(M/PRIS) AIDAN TURNER ◊ no light in your bright blue eyes.

tristan everdeen

28 ANS ◊ SANG PUR ◊ AIDAN TURNER

THE MINISTRY
OF MAGIC, LONDON

tristan everdeen

8 BUSES & 8 ASPICS
ECRIVAIN
LIKE A WIZARD

"Dark and difficult times lie ahead"

☇ La famille Everdeen est l'une des plus vieilles familles de sang-pur d'Angleterre. Enfant unique, Tristan est né et a vécu auprès de deux parents aimants dont il était la fierté. A Poudlard, il intégra la maison de Gryffondor où il rencontra la jeune fille qui devint, plus tard, sa femme. Jeune homme peu studieux, il sut pourtant toujours se débrouiller pour briller aux yeux de ses professeurs. A sa sortie de Poudlard, il décrocha un petit boulot à la Gazette du Sorcier mais, bien vite ennuyé par son manque flagrant de responsabilités, il démissionna et entama une carrière d'écrivain.
☇ Tristan est le seul descendant, et donc l'unique héritier, de la fortune des Everdeen. Lorsqu'il eut vingt-trois ans, il épousa une née-moldue – ses parents, sages et bons, approuvèrent cette union – et un enfant naquit de cette union. A la mort de ses géniteurs, peu avant les déclarations alarmantes de Dumbledore et de son disciple Potter à propos du retour du cruel Mage Noir, il reçut plusieurs lettres de menaces – auxquelles il ne prêta pas la moindre attention – qui exigeaient de lui une allégeance complète à l'égard de Lord Voldemort. Son silence fut perçu comme un refus. Un soir, alors qu'il rentrait chez lui, il découvrit les corps affreusement mutilés de sa femme et de sa fillette. Au-dessus de son manoir la marque des ténèbres, la signature des mangemorts, éclairait le ciel étoilé.
☇ Dès lors, il se créa une petite réputation au sein de la communauté magique. Accablé par le deuil, Tristan refusa de se soumettre et commença à aider les personnes, dont les proches avaient été enlevés, en essayant de les retrouver. Évidemment, le secret de ce métier officieux est bien gardé car personne ne sait ce qui pourrait advenir du dernier Everdeen si jamais ses petites manigances étaient découvertes. Afin de sauvegarder les apparences, il continue à rédiger quelques nouvelles fantastiques, propres au monde des sorciers, et des contes pour enfants.
☇Tristan vit constamment avec le deuil de sa femme et de sa fille sur la conscience. Il garde d'ailleurs son alliance accrochée à une chaîne qu'il porte autour du cou. Son comportement s'est d'ailleurs sensiblement assombri ; il a pris l'habitude d'aller boire régulièrement, pour ne pas dire chaque soir, un verre au Chaudron Baveur. L'ironie ponctue également chacune de ses paroles et sa patience est très mince, voire quasiment inexistante. Les personnes qu'il a aidées pensent d'ailleurs que ce brutal intérêt pour le genre humain, qui le pousse à retrouver des personnes disparues, n'est qu'une excuse pour pouvoir se faire tuer lorsqu'il en ressentira la nécessité.

Time is making fools of us again.

ALICE HUDSON ET TRISTAN EVERDEEN

Une nouvelle fois, il s'était perdu dans la contemplation de son verre. Le liquide ambré dansait devant ses yeux brillants. Un raclement de gorge le sortit de ses songes et, arborant une moue arrogante, Tristan se redressa et considéra son interlocutrice. Elle était petite, brune. Ses lèvres rosées frémirent alors qu'elle peinait visiblement à formuler sa demande. « Tristan Everdeen ? » Ne soufflant mot, le principal concerné hocha la tête. « Je peux m’asseoir...? » Sans attendre la moindre réponse de sa part, elle tira une chaise sur laquelle elle se dépêcha de s'installer. Tristan sentit son front se plisser et son regard se fit interrogateur. L'étrange demoiselle fouillait avec application dans son sac à main. Elle en sortit une photo qu'elle brandit triomphalement sous le nez de son vis-à-vis. Elle mordillait avec nervosité sa lèvre inférieure. Alors qu'elle s'apprêtait à parler, Tristan l'interrompit en levant une main inquisitrice. « Je peux savoir votre nom ? » La jeune femme s'immobilisa puis éclata d'un rire hystérique dont l'écho se répercuta contre les murs du pub. Près d'eux, quelques regards amusés furent échangés. « Alice Hudson. Je tiens une librairie à Pré-au-Lard. » Elle posa la photographie sur la table et, à l'aide de son index, la fit glisser jusqu'à Tristan. La dénommée Alice tapota le visage candide d'une jeune fille qui, animée par la magie, souriait et secouait élégamment ses boucles brunes autour de sa figure de porcelaine. « C'est votre sœur ? » Demanda Tristan en arquant un sourcil dubitatif. La libraire haussa les épaules. « Bravo, si vous avez deviné ça tout seul, vous n'aurez aucun mal à la retrouver. » L'écrivain leva les yeux au ciel, excédé. « D'accord, Hudson, que les choses soient claires. Il me faudra bien plus qu'une photo pour retrouver votre frangine. » Alice baissa les yeux et ses pommettes rougirent. Elle déglutit difficilement et releva enfin le menton. Tristan fut assailli par les remords en remarquant les larmes qui roulaient le long de ses joues. Il tint bon et conserva son attitude ferme. « Tout ce que vous voudrez, Monsieur Everdeen. » Il se pinça l'arête du nez. « Tout ce que vous voudrez. »

x

« Vous n'avez pas retrouvé Rose. » Un murmure fugace, une cruelle constatation. « Vous n'avez pas retrouvé ma sœur. » Ils étaient dans la librairie de Alice. L'un en face de l'autre. Tristan se sentait désemparé et, à l'heure actuelle, même les blagues les plus idiotes n'auraient pas pu détendre l'atmosphère. Ils en étaient tous les deux conscients. Il esquissa un pas vers son interlocutrice et la jaugea d'un regard amer. Malgré lui, il ne parvenait pas à la plaindre. « Si vous aviez été une meilleure sœur, elle n'aurait peut-être pas pris la fuite. » Cracha-t-il avec aigreur. Alice écarquilla les yeux et brandit une main en l'air, sa paume claquant avec force la joue fraîche de l'écrivain. Il recula d'un pas mais revint à la charge, le regard mauvais. « C'est de votre faute. Vous m'avez embarqué dans toute cette merde et - » Alice le poussa brutalement contre le comptoir, se jeta sur lui et lui saisit avec force son veston. « Et toi, sale ordure, tu crois quoi ? Que tu étais un bon père et un mari exemplaire ? » A son tour, Tristan se défit de cette étreinte d'acier et inversa leurs positions. Il enserra le col de la jeune femme entre ses phalanges crispées. Il se pencha vers elle. Leurs souffles se mêlèrent, leurs lèvres n'étaient qu'à quelques millimètres l'une de l'autre. L'écrivain parut hésiter et, finalement, prit entre ses mains le visage candide de sa vis-à-vis et laissa leurs bouches se heurter. Cet échange ne dura que quelques infimes secondes. Il se recula et passa le dos de sa main le long de ses lèvres tremblantes. Il se redressa. Une nouvelle fois, Alice frappa la pommette déjà endolorie de son interlocuteur. « Partez ! Et ne revenez jamais, jamais, jamais ! » Tristan passa sans un mot le seuil de la porte d'entrée et disparut dans la nuit. Une fois seule, la jeune femme s'écroula contre le comptoir et tenta de reprendre un minimum de contenance. Sa respiration s'était faite sifflante, brutale, alerte. Elle hoqueta, trébucha, et sortit à son tour. Son cœur battait la chamade et lui donnait le tournis. « Tristan ! Pardonnez-moi, je vous en prie...Tristan, par pitié... » Il ne réapparut pas. Alice tomba à genoux et continua à hurler le nom de son ami jusqu'à sentir ses forces se dissiper.

"It is my belief"

scénario terminé et libre.

Merci à toi, ô gentil invité, de t'intéresser à mon scénario. :red:

Bon, évidemment, si tu le prends je risque de te couvrir de cadeaux très chers et de bisous d'amour tout partout. Donc, je vais passer dès à présent aux petites explications en ce qui concerne mon Tristan. :héé:

NOM, PRENOM : Même si j'y tiens beaucoup, je me rends malheureusement compte que le pseudonyme ne peut pas plaire à tout le monde. S'il ne vous convient pas, vous pourrez le changer. Je vous laisse vraiment le choix de ce côté-là. :bril:

AVATAR : De même. J'ai conscience que Aidan Turner peut ne pas vous convenir. J'avais aussi quelques autres idées comme Jack Huston ou Eoin Macken. Néanmoins, leurs ressources sont aussi relativement limitées. De ce fait, vous pouvez changer l'avatar à votre guise. ATTENTION, une petite précision à prendre en compte : si vous voulez prendre un mannequin, évitez d'un choisir un qui fait trop adolescent. M'voyez ? :potté:

HISTOIRE : Les petits points évoqués ci-dessus ne sont pas négociables. Evidemment, vous pourrez les arranger à votre sauce si jamais quelque chose ne vous convient pas. On peut toujours en discuter, également. Sachez que je suis ouverte au dialogue, autant au niveau de l'arrangement de l'histoire / caractère mais également à propos de leur relation. I love you

LIEN : C'est parti mes poulets. :red:

Alice a " engagé " Tristan pour retrouver sa petite soeur, Rose, qui s'est enfuie le jour de la rentrée des classes. Le jeune homme n'a pas pu retrouver sa trace et, comme le démontre l'anecdote ci-dessus, il s'est laissé emporter par ses émotions. Pour vous expliquer, je dirais que le baiser qu'ils ont échangé était surtout le fruit du moment présent car la tension était palpable. Depuis leur dispute, ils ne se sont plus revus. Tristan s'est drapé dans son orgueil et considère l'affaire Hudson comme étant définitivement réglée. Alice, quant à elle, essaie par tous les moyens de le recontacter mais il reste insensible à ses demandes. Leur relation est particulière : ils s'apprécient mais ne le montrent pas (d'où le vouvoiement). Il est également trop tôt pour parler de sentiments mais je pense qu'une relation romantico-conflictuelle est à prévoir. :héé:

(sauf si on change d'idée en route, ce qui est possible :hum:

à voir en RP, donc. :siffle:

)
RP : Je demande un minimum d'activité, autant dans le RP que dans le flood (faut bien augmenter vos messages, hého). Mais une réponse toutes les deux semaines me suffit. :héhé:

Je suis un être faible :cry2:

Mais je t'aime pour ça. :héé:

Scénario pris, je déplace. :puppy: