprise en ne le voyant pas l’attendre devant l’entrée de la classe, fronçant les sourcils elle afficha une moue boudeuse. Cependant, elle changea bien vite d’expression, présentant ses excuses à son professeur. A peine fut-elle entrée dans la classe, qu’elle sentit les regards se poser sur elle. Marise avait raison, son conseil avait l’air de faire effet. Avançant vers sa place, elle put entendre Billie, un Serpentard, faire un bruit quelques peu explicatif sur ce qu’il devait bien penser de la nouvelle allure de la jeune femme. Malgré tout, la brune fronça les sourcils, lorsqu’elle aperçu Augustus lui lancer un regard noir. Qu’avait-elle encore fait ? « Monsieur, en temps que préfet et préfète en chef, je crois que Gleason et moi nous devons nous entretenir. Veuillez nous excuser. » Le voyant foncer vers elle rapidement, elle n’eu même pas le temps de réagir que ce dernier l’attrapait déjà par les poignets pour la forcer à le suivre à l’extérieur de la salle de classe. Se laissant faire, non pas sans essayer d’extirper son poignet et jurant à voix basse, elle finit par le forcer à la lâcher, tous les deux se trouvant loin à présent assez loin salle. Le voyant alors se rapprocher d’avantage d’elle, elle le voit attraper l’une de ses mèches de cheveux. « Je peux savoir ce que c’est ça ? Hein ? » Soupirant, elle lève sa main pour repousser la sienne et répond brutalement. « Ca s’appelle des cheveux, tu sais, ce que t’auras plus sur le caillou à partir de trente ans ! » « Tu as vu comment Billie t’as regardé ? On aurait dit qu’il te prenait pour de la chair à saucisse. Dégoûtant. » Le regardant, elle se mets alors le dévisager, elle sentait petit à petit la colère monter en elle. Et dire qu’elle avait fait tous ces efforts pour lui. Serrant doucement ses poings, elle lui répond alors d’une voix brute. « Et alors ? Ça te regarde pas que je sache, si ? Désolée de te décevoir, mon cher petit papa, mais si ça te gêne que j’aie appris un sortilège pour me lisser les cheveux parce que Marise m’a dit que ça pouvait plaire aux garçons une fille qui prend soin d’elle et que jusqu’à preuve du contraire tu ES un garçon et je pensais que ça te plairait et… » Écarquillant les yeux, elle se rend compte alors des paroles qu’elle vient de prononcer, grimaçant, quelque peu gêné elle lui demande, d’un ton plus calme. « Oh mon dieu, je viens pas de dire ce que j’ai dis, si ? » S’arrêtant brutalement elle détourne le regard, ne voulant pas que ce dernier la questionne. Elle sent alors son regard se pauser sur elle. « Arrête de me regarder comme ça. » Dit-elle d’un ton sec. A ce moment même, elle se demandait si elle n’aurait pas mieux fait de se taire. Il devait sûrement la prendre pour une imbécile. Ne l’entendant pas répondre, elle s’apprêtait alors à retourner en classe. Relevant la tête, elle voit alors son regard braqué sur elle. « Je t’aime. » Dit-il brusquement tandis qu’elle ouvre légèrement la bouche, complètement surprise par la révélation du jeune homme. Comme si elle croyait rêvait, elle demande, d’un ton peu sûre. « Tu m’aimes ? » « Je t’aime. Tu m’aimes ? » Ne sachant plus quoi vraiment répondre, les mots ne lui venant pas, elle prend alors doucement le visage du jeune homme entre ses mains, venant déposer un baiser sur ses lèvres.

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Lorsque Meade avait finalement finit ses études à Poudlard, réussissant ses examens et remportant de bon résultat à ses examens. A présent, elle continuait d’enchaîner les petits boulots, pour subvenir à ses besoins et à ceux d’Augustus. Elle faisait du mieux qu’elle pouvait, tâchant de ne pas se faire renvoyer à cause de son arrogance. Mais il faut dire que les mots lui échappaient souvent, lorsqu’elle pouvait sentir la colère monter en elle. Cependant, elle ne voulait pas perdre son boulot à St Mangouste. Elle en avait beaucoup trop besoins pour cela. Elle se rappelait encore de ce soir où Augustus était revenu la mine dépité, lui annonçant qu’il devait tout deux quitter le luxueux appartement payé par son père, alors qu’ils venaient tout juste de s’y installer. Il avait alors apprit que Meade n’était pas de sang-pur. Durant beaucoup de temps, malgré les paroles rassurante de son amant, la brune ne s’était pas cessée de s’en vouloir d’être la cause de leur vie quelque peu misérable. Elle avait peur de tracer le même chemin que ses parents, vivant dans la misère. Elle ne voulait pas de ça pour Augustus.

Un jour, tandis que ce dernier s’occupait de la boutique où il tenait le rôle de vendeur, à Pré-Au-Lard, elle avait prit la décision de retourner chez ses parents, pour prendre des nouvelles de ses parents, qu’elle n’avait pas revu depuis quelques temps maintenant. Elle savait dans quel était allait retrouver son père probablement. Ne prenant pas la peine de frapper à la porte, elle entra silencieusement à l’intérieur. A sa plus grande surprise, son père ne se trouvait pas allongé dans le salon, à décuver comme il en avait pourtant l’habitude. N’apercevant pas sa mère dans le salon, elle grimaça, se demandant ce qu’il pouvait bien se passer. Tournant légèrement sa tête, elle vu alors son paternel, assis à la table de la cuisine. Elle ne savait pas ce qui était le plus surprenant. Le fait que son père n’était pas ivre ou bien ses sanglots qu’elle entendait de la porte d’entrée ? Son père, en larme. Lui qui c’était tout le temps montrait dure et ferme, cela lui faisait beaucoup de mal de le voir dans cet état. S’avançant alors vers lui, ce dernier releva la tête, murmurant son prénom comme pour s’assurer que c’était elle. « Meade ? » Ne prenant pas la peine de le consoler, elle en était incapable, du moins sans verser une larme, chose qu’elle ne souhaitait pas, elle demanda d’un ton dur. « Où est maman ? » Il se mit à sourire. Un sourire qui n’exprimait que la tristesse d’un les traits de son visage, lui faisait paraître l’allure d’un vieille homme. « Partit. » Dit-il simplement, réprimant un sanglot. Ne sachant quoi répondre, elle reste debout, droite. Alors que son père se lève pour la prendre dans ses bras, les larmes coulant sur ses joues, elle se recule brutalement, les larmes aux yeux. « Tu vas finir ta vie tout seul… » Continuant de pleurer, elle se met alors à hurler. « TOUT SEUL ! » Les larmes roulant sur ses joues, elle sent son cœur se briser en voyant son père dans le même état. « Je te déteste. » Murmure-t-elle alors, la voix brisée, avant de quitter la maison où toute sa dure enfance c’est déroulé.

Ce matin là, elle ne savait pas vraiment ce qui lui avait prit. Elle avait l’impression d’avoir pétée un câble. Elle c’était sentit obligée de balancer tout ce qu’elle pouvait bien penser des personnes dans son boulot, ne ménageant pas ses mots. Le résultat fut évident. Elle fut très vite renvoyée alors qu’elle continuait d’hurler les injustices dont elle était victime. Se retrouvant à l’extérieur de l’hôpital, ses cheveux furent bien vite totalement trempés par la pluie qui battait son plein. Rentrant péniblement à l’appartement que Augustus et elle c’était payée, elle appréhendait sa réaction lorsqu’elle devrait lui annoncer son renvoie. Tous les deux risquaient de ne plus avoir assez d’argent pour payer le loyer de leur piteux studio. Assise sur leur lit, son dos cambrait contre le mur, elle attendait son retour, continuant de se torturer l’esprit, se disant qu’elle n’aurait jamais dû. Lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir, elle releva la tête vers lui, cherchant son regard. Il avait l’air fatigué, sa mine en disait long sur la journée qu’il venait de passer. Tous deux ne possédaient pas des métiers de rêve. Se levant pour venir vers lui elle commença d’une voix presque inaudible. « Auggie je… je me suis fait… » Elle n’eu même pas la peine de finir sa phrase qu’elle comprenait dans son regard qu’il avait bien vite comprit. Baissant la tête, elle frissonna doucement en sentant les mains du jeune homme se glisser doucement sur sa taille. Attendant quelques instants, blottit contre lui, elle releva alors la tête pour l’embrasser, doucement. Se laissant alors allez, contre lui, elle ferme les yeux tandis que tous deux se laisse tomber sur leur lit.

Les yeux mi-clos, Meade se glisse doucement au dessus d’Augustus, tâchant de garder son corps frêle et légèrement tremblant, contre celui de son amant, encore chaud de leurs ébats amoureux. Elle penche alors légèrement sa tête pour embrasser son épaule, une main caressant son torse. Elle cherche alors sa main, pour entremêler ses doigts aux siens. « Viens Augustus, on part. » Observant son expression, elle remarque que celui-ci semble pensif, observant le plafond au dessus d’eux. « Hmm ? Quoi ? » Se redressant légèrement, elle capte alors son regard, se retenant de l’embrasser une nouvelle fois. « On part. On plaque tout. On prend notre argent, nos baguettes, et on part à l’aventure loin d’ici. » Elle ne semblait pas sûre de ses paroles, de peur que ce dernier refuse. Elle n’en pouvait plus de cette vie, elle voulait partit loin, avec lui. Ne l’entendant pas répondre, elle continue alors. « On part pendant un an, on dort à la belle étoile, on chasse on vit comme on l’entend, on fait l’amour tout le temps, et après cette année, on repart. » Le voyant alors se redresser, elle passe doucement ses bras autour de son cou, s’accrochant à lui. Fermant les yeux, elle sourit doucement en sentant ses lèvres embrasser son front. « Fais tes valises, poupée. On part faire l’amour à travers tout le monde magique ! »

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Rentrant brusquement sans prendre la peine de frapper, elle ne fait pas attention au regard de Cinead qui se pose sur elle. Les cheveux en bataille, le visage sale, sa mine n’exprimait que la fatigue. Elle se dépêche de se rendre dans la chambre que ce dernier lui a emménagée, lorsqu’elle viendrait passer du temps chez lui. « Meade ? » L’entendant prononcer son prénom, elle ne prend pas la peine de répondre, beaucoup trop fatiguée pour cela. Attrapant une serviette elle se jette sous la douche, ne se gênant pas pour passer un long moment sous l’eau chaude qui coule le long de sa peau. La jeune femme avait l’impression d’être complètement perdue. Elle en savait plus quoi faire de sa vie depuis deux ans maintenant. Deux ans qu’ils avaient rompu brutalement, Augustus et elle. Elle n’en revenait toujours pas, encore troublée, deux ans plus tard. De plus, sa situation actuel n’arrangeait rien. Sortant finalement de la douche, elle prend soins de se sécher avant d’enfiler quelques vêtements qu’elle avait laissait un mois plutôt à Cinead, ce dernier ayant prit soins de les lui laver. Même si elle ne lui disait jamais, elle était tout de même soulagée de pouvoir compter sur son ancien beau-frère pour la loger. Venant dans le salon pour s’asseoir à ses côté, non pas sans être passée dans la cuisine de ce dernier pour prendre une bière, elle se laisse tomber lourdement sur le canapé, fixant la télévision que ce dernier avait allumé. « Tu restes combien de temps cette fois ? » Il est vrai que la question méritait d’être posée. Meade avait le don de disparaître sans prévenir et de réapparaître brusquement. La délicatesse incarnée. Haussant les épaules, elle bu une gorgée de sa boisson avant de répondre. « Aucune idée. »

Bienvenue à toi I love you

Bon courage pour ta fiche :puppy:

EDIT : j'espère que mon post ne te gênera pas :potté:

≡ ton pseudo : · **≡ date d'arrivée :** 17/01/2013

PHOEBE

BIENVENUE

bonne chance pour ta fiche (a)

Si tu as des questions, n'hésite pas :bave:

sofia + Merci beaucoup. I love you

Et non, ton post ne me gène pas. :bril:

ceinwen + mon dieu, Teresa, elle est si peu prise et tellement parfaite. :fall:

Merci beaucoup et je n'hésiterais pas. I love you

PHOEBE

Bienvenue et bon courage pour ta fiche :puppy:

Merci beaucoup. I love you

Andréa

bienvenue et bon courage pour ta fiche! I love you

Sevde

Merci beaucoup. I love you

Bienvenue

bon courage pour ta fiche

Bienvenuuuue :red:

& bon courage pour ta fiche I love you

Merci beaucoup tous les deux. :potté:

J'aime beaucoup le choix de scénario, surtout le pseudo. (meade, c'est trop classe :fall:

)

Bienvenue, bon courage pour ta fichette. :héé:

Si tu as la moindre question, n'hésite pas. :red:

Bienvenue sur PI! :angel:

COUCOU MA CHERIEEEEEEEEEEE
Bienvenue officiellement sur PI

Re-bienvenuuuue ^^

Et bon courage pour ta fiche ! :yay:

MEAAAAAAAAAAAAADE :red:

Très bon choix de scénario, ça fait plaisir à notre Josie en plus :héé:

Bienvenue

Merci beaucoup tout le monde. I love you

MEAAAAAAAADEEEEEEE
Très très bon choix de sénario Je te MPotte notre lien dès que je suis rentrée du lycée cette aprèm
Bienvenue parmi nous belle-soeur et bon courage pour ta fiche

Merci !

D'accord, j'attend ton mp alors. I love you

cette fiche mon amouuuuuuur.
c'est parfait parfait parfait je te donne mon accord pour la validation!

bienvenue, bon courage pour ta fiche I love you

auggie + ooh, contente qu'elle te plaise. I love you

maylisee + merci. :puppy:

Très beau personnage. I love you

Puisque Augustus a donné son accord, je te valide. Bon jeu. :héé:

ta fiche est validée

tu es officiellement un pienx x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x x

hurray te voilà lancé dans le grand bain ! C'EST QUE TU ES MOTIVÉ DIS DONC ! Alors en cadeau, tu as le droit d'apprendre à faire la vaisselle (ou pas hein, :mdr:

). Délire passé, je t'ajoute à ton petit groupe, de ton côté, pense à faire toutes les démarches nécessaires à ton arrivée sur le forum et il y en a, à faire :
Pour aider à la bonne marche des répartitions et du forum tout simplement, n'oublie pas non plus de recenser la maison et le rang de sang de ton personnage : ça peut toujours aider, et si tu as soudainement alzheimer, tu pourras toujours revenir dans ce sujet pour voir où se situe ton personnage. Petit bonus du hors jeu, tu auras bien entendu la possibilité de créer un scénario pour ton personnage, sans oublier de recenser l'avatar de celui-ci également (a). Pense aussi a remplir ton profil, au moins la partie concernant le personnage histoire que les autres membres puissent savoir son âge, sa maison et compagnie rapidement (a) Ceci dit, le remplir en intégralité, c'est encore mieux Rolling Eyes

Dans le monde de la magie, si ton personnage est un adulte, pense à recenser son emploi à Poudlard ou ailleurs. Ensuite si ton personnage est un élève érudit ou un adulte, pense à recenser son patronus ou sa capacité spéciale (facultative). A Poudlard, ton personnage a la possibilité de faire partie de l'armée de Dumbledore ou des préfets ou de l'équipe de quidditch de sa maison, à toi de voir (a).

Outre cela, n'oublie pas que tu peux également faire gagner des points à ton actuelle ou ancienne maison et gagner des cartes chocogrenouilles, essentielles à l'avenir du jeu, grâce à ton activité. Donc n'hésite pas à te lancer de le rp, nous rejoindre dans le flood, voter sur les topsites et de laisser un petit mot ici :coeur:

Merci beaucoup. I love you