(F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all.
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Sujet: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Mer 6 Fév - 23:42
beitris jeyne tyrell
if people were rain, I was drizzle and she was a hurricane.
NOM : tyrell, nom moldu inconnu pour les sorciers.
PRÉNOM(S) : beitris jeyne, mais elle se fait appeler tris.
ÂGE : trente ans.
STATUT DU SANG : née-moldu.
DATE DE NAISSANCE : libre.
LIEU DE NAISSANCE : libre.
STATUT AMOUREUX : celibataire, elle essaie du moins de s'en convaincre tant bien même qu'elle habite dans le salon d'un homme qu'elle apprécie bien.
EMPLOI : ancienne infirmière à poudlard, elle avait avant ça exercer à ste mangouste mais est aujourd'hui en fuite, sans emploi.
GROUPE : running up that hill.
CÉLÉBRITÉ : tatiana malsany, négociable.
TA MAISON A POUDLARD ✲ RAVENCLAW
◊ 001. Beitris est la fille de deux moldus ordinaires, et a grandis dans la ville de votre choix, en Grande-Bretagne. Son enfance a été relativement paisible, avec un père était médecin et une mère femme au foyer, Tris a grandis durant onze ans comme toute petites moldues ordinaires, jusqu'à l'obtention de sa lettre d'admission à Poudlard. Ses parents ont assez mal pris la nouvelle, effrayé par l'inconnu, envoyant Beitris à contrecœur vers sa nouvelle vie. Contrairement à ses parents, Beitris s'est elle très vite adaptée à ce nouveau monde, se révélant très douée pour cette magie qu'elle venait de découvrir. Elle fut envoyer dans la maison Serdaigle, dans laquelle elle s'est vite intégrée. ◊ 002. Tris a toujours été solitaire, aussi, même si pendant sa scolarité elle s'entendait plutôt bien avec ses camarades Serdaigles, elle restait souvent toute seule. Passionnée par la musique et la lecture, elle adore passer des heures sans être dérangée, plongée dans un bouquin. ◊ 003. Très intelligente, la jeune femme à brillamment terminé son cursus à Poudlard avant de décider de devenir infirmière. Après quelques années passées à Sainte-Mangouste, Beitris à décider de revenir dans l’établissement de son enfance. ◊ 004. Tris n'a jamais eu de relations sérieuse. Trop solitaire peut être, ou trop dans la lune, elle n'a jamais réussi à s'installer dans la vie de couple. Prenant cela pour un coup du destin, qui lui réservait le bon pour plus tard, elle a au fil des ans perdu tout espoir de connaitre un jour le grand amour. Aussi aujourd'hui elle a tendance à limiter ses relations amoureuses, sachant qu'à un moment ou un autre elle finirait par faire déraper leur histoire. ◊ 005. La brune est une vraie passionnée de quidditch, qui suit les ligues régionales et les coupes du monde attentivement. Elle ne veut pas se l'avouer, mais si elle s'est intéressée dans un premier temps à ce sport, c'est en partie car elle allait épier les matchs de Cinaed lorsqu'elle se trouvait encore à Poudlard. ◊ 006. Assez spéciale, Beitris est une jeune femme qui vit dans son petit monde, et qui n'aime pas qu'on la ramène à la réalité. Elle est quelqu'un d'incroyablement doux, de très calme et de très réfléchi. Avant d'agir, elle à tendance à tourner le problème dans tout le sens, et à préparer un plan minutieux. Malgré tout, la jeune femme est plutôt craintive, et perd tout ses moyens lorsqu'un danger se présente. Malgré tout, Tris pourrait se servir brillamment de ses pouvoirs si elle arrivait à garder son sang froid. ◊ 007. Si elle a toujours été plus ou moins harcelée à cause de son sang moldu, cela s'est bien entendue intensifié au cours des derniers mois. Détestant les conflits, la jeune femme se laisse généralement faire docilement lorsqu'on l'insulte. Elle sait que sa vie ne tient qu'à un fil, et tâche de se faire discrète, préférant prendre sur elle plutôt que de jouer au héroïne et de défendre les siens ; elle est persuadée qu'elle n'en a pas l'étoffe. ◊ 008. La jeune femme est restée dans l'enceinte de Poudlard très longtemps, bien plus de temps que beaucoup de sang de bourbe. Pourtant, c'est début février que la situation s'est accéléré suite à la mort d'un né-moldu dans l'établissement. Dès que Cinaed a appris la nouvelle, il s'est précipité pour mettre la main sur Tris et ont tout deux transplaner dans le petit appartement Londonien du professeur. ◊ 009. Voila maintenant quelque temps qu'elle est caché chez Monroe, détestant l'état précaire de la situation et les risques qu'elle fait prendre à son hôte, elle sait pourtant qu'elle n'a pas réellement d'autre solution. Ils ont très bientôt prévu de partir pour le camp de Dean, où Cinaed déposera Tris, sachant que sa cousine Yara pourra jeter un oeil sur elle. Il déteste l'idée de la laisser seule, et à vrai dire, cela n'enchante pas plus la jeune femme. ◊ 010. Maintenant qu'elle est en fuite et qu'elle n'a plus rien à perdre, elle commence à sortir de sa coquille et à se défendre, à la plus grande surprise de son protecteur. Les piètres cours de défense que lui prodige Cinaed ne lui suffisent plus, et elle se montre plutôt douée.
cinaed e. adler-monroe & beitris o. tyrellso I stayed in the darkness with you.
Tris et Monroe se sont rencontré bien des années auparavant, dans les couloirs de Poudlard alors qu'ils étaient tout deux élèves. C'est lui qui l'a défendu alors qu'au détour d'un couloir, deux garçon s'en prenait à elle, moquant son statut de sang. Il leur avait remis les idées en place à l'aide d'un coup de poing bien placé, et s'était dépêcher de s'enfuir, retenant à peine le nom de la jeune fille qu'il venait de sauver. Pendant de longues années ils ne se revirent pas, oubliant presque l'existence de l'autre tombée dans les tréfonds de leur souvenirs d'enfance. C'est lorsque Monroe devint professeur de vol sur balai, deux ans auparavant, qu'ils retombèrent l'un sur l'autre, par hasard, dans la petite infirmerie de l'école. Comme le jour de leur rencontre, Cinaed remit à sa place un élève qui lui causait des problèmes, et encore une fois elle le remercia franchement. Mais contrairement à leur première entrevue, il ne s'éclipsa pas tout de suite, restant juste assez pour s'enticher de l'infirmière, et de se mettre en tête qu'il était de son devoir de la protéger. Chose qu'il fit depuis ce jour, malgré les complications de la guerre contre les sang-de-bourbes. Jamais non loin d'elle, il savait quand débarquer pour dissuader les mauvaises langues, allant même jusqu'à l'accompagner dans ses déplacements lorsque des jours plus sombre s'installèrent sur Poudlard. Tout ça, sans jamais s'avouer ce qu'il ressentait réellement pour la brune. C'est pourtant au début du mois de février qu'il craqua. Alors qu'il lui rendait une énième visite au bout du château pour une coupure minime, le professeur ne pu retenir son baiser, baiser volé dont il s'enfuit bien vite. Il aurait aimé oublier l'incident, redoutant les conséquences de ce derniers, mais il n'eut malheureusement pas le temps de le regretter bien longtemps. Le lendemain, un élève né-moldu fut tuer dans le château. Monroe ne réfléchit pas très longtemps avant de s’élancer au secours de la brune, et de l'amener en sécurité, dans son appartement, là où personne ne soupçonnerait rien. Depuis ce jour, ils ont pris soin de ne pas évoquer ce baiser, jamais, mais la tension est bien là et les sentiments aussi. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils s'en rendent enfin compte.
passages de ma fiche:
1980, COULOIRS DE POUDLARD and if you're still bleeding, you're the lucky ones, cause most of our feelings, they are dead and they are gone. ◊
Je marchais dans les couloirs d'un pas vif, tâchant de rejoindre la salle commune de ma maison sans m'éterniser. Épuisé par l'entraînement de quidditch, je rêvais de m'écrouler sur mon lit et de m'endormir jusqu'au lendemain, ratant le repas sans plus de remords. N'ayant jamais été très social, j'avais une large préférence pour la solitude et le paisible silence qui en découlait. Et les dortoirs n'étaient jamais aussi calmes qu'à l'heure du déjeuner, où personne n'oserait me réveiller pour m'amener de force dans la grande salle. A vrai dire, personne ne penserait vraiment à venir me chercher ; si j'entamais ma quatrième année à Poudlard, je ne m'étais pas pour autant lier d'amitié avec la moitié de ma maison. Au contraire, mes amis pouvaient se compter sur les doigts d'une main. Pas assez bien pour être un Gryffondor surement, où une autre connerie dans le genre. J'avais surement été aussi surpris que mes camarades en entendant le choixpeau annoncer ma maison pour les sept prochaines années. J'avais, malgré mes faibles connaissances sur le monde magique, eu vent de la prestigieuse maison qu'était Gryffondor, maison de la loyauté et du courage. Si c'étaient les deux adjectifs qui me caractérisaient le mieux, ce couvre-chef ridicule avait surement dû aller les chercher bien loin, car les autres avaient vite compris que j'étais bien éloigné de l'élève type Gryffondor, bien différent de toute ces héros en devenirs. Aussi, j'avais été mis à l'écart dès le départ, et à vrai dire, je n'avais jamais réellement tenté de m'intégrer. Sacrilège pour Eleazar, mon demi-frère, qui malgré l'avoir ardemment désiré de tout son être, n'avait pas été placé dans la même maison que moi, chez ses Gryffondor adulés. C'était d'ailleurs l'un des sujets les plus épineux lorsque nous rentions à la maison. Le silence du couloir désert n'était brisé que par le rythme de pas, claquant contre le sol en pierre, lorsque des rires me parvinrent au bout du prochain croisement. Pas des rires joyeux, des rires moqueurs, méchant, ainsi qu'une petite voix haute perché qui tentait de se défendre. « Laissez-moi partir ! S'il vous plait ! » lâcha la voix de la gamine, apeurée à entendre l'intonation de ses plaintes. Je soufflai bruyamment, décidant d'aller voir ce qui se passait, accélérant à contrecœur le pas vers le croisement du couloir. Pas bien décidé à faire le héros, je ne pouvais malgré tout pas me résoudre à laisser la pauvre gamine se faire embêter. « Ba quoi ? T'aimes pas qu'on t'appelle comme ça ? C'est pourtant ce que t'es petite, une sang-de-bourbe. Tu devrais même pas être là, retourne dans ton monde, on veut pas de toi ici ! » Je débouchai à ce moment-là dans le couloir, découvrant deux deuxième année encercler la victime, une gamine du même âge que les deux bourreaux, mais au visage si enfantin qu'on l'aurait pris pour une première année facilement. Les deux garçons, deux Sepentards -comme pour renforcer les stéréotypes qui persistaient sur cette maison- riaient bruyamment, se moquant de la petite, coincée contre le mur, effrayée. « Alors on s'amuse bien ? » Les trois sursautèrent, ne m'ayant apparemment pas entendue arriver. « C'est bien, bravo, s'en prendre à une gamine sans défense. Chapeau. » Se retournant vers moi, le plus grand pris un air menaçant, tâchant de jouer le dur malgré les deux ans qui nous séparait. « Dégage Grynffondor, retourne sur ton balais et fiche nous la paix. » Je regardais la gamine, son regard apeuré qui ne me quittait plus. « T'as rien de plus constructif à faire morveux ? Qu'est-ce qu'elle t'a fait exactement pour que tu l'insultes comme ça ? » « Elle a juste rien à faire ici. C'est tout. C'est qu'une moldue, qu'elle retourne chez elle. » Un rire moqueur m'échappa malgré moi, dépité face aux propos du garçon. Je me considérais souvent comme un né-moldu, n'ayant connu la magie qu'à partir de ma onzième année ; aussi, une telle insulte avait tendance à me sortir hors de mes gongs. « Et pourtant elle est là, non ? Elle est comme vous, elle étudie à Poudlard. Elle a autant sa place que toi, peut-être plus. Je suis sure qu'elle te surpasse dans trois quart des matières ! » lâchai-je méchamment alors que la brunette hocha frénétiquement la tête, comme pour soutenir mon argument. Le second Serpentard s'approcha de son abruti de copain, et lâcha d'un air las « Elle est pas comme nous ! C'est une sang-de-bourbe. C'est qu'une moins que rien. » « Fait gaffe à ce que tu dis gamin ! » dis-je en me rapprochant l'air menaçant. « Ou quoi ? Tu vas sortir ta baguette ? » « Plus simple. » lâchai-je, un sourire satisfait au visage. Mon poing vola de lui-même, venant s'écraser contre la figure du Serpentard. Voilà maintenant trois ans que j'avais rejoint l'équipe de quidditch en tant que batteur ; aussi, le cri plaintif du garçon était pleinement justifié. Il se releva, le regard apeuré, et commença à courir pour rattraper son acolyte, déjà partie depuis bien longtemps. Mon rire résonna dans le couloir, bientôt accompagné de celui de la gamine, qui semblait avoir retrouvé le sourire. « Merci beaucoup ! » lâcha-t-elle en s'approchant de moi, quand nos éclats de rires s'effacèrent. Son regard éclairé par son sourire, elle semblait encore plus jeune qu'avant. « Il a eu ce qu'il méritait. » dis-je en lui souriant timidement. J'avais conscience que j'allais avoir des problèmes, mais après tout, le coup était largement justifié. Les secondes défilèrent en silence, le regard brillant de la petite brune toujours posé sur moi, qui tentait de l'ignorer. « Je m'appelle Beitris, mais tu peux m’appeler Tris. » déclara-t-elle au bout d'un moment. « Ouai. » dis-je, maladroitement, détestant ce genre de conversation. Détestant l'idée que Beitris décide de compter sur moi à présent. Détestant m'imaginer devoir veiller sur la gamine, d'être officieusement assigné comme garde du corps. Aussi, je décidais de couper court la discussion, et de retourner à mes plans originaux : rentrer aux dortoirs, et dormir. Pas plus, pas moins. « Et bien Tris, fait attention la prochaine fois. Je ne serais pas là pour t'aider. » déclarai-je l'air revêche, regardant mes pieds. Je fis volte-face et repris la direction des quartiers de Gryffondor. « Bonne nuit gamine. » Je m'éloignai à pas vifs, ne lui laissant pas le temps de répondre, pas le temps de s'attacher à l'idée du sauveur qu'elle se faisait de moi.
1997, INFIRMERIE DE POUDLARD let me be, your everlasting light ◊
Le sang continuait de tacher ma chemise alors que je tentais de trouver l'infirmerie. Si j'y avais passé une bonne partie de ma scolarité bien des années auparavant, j'y arrivais souvent inconscient, sonné la plupart du temps, faute à la violence de certains match de quidditch. Aussi, je tâchai de retrouver mon chemin vers cette salle si familière, me perdant dans l’enchevêtrement de couloirs sans fin. Ma capacité d'orientation frôlait le néant, aussi, malgré mes sept années en tant qu'élève, et plus d'un an en tant que professeur, je réussissais encore à me perdre dans certaines parties de l'établissement. La plaie qui s'étalait de la base de mon poignet à la moitié de ma paume n'était vraiment pas belle à regarder ; malheureux accident dans la réserve à balais, où un vieux bout de ferraille dépassait d'une des armoires. Même si j'essayais d'habitude d'éviter l'infirmerie, je ne pouvais malheureusement pas y échapper cette fois. Je débouchai enfin sur le couloir de l'infirmerie, et me dépêchais de rejoindre la salle, compressant la blessure pour ne pas laisser de sang couler sur le sol. Pas très efficace vu le flux rougeâtre qui gouttait doucement le long de ma main, mais c'était toujours ça. Je pénétrai dans la grande salle de l'infirmerie, attrapant au passage un des tissus propre empilé sur une commode près de la porte, et enveloppai la blessure avec. L'infirmerie était presque déserte ce jour-là. Le silence flottait dans la salle alors que je cherchais l'une des infirmières, quand une voix plaintive s'éleva dans le fond de la salle. « Ne me touchez pas ! Appelez une infirmière, une vraie infirmière pas une comme vous ! » Dans un fracas de verre, l'infirmière laissa échapper un glapissement aigu. Je m'approchai au pas de course de la source du conflit, découvrant la scène quelques secondes plus tard. Un gamin allongé sur le lit, un sixième année que je connaissais de mon cour de balais, faisait face à une infirmière, petite brunette à l'air enfantin, qui me semblait étrangement familière. « Qu'est-ce qu'il se passe ici ? C'est toi qui as fait tomber ça ? » lâchai-je l'air sévère au gamin allongé sur le lit. Le regard baissé, apeurée, la brunette hocha la tête doucement ; je la reconnu enfin, son air fragile et ses yeux gris brillant la trahissant malgré elle. Beitris. Je restais immobile, me contentant de la fixer en silence, alors que la voix du blond s'éleva une nouvelle fois, brisant le silence qui s'était installé. « Allez chercher une autre infirmière professeur, je ne veux pas de celle-ci. Elle, elle me touche pas. » Je détournai à contrecœur le regard de Beitris pour m'adresser au garçon. « Et pourquoi ça ? Je suis sûr que la demoiselle est une très bonne infirmière. »« Parce que c'est une née-moldue, elle a rien à faire là. Si elle veut jouer à soigner, elle retourne chez les moldus. Mais pas ici. » Si cette scène avait pu m'étonner à l'époque où j'étais encore élève, aujourd'hui elle était tristement banale. Pire, malgré le fait qu'il soit en tort, le gamin obtiendrait surement raison auprès des autorités, et Tris perdrait surement son travail. C'était surement pour ça qu'elle avait si peur face à un élève, qu'elle restait silencieuse, tâchant de se faire oublier. C'était banal en ce moment ; mais pourtant je ne m'y faisais toujours pas. « Et pourquoi t'es là gamin ? » Le garçon me montra une coupure sur le dessus de la main, une égratignure tout au plus. J'échappai un petit rire malgré moi, tout en me dirigeant vers l'étagère des premiers soins. J'ouvrai plusieurs tiroir au hasard jusqu'à tomber sur celui qui contenait les pansements. Sous le regard intrigué de Beitris, j'en attrapais un et le jetai au visage du grand malade, ignorant son cri plaintif. « Prend ça et dégage. » dis-je sèchement. Ce n'était certainement pas mes talents de pédagogue qui m'avait permis d'entrer en tant que professeur à Poudlard. Je n'aurais même jamais eu le poste sans l'aide de mon demi-frère qui travaillait au ministère de la magie. C'était grâce à lui que j'étais sorti de la période difficile qui avait suivi mon départ des Chudley Cannons ; après être retourné habiter à Conventry, j'avais largement abusé de l'alcool et autres subsistances sympathiques. C'était Eleazar qui était venu me chercher après deux ans de débauche, qui m'avait aidé à me reconstruire et à retrouver une vie normale, et surtout un boulot fixe : professeur de vol sur balais à Poudlard. Si je n'avais jamais rêvé d'enseigner, je devais avouer que pourtant, après un an en tant que prof, ce n'était pas quelque chose de désagréable. Mais toujours était que je n'avais jamais été professeur dans l'âme, et ne le serais jamais. « Allez, fous le camps gamin. » « Mais ... Mais j'ai besoin d'une infirmière ! » lâcha-t-il l'air faussement outré. « Tu avais une infirmière, et t'en a pas voulu. Maintenant tu prends prend ton pansement et tu te démerdes. » dis-je en l'aidant -forçant plutôt- à se relever. « Une vraie infirmière, pas une sang-de-bourbe ! » « Pas de ça avec moi petit. La porte c'est par ici ! » dis-je en désignant la sortie, relançant la douleur d'un coup vif. Une grimace de douleur déforma mon visage. « Et estimes toi heureux que je te fasse pas nettoyer ton bordel ! » lâchai-je alors qu'il quittait l'infirmerie à pas pressés. Comme lors de notre rencontre avec Beitris, j'allais surement avoir des problèmes ; mais encore une fois, je ne m'en faisais pas trop. Lorsqu'il eut passé la porte, je sentis la jeune brune à mes côtés se détendre. Un léger sourire éclaira son visage lorsque je me retournai vers elle. « Merci. » dit-elle doucement. « Encore une fois. » Je souris à mon tour. « C'est normal. Les habitudes ont la vie dure, hein ? » lâchai-je maladroitement, étonné qu'elle me reconnaisse, et qu'elle se souvienne encore de ce fameux soir où je l'avais défendue. « Beitris, c'est ça ? » Elle hocha la tête. « C'est ça. Et vous, Monroe, non ? Grande fan de quidditch, les Canons de Chudley ne se sont jamais aussi bien porté qu'avec vous en capitaine. » dit-elle, le regard brillant. Je passai nerveusement la main dans mes cheveux ; je n'avais pas vraiment l'habitude de tenir de telles conversations, n'ayant jamais été doué avec les relations, excepté peut être les quelques coup d'un soir que j'avais enchainé à cause de l'alcool. « Arrêtez, vous allez me faire rougir. » dis-je gauchement en détournant le regard. Un petit rire m'échappa, bientôt accompagné de celui de Tris. Un silence gêné s'installa, mais je pouvais encore sentir son regard posé sur moi. « Faite attention la prochaine fois. Les temps sont plus durs que quand on était gamins. » « Malheureusement. » dit Tris, le regard dans le vide, les traits tirés. Comme une quinzaine d'années plus tôt, j'eus la bizarre sensation que c'était mon devoir de la protéger. Comme je l'avais fait durant mes dernières années de scolarité, veillant sur elle du coin de l’œil. Aussi, malgré les plaintes de mon cerveau qui me criait le contraire, je déclarai « Appelez-moi si vous avez besoin. Vous pouvez compter sur moi. » Je regrettais tout de suite mes paroles, détestant prendre toute forme d'engagement. Et pour en être un, s'en était un beau. Protéger une née-moldue alors qu'ils étaient chassés dans tous les coin du pays par les Mangemorts, c'était un beau défi. Mais malgré tout, je ne pouvais pas la laisser là, sans défense, se faire harceler par des gamins pré-pubères. « C'est gentil. » lâcha-t-elle en retrouvant soudainement le sourire. Nos regards se croisèrent pendant plusieurs secondes, et tandis que j'hésitais à m'enfuir en courant, elle pointa le tissu imbibé de sang. « Besoin d'aide peut être ? » « Oui, probablement. » dis-je, une mimique à mi-chemin entre un sourire et une grimace de douleur sur le visage, alors qu'elle m'attrapant la main pour examiner la blessure.
SCENARIO TERMINÉ ET LIBRE ✲ l'avatar. Je trouve Tatiana particulièrement parfaite pour Tris, c'est donc l'avatar à privilégier. Mais si vous avez une dent contre la belle brune, vous pouvez bien sur me proposer quelqu'un d'autre, même si je me réserve un droit de véto J'avais notamment pensé à Astrid Berges-Frisbey ou Carey Mulligan. ✲ le pseudo. Comme pour l'avatar, c'est assez négociable. Si j'aime bien Beitris et que je l'ai déjà utilisé dans ma fiche et mes RPs, Jeyne est lui complétement négociable c'était seulement pour mettre quelque chose. Le nom de famille aussi esy au choix. ✲ le reste. Je laisse le reste du scénario assez libre, le caractère comme l'histoire, mais veillez à ne pas changer complétement le personnage. Pour l'activité, je vous demanderai d'être actif, Tris étant nécessaire pour le développement de Monroe. Pour les rps, je fais généralement entre 700 et 1500 mots, mais je peut facilement m'adapter. Je vous demanderais aussi un niveaux d’écriture correct, sans fautes de frappes et de syntaxes à chaque lignes si possible Enfin, si vous prenez ma future femme, sachez que je serai votre esclave à vie, je construirai des temples en chocolat à votre effigie et je cirerai vos chaussures chaque matin. Rien que ça [/i]
Dernière édition par Cinaed E. Adler-Monroe le Mer 24 Juil - 18:05, édité 3 fois
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Lun 11 Fév - 18:06
J'avoue que le temple en chocolat et les mots "esclave à vie" sont intéressants
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Lun 11 Fév - 18:13
OMAHHHGADDDD MA BEITRIIIIIS Merci mille fois d'avoir pris ma chérie, je crois que même mon rôle d'exclave à vie ne saurait être assez pour te remercier Je faire les réserve de chocolat pour le temple
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Sam 2 Mar - 19:16
après des jours de débat contre moi-même pour savoir si je devais céder à l'appel du forum + de ton scénario, si je devais négocier ou pas l'avatar, j'ai fini par céder. et finalement j'ai pris la totale
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Sam 2 Mar - 19:19
MA TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS Je suis trop contente là, je l'attendais ma chérie Merci beaucoup beaucoup d'avoir cédé, si tu as la moindre question n'hésite pas
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Sam 2 Mar - 19:59
Avec un tel accueil, c'est difficile de ne pas céder
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Sam 2 Mar - 20:17
EDIT DU 24/07 : Au cas où, si vous passez par là pendant la maintenance Je m'ennuyais du coup j'ai mis à jour le scénario, ce serait possible de changer l'avatar ? Je met le code là au cas où, mais sinon je le ferais dans le bon sujet après la maintenance
Code:
[b]◖[/b] <libre>tatiana maslany</libre> — <pseudo>[url=http://www.p-incantato.com/t1570-f-libre-tatiana-maslany-together-or-not-at-all#76048]beitris j. tyrell[/url]</pseudo>
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Jeu 25 Juil - 12:26
Hop, si jamais tu en as pas trop marre de moi je la récupère (et jvais changer le bottin xD) (en vrai si jte saoule tu le dis vraiment hein )
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Jeu 25 Juil - 12:59
MA CHERRRRRIIEEEEEEE J'en ai pas marre, au contraire je suis sure que ma Tris est entre de très bonne mains En plus, ce romantisme, j'adore ce qu'elle sent dans l'amortencia : crottin de cheval et pisse de chat, pile poil la bonne odeur de Monroe
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Jeu 25 Juil - 13:01
MON CHOUUUUU Tout va bien alors, merci de me faire autant confiance
je savais que c'était exactement l'odeur de Monroe ça quel magnifique parfum, faut surtout pas qu'il le change
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Jeu 25 Juil - 13:05
Tu as juste oublié "odeur de sueur après 4h de quidditch" et "vaisselle pas faite depuis l'année dernière" Promis, je change rien
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all. Jeu 25 Juil - 13:26
han lala miam, ça donne vraiment envie tout ça c'est bibi qui va devoir la faire la vaisselle à tous les coup parfait
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Sujet: Re: (F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all.
(F/LIBRE) TATIANA MASLANY ✲ together or not at all.